Bénévole pour la Croix-Rouge depuis 12 ans, Michèle Dionne, la conjointe du Premier ministre Jean Charest, partage dans l’album Missions les visages des gens qu’elle a croisés au cours de ses voyages dans plusieurs missions de la Croix-Rouge à l’étranger. «Je voyais des visages. Je rencontrais des gens extraordinaires et je me disais qu’il fallait partager avec les gens ce que je voyais. Je me suis mise à écrire un petit journal, mais ce n’était pas suffisant et j’ai pensé à la photo.
«Je crois beaucoup à l’aide humanitaire et au travail de la Croix-Rouge. J’ai voyagé beaucoup et je vois la différence qu’on fait dans la vie de ces gens-là», appuie-t-elle.
Mme Dionne a-t-elle la plume facile? «Non, pas vraiment. C’était laborieux pour moi. J’écrivais mes journées, c’était un peu comme un journal intime. J’écrivais tout ce que j’avais fait, toutes les rencontres, les gens que j’avais vus, nos projets», explique-t-elle.
En Inde, en Chine, au Libéria, en Haïti, à Madagascar, en Ukraine, au Honduras et au Nicaragua, Michèle Dionne a apporté son appareil-photo et croqué des images sur le vif. La page couverture présente d’ailleurs une des premières photos prises lors de son voyage en Inde.
Ses missions sont variées : distribution de moustiquaires de lit à Madagascar, centres de formation pour les enfants soldats et les jeunes filles kidnappées au Libéria, garderies dans le sud de l’Inde, laboratoires mobiles près de Tchernobyl, en Ukraine.
Dans quelques semaines, Michèle Dionne retournera à Léogâne, en Haïti, où 1000 maisons ont été construites pour accueillir les sinistrés. Malgré un agenda occupé, elle trouve le temps. «Ces missions, ça vous ramène les pieds sur terre. Ça vous ramène aux vraies priorités de la vie. Je trouve le temps de m’impliquer parce que j’y crois beaucoup. J’ai fait des choix dans ma vie. J’ai voulu faire de la politique avec mon mari, j’ai quitté ma profession d’orthopédagogue et ça fait 12 ans que je suis avec la Croix-Rouge. Je pense que ça fait un bon équilibre dans ma vie.»
REF.:
«Je crois beaucoup à l’aide humanitaire et au travail de la Croix-Rouge. J’ai voyagé beaucoup et je vois la différence qu’on fait dans la vie de ces gens-là», appuie-t-elle.
Mme Dionne a-t-elle la plume facile? «Non, pas vraiment. C’était laborieux pour moi. J’écrivais mes journées, c’était un peu comme un journal intime. J’écrivais tout ce que j’avais fait, toutes les rencontres, les gens que j’avais vus, nos projets», explique-t-elle.
En Inde, en Chine, au Libéria, en Haïti, à Madagascar, en Ukraine, au Honduras et au Nicaragua, Michèle Dionne a apporté son appareil-photo et croqué des images sur le vif. La page couverture présente d’ailleurs une des premières photos prises lors de son voyage en Inde.
Ses missions sont variées : distribution de moustiquaires de lit à Madagascar, centres de formation pour les enfants soldats et les jeunes filles kidnappées au Libéria, garderies dans le sud de l’Inde, laboratoires mobiles près de Tchernobyl, en Ukraine.
Dans quelques semaines, Michèle Dionne retournera à Léogâne, en Haïti, où 1000 maisons ont été construites pour accueillir les sinistrés. Malgré un agenda occupé, elle trouve le temps. «Ces missions, ça vous ramène les pieds sur terre. Ça vous ramène aux vraies priorités de la vie. Je trouve le temps de m’impliquer parce que j’y crois beaucoup. J’ai fait des choix dans ma vie. J’ai voulu faire de la politique avec mon mari, j’ai quitté ma profession d’orthopédagogue et ça fait 12 ans que je suis avec la Croix-Rouge. Je pense que ça fait un bon équilibre dans ma vie.»
REF.:
Ces dégeulasse$
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