Créez un nouveau programme et construisez-le autour de trois concepts essentiels :La conscience, l'honnêteté, la responsabilité.
Enseignez ces concepts à vos enfants dès leur plus jeune âge.
Faites suivre le programme jusqu'au bout à vos jeunes. Fondez tout votre modèle éducatif sur ces concepts.
Prenez les valeurs et les concepts qui sous-tendent une telle vision et enseignez-les dans vos écoles.
Cela pourrait se traduire par des cours comme :
Comprendre le pouvoir
La résolution paisible des conflits
Les éléments de relations amoureuses
La personne et la création de soi
Le fonctionnement du corps, de l'esprit et de l'âme
Développer la créativité
Célébrer l'être, accorder de la valeur aux autres
L'expression sexuelle joyeuse
L'équité
La tolérance
Les diversités et les similitudes
L'économie fondée sur l'éthique
La conscience créative et le pouvoir de l'esprit
La conscience et l'éveil
L'honnêteté et la responsabilité
La visibilité et la transparence
La science et la spiritualité
Déja des modèles existe comme:
La pédagogie Steiner-Waldorf , parfois simplement appelée pédagogie Steiner ou pédagogie Waldorf, est un courant pédagogique fondé sur les conceptions éducatives de Rudolf Steiner (1861-1925), polygraphe et occultiste autrichien. Il s'appuie sur l'anthroposophie, doctrine ésotérique dont il est le fondateur.
Cette pédagogie, destinée aux enfants et adolescents de 0 à 21 ans2, est pratiquée dans des jardins d'enfants (environ 2 000 dans le monde) et dans des écoles Steiner-Waldorf associatives et autonomes, principalement en Europe et en Amérique du Nord.
Il y a plus de 1000 écoles Steiner-Waldorf dans le monde, dont 734 en Europe, 200 en Allemagne et plus d'une vingtaine en France3.
La pédagogie Steiner-Waldorf est notamment dénoncée pour ses assises pseudoscientifiques issues du courant anthroposophique et occultiste. Elle est aussi parfois soupçonnée de dérives sectaires4 et critiquée pour la formation insuffisante de ses enseignants.
RÉF.: par Neale Donald Walsch, Conversation avec Dieu
Des études montrent que les adultes qui ont grandi dans un
environnement bilingue conservent certaines compétences cognitives
acquises pendant leur enfance.
Être bilingue jeune aurait quelques avantages cognitifs. Les enfants
qui grandissent dans un environnement bilingue sont capables de prêter
plus d’attention au monde qui les entoure ainsi que de traiter plus
d’informations. Une étude récente laisse entendre que ces avantages
pourraient durer jusqu’à l’âge adulte. Dans un même temps, cette étude
fait la lumière sur de nombreuses facettes de l’apprentissage des
langues.
Apprendre jeune ou apprendre plus tard
Les chercheurs derrière cette étude, publiée dans Nature en janvier dernier, ont trouvé que les
personnes bilingues depuis leur plus jeune âge sont plus rapides dans
leurs analyses que les personnes ne pratiquant qu’une seule langue.
« Nous voulions simplement voir chez l’adulte si les résultats obtenus
sur les mêmes tâches persistaient, » explique Dean D’Souza, un chercheur
en psychologie à l’université Anglia Ruskin à Cambridge, en Angleterre.
L’expérience a été menée sur 127 adultes, bilingues ou non. Les
chercheurs ont trié les personnes bilingues en fonction du temps qu’il
leur a été nécessaire pour acquérir leur deuxième langue après la langue
maternelle. Les groupes ont été classés de 0, pour une personne née
dans un foyer bilingue, à 28 ans.
Le test s’est effectué en deux parties. Dans la première, les
chercheurs ont affiché une image au milieu d’un écran, puis ont mesuré
le temps de réaction à l’apparition d’une autre image sur le bord de
l’écran. Dans la seconde, ils ont affiché deux images, changeant l’une
d’entre elles progressivement pour mesurer la rapidité avec laquelle le
sujet réalisait le changement.
Lors des deux tests, les bilingues précoces, qui ont appris leur
deuxième langue très jeune, ont noté les changements avant les bilingues
plus tardifs, laissant entendre que l’apprentissage dès le plus
jeune âge permettait un conditionnement cognitif leur permettant de
changer leur attention plus facilement.
La vie de famille et les erreurs peuvent en être la clé
Dean D’Souza pense que ces différences découlent de la complexité de l’environnement d’apprentissage de l’enfant. Plus il y a de langue parlée autour de lui, plus il sera exposé à des sons et des mots différents.
De plus, si tous les interlocuteurs ne parlent pas couramment, l’enfant
peut également entendre des erreurs. L’apprentissage se renforce
lorsque l’erreur est corrigée par la suite puisque l’information donnée
est en contradiction avec l’image mentale qu’il se forge, déclenchant la
mémorisation si l’écart n’est pas trop grand.
« L’idée, alors, est que cela pousserait le nourrisson à rechercher
d’autres sources d’information juste pour leur apporter une aide
supplémentaire, » ajoute Dean D’Souza. Ces informations pourraient
provenir d’indices visuels. Les enfants peuvent essayer de suivre les
lèvres d’un orateur, observer les expressions faciales ou suivre son
regard. La recherche de tels indices peut les inciter à être plus audacieux et explorer davantage du regard leur environnement. Les monolingues, de leur côté, ne montrent pas autant de flexibilité dans ce genre de capacité.
Imaginez que l’on montre une pomme et une poire à un enfant. « Si je
dis pomme, mais que je regarde la poire, les enfants bilingues vont plus
facilement regarder la poire alors que les autres regarderont
majoritairement la pomme, » déclare Vanessa Diaz, chercheur à
l’université de Virginie, qui n’a pas participé à l’étude.
Si cette étude est une indication, il semblerait que ces effets cognitifs persistent à l’âge adulte.
Par la suite, les chercheurs veulent explorer quels aspects de la vie
d’un enfant bilingue contribuent à créer cet effet. Ils s’intéressent au
nombre de langues parlées et par ce qui, dans l’environnement d’un
jeune, pourrait influencer sa croissance et son cerveau.
Étude sur les conséquences futures d'éventuelles complications à la naissance(Dundine)
L'étude dite de Dunedin ou la plus longue étude sur le développement d'une population occidentale
Depuis les années '70 des scientifiques suivent le
développement d'un groupe de plus d'un millier de personnes nées dans la
région de Dunedin en Nouvelle-Zélande. Cette démarche longitudinale et
multidisciplinaire étudie l'évolution de la santé physique, psychique et
de la vie sociale de cette population depuis sa naissance. Elle éclaire
parfois d'un jour nouveau notre vision du développement humain.
Cette expérience a commencé en 1972 quand des médecins ont décidé
d'étudier les conséquences futures d'éventuelles complications à la
naissance sur des enfants nés à la maternité de Dunedin. C'est comme
cela qu'en 1975 les chercheurs ont fait une évaluation sur le
développement de 1037 enfants de 3 ans, soit la plupart des enfants nés à
Dunedin (+ de 90%) entre avril 1972 et mars 1973. Suite à cette
évaluation il a été décidé de les suivre tout au long de leur vie. Cette
étude réalisée par étapes dans le temps a donné lieu à de multiples
publications et à une série de films documentaires réalisées en 2015 par
Paul Casserly: "Qui sommes-nous? La grande expérience".
Cette expérience cherche donc à "comprendre ce qui fait de nous qui nous sommes".
Les scientifiques qui l'ont initiée ont mis en place pour cela une
méthodologie ambitieuse. Tout d'abord les personnes suivies le sont dans
la plus grande confidentialité quelle que soit leur situation. Ce qui
permettrait de créer une vraie confiance pour s'exprimer librement.
Les évaluations se sont faites de façon périodique entre 3 ans et
32 ans. La dernière a donc été réalisée en 2012, pour les 38 ans des
personnes suivis, et la prochaine aura lieu dès cette année à partir du
mois d'avril 2017.
À chaque étape de l'étude ils participent à Dunedin à des
entrevues, des tests, des examens médicaux et à des enquêtes où ils sont
évalués sur leur santé ainsi que sur leur vie personnelle et
professionnelle. Actuellement 96% des personnes, en vies, suivies depuis
leur naissance participent toujours à cette étude. Ce taux record de
suivi dans une étude longitudinale serait dû à la fois au cadre de
confiance et d'intérêt créé, mais aussi aux moyens financiers et humains
mobilisés pour l'étude. Les nombreuses personnes qui ne vivent plus sur
place (2/3) ont leur voyage et leur séjour pris en charge par l'étude
où qu'ils soient dans le monde. Les chercheurs et enquêteurs suivent
leur migration pour pouvoir rester en contact avec eux. Et si les
personnes ne peuvent pas venir à Dunedin ce sont eux qui se déplacent
pour les rencontrer.
Cette étude unique au monde a mis en avant de multiples éléments.
L'information la plus emblématique de cette enquête a remis sur la table
le débat entre l'inné et l'acquis chez l'Homme. Effectivement l'étude
démontrerait que le tempérament d'un enfant de 3 ans serait d'une façon
générale le même à l'âge adulte. Des éléments aussi importants et
déterminants pour l'avenir se jouant aussi jeune, les scientifiques
recommandent de miser sur les politiques publiques de la petite enfance
pour développer des parcours équilibrés. L'apprentissage de la maîtrise
de soi dès l'enfance serait la solution pour construire sa réussite
personnelle, professionnelle et une meilleure santé.
Lorsque les jeunes entrent en maternelle, ils ont donc déjà leurs
propres personnalités, classées en cinq types auxquels ils ne dérogeront
plus: les équilibrés, les réservés, les affirmés, les inhibés et les
indisciplinés. Aux trois premiers types, on promet santé, prospérité,
amour et bonheur, au contraire des 17 % d’inhibés et d’indisciplinés.
Colériques, asociaux, anxieux et toujours trop rigides, ils connaîtront
les maladies cardiaques, le chômage, la criminalité et les dépendances,
et bon nombre d’entre eux se retrouveront en prison, à moins qu’on
trouve un moyen de les encadrer dès l’apparition des premiers
«symptômes».
On a également établi que le nombre d’heures de sommeil influe
directement sur le poids et l’anxiété d’un individu, et que les enfants
qui «voient des choses» sont souvent à un stade précoce de
schizophrénie, ce qui a permis aux médecins d’adopter une nouvelle
approche concernant la détection de la maladie.La Schizophrénie et la psychose, commence a se développer surtout vers l'âge de 11 ans, à cause de problêmes de vascularisation sanguine au cerveau.
L'étude analyse aussi les causes de la délinquance juvénile,
l'impacte de la télévision sur les résultats scolaires, le manque de
sommeil sur l'obésité et bien d'autres choses. Mais l'étude de Dunedin,
comme beaucoup d'études, soulève des controverses et particulièrement
quand cette recherche révèle que les violences conjugales seraient dues
tout autant à l'homme qu'à la femme. La différence d'impact se porterait
sur les différentes constitutions des deux sexes.
Il s’agit de l’une des plus importantes études jamais effectuées sur les
liens entre le mauvais traitement pendant la petite enfance et la santé
à l’âge adulte. L’étude a révélé que des expériences négatives pendant
la petite enfance, incluant la violence faite aux enfants et le
dysfonctionnement familial, sont statistiquement liées à une plus grande
incidence de problèmes de santé mentale, d’accoutumance, d’obésité, de
diabète de type 2, d’hypertension artérielle et de coronaropathie à
l’adolescence et à l’âge adulte.
En plus de découvrir que la durée de la période passée en orphelinat est
liée à un quotient intellectuel (QI) plus faible et à des problèmes de
comportement, les chercheurs ont signalé que l’adversité en début de vie
touchait les chromosomes des enfants et entraînait le vieillissement
rapide de leurs cellules et augmentait probablement le risque de
souffrir du cancer et de maladies du coeur à l’âge adulte.
Les données longitudinales représentent un outil scientifique comportant
des marqueurs génétiques et environnementaux qui prédisent des troubles
de l’humeur, des comportements antisociaux et criminels, de la psychose
et de la toxicomanie à long terme.
La manière dont s’exprime le gène de la monoamine-oxydase (MAO) a une influence sur
le taux d’enzyme et les processus biologiques. Les hommes qui ont été
maltraités pendant l’enfance sont plus susceptibles d’être antisociaux
si l’activité de la MAO est faible. Toutefois, les hommes dont
l’activité de la MAO est faible mais qui n’ont pas été maltraités et les
hommes dont l’activité de la MAO est élevée mais qui ont été maltraités
ne sont pas devenus plus antisociaux.Les gens
demandent souvent si nous naissons mauvais ou si nous le devenons. Aucun
des deux « , résume-t-il. C’est une combinaison d’un gène et d’une
expérience vécue.
L’étude longitudinale de Dunedin a également révélé que les individus
ayant un gène de petite taille ou un allèle participant à la production
de sérotonine étaient plus susceptibles d’être dépressifs ou
suicidaires s’ils devaient faire face à l’adversité en début de vie. Les
autres individus faisant face aux mêmes types d’adversité, mais qui
possédaient deux longs allèles ou types de gène, étaient résilients et
moins susceptibles d’être dépressifs.
Fumer du cannabis régulièrement à l'adolescence peut provoquer une
baisse des capacités intellectuelles à l'âge adulte, montre une étude
publiée lundi par une revue scientifique américaine.
Malgré des controverses cette recherche est devenue une référence
mondiale. Elle aurait même participé à la lutte pour l'abolition de la
peine de mort des mineurs aux États-Unis. Alors demain peut-être la
politique de la petite enfance deviendra la grande priorité dans les
programmes politiques ainsi que dans les actions des gouvernements. Savoir contrôler ses émotions, comme sa colère, permet de persévérer
dans l’adversité. C’est l’une des compétences les plus importantes dans
la vie « , explique Richie Poulton. Or, le self-control peut
s’apprendre dans la petite enfance, notamment à travers des jeux. C’est
aux premières années de la vie, quand le cerveau est le plus malléable,
qu’il faudrait consacrer l’argent public » afin d’avoir le meilleur retour sur investissement « , plaident les chercheurs de Dunedin.
Lorsqu'ont arrive a 70,......ou 71= ça devrait pas ête,60 et 11 ,mais septante et un ! Même chose pour 80 quatre-vingts = 4 20 pour 4 fois 20, ou 20+20+20+20 ,mais les Anglais disent eighty,nous ont n'a pas traduit ça,on dit plutôt , quatre-vingts ,mais 20 existe déja,non !!! alors faut dire huitante(synonyme octante); 81= huitante et un ! Pour 90 = 4 , 20,10 = quatre-vingts dix ,redondant non. faudrait dire : nonante ! 91 = nonante et un ! OK ,ont est safe pour 100 = cent ! Selon l'étymologie latine des nombres, on disait logiquement à l'origine : vingt (viginti=deux fois dix), trente (triginti =3 fois 10), quarante, cinquante, soixante, septante, uitante ou oitante, nonante. C'est le système décimal, qui progresse de 10 en 10. Les Gaulois, qui étaient des Celtes effectivement, ont pendant des siècles (presque jusqu'à la fin du Moyen Age, alors qu'ils n'étaient plus gaulois mais français, à cause des Francs qui s'étaient largement implantés), utilisé le système vicésimal, c'est-à-dire progressant de 20 en 20 ; on disait alors vingt, deux vingts, trois vingts, quatre vingts (notons le S : il s'agissait d'un nom, synonyme de vingtaine, et pas d'un adjectif numéral ; notons encore l'absence de trait d'union) et ainsi jusqu'à dix-neuf vingts (380). Pour les valeurs intermédiaires on ajoutait et dix : deux vingts et dix (50), trois vingts et dix (70) et ainsi de suite. Puis vers la fin du Moyen Age on revint au système décimal mais en gardant des traces de l'ancien. Ainsi, en France, en Suisse et en Belgique, on dit toujours quatre-vingts, sauf dans le canton de Vaud où l'on est revenu à huitante (en ajoutant un H). Les Belges et les Suisses ont repris septante et nonante, mais pas les Français. Remarquons que soixante-dix est encore plus absurde, puisqu'il mélange le décimal soixante en lui ajoutant et dix emprunté au vicésimal.L'hypothèse la plus probable (elle n'est pas non plus contradictoire) est une origine du danois, par les Normands.
les formes trente, quarante, cinquante, soixante s'imposent
les suivantes résistent et subsistent!
Pourquoi? Nul ne le sait.
Certains pensent que l'usage des 20 et 10 pour ces grands nombres facilitait le calcul mental.
C’est au XVIIe siècle,
sous l’influence de Vaugelas et de Ménage, que l’Académie et les auteurs de dictionnaires ont adopté définitivement les formes soixante-dix, quatre-vingts, quatre-vingt-dix.
Il est à noter pourtant que
les mots septante, octante, nonante figurent dans toutes les éditions du Dictionnaire de l’Académie française.
Encore conseillés par les Instructions officielles de 1945
pour faciliter l’apprentissage du calcul, ces nombres restent connus dans l’usage parlé de nombreuses régions de l’Est et du Midi de la France, ainsi qu’en Acadie.
Ils sont officiels en Belgique et en Suisse (comme en outre, dans ce pays, huitante).
César utilise un batton pour se protéger et rediriger les attaques du chien vers l'objet et non sa personne.Il a fait ça pour l'éloigner du plat de son manger,avec lequel il avait un problême de possession égoique.Queue droite,en état d'attaque,en état de demi soumission par rapport a l'homme qui tient le bâton ! La récompense est derrier le chef de meute(le plat de récompense, de nourriture)C'est pourquoi le pitbull est a demi soumit.Comme dirait l'autre ça sent la bouffe.
2 ième thérapie,lorsque le chien comprend par soumission qu'il est récompensé pour son abandon du plat a nourriture ,ce même baton deviens une main et le caresse,comme si c'était César(ou le chef de meute).
Le Problême: Un Pitbull devient furieur et attaque tout ce qui bouge,les bâtons,chiens,et prend possession de son plat sans la permission du maître !
Avec César ça prit 7 minutes !
pour en arriver la,il a fallut que César rencontre le pitbull seul,ensuite l'approche avec un baton ou raquette de tenis,et simplement en le regardant ,le chien ses a demie soumis.Ensuite il a essyer de la senteur de vanille pour s'appercevoir que le chien n'utilise plus son nez comme un chien normal.
Son collier ne sert a rien, il a fallut un collier électronique avec vibration pour le contrôler!
Ensuite une lesse spéciale a servie a diriger la tête du chien pour changer son focus ,sur les autres chiens passants.Le maître ne doit pas émettre aucun bruit,ça sur-stimule le pitbull ,faut être calme et faire des gestes appropriés.
Lorsque le chiens n'abandonne pas son comportement agressif il ne faut jamais reculer lorsqu'il veut nous mordre,ça serait lui le maître dominant a ce moment,faut reculer juste si ont est blessé.Le mieux est avec un bâton ou une raquette.lorsque le chien a abandonner en étant soumis,on réssaye avec son plat de nourriture.Mais cette fois c'est pour faire comprendre au pitbull que son expérience passée avec des méchants maîtres sans expérience ,lui ont surement inculqués un mauvais comportement avec un baton et même chose pour sa nourriture.Alors ,César utilisa ce même bâton (pas une raquette de tennis)pour rendre soumit le chien en le remplaçant par un plat de nourriture.Mais juste lorsque le chien a compris qu'il doit céder et que c'est le maître qui donne le signal quand il mange.Le chien ne sera jamais propriétaire du plat de bouffe,il est un usager du plat ,car c'est le maître ,le vrai chef de meute et nul autre ! Un chien ne mord jamais un chef de meute ,il le protégera plutôt ,ou émettra un avertissement,envers l'intrus,et protégera un certain espace vitale entre ceux-ci !
Apple a envoyé des invitations à la presse pour un événement spécial à New York où une «annonce liée à l'éducation» sera faite.
Les spécialistes pensent savoir que l'événement sera lié à iTunes
University et au lancement de manuels scolaires numériques sur le
magasin en ligne iBooks.
«Au moins deux annonces sont attendues, selon plusieurs rumeurs», estime
le blogue TUAW, qui suit de près la marque Apple. «Steve Jobs aurait
été très impliqué dans le projet avant sa mort.»
Des rumeurs sur le lancement de manuels scolaires sur l'iPad ont circulé
depuis la sortie de la biographie de Steve Jobs. Selon le livre, Jobs a
expliqué à son biographe, Walter Isaacson, qu'il voulait «changer» le
marché des manuels scolaires qui représente 8 milliards de dollars par
an en recrutant «de très bons auteurs de manuels pour créer des versions
numériques et en faire l'une des fonctions de l'iPad».
Steve Jobs a même suggéré que Apple pourrait très bien contourner la
validation américaine des manuels «si nous pouvons rendre les manuels
gratuits et les proposer avec l'iPad».
Bien que certains blogs parient sur la présentation par Apple d'une
version spéciale de son iPad pour l'éducation, des sources ont indiqué
au New York Times qu'il n'y aurait pas d'annonce à propos d'un nouvel appareil.
L'événement se tiendra au Musée Guggenheim de New York, le 19 janvier, à partir de 10h00.
Un suivi en direct de l'événement sera proposé sur The Loop et The Next Web.
Faut-il aller jusqu'en Finlande pour trouver le professeur idéal? C'est
ce qu'a fait Chantal Lavigne. La Finlande a développé un système
d'éducation dont les résultats font l'envie de bien des pays... et sans
commissions scolaires.