Rechercher sur ce blogue

Aucun message portant le libellé reseau sociaux. Afficher tous les messages
Aucun message portant le libellé reseau sociaux. Afficher tous les messages

jeudi 10 mars 2022

Propagande, les nouveaux manipulateurs (numériques)

 

Propagande, les nouveaux manipulateurs (numériques)

 

Par Pascal Kotté

Dec 6, 2021


Le Documentaire ARTE

 https://www.youtube.com/watch?v=ByWFrWW_kQk

Propagande, les nouveaux manipulateurs (numériques)


Vers la fin des pensées plurielles,

au profit d’une pensée unique ?

Disponible jusqu’au 11/12/2021

 REF.:  https://medium.com/datagueule/propagande-les-nouveaux-manipulateurs-num%C3%A9riques-9bb8adc5150f?source=topics_v2---------1-84--------------------4e3524d7_d7a2_4b35_9e56_b0b49861c71c-------19---

Propagande, les nouveaux manipulateurs : populisme digital et ingénieurs du chaos



Zoom sur le documentaire réalisé par Alexandra Jousset et Philippe Lagnier : daté de 2020, Propagande, les nouveaux manipulateurs décortique comment les réseaux sociaux sont devenus un outil de manipulation au service des politiques extrêmes. Et cela ne fait pas plaisir à voir.

Diviser pour régner

Une heure trente durant, les documentaristes passent au crible des réseaux sociaux devenus un vaste champ de racolage pour des candidats politiques en quête d’élection. Objectif : toucher toujours plus de partisans en jouant sur des émotions primaires comme la peur et la colère ; se faire élire sur des idées qui relèvent du totalitarisme ; conserver et renforcer le pouvoir en alimentant les rages, les discriminations et les antagonismes. Bref, capitaliser sur la rupture du contrat social, en d’autres termes diviser pour régner.

USA, Italie, Brésil, Inde : à partir de ces quatre cas de figure, le documentaire met en lumière des stratégies aussi vicieuses qu’efficaces, fondées sur l’exploitation des données fournies par des social media où nous exposons nos avis sans aucune pudeur. À la source de ces stratégies mortifères, des ingénieurs du chaos, experts de la communication digitale, data mentalists chevronnés qui jonglent avec nos frustrations étalées à longueur de posts, posts analysés avec une précision de chirurgien par des algorithmes qui extraient nos rancœurs pour mieux les exploiter.

À lire également : Infiltré dans l’ultra-droite – Mon année avec l’alt-right : on ne dira pas qu’on ne savait pas

Une dangereuse réalité en train de croître

Twitter, Facebook, WhatsApp… rien n’arrête ces spin doctors nouvelle génération, et surtout pas la barrière des lois qu’ils transgressent avec une aisance de virtuoses libertariens. Fake news, harcèlement, menaces, discours raciste, phallocrate, homophobe, à partir d’une analyse sémantique poussée de nos propos, les data analysts détectent les brebis un peu plus faibles que le loup populiste pourra gagner à sa cause sous couvert d’innocents groupes d’échange forgés dans le but de fédérer sur des sujets annexes puis de convertir en douceur.

Création de médias en ligne dédiés, passage par des influenceurs extrêmes, tous les moyens sont bons pour déverser théories du complot et post-vérités qui vont rassembler des hordes de prosélytes, capables de passer aux actes IRL sur un seul tweet pour aller bousiller de l’opposant dans les rues … ou prendre le Capitole d’assaut. À ce stade et le documentaire le met remarquablement en évidence, ce n’est plus une menace, mais une dangereuse réalité en train de croître : les quatre exemples étudiés le démontrent d’inquiétante manière.

S’enraciner dans les esprits et au pouvoir

Les idéologies extrêmes ont ainsi trouvé un moyen de s’enraciner dans les esprits et au pouvoir, grâce à une propagande sur-mesure. Quant aux plateformes social media, elles peinent à reconnaître leur rôle et à réformer leur fonctionnement. L’avancée de la data science est aussi à questionner, dans la mesure où elle permet un microciblage d’une précision diabolique, quitte à ce que les dataminers se transforment en pillards capables de tout pour extraire des informations, passant du scraping aux méthodes d’espionnage.

Question : comment stopper ce processus ? Certains utilisent ces armes pour contrer l’avancée du populisme digital, en mode « traitons le mal par le mal ». D’autres veulent renforcer l’encadrement et le contrôle des plateformes. Éduquer le public ? Difficile face à des internautes méfiants face aux discours officiels et enfermés dans leur bulle de vérité. Reste une solution : identifier les sources de colère, la misère, le manque de travail, d’écoles, d’accès au soin, le martellement publicitaire forçant à la consommation, la frustration permanente … Et les éradiquer. D’urgence.

Et plus si affinités

Vous pouvez visionner le documentaire Propagande, les nouveaux manipulateurs sur le site d’ARTE.

samedi 13 octobre 2012

Opinion 3.0 Vs Raisonnement 3.0 ?

Après le web sémantique du 3.0 ,c'est la rivalité du web 3.0 de l'opinion individuel des gens frustrés des réseaux sociaux et la venu des geeks du web a la sauce 3.0 ,plus connu sous le nom de Raisonnement 3.0 ,ou le R/3.0 !

Raisonnement : Argumentation visant à établir une conclusion.

 La sémantique est une branche de la linguistique qui étudie les signifiés, soit ce dont parle un énoncé.

Opinion :  Jugement, avis personnel, manière de penser.

Le Web 3.0 désignera un Web libre, anonyme et activiste.Je suis certain que les communautés autoréguleront Internet pour en faire une zone d’expression libre et transparente. Bien sûr, pour arriver à ce stade là, il faudra du temps, et on l’appellera peut-être même le web 4.0.

Donc,le collage des infos du web(avec référence ) ,en implantant une vision de la réalité ésotérique du réel a travers les écrits des internautes d'élite  ,remet les valeurs humaines a leurs places dans ce monde des machines numériques.Donc,tout ce qui est contraire a l'opinion personnel des novices du web.


REF.: vousmêmepointcomme,

lundi 16 juillet 2012

La SQ cible une Twitte ?


Ciblée par la SQ pour avoir cité Anonymous sur Twitter

Une jeune femme de Joliette qui est une grande utilisatrice du réseau social Twitter affirme avoir reçu la visite de deux enquêteurs de la Sûreté du Québec (SQ), mercredi, la soupçonnant «d'incitation à la désobéissance civile» après qu'elle eut repris des billets initialement publiés par des membres du réseau informatique Anonymous.
Employée de soir au soutien technique de Vidéotron, Patricia Paquette se doutait que quelque chose clochait quand son téléphone a sonné plus tôt qu'à la normale, à 10h30, mercredi matin. Elle n'aurait cependant pas pu deviner que c'était lié à l'arrestation, le mois dernier, de neuf membres du réseau Anonymous, dont six au Québec. Ils sont notamment soupçonnés d'avoir attaqué certains sites web gouvernementaux en France et au Québec, dont celui de la Direction centrale du renseignement intérieur français et du ministère québécois de la Sécurité publique.
«Une série de tweets que j'ai faits il y a environ un mois et demi les intéressait tout particulièrement. Ils m'ont expliqué que c'était à la limite de l'encouragement à la désobéissance civile et m'ont même montré la loi qui indique ce que ça signifie. Ils m'ont ensuite dit que la prochaine fois que je publierai des billets de ce genre sur Twitter, ce serait à un juge que je parlerais», raconte Mme Paquette.
Manifestement à l'aise avec les technologies internet, la femme de 35 ans explique qu'elle a repris ces messages sur son propre compte Twitter dans le cadre d'une recherche qu'elle faisait pour rendre service à un journaliste de la chaîne TVA. En mai dernier, Anonymous avait déclaré vouloir s'en prendre à des sites web gouvernementaux en soutien à la manifestation étudiante contre la hausse des droits de scolarité.
Elle ajoute que si elle ne les aidait pas à identifier la photo d'un de ses collègues qu'ils lui ont ensuite présentée, les deux enquêteurs allaient montrer à son employeur d'autres messages tirés de son compte Twitter. Ceux-là révélaient publiquement les détails d'un problème technique interne qui a empêché l'envoi de certains courriels par les clients de Vidéotron, à la fin du mois de mai.
Une menace plutôt maladroite, estime-t-elle, car les messages en question ont été publiés, à l'origine, par le compte même de Vidéotron sur Twitter. «Ça m'a surtout donné l'impression qu'ils allaient à la pêche, sans trop savoir ce qu'ils allaient tirer de mon entrevue», conclut celle qui, le lendemain, twittait de plus belle.
Un porte-parole joint a pour sa part indiqué que la Sûreté du Québec ne faisait «pas de commentaire sur une enquête en cours».
Diffamation par proximité?
En octobre dernier, la Cour suprême du Canada a décrété unanimement que le fait de publier un hyperlien menant à des déclarations diffamatoires n'était pas un acte diffamatoire en soi, et que la personne renvoyant au message ne pouvait être tenue responsable du message. Même si elle a été faite dans un contexte différent, cette déclaration vaut aussi dans le cas de Twitter et de Mme Paquette, estime Vincent Gautrais, professeur à l'Université de Montréal spécialiste du droit des technologies de l'information.
«Le fait de retwitter quelque chose, même si ce quelque chose est diffamatoire ou illicite, ne peut être considéré au premier abord comme une participation à l'action, explique-t-il. Dans ce cas-ci, on ne peut pas vraiment dire qu'il y ait eu incitation» de la part de Mme Paquette.
Les gens qui, comme cette dernière, craignent pour leur liberté d'expression sur les réseaux sociaux sont donc protégés par la loi. Cependant, «dans le cadre d'une enquête, il se peut très bien que des policiers questionnent une personne à propos d'une autre personne. C'est ce qui semble être le cas ici», conclut M. Gautrais.

REF.:

jeudi 12 juillet 2012

Ce que le web dit de vous ,.................une joke ?

GoogleMii : découvrez ce que le web dit de vous

Le monde d’Internet se divise en deux catégories. Ceux qui font attention à ce qu’ils disent, et les autres. Mais même quand on essaie de se construire une identité numérique solide, on n’a pas toutes les clés en main pour projeter exactement l’image souhaitée. Certes, on maitrise certains profils et contributions, mais on n’est pas maitre de ce que disent les autres de nous. Comment faire un point et connaitre l’image que l’on projette de manière objective ?
Un site permet de répondre à cette problématique de manière ludique et en quelques lcics seulement. Le service s’appelle Google Mii et est proposé par l’agence iProtego. Difficile de faire plus simple à utiliser : vous entrez votre nom, vous spécifiez un thème et une couleur de fond, et le site va allez chercher parmi les résultats les mots clés les plus courants rencontrés quand on parle de vous. Le résultat se présente sous la forme d’un nuage de tags comme celui-ci :

Les résultats sont plutôt pertinents pour ma part, en remontant mon pseudo « Modérateur », mon métier « Community manager », ma société « Regionsjob » et ma binôme sur le blog « Anne-Laure Raffestin ». L’exercice est plutôt sympa à faire, à qui le tour ?


REF.: blogdumoderateur.com

mercredi 13 juin 2012

Réseaux sociaux: D'ici 2015, plus de 60 % des entreprises surveilleront l'activité de leurs employés

Big Brother au bureau - Votre patron veut en savoir plus sur vous
 
Photo endostock - Fotolia.com

D'ici 2015, plus de 60 % des entreprises surveilleront l'activité de leurs employés sur les réseaux sociaux, d'après une étude récente du cabinet Gartner.
Les entreprises y ont recours pour s'assurer que leurs employés ne divulguent pas d'informations confidentielles qui puissent porter atteinte à leur marque ou à la sécurité informatique de leurs sites sur les réseaux sociaux.
Ces derniers temps, la presse américaine rapporte que certains employeurs iraient jusqu'à demander les codes d'accès (identifiants et mots de passe) aux réseaux sociaux de leurs employés en poste et de candidats à l'embauche, même si ce genre de pratiques peut leur coûter cher devant un tribunal.
Les employés ne doivent sous aucun prétexte accepter de divulguer ses identifiants et mots de passe sur Facebook or Twitter.
Andrew Walls, du cabinet Gartner, rappelle que la pratique ne concerne qu'une poignée d'entreprises, avant d'ajouter que «même si cette pratique spécifique va s'étioler avec le temps, les employeurs continueront de chercher à avoir plus de visibilité sur les conversations de leurs employés, de leurs clients et du grand public sur les réseaux sociaux, lorsque les sujets abordés intéressent l'entreprise».
Selon Allen Ackerman, un expert en recrutement sur les médias numériques à l'Agence américaine Magnet, quelques cas isolés ne suffisent pas à révéler une tendance sur les demandes de mots de passe Facebook et Twitter à l'embauche.
«La pratique n'est pas courante (et probablement pas légale). [...] Cela constitue clairement une atteinte à la vie privée», précise-t-il, avant d'ajouter que les messages publics sont une autre histoire.
Que cherchent donc les recruteurs lorsqu'ils cherchent votre nom dans Google ou qu'il jettent un oeil à vos messages publics sur les réseaux sociaux?
Selon Ackerman, «Nous vérifions toujours les profils LinkedIn qui sont représentatifs du résau professionnel du candidat. C'est une bonne chose de voir les contacts qu'on a en commun et les personnes qui les ont recommandées. On ne regarde pas Facebook mais on jette un oeil à Twitter et aux blogues.
Nous estimons que FB est un réseau plus personnel. De nos jours, il est impératif de se rendre compte que tout ce que l'on met en ligne sera accessible à tous les internautes, donc si vous envisagez de vous lancer dans une carrière professionnelle, mieux vaut réfléchir à deux fois avant de poster une photo de soirée à thème».


REF.:

vendredi 15 juillet 2011

Donne moué un L ,donne moué un 0,donne moué un autre 0 ...... kessé sa fa ?



La lettre L, du looser internet ,c'est quelqu'un qui soigne sa personne ,son Body comme dirait l'autre et qui se fou des conséquences !
Le gars qui parle en LOL,qui donne son numéro de cellulaire en ligne sur Facebook,qui donne son adresse ,et qui sait pas pourquoi son ordi va mal et qui reçoit de la pizza chez eux !
Y a de quoi faire de l'urticaire sévère ;-) C'est monsieur Sourire LOL,qui veut des amis inconnus dans sa chambre au pire,dans ses toilettes !

Copie ça sur ton mûr de gyproc LOL ;-) et souriez vous aurez plein d'amis !

REF,: Google est ton ami et Facebook est ton enemi !