Ça donne des problêmes,comme ci-dessous,............................et c'est surtout que personnes veut laver,frotter,et si c'est brun et que sa pue c'est pire,alors quand tout le monde dit que c'est pas sont tour et qui sont pas payés pour nettoyer..............ça donne de beau gâchis.
Accusant les inspecteurs du ministère de la Famille de vouloir «nuire» aux garderies par des inspections trop sévères, l'Association des garderies privées du Québec (AGPQ) prépare une vaste offensive, pour «rétablir sa crédibilité» aux yeux des parents.
Sans avoir obtenu l'accord préalable de Québec, l'AQPE commencera dans les prochaines semaines à publier sur son site Web des versions «commentées» des rapports d'inspection, afin de démontrer son mécontentement à l'égard du travail effectué par les inspecteurs du ministère de la Famille.
«Je suis tanné des rapports d'inspection négatifs qui font passer les propriétaires de garderies pour un gang d'incompétents. On a fini de faire rire de nous autres», rage le président de l'AGPQ, Sylvain Lévesque.
Au lendemain de la parution d'une compilation effectuée par le Journal sur les garderies les plus négligentes en matière de propreté et de sécurité, ce dernier tient à mettre les pendules à l'heure.
«Ça va faire. Ça existe des garderies à but lucratif debonnequalité.Oui, ilyadesendroits horribles qui font l'objet de plaintes à répétition, mais ce n'est pas généralisé», soutient M. Lévesque, qui compte indiquer sur les rapports qu'il rendra publics les faits qu'il considère comme étant «erronés».
Des dizaines de garderies outrées
Depuis novembre 2009, les parents peuvent accéder à un sommaire des rapports d'inspection réalisés dans des Centres de la petite enfance (CPE) et garderies, par l'entremise du site Internet du ministère de la Famille.
Ces sommaires contiennent les manquements faits à la Loi sur les services de garde, mais ne sont pas accompagnés de justifications. C'est justement ce qui met en rogne les garderies privées.
«Il y a beaucoup de place à l'interprétation, si on n'explique pas pourquoi tel ou tel règlement a été enfreint», croit Sylvain Lévesque.
«Par exemple, si l'inspecteur passe le doigt sur un rebord d'une fenêtre que j'ai époussetée il y a deux jours, c'est sûr qu'il va trouver de la poussière, poursuit ce dernier. Ça ne veut pas dire pour autant que je n'époussette jamais ma garderie. Or, dans le rapport d'inspection, il sera écrit que je suis malpropre.»
Des inspecteurs zélés
Selon le directeur général de l'AGPQ, Jean-François Belleau, l'association recevrait chaque semaine les doléances de dizaines de garderies, «paniquées» à l'idée que leur rapport d'inspection leur fasse mauvaise presse auprès des parents.
«On constate présentement une recrudescence dans la sévérité des inspections, en raison du nombre élevé de nouveaux inspecteurs sur le terrain», affirme-t-il.
«On voit des cas ridicules. Par exemple, dans une garderie, la solution de désinfectant à jouet (spray) est rangée dans la salle de bain du personnel, qui est verrouillée en tout temps. Une éducatrice a laissé une fois son sac à main sur la même tablette», raconte-t-il.
«L'inspectrice a donné un manquement à la garderie puisque : «la bouteille pourrait tomber sur le sac à main, se vider dans celui-ci, contaminer un éventuel paquet de gomme à mâcher, et lorsque l'éducatrice prendrait une gomme, elle pourrait s'intoxiquer.» C'est ridicule !»
Les inspections de permis ont généralement lieu dans les six mois suivant l'émission d'un permis, ainsi qu'au cours des deux années précédant le renouvellement du permis.
À la suite d'une inspection, les services de garde fautifs doivent produire un «plan d'action » qui permet généralement de corriger les irrégularités constatées.