Chacun se pose une question sur la façon de hacker le compte Facebook
et les gens ordinaires demandent comment sécuriser le compte Facebook,
entre le piratage et la sécurité, ils sont un long chemin à parcourir! En
2016, les méthodes de Hacking sont développées et de sécurité, et
Hacking Facebook compte aujourd'hui l'une des principales questions sur
Internet. C'est difficile à trouver, mais les chercheurs se sont révélés en
prenant le contrôle de n'importe quel compte de FACEBOOK avec seulement
le numéro de téléphone de la cible et certains hackingskills.Oui,
votre compte Facebook peut être piraté, quel que soit le degré de
sécurité de votre mot d'ordre ou la quantité de mesures de sécurité
supplémentaires que vous avez prises. Sans blague! Même
lorsque les utilisateurs ont choisi des mots de passe forts et pris des
mesures de sécurité supplémentaires, leurs comptes Facebook FB -0,29%
ne sont pas sécurisés contre les pirates informatiques. Les pirates ayant des compétences pour exploiter le réseau SS7 peuvent pirater votre compte Facebook. Tout ce dont ils ont besoin, c'est votre numéro de téléphone. Les chercheurs de Positive Technologies, qui ont récemment montré
comment ils pouvaient détourner les comptes de WhatsApp et Telegram, ont
maintenant donné la démonstration du piratage de Facebook en utilisant
des astuces similaires, a rapporté Forbes.Qu'est-ce que SS7? Le
système de signalisation n ° 7 (SS7) est un ensemble de protocoles de
signalisation de téléphonie développés en 1975, qui sert à configurer et
à détruire la plupart des appels téléphoniques publics de réseau
téléphonique public (RTPC). Il effectue également la traduction de numéros, la portabilité des
numéros locaux, la facturation prépayée, le service de messages courts
(SMS) et d'autres services de marché de masse.Qu'est ce que SS7 fait normalement? SS7
est un ensemble de protocoles permettant aux réseaux téléphoniques
d'échanger les informations nécessaires pour transmettre des appels et
des messages texte entre eux et pour assurer une facturation correcte. Il permet également aux utilisateurs d'un réseau de se déplacer sur un
autre, par exemple lorsqu'ils voyagent dans un pays étranger.SS7 est depuis longtemps connu pour être vulnérable, malgré le cryptage le plus avancé utilisé par les réseaux cellulaires. Les défauts de conception de SS7 ont été en circulation depuis 2014
lorsque l'équipe de chercheurs de German Security Research Labs a alerté
le monde.Voici comment bloquer tout compte Facebook: L'attaquant doit d'abord cliquer sur le lien "Mot de passe oublié?" Sur la page d'accueil de Facebook.com. Maintenant, lorsqu'on lui demande un numéro de téléphone ou une
adresse email lié au compte cible, le piratage doit fournir le numéro de
téléphone légitime. L'attaquant dévie alors les SMS contenant un code d'accès unique (OTP)
sur leur propre ordinateur ou téléphone et peut se connecter au compte
Facebook de la cible. Vous pouvez regarder la démonstration vidéo qui montre le hack en action. Le problème affecte tous les utilisateurs de Facebook qui ont
enregistré un numéro de téléphone avec Facebook et ont autorisé Facebook
Texts. Outre Facebook, le travail des chercheurs montre que tout service, y
compris Gmail et Twitter, qui utilise des SMS pour vérifier ses comptes
d'utilisateurs a laissé des portes ouvertes aux pirates pour cibler ses
clients. Bien que les opérateurs de réseau ne parviennent pas à réparer le
trou quelque temps prochain, il y a peu d'utilisateurs de téléphones
intelligents qui peuvent le faire.
Ne reliez pas votre numéro de téléphone aux sites de médias
sociaux, plutôt que de recevoir uniquement des courriels pour récupérer
votre compte Facebook ou d'autres médias sociaux. Utilisez l'authentification à deux facteurs qui n'utilise pas de SMS pour recevoir des codes. Utilisez
des applications de communication qui offrent un «cryptage de bout en
bout»(comme signal) pour chiffrer vos données avant de quitter votre téléphone
intelligent par rapport à la fonction d'appel standard de votre
téléphone.
Monsieur,...............Pacifique Plante,un exemple parmis tant d'autres qui se répette !
avocat et policier canadien:
Pacifique Plante (né le à Montréal[1], mort le [2] à Guadalajara), surnommé Pax Plante, est un avocat et un policier. Il est célèbre pour ses actions contre le crime organisé à Montréal pendant les années 1940 et les années 1950 et contre la corruption dans l'administration municipale.
Avocat de formation, Pacifique Plante devient greffier
à la Cour municipale de Montréal en 1937. Il constate alors la
corruption qui sévit dans les services municipaux. La situation avait
été dénoncée en 1934 par un rapport qui déclarait que Montréal était une
« ville ouverte » pour le « vice commercialisé »,
comme on appelait alors le crime organisé. Il sévissait sous la forme
de maisons de jeu illégales, de débits de boisson clandestins et d’un
réseau de prostitution centré sur le quartier du Red Light.
En 1945, une Ligue de vigilance sociale, appuyée par l’archevêque de Montréal, monseigneur Joseph Charbonneau,
commence à revendiquer la tenue d’une enquête sur la corruption dans le
service de police. Plante commence, à la même époque, à faire pression
pour que des poursuites soient intentées de façon sérieuse contre les
patrons du crime organisé. En 1946, l’assassinat, en plein jour, du « roi du jeu »
Harry Davis, crée un émoi dans le grand public. Le directeur du comité
exécutif de la ville, J. Omer Asselin, nomme alors Pacifique Plante, que
le public surnomme « Pax » (mot latin signifiant paix), chef de
l’escouade de la moralité. Elle était notoirement la plus corrompue du
service de police.
Plante entreprend une série de descentes spectaculaires dans les
établissements clandestins. Il y invite la presse pour donner le maximum
de publicité aux opérations et pour faire connaître les visages et les
noms des coupables. Quelques clients arrêtés se trouvent être des
personnalités connues. Il demeure en poste 18 mois et est suspendu (mars
1948), puis congédié avec fracas (mai 1948), le chef de police Albert
Langlois prétextant l'inconduite d’un agent de l’escouade. La population
y vit un congédiement politique. Plante se met alors à publier, dans le quotidien Le Devoir, une série d’articles intitulée Montréal, ville ouverte, dans lesquels il décrit le modus operandi des différents réseaux de bookmakers, de souteneurs et de bootleggers
de la ville. Les articles, publiés en feuilleton de novembre 1949 à
février 1950, démontrent que tous ces réseaux ne pouvaient exister
qu’avec la complicité des autorités.
Jean Drapeau et Pacifique Plante en 1954
Le docteur Ruben Lévesque fonde en mars 1950 le Comité de moralité publique. Ce comité, avec l'aide d’un jeune avocat du nom de Jean Drapeau et grâce aux informations amassées par Plante, demande et obtient de la Cour supérieure du Québec,
une enquête publique pour juger des accusations visant 58 officiers de
police et 5 politiciens du comité exécutif de Montréal. L’enquête Caron,
du nom du juge qui la préside, dépose son jugement le .
20 officiers de police, dont les chefs Dufresne et Langlois, sont
blâmés et, dans certains cas, condamnés à l'amende et déclarés inaptes à
occuper une charge municipale. Le jugement tombe alors que Jean Drapeau
fait campagne pour être élu à la mairie lors de la prochaine élection
municipale, prévue pour le 25 octobre[3].
Candidat de la Ligue d'action civique, il profite de l’effet Caron et,
avec un programme de « nettoyage » de la ville, devient maire de
Montréal. Aussitôt, Pacifique Plante retrouve le poste de chef de
l’escouade de la moralité.
Une vague intense de répression contre les maisons de jeu (« barbotes »), les bordels
et les débits de boisson clandestins (« blind pigs ») s’ensuit. Ces
actions ne se sont pas sans un effet dépressif sur l'ensemble des cabarets montréalais alors en pleine effervescence.
Le milieu n’a cependant pas l’intention de se laisser faire : en
1955, on lapide la maison du maire, des coups de feu sont tirés en
direction de Plante, sans l’atteindre toutefois, et Ruben Lévesque est
assailli et battu. Une certaine presse à sensation s’attaque violemment à
l’administration et, en 1957, après une élection entachée
d’irrégularités, Drapeau est évincé de l’hôtel de ville et remplacé par Sarto Fournier. Plante est congédié de nouveau. Il lui faut quitter le pays et il vit dans une semi-clandestinité au Mexique
le reste de sa vie. Les activités du crime organisé se poursuivent dans
un contexte changeant, au milieu de fréquentes et meurtrières guerres
de gang.
En 1960, Drapeau revient au pouvoir et il y reste plus de deux
décennies. Le crime organisé est muselé à des degrés variables, mais
jamais éradiqué. Plante ne revient qu'occasionnellement au Québec pour de très brefs séjours, entre autres à l'époque de la Commission d'enquête sur le crime organisé (CECO), dans les années 1970. Il meurt au Mexique en 1976.
Pax Plante, Montréal sous le règne de la pègre, Éditions de l'Action nationale, Montréal, 1950 (livre réunissant les articles de Pax Plante publiés dans Le Devoir).
Alain Stanké et Jean-Louis Morgan, Pax, lutte à finir avec la pègre, Éditions La Presse, Montréal, 1972, 251 pages.
Mathieu Lapointe, Nettoyer Montréal. Les campagnes de moralité publique, 1940-1954, Éditions Septentrion, Québec, 2014, 400 pages.
En 2017:
Beaucoup d’enquêtes, peu de résultats
(NDLR: Le problême est en haut ,très haut dans la pyramide!)
Le Journal de Montreal
ERIC THIBAULT
Quatre
policiers sur cinq visés par une enquête criminelle des affaires
internes du SPVM ne sont jamais accusés. Et plus de la moitié de ceux
qui doivent comparaître devant un juge seront finalement acquittés.
Ces
données pour le moins surprenantes sur la performance de la
controversée Division des affaires internes, et dont Le Journal a pris
connaissance, sont compilées dans le rapport annuel de 2016 du SPVM.
On
y apprend notamment qu’entre les années 2012 à 2015, inclusivement, les
affaires internes ont ouvert des dossiers d’enquêtes pour des
allégations criminelles impliquant 168 policiers du SPVM.
Seulement 32 d’entre eux — soit 19% — avaient dû faire face à des accusations au palais de justice.
Au
moment où le rapport a été produit, soit au printemps 2016, onze de ces
32 policiers avaient été déclarés coupables, tandis que 12autres ont
reçu des verdicts d’acquittement.
LA BONNE FOI
C’est donc dire que les affaires internes ne «jouent» même pas pour une moyenne de ,500 devant les tribunaux.
Parallèlement
à ces dossiers criminels, les affaires internes ont aussi ouvert des
enquêtes disciplinaires concernant 299 de leurs quelque 4600 policiers
durant cette période. Les sanctions imposées au terme de ce processus de
discipline totalisaient 183 journées de suspension.
Dans
son rapport annuel de 2009, le SPVM expliquait par écrit qu’il gérait
la discipline «dans l’esprit d’un bon père de famille». Et que sa
«philosophie d’intervention» en la matière «met l’accent sur la bonne
foi» des policiers.
«Le leadership
provincial du SPVM en matière de traitement des affaires internes permet
de maintenir une équité dans le traitement de la Loi sur la police et,
surtout, de mettre en place des mécanismes pour éviter à ses ressources
humaines de se placer dans des situations risquées», peut-on lire dans
ce rapport.
Il y a fort à parier que le
SPVM ne se doutait pas que huit ans plus tard, tout le Québec, le
gouvernement et cinq autres corps de police s’intéresseraient autant aux
pratiques de ses «ressources humaines» à l’intérieur même de sa
Division des affaires internes.
NDLR:On dirait qu'un Juge fait une différence entre un
dossier Politique et Policier,surtout s'il y a des grosses Têtes , des
Politiciens et des Cadres d' impliqués ou la Mafia ?
A l'émissiopn JE: Au SPVM, fuites,faux rapports,campagne de salissage,le SPVM est ébranlé plus que jamais. On discrédite des policiers avec de faux rapports.La Mafia s'est infiltré dans les affaires minicipales(on se croirait en italie ou au Brésil),a ce moment est dans une crise sans précédent. c'était le début de la commission Charbonneau ,le SPVM
On a su que le policier Ian Davidson (La Taupe ?)avait tenté de vendre toute la liste des informateurs de police, a la Mafia.Règne alors au SPVM un climat de terreur et de règlements de comptes. Une guerre de clan fait rage !
En Janvier 2012,une voiture va chercher un policier
du SPVM,Pietro Poletti,il est au coeur de cette affrontement. On
l'amène au 20 ième étage de l'Hôtel Intercontinentale du vieux-Mtl
,chambre 2020
loué par Nicodemo Milano le 19-01-2012. A l'intérieure,les hommes les plus influent de la province: Marc Parent directeur du
SPVM,Jacques Duchesnau Chef de l'unité Anticollusion qui tire beaucoup
de ficelle,Nicodémo Milano enquêteur spéçialisé dans les affaires
Mafieuses et Pietro Poletti. Il y a deux clans dans cette rencontre:
Ceux qui veulent blanchir Poletti d'allégations criminels dans ce qui serait contenu dans un faux rapport ,rédigé par un clan adverse.Un faux rapport c'est grave et c'est pas la seule fois ou ça se serait produit. Et ceux qui ont dénoncé ce faux rapport,ce sont les agents sonneurs d'alarme: Giovanni Di Feo et Jimmy Cacchione.Ils ont été patrouilleurs,agents doubles,responsables d'enquêtes sur les Hell Angels et la Mafia, les deux ont plus de 57 ans aux total en expérience.Selon eux ça commencé en 1990,ils étaient catalogués comme des gars de la Mafia par les policiers et même par les câdres du SPVM. Ça vraiment commancé en 2012,lorsqu'ils ont dit que un certain policier était corrompu et que la GRC les auraient mit sur écoute pendant ce temps la.La GRC avait intercepté des communications avec le policier Correti et le scandale de BCIA qui aurait des pratiques douteuses(racculé des compteurs automobile,engager des policiers retraités avec méthodes douteuses ,...). Correti avait été accusé de fraude avec BCIA,mais les procédures contre lui ont été abandonnées. L'ex-policier Claude Aubin aurait écrit le
16-10-2014,au Journal de Mtl que Di Feo aurait souvent accompagné le
fils de Correti a la sortie de l'école,alors que dans les faits Correti
n'a pas d'enfant !(NDLR On devine dans quel Clan est Au-bain). Pourquoi
ça ? ........................Parce que Cacchione et Di Feo l'avait (Claude Aubin)fait accusé d'avoir vendu des renseignements au crime organisé ,il y a 15 ans, il a plaidé coupable (Claude Aubin)!Ensuite Di Feo et Cacchione divulguent que : Des policiers recevaient de l'argent du crime organisé,anomalies dans le traitement des sources etc...
Un matin de Juin,ils sont convoqués au SPVM et sont congédiés ,aucune accusations criminels,12
accusations disciplinaires,aucune destitution(ce que voulait le
SPVM),ça se termine avec 50,000$ de frais d'avocats et un règlement a
l'amiable,dont les termes sont confidentiels,un règlement qui annule
toutes les procédures disciplinaires.Dans les déclarations assermentatées: les noms de Michael Ward,Pierre Brochet,Dominic Werotte,Michel Guillemette , apparaisse. L'ingérence de la direction du SPVM dans les enquêtes: Ils y a de la fabrication d'allégations,par lesquels on commance des enquêtes dans le but de museler des gens qui ont des choses a dire. Et que les directeurs adjoints du SPVM , connaissent cette façon de faire !!!
L'ancien enquêteur Roger Larivière ,le 09-10-2014 est attablé au Restaurant Eldorado de l'avenue Mont-Royal avec le commantateur Stéphane Berthomet(les Média). Ce que Larivière lui a dit ,c'était la même chose que la lettre sans réponse qu'il avait envoyé au Chef Marc Parent ,que les policiers des enquêtes internes du SPVM ne fesaient pas leur job . Le SPVM avait essayé de prouver que Larivière était un gars instable psychologiquement ,sans preuve. On enquête sur Larivière ,car il aurait eu accès a des documents d'enquêtes confidentielles et peut être transmis ces documents.
Un Policier haut dans la hyérarchie au SPVM(non identifié)aurait dit:
Le sort réservé,lorsqu'ont fait des allégations criminelles ou disciplinaires est variables,selon qu'ont soit ami du parti, c.a.d. dans les bonnes grâces du Chef ou l'inverse ! C'est dégeullase de la façon dont les enquêtes sont bâclées ,afin de satisfaire le désir de vengance des hauts dirigeants.
Les enquêtes internes fonctionnent encore comme ça ,comme dans les
années 50 , en trouvant un suspect qu'ont veut se venger puis ont tente
d'arranger ou de trouver des preuves pour l'accuser.
Le 10-11-2015,un policier porte plainte contre un haut gradé du SPVM
,pour une affaire d'entrave a la justice sur fond d'ingéreance
politique. Le 19Nov ont déclanche une enquête sur le policier qui a
porté plainte ,on retrouve que son collègue ,F. Djelidi planterait de
l'héroine dans les poches de revendeur de drogue afin de les faire
chanter pour recevoir de l'information;Alors que l'information avait
déja été fourni en Septembre 2015(2 mois avant) par une source codé du
SPVM (cette source avait des épisodes un peu parano selon le
SPVM),étrage !
Le SPVM a essuyer plusieurs revers avec les policiers: J. Cacchione,Di
Feo,Tony Bianco,Mario Lambert,Roger Larivière, André Thibodeau, toutes
des enquêtes dont les suspects ont été blanchis.
Selon Philippe Bensimon,Docteur en criminologie : tout est politique , rendu a un certain niveau.
Deux noms reviennent souvent: Costa Labos et Normand Borduas, enquêté par la SQ, ils seraient en lien avec la Mafia(NDLR: ou manipulé par la Mafia) , et c'est par eux qu'arriva le scandale d'espionnage des journalistes Patrick Lagacé et cie, ont voulait savoir qui était les sources des fuites journalistiques(NDLR: Giovanni Di Feo et Jimmy Cacchione).
La question: Est-ce que le SPVM fabriquerait de la preuve ? ...................... On connait déja la réponse dans le public !) REF.:
Il a été l'un des flics les plus décorés de l'histoire de NYPD. De ses parents «sages», il a appris le sens de l'honneur et de la loyauté. De ses collègues, il a appris le sens de la trahison. MAFIA COP : Son père, Ralph "Fat the Gangster" Eppolito, était un homme frappé par la Mafia en pierre. Lou Eppolito, cependant, a choisi de vivre selon un code différent; Il a choisi l'uniforme de NYPD. Et il était l'un des meilleurs - un bon, dur et honnête policier dans la ligne. Butu,
même son disque sterling, son héroïsme de tête, ne pouvait pas le
protéger quand le coréen de la police a décidé de l'arrêter. Bien
que complètement exonéré des accusations selon lesquelles il avait
passé des secrets à la foule, Lou n'avait pas de chance. Ils avaient pris quelque chose de lui qu'ils ne pouvaient rendre: leur dignité et sa fierté.Maintenant,
voici l'histoire puissante, racontée dans les propres mots de Lou
Eppolito, du coup de Mafia sanglant qui a réclamé son oncle et son
cousin ... de sa rencontre de milieu de nuit avec "Boss of Bosses" Paul
Castellano ... de Un
bon policier qui a survécu à huit tirs et a sauvé des centaines de
victimes, qui ont été persécutés, poursuivis et finalement trahis par
son propre département. Plein
de drame dur et de vérité ardente, Mafia Cop donne un regard vif et
intime sur la vie dans la famille, sur la force et sur les rues
méchantes de New York.
Comment l'argent neuf est-il introduit dans l'économie du Canada pour
soutenir la croissance? Voici la réponse de l'économiste François
Delorme, de l'Université de Sherbrooke.
Ca
semble bien différent de la création monétaire aux États-Unis; je peut
me tromper mais quand la Fed -imprime- de l'argent, cest le gouvernement
qui doit en dette cet argent a la Fed- et cet argent n'est pas
directement injecté dans l'économie réelle
par les banques mais dans les marchés ou ils semblent plus profitable
pour eux d'investir que par des prets aux PME ou au particulier- Cest
ce que j'entend comme définition au sujet des QE (quantitative easing),
concept jamais énoncé sur votre chaine. Au Canada les choses sont
tellement plus simples.
Le
problème c'est que chaque fois que une banque privée invente à partir
de rien 10$, elle demande 20$ en remboursement, mais les 10$ qu'elle
demande en intérêt n'existe pas alors impossible de rembourser la dette,
alors il faut réemprunter 10$ pour payer
les intérêts, mais maintenant on se retrouve avec une dette de 40$
(emprunt de départ 10$ + intérêt 10$ + 2eme emprunt 10 $+ intérêt 10$)
mais seulement 20$ existe sur les 40$ alors il faut réemprunter 20$
etc... C'est une dette exponentiel impossible à rembourser, hé oui voici
l'arnaque des banques. Écoutez "l'argent dette de Paul Grignon" 1h ou "le système bancaire pour les nulles" 7 min. Après vous allez comprendre "l'arnaque du siècle" 11min.
Le
premier mandat de la Banque du Canada, c'est de contrôler le volume et
la valeur de la masse monétaire, et non, comme plusieurs croient, de
fixer les taux d'intérêt. Or dans les pays industrialisés, près de 95%
de l'argent en circulation vient des banques
commerciales. C'est dire que les banques centrales n'ont vraiment plus
de pouvoir, sauf psychologique, leurs mouvements et déclarations servant
de prétexte aux spéculateurs.
(Extrait de mon livre L’argent des autres, disponible en librairie et sur Amazon.ca.)
J’en doute fortement.
Avant que ce cirque ne débute, j’avais déjà exprimé mes réserves. En 2011 j’écrivais : La Commission Gomery sur les commandites a changé quoi? La
commission Cliche sur la construction? (Pas grand-chose, de toute
évidence.) La Commission Bastarache? On aura droit à un gros spectacle,
on va en apprendre un peu sur les rouages du système, quelques personnes
seront éclaboussées, d’autres congédiées. Et quand ce sera fini, on
retournera s’obstiner sur la place ou non de Desharnais sur le deuxième
trio du Canadien. Je me méfie surtout des recommandations que ferait une
telle commission. Un p’tit 2 $ sur : plus de gouvernement, plus de
pouvoir aux fonctionnaires, plus de règles. Je ne m’étais pas trompé. Je comprends que les Québécois,
écoeurés par les histoires de corruption, avaient besoin qu’un tel
« procès » se déroule. Mais la suite était prévisible. Comme la drogue
La lutte à la corruption me fait penser à la lutte à la drogue. Dans les ghettos d’une métropole, des jeunes deal des
pilules ou de la poudre sur des coins de rues sales. Soudain des
policiers, après des mois de surveillance, sautent dans le tas. Et
réussissent à coincer deux ou trois revendeurs intermédiaires. On se
donne des tapes dans le dos, des high-five. Mission accomplie!
La semaine suivante un Ford Expedition noir aux vitres teintées
s’arrête au même coin de rue. Des jeunes à l’allure louche débarquent.
Le King du quartier est en prison, la place est libre. Une autre gang
prend le relais. Et le commerce reprend. Des nouveaux visages, la même
drogue, les mêmes junkies.
Tant que la drogue est disponible, des demandeurs vont échanger avec
des offreurs. Dans le cas qui nous occupe au Québec, la drogue, c’est
l’argent des autres. Plus il y a d’argent des autres disponible
(l’argent des contribuables), plus de gens corruptibles, et de
corrupteurs, se pointent le museau. La nature humaine
L’économiste et prix Nobel Milton Friedman disait qu’il existe quatre façons de dépenser :
1— Vous dépensez votre propre argent, pour vous-même : vous exigez le maximum pour votre argent.
2— Vous dépensez votre argent, pour un autre (ex: échange de
cadeaux) : vous cherchez le meilleur prix, mais vous portez parfois
moins d’attention à ce que vous achetez, que si vous l’achetiez pour
vous-même.
3— Vous dépensez l’argent des autres, pour vous : le prix vous importe peu, et vous vous payez le gros luxe.
4— Vous dépensez l’argent des autres, au profit d’un autre : vous vous souciez peu du prix, ou de la satisfaction de l’autre.
Le no 4, c’est ce que font la plupart des politiciens. Qui n’ont
souvent aucune idée de ce qui se passe dans leur propre ministère. On le
voit dans la construction, mais aussi dans le système de garderies, les
écoles, les hôpitaux, les milliards en subventions qu’on donne aux
entreprises.
On appelle ça la nature humaine. Traitez-moi de cynique, mais ce
n’est pas une commission qui va y changer quoi que ce soit. Ni de
nouvelles règles, que les bandits vont contourner dès le lendemain. Tant
qu’il y aura de l’argent des autres à dépenser, beaucoup d’argent des
autres, le problème va demeurer. MON LIVRE « L’ARGENT DES AUTRES » EST DISPONIBLE EN LIBRAIRIE DEPUIS LE 26 JANVIER, OU ICI: (VERSION PAPIER ET ÉLECTRONIQUE)