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vendredi 1 décembre 2017

Bitcoin: La volonté de se prémunir des risques d'une centralisation bancaire excessive



Le Bitcoin est né de la volonté de se prémunir des risques d'une centralisation bancaire excessive, et ce au cœur de la crise financière et la folie des produits dérivés. Voilà le Bitcoin en passe d'être à son tour soumis à la loi des produits dérivés ou subprime.

Technologie : Le ou les créateurs de la fameuse monnaie virtuelle voulaient tirer les leçons de la crise financière de 2008, provoquée par l'explosion des subprimes au nez et à la barbe des banques et de leurs clients. Et voici qu'ils reviennent par la porte du Bitcoin. Un signe de... crédibilité assure t-on.


Le cours du bitcoin s'est encore envolé la semaine dernière, dépassant les 7.300 dollars par bitcoin pour la première fois de son histoire. Le 30 octobre, son cours était de 6.300 dollars. Surtout, le cours du bitcoin a bondi de plus de 600% face au dollar depuis le début de l'année. La valeur du Bitcoin a explosé dernièrement, et mardi 28 Novembre, elle a franchi la barre des 10.000 $ l’unité pour la première fois, seulement deux jours après avoir passé les 9.000 dollars. La crypto-monnaie se négociait à 10.034 $ mardi 28, soit une augmentation de plus de 900% depuis le début de l'année.

 Les spéculateurs spécialisés dans le Bitcoin estiment néanmoins que la croissance n’est pas terminée. Le gérant de hedge funds, Mike Novogratz, a prédit plus tôt la semaine dernière que la cryptomonnaie atteindrait 10.000 dollars cette année. Quant à Thomas Lee de Fundstrat, il a doublé son objectif de prix à 11.500 $ d'ici mi-2018.La capitalisation boursière du Bitcoin, c’est-à-dire la valeur de l’ensemble des bitcoins générés dans le monde, s'élève désormais à près de 153 milliards de dollars. Une hausse considérable par rapport à 2016.

Evolution du cours du Bitcoin en fin de semaine dernière.
Une nouvelle performance portée par l'annonce de l'imminente mise sur le marché de contrats de futures sur la monnaie virtuelle par CME Group, le plus important marché à terme du monde. "Compte tenu de l'intérêt croissant des clients pour les marchés de crypto-monnaie (...), nous avons décidé d'introduire un contrat à terme sur le Bitcoin" a déclaré Terry Duffy, du Groupe CME.
"La mise en place du marché des Futures correspond à un réflexe très financiers. Jouer sur la différence entre le marché de stock et le marché à terme a toujours existé" explique à ZDNet.fr Pierre Paperon, cofondateur de Solid, société de conseil en technologies Blockchain. "Et le Bitcoin s'y prête très bien. Les marchés à terme adorent quand il y a de grosses volatilités" dit-il.

Les leçons de la crise de 2008 ?

Surtout, "avec les Futures, au lieu de se payer en Bitcoin, on ne prend pas le risque du change et on se paye en euros ou en dollars" analyse t-il avant de prévenir : "Le développement des produits dérivés signifie aussi qu'il y a désormais des visions très différentes sur l'évolution du cours du Bitcoin".
Reste que cette annonce est perçue comme un signe de légitimité donné par le monde de la finance traditionnelle aux monnaies virtuelles. Et propose un bien curieux flashback : au cœur de la crise financière de 2008 provoquée par des produits dérivés totalement irrationnels, un dénommé Satoshi Nakamoto, pseudonyme d'une ou plusieurs personnes, avait voulu réagir au danger d'une centralisation bancaire excessive en inventant une nouvelle monnaie, le Bitcoin. Un Bitcoin désormais lui aussi soumis à la loi des produits dérivés (dits aussi subprime).
De quoi lui donner donc un nouveau coup de fouet. Surtout que l'annonce d'un fork possible ce mois-ci joue en faveur de la spéculation. Mais ceci n'explique pas tout. "Il y a une attirance assez générale désormais pour le blockchain, sans compter l'engouement médiatique, et le phénomènes des ICO sur le Bitcoin et l'Ethereum" dit Pierre Paperon. Il juge que "plusieurs phénomène s’entrechoquent pour comprendre le cours du Bitcoin".

Le Bitcoin, un étalon or

"Le bitcoin est utilisé comme monnaie refuge et les monnaies virtuelles ont désormais une valeur crédible. Du fait de sa convertibilité en USD, le Bitcoin joue le rôle d'étalon or" dit-il. Surtout en Chine, où 70% du minage de Bitcoin est effectué.
La capitalisation boursière des cryptomonnaies atteint 172 milliards de dollars, le bitcoin représentant plus de 54% de ce total, soit 94 milliards de dollars. Chaque jour, la valeur en dollar des échanges de Bitcoin atteint environ 1,5 milliard de dollars.
Dès lors, qui pourrait modérer l'appréciation du Bitcoin ? "Pour moi il n'y a pas de plafond. Quand on regarde les sous-jacent, si on perçoit la technologie de blockchain comme une fintech, on s'aperçoit que l'on en est à 1% de développement de la technologie, et qu'il reste un potentiel de 99%" s'enthousiasme Pierre Paperon. Surtout que vient se greffer sur le marché du Bitcoin le système des ICO, qui stimule d'autant plus la valeur de la monnaie.
Une ICO (Initial Coin Offering) est une méthode de levée de fonds particulière. Elle fonctionne grâce à une émission d’actifs numériques (des tokens, ou jetons) qui peuvent être échangés contre des cryptomonnaies pendant la phase de démarrage d’un projet. La rareté des tokens est une condition déterminante du succès de l'opération : c'est cela qui détermine le fait que les premiers servis feront une bonne affaire.

 La Chine (c'est la qu'ont retrouve le plus de Bitcoin)et 20 autres pays asiatiques lancent une rivale à la Mondiale, en 2014 :
La  «Banque asiatique d’investissements dans les infrastructures» (AIIB) qui était dotée d’un capital initial de 50 milliards de dollars, et son siège sera situé à Pékin,poursuit son ascention, selon les médias officiels chinois.C'est actuellement,57 pays fondateurs dont la France.« En créant l'AIIB, la Chine a voulu mettre la pression sur les institutions existantes et proposer une solution alternative ", explique Sébastien Jean, le directeur du Cepii, le centre de recherche français en économie internationale. Au total, la deuxième puissance économique mondiale aura réussi à rassembler 57 pays « membres fondateurs », les Etats-Unis ayant échoué à freiner certains de ses alliés, comme l'Australie, la Corée et le Royaume-Uni. La France a fait le choix d'y adhérer juste avant la clôture de l'appel à candidatures. Le chiffre va désormais monter rapidement, renforçant la capacité d'investissement de cette banque de développement dotée d'un capital initial de 100 milliards de dollars.
La gouvernance de la nouvelle AIIB n'a pas encore été déterminée, bien que la Chine soit censée soutenir un partage de 75 % entre les membres asiatiques et 25 % pour les pays non-asiatiques, avec des droits de vote au sein de chaque groupe alloués en fonction du Produit Intérieur Brut (PIB). Avec cette structure de gouvernance, la Chine aurait 43 % des voix, près de cinq fois plus que l'Inde. Mais, les alliés des États-Unis — le Royaume-Uni, l'Allemagne, la France et d'autres nations européennes, l'Australie et la Corée du Sud dans l'Asie-Pacifique — auraient, ensemble, seulement 28 % des voix.
Le dernier jour avant la date limite pour devenir membre fondateur (31 mars 2015), les États-Unis, par l'intermédiaire du secrétaire américain au Trésor, Jacob Lew, annoncent leur volonté de coopérer avec l'organisation. À la fin du mois de mars 2015, les dirigeants du Fonds monétaire international, de la Banque mondiale et de la Banque asiatique de développement ont également exprimé leur désir de coopération avec cette nouvelle institution17.


L'ICO, plus rentable que le crowdfunding

A la différence des actions classiques, les tokens ne représentent pas des parts de l’entreprise. A l'image du modèle de crowdfunding, leur acquisition dans le cadre d'une ICO permet de pré-payer un produit ou un service qui sera développé ou commercialisé par l'organisation qui les émet. C'est aussi pour cette raison que les ICO sont aussi appelées crowdsales. Pour les startup, ce système de crowdsales permet de contourner le système classique de venture capital (capital-risque). Elles acceptent alors de lever des fonds en cryptomonnaies (Bitcoin ou Ether par exemple).
"Les ICO, c'est 200 millions d'euros (ndlr. en équivalent de monnaie virtuelle) levés l'an passé et 6 milliards d'ici à la fin de l'année. On aura rattrapé avec ce montant en une année ce qu'a fait le crowdfunding en 10 ans" dit Pierre Paperon. "Il y a un champs d'application vertigineux. Les plate-formes de monnaies virtuelles sont de plus en plus utilisées pour financer des projets de film, de bien être animal, ou encore des maisons médicalisées".

REF.:

samedi 5 août 2017

Faillite personnelle 101



Vous vous demandez si le retour des cours d’économie au secondaire, comme le souhaite le ministre Sébastien Proulx, est une bonne idée? Lisez l’histoire qui suit, que m’a racontée un conseiller financier cette semaine:
«Deux clients viennent me voir parce qu’ils ont de grosses dettes de cartes de crédit. Ils ont 28 ans chacun. Leur projet est de s’acheter une maison cet été. Je leur propose un plan d’action pour éliminer leurs dettes et ensuite commencer un plan d’épargne qui durera environ cinq ans, le temps d’accumuler leur mise de fonds de 20 % pour la maison. Mais quatre mois plus tard, j’apprends qu’ils ont déjà acheté leur maison!»
«La banque a approuvé un prêt hypothécaire avec 5 % de mise de fonds, et cette mise de fonds est financée par un prêt personnel à 9 % de taux d’intérêt. La banque leur a ensuite remis une avance de fonds pour les aider à rembourser leurs prêts personnels. Leur prêt hypothécaire est au taux de 4 % et ils ont plusieurs milliers de dollars en prêts personnels à 9 % d’intérêt.»
«Quand je leur ai demandé comment ils comptaient payer les taxes de bienvenue, scolaires et municipales, ils m’ont dit qu’ils mettraient tout ça sur leur prêt personnel et qu’ils allaient seulement payer les intérêts de ce prêt. Ces gens-là seront en faillite d’ici cinq ans, maximum...»
Des histoires comme ça, il y en a plus que vous pensez au Québec.
«Bulle automobile»
Et ce n’est pas seulement dû à la bulle immobilière. Il y a aussi une «bulle automobile» en ce moment. De 2007 à 2015, la valeur des prêts automobiles a presque doublé au pays, et totalise aujourd’hui plus de 120 milliards de dollars. Près de 40 % de ces prêts ont une période d’amortissement de 84 mois ou plus, selon l’Automobile Consumer Coalition. Les vieux bazous ont pratiquement disparu de nos routes, et tout le monde se promène en auto neuve... à crédit!
Des milliers
Ce n’est pas pour rien que, l’an dernier, plus de 46 000 consommateurs et entreprises ont déclaré faillite ou encore soumis une entente de paiement à leurs créanciers au Québec. Un record, écrivait récemment mon collègue Pierre Couture.
Et après ça, certains se demandent encore si c’est une bonne idée de remettre des cours d’éducation financière au secondaire? J’encourage fortement le ministre dans cette démarche. Qu’on enseigne les bases de l’économie et d’un budget, ça presse!

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mercredi 9 novembre 2016

Élection: Trump,.... "The show must go 0ff " !




Présidentielle américaine 2016: Quels défis pour ce prochain mandat?

ETATS-UNIS Relations avec la Russie ou la Chine, dette fédérale ou régulation de la vente d’armes pourraient s’imposer comme les enjeux majeurs du prochain mandat américain…


Fini le gros show,maintenant on fait face a la réalité des pauvres gens !
Trump et les républicains contrôle  le Sénat et la Chambre des représentants,ce que ne pouvait faire Obama,mais si Trump veut donner plus au peuple il faudra qu'il arrive a contrôler les Banques et de s'attaquer a la dette du pays! Comme son idole Ronald Reagan ,il devra nous donner un bon show ,
comme un bon gestionnaire et un justicier ! Il est temps que la corruption quitte la Maison Blanche,on ne veut plus de retour d'ascenseur ,de Paradis fiscaux, de pétrole ,de guerre,de faillite; en somme les Banque$ cause tout ces problêmes de fuite de capitaux eux-même ,par leurs intérêts aux profits !Le monde hispaniques est en train de montrer par leurs votes a Trump qu'ils devra donner aux pauvres ! Si on creuse encore le faussé
entre la pauvreté et la richesse , les USA devront imploser économiquement et socialement ! 
La question est de savoir si Trump est la pour s'enrichir ou enrichir le peuple ? Le paradis c'est pas pour mettre de l'argent,mais pour mettre toute votre Foi ! Si j'était un Américain ,je ne resterait pas dans un édifice Trump,car les Terroristes l'ont déja dans la mire .Trump a tout ce qu'il faut pour réaliser l'implosion de l'impérialisme américain et préparer l'âge d'or ésotérique , le fera-t'il !
        
  
 

  • Une diplomatie sous tension

Révolutions arabes, guerre en Syrie, annexion de la Crimée… Depuis la première investiture de Barack Obama en janvier 2009, les relations diplomatiques de la première puissance économique mondiale ont profondément évolué. « Les tensions au Moyen-Orient et les relations avec la Russie seront déterminantes dans les années à venir, analyse Jean Eric Branaa maître de conférences à l’université Paris-Assas, et auteur de Qui veut la peau du parti républicain (Ed.de Passy), Donald Trump estime qu’il faut travailler avec les Russes alors que Clinton veut replacer les USA au centre du jeu diplomatique. Sur la guerre en Syrie, la candidate démocrate a affirmé à plusieurs reprises qu’elle souhaitait agir dans le cadre d’une vaste coalition et produire davantage 'd’intelligence', c’est-à-dire mettre l’accent sur le renseignement ».

 Même constat pour Vincent Boucher, chercheur en résidence à l’Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand de l’Université du Québec à Montréal : « La lutte contre le terrorisme arrive en seconde position des préoccupations des Américains. Depuis le 11 septembre 2001, cette question s’est imposée comme enjeu incontournable de la politique intérieure et extérieure des US. Clinton plaide pour un sursaut en matière d’utilisation du renseignement, une position semblable à celle d’Obama. Trump lui est dans un autre registre (…) et se positionne comme soutien de Vladimir Poutine qu’il a qualifié de 'grand leader'. Sur la question de la lutte contre Daesh, Clinton est encline à la poursuite des frappes aériennes mais reste réticente à collaborer avec la Russie et ne cache pas sa méfiance quant aux revendications territoriales de Poutine ».

Les relations avec la Chine, accusée de manipulation monétaire par Trump, et soucieuse de conserver son ascendant militaire dans la région, pourraient également marquer ce mandat.
  • Régulation des armes et immigration

Pour Jean-Eric Branaa, la question de la régulation des armes pourrait s’imposer rapidement dans le débat politique, une fois l’investiture passée : « Aucun des deux candidats ne va limiter le 2nd amendement sur le port d’arme. On a tendance à penser que Clinton veut s’en débarrasser or c’est faux. Elle veut limiter la circulation des armes d’assaut, notamment les AK47, et restreindre le droit d’achat dans les foires aux armes.

 Autre thématique récurrente de la campagne, l’immigration, défi majeur de la politique intérieur américaine. « Ce peut être la grande réforme de Clinton là où Barack Obama a échoué avec le Dream Act puisque le Sénat n’a jamais voulu voter en faveur de ces mesures et a été contraint d’agir par décret », détaille Jean-Eric Branaa.



  • Un gouvernement fédéral endetté

Dernier point susceptible de peser lors de la prochaine mandature : l’équilibre budgétaire du gouvernement fédéral. Si le marasme de 2008 semble déjà loin - le mois dernier, l’économie américaine a créé 161.000 nouveaux emplois et le taux de chômage a reculé à 4,9 % - l’augmentation de la dette publique se poursuit. « On continue d’augmenter le plafond de la dette et ce plafond est constamment dépassé or cela peut nuire aux Etats-Unis à long terme. C’est un spectre qui plane au-dessus de chaque nouveau Président », précise Vincent Boucher.
En février dernier, la dette nationale des Etats-Unis a dépassé le cap symbolique de 19 mille milliards de dollars, ou 19 « trillions » de dollars. Pour l’heure, les Etats-Unis empruntent à des conditions extrêmement favorables auprès des marchés financiers mais un défaut partiel pourrait avoir des conséquences imprévisibles sur le coût de son financement. A l’été 2011, un précédent blocage sur le plafond de la dette avait conduit l’agence de notation Standard and Poor’s à priver les Etats-Unis de leur « triple A », gage de solvabilité maximale auprès des investisseurs.




vendredi 26 juin 2015

L’Islande a laissé ses banques faire faillite, et jeté des banquiers en prison. Et voici ce qui s’est produit



L’Islande a laissé ses banques faire faillite, et jeté des banquiers en prison. Et voici ce qui s’est produit
L’Islande, l’une des nations les plus touchées par la crise bancaire, semble avoir complètement surmonté ses problèmes, et cette année, elle devrait être le premier pays du monde frappé par la crise de 2008 à dépasser le PIB le plus élevé qu’il avait atteint avant cette crise, rapporte ZeroHedge. Le pays est parvenu à ce résultat sans sacrifier son système social et les dépenses du gouvernement. Il y a encore quelques années, l’Islande est arrivée au bord de la faillite lorsque ses banques, qui au fil des ans s’étaient montrées bien trop audacieuses, se sont trouvées en situation de quasi-effondrement.
Selon le Fonds monétaire international (FMI) l’Islande a réussi à se remettre totalement de la crise, sans avoir compromis son modèle social qui prévoit la gratuité des frais de santé et d’éducation. Le pays, qui ne fait pas partie de l’Union Européenne, n’a pu compter que sur lui-même pour se relever, et pour se faire, il a opté pour une approche très originale mais efficace.
A la différence des autres pays heurtés par la crise, l’Islande a laissé ses banques faire faillite, ne préservant que les comptes des ménages résidents. Les étrangers qui avaient placé leur argent dans les banques du pays ont tout perdu lorsque ces banques ont fait faillite. Ailleurs, dans le reste de l’Europe, de nombreuses banques ont été nationalisées car il n’était pas concevable qu’elles puissent faire faillite.
Le pays a également imposé des contrôles de capitaux. Par conséquent, les Islandais ne pouvaient plus investir ou placer librement leur argent à l’étranger, ce qui était, selon de nombreux économistes, contraire aux règles du marché libre. De plus, le pays n’est pas intervenu pour empêcher la dévaluation de la couronne islandaise, et il a toléré l’inflation. Celle-ci a provoqué une hausse des prix domestiques, mais elle a aussi eu pour effet de stimuler les exportations. Les pays de la zone euro ne pourraient tolérer une telle dévaluation ; celle-ci renchérirait les dettes nationales des différents Etats-membres.
Mais le plan semble avoir fonctionné. La dette nationale de l’année dernière ne représentait que 82% du PIB du pays, comparativement à 95% il y a quatre ans. À la fin de cette décennie, la dette devrait même continuer à baisser pour atteindre 54% du PIB. Le chômage a également baissé de façon spectaculaire, et actuellement, le taux de chômage s’établit à 4%, contre près de 8% en 2009.
De tels résultats soulèvent la question de la pertinence des politiques économiques qui ont été menées dans le reste de l’Europe ou aux États-Unis en réponse à la crise. Les banques n’auraient-elles pas dû supporter elles-mêmes les conséquences de la crise qu’elles avaient causée? D’après Zéro Hedge cette réussite contredit de nombreux économistes, notamment keynésiens, qui affirmaient que le soutien de l’économie était nécessaire pour sortir de la crise.
En outre, l’Islande a fait condamner les administrateurs de Kaupthing, l’une des principales banques de la nation, non seulement à des amendes, mais à des peines de prison allant de quatre à cinq ans. Lors de leur procès, le procureur spécial islandais Olafur Hauksson s’était posé la question de la responsabilité :
Pourquoi devrions-nous tolérer qu’une partie de notre société ne soit pas soumise à la règle de droit ou qu’elle puisse échapper à ses responsabilités? Il serait dangereux de laisser quelqu’un devenir trop gros pour devenir l’objet d’une enquête. Cela laisserait l’impression qu’il existe un refuge sûr ».
http://news360x.fr/lislande-a-laisse-ses-banques-faire-faillite-et-jete-des-banquiers-en-prison-et-voici-ce-qui-sest-produit/

mercredi 22 avril 2015

L'itinérance nous on connait ça : Au MEQ et a Revenu Québec


 Suivez-nous,.............Non c'est pas a vous de nous suivre ?.................Changez votre façon,car la nouvelle génération vous suivra pas !

Personne ne choisit de devenir itinérant.
Mais nous ont vous ignore,et on vous aide a le devenir!
Si vous nous appelez, écouter notre message répondeur: "Bonjour,votre argent est important pour nous !"
Car le Ministère de la Santé a visiblement manquer sa campagne publicitaire concernant le phénomène de l'itinérance au Quebec.
Personne n'est à l'abri de l'itinérance. Les personnes qui vivent dans cette situation ne sont pas nées itinérantes, elles le sont devenues. Consultez les pages suivantes pour en connaître davantage sur ce phénomène.

Et si personne n'aide les futurs étudiants et travailleurs du Québec , oui il y aura plus d"itinérance !


Si le Ournement donne des Prêts et bourses aux étudiants,et que pendant ce temps,les cie ne remboursement pas leurs prêts ? Pourquoi les cie du Plan Nord ,détruise nos ressources et notre environnement ,en partant sans rembourser leurs dettes ?
Pourquoi les Gouvernements cautionne les Paradis Fiscaux des Banques ?
On voit très bien c'est qui , qui mène !
Ou que les riches (le 1%)ne payent pas leurs impôts ?

En effet, Près de 450 contribuables gagnant plus de 250 000 $ par année ne payent aucun impôt, dénonce Québec solidaire, qui invite le gouvernement à mettre fin à cette «injustice fiscale».
La formation de gauche a interpellé vendredi le ministre des Finances, Carlos Leitao, sur la question des avantages fiscaux qui, selon elle, profitent principalement au 1 % des Québécois les plus fortunés.
S’appuyant sur le rapport «Statistiques fiscales des particuliers» publié par Revenu Québec, QS soutient que sur les 40 000 contribuables qui ont déclaré des revenus supérieurs à 250 000 $ en 2011, plus de 450 n’ont payé aucun impôt.


À la lumière de son rapport annuel 2014, qu’elle vient de publier, la Caisse de dépôt et placement du Québec continue d’investir dans des sociétés et des fonds d’investissement qui sont enregistrés dans des paradis fiscaux, comme les îles Cayman, les Bermudes, le Luxembourg, etc.
On parle de placements dont l’ordre de grandeur dépasse quelques milliards de dollars.
Éviter les impôts
Si la Caisse reste «active» dans les paradis fiscaux, sachez que c’est effectivement dans le but d’esquiver l’impôt, et ce, pour le bien-être de notre portefeuille! Voilà en gros comment je perçois les explications que la Caisse m’a transmises au sujet de ses placements dans les paradis fiscaux.
Ne criez pas au scandale! Pas tout de suite, à tout le moins. Le porte-parole de la Caisse, Maxime Chagnon, m’a expliqué que la Caisse, en tant que gestionnaire du bas de laine des Québécois, ne paie aucun impôt sur ses revenus de placement. Et ce traitement de faveur fiscal vaut non seulement pour le Canada, mais également aux États-Unis et en Australie, en vertu d’ententes fiscales entre les trois pays. Par ricochet, il en est de même pour les caisses de retraite américaines et australiennes.




Conclusion:
Donc ,un étudiant devrait faire payer ses impôts ,ses prêts et bourses par une cie ou sa propre cie,dont il ne serait pas responsable ! Pauvre Anik Dorval;-(


REF.:


dimanche 29 mars 2015

Pourquoi les cie ne paient pas d'impôt ?




Le Documentaire: 

"Le prix à payer"

Version en français
v.o.a. : The Price We Pay
v.o.a.s.-t.f. : Le prix à payer
Le film peut être vu sans risque par des personnes de tout âge.

Durée

1h33

Genre

Documentaire

Origine

  • Canada

Date de sortie au Québec

13 mars 2015

Synopsis

À une époque où les inégalités sociales entre les riches et les pauvres n'ont jamais été aussi prononcées, l'évasion fiscale est pointée du doigt. Plusieurs experts parlent de cette réalité d'ordre mondial dont la pierre d'assise se trouve dans le quartier financier de Londres. Depuis le démantèlement de l'État-providence au courant des années 80, un flou juridique permet à des entreprises de s'enrichir en payant peu ou pas d'impôts. Une tendance qui s'est accentuée avec l'avènement de l'Internet et qui menace la démocratie. Quelques citoyens proposent toutefois des pistes de solutions pour contrer ce phénomène avant qu'il ne soit trop tard.


REF.:

jeudi 26 mars 2015

Pourquoi il ne faut surtout pas rembourser la dette publique

Dans cette courte vidéo, Etienne Chouard et Jean-Baptiste Bersac nous parlent de ce qui arrive à chaque fois qu’un État essaye de rembourser sa dette publique :





Source.:

jeudi 8 janvier 2015

En attendant la première monnaie mondiale ?

monnaie-mondiale
the-economist-phoenix 

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L’espoir du Phénix peut déployer ses ailesDans les vastes déserts du cielEt, toujours, peut défier le destinRevivre, et renaître de ses cendres.(Miguel de Cervantès, Don Quichotte)monnaie-mondialeSi vous voulez bien on va laisser de côté les sempiternelles et bien pratiques suspicions et accusations de complot, conspiration, et autres façons de discréditer, souvent les tordus qui peuvent les inventer, mais aussi parfois ceux qui voient clair mieux que les autres et avant eux. Des complots de l’oligarchie il n’y a que ça depuis des lustres. Celle qui nous gouverne, qui nous tient à la gorge et nous rançonne, est super organisée et nous concocte des crises ainsi que de la dette souveraine qui nous rend esclaves, même si nous en sommes les honteux et pitoyables complices par notre consumérisme délirant. Elle consiste à nous priver de battre monnaie, lever une armée, édicter nos lois et diriger notre système d’éducation. Quatre choses que l’Europe, en exemple, nous enlève selon Marie France Garaud qui a tout-à-fait raison de le prétendre. La façon de recouvrer tout ça serait de sortir de l’Euro et de l’Europe. Mais ceci est une autre histoire qui mériterait un autre article sur la souveraineté perdue et l’impuissance crasse à agir sur notre destin national.Ne digressons pas, revenons à l’oligarchie ou si vous aimez mieux aux TPTB (the power that be), les globalistes ou à la cabale magnifiquement flanquée des banquiers internationaux tant l’argent est le dénominateur commun et l’arme totale. Avec un arsenal impressionnant à leur disposition. De la Réserve Fédérale, des autres banques centrales dont la Banque Centrale Européenne, de la Banque des Règlements Internationaux mère de toutes les banques mondiales et outil de prédilection de la cabale, du FMI, de l’Organisation du Commerce International, de l’Otan, etc. Même l’ONU, qui a du mal depuis près de 70 ans à excuser Israël pour leur action envers la Palestine. La Palestine qui a d’importantes réserves de pétrole prouvées dans ses eaux territoriales. Gageons que ça excite des convoitises et je vous laisse deviner de qui. J’en passe et des meilleures, comme le Council of Foreign Relations, la Trilatérale et le Bilderberg. Et avec leurs vassaux, l’Allemagne, le Japon, l’Europe, l’Angleterre et l’Australie pour ne citer qu’eux. Rejoints par la Pologne et les Pays Baltes. Les outils financiers de la cabale sont les QE, les quadrillions de dollars des dérivés et les taux d’intérêt au ras des pâquerettes ainsi que la manipulation des cours de l’or et de la bourse. Mais le règne du dollar et aussi des États-Unis est essoufflé, fini, usé, consumé, pulvérisé. D’où la nécessité pour la cabale de le sacrifier pour les SDR (DTS) et donner un rôle nouveau et central au FMI.Le bon DSK était trop socialiste, concerné un peu plus par les moins riches que la cabale et correspondait mal au rôle nouveau du FMI que les globalistes ourdissaient. Exit DSK via peut-être ses instincts mal maîtrisés semble t’il, mais surtout grâce à ce qui peut faire penser à un piège pratique et fort à propos pour se débarrasser d’un directeur gênant. Il ne le dira pas que sa qualité de directeur peu docile du FMI lui a coûté tous ces ennuis judiciaires, et son partenaire dans la banque commune de ces deux associés vient de sauter d’une fenêtre élevée. Malheureusement les vingt étages l’ont tué. D’autres banquiers sont morts dans cette période de transition vers un nouvel ordre mondial accru, et la fréquence des accidents mortels exclut la coïncidence.the-economist-phoenixIl ne fait pas bon non plus suggérer de remplacer le dollar par d’autres monnaies et le patron de total, Christophe de Margerie, qui l’a crié sur les toits, a rencontré un chasse-neige sur la trajectoire de son avion au décollage alors qu’aucune neige obstruait la piste en automne. Çà n’a pas été relevé par les supporters des équipes de foot ou les clients de la malbouffe, c’est l’essentiel, on a eu chaud. Çà aurait fait mauvais genre pour la bien-pensance et les dictateurs intéressés de la pensée qui empêchent le débat. Ce grand patron a rejoint Saddam et Kaddafi qui eux aussi ont contourné l’obligation de commercer le pétrole en pétrodollars. Non, je ne compare pas ces gens entre eux, mais ils sont sans doute morts pour les mêmes raisons. Non, je ne suis pas non plus adepte des théories de la conspiration, même si je dénonce des faits qui y ressemblent fort. Je joins quand même une audio fort instructive de Kennedy avant sa mort. Je salue sa mémoire, lui qui avait tout compris dans le début des années 60. Il en est mort car vous ne croyez tout de même pas que Lee Harvey Oswald l’a trucidé, non ?Le cas des Etats-Unis est ambigu car si eux aussi sont globalistes, surtout les néo-conservateurs de Washington, la cabale ce n’est pas eux en premier, même s’ils en font partie pour certaines choses. Il y aurait une encyclopédie qui serait nécessaire pour expliquer à certains esprits confus en quoi ils sont différents, souvent alliés mais aussi souvent ennemis jurés. Prenons l’exemple de l’Ukraine. L’Amérique veut les sanctions et la guerre, pas la cabale. Voir les prises de position de Kissinger et celles, opposées sur le sujet, de George Soros. Voyez les mots très durs d’Hillary Clinton et de Dick Cheney, tous deux cabalistes, sur Obama l’Américain et sa façon débile de gérer l’international. Presque tous, parmi les plus éclairés pourtant des blogueurs Internet, ne savent ni faire la distinction, ni connaissent la dichotomie de ces deux clans de super puissance. Cette méconnaissance les amène à affaiblir leurs analyses et tout confondre.C’est ce que l’avenir proche va nous démontrer dès 2015 avec la chute du dollar US et les Droits de Tirage Spéciaux du FMI, ainsi que la déconfiture intégrale des États-Unis qui les mène au désastre social et à la ruine du pays. Autant pour les vendus aux thèses américaines, notamment les Européens fourvoyés dans la défense et la protection des intérêts d’un empire américain en décomposition. Il y aura très vite des lendemains qui déchantent pour les Polonais et Ukrainiens de Kiev, pour qui les États-Unis sont les maîtres. À cet effet, ce que fera l’Allemagne envers l’Europe sera déterminant. Et la France qui suivra. Le fameux ‘couple Franco-Allemand’, une fumisterie défendue par des politiciens fourvoyés et des journalistes comme Jean Quatremer. Tant qu’on aura des pseudo journalistes comme Laurent Joffrin ou David Pujadas, on se fera farcir la tête de désinformation manipulée. Un premier acte de liberté serait de virer ces gens là. Les États-Unis et l’Europe seront bientôt défunts, les États-Unis par les soins de la cabale et l’Europe par les peuples.Une autre arme redoutable pour la cabale est la presse grand public, âme damnée de celle-ci sur laquelle est exerce un contrôle total, et aussi, on l’oublie trop souvent, une bonne part des sites et blogs Internet. Ne soyons pas naïfs, la cabale a miné l’Internet et planté sa manipulation là comme ailleurs. Un conseil : en lisant un article, avez vous affaire à un menteur (lier), un raconteur d’histoires (story teller) ou à un chercheur de vérité (truth seeker). Vous verrez, cette classification va vous aider à éviter les pièges de la manipulation qu’on connaît depuis Goebbels. Faites aussi le distinguo entre USA et cabale.Mais revenons au phénix, aux SDR, et à l’émergence d’une monnaie mondiale. Le FMI avait publié un long essai il y a une dizaine d’années sur l’intérêt de créer la monnaie mondiale pour les réserves de change par les DTS (SDR). Déjà, le 9 Juin 1988, le journal ‘The Economist’ avait déjà publié un long article ‘Soyez prêts pour une monnaie mondiale’. En couverture un phénix qui piétinait un tas de billets de différents pays en train de brûler, symbole de la monnaie fiduciaire et qui annonçait cet événement, qui semblait farfelu à cette époque, pour 2018. Notez que le phénix porte une couronne qui symbolise sa qualité de roi et une pièce sur la poitrine avec justement la date de 2018. Tiens tiens ! Quand je vous dis que les événements à venir projettent leur ombre en avant… Çà prouve que l’œuvre de la cabale est de longue haleine, planifiée, inexorable. Numérotez vos abatis. Si vous croyez que la révolution Française vous a acheté la démocratie ou que vos syndicats et vos grèves et même vos votes vous protègent du rouleau compresseur. Comme disait Hollande avant son élection pour vous enfumer « mon ennemi c’est la finance ». Ouaf ouaf ! Faut oser !imf-phoenix-risingLes cabalistes sont des psychopathes qui rêvent du nouvel ordre mondial. Une monnaie unique, un gouvernement unique. La disparition de la souveraineté des pays, un pouvoir économique réservé aux plus riches, les taches de production mal payées à des travailleurs des pays pauvres mêlés par émigration ou compétition aux travailleurs qui un temps s’étaient organisés par le Front Populaire et les avancées sociales. Chaque année qui passe érode nos libertés.Il est temps de parler des SDR et je vous suggère de lire, comme introduction sur le sujet, mon article « vous avez dit DTS ou SDR et FMI » pour lequel j’ajoute ici certains éclaircissements.Le nouvel ordre mondial des cabalistes, dont le renouveau des SDR est une composante majeure, signifie de sacrifier États-Unis et dollar US. Les deux ont bien servi en leur temps mais il est révolu. Le rôle du dollar a été de centraliser toutes les banques centrales sous la coupe de la Banque des Règlements Internationaux (BIS) et d’exporter son inflation (celle des USA) vers tous les pays sous forme de la dette souveraine. Ces dettes seront consolidées grâce aux SDR. Les 3000 milliards de dollars US de cash et de treasuries US (bons du trésor à 5, 10 ou 30 ans) que la Chine détient seront compensées par leur part dans les SDR de la Chine. La Chine a acheté pour un peu plus de 700 millions de dollars l’immeuble de JP Morgan et il est vraisemblable qu’elle achètera JP Morgan et la Fed. Je sais ça semble incroyable. Toutes les monnaies seront en parité étroite (peg) avec les SDR, et les ressources (commodities) le seront aussi. D’où le fait que presque toutes les banques se sont déjà retirées du marché des commodités, de la Deutsche Bank à JP Morgan. Presque seule, Goldman Sacks a gardé ce segment.Vous me direz qu’une monnaie fiduciaire qui fait un effet de levier en l’imprimant à bon compte, le dollar, va être remplacée par les SDR, qui est la même chose et sera imprimée à outrance par le FMI. Çà marchera 10 ou 15 ans, en attendant la première monnaie mondiale, peut-être basée sur l’or.Les BRICS(Brésil, Russie, Inde et Chine (remplacé le 14 avril 2011 par le BRICS depuis l'adhésion de l'Afrique du Sud - ajout du S de South Africa - à ce groupe)) sont demandeur d’une réforme en Juillet 2015 du FMI, ce qui leur donnera un plus grand poids international dans la gouvernance du monde. La cabale aussi mais pas les USA qui verront leur puissance au FMI diluée. Ils traînent les pieds depuis 2010 et le Congrès n’a toujours pas ratifié l’accord.Même sans, les réformes se feront avec un plan B de la cabale, que j’ai expliqué en annexe de mon article précédent.La référence à l’apparition du Phénix n’est ni une illusion ni une fausse info. Le grand œuvre des âges modernes est né d’une divergence fondamentale entre ignorance et savoir.J’espère que vous me cataloguerez dans les truth seekers et pas les story tellers. Mais ça c’est l’avenir proche qui vous donnera la réponse. Je ne résiste pas, pour finir ma diatribe, à citer ici Channing, dont je crois avoir adopté depuis bien longtemps les principes :
 “To live content with small means; to seek elegance rather than luxury, and refinement rather than fashion; to be worthy, not respectable, and wealthy, not rich; to listen to stars and birds, babes and sages, with open heart; to study hard; to think quietly, act frankly, talk gently, await occasions, hurry never; in a word, to let the spiritual, unbidden and unconscious, grow up through the common — this is my symphony”. WILLIAM HENRY CHANNING

Source.: 

jeudi 1 janvier 2015

Le groupe qui sauvera le monde : Organisation de coopération de Shanghai

L'Organisation de coopération de Shanghai (OCS ; chinois : 上海合作组织, pinyin : shànghǎi hézuò zǔzhī, 上合组织 ; russe : Шанхайская Организация Сотрудничества, ШОС) (Shanghai cooperation organisation, fréquemment orthographié Shanghai cooperation organization) est une organisation intergouvernementale régionale asiatique qui regroupe la Russie, la Chine, le Kazakhstan, le Kirghizistan, le Tadjikistan et l'Ouzbékistan.
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Elle a été créée à Shanghai les 14 et 15 juin 2001 par les présidents de ces six pays.
Un des objectifs majeurs annoncés de la SCO est de contrer l’OTAN et protéger les frontières de Chine et de Russie. Ça a pris 13 ans à la SCO pour devenir ce qu’elle est aujourd’hui et bientôt elle représentera la moitié du PIB (GDP) mondial. La SCO rend ringard le vieux monde étasunien et ses satellites dévoués. - http://www.oulala.info/2014/12/la-sco-et-pourquoi-il-faut-la-connaitre/#sthash.ZQdti5ZP.dpuf

Le monde unipolaire d’hier, avec les États-Unis et ses vassaux, a muté en un monde multipolaire, ou bipolaire si on considère le bloc anglo-saxon et la SCO. Mieux que l’OTAN qui n’a officiellement qu’une vocation militaire mais qui en fait est politique et se mêle de beaucoup de choses géopolitiques, la SCO a trois vocations, politique, économique et militaire. Les négociations qui commencent en Janvier et finissent vers Octobre 2015 auprès du FMI pour les répartitions des SDR verront des affrontements ‘sanglants’ entre le vieux monde unipolaire et la SCO. À n’en pas douter c’est une occasion inespérée des membres et sympathisants de la SCO pour faire sécession officielle, même s’ils pourraient jouer sur deux tableaux : accroître leur pouvoir dans les SDR et développer leur propre monnaie. Les développements sont imprévisibles, ils dépendront des négociations qui réservent de grosses surprises.Il serait bon que le lecteur veuille bien considérer que ces grandes manœuvres au FMI seront l’équivalent, en plus important, des accords de Bretton Woods. Un nouveau système financier en sortira, même si la SCO le doublera. L’avenir du monde en dépendra.(Si tout ceci dépend des Banquiers(dettes des pays),alors la,les dirigants des pays devront suivre) Le vieux monde a vécu avec ses incroyables excès et sa prétention autiste, vive les ‘émergents’ qui ont émergé depuis bien longtemps et leur SCO. Pour nous, nous lorgnerons sur cet espace de liberté, engoncés dans notre tâche servile de l’Amérique. Quand à la presse officielle, elle fait semblant d’ignorer.-
Un des objectifs majeurs annoncés de la SCO est de contrer l’OTAN et protéger les frontières de Chine et de Russie. Ça a pris 13 ans à la SCO pour devenir ce qu’elle est aujourd’hui et bientôt elle représentera la moitié du PIB (GDP) mondial. La SCO rend ringard le vieux monde étasunien et ses satellites dévoués.
Le monde unipolaire d’hier, avec les États-Unis et ses vassaux, a muté en un monde multipolaire, ou bipolaire si on considère le bloc anglo-saxon et la SCO. Mieux que l’OTAN qui n’a officiellement qu’une vocation militaire mais qui en fait est politique et se mêle de beaucoup de choses géopolitiques, la SCO a trois vocations, politique, économique et militaire. Les négociations qui commencent en Janvier et finissent vers Octobre 2015 auprès du FMI pour les répartitions des SDR verront des affrontements ‘sanglants’ entre le vieux monde unipolaire et la SCO. À n’en pas douter c’est une occasion inespérée des membres et sympathisants de la SCO pour faire sécession officielle, même s’ils pourraient jouer sur deux tableaux : accroître leur pouvoir dans les SDR et développer leur propre monnaie. Les développements sont imprévisibles, ils dépendront des négociations qui réservent de grosses surprises.
Il serait bon que le lecteur veuille bien considérer que ces grandes manœuvres au FMI seront l’équivalent, en plus important, des accords de Bretton Woods. Un nouveau système financier en sortira, même si la SCO le doublera. L’avenir du monde en dépendra. Le vieux monde a vécu avec ses incroyables excès et sa prétention autiste, vive les ‘émergents’ qui ont émergé depuis bien longtemps et leur SCO. Pour nous, nous lorgnerons sur cet espace de liberté, engoncés dans notre tâche servile de l’Amérique. Quand à la presse officielle, elle fait semblant d’ignorer.
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Les États participant aux activités de l'OCS

Les États membres
Les États observateurs
Les États partenaires de discussion

Histoire

 

Elle succède avec l’adhésion de l'Ouzbékistan, à un groupe informel sans structure administrative permanente connue sous le nom des « 5 de Shanghai » (« Shanghai Five ») (dit aussi « Groupe de Shanghai »), qui avait été créé en 1996 lors de la signature d'un traité à Shanghai.
Il avait pour but d’améliorer les relations entre membres : régler les problèmes de frontière sur l’ancienne frontière sino-soviétique, faciliter la coopération économique5.
Né dans la foulée du bouleversement géopolitique entraîné par la disparition de l'URSS et la création de républiques autonomes en Asie centrale, le Groupe de Shanghaï répondait notamment à l'inquiétude de la Chine de l'influence non contrôlée de pays comme le Kazakhstan et le Kirghizstan dans la province du Xinjiang6.
L'OCS a permis la signature d’accords sur l’intangibilité de ces frontières, puis en 1997 sur la réduction des forces armées aux frontières, puis sur les mesures de confiance entre armées des États membres.
L’organisation est formalisée par le traité de 2001, concomitant à l'extension à un sixième pays, l'Ouzbékistan. Ses institutions sont créées en 2002 : Charte, fondation du RATS.
En 2004, la Mongolie est devenue membre observateur de l'OCS. En 2005, l'Inde, l'Iran et le Pakistan le sont également devenus. Ce statut a été refusé aux États-Unis7 et au Japon. En 2009, la Biélorussie et le Sri Lanka deviennent des partenaires de discussion3.
Ses buts revendiqués sont, par le biais de concertations entre les différents chefs d’État ou de gouvernement :
  • Renforcer la confiance mutuelle et des relations de bon voisinage entre les États membres ;
  • Faciliter la coopération entre ces États dans les domaines politiques, économiques et commerciaux, scientifiques et techniques, culturels et éducatifs, ainsi que dans les domaines de l’énergie, des transports, du tourisme et de l’environnement ;
  • Sauvegarder la paix, la sécurité et la stabilité régionales ;
  • Œuvrer à la création d’un nouvel ordre politique et économique international, plus juste et démocratique.
Le secrétariat de l’OCS est situé à Pékin. L’autre structure permanente de l’organisation, RATS (Structure anti-terroriste régionale), est installée à Tachkent.


L'OCS rassemble le pays le plus vaste du monde (la Fédération de Russie) et le plus peuplé (la Chine).
La population des six pays membres permanents réunis représente 1 milliard 515 millions d'habitants ; celle des quatre États observateurs 1 milliard 240 millions d'habitants ; soit en tout, 2 milliards 755 millions d'habitants (40 % de la population mondiale).

 Les membres de l'OCS regroupent 20 % des ressources mondiales de pétrole, 38 % du gaz naturel, 40 % du charbon, et 50 % de l'uranium8

 

Les acquis de cette structure se placent essentiellement dans le domaine de la sécurité : manœuvres communes (sino-kazakhes, puis sino-russes11 en 2005), instance commune de lutte contre le terrorisme...
Depuis la conférence d’Astana, la coopération s’étend également à la lutte contre le séparatisme, le terrorisme et l’extrémisme islamiste, ainsi que contre l'impérialisme des États-Unis par une déclaration exigeant la fermeture des bases américaines dans la région.
Elle offre également un lieu de discussion entre les deux grandes puissances voisines de l’Asie centrale, qui se disputent l’influence sur cette région. Par des prises de position communes la Chine et la Russie font front face à l’influence des États-Unis dans la région.
Pour certaines sources12, cette organisation constituerait une alternative à l’OTAN, susceptible de faire pencher de son côté l’Inde, dont les États-Unis recherchent l’alliance face à la Chine.
Pour d'autres13, elle ne serait qu’un trompe-l’œil et n’aurait aucune action concrète, par exemple dans l’Afghanistan voisin.
En 2007, des manœuvres militaires conjointes sont organisées sous le nom Mission de paix 200714. Elles regroupaient les six États membres pour des missions d'entraînement, du 6 au 17 août.

Source.:

 

La fin du dollar programmé



La fin du dollar
Les organisations Américaines gouvernementales et para gouvernementales ainsi que l’ensemble des analystes économiques mondiaux s’entendent sur un point et craignent les conséquences : c’est la fin du dollar américain. Cet événement, aux répercussions considérables, est comparable à la fin de l’empire britannique de l’époque. La CIA, qui a pour mission de protéger la nation américaine des dangers, et la réserve fédérale, censée protéger le dollar, sont face à un problème conjoint puisque la CIA doit protéger du danger lié au dollar.
La dette a permis dans le temps d’augmenter le PIB (GDP). Un dollar de dette faisait bondir le PIB de 2,41$ dans les années 50 à 60. Aujourd’hui un dollar de dettes engendre 0,03$ de PIB. Une misère ! Les États-Unis sont dans une dépression aujourd’hui, comme ils l’ont été entre 1870 et 1900 pendant la « longue » dépression ou entre 1929 et 1940, la « grande » dépression.
Une petite digression en aparté : merci à la seconde guerre mondiale, pas perdue pour tout le monde avec le plan Marshall et les dettes de l’Allemagne et du Japon à l’Amérique payées à l’Amérique ainsi que l’occupation qui dure encore aujourd’hui sur leurs territoires et l’asservissement qui va avec, sans parler des dépenses d’armement considérables et des énormes bénéfices correspondants. Également, les avancées de l’Allemagne nazie avec Von Braun pour les fusées et la conquête de l’espace et celles de l’Angleterre avec les ordinateurs de Bletchley Park et du génie Alan Turing, qui sont allés tout droit chez IBM, ont bien servi les étasuniens. Je rends hommage à un de mes héros que j’admire sans réserves, Alan Turing, qui par son génie informatique et mathématique a permis de sauver des centaines de milliers de vies. Pas remercié, il a été poussé au suicide après la libération parce qu’il était homosexuel. Une énorme injustice de l’histoire que je vous incite à investiguer. Un grand merci aux Américains qui ont perdu un peu moins de 450 000 soldats héros dans l’aventure, et un immense merci à la Russie qui a perdu 27 millions d’âmes dans la défense de notre survie et de notre liberté. Les abrutis qui attaquent la Russie d’aujourd’hui feraient bien de se renseigner. Eh oui, la Russie nous a sauvé du nazisme et d’Hitler, n’en déplaise aux incultes.
Avec un taux de chômage réel de 23%, plus de 50 millions d’Américains à la soupe populaire, et 96 millions d’Américains hors du marché de l’emploi, l’Amérique va très mal et la fin du dollar l’expose à un crash de 100 000 milliards de dollars. Pour comparaison le GDP Français est de 2 000 milliards. La Fed peut imprimer tout l’argent qu’elle veut, si l’argent ne circule pas et n’est pas dépensé, ça ne sert à rien. La vélocité de l’argent est aujourd’hui inférieure à celle du temps de la grande dépression.
56 milliards de dollars de la Fed supportent 4 300 milliards de dettes sur leur bilan ! En 2008 le levier était de 23, il est aujourd’hui de 77. Pour les non initiés c’est du grec, pour les autres c’est un signe de coma dépassé. La capitalisation du marché d’action ramenée au PIB était de 83% au temps de la grande dépression et 203% aujourd’hui. Bien sûr le marché est surévalué d’au moins la moitié et seuls les taux d’intérêt à zéro le permettent temporairement, mais c’est un jeu de chaises musicales, vous savez ce jeu où on risque de se retrouver le postérieur par terre quand la musique s’arrêtera, en ayant tout perdu sauf l’honneur. La valeur des dérivés d’aujourd’hui est de plus de 700 000 milliards de dollars, soit 10 fois le PIB mondial. Il est impensable que ça se passe bien. Que ceux que ça n’inquiète pas retournent à leur activité favorite et continuent d’enfouir leur tête dans le sol comme les autruches. Le crash mondial se fera sans eux sauf qu’ils en paieront chèrement les conséquences.
La machine est en marche. La cabale a condamné l’Amérique et le dollar, au profit des SDR, premier pas vers une monnaie mondiale et donc d’un gouvernement mondial. Les BRICS, pour leur part, ont décidé de jouer la SCO, sur laquelle je ne saurais plus vous inciter à vous renseigner. La SCO est une des deux composantes qui nous sauveront, pour peu que nous y mettions du nôtre avec nos combats sur l’Internet et parfois dans les rues.
2015 est une année pivot, avec les décisions au FMI sur les SDR, les avancées de la SCO et la guerre contre la Russie. On va en avoir sur notre assiette. La fin du dollar aura des répercussions gravissimes sur le statut de l’Amérique comme super puissance. Les chamboulements géopolitiques souhaitables mais graves vont nous affecter. La crise de 2008 est une aimable plaisanterie à côté de ce qui nous attend. Vous vivez à un moment historique capital, la fin du dollar et, par extension, le début de la fin de l’Amérique comme pays de domination mondiale. Je jubile d’avance d’imaginer comment les vassaux de l’Amérique vont retourner leur veste quand ça arrivera.
Algarath
http://www.oulala.info/2014/12/la-fin-du-dollar/#sthash.mIGdiKYY.dpuf

Source.:

lundi 27 octobre 2014

La Chine et 20 autres pays asiatiques lancent une banque rivale à la Banque Mondiale



La Chine et 20 autres pays asiatiques lancent une banque rivale à la Banque Mondiale
La Chine et vingt autres pays ont signé, le 24 octobre, un protocole d’accord visant à créer une banque régionale spécialisée dans le des infrastructures, et conçue comme une alternative à la .
L’Inde, Singapour, le Kazakhstan, le Pakistan, le Vietnam et le Qatar figurent parmi les  21 pays signataires de l’accord. Le Japon n’a pas signé cet accord en raison de la rivalité avérée entre Pékin et Tokyo sur les plans , économique et politique.
A noter également que l’Australie, l’Indonésie et la Corée du Sud n’étaient pas représentées à cette cérémonie.
La  «Banque asiatique d’ dans les infrastructures» (AIIB) sera dotée d’un capital initial de 50 milliards de dollars, et son siège sera situé à Pékin, selon les médias officiels chinois.
Les financements devraient notamment servir à développer des infrastructures dans toute la région, dont une ligne de chemin de fer colossale reliant Pékin à Bagdad, selon des sources citées par le Financial Times. «En chinois, nous avons un vieux proverbe qui dit: si vous voulez devenir riche, construisez d’abord des routes ; je crois que cela décrit de façon concrète l’importance des infrastructures pour le développement économique», a déclaré à cette occasion le président chinois Xi Jinping.
L’attachement de Pékin à mettre en place un concurrent à la Banque mondiale reflète sa frustration devant la domination des pays occidentaux sur la gouvernance des différents bailleurs de fonds multilatéraux.
Les puissances émergentes des (, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) avaient créé en juillet leur propre banque et un fonds de réserves, affichant ouvertement leur désir d’élaborer une architecture financière distincte d’organisations jugées aux mains des pays occidentaux.
Agence Ecofin


mercredi 15 août 2012

Marchés boursiers: les règles du jeu ont changé

«La gestion traditionnelle, je n'y crois plus vraiment»,... (PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE)
PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
«La gestion traditionnelle, je n'y crois plus vraiment», dit André Marsan, président de la firme Sigma Alpha Capital.
Des marchés boursiers toujours plus volatils. Des taux d'intérêt si bas qu'ils justifient de moins en moins l'achat d'obligations. Rien pour faciliter la gestion du portefeuille.
C'est sans compter la crainte pour les particuliers de voir un jour les gouvernements ou leurs employeurs être incapables de leur verser les rentes de retraite promises.
Pas surprenant alors que les bons stratèges boursiers soient de plus en plus recherchés. Et heureusement, le Québec en possède plusieurs. La Presse Affaires a discuté avec certains d'entre eux, et une constante se dégage. La gestion de portefeuille doit faire appel aux outils les plus modernes et ne doit pas hésiter à se métamorphoser.
«La gestion traditionnelle, je n'y crois plus vraiment», avoue d'entrée de jeu André Marsan, président de Sigma Alpha Capital. «C'est devenu une affaire planétaire, et les moyens d'hier ne suffisent plus», dit-il.
Période de transition
Pour bien juger de la pertinence d'un placement aujourd'hui, il faut être conscient que la dynamique du monde de l'investissement est en pleine période de transition et que les notions qui l'ont guidé au cours des générations précédentes doivent être réévaluées, explique Stéfane Marion, économiste en chef et stratège à la Financière Banque Nationale.
Comme les taux d'intérêt sont plus bas que jamais et que les grands indices boursiers s'échangent à un multiple cours/bénéfices d'à peine 13 fois, les notions traditionnelles nous amèneraient à conclure que les actions constituent actuellement l'aubaine d'une génération. Mais attention, car des changements structurels importants modifient substantiellement la toile de fond.
On s'est habitué à vivre avec des multiples cours/bénéfices de 15 fois et plus, mais la croissance économique était alors de 4% et plus, explique le stratège de la Financière.
Depuis la crise financière, bien des règles ont changé. Les politiciens ont introduit beaucoup de volatilité dans les marchés. Et cela pourrait se poursuivre. «Nous sommes entrés dans une période de transition», dit M. Marion.
L'endettement des gouvernements
Pour combattre la crise financière et la récession qui a suivi, les gouvernements se sont endettés comme jamais auparavant. La croissance économique ne sera plus la même. Elle sera sûrement plus faible. Et les actions en Bourse pourraient fort bien commander un multiple cours/bénéfices nettement inférieur dans l'avenir.
De plus, le vieillissement de la population modifie la répartition globale des actifs. Les investisseurs sont à la recherche de rendement constant. Le concept de titres à dividendes est devenu une réalité. Les actions comme on les connaît pourraient être de moins en moins demandées.
De plus, comme les taux d'intérêt sont si bas, on est incité à prendre plus de risque, constate M. Marion. «Mais cela ne doit pas devenir la base de la gestion du portefeuille», dit-il.
Il faut se tourner vers d'autres classes d'actifs moins traditionnels, comme secteur agricole et l'immobilier. «L'industrie des services financiers n'aura d'autres choix que d'offrir aux particuliers toutes ces classes d'actifs», affirme-t-il.


REF.:

dimanche 13 mai 2012

Le terrorisme économique ? Al Quaida fut le premier a l'utiliser !$!





Après Al Qaida et le scandale des 2 tours du world trade center visant l'économie Américaine,on l'a vu aussi dans la guerre du Golf ou Saddam met le feu a 1164 puits de pétrole,nous avons les jeunes du printemps Arabe,et la génération C de l'internet qui prend le flambeau d'occupons Wall Street qui déferla sur les pays du monde,qui eux s'en serve pour démontrer que le peuple a besoin d'un toit sur la tête et une job pour la survie de leurs famille.Et ça sa ce fera sans les Banques !

voici le poul du monde; ICI !
 « Contrairement à la "guerre économique", qui est menée par des États contre d'autres États, le "terrorisme économique" serait mené par des entités transnationales ou non-gouvernementales. Elle supposerait des actions variées, coordonnées et sophistiquées, ou des actes massifs de déstabilisation pour désorganiser la stabilité économique et financière d'un État, d'un groupe d'États ou d'une société (telle une société occidentale à l'économie de marché) pour des motifs idéologiques ou religieux. Ces actions, si menées, pourraient être violentes ou non. Elles pourraient avoir des effets immédiats ou infliger des effets psychologiques qui à leur tour peuvent avoir des conséquences économiques. »1

Le pire ennemi du Capitalisme ? un riche escroc ? ou un Banquier ! 

REF.: 

Ce qu'il y a derrière les contestations Occupons Mtl,occupons wall Street,Printemps Arabe,contestation Prêts et Bourses ?

Derrière,.......................ça,c'est pas le chomage,.....................c'est plutot la répartition des richesses et les fraudes et escrocris financières dans des Paradis fiscaux !$!
La Faute ?,............................Les Banques et la Bourse a prêts toxiques avec le piège du crédit facile et surtout avec l'implantation des cartes de crédits ,que plusieurs ne veulent plus !  La France vient de devenir Socialiste et c'est tant mieux !

Les C ont tous compris et vous remplacerons bientôt , Messieurs !
Les quatre jeunes arrêtés relativement aux bombes fumigènes qui ont paralysé le métro de Montréal, jeudi, sont accusés de complot, méfaits et « incitation à craindre des activités terroristes », un chef d’accusation rare.
Ils ont brièvement comparu, hier midi, par vidéoconférence au palais de justice de Montréal.
À la télévision d’une petite salle de comparution, Roxanne Belisle, 23 ans, Geneviève Vaillancourt, 25 ans, Vanessa L’Écuyer, 22 ans, et François Vivier-Gagnon, 22 ans, se tenaient côte à côte, l’air plutôt calme.
Ce dernier fait aussi face à une accusation de possession d’une arme prohibée, soit un couteau papillon.
L’avocat de la Couronne, Me Steeve Larivière, s’est opposé à leur libération conditionnelle en raison de la gravité des accusations qui pèsent contre eux, notamment celle reliée au terrorisme. Les quatre jeunes doivent revenir dans le box des accusés, lundi, pour savoir s’ils seront libres pour la suite des procédures judiciaires.
Après avoir vu leur photo faire le tour des médias, les quatre étudiants ont plié sous la pression et se sont livrés aux policiers, vendredi après-midi.
Perquisition
Ils ont été arrêtés en lien avec les bombes fumigènes lancées sur les rails à la station de métro Lionel-Groulx.
D’autres suspects sont toujours recherchés concernant les méfaits commis dans d’autres stations de métro en pleine heure de pointe, jeudi matin.
Lors du passage du Journal, hier après-midi, des policiers de l’identification judiciaire effectuaient une perquisition à l’appartement de Roxanne Belisle, dans l’arrondissement Verdun.
Aucun locataire n’était sur place, s’est contenté de dire un enquêteur.
Selon Daniel Lacoursière, porte-parole au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), deux autres appartements et un véhicule étaient toujours fouillés, en fin de journée.
Vendredi matin, les policiers avaient également visité le logement de Vanessa L’Écuyer et François Vivier-Gagnon, dans Hochelaga-Maisonneuve. Les policiers ont emporté quelques boîtes ainsi qu’un sac.
Une mère dévastée
Contactée par téléphone, hier, la mère de Vanessa L’Écuyer s’est dite complètement dévastée. « Ça ne va pas bien, a-t-elle dit. Ça fait deux jours que je ne dors pas. »
Les grands-parents de l’étudiante étaient également soufflés par cette nouvelle. « Je ne pensais pas qu’elle était allée jusque-là, lance la grand-mère de Vanessa. Elle a été influencée. »
Avec la collaboration de l’Agence QMI

REF.:

Le Canada,premier pays a abandonner la carte de crédit ?

Êtes-vous en burnout du crédit?

 par: - 10 mai 2012 Commençons-nous à « slaquer » sur la carte de crédit? Votre voisin a-t-il abandonné l’idée de s’acheter un château avec garage double, pour se rabattre sur un joli cottage, plus abordable?
Avons-nous enfin écouté les avertissements de Mark Carney, gouverneur de la Banque du Canada, qui nous répète depuis des mois dans les médias qu’il faut cesser de s’endetter comme si demain n’existait pas?
Si c’est le cas, applaudissons notre retour sur terre.
Benjamin Tal, lui, pense que oui. L’économiste de la CIBC a publié un rapport dans lequel il explique qu’une « fatigue du crédit » commence à s’abattre sur le Canada.
Le crédit à la consommation a augmenté de seulement 2,3 % depuis un an. Il a même diminué en mars par rapport au mois précédent. C’est le rythme le plus faible depuis les années 1990. Tout ça, rappelons-le, avec des taux d’intérêt qui demeurent historiquement bas.
Le marché hypothécaire aussi ralentit. Le solde des prêts hypothécaires a augmenté de 6,3 % annuellement. Oui, ça demeure élevé. Mais c’est un rythme plus faible que la moyenne des deux dernières années (7,3 %). Et par rapport au mois dernier, l’augmentation est de 0,5 %. La plus faible depuis 2001, souligne Tal, qui n’hésite pas à donner une part du crédit à Mark Carney et à la Banque du Canada pour avoir martelé leur message de prudence.
Il était temps
Un passage de l’étude m’a fait sursauter. Imaginez : pour la première fois depuis 2002, le crédit à la consommation au Canada augmente plus lentement qu’aux États-Unis.
Attendez… la première fois depuis 2002? Nous, Canadiens, avons été encore plus accrocs au crédit que nos voisins Américains depuis tout ce temps?
Oui. Contrairement à la perception populaire, nous dit l’économiste, le crédit à la consommation au Canada a augmenté deux fois plus vite qu’aux États-Unis durant la dernière décennie. Suite à la crise, alors que ce recours au crédit ralentissait aux États-Unis et sombrait même en territoire négatif, il continuait d’augmenter au Canada. Et même à accélérer! Aujourd’hui, les rôles s’inversent. La consommation à crédit augmente chez nos voisins du sud, et ralentit au Canada.
L’immobilier inquiète
Benjamin Tal est catégorique sur le marché immobilier. « Il n’y a pas de débat sur le fait que le marché immobilier surchauffe en ce moment. La seule question est : de quelle nature sera l’ajustement? Nous sommes à un tournant dans le marché immobilier [...] La CIBC continue à prévoir un ralentissement graduel du marché, avec une chute potentielle des prix de 10 % d’ici un ou deux ans. » Les gens réalisent de plus en plus, illustre Tal, que le marché immobilier est « en neuvième manche ».
Mettez tout ça ensemble, et ça commence à être difficile de ne pas s’attendre à un ralentissement économique dans les années qui viennent. Du moins si on voit toujours le consommateur comme moteur de la croissance. Avec le crédit à la consommation qui ralentit, le marché immobilier qui se stabilise et qui pourrait perdre de la valeur, les consommateurs canadiens perdent les deux piliers principaux qui ont soutenu leur économie pendant la crise, écrit Tal.
Je demeure convaincu que les implications de ce « serrage de ceinture » collectif, bien que nécessaire, sont plus grandes que l’on pense. Et que nos politiciens, qui misent grandement sur la croissance économique pour équilibrer leurs budgets, n’en sont pas tout à fait conscients.

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