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lundi 1 septembre 2014

Harpeur l'Évangiliste ?

Il fait de la Théocratie,en utilisant son gouvernement Théocratique.
Dans la théocratie, le titulaire de la souveraineté est en effet la divinité.
Dans son acception première, le terme théocratie désigne uniquement l'idée que Dieu gouverne et il est inventé par Flavius Josèphe pour justifier un désintérêt des croyants pour la politique1. En ce sens, l'idée de théocratie implique que « l'agir humain, dans toute son ampleur, reçoit sa norme du divin2 », mais ne correspond à aucune forme de gouvernement humain.
Au contraire, depuis le XIXe siècle, le terme théocratie est le plus souvent employé pour désigner des régimes politiques fondés sur des principes religieux ou gouvernés par des religieux. Dans ce cas, certains auteurs préfèrent parler de « hiérocratie », terme proposé par Max Weber et qui désigne spécifiquement le gouvernement des religieux3. Cependant, l'usage le plus répandu est de parler de théocratie dès qu'il y a confusion entre politique et religion.


 Le  documentaire La droite religieuse au Canada réalisé par Jon Kalina et produit par Nathalie Barton en a parlé et sera diffusé en première mondiale l’émission Zone Doc sur Ici Radio-Canada le vendredi 29 août à 21h.

Le Canada d’aujourd’hui est sans doute perçu comme l’un des pays les plus laïcs au monde : nos lieux de culte sont à moitié vides et nos élites politiques parlent très rarement de religion. Mais à quel point sommes-nous réellement laïcs?

La droite religieuse au Canada s’interroge sur la dimension religieuse du gouvernement actuel et se demande dans quelle mesure elle affecte ses décisions de politique intérieure et étrangère. Car qu’il s’agisse des droits des femmes, des sciences du climat ou de l’appui inconditionnel du Canada au gouvernement d’Israël, Stephen Harper et ceux qui l’entourent sont à l’écoute de la droite religieuse.

Entre Québec, Ottawa, Alberta, Israël et Cisjordanie, le film se penche sur cette face méconnue des conservateurs – nous emmenant à la rencontre de politiciens proches de Stephen Harper, de chrétiens évangéliques attendant le retour du Messie ainsi que de nombreux critiques qui s’inquiètent des conséquences des politiques actuelles sur les droits humains, les changements climatiques et la recherche scientifique au Canada.



Tout a commencer , lorsque Harper coupa le poste du conseillier national des sciences !L’abolition du poste de Conseiller national des sciences auprès du Gouvernement du Canada par le premier ministre Stephen Harper traduit son mépris pour la science, a déclaré aujourd’hui le Parti Vert. Le poste, créé en 2002, cessera d’exister en mars prochain lors du départ à la retraite du conseiller actuel, M. Arthur Carty.La science ne sera pas la matière forte du gouvernement Harper. Après avoir été à couteaux tirés avec ses opposants pour ses positions sur le réchauffement climatique et, plus récemment, le redémarrage d’un réacteur nucléaire, après avoir vu certains de ses députés s’afficher comme créationnistes, voilà qu’est aboli le seul poste où un scientifique avait un accès direct au premier ministre.


Et par la suite, Gary Goodyear,fut nommé en 2008 comme Ministre de la science et de la technologie, est un autre évangéliste qui n'a jamais voulu  admettre en publique ,qui croit pas en la théorie de l'évolution de Darwin ou au créationnisme!
 Harper a coupé dans les programmes, a cause de ses croyances d'évangéliste qui a rejeter les sciences qui ralentisse les programmes pétroliers des sables bitumineux , qui sont les plus pollueur de l'histoire !











Harper et Benyamin Netanyahou, israel power !Harper est dans l'Église protestante conservatrice, il a connu le mouvement de l'alliance chrétienne et Missionnaire !
Louis  Rousseau de l'UQAM  en science des religions en parle.
Le mentor a Harper était nul autre que l'évangéliste, Preston Manning.
Il protège le marché du pétrole,tout conne son père, qui est originaire de Moncton, qui était comptable agréé et travaillait pour Imperial Oil.


Le mouvement de contestation des scientiphiques mit au chomage ,par l'Évangéliste Harpeur !
 

your a looser put a "L" in your face!
Si Jésus revient en terre des élus d'Israel, ou non,c'est pas a nous de faire quoi que se soit, et en utilisant la politique a la théocratie,vraudrait mieux que le Divin soit déja dans le temple de vos coeurs et non a attendre quelque chose qui est déja arriver! Tu es en retard sur le programme Stephen !L!$!




 Source.:

mercredi 5 décembre 2012

Coupable : Les grandes corporations ou Obama ? .....Devine !


Cette semaine aux Francs-Tireurs, Patrick Lagacé s'entretient avec le journaliste et essayiste John R. MacArthur qui dirige depuis 1983, le Harper’s Magazine, le plus ancien mensuel des États-Unis. Alors que ses écrits sont fortement marqués à gauche, il s’avère être l’un des critiques les plus virulents de l’administration Obama, qu’il accuse d’avoir déçu les espoirs de réformes qu’avait suscités son élection en 2008 et d’être, comme d’autres Présidents avant lui, à la solde des grandes corporations. Suite à la réélection d’Obama et du ton conciliant de son discours de victoire, doit-on s’attendre à un glissement de plus en plus marqué de son administration vers la droite? MacArthur, de son bureau new-yorkais, analyse la situation sans ménagement : «Obama est un démocrate... vendu !»Obama comme tous les autres ne feront rien sans l'$ des grandes corporations,qui dirige la Maison Blanche! Comme on ne peut pas éliminer l'argent,alors les corpos reigne en Roi et Maîtres ! Tous les présidents courbe l'échine face a eux ;-)


Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh! t'es pas assez Franc pour dire que c'est les grandes Corporations qui dirige les pantins de la Maison Blanche ,......Obama ...............Pantin,regarder donc les ficelles ;-) au bout c'est eux $$$$666$$$$

REF.:  Émission 381,

mercredi 11 avril 2012

Le Glouton d'or, cuvée 2008, ça s'entait le caca foncé !

2e édition des prix Glouton

 
Trois ex-dirigeants de l'UQÀM et Henri-Paul Rousseau « honorés » 
Candiac, le 22 février 2009 La Ligue des contribuables du Québec décerne aujourd'hui ses prix Glouton dans le but d'honorer ceux qui ont été particulièrement voraces avec l'argent des contribuables en 2008! Chaque année, la Ligue remet un Glouton d'or, d'argent et de bronze à des élus, fonctionnaires ou organismes qui se sont distingués en dilapidant l'argent des citoyens.
Glouton d'or
Le Glouton d'or 2008 est attribué aux trois ex-dirigeants de l'UQÀM qui ont géré deux projets immobiliers avec tant d'insouciance et de négligence qu'ils ont mené l'institution au bord de la faillite. Leur incompétence aura coûté 380 millions de dollars aux contribuables. En effet, on apprenait en octobre dernier que le gouvernement du Québec épongeait la dette de l'UQÀM relative aux deux projets immobiliers, soit le Complexe des sciences et le chantier avorté de l'Îlot Voyageur.
« C'est tellement facile de jouer au Monopoly avec l'argent des autres, en l'occurrence avec l'argent des contribuables, s'indigne Claire Joly, directrice générale de la Ligue. Et voilà que nous devons éponger une dette de 380 millions $ ! Pendant ce temps, deux des trois responsables du désastre ont pu quitter tranquillement leur poste avec les compensations financières prévues à leurs contrats. C'est scandaleux ».
Les trois dirigeants de l'UQÀM qui ont été blâmés par le Vérificateur général sont Roch Denis (recteur), Mauro Malservisi (vice-recteur aux ressources humaines) et Nicolas Buono (directeur des investissements).
Glouton d'argent
Le Glouton d'argent est décerné à Henri-Paul Rousseau, ex-pdg de la Caisse de dépôt, pour avoir accepté une prime de départ de 380 000 $ même s'il a démissionné pour accepter un emploi chez Power Corporation.
« Le public a été outré d'apprendre que M. Rousseau avait reçu une indemnité pour avoir abandonné le navire alors qu'il prend l'eau. Le gouvernement ne devrait jamais accorder de primes en cas de départ volontaires, c'est une aberration. Malheureusement, elles sont de plus en plus courantes dans le secteur public et parapublic. Même les députés et les élus municipaux y ont droit !, explique Mme Joly. L'abolition de ces clauses « bonbon » est une des priorités d'action de la Ligue cette année ».
Dans la même catégorie, la Ligue accorde une mention honorable à Claude Mailhot, anciennement sous-ministre au ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport, qui a empoché une prime de 137 000 $ pour renouer ensuite avec le journalisme sportif. M. Mailhot a eu l'élégance de démissionner 24 heures après que son contrat eût été modifié pour lui accorder une allocation en cas de départ volontaire.
Glouton de bronze
Le Glouton de bronze est remis à l'Agence spatiale canadienne, qui a dépensé 240 000 $ pour étudier la possibilité de se lancer dans l'exploitation minière…de la lune!
Plus précisément, l'Agence spatiale a lancé des appels d'offres pour deux études de préfaisabilité. La première devait se pencher sur la construction d'habitations ainsi que des infrastructures minières comme telles. La seconde concernait le développement d'un réseau de transport à la surface de notre satellite.
« Le gouvernement fédéral devrait garder les pieds sur terre. Inutile de dire que l'exploitation minière de la lune n'est pas une priorité pour les contribuables en ce moment », constate Mme Joly.
***
La Ligue des contribuables décernait aujourd'hui ses prix Glouton pour la 2e année consécutive. L'an dernier, la Ligue avait remis son tout premier Glouton d'or à Lise Thibault, ancienne lieutenant-gouverneur du Québec.
La Ligue des contribuables du Québec est un organisme non partisan et sans but lucratif qui s'est donné comme mission de défendre l'intérêt des contribuables de la province. La Ligue dénonce le gaspillage de fonds publics et demande un allègement du fardeau fiscal.

REF.:

vendredi 17 février 2012

Les Québécois sont capables de gérer un compte d’épargne-retraite

Maîtriser son avenir

Le système de retraite québécois, non viable et peu performant, inquiète. Pour trouver des solutions, la ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, Julie Boulet, a mandaté un comité d’experts pour réfléchir sur l’offre des régimes complémentaires. En revanche, le Régime des rentes du Québec, notre régime de retraite universel administré par l’État, n’est pas remis en question. Pourtant, il est loin d’être irréprochable.
Accepterions-nous qu’une banque nous oblige à acheter un produit financier pour lequel elle promet un rendement intéressant alors qu’elle est incertaine de pouvoir respecter ses engagements ? Accepterions-nous qu’à notre décès, la banque hérite de nos économies  ? Jamais ! C’est néanmoins selon un principe très similaire que fonctionne le Régime des rentes du Québec.
10,05 % de notre revenu
En collaboration avec notre employeur, nous envoyons 10,05  % de notre revenu à la Régie des rentes du Québec (ce taux augmentera de 0,15 % par année pour atteindre 10,80 % en 2017)
On nous dit qu’on épargne pour nos vieux jours alors que les sommes récoltées servent à verser les prestations aux retraités actuels. On nous fait croire que l’argent nous appartient, alors qu’il n’en est rien. Par exemple, quand le cotisant décède, ses contributions sont saisies en tout ou en partie par le Régime. Si le défunt n’a ni conjoint ni enfant mineur, ses cotisations sont entièrement empochées par le régime. Au mieux, les héritiers reçoivent une prestation de décès de 2 500  $.
Pour le commun des mortels, ce mode de fonctionnement répond à la définition d’une escroquerie pyramidale. Pour la classe politique, il assure « l’équité intergénérationnelle !  »
LE CHILI EN EXEMPLE
Le comité se trompe de cible en limitant son analyse aux régimes complémentaires. Il ferait mieux de s’attaquer au cœur du problème, soit le principe même de la retraite par répartition. Il pourrait étudier le système chilien et peut-être même s’en inspirer. Après tout, il a été imité par une trentaine de pays (y compris la Suède !) et est reconnu par le FMI comme étant un modèle.
En 1981, confronté à un système de retraite en faillite, le Chili remplace son régime public par un modèle basé sur des comptes individuels de capitalisation. Aujourd’hui, les travailleurs sont propriétaires de leur compte d’épargne-retraite et peuvent le confier à l’institution de leur choix. Ils déterminent également leurs placements en fonction de leur tolérance au risque et de leurs préférences et, à leur décès, c’est leur famille, et non l’État, qui hérite de l’intégralité du régime. Côté rendement, il est enviable : depuis l’implantation du régime en 1981, la rentabilité annuelle moyenne du fonds principal dépasse 9 %.
L’État québécois a pris en charge nos retraites parce qu’il nous en jugeait incapables. L’expérience montre que c’est lui qui est inapte à garantir notre sécurité financière. Pire encore, il nous impose un système immoral. Il est donc temps de le relever de ses fonctions. Les Québécois n’ont pas à être dépendants de l’État. À l’instar des Chiliens, nous sommes parfaitement capables de gérer un compte d’épargne-retraite. Mais pour cela, notre classe politique doit sortir de son prisme idéologique et rendre aux travailleurs la maîtrise de leurs finances et de leur avenir !


REF.: