Rechercher sur ce blogue

vendredi 10 mars 2023

Aller a la rencontre de Soi:vers l'autonomie affective

 

 

Aller a la rencontre de Soi:vers l'autonomie affective

 

D'abbord assumez vos responsabilités,car nous sommes notre priorité numéro un, avant notre partenaire de vie ou même nos enfants. Dans la relation, nous sommes par ailleurs responsables d'exprimer qui nous sommes, nos besoins(on a n'a pas le choix d'être a deux pour notre évolution!)et nos attentes. L'autre n'a pas le pouvoir de nous comprendre et d'anticiper nos désirs sans que nous ayons a les exprimer, ou d'agir en fonction de nos sensibilités(en cheminement de conscience, on devient suprasensible). Il n'a surtout pas le pouvoir de nous guérir de nos blessures, quoi que nous en pensions ou quoi qu'il en dise. 

 

Faut apprendre a se responsabilisé,car pour faciliter son engagement, on se donne des moyens qui nous permettent de garder le cap sur ses responsabilités, même si on n'est pas motivé, qu'on n,est pas d'humeur ou qu'on a autre chose a faire de plus intéressant. Se responsabiliser implique en effet un aspect de discipline. On peut s'aider en programmant a l'avance des alarmes pour se souvenir de prendre des rendez-vous médicaux ou autres, en établissant son menu de la semaine ou en planifiant ses séances d'entraînement. De plus, s,entraîner, étudier ou faire la cuisine a deux, trois ou plusieurs nous aide a nous motiver et a nous inspirer. Cela peut aussi être une bonne idée de parler de nos engagements ou de notre cheminement a des gens de confiance qui nous les rappelleront au besoin.

On a aussi la permission de se récompenser d'être resté fidèle a ses obligations dans des moments ou on aurait préféré fuir. On n'hésite pas a se permettre une escapade au spa, une balade a la campagne ou un après-midi de congé si on considère l'avoir mérité.

 

C'est difficile a ssumer;On peine a assumer ses responsabilités quand on ressent de la culpabilité a faire des gestes difficiles, quand on doit démontrer de la fermeté ou de la détermination, quand on doit faire respecter une limite ou exprimer une insatisfaction. Si on craint, par exemple, de perdre l'amour de son enfant ou d'affronter sa mauvaise humeur quand vient le temps de lui imposer des contraintes et qu'on préfère le laisser faire, on n'assume pas ses responsabilités d'éducateur. C'est exactement le même principe en relation amoureuse. Nous devons prendre le risque de (de qui on est vraiment a devenir un esprit incarné conscient de lui-même)décevoir l'autre pour établir nos limites et donc, le respect dans le couple.L'en gagement amoureux , professionnel ou parental, avec toutes les responsabilités qu'il suppose, est pour eux une source de stress. C'est souvent le cas des gens qui refusent de s'engager par crainte de voir leurs failles exposées au grand jour. En ne prenant aucune responsabilité, ils s'évitent cette humiliation, mais se limitent du même coup aux horizons qu'ils connaissent déja et qu'ils maîtrisent.

D'autres refusent toute forme de responsabilité par crainte de perdre leur liberté. Le paradoxe de ce choix est que , en refusant de se responsabiliser, ils se restreignent et n'ont plus la liberté de mener leur vie a leur guise. Les décisions que nous prenons et les choix que nous faisons pour nous-mêmes s'expriment par les responsabilités que nous acceptons d'assumer.

Attendre que les autres se chargent de notre bonheur, c'est vivre dangereusement, car nous nous en remettons a leur bon vouloir, a leurs humeurs ou a leur compétence a nous satisfaire, autant d'éléments qui nous échappent.

Évidemment, vivre en accord avec nos valeurs et en exerçant notre libre arbitre(Au niveau de l'esprit ,il n'y a pas de libre-arbitre,car l'esprit initiera la rencontre de l'âme/égo a sa source espritique pour faire un dans la conscience Divine créatrice)nous empêche ensuite de rejeter la responsabilité de nos échecs sur les autres. Nous en apprenons mieux et plus vite sur nous-même(car un lien est établit entre l'égo et son esprit , le Divin,la Source,ton créateur!)en assumant nos propres erreurs que par les succèsque les autres nous apportent.

Faut être indulgent envers soi-même,car on peut être très respectueux et compréhensif envers les autres, mais se traiter soi-même de tous les noms, et parfois pour des riens. On a l'autocritique assassine , on est impitoyable face à soi; on ne se ménage pas(En supramental,c'est un rapport de force envers son esprit, de nous respecter et pour éviter que par diffraction, de cette énergie, les entités nouis possèdent pour nous rendre plus conscient envers notre source espritique de lumière). La plupart du temps, on se crie des bêtises et, comme on ne peut pas s'enfuir de soi-même,les seules échappatoires sont des comportements destructeurs. Le conseil a retenir ici est donc de cesser de nous faire des reproches et d'avoir un peu d'indulgence pour nous-mêmes.

Les personnes bienveillantes envers elles-mêmes sont souvent plus responsables de leur bien-être. Par exemple, au lieu de subir les périodes d,entraînement physique ou la préparation des repas comme des corvées, elles trouvent une façon de s'y adonner avec plaisir. Les personnes indulgentes pour elles-mêmes s,adaptent plus facilement aux aléas de la vie et composent mieux avec les défis.En d'autres mots, nous sommes notre allié le plus utile, ou du moins le plus influent. Personne n,est en meilleur position que nous-mêmes pour vivre notre vie. Personne ne peut non plus nous aider ni nous nuire comme nous le pouvons. Alors,si cet allié que nous sommes ne fait pas le travail, s'il nous fait faux bond ou, pire, s'il nous met des bâtons dans les roues, ce n'est pas en le détestant profondément et en l'humiliant que nous le disposerons a nous donner un coup de main.

Toutefois, cet allié acceptera plus facilement de collaborer si on le respecte, si on est prêt a l'écouter et a lui donner ce dont il a besoin: la reconnaissance ,l,estime ou la sécurité. On doit nourrir et honorer ses alliés et non leur reprocher ses défaites. il faut également s'aimer soi-même et cesser de se donner des tapes derrière la tête pour tout et pour rien.

Faut avoir de l'indulgence, ça s'acquiert. Pour ce faire, il faut d'abord effectuer de petits changements, que nous serons peut-être les seuls a noter,mais qui sont important a nos yeux. Par exemple , on peut décider de s'accorder plus souvent de petits plaisirs qu'on aime ou qui nous valorisent, tels que jouer de la musique, recevoir des amis a souper ou même se lancer dans la confection d'un énorme gâteau très élaboré pour le simple plaisir du défi, parce qu'on aime le gâteau et qu'on se doit bien ça. En amour, on peut aussi décider de s'accorder de s'accorder des moments intimes avec son partenaire pour se retrouver seul avec lui et profiter de sa présence.

Modifier sa routine habituelle exige de l'autorité et de l'autonomie face a soi-même.Dans les fraternités anonymes, on estime que, en général,nos chances de changer un comportement sont meilleures si nous persistons pendant au moins trois mois dans notre détermination. Ici, l'indulgence qu'on a pour soi-même se manifeste dans le fait de persévérer. Ce n'est pas beaucoup, pour pouvoir bénéficier ensuite d'une activité qu'on aime et que l'on s'accorde sur une base régulière.

Pour être indulgent envers soi, s'entourer des bonnes personnes aide aussi énormément. On s,imprègne plus facilement de l'estime qu'elles nous portent, des qualités qu'elles voient en nous. A l'opposé, nous devons fuir les situations, les personnes ou les activités susceptibles de déclencher notre mésestime, de miner nos efforts et de nous faire douter de nous-mêmes. Cela ne signifie pas de fuir les remises en question, la critique ou les conflits interpersonnels, qui sont inévitables et que l'on doit assumer avec courage et bienveillance. Mais il est utile d'identifier les personnes de notre entourage qui, entre autres, ont le don de nous lancer des insultes sous le couvert du compliment: J'aimerais donc ça être comme toi, me foutre de ce dont j'ai l'air. Mais je ne suis pas capable... Maudite fierté! Ces personnes nous replongent automatiquement dans une certaine forme d'intransigeance envers nous-mêmes.

On doit se garder a distance des relations toxiques et ne pas chercher a se faire aimer par tout le monde. Il faut demeurer a l'écoute de ce que nous disent les autres, de leurs conseils ou de leurs expériences, mais prendre ce qu'on veut et laisser ce qui ne nous convient pas. Est-ce qu'on a fait les bons choix? Les expériences a venir nous le diront.

Il faut pardonner aux autres et a soi-même: en principe, nous acoordons notre pardon aux gens quand on sait qu'ils ne répéteront pas le geste ou les paroles qui nous ont blessés. Mais combien de fois avons-nous pardonné quand même a ceux qui nous ont offensés a répétitions?

Ne pas réagir quand on nous dévalorise, humilie ou ridiculise est une erreur et, comme l'écrivait le philosophe et écrivain Paulo Coelho: Une erreur constamment répétée , ce n,est plus une erreur,C'est un choix. C'est un très mauvais choix, probablement inconscient, mais qu'on fait chaque fois qu'une offense, une menace, un chantage émotif nous est fait et qu'on l'accepte. Décider d'acheter la paix ou se laisser marcher dessus, c'est décider d'accorder a l'autre le droit de transgesser nos limites ou de na pas respecter nos valeurs.

Enfin,on est indulgent avec soi-même quand on fait l'effort de mieux se connaître, de s'accepter,d'user de persévérance pour changer des comportements et d'être patient, car les changements profonds ne se font pas du jour au lendemain. On a rarement une grande révélation ou une illumination qui nous transforme un bon matin, pour toujours. Les grandes transformations que nous vivons tout au long de notre vie se produisent souvent très discètement. La plupart du temps, on constate un jour qu'on ne porte plus le même regard sur telle situation, qu,on ne réagit plus de la même façon aux événements ou au gens. On se fâche moins vite ou on s'amuse davantage, par exemple. Et l'un des grands indicateurs de ces changements est le niveau d'indulgence et de compassion que nous nous portons et qui nous aide a nous pardonner le mal que nous nous sommes fait.

Faut être présent aux autres; Nous avons besoin des autres, car c'est dans notre relation avec eux que nous pouvons le mieux explorer toutes les dimensions de notre personne. La qualité de notre présence et de notre écoute, et la solidarité que nous témoignons aux autres tiennent en grande partie a notre capacité d'empathie , cette faculté de pouvoir ressentir l'émotion chez l'autrte. Nous devons plus facilement empathiques si nous sommes nous-mêmes présents a nos propres émotions. 

Faut de la gentillesse; Et qui ne s'est pas buté un jour a un commis impatient, condescendant ou excédé? L'expérience est éprouvante. Le sentiment d'irrespect peut faire en sorte qu'on se retrouve soi-même de mauvais poil et peu réceptif aux autres. Au contraire, qui n'a pas été un jour charmé par un commis attentionné, souriant et qui a pris le temps de s'occuper de nous? La gentillesse, les attentions et l'acceuil facilitent nos relations avec les autres au quotidien. La civilité entraîne la civilité , le respect suscite le respect... Bref, tous nos comportements sont contagieux.Malheureusement, le stress et les impératifs de performance auxquels nous sommes soumis nous font perdre de vue notre bienveillance , souvent pour ceux que nous aimons, mais qui se font ballotter par notre tourbillon. 

Se mettre a l'écoute de quelqu'un qui ressent le besoin de se confier ou de mettre de l'ordre dans ses idées et ses émotions n'implique pas uniquement d'ouvrir ses oreilles, mais aussi son coeur. Écouter veut dire se rendre disponible et accorder son attention la plus complète a la personne face a nous. il ne s'agit pas uniquement d'entendre les paroles, mais aussi de capter l'ensemble des signaux qu'elle émet inconsciemment par sa posture, l'énergie qu'elle dégage, le ton de sa voix, les expressions de son visage, sa gestuelle. Bref, c'est tout son corps qui parle, et ces informations nous aident a comprendre non seulement les données du problême, mais aussi son état émotif.

La rencontre de deux personnes met en présence des ensibilités, des valeurs et des perceptions différentes du monde. On a beau être présent, on arrive parfois avec son égo de sauveur, ses expériences et ses certitudes. Notre besoin de prendre en charge et de trouver des solutions l'emporte souvent et nous aimons bien nous présenter comme LA force tranquille capable de tout arranger. Mais simplement écouter l'autre exprimer le fond de sa pensée, sans tenter de se défendre, sans juger les propos ou l'attitude, sans chercher de réponse ni s'inquiéter des silences, est un exercice difficile.

Pour ce faire, il faut sans cesse nous souvenir de mettre en veilleuse notre égo et d'adopter la position du spectateur ou du témoin attentif et réceptif. Les dépendants devront éviter de ramener la conversation vers eux: Oui, c'est moche ce qui t'arrive, mais moi, c'est pire ... Les codépendants s'interdiront de donner des solutions: Tu devrais prendre rendez-vous... Je vais le faire pour toi, je sais ou tu devrais aller...

L'accompagnement se concentre surtout sur la personne , beaucoup plus que sur le problême. L'idée n'est donc pas de trouver des solutions, mais plutôt d'aider la personne a se comprendre elle-même et a trouver ses propres solutions. Ëtre présent a l'autre est un acte d'humilité. On n'est pas toujours disponible aux autres quand ils nous interpellent. Si onest soi-même émotivement perturbé par ce que l'on vit, si on a de la difficulté en général a vivre et a nommer ses propres émotions, on aura plus de difficulté a aider l'autre a le faire.

Les rationnels,particulièrement, qui ont du mal a ressentir l'inconfort physique d'une émotion négative se réfugient dans l'intellect et noient leurs propres émotions dans un déluge de mots. A l'autre extrême, les gens très émotifs ont quelques tendance a ramener le problème a eux et a l'émotion que les propos de l'autre font naïtre en eux. Ils sont rapidement submergés et il leur devient impossible d'adopter la position du témoin attentif et a l'écoute. Adopter une attitude de bienveillance et de détachement peut aussi être difficile quand il s'agit de son enfant ou d'une personne très proche qu'on a toujours voulu protéger des souffrances de la vie. On se rappelle toutefois que l'enseignement qu'apporte une épreuve se trouve souvent dans le mal qu'on se donne pour la traverser.

La bienveillance consiste alors a accepter comme légitime ce que l'autre exprime, même si on a la certitude qu'il se trompe. Le fait que l'on soit d'accord ou non avec lui n'a aucune importance. On peut lui demander de préciser ou d'approfondir sa pensée, mais non pas l'orienter vers ce que l'on croit être la solution. 

Le soutien;Nous ne pouvons imposer notre présence. Notre aide désintéressée n'est vraiment utile que si on nous la demande. La patience et le respect des difficultés de l'autre a trouver ses propres solutions sont les mots clés dans l'accompagnement. Finalement, sachons demeurer modestes et réalistes quant a l'importance de notre contribution au bien-être de l'autre.L'empathie est nécessaire a tout accompagnement, car seule cette faculté nous permet de ressentir vraiment les émotions de l'autre, d'adopter son point de vue pour mieux le comprendre. C'est une composante essentielle de nos rapports humains et de la conscience que nous avons les uns des autres. 

Certains ont plus de facilité ou d'aptitude a vivre l'empathie, comme les codépendants qui en font souvent le point central de leur personnalité. Leur dévouement et leur capacité de pouvoir se mettre dans la peau de l'autre sont admirables, mais c'est parfois une façon de se détourner de leur propre monde émotif. Accorder son attention aux besoins de tout le monde, C,est se laisser constamment distraire de ses besoins personnels et risquer l'épuisement tôt ou tard.

Les gens très empathiques sont souvent la cible des manipulateurs qui savent abuser de leurs bons sentiments  pour obtenir ce qu'ils désirent d'eux: argent,faveurs,pardon,etc. Gardons toujours en tête que notre empathie n'est pas sans limites, mais qu'elle peut se renouveler a condition que nous puissions aussi compter sur la présence de nos proches quand nous en avons besoin. Surtout, il ne faut jamais oublier de prendre soin de soi d'abord, si on veut aider les autres ensuite.Adopter une attitude physique qui témoigne que nous ne sommes pas les problêmes que nous avons.

La mauvaise opinion qu'un inconnu peut avoir de nous ne devrait pas occuper notre pensée plus de quelques secondes.Les efforts que nous mettons a tenter de correspondre a ce que nous croyons que les autres attendent de nous, ou a essayer de les convaincre par tous les moyens que nous avons raison d'être ce que nous sommes. Toute l'attention que nous consacrons aux idées avec lesquelles nous ne sommes pas d'accord et tous les efforts que nous mettons a vouloir prouver aux autres qu'ils ont tort, jusqu'a nous mettre dans des états émotifs perturbants,ne servent strictement a rien. Le regard qu'on porte sur la vie des autres, pour la commenter, s'en offusquer, la juger et la condamner, est une perte de temps et d'énergie monumentale. Comme l'est aussi le temps qu'on passe a se plaindre, a critiquer ou a raconter ses problêmes a tout le monde qu'on rencontre.

Nous accordons une grande attention a des choses qui nous détournent de notre essence. Cessons de dilapider notre capacité d'attention sur des détails qui n'ont aucune pertinence dans notre vie. Nous gagnons a mettre en sourdine tout ce babillage mental qui nous prend la tête, mais qui ne repose sur rien, ne mène nulle part et ne mérite pas notre attention. Concentrons-nous sur notre capacité d'aimer et d'être aimés!

Pour enfin avoir une autonomie affective:

Qui n'est en fait qu'une prise de conscience et une acceptation sans condition de ce que nous sommes profondément, c'est as dire des êtres en constante évolution qui vivent pour aimer et être aimés.Prendre conscience de soi et s'accepter sont les deux faces de l'autonomie affective. Voici donc comment y arriver:

Exercez-vous a prêter attention a vos sensations physiques, a vos émotions et a vos pensées, des plus agréables et heureuses aux plus inconfortables et douloureuses, sans tenter de les refouler et sans vous juger ni vous condamner. Ainsi, vous les apprivoiserez pour ce qu'elles sont vraiment: des informations, des messages qui vous indiquent la direction a suivre pour aller vers vous-même, pour vous prendre en main et pour intégrer la beinveillance dans toutes vos relations, a commencer par vous-même.

Tout peut encore changer. Vous pouvez choisir, du jour au lendemain, de mettre toute votre attention a devenir une meilleure personne a vos propres yeux. Choisissez votre vie et consacrez-la a tout ce qui vous fera du bien au corps, au coeur et a la tête. Concentrez-vous surtout sur les gens qui vous aideront a vivre et a grandir en vous révélant les qualités et les forces qu'eux-mêmes voient en vous.

Soyez attentif a l'amour qu'on vous témoigne et a celui que vous pouvez exprimer. Consacrez a votre amoureux ou amoureuse le meilleur de vous-même et profitez de tous les bienfaits qu'apporte l'amour véritable. Soyez attentif au bonheur qui jalonne votre cheminement vers l'autonomie affective et prenez le temps d'en ressentir toute l'intensité.

Vous serez alors plus a même de créer un quotidien a votre image, de vous investir dans des relations qui répondent a vos besoins. Vous apprivoiserez le pouvoir de votre authenticité, vous vivrez en respectant vos valeurs. Vous pourrez créer, dans le plaisir, une vie qui vous ressemble.

J'ai l'intime conviction que la se trouve bonheur !


Louise,




REF.: Merci a:  Louise Sigouin,"si on s'aimait" , Tome 2.

http://louisesigouin.com/

https://www.facebook.com/louisesigouin.officiel/

jeudi 9 mars 2023

Vivez le moment présent:

 

Vivez le moment présent:

 

Redouter constamment l'avenir ourrit nos scénarios catastrophes. Avoir peur de ce qui pourrait arriver est la définition même de l'anxiété. A l'inverse, ne pas se soucier du futur, c'est accepter de vivre dans le présent en ayant la conviction que tous nos besoins trouveront satisfaction au moment opportun.

Avec le temps, on perd cette faculté qu'on avait, enfant, de demeurer dans le présent. Quand les difficultés et les contraintes se pointent, on se met a regretter ses fautes passées et, si on se borne a na regarder que ses échecs, on finit par se convaincre qu'on n'est pas doué pour la vie et on se met a craindre pour l'avenir. Croire, comme plusieurs, que nous n'arrivons jamais a être heureux, que personne ne voudra de nous et que la vie est ingrate fixe complètement notre esprit sur nos faiblesses. On vit dans l'angoisse de se tromper, d'être jugé ou de subir les coups durs que la vie peut nous envoyer n'importe quand. A l'opposé, on se vautre tellement dans les souvenirs et les erreurs du passé qu'on a du mal a réintégrer le moment présent. 


La meilleure façon d'aborder la vie au présent réside dans une attitude positive. On doit pour cela se ramener a l'ordre et se concentrer sur ses forces, sa capacité a agir et sa faculté d'être reconnaissant pour ce qu'on a. On prend le temps de s'arrêter, de savourer, de remercier la vie et d'apprécier ce que l'on possède et l'amour des autres. Vivre au présent nous permet de prendre conscience de l'impermanence des choses et de toujours remettre nos choix de vie bien haut de notre liste de priorités.


Se ramener dans le présent:


Le moyen le plus facile de se ramener dans le moment présent est de s'arrêter pour constater qu'on respire et pour se concentrer sur sa respiration. Ces quelques secondes ou l'on ne s'attarde qu'a son souffle, on les vit exactement sur la pointe du moment présent. C'est précisément ce en quoi consiste la méditation: prendre conscience de soi dans le moment présent.


L'insécurité du dépendant fait qu'il a du mal a rester dans le moment présent et le codépendant est continuellement en mode planification. Le vite ne vit pas le présent, car il est trop préoccupé a résoudre des problêmes et a aller de l'avant, alors que le lent glisse souvent dans la procrastination en pensant vivre le moment présent. 

Quand le moment présent n'est pas agéable ou facile a vivre, l'attitude a adopter est d'observer, avec bienveillance, ce qui se passe en nous, nos états d'âme ou nos sensations physiques. On accepte de vivre ce moment sans analyser ni juger la situation,mais plutôt en prenant du recul pour mieux comprendre les causes de son désagrément ou pour apprendre quelque chose sur soi.

Les obstacles a notre volonté de vivre dans le moment présent sont nombreux et les plus importants sont en nous. Notre petite voix intérieure, écho de notre égo, fait beaucoup pour nous distraire. Qu'on se raconte de veilles histoires ou qu'on s'en crée de nouvelles, c'est la même chose: on se fait du cinéma qui nous distrait du présent. Et cela, sans compter toutes les sources de stress etd'anxiété qu'il faut calmer, les tensions qu'il faut détendre, etc. Quand on perd le centre d'attention et qu'on se sent dériver vers ses douleurs et ses peurs, la solution est de seramener le plus vite possible dans le moment présent de se concentrer sur sa respiration et de se forcer a prendre pleinement conscience de ce qui se passe la ou la vie se déroule réellement.


Vivre dans l'avenir:


On a beau vouloir être dans l'ici et maintenant, il est difficile d'aller de l'avant dans sa vie sans planifier un tant soit peu son avenir. Il y a toutefois une grande différence entre se projeter dans l'avenir en étant en proie a sa tristesse, a sa colère ou a sa culpabilité et concevoir sa vie, orienter ses choix en fonction des besoins que l'on doit satisfaire au présent pour se sentir bien. Avec une telle attitude, on ne risque jamais de faire d'erreurs, puisque tout est l'objet d'une expérience de vie dont on ne peut que tirer des enseignements et qui nous aidera a nous améliorer.

Par ailleurs, nos attitudes sont déterminées par nos pensées et se traduisent par nos émotions qui, elles se manifestent dans nos comportements. Mais au départ, il faut toujours nous rappeler que nous avons le contrôle sur nos pensées, sur nos sources de réflexion et d'influence. Si nous ne pouvons nous empêcher de nous comparer aux autres, il peut cependant être bénéfique de choisir nos points de comparaison de façon a mettre en valeur nos forces et nos atouts.

En outre, on doit se souvenir que rien ne dure,les peines comme les joies. Voila pourquoi il est nécessaire de les vivres pleinement quand elles passent. L'exercice de la gratitude fait beaucoup pour nous apprendre a déterminer nous-mêmes notre état d'esprit et a élargir notre capacité a voir les possibilités qui s'offrent a nous. En pratiquant la gratitude, on peut en fin cesser de s'inquiéter, mieux on peut se conditionner a rechercher le meilleur de ce que la vie nous offre, mais encore faut-il être capable de le voir et de le reconnaître. Cela n,est possible que si l'on demeure dans le moment présent. 


REF.: Merci a:  Louise Sigouin,"si on s'aimait" , Tome 2.

http://louisesigouin.com/

https://www.facebook.com/louisesigouin.officiel/

mercredi 8 mars 2023

Les différentes personnalités de l'Homme: Les 5 dualités

 

 

 Les différentes personnalités de l'Homme: Les 5 dualités

1- Dépendant/codépendant:

 Le dépendant est un grand égocentrique, mais capable d'exprimer clairement ses besoins et d'être fidèle a lui-même.

Le codépendant se mêle parfois trop de la vie des autres et a du mal a s'accorder la priorité, mais il est d'une générosité admirable.

2- Le fusionnel/Solitaire:

Le fusionnel est souvent très intense, mais c'est beaucoup grâce a lui si le couple existe et s'épanouit.

Le solitaire est nettement plus détaché et indépendant, mais il rappelle au fusionnel qu'il faut prendre soin du Je avant de créer un nous.

3- Le Rationnel/Émotif:

Le rationnel intellectualise les émotions difficiles pour éviter qu'elles l'envahissent, mais il fait souvent preuve de beaucoup de sensibilité dans sa perception de la réalité.

L'Émotif est très intuitif, mais il a du mal a exprimer en mots ce qu'il ressent. Quand on lui en laisse le temps, ses intuitions sont souvent très justes.

4- L'Actif/Rêveur:

L'Actif omet d'être présent aux autres tant il est préoccupé par sa liste de tâches, mais c'est grâce a lui que les choses finissent par se faireet que les projets avancent et se réalisent.

Le Rêveur aspire très fort a l'intensité amoureuse dans la relation et, quand il a le courage d'exprimer ses attentes, il nourrit l'intimité du couple et garde vivante la séduction entre les partenaires.

5- Le Vite/Le Lent:

Le Vite fait beaucoup de choses dans une journée et il tourne souvent les coins ronds. Mais qui a dit que tout devait toujours être parfait? Les vites offrent aux perfectionnistes de beaux exemples de lâcher-prise.

Le Lent exaspère souvent le Vite, mais il lui rappelle que, en prenant son temps, on ressent mieux ce qui se passe en soi et autour de soi.


REF.: Louise Sigouin, "Si on s'aimait",Tome1-2.http://louisesigouin.com/

https://www.facebook.com/louisesigouin.officiel/

La méthode Sigouin inspiré de Claire Reid sexologue a portée ses fruits,mais il y a toujours des pommes pourrîtes dans un groupe,surtout en téléréalité comme ,Jean-Philippe Caron(avec un Égo démesurée), celui qui avait marqué l’imaginaire collectif (car c'est comme ça qu'on avance dans le société lol)et surtout celui d’Hugo Dumas! avec ses sempiternels foulards. Jean-Philippe, c’est celui qui avait été matché avec Fanny et qui avait finalement quitté l’aventure après seulement deux semaines, comme l’émission implique un volet de cohabitation et qu’il n’était pas à l’aise de présenter sa partenaire, avec qui ça ne cliquait pas, à ses trois enfants. Son départ ne s’est pas très bien passé, mais ça aura au moins fait cesser les commentaires sur le web à son sujet.

https://urbania.ca/article/consulter-a-la-tele-est-ce-que-ca-marche-pour-vrai



Louise Sigouin a plaidé coupable,

https://www.ledevoir.com/societe/justice/779063/la-sexologue-louise-sigouin-plaide-coupable-devant-le-conseil-de-discipline

Avec plus d’accompagnement auprès des candidat.e.s et plus d’avertissements pour le public, Si on s’aimait gagnerait quelques points supplémentaires, mais elle peut aussi se permettre de s’en passer. « Une émission comme ça, on ne peut pas se l’interdire totalement, croit le Dr Roussy. Surtout à notre époque où les gens se confient beaucoup sur les réseaux sociaux, disent tout et n’importe quoi sur ces plateformes-là et s’y mettent à nu, à leur propre détriment souvent. J’aime mieux une émission comme ça, où au moins, il y a un cadre et du soutien, que des gens qui s’exposent sur les réseaux sociaux et se rendent très vulnérables. » Et puis, comme le dit la Dre Beaulieu-Pelletier, ce genre d’émission contribue à « rendre la santé psychologique plus démocratisée, plus proche et moins taboue ».

Mise à jour : La production de l’émission m’a finalement contactée pour m’indiquer qu’un accompagnement est offert aux candidat.e.s de l’émission avant, pendant et après les tournages. Des séances sont offertes avec Louise Sigouin ou d’autres professionnel.le.s en relation d’aide, au besoin. Dès la première saison, la production a également proposé à certain.e.s participant.e.s de visionner les montages de segments plus sensibles de leur aventure avant leur diffusion.


L'Égo dans le couple,selon Louise Sigouin:

 

L'Égo dans le couple,selon Louise Sigouin: 


L'Égo:

Le couple, aussi stimulant qu'il puisse être, comporte son lot de difficultés et de conflits. La passion aveugle des premiers mois n'est pas éternelle: au bout d'un certain temps, on a un portrait plus réaliste et complet de l'autre. Après la communion des corps, vient la rencontre des égos.

L'Égo désigne la représentation et la conscience que l'on a de soi-même. C'est une construction de l'esprit, un personnage social que nous croyons ou voulons être. L'égo s'est construit par les leçons et les enseignements que nous avons tirés de notre vécu, et par lesquels nous nous définissons.(pour en savoir plus,bien sûr il y a les failles de l'égo:https://www.supramental.biz/fr/art155-desinformation_rdf.xml ) 

En situation de conflit, l'égo tente désespérément d'imposer sa volonté, ses idées, son fonctionnement.

On parle souvent des blessures de l'égo, qui découlent des humiliations et des échecs que nous avons vécus. Plus profondes sont les blessures, plus l'égo sera souffrant. Un égo trop souvent humilié ou mis en échec est un très mauvais conseiller, car il freine notre évolution personnelle. Certains couples font un suivi très serré des concessions et des bénéfices que chacun tire de la relation. Ils discutent de tout, marchandent chacune des tâches ménagères et négocient sans cesse la moindre dépense. C'est fastidieux et très épuisant a la longue. C'est fou le nombre de couples qui consultent pour des questions d'entretien ménager, de partage de tâches ou de gestion de budget.

La question de l'argent et de l'indépendance financière dans le couple est très souvent un lieu d'affrontement des égos, qui se font entendre haut et fort. Chacun défend ses priorités, ses besoins et ses envies quand vient le temps de dépenser l'argent. On se valorise beaucoup par le travail et l'argent qu'on gagne. Si dans un couple, un des deux reste a la maison pour prendre soin de la famille (ce qui a longtemps été le cas des femmes et l'est encore très souvent), sa contribution semble avoir moins d'importance que celle de son partenaire qui rapporte l'argent a la maison. Du point de vue de l'égo, c'est très humiliant d'admettre devoir dépendre a l'autre financièrement. Mais pour permettre a l'un de se réaliser professionnellement a sa pleine capacité, l'autre doit prendre tout le reste en charge: l'intendance de la maison, les rendez-vous chez le dentiste, l'éducation des enfants, etc. S'il s'agit d'une situation que l'on subit, l'égo en prend ombrage et on se sent dégradé d'être ainsi considéré comme la "bobonne" de service. Si au contraire il s'agit d'un choix de vie éclairé et assumé, l'égo y verra une forme de valorisation. 

Donc, pour durer dans le temps, il faut continuellement nourrir le désir d'être avec l'autre. Faut pas oublier les trois piliers de l'amour que sont: La passion,l'intimité et l'engagement!!!

Puisque ce sont les blessures de l'enfance qui marquent notre vie d'adulte, notre guérison implique que nous devenions notre propre parent qui prendra soin de l'enfant blessé en nous, en le traitant avec attention et délicatesse comme nous le ferions pour un enfant qui porterait nos blessures. Lâcher prise, faire la paix avec le passé, accepter les changements et laisser le temps faire son oeuvre! Donc a travers cet engagement,il y a l'importance de confiance qui règnera dans le couple.

 




NOTA: Selon Sandra Vimont, L' Ego : Expression plus ou moins perfectionnée de l’esprit dans la forme et la matière. L’ego vibre, agit ou réagit en fonction de la capacité de sa lumière prépersonnelle à pénétrer son corps physique et ses corps subtils ; il s’exprime à travers sa personne réelle ou par l’intermédiaire de sa personnalité. Prépersonnel : Qualifie la lumière qui correspond à la source et à la manifestation créative de la conscience intégrale de l’être. Ce qui est prépersonnel n'appartient pas à l'ego comme tel, mais fait partie de sa réalité solaire.https://www.supramental.biz/fr/supramental-lexique.xml#Lettre_E

Les failles de l'égo: https://www.supramental.biz/fr/art155-desinformation_rdf.xml

REF.: Louise Sigouin, "Si on s'aimait" Tome 2.

lundi 6 mars 2023

Le futur de l’intelligence artificielle est à vous pour seulement 275$

 Le futur de l’intelligence artificielle est à vous pour seulement 275$

 

Pour ceux que le futur intéresse, sachez qu’il est déjà là. À la croisée du simple gadget, de l’intelligence artificielle et de la réalité augmentée se trouvent des lunettes fumées en apparence tout à fait banales, qui préfigurent la prochaine grande révolution technologique.

Personne ne s’y attendait, mais 2023 appartient pour le moment à Microsoft. Si le géant de Redmond n’avait pas développé depuis sa création en 1975 cette fâcheuse manie de s’autopeluredebananiser, on aurait parié que ce succès inouï s’étirerait jusqu’à la fin de la décennie. Là, rien n’est moins sûr.

Mais pour un aperçu du futur qui pourrait aussi bien être signé Apple ou Google que Microsoft, il suffit de jeter un coup d’oeil à ce que ce dernier est parvenu à réaliser ces dernières semaines.

Pour être plus exact, il faudrait surtout lui prêter l’oreille.

Bing bang

À la mi-février, ce que les rumeurs prédisaient depuis quelques jours a été confirmé par le p.-d.g. de Microsoft, Satya Nadella : l’outil automatisé de compréhension du langage mis au point par le labo californien OpenAI pour donner vie à ChatGPT allait être intégré dans le moteur de recherche Bing. Une dizaine de jours plus tard, Microsoft annonçait que l’application Bing allait à son tour accueillir cette intelligence artificielle nouveau genre. Mieux : Bing sur mobile combine sa propre version de ChatGPT à un synthétiseur vocal.

Résultat : on n’a plus à clavarder avec ChatGPT. On peut carrément lui parler. Et la version de ChatGPT qu’on trouve dans l’application Bing nous livre de sa douce voix confiante et assurée la réponse à toutes nos questions.

« Qu’est-ce qui se passe en Ukraine ? », peut-on lui demander. « La situation en Ukraine est très grave », nous répond tout de go Bing dans le creux de l’oreille. « Il y a une guerre qui dure depuis un an et qui a fait des milliers de morts et de blessés. L’ONU a exigé un retrait immédiat des troupes russes du territoire ukrainien, mais Moscou n’a pas obtempéré […]. »

Pas besoin d’aborder des sujets pointus pour piquer un brin de jasette avec Bing. Les férus de météo ou de sport peuvent non seulement interroger cet assistant vocal et numérique nouveau genre sur l’état actuel des choses, ils peuvent répliquer à leur tour et entretenir une conversation qui s’étire sur plusieurs minutes. L’IA ne perd pas le fil de la discussion tant que celle-ci n’est pas terminée.

Bref, Bing et ChatGPT en version vocale sont aussi bons pour un quart d’heure de small talk sur l’air du temps que pour résumer en 30 secondes un enjeu géopolitique en pleine évolution comme la guerre d’agression russe en Ukraine.

La puce à l’oreille

Évidemment, les histoires de peur et d’horreur vont fuser sur Internet dans les prochaines semaines pour illustrer à quel point peut être erratique, voire dangereuse — le New York Times l’a pratiquement qualifiée de psychopathe — l’IA utilisée par Microsoft.

On entend souvent les experts en sécurité automobile rigoler et affirmer que le plus gros facteur d’accident dans la voiture se situe à environ 50 cm derrière le volant. On peut dire la même chose des applications d’intelligence artificielle du moment : le facteur humain est le plus grand risque.

Une interface vocale, aussi interactive soit-elle, ne demeure que ça : une interface. OpenAI et Microsoft nous donnent accès à de l’information qui, à la base, a été créée et mise en ligne par des humains. Un détail important à toujours avoir en tête quand on interagit avec ces systèmes.

Au moins, Bing avec ChatGPT en version orale n’a rien à voir avec les détestables systèmes téléphoniques automatisés qu’à peu près toutes les grandes entreprises s’entêtent à employer pour rendre leur service à la clientèle plus médiocre encore qu’il soit humainement possible de l’être.

Et c’est là où la prochaine grande transformation informatique pourrait avoir lieu. En 25 ans, Internet est passé d’un réseau accessible à l’université et dans certains cafés à un réseau accessible de la maison. Puis il est devenu mobile : on l’a dans la poche. La prochaine étape est simple : on l’aura à l’oreille.

Réalité augmentée

Il n’est pas farfelu d’imaginer que l’interface vocale sera la porte d’entrée par laquelle la réalité augmentée deviendra une technologie grand public. Les géants technologiques ont tous l’intention, d’ici 2025, de mettre en vente des lunettes dans lesquelles on verra s’afficher du contenu tiré d’Internet.

Chez Meta (l’ex-Facebook), on pense qu’on pourra commander de telles lunettes à partir de gestes manuels que des caméras logées dans la monture vont reconnaître. On en doute. L’expérience semble plus prometteuse du côté d’une interface vocale capable de dialoguer puis de présenter du contenu connexe de façon visuelle.

Ces lunettes de réalité augmentée n’existent pas encore. En attendant, on verra apparaître cette année une nouvelle flopée de lunettes qui se connectent à un téléphone pour jouer de la musique et passer des appels. La marque de « verres intelligents » Solos en est un exemple. Elle vend des verres fumés qui effectuent plusieurs petites tâches connectées amusantes.

Les lunettes Solos ont l’avantage de ne pas coûter une très grande fortune : son modèle d’entrée de gamme se vend 275 $. Surtout, les lunettes Solos ont des micros et des haut-parleurs de qualité suffisante pour dialoguer convenablement avec un interlocuteur ou, dans ce cas-ci, avec l’application Bing.

Autrement dit, les curieux qui rêvent de savoir à quoi ressemblera le futur et qui ont tout au plus 300 $ en poche peuvent le découvrir rapidement et simplement, en réunissant Bing, ChatGPT et des verres connectés comme les Solos.

En attendant des lunettes connectées, et très probablement hors de prix, signées Apple…

 

REF.:   https://www.ledevoir.com/culture/783850/intelligence-artificielle-le-futur-de-l-intelligence-artificielle-est-a-vous-pour-seulement-275

Révolutionner la porno par l’IA

 

Révolutionner la porno par l’IA

Thierry Weber s’intéresse à l’entreprise SimpsAI qui mise sur l’intelligence artificielle pour révolutionner la pornographie.

https://soundcloud.com/moncarnet/bonus-weber-revolutionner-la-porno-par-lia?utm_source=clipboard&utm_medium=text&utm_campaign=social_sharing

 

SimpsAI:https://www.simpsai.com/

 Modèle de partage des revenus et de licences si vous êtes une fille OnlyFans à la recherche d'un revenu passif à vie, ne cherchez pas plus loin ! Nous construirons votre intégration personnalisée et l'IA créera des images et des vidéos de vous. Sur chaque $ généré par votre contenu généré par l'IA, vous ferez une part. Soit gérer les créations soi-même, comme sur Onlyfans, mais avec moins d'effort. Ou donnez aux créateurs d'IA l'accès pour générer du contenu à partir de celui-ci. Les utilisateurs peuvent ensuite voir le contenu que vous publiez gratuitement et s'abonner à vous, ou aux créateurs utilisant votre intégration pour un accès premium fermé.

 

 

REF.:   https://moncarnet.blog/2023/03/03/revolutionner-la-porno-par-lia/

Lorsque l’individu se laisse happer par les égrégores à se définir dans son identité réelle

 

 145 Lorsque l’individu se laisse happer par les égrégores à se définir dans son identité réelle

 

L'individu parviendra à se définir dans son identité réelle lorsqu’il sera en mesure d’absorber, c’est-à-dire de neutraliser par sa conscience, tout ce qui n’est pas lui pour rétablir en lui le savoir intégral de qui il est, savoir qui est sans cesse pris pour cible par les influences astrales qui agissent sur sa psyché par l’entremise de mouvements de pensée, d’impression et d’émotion, c’est-à-dire de toute la panoplie de scénarios ultra connus qui se rejouent, sous des formes différentes dans sa tête, pour le maintenir dans le périmètre de sa fausse identité, c’est-à-dire dans le périmètre de logiques de conditionnement qui s’orchestrent par le biais des stimulations du monde extérieur lui envoyant des signaux réguliers sur ce qu’a priori, il voit et attend de lui. En se donnant affectivement ou rationnellement raison de répondre favorablement à l’ensemble de ces sollicitations venues du monde extérieur, l’individu demeure prisonnier du karma social. Il ne s’en sent pas pour autant immédiatement prisonnier car il y puise dans un premier temps une sécurisation intérieure d’obtenir, par cet échange d’énergie, une identité éventuellement reconnue et identifiée par tous. En répondant à l’appel (des sirènes) il existe. Mais il existe aux yeux de ce qui a été projeté sur lui pour un temps limité seulement car avec le temps il réalise qu’il dilapide son énergie propre plutôt que de nourrir la valeur réelle de qui il est. Il finit par comprendre qu’il ne peut pas se définir par le biais de cette existence déterminée en dehors de lui. Or, se définir soi-même, pour soi-même et par soi-même nécessite la capacité d’endurer une forme de solitude qui passe par la possibilité de faire cesser toute circulation d’énergie maintenant l’individu dans une forme d’inféodation psychique aux égrégores du monde social, culturel et professionnel. Ce mouvement, jugé inconcevable, demeure difficile à envisager même pour l’individu qui pressent en lui le besoin d’aller au-delà des conditionnements qu’il subit dans sa vie sans avoir encore franchi le pas d’arrêter de dilapider ses énergies au service d’un égrégore qui le dépossède de lui-même. L’égo ne décide jamais cela sans qu’une autre énergie plus forte encore ne vienne le déloger de ses assises habituelles afin de lui faire vivre une transformation intérieure qui le conduit graduellement à une rencontre avec ce qu’il n’avait jamais soupçonné en lui. Il n’y a donc pas de pierre à lancer à l’individu qui ne s’avance pas trop près de ce qui lui paraît un abysse, ou un grand vide, car rien, au moment ou il s’en approche, ne lui permet, du fait d’une force de projection mentale qui ne dépasse pas les cadres du connu, d’entre-apercevoir la qualité du champ de liberté psychique qu’il peut toucher. C’est graduellement qu’il en verra la grandeur et pourra savoir pour lui-même qu’il amorce un mouvement sans retour possible en arrière.

REF.: https://lereelensoit.fr/2023/03/05/145-lorsque-lindividu-se-laisse-happer-par-les-egregores/

Sandrine Vieillard

L’impossibilité de vivre une totale fluidité dans la relation de couple

 

 

141: L’impossibilité de vivre une totale fluidité dans la relation de couple

Dans sa vie de couple ou ses tentatives de relation de couple, l’individu peut ressentir en lui l’émergence de peurs diffuses qui s’imposent à un tel degré à lui qu’il se voit alors coupé de la possibilité d’être dans la fluidité de la relation avec autrui. Il doit être compris que l’individu ne le choisit pas. Il subit ses propres peurs en y réagissant sans savoir comment se sortir de ce qu’il identifiera au fil du temps comme étant sa prison intime tout en s’efforçant néanmoins de la rationaliser par le truchement de jugements de valeur qu’il projettera sur lui-même, sur autrui ou sur la situation afin de continuer à se sécuriser pour supporter sa condition de vie. Les formes que prennent les réactions de l’individu face à ses peurs sont innombrables et relèvent de deux grands mouvements plus ou moins subtils de fuite ou encore de réflexe de domination sur autrui. La fuite comme la domination plus ou moins subtile face à autrui répondent à l’extrême sensibilité de l’individu pour qui il est impossible d’apparaître à l’autre dans sa vulnérabilité car cette dernière est intolérable du fait de la très grande douleur qu’elle génère chez lui sans nécessairement que lui-même en prenne l’entière mesure du fait de ses réflexes de rationalisation qui occultent son contact avec sa propre sensibilité. La douleur associée à sa sensibilité réprimée vient d’un profond traumatisme à caractère universel qui rappelle à l’individu la grande déchirure qu’il porte dans ses corps et qui le ramène à son état originel de perfection perdu dans la diffraction des rayons de sa conscience pour expérimenter les formes du vivant sur son plan d’incarnation. L’individu qui ne parvient pas à vivre la fluidité de la relation dans la transparence de qui il est aura, à un moment donné de sa vie, ou dans ses incarnations à venir, à traverser les plus grandes souffrances que son âme déchue a subi pour restaurer en lui, grâce à la conscience qu’il possède de la nature de sa souffrance, la totalité des rayons de sa conscience qui ont été diffractés dans sa chute. Cette réhabilitation de sa lumière est une réhabilitation de son savoir intégral qui fait de lui un individu dont la conscience ne peut plus être plafonnée par les peurs ou les croyances générées par l’imposition du mémoriel de l’humanité dont la qualité involutive l’a maintenu coupé de lui-même, le rendant impuissant à vivre la grandeur de qui il est. En rétablissant le réel en lui par la traversée de sa déchirure, l’individu touche à l’immensité de sa sensibilité pour la vivre sans se sentir menacé. Cela lui est possible car il a pu traverser sa propre déchirure sans être disloqué par les souffrances qui se sont rejouées dans ses corps. Il en ressort comme un être intégral qui n’a pas besoin de fuir et se voit incapable de domination car lavé de toute peur d’être à nouveau déchu.

REF.: https://lereelensoit.fr/2023/02/28/141-limpossibilite-de-vivre-une-totale-fluidite-dans-la-relation-de-couple/

Sandrine Vieillard

La communication télépathique entre les âmes sœurs en 5 points

 

 

La communication télépathique entre les âmes sœurs en 5 points

 

Le lien existant entre deux personnes leur permet de se connecter à l’un l’autre au niveau du cœur. Ils sont en quelque sorte en mesure d’utiliser la communication sous sa forme la plus pure, connue sous le nom de « télépathie ».

Voici à quoi ressemble la télépathie entre deux âmes sœurs


• Savoir sans trop savoir comment


Même lorsque vous être séparés physiquement, vous êtes tout de même toujours connecté à votre partenaire.

Annonce

Vous arrivez à connaître les sentiments et l’humeur de votre partenaire à tout moment. Vous êtes à jamais reliés par un fil énergétique.

Voir aussi : 4 différences entre les âmes sœurs et les partenaires de vies

• Les pensées similaires


Vous pourriez ressentir que vous êtes une âme complète seulement en présence de votre partenaire. Vous êtes une même âme dans deux corps séparés.

Vous arrivez à connaître les pensées de votre partenaire sans jamais avoir à prononcer un seul mot. Cela ne fait que rendre votre lien plus étroit.

• Les mots important peu


Vous savez communiquer ensemble sans avoir à prononcer un seul mot. Il vous arrive parfois de vous asseoir pendant des heures avec votre partenaire sans rien dire, et savoir tout de même ce qu’il/elle pense ou ressent. Cela est le plus agréable des sentiments que, d’être avec quelqu’un qui arrive à vous comprendre et à vous accepter tel que vous êtes.

Annonce

Votre partenaire a cette formidable faculté de vous aider à mieux vous sentir instantanément, et vous aidera à grandir en tant qu’individu, tout en contribuant à toujours repousser vos limites afin de vous aider à devenir une meilleure personne.

• La communication à travers les rêves


Lorsque les âmes sœurs se connectent à un niveau plus profond, elles se connectent aussi au niveau du subconscient. Elles partageant leurs rêves et arrivent aussi à communiquer ainsi.

• Avoir des goûts et des intérêts communs


La connexion télépathique est une connexion mentale en continue. Au fil du temps, une âme sœur développe des goûts et des idées similaires que l’autre âme soeur, ce qui les aide à rester heureux ensemble.

La télépathie est une connexion entre âmes soeurs qui coule de source. Vous pouvez vous estimer chanceux si vous avez ce lien avec quelqu’un, car il n’y a rien de plus gratifiant que cela.

 

REF.:  https://www.espritsciencemetaphysiques.com/la-communication-telepathique-entre-les-ames-soeurs.html?mibextid=ncKXMA#lewqpk12ncexmvl3jeq

Sur la voie du mariage intérieur

 

 Sur la voie du mariage intérieur
Fusionnel et solitaire : du couple extérieur au nouveau couple

Depuis quelques années, les thèmes de la masculinité, de la féminité
et du couple sont largement développés en psychologie sociale et
comportementale. De plus en plus d'auteurs nous sensibilisent à la nécessité
de faire son mariage intérieur, de réunir le masculin et le féminin en soi.
Pour plusieurs d'entre nous, ces termes demeurent cependant
abstraits et sans liens concrets avec nos vies de tous les jours. La réflexion
que je vous propose par ce texte développe une vision du masculin et du
féminin qui permet à chacun de se reconnaître dans ces deux dimensions de
lui-même tout en lui offrant des pistes pour réunir ces deux polarités en soi.

Lʹapprentissage du Masculin et du Féminin
Tout être humain est mû par les forces opposées et complémentaires
des énergies masculine et féminine qu'il porte en lui. Le féminin c'est
l'énergie qui m'incite à me relier aux autres, à être en relation d'intimité.
C'est une aptitude à l'ouverture, à laisser entrer : à travers elle, je peux
ressentir et vibrer aux énergies des personnes avec lesquelles j'établis la
connexion.
Le masculin fait référence à l'énergie qui me pousse à me distancer
de l'autre, à poser mes limites, à me définir comme être séparé. C'est
l'énergie avec laquelle j'affirme ma différence, j'ose me choisir.
C'est d'abord dans sa famille, à travers la relation à papa/maman que
l'enfant fait l'apprentissage de ces deux énergies. C'est ainsi qu'à travers un
processus de projection inconsciente, il aura appris à utiliser l'une de ces
deux énergies pour alimenter sa vie relationnelle et l'autre pour gérer sa vie
socioprofessionnelle.
Au plan de la vie amoureuse, j'ai ainsi nommé «fusionnelle» la
personne qui se relie à l'autre à partir de son énergie féminine et «solitaire»
celle qui le fait à partir de son énergie masculine. Il est important de saisir
que cette identification ne se fait pas nécessairement en fonction du sexe
biologique. Selon une certaine logique du développement psychologique, on
s'attendrait à ce qu'une femme puisse utiliser son féminin pour alimenter sa
vie affective et son masculin pour maîtriser sa vie extérieure. Or, souvent la
petite fille n'a pas pu bénéficier de ce modèle de féminité en la personne de
sa mère.

C'est ainsi que de nombreuses femmes sont devenues solitaires dans
leur relation à l'autre. Autant d'hommes ont appris à devenir fusionnels en
s'identifiant à leurs pères, donc cristallisés dans leurs pôles féminins quant à
leur vie affective. Ces modèles d'identification et de contre identification sont
à la base de toutes les théories du développement de la personnalité et ont
des conséquences déterminantes sur le choix du partenaire et la capacité
d'engagement au plan relationnel, sur le vécu sexuel et la gestion des conflits
dans le couple.

Prisonniers de schémas répétitifs
Le choix du partenaire obéit à des lois magnétiques reliées à cette
polarisation des énergies masculine et féminine en soi. C'est ainsi qu'étant
fusionnel, je m'attire un partenaire solitaire et vice-versa. Je ne pourrai
me sentir en équilibre avec quelqu'un de même énergie que la mienne : le
trop semblable n'offre pas l'excitation reliée à l'exploration de l'inconnu. Mais
plus je serai polarisé, en fusionnel ou en solitaire, plus mes choix de
partenaires reflèteront ces extrêmes.
Ainsi, dans le pôle fusionnel, j'ai un tel besoin de l'autre pour remplir
mon vide intérieur, que je suis disposé à ouvrir mon coeur à la première
personne qui m'offre un sourire... Je m'attache très vite pour réaliser par
après que l'autre n'est pas disponible car déjà mariée à une autre personne
ou à son job, à ses loisirs, à ses amis... Ou alors j'accepte de demeurer dans
une relation de bourreau/victime subissant la violence physique ou verbale
du partenaire, ne croyant pas que je peux m'assumer dans la solitude.
Cristallisé dans le pôle solitaire, plus j'aurai peur de m'engager, de
perdre ma liberté dans le lien à l'autre, plus je persisterai à m'attirer des
partenaires qui vont s'accrocher à moi, avec tout le désespoir de leur peur de
me perdre. Mon réflexe de survie sera alors de me rendre encore moins
disponible, de multiplier mes activités sociales et professionnelles,
dimensions de ma vie où je sens que je suis en contrôle.
La polarisation fusionnel/solitaire donne ainsi naissance à des relations

de co-dépendance dans lesquelles le fusionnel est en état de « sur-
dépendance » alors que le solitaire retraite dans des comportements d'anti-
dépendance. Ce cycle infernal donne lieu à des comportements de plus en

plus destructeurs chez l'un et chez l'autre et explique la genèse des conflits
dans le couple.

Le conflit : une lutte pour sʹéviter de souffrir
La peur est toujours génératrice de conflit. Quand les peurs de l'un ou
de l'autre partenaire sont réactivées, le couple entre dans une zone de conflit

ouvert ou latent. Au niveau de la vie amoureuse, le fusionnel et le solitaire
sont prisonniers de peurs différentes. C'est quant ses peurs d'être abandonné
ou rejeté refont surface que le fusionnel devient insécurisé et que ses
attentes d'attention, de disponibilité et de prise en charge se multiplient.
Même si le conflit semble porter sur les choses anodines du quotidien, ce
sont les sentiments d'insécurité intérieure, de peur et de panique qui sont les
vrais responsables de la fermeture de l'un ou de l'autre. Ainsi, quand le
solitaire sent que les demandes/attentes de l'autre menacent sa liberté et
réveillent sa terreur d'être envahi et de se perdre, il recourt à sa stratégie
préférée pour contrôler la situation, la prise de distance. Distance physique :
il part, s'éloigne de l'autre et se concentre sur son travail, ses loisirs, ses
amis, etc... Distance psychologique : il crée la fermeture par le conflit,
sachant qu'ainsi il aura la paix pour quelques temps. En effet, le fusionnel a
peur de la colère de l'autre car il se sent rejeté, abandonné. Il est prêt à tout
pour s'éviter cette souffrance reliée à la rupture du lien privilégié.
Dans cette dynamique, il ne faut pas s'étonner que les besoins de l'un et de
l'autre ne soient jamais comblés, que les deux se sentent de plus en plus
insécurisés et à la longue de moins en moins ouverts aux compromis. Dans la
polarisation fusionnel/solitaire, les deux partenaires se sentent perdants : «
si je me choisis, je te déplais » dira l'un, « si je te choisis, je me trahis » dira
l'autre.

Les polarités et la sexualité
Même la vie sexuelle, lieu de rencontre privilégié, sera affectée par les
peurs et les cristallisations associées à chacun des modes relationnels. Le
fusionnel n'a jamais assez de contacts intimes. La sexualité est son moyen
privilégié pour se remplir dans un corps à corps avec l'autre. Il est cependant
en attente, dans la position de recevoir n'osant exprimer clairement ses
besoins qui semblent sans fonds... Il attend d'être nourri au plan émotionnel,
ce qui peut difficilement se vivre avec le partenaire solitaire puisque ce
dernier est surtout ouvert au niveau du sexe physique. Dans cette polarité, la
sexualité est surtout axée sur le faire, les techniques, sur la finalité et
l'orgasme. Peu en contact avec ses émotions pour vibrer de l'intérieur, le
solitaire a souvent besoin d'une forte excitation extérieure pour arriver à
ressentir, à jouir... Ce plaisir qu'il cherche à obtenir et à donner ne répond
que très partiellement aux besoins de sécurisation du partenaire fusionnel.
En état de manque, la rencontre sexuelle rend ce dernier de plus en plus
dépendant.
Les attentes non dites et les émotions réprimées par les deux
partenaires sont quand même captées au plan énergétique et créent des
blocages responsables de nombreuses dysfonctions sexuelles. Tout ce qui

reste inexprimé entre les partenaires affecte l'échange subtil qui s'opère
entre eux lors de la rencontre sexuelle.

Pour réunir le masculin et le féminin
Quels changements suis-je appelé à vivre pour transformer l'impasse à

laquelle me confronte cette polarisation de mes énergies vitales? Rappelons-
nous que c'est la séparation de ces énergies en soi qui nous oblige à les

rechercher à travers le partenaire amoureux. Ainsi, le fusionnel n'a pas
accès à l'énergie de son pôle masculin lui permettant de se dire, d'assumer la
responsabilité de ses besoins, de prendre sa place face à l'autre. Les choix
amoureux s'opèrent sur cette base inconsciente. Le solitaire en manque de
l'énergie de son pôle féminin va lui aussi dépendre d'un fusionnel pour
restaurer un certain niveau d'équilibre dans la dynamique de ses propres
énergies. A travers l'autre, il pourra se permettre de vibrer, de ressentir,
d'avoir un accès minimal au monde des émotions.
Tant et aussi longtemps que je n'arrive pas à reconnaître le scénario
de survie que j'ai adopté pour m'éviter de souffrir, je suis forcé de le
reproduire. Je me sens alors complètement démuni et impuissant puisque je
ne suis jamais dans mon pouvoir de création mais en réaction. Je réagis et je
me protège en me défendant, en me refermant sitôt que l'autre vient
réactiver mes zones de vulnérabilité.
C'est la souffrance que je subis qui va me forcer à vouloir comprendre
l'origine de mon mal être. Et souvent, je repousse toujours plus loin dans le
futur ce moment de confrontation intérieure. Ainsi, je pourrai déjà avoir
plusieurs fois changé de partenaire, croyant l'autre responsable de ma
souffrance. « Si je ne suis pas heureux, me dis-je, c'est sûrement parce que
je n'ai pas encore trouvé mon âme soeur!!! » C'est un vieux réflexe de
solitaire que d'accuser l'autre pour éviter d'avoir à se regarder soi-même!
Les stratégies destructrices de fusionnel sont toutes aussi
dommageables puisque ce dernier se juge, se déprécie et se dévalorise
quand il se sent malheureux, rejeté ou abandonné. D'un côté comme de
l'autre, ce n'est pas la relation d'amour de soi idéale... Et dire que l'on
persiste à croire qu'on pourra trouver et vivre l'amour avec quelqu’un d'autre
alors que cette relation d'amour est totalement inexistante en soi-même!!!
Comment prétendre aimer l'autre quand on est un inconnu pour soi-même?
Comment pourrais-je donner à l'autre ce que je suis incapable de me
donner?

« Tomber en amour » avec soi
Il est évident que l'apprentissage de l'amour débute par soi. Le couple
est un précieux laboratoire pour faire l'apprentissage de cet amour de soi
parce qu'il recrée le premier lien amoureux et réactive les émotions de la
toute première rupture que nous avons subie. Nous avons tous été
imprégnés de ce programme de base et il reste en opération tant et aussi
longtemps qu'il n'est pas repéré, conscientisé et transformé. Mais comment
transformer cette programmation initiale souffrante? Comment dépasser cet
état de séparation intérieure et accéder à l'unité du masculin et du féminin
en soi?
Consentir à regarder le couple et la relation amoureuse dans cette
perspective de changement nous amène à de nouvelles considérations sur le
sens de la vie à deux.
• Le « nous » qui définit le couple, est le lieu de rencontre de deux êtres
avec leurs passés et leurs aspirations pour le futur. Ce « nous » est plus que
la somme de ces deux énergies réunies. Il devient une entité vivante, un lieu
de création, de synergie et de synthèse qui propulse chacun vers le meilleur
de ce qu'il pourrait être. Cet espace de rencontre est le lieu où l'être peut
prendre le risque de se dévoiler dans sa totalité. Cet espace sacré permet un
retour à la « scène primitive », au temps de la première séparation pour
accepter enfin de relever le défi de la guérison par l'Amour.
• Aujourd'hui, à la charnière de mon passé et de mon futur, je suis
consciente que j'ai fait le choix de recadrer tout mon vécu relationnel dans le
sens de cet objectif de transformation.
• La souffrance déclenchée au contact de mon partenaire me ramène à
cette blessure initiale qui demande à être guérie. Elle est un appel à la
compassion pour cette partie de moi-même vulnérable et fragile. Ce qui fait
mal, c'est la résistance, le refus, le jugement que je porte sur l'émotion qui

se réveille. En refusant d'accueillir avec compassion cette partie de moi-
même qui veut s'exprimer, je m'abandonne et me trahis une autre fois... je

maintiens mon état de séparation intérieure, l'état de non amour.
• Mon partenaire est le miroir qui me renvoie à l'autre énergie que j'ai
besoin de développer en moi. Il est mon modèle dans l'apprentissage de
cette façon d'être différente. Je l'ai attiré dans ma vie afin de poursuivre
cette étape de ma croissance affective et spirituelle.
• Le conflit est un signe de bonne santé pour le couple. Il signale que
chacun est à faire l'apprentissage de son individualité, qu'il réveille l'énergie
de son pôle solitaire. Cependant, la résolution du conflit va aussi forcer les
partenaires à puiser dans les ressources de leurs polarité féminine

(fusionnel), ce qui va les obliger à développer l'acceptation, l'accueil de ce
qui réactivé en eux et entre eux.
• C'est souvent le corps qui va exprimer le premier, le mal être réveillé
au contact de l'énergie de l'autre. Toute difficulté sexuelle signale ainsi que le
couple est dans une zone de souffrance niée. C'est un appel au retour sur soi
et au partage des vulnérabilités de chacun, transformant ainsi ce qui fait mal,
le libérant dans un espace d'accueil.
Ce travail amoureux que je consens à faire à travers ma relation de
couple me redonne accès à mes deux énergies, masculine et féminine. Ainsi
libérées, elles deviennent disponibles pour me créer, pour soutenir la vision
de qui je veux être, de ce que je veux vivre. Je deviens désormais
responsable de ma vie. Mes choix reflètent de plus en plus mes besoins
présents. Tout ce que je me donne avec amour peut ensuite être
gracieusement offert à l'autre, aux autres.
Le travail de guérison effectué à travers le « nous » du couple devient
une nécessité pour la transformation planétaire qui est attendue de nous.
C'est d'abord en soi que la paix se développe. Chacun de nous est
responsable de mettre à contribution les talents qui constituent son Essence.
Les forces de création de tous sont ainsi mises au service de la collectivité,
au service de la vision commune que nous voulons créer pour transformer
tous les aspects de la vie sur terre. Car c'est dans l'interdépendance, le
soutien et la coopération que la vibration d'amour créée pourra donner
naissance à ce monde meilleur, celui dont nos âmes se languissent depuis
leur séparation de la Source.

 

REF.: Claire Reid, https://www.claire-reid.com/

Tomber en amour avec soi:

 

 « Tomber en amour » avec soi:


Il est évident que l'apprentissage de l'amour débute par soi. Le couple
est un précieux laboratoire pour faire l'apprentissage de cet amour de soi
parce qu'il recrée le premier lien amoureux et réactive les émotions de la
toute première rupture que nous avons subie. Nous avons tous été
imprégnés de ce programme de base et il reste en opération tant et aussi
longtemps qu'il n'est pas repéré, conscientisé et transformé. Mais comment
transformer cette programmation initiale souffrante? Comment dépasser cet
état de séparation intérieure et accéder à l'unité du masculin et du féminin
en soi?
Consentir à regarder le couple et la relation amoureuse dans cette
perspective de changement nous amène à de nouvelles considérations sur le
sens de la vie à deux.
• Le « nous » qui définit le couple, est le lieu de rencontre de deux êtres
avec leurs passés et leurs aspirations pour le futur. Ce « nous » est plus que
la somme de ces deux énergies réunies. Il devient une entité vivante, un lieu
de création, de synergie et de synthèse qui propulse chacun vers le meilleur
de ce qu'il pourrait être. Cet espace de rencontre est le lieu où l'être peut
prendre le risque de se dévoiler dans sa totalité. Cet espace sacré permet un
retour à la « scène primitive », au temps de la première séparation pour
accepter enfin de relever le défi de la guérison par l'Amour.
• Aujourd'hui, à la charnière de mon passé et de mon futur, je suis
consciente que j'ai fait le choix de recadrer tout mon vécu relationnel dans le
sens de cet objectif de transformation.
• La souffrance déclenchée au contact de mon partenaire me ramène à
cette blessure initiale qui demande à être guérie. Elle est un appel à la
compassion pour cette partie de moi-même vulnérable et fragile. Ce qui fait
mal, c'est la résistance, le refus, le jugement que je porte sur l'émotion qui

se réveille. En refusant d'accueillir avec compassion cette partie de moi-
même qui veut s'exprimer, je m'abandonne et me trahis une autre fois... je

maintiens mon état de séparation intérieure, l'état de non amour.
• Mon partenaire est le miroir qui me renvoie à l'autre énergie que j'ai
besoin de développer en moi. Il est mon modèle dans l'apprentissage de
cette façon d'être différente. Je l'ai attiré dans ma vie afin de poursuivre
cette étape de ma croissance affective et spirituelle.
• Le conflit est un signe de bonne santé pour le couple. Il signale que
chacun est à faire l'apprentissage de son individualité, qu'il réveille l'énergie
de son pôle solitaire. Cependant, la résolution du conflit va aussi forcer les
partenaires à puiser dans les ressources de leurs polarité féminine

(fusionnel), ce qui va les obliger à développer l'acceptation, l'accueil de ce
qui réactivé en eux et entre eux.
• C'est souvent le corps qui va exprimer le premier, le mal être réveillé
au contact de l'énergie de l'autre. Toute difficulté sexuelle signale ainsi que le
couple est dans une zone de souffrance niée. C'est un appel au retour sur soi
et au partage des vulnérabilités de chacun, transformant ainsi ce qui fait mal,
le libérant dans un espace d'accueil.
Ce travail amoureux que je consens à faire à travers ma relation de
couple me redonne accès à mes deux énergies, masculine et féminine. Ainsi
libérées, elles deviennent disponibles pour me créer, pour soutenir la vision
de qui je veux être, de ce que je veux vivre. Je deviens désormais
responsable de ma vie. Mes choix reflètent de plus en plus mes besoins
présents. Tout ce que je me donne avec amour peut ensuite être
gracieusement offert à l'autre, aux autres.
Le travail de guérison effectué à travers le « nous » du couple devient
une nécessité pour la transformation planétaire qui est attendue de nous.
C'est d'abord en soi que la paix se développe. Chacun de nous est
responsable de mettre à contribution les talents qui constituent son Essence.
Les forces de création de tous sont ainsi mises au service de la collectivité,
au service de la vision commune que nous voulons créer pour transformer
tous les aspects de la vie sur terre. Car c'est dans l'interdépendance, le
soutien et la coopération que la vibration d'amour créée pourra donner
naissance à ce monde meilleur, celui dont nos âmes se languissent depuis
leur séparation de la Source.

 

REF.: Claire Reid, https://www.claire-reid.com/