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jeudi 26 janvier 2012

Canada: Crime contre l'humanité

Eau - Ottawa ouvre la porte à la privatisation
Le Canada est «ouvert» à la privatisation de l'eau, dénoncent le Syndicat canadien de la fonction publique. 
© Archives/Agence QMI
Eau

Ottawa ouvre la porte à la privatisation ? Montréal et Québec suivra ?

OTTAWA - Le Canada est «ouvert» à la privatisation de l'eau, dénoncent le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) et le Conseil des Canadiens.
Selon les deux organisations, c'est ce que montrent des documents secrets sur les négociations commerciales entre le Canada et l'Union européenne (UE), rendus publics mercredi par le Réseau québécois sur l'intégration continentale (RQIC) et le Réseau pour un commerce juste.
«Le Canada et les provinces n'ont prévu aucune protection pour les services d'eaux potables et usées contre des règles qui favoriseraient et enchâsseraient la privatisation», ont souligné le Conseil des Canadiens et le SCFP, jeudi, dans un communiqué.
Les deux organisations affirment que le premier ministre Stephen Harper a laissé entendre que le Canada était «ouvert» aux grandes entreprises européennes des eaux qui considèrent que les services publics d'eau constituent une barrière à leurs investissements.
Les documents rendus publics mercredi font état des offres initiales en matière de services et d'investissement faites par le Canada à l'UE, dans le cadre des négociations de l'Accord économique et commercial global (AECG). Les discussions entre Ottawa et l'UE portaient notamment sur la déréglementation de certains secteurs, de façon à favoriser les investissements.
«Même les négociateurs européens demandent que l'eau soit exclue de l'AECG, a souligné jeudi Maude Barlow, présidente nationale du Conseil des Canadiens. Il s'agit d'un immense cadeau offert aux sociétés des eaux par le gouvernement Harper et peut-être par certaines provinces qui veulent faire une plus grande place à la privatisation de l'eau dans nos villes et villages et qui considèrent cet accord de commerce comme un outil pour arriver à leurs fins.»


REF.:

jeudi 5 janvier 2012

Le FMI passe de l'argent et les USA finance le Monde entier, a la manière du Monopoly

Les sommes prêtées par le FMI ont augmenté de plus de 50% en 2011 

 

 

Économie mondiale - Les sommes prêtées par le FMI ont augmenté de plus de 50% en 2011
Le FMI a aujourd'hui des accords de prêt avec 52 États membres, soit plus d'un quart d'entre eux. 
© Archives/AFP photo

WASHINGTON - Le Fonds monétaire international a accru de plus de 50% en 2011 l'encours des prêts consentis à ses États membres, selon des chiffres publiés par l'institution mercredi.
Au 30 décembre, les sommes prêtés par le FMI à ses États membres se montaient à 142,2 milliards de dollars. Calculée en unités de compte du Fonds, les Droits de tirage spéciaux (DTS), la hausse est de 53%.
Ce total ne cesse gonfler: situé en 2007 sous 15 milliards de dollars, il a bondi en 2008 de 119%, en 2009 de 96% et en 2010 de 43%.
Le FMI a aujourd'hui des accords de prêt avec 52 États membres, soit plus d'un quart d'entre eux. Mais quatre membres de l'Union européenne, la Grèce, l'Irlande, le Portugal et la Roumanie, concentrent 55% des crédits qui seront à rembourser à l'organisation de Washington.
Le prêt à la Grèce est devenu en 2011 le plus grand jamais versé par le FMI, avec 20,3 milliards d'euros, dépassant en DTS les montants reçus par le Brésil en 2002-2003.
Mais le plus grand prêt accordé par le FMI reste celui au Mexique, une ligne de crédit dont le pays dispose depuis avril 2009 et qui se monte aujourd'hui à 73 milliards de dollars. Le pays ne s'en est pas servi jusqu'ici et ne compte pas le faire.
En 2011, le FMI a par ailleurs nettement augmenté ses ressources prêtables, grâce à l'entrée en vigueur des «Nouveaux accords d'emprunts (NAE) étendus», un réservoir alimenté par les prêts de 39 États membres.
Les ressources destinées aux pays à revenus moyens et élevés («compte des ressources générales») étaient au 30 décembre de 609 milliards de dollars, laissant au FMI la capacité d'engager encore 386 milliards de dollars pour ses États membres.

REF.:

vendredi 9 décembre 2011

Detroit Destroy

C’était la capitale de l’automobile. Les géants de l’auto GM, Ford et Chrysler semblaient projeter sur Détroit la promesse d’un avenir radieux aux plus beaux jours du rève américain. Aujourd’hui, Détroit n’est plus que l’ombre d’elle-même. Sa population a fui vers d’autres villes. Des quartiers entiers sont dévastés et abandonnés. La ville a décidé de détruire pour reconstruire et les élus municipaux cherchent des solutions. Parmi celles-ci, transformer ces nouveaux espaces disponibles en terres agricoles

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dimanche 27 novembre 2011

L'Europe en avance sur les USA: Enfin la venue de la Monaie Mondiale qui se pointe a l'horizon

Sarkozy et Merkel à Monti - L'écroulement de l'Italie serait la «fin de l'euro»
Le chef du gouvernement italien Mario Monti 
© REUTERS/Yiorgos Karahalis

L'écroulement de l'Italie serait la «fin de l'euro»,et le début de ;-)

MILAN, Italie - Le président français Nicolas Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel ont dit jeudi à Strasbourg au chef du gouvernement italien Mario Monti qu'un «écroulement de l'Italie amènerait inévitablement à la fin de l'euro», a indiqué vendredi le gouvernement italien.
Le président français et la chancelière allemande ont «réaffirmé leur soutien à l'Italie, se disant conscients qu'un écroulement de l'Italie amènerait inévitablement la fin de l'euro, provoquant un arrêt du processus d'intégration européenne aux conséquences imprévisibles», selon un communiqué de la présidence du Conseil italien publié à l'issue d'un conseil des ministres.
Lors du mini-sommet qui a réuni jeudi les trois dirigeants à Strasbourg (est de la France), M. Sarkozy et Mme Merkel ont par ailleurs exprimé leur «confiance» en M. Monti et leur «conviction de l'engagement» de l'Italie «dans l'effort commun destiné à trouver des solutions à la grave crise financière et économique de la zone euro», a ajouté le gouvernement italien.
De son côté, M. Monti a confirmé l'objectif de l'Italie d'atteindre l'équilibre budgétaire en 2013, comme il l'a indiqué jeudi à la presse, et a assuré que Rome adopterait «rapidement» des mesures pour relancer une croissance en panne.
Le conseil des ministres a d'ailleurs déjà «entamé la discussion pour identifier le parcours à entreprendre, le plus rapidement possible, en vue de définir l'enveloppe de mesures à adopter», a encore indiqué le gouvernement.
L'Italie a payé cher vendredi l'enlisement de la crise dans la zone euro avec des taux d'emprunt qui ont bondi à des niveaux record lors d'une émission de dette, au lendemain du mini-sommet de Strasbourg qui a déçu les marchés, Angela Merkel n'ayant rien cédé sur la question d'une implication plus large de la Banque centrale européenne (BCE) pour tenter de juguler la crise.

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