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mardi 17 décembre 2019

Déprogrammer l'obsolescence, un grille-pain à la fois



Déprogrammer l'obsolescence, un grille-pain à la fois

Le droit à la réparation est le remède à l’obsolescence programmée des appareils électroniques et des électroménagers. Mais l'industrie est-elle prête à revoir son modèle d’affaires?



Libellés
obsolescence programmée, achat, consommation, prix, réparation,
 
 
 
Mélissa Pelletier
De plus en plus de personnes réclament des biens plus faciles à réparer. Mais ce virage passe par un changement de mentalité de la part de l’industrie et des consommateurs, toujours tentés par la nouveauté.
En France, une entreprise fait oeuvre de pionnière dans le domaine, mais au Canada, nous sommes encore loin du compte, malgré plusieurs initiatives mises sur pied.
L’équipe de La Facture a vérifié s'il était possible de faire réparer certains appareils à prix raisonnable avec l’aide de plusieurs personnes qui ont répondu à notre appel, lancé au printemps dernier.

Des consommateurs désabusés et coincés

Denise Maurice de Granby a reçu en cadeau un grille-pain T-fal de la compagnie française Seb.
Après seulement un an et demi d’utilisation, il ne grille le pain que d’un côté.
Elle est allée chez un réparateur. Il estime que cela coûtera environ 70 $.
C’est beaucoup trop cher pour Denise Maurice, puisque la valeur du grille-pain est de 80 $. Elle aurait été prête à payer 20 $.
Je me dis que c'est 25 % à peu près du prix initial... [...] Mais au-delà de ça, non! dit-elle.
Mme Maurice a décidé de reprendre son vieux grille-pain.
Je n’embarque pas dans ce jeu-là de payer quasiment le prix du grille-pain au complet pour le faire réparer ni d'en acheter un autre. C'est un non-sens.
Denise Maurice de Granby
Guy Boisvert de Québec a un problème avec son climatiseur de marque LG. Il a payé l’appareil 500 $ en 2012. Cinq ans plus tard, l’évaporateur est défectueux, et pour le faire réparer, il en coûterait 400 $.
LG nous a répondu que le produit a été fabriqué en 2011, et donc que la pièce n’est plus disponible.
Abusif, totalement abusif! On ne peut pas concevoir non plus qu'un bien que l'on répare coûte sensiblement le même prix qu'un bien neuf qu'on achète. C'est totalement illogique, dénonce Guy Boisvert de Québec
Lui aussi aurait été prêt à payer pour le faire réparer, mais pas à n’importe quel prix.
On propose à Guy Boisvert de réparer son climatiseur pour 400 $ alors que l'appareil vaut 500 $.
Photo : Radio-Canada / La Facture
Je serais prêt à investir là-dedans. Moyennant le fait que j'ai la garantie que ça va durer encore un autre cinq ans. Oui, pourquoi pas.
Guy Boisvert de Québec
Bruno Gagnon de Québec, lui, a un iPod qui a arrêté de fonctionner après 13 mois d’utilisation.
« Chez Apple, on ne m’a même pas offert de le réparer. On me donne 50 $ pour que j’en rachète un autre! » déplore Bruno Gagnon.
Il a rejeté l’offre.
J'ai refusé parce que ça me paraît étrange qu'il faille s'en départir sans qu'il y ait possibilité de le réparer. Ça m'horripile vraiment.
Bruno Gagnon de Québec
Nous avons contacté Apple à ce sujet, et nous n’avons pas eu de réponse au moment de la publication.

L’heure est grave

Selon le rapport d’Équiterre Obsolescence des appareils électroménagers et électroniques : quel rôle pour le consommateur?, lors des deux dernières années, les gens ont acquis en moyenne plus d’appareils électroménagers que d’appareils électroniques.
Ce sont les petits électroménagers qui sont les plus populaires à 68,4 %, selon les données recueillies auprès de répondants. Les plus acquis : aspirateur, cafetière/machine à expresso, grille-pain, micro-onde, et mélangeur.
Selon un rapport de l’ONU, les petits électroménagers et les appareils électroniques génèrent plus de 44 millions de tonnes de déchets par année sur la planète.
C’est l’équivalent de 4500 tours Eiffel. Et seulement 20 % de ces appareils seraient correctement recyclés.
Or, à défaut d’être recyclés, une grande partie de ces appareils pourraient être réparés.
Les dernières données disponibles sur le taux de récupération et de recyclage des appareils électroniques et des électroménagers au Québec datent de 2015.
Il a été impossible pour Radio-Canada de les obtenir pour 2019, et ce, même si des écofrais sont exigés pour les appareils électroniques. Ils servent à la collecte, au transport et au recyclage.
D’autre part, aucun programme semblable n’existe pour les petits électroménagers comme les cafetières.
Nous pouvons penser que la majeure partie de ces appareils finit dans les sites d’enfouissement.
Alain Pautrot, vice-président, satisfaction du consommateur et service après-vente, Seb
Photo : Radio-Canada

L’entreprise qui est prête aux changements

L’entreprise française Seb, qui détient notamment les marques T-fal, Moulinex, Krups, All-Clad et Lagostina, a un modèle d’affaires hors de l’ordinaire.
Seb s’engage à ce que ses produits soient réparables pendant 10 ans dans toute l’Europe.
Les produits sont en conséquence conçus pour être plus facilement réparables, démontables et remontables, afin d'être réparés à moindre coût.
Aussi, Seb promet de conserver en stock toutes les pièces de la quasi-totalité de ses produits pendant près de 10 ans après l’achat.
Alain Pautrot, vice-président satisfaction du consommateur et service après-vente de Seb, explique la philosophie de l’entreprise qui a pour but de fidéliser les clients.
Et cette fidélité rapporte : c’est qu’au lieu de faire des profits sur la réparation, les profits sont faits autrement.
Il ne faut pas oublier que si un réparateur accepte de ne gagner quasiment rien en réparant un grille-pain, il est probable qu'il vendra en même temps des filtres pour la cafetière, un balai pour l'aspirateur, fait valoir M. Pautrot. Tout ce complément va ramener les consommateurs à aller chez le réparateur.
Depuis qu'on répare nos grille-pain, à peu près à 85 % des grille-pain en Europe sont réparés. On a énormément amélioré la qualité des grille-pain parce qu'on les connaît.
Alain Pautrot, vice-président, satisfaction du consommateur et service après-vente, Seb

Une lutte qui prend de l’ampleur

La France est le premier pays, en 2015, à avoir légiféré contre la diminution volontaire de la durée de vie des produits électroniques.
L’obsolescence programmée est un délit pénal passible d’une peine d’emprisonnement de 2 ans et d’une amende qui peut atteindre 300 000 euros.
Des plaintes ont été déposées contre Apple et Epson par l’Association HOP/ Halte à l’Obsolescence programmée, ce qui a mené à l’ouverture d’une enquête par le Procureur de la République.
Cette enquête est toujours en cours.
En Italie, en octobre 2018, l’autorité de la concurrence italienne a infligé une amende de 10 millions d’euros à Apple et de 5 millions d’euros à Samsung pour obsolescence programmée.
Les deux entreprises contestent cette pénalité devant les tribunaux italiens.
En 2016, le gouvernement suédois a réduit sa taxe de 25 % à 12 % sur la réparation des vêtements, des vélos, des réfrigérateurs et des machines à laver. Cette mesure vise notamment à inciter les consommateurs à modifier leur comportement.
Aux États-Unis, des projets de loi ont été déposés dans 20 États américains.
Des projets de loi qui incluent par exemple l’accès au plan d’appareils électroniques aux consommateurs et aux réparateurs indépendants.
La députée libérale Lise Thériault est notamment porte-parole de l’opposition officielle pour la protection des consommateurs.
Photo : Radio-Canada / La Facture

Québec s'apprête à réglementer

Au Québec, le projet de loi 197 a été déposé le 9 avril dernier après qu’une pétition eut été déposée à l’Assemblée nationale.
C’est une initiative singulière, puisque la pétition a reçu plus de 45 000 signatures. Il s’agit de la deuxième pétition en importance dans l’histoire du Parlement.
Piloté entre autres par la députée libérale Lise Thériault, le projet de loi veut obliger les manufacturiers à offrir des pièces à prix raisonnables.
La notion de droit à la réparation, c'est comme le droit de mourir dans la dignité, ce sont des droits qui, avec le temps, les gens vont réclamer.
Lise Thériault
Jade Racine, une des étudiantes en droit de l’Université de Sherbrooke à l’origine du projet de loi, explique la problématique actuelle.
C'est souvent les compagnies qui ont le monopole de la réparation, donc des grandes compagnies, qui créent des pièces qui ne sont pas accessibles, qui créent des outils spéciaux pour remplacer les pièces défectueuses, alors c'est souvent un problème pour les gens, dénonce-t-elle, mais aussi pour les réparateurs aussi qui doivent trouver d'autres moyens de faire leur travail.
D’autre part, le gouvernement du Québec a annoncé début novembre un nouveau programme pour récupérer les gros électroménagers ainsi que les climatiseurs sur roulettes.
Le nouveau règlement obligera les manufacturiers à récupérer leurs produits à leur fin de vie utile à compter du 5 décembre 2020.
Il en coûtera 90 millions au gouvernement pour aider l’industrie.
En France, la loi sur l’environnement oblige les distributeurs à récupérer les gros et les petits électroménagers depuis 2014.
L’équipe de « La facture » a demandé à l’électromécanicien Martin Barbeau de tenter de réparer le grille-pain de Mme Maurice. Une tâche pas si simple, malgré les apparences.
Photo : Radio-Canada / La Facture

Le test du grille-pain

Nous avons vérifié comment pourrait se faire la réparation du grille-pain de Mme Maurice.
L’équipe de La Facture a demandé à l’électromécanicien Martin Barbeau d’y jeter un coup d’oeil. Il collabore au projet Les Affûtés, un espace collaboratif où l’on peut apprendre à réparer ses appareils défectueux.
Enthousiaste, Mme Maurice se rend aux Affûtés. M. Barbeau tente d’ouvrir le grille-pain par le dessous. Il y a beaucoup de vis, et elles sont très difficiles à dévisser.
C’est le grille-pain le plus difficile que j’aie eu à ouvrir. Il bat des records.
Martin Barbeau
Il a tenté alors de l’ouvrir à l’aide d’un outil d’une forme particulière, les composantes étant de forme hexagonale, ce qui est inhabituel.
Après une demi-heure de travail, impossible de l’ouvrir par le dessous. Pourtant, c’est la seule façon d’avoir accès au mécanisme.
Mme Maurice et M. Barbeau persévèrent, ils se mettent à deux.
C’est un travail délicat, puisqu’il faut être capable de le remonter par la suite, il ne faut donc pas le casser. Curieusement, les vis tournent dans le vide. Ils découvrent qu’elles semblent être des rivets.
Après plusieurs manipulations, ils se rendent compte que ce sera très difficile de l’ouvrir sans le démolir. Et qu’il sera alors impossible de le remonter. Verdict : il est irréparable.
Étonnamment, le grille-pain T-fal est une marque du Groupe Seb.
Nous avons demandé des explications à Alain Pautrot de Seb. Il nous a répondu que les produits au Canada et aux États-Unis sont des gammes spécifiques pour lesquelles la politique de réparabilité est arrivée beaucoup plus tard. Elle commence seulement aujourd'hui à être mise en place, donc on ne peut pas assurer que des produits qui ont 5 ou 6 ans ont déjà bénéficié de cette politique.
Le défi du grille-pain
L’animateur et journaliste François Sanche en compagnie Sylvain Plouffe, de l’ École de design de la Faculté de l’aménagement de l’UdeM et de Daniel Spooner du département de génie mécanique de Polytechnique Montréal.
Photo : Radio-Canada

Constats

Plusieurs mythes courent sur l'obsolescence. Le principal étant l’agissement des entreprises.
On croit à tort qu’elles fabriquent des produits qui ont une durée de vie prédéterminée.
Pour certains produits, c’est vrai, mais il y a des nuances.
L’expert Sylvain Plouffe, professeur à la Faculté de l'aménagement de l’École de design de l'UdeM, précise que « L'obsolescence est inévitable. Un produit, un service, ou techniquement ça ne fonctionne plus à cause de l'usure, ou à cause des nouvelles technologies, ou parce que c'est carrément usé ».
Il y a aussi chez les usagers ce qu'on appelle l’obsolescence psychologique. Ça ne satisfait pas notre besoin maintenant, on n'est pas à la mode, on n'est pas valorisé, esthétiquement ça convient plus. Et on se débarrasse du produit pour ces raisons-là.
Sylvain Plouffe, professeur à la Faculté de l'aménagement de l’École de design de l’UdeM
Daniel Spooner, maître d'enseignement au Département de génie mécanique de Polytechnique Montréal, définit l’obsolescence comme une perte d'efficacité dans le service rendu. L'offre de service est moins disponible ou plus disponible du tout par le produit duquel on s'attendait.
Les 3 types d’obsolescence identifiés :
• Fonctionnelle et technologique – par défaut fonctionnel, par incompatibilité, par notification
• Économique – réparabilité, rapport qualité/prix, baisse de prix, service après-vente
• Psychologique – esthétique, écologique, tendance
Source  : Rapport « Obsolescence des appareils électroménagers et électroniques : quel rôle pour le consommateur? », Équiterre

Réponse de l’industrie

Malgré les nombreuses initiatives un peu partout dans le monde, les manufacturiers s’opposent sur le droit à la réparation. Ils invoquent la propriété intellectuelle et la sécurité.
L'Association des fabricants d'appareils électroménagers (AHAM) nous a répondu que « les fournisseurs de services autorisés sont tenus de réparer avec les pièces et l’équipement testés qui répondent aux exigences de sécurité et de fiabilité spécifiées par les fabricants ».
Pour ce qui est du projet de loi québécois, l’AHAM nous répond : « Pas un seul État américain n’a adopté de loi sur le droit à la réparation. Plusieurs l’ont considéré et, chaque fois, ils ont conclu que ces propositions sont bien intentionnées, mais qu’elles ne sont pas dans l'intérêt du consommateur. »
Un reportage de l’animateur et journaliste François Sanche, de la journaliste à la recherche Melissa Pelletier et de la réalisatrice Stéphanie Desforges. Le reportage sera diffusé à l’émission La facture mardi à 19 h 30. 


mercredi 25 septembre 2013

Prix: iPhone 5s = coûte 216$ avant la quote du distributeur Rogers , mettons .

IHS révèle les couts de production des iPhone 5S et 5C


Nous connaissions les prix de vente des nouveaux iPhone, nous savons désormais ce qu’il coûte à Apple pour les fabriquer. A partir de 199 dollars pour le 5S et de 173 dollars pour le 5C ,environ.


L’information n’est jamais donnée et pour cause. C’est donc IHS qui, comme il l’a déjà fait, démonté les nouveaux iPhone pièce par pièce pour déterminer ce qu’ils coûtent à produire.
AllThingsD a obtenu le rapport d’IHS qui sera publié demain. Il dévoile qu’un iPhone 5C représente un coût entre 173 et 183 dollars pour un tarif de vente de 549 à 649 dollars. Et la surprise vient de l’iPhone 5S qui, apparemment ne coûte pas beaucoup plus à produire. Selon IHS, son cout de production irait de 199 à 218 dollars. L’assemblage est évalué entre 7 et 8 dollars.
En fait, les deux modèles ne présentent pas d’écart très important en terme de coût. Pour les modèles 16 Go, la différence est de 26 dollars et de 35 dollars pour les 64 Go.
Apparemment, Apple arrive à maintenir les tarifs de ses sous-traitants puisque, toujours selon IHS, l’iPhone 5 de 2012 représentait un coût de production de 205 dollars.
Au vu de ces informations, on est d’abord surpris de la si faible différence entre les 5S et 5C. Les innovations techniques qui équipent le 5S (Touch ID, puces A7 64 bits, coprocesseur M7 …) ne représentent pas grand-chose.
En rognant sur ces marges, Apple aurait pu faire de l’iPhone 5C, un véritable appareil d’entrée de gamme et faire une réelle différence avec son frère et concurrent, le 5S. À moins que la firme de Cupertino ait volontairement monté le prix de vente du 5C pour attirer plus de monde sur le 5S.
Donc,l'iPhone 5S vaut 36 % de sa valeur de vente et le Apple Store fait du 64% de profit ou 433$ par iPhone 5S ,sans oublier que Apple fait de l'argent avec son iTune en mp3,et films ,sans compter vos jeux et application a prix dollarama !

Et qu'un fournisseur de cell comme Rogers doit payer sa bande passante et son investissement au LTE avec ce même profit de 433$ qui diminuera des ses frais en bande passante du réseau LTE de Rogers a payer au gouvernmement Canadien,et récupéré dans votre contrat de 2 ans ,sinon vous payerez ce m^me 433$ au prorata,,,,,,,,,,,,,,,,, gagne de tataaaaaaaa!

REF.:

jeudi 30 mai 2013

Moins de vente et de mise en chantier de maison,meilleur seront ........

Maison à vendre(archives)
La baisse d'activités dans le secteur de l'immobilier s'observera dans toutes les régions du Québec cette année, selon Desjardins, alors que la diminution des ventes conduit à une baisse des mises en chantier.Meilleure seront ............... les prix des logements dans un an  ?

Desjardins confirme la baisse du secteur de l'immobilier:


Le nombre de résidences vendues par l'entremise d'un courtier immobilier a chuté de 7 % en avril comparativement à la même période l'an dernier. Le marché des copropriétés est le plus touché, avec 11 % de diminution, alors qu'une baisse de 6 % des ventes est notée pour les maisons unifamiliales.
Alors que la demande s'affaiblit, le nombre de copropriétés à vendre a augmenté d'environ 25 % depuis le début de 2013 dans la province. Desjardins estime que la situation pourrait mener à un recul des prix à Québec et à Montréal pour ce type de propriété, notamment dans les gammes supérieures. Selon l'institution financière, une diminution d'environ 5 % des prix est possible d'ici un an.
Toutefois, une baisse généralisée des prix n'est toutefois pas à prévoir, puisque le marché des maisons unifamiliales demeure à l'avantage des vendeurs. On observe cependant que la diminution de la demande contribue à stabiliser les prix, qui étaient en continuelle hausse depuis quelques années. La progression générale des prix devrait être de 2,2 % au Québec cette année, comparativement à 3,9 % en 2012.
Les copropriétés accaparent environ 25 % des ventes de résidences à Québec, 30 % à Montréal et 20 % dans la province.
La construction
Par ailleurs, la baisse de régime de la construction résidentielle se poursuit. Le bilan cumulatif des quatre premiers mois de 2013 affiche un recul d'environ 20 %.
Les mises en chantier de copropriétés sont en revanche toujours élevées, bien que Desjardins estime que les mises en chantier de ce type d'habitation au Québec devraient fléchir d'environ 15 % cette année et de 10 % l'an prochain.
Nouvelles règles hypothécaires, baisse de la demande
Desjardins remarque que les nouvelles règles hypothécaires adoptées par le gouvernement fédéral ont limité les possibilités des futurs acheteurs, engageant une tendance à la baisse, particulièrement sur la vente des copropriétés.
L'institution explique la situation par le fait que plusieurs jeunes ménages qui misaient sur l'achat d'une copropriété en raison du coût nettement plus abordable que celui d'une maison unifamiliale ont dû reporter leur projet.
En juillet dernier, le gouvernement fédéral a entre autres fait passer de 30 à 25 ans la durée d'un prêt hypothécaire et a fixé le remboursement maximal brut du total des prêts hypothécaires des emprunteurs à un maximum de 39 % de leurs revenus.


mercredi 27 mars 2013

Jujubes gratiche dans tout mauvais dépanneurs ?


3720 $ d’amende pour une erreur de 30 ¢

Un produit étiqueté 2,59 $ mais vendu 2,89 $ coûte très cher à un entrepreneur

PHOTO LE JOURNAL DE MONTRÉAL, STÉPHAN DUSSAULT
Un employé d’une station-service a refusé de donner un sac de jujubes à un client qui lui a mentionné un écart entre le prix affiché et le prix à la caisse. Ce qui a conduit l’OPC à imposer une amende de 3720 $ au propriétaire de la station.









Le propriétaire d’une station-service de Montréal vient d’apprendre qu’on ne badine pas avec la politique d’exactitude des prix.
Plus de trois ans après la bourde d’un de ses employés qui lui a coûté très cher, Léon Méthot ne décolère pas. Au point qu’il a fallu lui tirer l’oreille pour qu’il raconte sa mésaventure au Journal.
L’histoire commence bêtement en octobre 2009 dans sa station-service Esso du boulevard de Maisonneuve, à Montréal.
Un client achète un sac de jujubes. Le prix affiché sur le contenant est de 2,59 $. Une fois à la caisse, le lecteur optique affiche 2,89 $.
Un écart de seulement 30 ¢, mais le consommateur connaît ses droits. Il sait qu’en cas d’écart de prix, le commerçant doit lui donner les jujubes, étant donné que les sacs ne sont pas étiquetés individuellement.
Cher le jujube
Or, la bourde la plus importante a été commise par l’employé, qui a refusé de lui donner le sac de jujubes.
Le client n’a fait ni une ni deux, il a porté plainte à l’Office de la protection du consommateur (OPC).
L’enquêteur de l’OPC a constaté l’erreur, et un très long processus judiciaire a commencé, pour se terminer le 20 mars dernier lorsque le détaillant a été condamné à verser une amende totale de 3720 $, soit 2510 $ pour la station-service Esso et 1210 $ pour le dirigeant de la station-service, Léon Méthot.
Sévère
«C’est une amende très sévère, peste M. Méthot. Mais bon, j’ai payé et je veux passer à autre chose.»
«C’est un privilège que nous accordons aux entreprises, de ne pas étiqueter les produits. Cette mesure désavantage le consommateur», rappelle Réal Coallier, directeur régional à l’OPC.
«C’est pourquoi il faut que ce privilège soit bien utilisé, poursuit-il. Des amendes dissuasives vont les inciter à être vigilants et à bien informer leurs employés sur les mesures à adopter en cas d’erreur.»
Léon Méthot dit qu’il explique bien les choses à ses employés. «Et celui qui a refusé de donner le sac de jujubes au client a été congédié», assure-t-il.
Cette politique de prix est appliquée de façon inégale, même 12 ans après sa mise en vigueur. Si les erreurs de prix sont toujours fréquentes, les excuses invoquées pour ne pas donner le produit sont encore nombreuses, a récemment constaté le Journal.
Une fois, on nous a dit qu’un employé était en train d’ajuster les prix au moment de l’erreur. À un autre moment, on a prétendu que l’erreur pouvait être corrigée sans frais tant que le montant n’avait pas été payé par le consommateur. Des explications qui ne tiennent pas la route.

• Dans de très rares cas, le prix à la caisse est plus bas que celui indiqué sur la tablette. C’est alors le plus bas des deux prix qui prévaut, dit la loi.


dimanche 1 avril 2012

Essence: un cent à chaque 1er avril jusqu'en 2013 pour financer le développement du transport en commun et l'amélioration des routes ?

Taxe sur les carburants - Le prix de l'essence augmente encore d'un cent
 
© Agence QMI / Archives
Taxe sur les carburants

Le prix de l'essence augmente encore d'un cent

MONTRÉAL – La taxe sur les carburants a augmenté d'un cent ce dimanche pour la troisième année de suite, tel que prévu dans le budget 2010-2011 du ministre des Finances, Raymond Bachand.
Le gouvernement de Jean Charest avait en effet décidé de hausser le prix de l'essence de 4 cents en quatre ans, à raison d'un cent dès le 1er avril 2010, puis d'un cent à chaque 1er avril jusqu'en 2013 pour financer le développement du transport en commun et l'amélioration des routes.
À l'époque, l'association canadienne des automobilistes (CAA-Québec) avait réagi en prévenant que cette augmentation de la taxe sur l'essence d'un cent par année, échelonnée sur quatre ans, et soumise à la hausse de la taxe de vente du Québec, aurait un impact au bout du compte d'environ 6,5 cents le litre de carburant.
Une taxe urbaine additionnelle de 3 cents le litre s'applique par ailleurs sur l'essence vendue à la grande région de Montréal et les municipalités avoisinantes, situées sur le territoire couvert par l'Agence métropolitaine de transport.
Le gaz naturel et le gaz propane, les solvants dérivés du pétrole, l'essence destinée à des usages chimiques, et le mazout coloré acquis afin d'alimenter un moteur non propulsif ou certains moteurs propulsifs ne sont pas assujettis à la taxe sur les carburants.


REF.:

mercredi 21 décembre 2011

Pétrole: Le bilan des prix du pétrole et de l'essence au Québec un désastre pour 2011

la moyenne du prix de l'essence ordinaire a Mtl en 2011 est de 1,358$/L selon ressources naturelles canada !$! et non 1,23$/L du journal de Montrèal et sa journaliste recherchiste !
Mais, ces chiffres pris par resseouces naturelles canada représente pas la guerre des prix du secteur Mtl,alors ces chiffres devraient être de 6,66 cents/Litre de plus ,que les automobilistes Montréalais payent a la pompe,soit 1,41$/Litre plus souvant qu'autrement ! Parce que gazer a 5:00 hrs le matin ou qu'en tu as pas ta paye avant le jeudi ,la guerre des prix est du Dimanche au Mercredi ,le plus souvant et faire 40 km de plus pour gazer(prix coupé) en périphérie de Mtl c'est pas tout le mode qui le fait !

Hausse majeure du prix de l'essence en 2011 !



Les automobilistes québécois ont creusé au fond de leurs poches pour rouler à l'essence, cette année, avec un prix au litre qui a augmenté de 21%,(selon Ressources naturelles canada en 2011 c'est 24,3% d'augmentation) un record depuis 10 ans. Par contre, la facture d'électricité et de gaz naturel s'est avérée moins lourde.
Les plus récentes données de la Régie de l'énergie montrent effectivement que le prix de l'essence à la pompe, au cours des 50 dernières semaines, a subi de fortes pressions.
Alors que le prix moyen d'un litre d'essence ordinaire était de 1,06 $, en 2010(1,14$/L selon Ressources naturelles canada), il s'est hissé à 1,28 $, en moyenne au Québec,(c'est faux,car du 1,49 on n'en a vu souvant ,et Ressources naturelles canada calcule le prix moyen a 1,358$/L  a Mtl  !$!) pour l'année 2011. Il s'agit donc d'une augmentation considérable de 21 %(ou de 24,3% selon Ressources naturelles canada) qui a été payée par les automobilistes québécois en 2011.(selon le site gouvernemental "Ressources naturelles du Canada" la moyenne du prix de l'essence Montréalaise était de $ 1,358/Litre pour pas dire 1,36$/L  )
Le CAA-Québec, qui publiera aussi son bilan des prix du pétrole en début d'année, constate qu'il s'agit d'une augmentation importante et considère que des explications devront être fournies.
Record
Depuis 2003, c'est la première fois que la hausse du prix de l'essence est si prononcée à travers la province. En 2010, les consommateurs avaient payé 9,6 % plus cher.En 2011 ce sera bien plus que 9,6%  !$! L'année précédente, ils avaient plutôt assisté à une baisse de 18 % du prix au détail.
Par contre, la Régie de l'énergie note que la croissance des tarifs a été moindre au détail que celle du prix du pétrole brut sur les marchés. Notamment, le prix du Brent, qui est celui de référence pour la majorité des raffineries du Québec et de l'est du pays, est passé de 51,6 cents, en 2010, jusqu'à 68,4 cents pour 2011. Il s'agit donc d'un bond de 32,4 %.(mais tout le monde saient que les raffinerie et les taxes du gouvernement sont en fonction du prix de l'essence,a la pompe,c'est plus que 32,4% les amis)
Par région
Dans la région de Québec, les automobilistes paient présentement 1,24 $ pour un litre d'essence vendu à la station-service comparativement à 1,18 $, en janvier. C'est une augmentation de 5 %. C'est en avril que le prix de l'essence a été le plus élevé de l'année, alors qu'il se vendait 1,36 $ dans la capitale.(on a vu du 1,49 a Mtl ???? et plus $$$)
Du côté de Montréal, l'essence se vend actuellement 1,23 $(non,c'est 1,249), soit à peine un cent de plus qu'au 1er janvier 2011. Donc, le prix de l'essence à Montréal est demeuré stable en 2011(ceci est complètement faut  !$!), tandis que les gens de Québec ont absorbé une augmentation de 5 %.
Consolation
Mince consolation pour les consommateurs québécois puisque la facture d'électricité a subi une diminution. Les tarifs ont légèrement chuté (0,4 %), mais le répit est de courte durée, car Hydro-Québec réclame une nouvelle hausse de 1,7 % en 2012.
Quant au gaz naturel, les prix ont été réellement avantageux, cette année, étant en baisse de 6,5 % comparativement à l'année 2010. Ils seront à nouveau en baisse (-1,7 %) en 2012.







 Augmentation 0% ??? a Mtl,.................................pas si sûr que ça ! Comment peut-on arriver a ce chiffre ,si la moyenne du prix au courrant de l'année 2011 avec des sommets a 1,488$/L ,on arrive a 1,358$/L selon le site Ressources naturelles Canada ??? La journaliste a pris le prix des 4 semaines janvier 2011 diviser par 4 = ??? Non,car le 4,11,18 et 25 janvier 2011 c'était 1,213$/L et 1,225 et 1,301 et 1,30 = pour un total de 5,039 divisé par 4 = $1,259/L ,et non 1,23$/L ????,on est 2 cents de plus !!!! Alors que Décembre 2011 on l'a sous les yeux ici a Mtl ! Déja le prix actuel de Décembre est a 1,24$/L ! La moyenne de Décembre 2011 pour les 3 semaines sont de $1,391/L et 1,294 et 1,283 = ça donne $1,322/L ont est loin du 1,23$/L du journaliste Annie St-Pierre du journal de québec pour pas dire du Jrn de Mtl !


 Il faut dire que la journaliste du journal de québec ,Annie St-Pierre ne calcule pas comme il se doit la moyenne du prix au québec,avec sont augmentation de 21% du prix de l'essence,pas si sûr que ça !








Qu'est-ce que nous allons payer en 2012? ,si les moyenne(R.N. canada) juste pour les années 2010-2011 ça varie de 1,14 a 1,358$/L pour une moyenne de 19,12% d'augmentation ,ce sera alors nous qui payerons $1,616/L soit plus de 25 cents d'augmentation!$!
Tout ceci va avec la politique du carbone (que l'ont voit avec le plan nord)et des réductions des GES pour faire marché l'économie Mondiale et implanter les autos électriques ! Si Hydro Québec est capable de débrancher 55,000 usagers en 2011,et que l'énergie électrique est toujours en expantion ,le prix de l'électricité va t'il augmenter lui aussi a la même vitesse que nous salaires ?
Baaaaaaaah ahhhhh on avait eu 33% d'augmentation en moyenne pour 2009,car on était passé de 0,868 a un sommet de 1,156$/L ,pour environ 1,03$/L de moyenne durant l'année 2009,sans qu'ont si oppose et que les gouvernements nous taxe maintenant en 2011 = 10 cents/Litre en  d'accise,TPS 5% , TVQ 8,5% (c'est environ 18,36 cents du dollard d'essence ),et Mtl avec sa taxe de 3 cents !
Le 1,24$/L de cette semaine ,et que nous payons en Décembre 2011,est juste un baume pour nous faire avaler la pilule du prix 2012 !
C'est plus de 36,36 % ou 36,36 cents de taxes de toute sorte qu'ont paye ,si le prix est a 1,00$/L ! Ou mettons  pour 1,358$/L c'est 49,38 cents/Litre !
Et Vancouver paye de plus que nous 4,45 cents par 1,00$/Litre de "taxe sur le carbone",mettons que Mtl arrivera a nous la mettre un jour ou l'autre !

exemple:

Taxes sur l'essence quand le prix à la pompe est d'un dollar par litre
(cents le litre)



Taxes en date du 1er juillet 2010(la TVQ est actuellement de 8,5% )



* Voici le graphique du prix de l 'essence ordinaire en 2011 a mtl(monter ci-dessus) !
REF.: