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mercredi 21 décembre 2022

Projet de Loi dans le réseau Santé de M.legault: Vers un projet de loi contre les agences privées en santé

 

 

Projet de Loi dans le réseau Santé de M.legault: Vers un projet de loi contre les agences privées en santé

Le gouvernement Legault songe fortement à légiférer pour freiner l’exode d’employés et les coûts exorbitants

Le gouvernement Legault songe fortement à un projet de loi pour rendre les agences privées moins attrayantes l’an prochain afin de freiner l’exode des infirmières du réseau public de la santé et les coûts faramineux qu’engendre cette pratique. 

• À lire aussi: Transferts en santé: Legault encouragé par l’ouverture de Justin Trudeau

• À lire aussi: Legault : mandat fort, mais demandes à Trudeau faibles

« Je suis très à l’aise de considérer un projet de loi pour encadrer le recours aux agences [privées] », confirme au Journal le ministre de la Santé, Christian Dubé, laissant entendre qu’il pourrait être au programme dès le retour à l’Assemblée nationale, le 31 janvier.

Il s’agit d’une demande de la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ), qui négocie actuellement une nouvelle convention collective avec le gouvernement. 

Le syndicat des infirmières demande « de prévoir un mécanisme afin d’éliminer progressivement le recours à la main-d’œuvre des agences privées de placement ».

En ce moment, des millions d’heures sont comblées par de la « main-d’œuvre indépendante » dans le réseau de la santé, c’est-à-dire des travailleurs provenant d’agences privées embauchés à fort prix pour combler les quarts de travail où il manque du personnel. 

Souvent, ces travailleurs ont quitté le réseau public pour aller en agences privées, profitant de meilleures conditions.

  • Écoutez l'entrevue avec Françoise Ramel à l’émission de Philippe-Vincent Foisy diffusée chaque jour en direct via QUB radio : 

Près d’un milliard

Cet été, Le Journal rapportait que la main-d’œuvre indépendante (MOI) avait coûté plus de 875 millions $ d’avril 2021 à mars 2022, selon les données du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS).

Un montant qui a plus que triplé en trois ans.

De plus, avec la levée des mesures d’exception en lien avec l’état d’urgence, entrant en vigueur au 31 décembre, certaines balises imposées aux agences de placement par le gouvernement seront caduques. 

Elles prévoyaient par exemple une période de 90 jours interdisant à un employé qui a quitté le réseau public de revenir y travailler en passant par une agence. Les établissements devaient aussi prioriser les agences pour les quarts de travail « défavorables », comme la nuit.

Or, le ministre Dubé admet que plusieurs CISSS et CIUSSS ont continué d’offrir de beaux quarts de jour aux travailleurs d’agences privées, en raison de la pénurie, même s’il avait demandé que ces quarts soient donnés en priorité aux employés du réseau.

« Ce que je veux dire aux employés, c’est d’y penser à deux fois avant de quitter [le réseau public] pour les agences », lance Christian Dubé, à propos de ses intentions. 

Il dit qu’il n’a pas « l’intention de lâcher le morceau » et que son objectif est de récupérer les employés perdus ces dernières années au profit des agences. Il assure qu’il a aussi l’intention d’améliorer les conditions de travail pour rendre le public plus attrayant.

Le ministre de la Santé et des Services sociaux reconnaît néanmoins qu’il n’est pas réaliste de penser mettre fin au recours aux agences du jour au lendemain et que les besoins diffèrent d’une région à l’autre.

Il songe cependant à aller plus loin qu’une simple directive ou un autre décret pour encadrer les agences, puisque le précédent n’a pas freiné le recours aux agences.

 NDLR.

 Nota: D'autres révélations le 29 janvier 2023 ,sur le fond du problême des hrs données aux Agences(C'est notre impôt)cela cache la manière que nos gestionnaires gestionnent les employés du réseau santé depuis plus de 15 ans et fuient le réseau santé ,même pour aller vers les agences privées!!! Et c'est plus que des infirmières syndiquées ,il y a des pab, Asss,non syndiqués,etc aussi!!!

Demander a Alain Croteau les conneries du Ciusss (Ex-Lisette-Dupras),le fond du problême C'était quoi ? le traitement des employé et non ce qui est écrit dans le journal de mourial https://www.lapresse.ca/actualites/sante/201108/05/01-4423602-170-auxiliaires-familiaux-disent-avoir-ete-congedies-injustement.php

et aussi https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/477474/lisette-dupras-tutelle et c'était pas 170 employés c'était 600 et en 2011 le 1 avril(c'était pas un poisson)ils en réengageaient le même nombre ,les licenciers recevaient une enveloppe d'argent pour compensation, et la on passe le bévu d'un câdre qui avait parti avec la caisse $$$ ;-)Si vous parler un ex-employé du CRDITED ou a un asss du crdited qui a plus de 12 ans d'ancienneté il a travaillé pour Lisette-Dupras c'est clair!!!

M. Legault,aller donc chier ;-)Ça fait longtemps que Dubé te l'as dit,et que des journalistes d'enquêtes sont déja au courrant de toute l'histoire qui sortira bientôt,......................... Vous êtes en retard,pour votre projet de Loi,le mal est fait,les salariés contractuels des CLSC au salaire minimum du programme '' Chèque Emploi Service'',vont désertés aussi ;-) Les journalistes ,même le simple citoyen n'y croit plus ,vous voulez le chaos continuer Monsieur le Capitaliste,(ancien pdg d'Air Transat)

REF.:  https://www.journaldemontreal.com/2022/12/20/vers-un-projet-de-loi-contre-les-agences-privees-en-sante

jeudi 10 février 2022

Intimidation médicale ? Joke ou infirmière toxique ?

 Intimidation médicale ? Joke ou infirmière toxique ?

Quoi ça existes-tu vraiment en 2022 ?

Retrouvé sur le web !!!



 

A la clinique: Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles (avenue Ash)

500 avenue Ash
H3K 2R4


 C'est dommage, ...... Collatéraux ??

 

ref.: vu sur le web !

jeudi 26 mai 2016

Cigarette: On va tu se mettre a chiquer maintenant pour être en loi ?

Voici où vous ne pourrez plus fumer dès le 26 Mai

À compter de demain, les fumeurs de cigarettes et de cigarettes électroniques devront respecter plusieurs nouvelles interdictions.
Ils ne pourront plus fumer sur les terrasses des restaurants et des bars, ni dans la voiture quand une personne d'âge mineure est à bord, ou dans les parcs et terrains sportifs pour enfants.
Voici les nouvelles interdictions en détails :
  • dans les véhicules automobiles, lorsque des personnes de moins de 16 ans y sont présentes;
  • dans les aires communes des immeubles d’habitation comportant de 2 à 5 logements;
  • sur les terrasses commerciales, incluant celles des restaurants et des bars;
  • dans les aires de jeux extérieures pour enfants;
  • sur les terrains sportifs et les terrains de jeux;
  • sur les terrains des camps de vacances;
  • en tout temps, sur les terrains :
    • des centres de la petite enfance et des garderies;
    • des établissements d’enseignement :
      • préscolaire,
      • primaire,
      • secondaire, y compris les centres de formation générale aux adultes et les centres de formation professionnelle.
Ces dispositions de la nouvelle loi antitabac, votée en novembre dernier, n'étaient pas encore entrées en vigueur.
L'objectif principal est de limiter l'exposition des enfants à la fumée secondaire.
Les fumeurs pris en flagrant délit et les établissements où ils se trouvent risquent des amendes.
D'autres règles s'appliqueront à compter des 26 août et 26 novembre prochains.
Voici le calendrier détaillé de la loi antitabac.


Source.:

jeudi 13 novembre 2014

La délation est érigée en système,c'est la chasse a l'Homme ?


PIERRE FOGLIA

La chasse à l’homme



La Chasse a l'Homme:.....a quand la chasse a la Femme ?

-Je commencerai par dire que je n’ai jamais violé personne, je trouve que ça se place bien dans la conversation ces jours-ci. Reste que je suis un homme, et comme homme, je suis un violeur potentiel, oui madame, c’est comme ça qu’on disait dans les années 70-80, violeur potentiel. Marilyn French, Judith Lewis Herman, Susan Brownmiller dans Against Our Will : Men, Women and Rape : « de tout temps le viol est le moyen par lequel tous les hommes ont maintenu toutes les femmes dans un état de peur et d’asservissement ».
Pour Brownmiller, qui a été dans les années 70-80 la Simone de Beauvoir américaine, il y a deux sortes d’hommes : les violeurs et ceux qui sont farouchement contre le viol, mais ceux-là sont peut-être encore pires, ils défendent ce qu’ils considèrent comme leur propriété exclusive, le vagin de leur (s) femme (s).
Ce qu’il y avait de pratique avec les féministes de ces années-là, c’est qu’elles ne dénonçaient personne en particulier, elles fourraient tous les hommes dans le même grand panier et rabattaient le couvercle. On y était au chaud et solidaires, on continuait comme si de rien n’était à faire nos jokes d’épais, les épais n’ont jamais été aussi épais qu’à cette grande époque de féminisme radical.
Ce qui est beaucoup plus embêtant sur Twitter et Facebook ces jours-ci, c’est qu’on y dénonce aussi les hommes, mais un par un. Mon oncle. Mon père. Mon prof. Mon coach. Mon mari. Mon boss. Le type dans le métro. L’animateur de Toronto. Les deux députés libéraux. Au fait, sait-on ce qu’ils ont fait, ces deux-là ? Des beaux salauds, anyway. Tolérance zéro. Une main baladeuse ? Qu’on la coupe.
C’est ce climat un peu « Allemagne de l’Est » qui me fait revenir sur le sujet de l’heure même si, après les douloureuses affaires DSK et Polanski, je m’étais juré : plus jamais. J’ai résisté jusqu’à ce que j’entende à la radio un extrait d’une confession sur Twitter qui disait : « j’ai été agressée par quelqu’un de très connu ». Précisément ce genre de déballage qui me tue. Exactement ce genre de confusion entre dénonciation (d’une situation) et délation (la dénonciation d’une personne).
Mais plus que de la délation. On parle ici d’un système, d’un mouvement, d’une thérapie collective ayant pour ressort la délation.
Ce n’est pas le coup de téléphone aux flics pour dénoncer un voisin qui fait pousser du pot, c’est un appel à tous, thérapeutique : dénoncez, dénoncez, cela vous fera du bien.
Chaque fois que la délation est érigée en système, chaque fois elle sert à de tragiques règlements de comptes.
Combien de fausses accusations d’agressions dans les divorces ? Plus des trois quarts des profs accusés d’agressions sexuelles, aussitôt suspendus et mis au ban de la société, sont, à la fin de l’enquête, complètement blanchis, et complètement détruits même si ce sont les enfants qui mentaient.
Pour les féministes de mon temps, le viol était l’ « acting out » d’une attitude commune à tous les mâles, la suite logique du regard que tous les hommes portaient sur la fille qui passe. Depuis, on est rentré dans le détail. Qu’est-ce qu’un viol ?
Le mari rentre émoustillé de son party de bureau, sa femme endormie dit non. Il dit oui pareil. C’est un viol.
Sauf que le plus souvent, elle ne dit pas non. Elle dit rien même si elle n’a pas envie. Une agression sexuelle ?
J’ai connu une fille qui couchait de temps en temps avec un ministre. Il l’appelait quand il avait un moment. Telle heure, telle chambre. Des années plus tard, j’ai entendu la fille (qui était une collègue) rationaliser que c’était un rapport d’autorité entre un homme de pouvoir et la pauvre petite oie blanche qu’elle était à l’époque… C’était pas faux. Je me suis permis de l’envoyer chier quand même.
J’ai connu une étudiante qui a épousé son (vieux) prof, ils ont eu un de ces divorces tumultueux qui font revoler les gros mots, as-tu dit viol, ma chérie ? T’oublies que j’étais là.
Tu comprends pas.
Mais si. Très bien. Il t’a séduite du haut de sa chaire de prof, du haut de son autorité, de l’aura de sa réputation, c’est toi qui as sauté dessus, mais c’est lui qui t’a violée, tu parles que je comprends.
Vous allez hurler. Je connais une fille que son mononcle taponnait, un bien grand désagrément, résume-t-elle, mais un traumatisme ? Pas vraiment. Sauf le traumatisme de… de ne pas avoir été traumatisée.
Vous me faites penser, j’en connais une autre qui n’en faisait pas un plat non plus (ni un plaisir), vous la connaissez aussi, Marguerite Yourcenar, son oncle aussi, je crois…
Où je veux en venir ? À quelques vérités qui n’en sont pas. Non, l’émancipation ne passe pas par une grande chasse à l’homme. Non, on ne guérira pas du viol sur Facebook et Twitter. On en guérira avec le temps qui, en ce domaine comme en tant d’autres, avance à tout petits pas, d’autant plus petits qu’on a coupé dans les cours d’éducation sexuelle.
Si cela fait du bien de parler à une majorité de femmes, d’autres qui n’ont pas envie de raconter leur histoire ne sont pas sans courage pour autant. N’y en aurait-il qu’une seule que cette grande lessive rebute, une seule qui s’étant reconstruite pendant des années dans le secret du cabinet de son psy s’est sentie bousculée – allez, parle, nom de Dieu, parle – une seule, cette chronique est pour elle.

REF.:

vendredi 5 octobre 2012

Dette d'études : Comment casser une opposition de libération de faillite ?

Ah,beaucoup de travailleur a faible revenu travaillant pas dans leur domaine de leur formation,ou étant prestataire de chomage ou D"Aide de dernier recours, en deuxième faillite. Wow ! ,................ 2 ans de petits versements a votre Syndic de faillite !

Vous protège t'il assez ? ou trop, au profit d'une opposition d'un créancier frustré ?

Le système des réclamations de faillite des syndic est désuet,car ceux-ci en évaluant vos actifs passifs, ne revise pas vos mensualités a vos créanciers(comme le MEQ: Min. de l'éducation)et ceux-ci ne savent pas que vos revenus ont augmentés ,même si votre Syndic a l'info et que vous devez l'en mettre au courant !

Re-Wow ! Le MEQ s'oppose a toute libération de faillite ,mais vous aurez a contacter un bureau d'avocat pour vous défendre ,qui sera suggérré par votre syndic ,vous disant c'est eux les spéçialistes qui vous représenteront.A 125$/hr,vous aurez 3 rencontres,la première un 125$ facile pour votre avocat ,il remet la cause 1 mois plus tard ? WoWoW ! vous perdez votre journée de travail au complet et votre transport a payer ! Sans compter que le MEQ a la facheuse mani de prendre vos TVQ ex-Solidarité sans votre avis ,alors qu'ils n'en ont pas le droit ,si c'est post-faillite !!!$$$!!!

Oui,le MEQ vous remboursera ,c'est la Loi !

Mais rendu a votre Libération de faillite : La 3ième rencontre au palais de justice au 16 ième(le 11ième c'est leur quartier)si vos chiffres sont bon et que vos copies de factures corresponde a vos dépenses,que votre nom n'est plus solvable que vos comptes sont a votre ex encore et que c'est vous qui êtes dans sont logement et qu'elle est sur le BS en attendant de vous emenez en cours pour un divorce,ou que votre employeurs para-publique vous met en liste de rappel et vous allex être transférez en dehors dla ville avec pas le choix d'acheter une auto et de changer de lunette qui sont casser et que votre dentier d'en bas est finit,que vous devez rembourser des ex-créanciers hors faillite comme votre Mère,que votre proprio vous emmène a régie du logement si vous payer pas plus,................faut probablement accepter un offre de paiement de dette de ,par exemple $12,000 (SUR UNE ENTENTE HORS COUR)d'une dette de 50,000$ qui a été soufflé a 200% d'intérêt ,sur un prêt étudiant d'il y a 10 ans ,et que vous mettez vos impôt fed prov avec votre faillite ,le juge lui va être simpathisant a votre cause.C'est sûre que les frais d'avocats devront être oublier et classés dans la filière 13 ! Le juge sait que nous sommes en crise économique ,et qu'il a pas le choix d'accepter l'entente hors cour !

La seul manière que votre syndic de faillite(et la,ce n'est pas un dépôt volontaire) ne vous protègera plus, c'est lorsque vous payer plus ,malgré votre contrat fini (2 ans pour une deuxième faillite)avec le syndic et que le MEQ vous poursuit (opposition a votre libération de faillite)avec une saisie de salaire(facilement 50% du salaire).C'est la, qu'il vous faudra une entente hors cour , le MEQ vous écoutera ! Et vous verrez tout se calculera pour le montant initiale de l'emprunt que vous aviez fait ,avant les intérêts, et qui représentera des montants mensuels jusqu'a votre âge de pension(travailleur) de environ 65 ans ,c ki le cave !

Sinon le MEQ sans foute,et votre avocat veut reportera votre cause a plus tard (pro forma)pour empocher un autre 125 $,tant que l'étudiant n'a pas payé toute la facture,alors représentez vous, seul : c'est a dire avec une entente hors cour ,avec le MEQ ! Sinon,vous serez en centre d'acceuil et vous vous rappellerez plus pourquoi ,vous n,avez pas assez d'argent pour payer vos cigarettes au CHSLD et que le personnel soignant essaye de vous expliquer que vous avez perdu la mémoire et que le MEQ lui a de la mémoire  !  ;-)

J'ai vu bien des ex-étudiants accepter de payer leur dette étudiante a 9,000$ sur un prêt de 13,000$ ?
Aussi bien continuer ses études LOL ! Car a n'importe quel prix le montant a verser sera sans intérêt pendant un temps illimité ,pensez-s'y , a l'approche de la soixantaine sans les revenus de TPS ou Solidarité ,vous aller vous en foutter au centre d'acceuil !Et quand vous voyez les yeux et le sourire compatisant d'un juge ,envers le préentente et de la décison de l'avocat du MEQ,vous vous rendez compte que le MEQ a saigné l'ex-étudiant en lui imposant de payer la presque totalité de ses prêts étudiants!L'étudiant aurait-dû contesté l'entente devant le juge et de refusé ce que les avocats du MEQ lui proposait!

La première constatation porte sur les causes des difficultés financières qui ont emmené ces personnes à consulter un syndic:
Insuffisance de revenus : 35 %
Chômage : 18 %
Surendettement : 12 %
Alors pensez-s'y les amis !
Alors le bullshit du MEQ actuellement est un maigre 15% de réduction,.....c qui le cave  ? Vous ou les Mecs du MEQ !




Avec les années le Ministère du revenu Qc ,essayera de vous priver des montants de remboursement, de votre rapport d'impôt, que vous avez droit grace a votre syndic de faillite!
Vous avez juste a le redemander a Rev. Qc pour qu'il vous le redonne en dépot direct et que la,vous déciderez si vous le donner a votre syndic en parti !
Appeler donc a ces 2 numéros au département du recouvrement,pour faire votre demande :
1-888-361-3795
ou le 514-415-5161 a Joe BloLamone




REF.: Syndicpointcomme,

lundi 9 avril 2012

Park toué a 15 pieds du coin ,la Loi c'est la Loi !

contraventions
Photo Le Journal de Montréal, Valérie Gonthier
Lucie Robert, Marcel Jérôme, Simon Wong et 43 autres citoyens du quartier Saint-Michel ont reçu une contravention de 52 $.

zèle policier ?

Des contraventions pour le moins surprenantes

Les voitures se trouvaient à moins de 5 mètres d’une intersection

Près d’une cinquantaine de résidents du quartier Saint-Michel ont trouvé une contravention sur leur pare-brise récemment, en matinée. La raison ? Leur voiture était garée à moins de cinq mètres d’une intersection. Du « zèle » de la part des policiers, croient certains citoyens rappelés à l’ordre.
« Ça fait 40 ans que je reste ici. C’est la première fois que je reçois une contravention pour cette infraction », lance Lucie Robert.
Le 30 mars au matin, lorsqu’elle est sortie de chez elle, Mme Robert a eu une bien mauvaise surprise : une contravention de 52 $.
En regardant autour d’elle, la dame a vite réalisé qu’elle n’était pas la seule dans cette situation. Au total, en l’espace de quelques heures, 46 contraventions ont été remises aux citoyens mal stationnés.
Pompiers frustrés
À l’arrondissement, on indique que c’est à la suite d’un problème rencontré par les pompiers de Montréal que ces contraventions ont été données.
« C’est à la demande du service d’incendie. Ils ont agi pour des raisons de sécurité. Mais à l’arrondissement, nous n’avions pas été mis au courant », explique Anie Samson, maire de l’arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension.
Au Service d’incendie, on dit n’avoir jamais « demandé » de mettre des contraventions.
Mais après avoir eu un problème d’accessibilité à une rue dans ce secteur, des pompiers ont décidé d’agir.
« Certains ont pris l’initiative d’aller voir les policiers au poste de quartier. C’est à la suite de ça que les policiers sont allés mettre des contraventions », expose Mélanie Drouin, chargée de communication au Service des incendies.
Intervention du maire
Lorsqu’elle a été mise au courant de cette tournée de contraventions, Mme Anie Samson est intervenue.
« Mais j’ai demandé au commandant du poste de quartier d’arrêter de donner des tickets, lance-t-elle. Même si on donne une contravention, le camion ne peut pas plus passer dans la rue. Il faut qu’on mette en place des installations », dit-elle.
Mme Drouin reconnaît que ce n’est pas le rôle des pompiers d’aller voir les policiers concernant ce type de problèmes.
« Nous avons un comité de circulation. Les pompiers auraient dû adresser leur requête à nos gens à l’interne », dit-elle.
Deux places perdues
Anie Samson ajoute que même si l’interdiction de stationner à moins de cinq mètres d’un coin de rue est en vigueur, « on ne l’applique pas ».
« Notre objectif, ce n’est pas de donner des tickets pour donner des tickets. Personne ne veut ça », ajoute-t-elle.
Pour Lucie Robert, l’infraction en soi ne mérite pas une contravention.
« C’est du zèle de la part des policiers, indique-t-elle. Déjà que c’est difficile de trouver du stationnement dans les rues… »
Un argument qui est corroboré par Mme Samson.
« Le stationnement est très dense dans le secteur. En enlevant les cinq mètres, on perd deux places de stationnement par coin de rue. Ce n’est pas vrai qu’on va enlever des places », lance-t-elle.
Dans les prochaines semaines, des pancartes interdisant le stationnement à certains endroits devraient être installées.


REF.:

jeudi 29 mars 2012

Première opération radar spéciale de nuit,la prochaine suivra ....

Vitesse - Opérations radar de nuit
 
© Karl Tremblay / Agence QMI

SAINTE-THÉRÈSE – Les 15 services de police de la Rive-Nord ont émis un total de 1190 constats de vitesse et de 272 constats pour d'autres infractions lors de leur première opération radar spéciale de nuit, qu'ils ont conjointement organisée du 27 février au 9 mars dernier.
Les policiers des districts de Montréal, Laval, Laurentides et Lanaudière ont mené 138 opérations sur l'ensemble du réseau routier de leur territoire respectif durant ces nuits.
Les services de police ont donc dressé un bilan positif de ces opérations. «Le but de cette opération spéciale était de sensibiliser la population au fait que de nombreux décès surviennent sur les routes pendant la nuit à chaque année», a expliqué Sylvain Théorêt, le porte-parole du Service de police de Terrebonne/Sainte-Anne-des-Plaines/Bois-des-Filion.
Martin Charron, sergent et porte-parole à la Régie de police Thérèse-De Blainville, avait quant à lui expliqué avant l'opération que les automobilistes ont souvent le sentiment qu'ils sont seuls sur la route la nuit et qu'il n'y a pas de surveillance policière. Le niveau d'alcool plus élevé dans le sang et la fatigue sont aussi des facteurs de risques d'accident qui sont à leur niveau le plus élevé la nuit.
Le regroupement policier a prévu mener d'autres opérations spéciales dans les mois à venir. Les services de police participants sont ceux de Blainville, Deux-Montagnes, Laval, Mascouche, Mirabel, Montréal, Mont-Tremblant, Repentigny, Sainte-Adèle, Saint-Eustache, Saint-Jérôme, l'Assomption-Saint-Sulpice, Terrebonne/Ste-Anne-des-Plaines/Bois-des-Filion, Thérèse-de-Blainville et la Sûreté du Québec.


REF.:

vendredi 9 mars 2012

Géolocaliser un suspect : Non ,dit la cour suprême !


Justice - Le FBI devra désactiver ses nombreux GPS
La police doit détenir un mandat l'autorisant à surveiller un suspect avec un GPS sous peine d'empiéter sur la vie privée. 
© AFP / PORNCHAI KITTIWONGSAKUL
Justice

Le FBI devra désactiver ses nombreux GPS

WASHINGTON - Une récente décision de la Cour suprême des États-Unis a contraint la police fédérale à mettre de côté les nombreux GPS qu'elle utilisait régulièrement dans ses enquêtes, a indiqué le directeur du FBI Robert Mueller.
«Je ne peux pas donner de nombre mais nous avons dû désactiver un nombre substantiel de GPS», a-t-il déclaré mercredi devant une commission de la Chambre des représentants. Un responsable du FBI a récemment indiqué lors d'une conférence que le FBI avait 3000 GPS.
Or, fin janvier, la Cour suprême a rendu une décision qui limite les droits de la police dans l'utilisation de la géolocalisation par satellite. Elle a rejeté un appel du gouvernement et jugé que la police doit détenir un mandat l'autorisant à surveiller un suspect avec un GPS sous peine d'empiéter sur la vie privée.
«Cela va avoir un impact sur le travail que nous faisons», a admis M. Mueller.
Le GPS «nous épargne souvent une surveillance physique», a poursuivi le patron de la police fédérale. «Mettre en place une équipe de surveillance physique de six, huit, douze personnes occupe énormément de notre temps», a-t-il dit, estimant que cette décision de justice allait empêcher l'utilisation de cet instrument «dans nombre de surveillances où il était extrêmement bénéfique».
«Il y a de nombreuses personnes aux États-Unis que nous ne pouvons pas inculper (...) et nous n'avons pas d'autre choix que de les surveiller pendant un temps considérable. Les GPS nous permettent d'utiliser nos effectifs ailleurs», a poursuivi M. Mueller.
«Mais bien sûr nous allons nous soumettre au jugement de la Cour suprême», a-t-il ajouté.
Dans sa décision, le 23 janvier, la plus haute Cour du pays a jugé à l'unanimité que l'utilisation par les forces de l'ordre d'un GPS pour surveiller les mouvements d'un véhicule était équivalente, si elle n'était pas encadrée par un mandat judiciaire, à une «intrusion» dans la vie privée contraire à la Constitution.
Elle a rejeté l'appel du gouvernement américain et confirmé un jugement de relaxe dont avait bénéficié un trafiquant de drogue au motif que le mandat ayant autorisé l'usage d'un GPS pour surveiller son véhicule avait expiré.


REF.:

samedi 21 mai 2011

Big Brother parental pour jeune conducteur


Gadget - Big Brother parental pour jeune conducteur
Jocelyn Désy, président de TECHNICOMM
©Agence QMI

Une entreprise québécoise offrira bientôt une technologie qui permettra aux parents de surveiller leurs jeunes conducteurs.
TECHNICOMM s’apprête à lancer sur le marché canadien un nouveau gadget pour que les parents contrôlent à distance les déplacements de leurs enfants.



«Le système interactif CONTACT combine la technologie du GPS et du cellulaire. Les parents peuvent ainsi établir une limite de vitesse que le conducteur ne peut dépasser, ou empêcher la voiture de démarrer après une certaine heure», explique Jocelyn Désy, président de TECHNICOMM, qui se spécialise dans la communication sans fils et dans l’installation d’accessoires automobiles.Plusieurs options s’offrent encore aux parents. Lorsqu’un jeune conducteur dépasse la limite de vitesse préconisée, une alarme très dérangeante retentit et ne s’arrête que si le conducteur ralentit. Un courriel est alors envoyé aux parents en précisant les faits.
«C’est comme si un mentor était assis dans la voiture car il peut voir en temps réel, les déplacements, la vitesse et la localisation du véhicule sur son ordinateur, sa tablette et même sur son téléphone intelligent», ajoute-t-il.
«La plupart des personnes que nous avons interrogées sur le dispositif affichaient au début un certain scepticisme. Mais, si nous les laissions choisir entre augmenter l’âge d’obtention du permis de conduire à 18 ans ou imposer un couvre-feu et CONTACT, la plupart choisissaient le système interactif», précise le président.

Changer les habitudes
Le coroner Yvon Garneau a effectivement recommandé, au début du mois de mai, à la Société d'assurance automobile du Québec (SAAQ) d'imposer un couvre-feu de minuit à 5 h du matin à tous les conducteurs de moins de 24 ans. Cette proposition fait suite à un accident de la route au cours duquel quatre jeunes ont trouvé la mort à Drummondville en octobre 2010.
«Immédiatement après l’installation, nous prévoyons un changement des habitudes de conduite, diminuant ainsi directement les risques d’accident, l’usure prématurée du véhicule et la consommation d’essence», continue M. Désy.
TECHNICOMM s’apprête à signer un contrat avec un distributeur présent à l’échelle nationale, dévoile M. Désy. Il n’a pas tenu à préciser le nom de ce distributeur, mais il s’agit d’un garage indépendant.
«Nous n’avons pas voulu traiter avec des concessionnaires, car nous souhaitions que la technologie puisse s’installer dans toutes les autos», ajoute-t-il.
«Nous avons cependant approché les compagnies d’assurance qui se sont montrées très intéressées par le projet. Elles attendent, toutefois, que le dispositif soit disponible en vente avant d’élaborer un quelconque contrat», ajoute-t-il. Les compagnies d’assurance pourraient utiliser ce système pour réévaluer les primes de leurs clients.
Le système interactif CONTACT devrait couter environ 400 $ à l’achat. À cela s’ajoute un abonnement mensuel de 20$ qui permettra, entre autres, de payer les frais d’accès à un réseau cellulaire.
TECHNICOMM, qui est basée à Berthierville emploie près de 25 personnes. Elle possède trois autres succursales à Repentigny, Montréal et Boucherville.

REF.:

lundi 28 mars 2011

Trappe a ticket: Sur le Plateau Mont-Royal $$$, aussi St-Eustache, Laval, ...





 
Après avoir donné des contraventions à des automobilistes stationnés trop loin du trottoir, la police de Montréal sévit maintenant contre ceux qui se stationnent... trop près.
Jean Masse et plusieurs de ses collègues du ministère de la Santé qui travaillent dans un édifice du Plateau-Mont-Royal sur l'avenue Christophe- Colomb, ont eu la mauvaise surprise de trouver une contravention sur leur pare-brise, vendredi dernier.
Leur délit ? Les pneus de leur voiture touchaient une ligne blanche continue tracée sur la chaussée à deux ou trois pieds du trottoir. Le règlement municipal sur cette rue interdit de se stationner trop près du trottoir, une «mesure d'atténuation de la circulation» qui vise à réduire la largeur de la rue.
Même en hiver ?
«On connaît le règlement, mais on croyait qu'il ne s'appliquait qu'à partir du 1er avril, comme pour les pistes cyclables», explique M. Masse.
De toute façon, poursuit-il, la règle n'est pas suivie l'hiver puisque la neige empêche la plupart du temps de voir la ligne sur la chaussée.
«Et là, dès que la neige fond un peu, ils se dépêchent de nous donner des contraventions», déplore-t-il, en précisant que la plupart des véhicules n'étaient pas complètement rangés sur le bord du trottoir, mais empiétaient un peu sur la ligne blanche.
M. Masse déplore aussi le manque de signalisation. «Il n'y a qu'un seul panneau à l'autre bout de la rue qui explique le règlement», note-t- il.
Pas une piste cyclable
Le porte-parole de l'arrondissement, Michel Tanguay, confirme qu'il ne s'agit pas d'une piste cyclable, mais d'un espace créé pour réduire la largeur de la rue et ainsi décourager les automobilistes d'y rouler rapidement.
«Ce n'est pas récent. Ça date de l'ancienne administration Fotopoulos. Christophe-Colomb est utilisée par beaucoup de gens, mais ce n'est pas une artère, c'est une collectrice. C'est donc une mesure qui vise à réduire la circulation», dit-il.
L'été, il y a moins de risque de méprise puisque cet espace interdit aux voitures est aménagé avec des bacs à fleurs.
Au Service de police de la Ville de Montréal, le commandant à la division de la sécurité routière, Pierre Rousseau, explique que le SPVM ne fait qu'appliquer la réglementation. Mais il dit vouloir s'assurer que la signalisation soit claire.
«Je sais qu'il y a déjà des démarches d'entreprises par un policier du poste de quartier du secteur, On va discuter de la situation avec l'arrondissement, car ça va de soi qu'il faut que la signalisation soit claire. S'il y a des correctifs à apporter, on va faire en sorte que ça se fasse», dit-il.
* Il y a quelques semaines, le Journal rapportait que plusieurs citoyens du Plateau avaient reçu des contraventions pour s'être stationnés trop loin du trottoir, et ce, même si un épais banc de neige les empêchait de se rapprocher davantage.



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Autres Trappe a Ticket:




- St-Eustache(en deuxième position , derrrière Laval) panneau d’interdiction de tourner à droite au coin du boulevard Industriel et de la rue Saint-Eustache, et aussi ,..............................




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