Pourquoi ne se rappelle-t-on jamais du nom des gens ?
PAR MYLÈNE WASCOWISKI
Si son visage vous dit bien quelque chose, impossible de retrouver le nom de cette personne. Mais pourquoi se retrouve-t-on si souvent dans l’impossibilité de se remémorer le nom d’une connaissance ? D’après le site sciencefriday.com, l’explication se trouverait dans notre cerveau, bien plus apte à mémoriser les informations visuelles que celles provenant des autres sens.
Impossible de vous souvenir du prénom du beau brun à l’autre bout de la pièce qui vous fait de grands sourires depuis une demi-heure. Pourtant c’est sûr, son visage vous dit quelque chose et on vous l’a sûrement déjà présenté. Mais rien à faire, ni son prénom ni son nom ne vous reviennent en tête. Rassurez-vous, si cela vous arrive parfois, vous êtes loin d’être un cas isolé. Mais pourquoi est-on si souvent inapte à se rappeler du nom des gens ? Selon le site sciencefriday.com qui s’est penché sur la question, cette incapacité récurrente trouverait son origine dans le fonctionnement même de notre cerveau. « Nous sommes des êtres visuels » explique E. Clea Warburton, neuroscientifique à l’université de Bristol, « Notre cerveau a plus de cortex consacré au traitement des informations visuelles qu’aux informations provenant des autres sens. Nous sommes programmés pour encoder et extraire les informations visuelles, bien plus que les informations auditives ».
D’autre part, la spécialiste explique qu’il ne s’agit pas là « d’un problème de mémoire mais plutôt d’un problème d’attention » : « Vous n’avez pas mémorisé le nom parce que c’est une information donnée très rapidement » tandis que pendant le reste de la conversation, vous avez le temps de mémoriser le visage.
Autre explication avancée par les experts : un visage aurait « beaucoup plus de riches stimuli » qu’un prénom, explique Richard Russel, professeur de psychologie à l’université de Gettysburg. Alors que les visages contiennent une multitude d’informations (genre, âge, origine, humeur, attractivité…), les noms et prénoms d’une personne ne sont qu’une série de lettres extrêmement communes. Car si un visage est unique, combien de Thomas, Julien ou d’Emilie connait-on ?
LA PROSOPAGNOSIE, OU L’INCAPACITÉ PHYSIQUE DE RECONNAITRE UN VISAGE…
Si pour la plupart des gens il est donc plus facile de mémoriser un visage qu’un prénom, pour d’autres, cela est tout bonnement impossible. Il s’agit de la prosopagnosie, un trouble cérébral rendant impossible la mémorisation d’un visage. Les personnes touchées par cette maladie peuvent alors appendre à reconnaître une personne grâce à des détails autres, telles que sa voix, sa couleur de cheveux ou son style vestimentaire. Mais jamais grâce à son visage.
David Fine, un gastro-entérologue britannique aujourd'hui âgé de 60 ans et atteint de prosopagnosie, expliquait en novembre 2012 dans la revue Cognitive Neuropsychology, que reconnaitre son propre visage relevait du parcours du combattant : « Si une photographie a été prise sans que je m'en aperçoive (…) et si l'on ne me donne pas d'indices, je n'arrive pas à me trouver moi-même ».
Avec une conscience supérieure toutes les mémoires d'âmes seront effacées. Quand je dis les mémoires d'âmes seront effacées, je ne veux pas dire que les mémoires d'âmes n'existeront plus, mais qu'elles ne vont plus avoir d'influence sur l'ego dans l'Homme, pour ainsi ne laisser la place qu'à l'intelligence de l'esprit (le double éthérique). L'âme, c'est un bloc d'émotions et de mémoriel, elle est sensible et fragile, elle a également besoin d'expériences pour évoluer.
Tant que cette âme n'est pas fusionnée avec l'esprit, elle n'est qu'une mémoire personnelle et planétaire, récupérée dans un couloir temporel et son mémoriel vient de l’égo.
L’âme, quand elle a fini d'expérimenter la matière, l'esprit vient pour fusionner avec elle.
C’est à ce moment-là que l'âme devient un noyau central qui n’a plus d'influence polarisée sur l'Homme.
L'esprit lui, c'est notre intelligence réelle, c'est lui qui fait descendre l'énergie éthérique dans le mental de l'Homme et qui fait vibrer l'âme sur son noyau. L'esprit, c'est également du roc impénétrable et indestructible au mental froid qui n'a plus besoin d'expériences ni de mémoire raciale. Le mémoriel de l'esprit est électrique et instantané, c'est un véritable bulldozer, sa sensibilité s'exprime par du respect, de l'humilité ainsi que de l'Amour absolu non polarisé dans les émotions de faiblesse mémorielle.
L'Homme doit rester centré dans le mental pour créer une sorte de coque protectrice.
Les entités astrales ou spirituelles ou encore les parasites psychiques se cachent derrière l'intellect, ils utilisent les pensées et les mémoires d'âme ainsi que les événements vécus par l'Homme pour se nourrir de ses émotions polarisées et pour ainsi le faire quitter son centre mental.
Toute émotion polarisée et incontrôlée nourrit les entités du bas et du haut astral.
Ne plus avoir d'émotivité ne veut pas dire ne plus avoir de sensibilité.
Lorsque l'individu en fusion éprouve une sensibilité, l'émotion de cette sensibilité ne s'exprime plus par le plexus solaire, mais s'élève au cerveau, l'émotion devient alors mentale et refroidie.
La clé pour se protéger, c'est que l'ego reste présent dans son mental neutre aussi appelé (point zéro) et au besoin utiliser les pôles, le négatif pour repousser l'astral et le positif pour comprendre la réalité.
Le point zéro : c'est la conscience qui maintient l'équilibre entre tout ce négatif et tout ce positif. Nous sommes cet équilibre, nous sommes cette conscience qui doit maintenir cet équilibre.
De ce fait, il pourra bloquer toute tentative de pénétration des forces occultes dans son espace mental.
L'épuration du mental provoquera la descente de l'énergie supramentale dans le mental supérieur de l'Homme en fusion et fera en sorte que plus aucun parasite psychique ne puisse pénétrer, au risque d'être consumée (brûlée) instantanément par le feu cosmique.
L'Homme aura alors accès au plan de l'éther et au savoir instantané : l'esprit lui donnera alors les questions et les réponses dont il aura besoin dans l'instant même où il en aura besoin.
La prosopagnosie est un trouble de la reconnaissance des visages, distinct de la prosopamnésie. C'est une agnosie visuelle spécifique rendant difficile ou impossible l'identification des visages
humains. Le prosopagnosique reconnait les personnes en recourant à des
subterfuges, comme l'identification visuelle par l'allure générale
(démarche, taille, corpulence) ou à des détails (vêtement familier, coiffure, barbe, tache de naissance, lunettes) ou des indices multisensoriels (voix, odeur, poignée de main, etc.)
Le mot est composé du grec πρόσωπον « visage », α (privatif) et γνωσία « reconnaissance ».
Elle se manifeste chez les sujets atteints par une incapacité à
reconnaître et différencier les visages familiers tels que ceux de leurs
proches, amis et parfois même leur propre visage. Les sujets atteints
de cette pathologie sont capables de voir, mais pas de reconnaître. Leur
acuité visuelle est normale, ils sont capables de décrire en détail un visage familier, mais n’y associent pas d’identité.
La première description de la prosopagnosie acquise a été rapportée par un neurologue allemand, Joachim Bodamer(de)
en 1947. Il publie une description détaillée de deux soldats qui sont
incapables de reconnaître des visages familiers après des lésions
cérébrales survenues pendant la guerre. Une forme pédiatrique est
décrite en 1995 par une neurologue anglaise, Helen McConachie1,2.
Le développement des études scientifiques est facilité par l’essor de techniques d'imagerie.
La proportion de la population mondiale atteinte de cette pathologie n'est pas connue. Le seul chiffre disponible concernant la prévalence
de la prosopagnosie est celui d'une étude allemande, qui a estimé sur
la base d'un échantillon dans une université allemande que 2,5% de
sujets étaient atteints3.
Formes
Il existe principalement deux types de prosopagnosie : la prosopagnosie innée et la prosopagnosie acquise.
La prosopagnosie innée, aussi appelée développementale,
correspond vraisemblablement à un défaut de développement du processus
de reconnaissance des visages, sans lésions sous-jacentes. Certains
auteurs comme Kennerknecht et al.
évoquent la possible intervention d’un facteur génétique. Plus
précisément, ces individus sont dans l’incapacité d’associer un visage à
une personne. Déjà dans la petite enfance, ils ne reconnaissent pas
leurs proches, en n’associant pas un visage à un signe distinctif
particulier, propre et unique à une personne.
La seconde forme recensée, la prosopagnosie acquise, avec comme
principal signe une perte de la faculté de reconnaissance des visages,
résulte d'une lésion cérébrale. La cause première d’apparition de ces
lésions, comptant pour 40 % des cas, est un accident vasculaire cérébral (AVC) ischémique (déficit d’approvisionnement sanguin en oxygène et sucre, ou ischémie) dans le territoire cérébral alimenté par l’artère cérébrale postérieure. La deuxième cause de lésion, en fréquence, est le traumatisme crânien (environ 20 %). D’autres causes sont moins fréquentes : hématomes cérébraux (AVC hémorragiques, 11 %), causes infectieuses comme les encéphalites virales (9 %), les tumeurs cérébrales (6 %). Les crises épileptiques
(5 %) peuvent provoquer des lésions favorisant l’apparition de la
pathologie. La maladie peut également être associée à des troubles
mentaux, tels que les troubles de l'identité ou le dédoublement de
personnalité. La prosopagnosie peut aussi prendre une forme dite
progressive, se manifestant par une perte graduelle de la reconnaissance
des visages. Elle est souvent associée à un processus neurodégénératif
et, pour Gainotti (2007), elle est apparentée à une forme de démence sémantique.
Sous-formes de la prosopagnosie
Si
on considère que le traitement précoce des informations permettant
l’analyse des visages est préservé chez certains sujets mais pas chez
d’autres, on est amené à penser qu’il existe différentes formes de
prosopagnosie.
La prosopagnosie aperceptive : elle se caractérise par
une défaillance de l’analyse structurale des visages, empêchant
l’élaboration d’un percept susceptible d’activer une unité de
reconnaissance faciale.
La prosopagnosie associative, dans laquelle l’accès aux
processus de reconnaissance dysfonctionne. Dans ce cas, il y aurait
vraisemblablement une construction correcte de la représentation
structurale, mais celle-ci serait dans l’incapacité d’activer un
registre de traitement nécessaire à l’accès aux informations
sémantiques.
Cadre théorique
Il
existe un cadre théorique permettant l’analyse des différents processus
impliqués dans l’identification des visages. Bruce et Young en 1986,
ont introduit l’un des modèles théoriques les plus influents, dans
lequel ils postulent que le traitement des visages se réalise de manière
sérielle, selon trois étapes :
la première étape se caractérise par une analyse structurale de
l’ensemble du visage, ce qui conduit à la formation d’un « percept »
basé sur les dimensions et les rapports entre les traits faciaux ;
la seconde étape permet un appareillement de ce percept aux unités de reconnaissances faciales ou URF ;
dans un troisième temps, l’individu accède aux informations
sémantiques relatives à l’identité de la personne, dans le cas où
celle-ci est connue.
On estime que les étapes de traitement des images perçues des visages
sont perturbées chez les patients prosopagnosiques. Le
dysfonctionnement pourrait résider soit dans l’étape initiale du
traitement, dès l’analyse structurale du visage, soit dans l’étape plus
tardive, rendant impossible l’accès aux unités de reconnaissance faciale
et/ou aux informations sémantiques. Ces hypothèses ont été analysées
par des études utilisant des tâches de traitement d’appareillement de
visages non familiers et/ou exprimant diverses émotions, présentés sous
différents angles et éclairage. Toutefois, à nouveau les résultats
divergent, tout comme les avis des chercheurs. Certains établissent que
les mécanismes généraux du traitement des visages ne sont pas affectés,
puisque les sujets prosopagnosiques de l’étude semblent être capables
d’estimer l’âge, de distinguer le sexe du faciès, d’en juger
l'expression, et d’appareiller différentes vues d’un même visage.
D’autres chercheurs rapportent le contraire, en montrant que certains
sujets atteints présentent des déficiences dans le traitement général
des visages, ne distinguant ni le sexe ni l’âge ni les émotions.
Localisation cérébrale
Les
données développées dans ce paragraphe sont issues de travaux de la
littérature scientifique. Les études analytiques de patients atteints de
prosopagnosie montrent que plus de la moitié d’entre eux présentent des
lésions cérébrales bilatérales (des deux hémisphères cérébraux). Mais
les avis divergent : certains auteurs parlent de bilatéralité univoque
alors que d’autres estiment qu'une lésion unilatérale suffit pour
qu'apparaisse le trouble. Une des raisons pouvant expliquer le débat est
la symétrie cérébrale. En effet, la mise en place de cette symétrie ne
suit pas de règles précises et dépend généralement de la latéralisation
du sujet.
Qu’il s’agisse de lésions unilatérales ou bilatérales, ce sont
les lobes temporaux et occipitaux qui sont les plus fréquemment touchés,
tandis que les lobes frontaux et pariétaux semblent beaucoup moins
touchés. Par ailleurs, il ressort de la littérature que ce sont les
lésions droites et plus particulièrement situées dans les lobes temporal
et occipital qui provoqueraient l’apparition des troubles. En effet, le
lobe pariétal comprend certaines aires corticales composées de neurones
liés aux processus mnésiques ainsi que de neurones dédiés à la
reconnaissance d’objets associés, tels que les visages. Des lésions des
aires visuelles de V4 (selon la topographie de Brodman) semblent
provoquer la pathologie. Une étude réalisée en 1991 par J. Sergent a
permis de révéler l’intervention de structures cérébrales particulières
dans la pathologie. Grâce à la tomographie par émission de positons
(TEP), la chercheuse française a découvert que les gyrus fusiforme
et lingual droits situés dans le lobe temporal doit, ainsi que la
partie antérieure des lobes temporaux sont activés lors de la
présentation d’un stimulus facial. D’autres études ont permis de
découvrir que le gyrus occipital inférieur serait fréquemment touché en
cas de prosopagnosie.
Ces régions cérébrales hébergent notamment certaines zones
fonctionnelles primordiales qui interviennent dans la reconnaissance des
visages : « fusiforme face area » (FFA, ou aire fusiforme des visages), zone du gyrus fusiforme, « occipital face area » (OFA, ou aire occipitale des visages), zone du gyrus occipital inférieur. Lors d'études par imagerie cérébrale d'activation (IRM fonctionnelle),
la reconnaissance d’un visage semble activer préférentiellement la FFA
et la OFA de l’hémisphère droit. Il semble logique qu'une lésion d’une
de ces deux zones entraîne l’apparition de la prosopagnosie. On
retiendra qu’il est plus fréquent d’observer une prosopagnosie associée à
une lésion de l’hémisphère droit qu’à une lésion unique de l’hémisphère
gauche.
pour les personnes souffrant de PC, l'activation de la zone
centrale - qui contient le thalamus, le pont, le cervelet, la moelle et
la formation réticulée - est normale en présence de stimuli visuels ;
ces mêmes personnes présentent toutefois une diminution de
l'activation de la partie antérieure temporale droite du cortex
cérébral, en particulier pour la zone impliquée dans la reconnaissance
des visages connus, ainsi qu'une connectivité endommagée entre cette
partie antérieure temporale et la zone centrale ;
l'activité de l'amygdale, région impliquée dans la reconnaissance et
l'évaluation des stimuli émotionnels, et ses relations avec la zone
centrale sont intacts6.
Hypothèses explicatives
Il
faut identifier les mécanismes cognitifs à l’origine des
dysfonctionnements observés chez les patients prosopagnosiques.
Plusieurs hypothèses s'opposent, mais l'une d’entre elles est largement
répandue, qui suppose que prosopagnosie découlerait d’un déficit de
traitement holistique. D’autres hypothèses sont apparues relativement
récemment, mettant en cause une possible atteinte de la perception des
distances, ou encore une atteinte des traitements visuels. Le courant de pensée « holistique » né à la fin du XIXe siècle
considère que la perception sensorielle d’une entité globale est
qualitativement différente de la somme des perceptions individuelles de
chacune de ses composantes.
Au travers des publications scientifiques, une tendance s’est
largement répandue pour expliquer la prosopagnosie en termes de déficit
d’intégration de composants locaux en un tout indissocié. En effet, des
auteurs tel Galton (1883) considèrent que les traits du visage ne
seraient pas représentés et perçus de façon indépendante, mais intégrés
dans une représentation perceptive globale. Certaines études en IRMf par
présentation de visages inversés montrent la présence « d’inversions »
pour les visages au niveau de l'aire fusiforme des visages (et dans une moindre mesure au niveau du lobe occipital). Ceci va dans le sens d’un processus de codage holistique dans cette région7(Angélique Mazard et al., 2006)[source insuffisante].
Ces preuves sont cependant indirectes, étant donné que l’inversion
haut-bas du stimulus visuel affecte non seulement l’intégration des
traits faciaux en une représentation holistique, mais également le
codage de traits localisés. Les données actuelles de la littérature font
évoquer la possibilité d’intervention d’autres facteurs explicatifs.
Tests et prise en charge
Il
existe assez peu de tests permettant une évaluation diagnostique de la
pathologie qui permettrait de déterminer le type de prosopagnosie ou
l'étape défaillante dans le traitement de l’information.
Un des tests généralement utilisé est celui des visages célèbres,
dans lequel des visages de personnalités sont présentés aux sujets. Il
existe aussi le test de reconnaissance facial de Benton (BFRT), basé sur
l’appariement de visages identiques présentés sous différents angles.
Un autre test, développé par des chercheurs américains et
anglais, et basé sur une présentation successive de stimuli visuels
(objets, visages, animaux…), a montré que les sujets prosopagnosiques
étaient incapables de reconnaître les visages qui leur avaient été
présentés, alors qu'ils reconnaissaient les objets et animaux de la
série.
La prise en charge de la prosopagnosie est souvent longue et
semble apporter peu de résultats. L’échec des rééducations est
probablement lié pour part à la méconnaissance des mécanismes
responsables du déficit.
Quelques cas
Le neurologue Oliver Sacks parle de sa propre prosopagnosie dans son ouvrage L’Œil de l'esprit (2010). Il cite également le cas de la primatologue Jane Goodall, dont le déficit de reconnaissance faciale concerne autant les humains que les primates qu'elle étudie8. Parmi les personnalités contemporaines, les acteurs Thierry Lhermitte9 et Brad Pitt10, l'essayiste Éric Naulleau11, le journaliste Philippe Vandel, la comédienne Aude GG et l'auteur de bande dessinée Boulet12 reconnaissent être atteints de ce handicap.
Prévenir la prosopagnosie
Les mécanismes impliqués dans le développement de la
prosopagnosie sont encore mal compris. Aucune mesure de prévention n’a
été clairement établie.
Certaines mesures semblent toutefois contribuer à lutter
contre les prosopagnosies progressives en préservant les fonctions
cognitives et en s’opposant au processus neurodégénératifs. Les
recherches ont notamment mis en évidence l’importance de :