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lundi 29 mai 2023

Le couple et la communication

 Le couple et la communication

 

Je ne le dirai jamais assez, la santé et le développement du couple et des personnes reposent en majeure partie sur la qualité de leur communication.

 

On peut aborder sereinement n'importe quel sujet épineux et se dire «les vraies affaires», à condition de respecter certaines règles très simples.

 

La première est de permettre à l'autre de finir ses phrases. Cela demande de se rendre totalement disponible, côté cœur, et quoi qu'il arrive, que les propos soient contrariants, qu'on les juge faux, ou il faut accepter d'avoir parfois des conversations houleuses, inconfortables, où sont exposés les non-dits, les vieilles déceptions, les ressentiments, les frustrations. 

 

Une condition s'impose toutefois : on ne doit pas se donner le droit de remettre en cause la viabilité de la relation pendant ces ajustements, pour s'assurer de maintenir un espace sécurisant où chacun peut parler librement, dire ses insatisfactions à propos de la vie sexuelle, du couple, de ses finances, de l'éducation des enfants, etc., sans craindre d'être jugé ou abandonné. 

 

Cela peut vouloir dire de vaincre sa pudeur et ses inconforts en abordant de front les sujets tabous. Le but est de corriger les perceptions erronées et les malentendus qui faussent l'appréciation de l'autre et de ses propres torts. Se parler franchement, accepter ce que l'on est et se remettre en question de bonne foi n'est pas facile, mais c'est un passage obligé sur le chemin du pardon.

 

*(NDLR)A un autre niveau,il faut entrer dans sa douleur, son problème sans émotivités tout en contenance avec pour but final un rapport de force avec son esprit pour intégrer nos entités diffractées en toute conscience !



La dépendance

Une réalité

Une dépendance est une pulsion qui pousse un individu à soulager ses inconforts intérieurs, ses non-dits, ses peurs, ses émotions, son stress, sa faible estime de soi, etc., en ayant recours à des substances ou à des comportements répétitifs et destructeurs auxquels il ne peut pas résister.

 

La dépendance est une idée fixe envahissante, une obsession qui, une fois activée, est extrêmement difficile à arrêter. L'incapacité de faire face à une dépendance n'a rien à voir avec un manque de discipline ou de détermination personnelle.

C'est une réalité qui nécessite une aide professionnelle et/ou l'implication dans un groupe de soutien. La dépendance offre la possibilité d'un apaisement éphémère de blessures non soignées et de besoins inassouvis qui, de façon consciente ou pas, causent une grande souffrance.

 

C'est un mal profond que même le renforcement de l'estime de soi, le pardon et la bienveillance ne parviennent pas à soulager efficacement, a long terme.

Les dépendants se donnent facilement et rapidement l'illusion d'un sentiment de toute-puissance, alors que les codépendants se permettent un instant de se soustraire aux obligations qu'ils s'imposent pour répondre aux besoins du dépendant.





REF.: Louise Sigouin,Si on s'aimait encore!

https://www.msn.com/fr-ca/divertissement/celebrites/si-on-saimait-encore-la-douloureuse-r%C3%A9alit%C3%A9/ar-AA1bLAaG




vendredi 10 mars 2023

Aller a la rencontre de Soi:vers l'autonomie affective

 

 

Aller a la rencontre de Soi:vers l'autonomie affective

 

D'abbord assumez vos responsabilités,car nous sommes notre priorité numéro un, avant notre partenaire de vie ou même nos enfants. Dans la relation, nous sommes par ailleurs responsables d'exprimer qui nous sommes, nos besoins(on a n'a pas le choix d'être a deux pour notre évolution!)et nos attentes. L'autre n'a pas le pouvoir de nous comprendre et d'anticiper nos désirs sans que nous ayons a les exprimer, ou d'agir en fonction de nos sensibilités(en cheminement de conscience, on devient suprasensible). Il n'a surtout pas le pouvoir de nous guérir de nos blessures, quoi que nous en pensions ou quoi qu'il en dise. 

 

Faut apprendre a se responsabilisé,car pour faciliter son engagement, on se donne des moyens qui nous permettent de garder le cap sur ses responsabilités, même si on n'est pas motivé, qu'on n,est pas d'humeur ou qu'on a autre chose a faire de plus intéressant. Se responsabiliser implique en effet un aspect de discipline. On peut s'aider en programmant a l'avance des alarmes pour se souvenir de prendre des rendez-vous médicaux ou autres, en établissant son menu de la semaine ou en planifiant ses séances d'entraînement. De plus, s,entraîner, étudier ou faire la cuisine a deux, trois ou plusieurs nous aide a nous motiver et a nous inspirer. Cela peut aussi être une bonne idée de parler de nos engagements ou de notre cheminement a des gens de confiance qui nous les rappelleront au besoin.

On a aussi la permission de se récompenser d'être resté fidèle a ses obligations dans des moments ou on aurait préféré fuir. On n'hésite pas a se permettre une escapade au spa, une balade a la campagne ou un après-midi de congé si on considère l'avoir mérité.

 

C'est difficile a ssumer;On peine a assumer ses responsabilités quand on ressent de la culpabilité a faire des gestes difficiles, quand on doit démontrer de la fermeté ou de la détermination, quand on doit faire respecter une limite ou exprimer une insatisfaction. Si on craint, par exemple, de perdre l'amour de son enfant ou d'affronter sa mauvaise humeur quand vient le temps de lui imposer des contraintes et qu'on préfère le laisser faire, on n'assume pas ses responsabilités d'éducateur. C'est exactement le même principe en relation amoureuse. Nous devons prendre le risque de (de qui on est vraiment a devenir un esprit incarné conscient de lui-même)décevoir l'autre pour établir nos limites et donc, le respect dans le couple.L'en gagement amoureux , professionnel ou parental, avec toutes les responsabilités qu'il suppose, est pour eux une source de stress. C'est souvent le cas des gens qui refusent de s'engager par crainte de voir leurs failles exposées au grand jour. En ne prenant aucune responsabilité, ils s'évitent cette humiliation, mais se limitent du même coup aux horizons qu'ils connaissent déja et qu'ils maîtrisent.

D'autres refusent toute forme de responsabilité par crainte de perdre leur liberté. Le paradoxe de ce choix est que , en refusant de se responsabiliser, ils se restreignent et n'ont plus la liberté de mener leur vie a leur guise. Les décisions que nous prenons et les choix que nous faisons pour nous-mêmes s'expriment par les responsabilités que nous acceptons d'assumer.

Attendre que les autres se chargent de notre bonheur, c'est vivre dangereusement, car nous nous en remettons a leur bon vouloir, a leurs humeurs ou a leur compétence a nous satisfaire, autant d'éléments qui nous échappent.

Évidemment, vivre en accord avec nos valeurs et en exerçant notre libre arbitre(Au niveau de l'esprit ,il n'y a pas de libre-arbitre,car l'esprit initiera la rencontre de l'âme/égo a sa source espritique pour faire un dans la conscience Divine créatrice)nous empêche ensuite de rejeter la responsabilité de nos échecs sur les autres. Nous en apprenons mieux et plus vite sur nous-même(car un lien est établit entre l'égo et son esprit , le Divin,la Source,ton créateur!)en assumant nos propres erreurs que par les succèsque les autres nous apportent.

Faut être indulgent envers soi-même,car on peut être très respectueux et compréhensif envers les autres, mais se traiter soi-même de tous les noms, et parfois pour des riens. On a l'autocritique assassine , on est impitoyable face à soi; on ne se ménage pas(En supramental,c'est un rapport de force envers son esprit, de nous respecter et pour éviter que par diffraction, de cette énergie, les entités nouis possèdent pour nous rendre plus conscient envers notre source espritique de lumière). La plupart du temps, on se crie des bêtises et, comme on ne peut pas s'enfuir de soi-même,les seules échappatoires sont des comportements destructeurs. Le conseil a retenir ici est donc de cesser de nous faire des reproches et d'avoir un peu d'indulgence pour nous-mêmes.

Les personnes bienveillantes envers elles-mêmes sont souvent plus responsables de leur bien-être. Par exemple, au lieu de subir les périodes d,entraînement physique ou la préparation des repas comme des corvées, elles trouvent une façon de s'y adonner avec plaisir. Les personnes indulgentes pour elles-mêmes s,adaptent plus facilement aux aléas de la vie et composent mieux avec les défis.En d'autres mots, nous sommes notre allié le plus utile, ou du moins le plus influent. Personne n,est en meilleur position que nous-mêmes pour vivre notre vie. Personne ne peut non plus nous aider ni nous nuire comme nous le pouvons. Alors,si cet allié que nous sommes ne fait pas le travail, s'il nous fait faux bond ou, pire, s'il nous met des bâtons dans les roues, ce n'est pas en le détestant profondément et en l'humiliant que nous le disposerons a nous donner un coup de main.

Toutefois, cet allié acceptera plus facilement de collaborer si on le respecte, si on est prêt a l'écouter et a lui donner ce dont il a besoin: la reconnaissance ,l,estime ou la sécurité. On doit nourrir et honorer ses alliés et non leur reprocher ses défaites. il faut également s'aimer soi-même et cesser de se donner des tapes derrière la tête pour tout et pour rien.

Faut avoir de l'indulgence, ça s'acquiert. Pour ce faire, il faut d'abord effectuer de petits changements, que nous serons peut-être les seuls a noter,mais qui sont important a nos yeux. Par exemple , on peut décider de s'accorder plus souvent de petits plaisirs qu'on aime ou qui nous valorisent, tels que jouer de la musique, recevoir des amis a souper ou même se lancer dans la confection d'un énorme gâteau très élaboré pour le simple plaisir du défi, parce qu'on aime le gâteau et qu'on se doit bien ça. En amour, on peut aussi décider de s'accorder de s'accorder des moments intimes avec son partenaire pour se retrouver seul avec lui et profiter de sa présence.

Modifier sa routine habituelle exige de l'autorité et de l'autonomie face a soi-même.Dans les fraternités anonymes, on estime que, en général,nos chances de changer un comportement sont meilleures si nous persistons pendant au moins trois mois dans notre détermination. Ici, l'indulgence qu'on a pour soi-même se manifeste dans le fait de persévérer. Ce n'est pas beaucoup, pour pouvoir bénéficier ensuite d'une activité qu'on aime et que l'on s'accorde sur une base régulière.

Pour être indulgent envers soi, s'entourer des bonnes personnes aide aussi énormément. On s,imprègne plus facilement de l'estime qu'elles nous portent, des qualités qu'elles voient en nous. A l'opposé, nous devons fuir les situations, les personnes ou les activités susceptibles de déclencher notre mésestime, de miner nos efforts et de nous faire douter de nous-mêmes. Cela ne signifie pas de fuir les remises en question, la critique ou les conflits interpersonnels, qui sont inévitables et que l'on doit assumer avec courage et bienveillance. Mais il est utile d'identifier les personnes de notre entourage qui, entre autres, ont le don de nous lancer des insultes sous le couvert du compliment: J'aimerais donc ça être comme toi, me foutre de ce dont j'ai l'air. Mais je ne suis pas capable... Maudite fierté! Ces personnes nous replongent automatiquement dans une certaine forme d'intransigeance envers nous-mêmes.

On doit se garder a distance des relations toxiques et ne pas chercher a se faire aimer par tout le monde. Il faut demeurer a l'écoute de ce que nous disent les autres, de leurs conseils ou de leurs expériences, mais prendre ce qu'on veut et laisser ce qui ne nous convient pas. Est-ce qu'on a fait les bons choix? Les expériences a venir nous le diront.

Il faut pardonner aux autres et a soi-même: en principe, nous acoordons notre pardon aux gens quand on sait qu'ils ne répéteront pas le geste ou les paroles qui nous ont blessés. Mais combien de fois avons-nous pardonné quand même a ceux qui nous ont offensés a répétitions?

Ne pas réagir quand on nous dévalorise, humilie ou ridiculise est une erreur et, comme l'écrivait le philosophe et écrivain Paulo Coelho: Une erreur constamment répétée , ce n,est plus une erreur,C'est un choix. C'est un très mauvais choix, probablement inconscient, mais qu'on fait chaque fois qu'une offense, une menace, un chantage émotif nous est fait et qu'on l'accepte. Décider d'acheter la paix ou se laisser marcher dessus, c'est décider d'accorder a l'autre le droit de transgesser nos limites ou de na pas respecter nos valeurs.

Enfin,on est indulgent avec soi-même quand on fait l'effort de mieux se connaître, de s'accepter,d'user de persévérance pour changer des comportements et d'être patient, car les changements profonds ne se font pas du jour au lendemain. On a rarement une grande révélation ou une illumination qui nous transforme un bon matin, pour toujours. Les grandes transformations que nous vivons tout au long de notre vie se produisent souvent très discètement. La plupart du temps, on constate un jour qu'on ne porte plus le même regard sur telle situation, qu,on ne réagit plus de la même façon aux événements ou au gens. On se fâche moins vite ou on s'amuse davantage, par exemple. Et l'un des grands indicateurs de ces changements est le niveau d'indulgence et de compassion que nous nous portons et qui nous aide a nous pardonner le mal que nous nous sommes fait.

Faut être présent aux autres; Nous avons besoin des autres, car c'est dans notre relation avec eux que nous pouvons le mieux explorer toutes les dimensions de notre personne. La qualité de notre présence et de notre écoute, et la solidarité que nous témoignons aux autres tiennent en grande partie a notre capacité d'empathie , cette faculté de pouvoir ressentir l'émotion chez l'autrte. Nous devons plus facilement empathiques si nous sommes nous-mêmes présents a nos propres émotions. 

Faut de la gentillesse; Et qui ne s'est pas buté un jour a un commis impatient, condescendant ou excédé? L'expérience est éprouvante. Le sentiment d'irrespect peut faire en sorte qu'on se retrouve soi-même de mauvais poil et peu réceptif aux autres. Au contraire, qui n'a pas été un jour charmé par un commis attentionné, souriant et qui a pris le temps de s'occuper de nous? La gentillesse, les attentions et l'acceuil facilitent nos relations avec les autres au quotidien. La civilité entraîne la civilité , le respect suscite le respect... Bref, tous nos comportements sont contagieux.Malheureusement, le stress et les impératifs de performance auxquels nous sommes soumis nous font perdre de vue notre bienveillance , souvent pour ceux que nous aimons, mais qui se font ballotter par notre tourbillon. 

Se mettre a l'écoute de quelqu'un qui ressent le besoin de se confier ou de mettre de l'ordre dans ses idées et ses émotions n'implique pas uniquement d'ouvrir ses oreilles, mais aussi son coeur. Écouter veut dire se rendre disponible et accorder son attention la plus complète a la personne face a nous. il ne s'agit pas uniquement d'entendre les paroles, mais aussi de capter l'ensemble des signaux qu'elle émet inconsciemment par sa posture, l'énergie qu'elle dégage, le ton de sa voix, les expressions de son visage, sa gestuelle. Bref, c'est tout son corps qui parle, et ces informations nous aident a comprendre non seulement les données du problême, mais aussi son état émotif.

La rencontre de deux personnes met en présence des ensibilités, des valeurs et des perceptions différentes du monde. On a beau être présent, on arrive parfois avec son égo de sauveur, ses expériences et ses certitudes. Notre besoin de prendre en charge et de trouver des solutions l'emporte souvent et nous aimons bien nous présenter comme LA force tranquille capable de tout arranger. Mais simplement écouter l'autre exprimer le fond de sa pensée, sans tenter de se défendre, sans juger les propos ou l'attitude, sans chercher de réponse ni s'inquiéter des silences, est un exercice difficile.

Pour ce faire, il faut sans cesse nous souvenir de mettre en veilleuse notre égo et d'adopter la position du spectateur ou du témoin attentif et réceptif. Les dépendants devront éviter de ramener la conversation vers eux: Oui, c'est moche ce qui t'arrive, mais moi, c'est pire ... Les codépendants s'interdiront de donner des solutions: Tu devrais prendre rendez-vous... Je vais le faire pour toi, je sais ou tu devrais aller...

L'accompagnement se concentre surtout sur la personne , beaucoup plus que sur le problême. L'idée n'est donc pas de trouver des solutions, mais plutôt d'aider la personne a se comprendre elle-même et a trouver ses propres solutions. Ëtre présent a l'autre est un acte d'humilité. On n'est pas toujours disponible aux autres quand ils nous interpellent. Si onest soi-même émotivement perturbé par ce que l'on vit, si on a de la difficulté en général a vivre et a nommer ses propres émotions, on aura plus de difficulté a aider l'autre a le faire.

Les rationnels,particulièrement, qui ont du mal a ressentir l'inconfort physique d'une émotion négative se réfugient dans l'intellect et noient leurs propres émotions dans un déluge de mots. A l'autre extrême, les gens très émotifs ont quelques tendance a ramener le problème a eux et a l'émotion que les propos de l'autre font naïtre en eux. Ils sont rapidement submergés et il leur devient impossible d'adopter la position du témoin attentif et a l'écoute. Adopter une attitude de bienveillance et de détachement peut aussi être difficile quand il s'agit de son enfant ou d'une personne très proche qu'on a toujours voulu protéger des souffrances de la vie. On se rappelle toutefois que l'enseignement qu'apporte une épreuve se trouve souvent dans le mal qu'on se donne pour la traverser.

La bienveillance consiste alors a accepter comme légitime ce que l'autre exprime, même si on a la certitude qu'il se trompe. Le fait que l'on soit d'accord ou non avec lui n'a aucune importance. On peut lui demander de préciser ou d'approfondir sa pensée, mais non pas l'orienter vers ce que l'on croit être la solution. 

Le soutien;Nous ne pouvons imposer notre présence. Notre aide désintéressée n'est vraiment utile que si on nous la demande. La patience et le respect des difficultés de l'autre a trouver ses propres solutions sont les mots clés dans l'accompagnement. Finalement, sachons demeurer modestes et réalistes quant a l'importance de notre contribution au bien-être de l'autre.L'empathie est nécessaire a tout accompagnement, car seule cette faculté nous permet de ressentir vraiment les émotions de l'autre, d'adopter son point de vue pour mieux le comprendre. C'est une composante essentielle de nos rapports humains et de la conscience que nous avons les uns des autres. 

Certains ont plus de facilité ou d'aptitude a vivre l'empathie, comme les codépendants qui en font souvent le point central de leur personnalité. Leur dévouement et leur capacité de pouvoir se mettre dans la peau de l'autre sont admirables, mais c'est parfois une façon de se détourner de leur propre monde émotif. Accorder son attention aux besoins de tout le monde, C,est se laisser constamment distraire de ses besoins personnels et risquer l'épuisement tôt ou tard.

Les gens très empathiques sont souvent la cible des manipulateurs qui savent abuser de leurs bons sentiments  pour obtenir ce qu'ils désirent d'eux: argent,faveurs,pardon,etc. Gardons toujours en tête que notre empathie n'est pas sans limites, mais qu'elle peut se renouveler a condition que nous puissions aussi compter sur la présence de nos proches quand nous en avons besoin. Surtout, il ne faut jamais oublier de prendre soin de soi d'abord, si on veut aider les autres ensuite.Adopter une attitude physique qui témoigne que nous ne sommes pas les problêmes que nous avons.

La mauvaise opinion qu'un inconnu peut avoir de nous ne devrait pas occuper notre pensée plus de quelques secondes.Les efforts que nous mettons a tenter de correspondre a ce que nous croyons que les autres attendent de nous, ou a essayer de les convaincre par tous les moyens que nous avons raison d'être ce que nous sommes. Toute l'attention que nous consacrons aux idées avec lesquelles nous ne sommes pas d'accord et tous les efforts que nous mettons a vouloir prouver aux autres qu'ils ont tort, jusqu'a nous mettre dans des états émotifs perturbants,ne servent strictement a rien. Le regard qu'on porte sur la vie des autres, pour la commenter, s'en offusquer, la juger et la condamner, est une perte de temps et d'énergie monumentale. Comme l'est aussi le temps qu'on passe a se plaindre, a critiquer ou a raconter ses problêmes a tout le monde qu'on rencontre.

Nous accordons une grande attention a des choses qui nous détournent de notre essence. Cessons de dilapider notre capacité d'attention sur des détails qui n'ont aucune pertinence dans notre vie. Nous gagnons a mettre en sourdine tout ce babillage mental qui nous prend la tête, mais qui ne repose sur rien, ne mène nulle part et ne mérite pas notre attention. Concentrons-nous sur notre capacité d'aimer et d'être aimés!

Pour enfin avoir une autonomie affective:

Qui n'est en fait qu'une prise de conscience et une acceptation sans condition de ce que nous sommes profondément, c'est as dire des êtres en constante évolution qui vivent pour aimer et être aimés.Prendre conscience de soi et s'accepter sont les deux faces de l'autonomie affective. Voici donc comment y arriver:

Exercez-vous a prêter attention a vos sensations physiques, a vos émotions et a vos pensées, des plus agréables et heureuses aux plus inconfortables et douloureuses, sans tenter de les refouler et sans vous juger ni vous condamner. Ainsi, vous les apprivoiserez pour ce qu'elles sont vraiment: des informations, des messages qui vous indiquent la direction a suivre pour aller vers vous-même, pour vous prendre en main et pour intégrer la beinveillance dans toutes vos relations, a commencer par vous-même.

Tout peut encore changer. Vous pouvez choisir, du jour au lendemain, de mettre toute votre attention a devenir une meilleure personne a vos propres yeux. Choisissez votre vie et consacrez-la a tout ce qui vous fera du bien au corps, au coeur et a la tête. Concentrez-vous surtout sur les gens qui vous aideront a vivre et a grandir en vous révélant les qualités et les forces qu'eux-mêmes voient en vous.

Soyez attentif a l'amour qu'on vous témoigne et a celui que vous pouvez exprimer. Consacrez a votre amoureux ou amoureuse le meilleur de vous-même et profitez de tous les bienfaits qu'apporte l'amour véritable. Soyez attentif au bonheur qui jalonne votre cheminement vers l'autonomie affective et prenez le temps d'en ressentir toute l'intensité.

Vous serez alors plus a même de créer un quotidien a votre image, de vous investir dans des relations qui répondent a vos besoins. Vous apprivoiserez le pouvoir de votre authenticité, vous vivrez en respectant vos valeurs. Vous pourrez créer, dans le plaisir, une vie qui vous ressemble.

J'ai l'intime conviction que la se trouve bonheur !


Louise,




REF.: Merci a:  Louise Sigouin,"si on s'aimait" , Tome 2.

http://louisesigouin.com/

https://www.facebook.com/louisesigouin.officiel/

jeudi 9 mars 2023

Vivez le moment présent:

 

Vivez le moment présent:

 

Redouter constamment l'avenir ourrit nos scénarios catastrophes. Avoir peur de ce qui pourrait arriver est la définition même de l'anxiété. A l'inverse, ne pas se soucier du futur, c'est accepter de vivre dans le présent en ayant la conviction que tous nos besoins trouveront satisfaction au moment opportun.

Avec le temps, on perd cette faculté qu'on avait, enfant, de demeurer dans le présent. Quand les difficultés et les contraintes se pointent, on se met a regretter ses fautes passées et, si on se borne a na regarder que ses échecs, on finit par se convaincre qu'on n'est pas doué pour la vie et on se met a craindre pour l'avenir. Croire, comme plusieurs, que nous n'arrivons jamais a être heureux, que personne ne voudra de nous et que la vie est ingrate fixe complètement notre esprit sur nos faiblesses. On vit dans l'angoisse de se tromper, d'être jugé ou de subir les coups durs que la vie peut nous envoyer n'importe quand. A l'opposé, on se vautre tellement dans les souvenirs et les erreurs du passé qu'on a du mal a réintégrer le moment présent. 


La meilleure façon d'aborder la vie au présent réside dans une attitude positive. On doit pour cela se ramener a l'ordre et se concentrer sur ses forces, sa capacité a agir et sa faculté d'être reconnaissant pour ce qu'on a. On prend le temps de s'arrêter, de savourer, de remercier la vie et d'apprécier ce que l'on possède et l'amour des autres. Vivre au présent nous permet de prendre conscience de l'impermanence des choses et de toujours remettre nos choix de vie bien haut de notre liste de priorités.


Se ramener dans le présent:


Le moyen le plus facile de se ramener dans le moment présent est de s'arrêter pour constater qu'on respire et pour se concentrer sur sa respiration. Ces quelques secondes ou l'on ne s'attarde qu'a son souffle, on les vit exactement sur la pointe du moment présent. C'est précisément ce en quoi consiste la méditation: prendre conscience de soi dans le moment présent.


L'insécurité du dépendant fait qu'il a du mal a rester dans le moment présent et le codépendant est continuellement en mode planification. Le vite ne vit pas le présent, car il est trop préoccupé a résoudre des problêmes et a aller de l'avant, alors que le lent glisse souvent dans la procrastination en pensant vivre le moment présent. 

Quand le moment présent n'est pas agéable ou facile a vivre, l'attitude a adopter est d'observer, avec bienveillance, ce qui se passe en nous, nos états d'âme ou nos sensations physiques. On accepte de vivre ce moment sans analyser ni juger la situation,mais plutôt en prenant du recul pour mieux comprendre les causes de son désagrément ou pour apprendre quelque chose sur soi.

Les obstacles a notre volonté de vivre dans le moment présent sont nombreux et les plus importants sont en nous. Notre petite voix intérieure, écho de notre égo, fait beaucoup pour nous distraire. Qu'on se raconte de veilles histoires ou qu'on s'en crée de nouvelles, c'est la même chose: on se fait du cinéma qui nous distrait du présent. Et cela, sans compter toutes les sources de stress etd'anxiété qu'il faut calmer, les tensions qu'il faut détendre, etc. Quand on perd le centre d'attention et qu'on se sent dériver vers ses douleurs et ses peurs, la solution est de seramener le plus vite possible dans le moment présent de se concentrer sur sa respiration et de se forcer a prendre pleinement conscience de ce qui se passe la ou la vie se déroule réellement.


Vivre dans l'avenir:


On a beau vouloir être dans l'ici et maintenant, il est difficile d'aller de l'avant dans sa vie sans planifier un tant soit peu son avenir. Il y a toutefois une grande différence entre se projeter dans l'avenir en étant en proie a sa tristesse, a sa colère ou a sa culpabilité et concevoir sa vie, orienter ses choix en fonction des besoins que l'on doit satisfaire au présent pour se sentir bien. Avec une telle attitude, on ne risque jamais de faire d'erreurs, puisque tout est l'objet d'une expérience de vie dont on ne peut que tirer des enseignements et qui nous aidera a nous améliorer.

Par ailleurs, nos attitudes sont déterminées par nos pensées et se traduisent par nos émotions qui, elles se manifestent dans nos comportements. Mais au départ, il faut toujours nous rappeler que nous avons le contrôle sur nos pensées, sur nos sources de réflexion et d'influence. Si nous ne pouvons nous empêcher de nous comparer aux autres, il peut cependant être bénéfique de choisir nos points de comparaison de façon a mettre en valeur nos forces et nos atouts.

En outre, on doit se souvenir que rien ne dure,les peines comme les joies. Voila pourquoi il est nécessaire de les vivres pleinement quand elles passent. L'exercice de la gratitude fait beaucoup pour nous apprendre a déterminer nous-mêmes notre état d'esprit et a élargir notre capacité a voir les possibilités qui s'offrent a nous. En pratiquant la gratitude, on peut en fin cesser de s'inquiéter, mieux on peut se conditionner a rechercher le meilleur de ce que la vie nous offre, mais encore faut-il être capable de le voir et de le reconnaître. Cela n,est possible que si l'on demeure dans le moment présent. 


REF.: Merci a:  Louise Sigouin,"si on s'aimait" , Tome 2.

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mercredi 8 mars 2023

Les différentes personnalités de l'Homme: Les 5 dualités

 

 

 Les différentes personnalités de l'Homme: Les 5 dualités

1- Dépendant/codépendant:

 Le dépendant est un grand égocentrique, mais capable d'exprimer clairement ses besoins et d'être fidèle a lui-même.

Le codépendant se mêle parfois trop de la vie des autres et a du mal a s'accorder la priorité, mais il est d'une générosité admirable.

2- Le fusionnel/Solitaire:

Le fusionnel est souvent très intense, mais c'est beaucoup grâce a lui si le couple existe et s'épanouit.

Le solitaire est nettement plus détaché et indépendant, mais il rappelle au fusionnel qu'il faut prendre soin du Je avant de créer un nous.

3- Le Rationnel/Émotif:

Le rationnel intellectualise les émotions difficiles pour éviter qu'elles l'envahissent, mais il fait souvent preuve de beaucoup de sensibilité dans sa perception de la réalité.

L'Émotif est très intuitif, mais il a du mal a exprimer en mots ce qu'il ressent. Quand on lui en laisse le temps, ses intuitions sont souvent très justes.

4- L'Actif/Rêveur:

L'Actif omet d'être présent aux autres tant il est préoccupé par sa liste de tâches, mais c'est grâce a lui que les choses finissent par se faireet que les projets avancent et se réalisent.

Le Rêveur aspire très fort a l'intensité amoureuse dans la relation et, quand il a le courage d'exprimer ses attentes, il nourrit l'intimité du couple et garde vivante la séduction entre les partenaires.

5- Le Vite/Le Lent:

Le Vite fait beaucoup de choses dans une journée et il tourne souvent les coins ronds. Mais qui a dit que tout devait toujours être parfait? Les vites offrent aux perfectionnistes de beaux exemples de lâcher-prise.

Le Lent exaspère souvent le Vite, mais il lui rappelle que, en prenant son temps, on ressent mieux ce qui se passe en soi et autour de soi.


REF.: Louise Sigouin, "Si on s'aimait",Tome1-2.http://louisesigouin.com/

https://www.facebook.com/louisesigouin.officiel/

La méthode Sigouin inspiré de Claire Reid sexologue a portée ses fruits,mais il y a toujours des pommes pourrîtes dans un groupe,surtout en téléréalité comme ,Jean-Philippe Caron(avec un Égo démesurée), celui qui avait marqué l’imaginaire collectif (car c'est comme ça qu'on avance dans le société lol)et surtout celui d’Hugo Dumas! avec ses sempiternels foulards. Jean-Philippe, c’est celui qui avait été matché avec Fanny et qui avait finalement quitté l’aventure après seulement deux semaines, comme l’émission implique un volet de cohabitation et qu’il n’était pas à l’aise de présenter sa partenaire, avec qui ça ne cliquait pas, à ses trois enfants. Son départ ne s’est pas très bien passé, mais ça aura au moins fait cesser les commentaires sur le web à son sujet.

https://urbania.ca/article/consulter-a-la-tele-est-ce-que-ca-marche-pour-vrai



Louise Sigouin a plaidé coupable,

https://www.ledevoir.com/societe/justice/779063/la-sexologue-louise-sigouin-plaide-coupable-devant-le-conseil-de-discipline

Avec plus d’accompagnement auprès des candidat.e.s et plus d’avertissements pour le public, Si on s’aimait gagnerait quelques points supplémentaires, mais elle peut aussi se permettre de s’en passer. « Une émission comme ça, on ne peut pas se l’interdire totalement, croit le Dr Roussy. Surtout à notre époque où les gens se confient beaucoup sur les réseaux sociaux, disent tout et n’importe quoi sur ces plateformes-là et s’y mettent à nu, à leur propre détriment souvent. J’aime mieux une émission comme ça, où au moins, il y a un cadre et du soutien, que des gens qui s’exposent sur les réseaux sociaux et se rendent très vulnérables. » Et puis, comme le dit la Dre Beaulieu-Pelletier, ce genre d’émission contribue à « rendre la santé psychologique plus démocratisée, plus proche et moins taboue ».

Mise à jour : La production de l’émission m’a finalement contactée pour m’indiquer qu’un accompagnement est offert aux candidat.e.s de l’émission avant, pendant et après les tournages. Des séances sont offertes avec Louise Sigouin ou d’autres professionnel.le.s en relation d’aide, au besoin. Dès la première saison, la production a également proposé à certain.e.s participant.e.s de visionner les montages de segments plus sensibles de leur aventure avant leur diffusion.


L'Égo dans le couple,selon Louise Sigouin:

 

L'Égo dans le couple,selon Louise Sigouin: 


L'Égo:

Le couple, aussi stimulant qu'il puisse être, comporte son lot de difficultés et de conflits. La passion aveugle des premiers mois n'est pas éternelle: au bout d'un certain temps, on a un portrait plus réaliste et complet de l'autre. Après la communion des corps, vient la rencontre des égos.

L'Égo désigne la représentation et la conscience que l'on a de soi-même. C'est une construction de l'esprit, un personnage social que nous croyons ou voulons être. L'égo s'est construit par les leçons et les enseignements que nous avons tirés de notre vécu, et par lesquels nous nous définissons.(pour en savoir plus,bien sûr il y a les failles de l'égo:https://www.supramental.biz/fr/art155-desinformation_rdf.xml ) 

En situation de conflit, l'égo tente désespérément d'imposer sa volonté, ses idées, son fonctionnement.

On parle souvent des blessures de l'égo, qui découlent des humiliations et des échecs que nous avons vécus. Plus profondes sont les blessures, plus l'égo sera souffrant. Un égo trop souvent humilié ou mis en échec est un très mauvais conseiller, car il freine notre évolution personnelle. Certains couples font un suivi très serré des concessions et des bénéfices que chacun tire de la relation. Ils discutent de tout, marchandent chacune des tâches ménagères et négocient sans cesse la moindre dépense. C'est fastidieux et très épuisant a la longue. C'est fou le nombre de couples qui consultent pour des questions d'entretien ménager, de partage de tâches ou de gestion de budget.

La question de l'argent et de l'indépendance financière dans le couple est très souvent un lieu d'affrontement des égos, qui se font entendre haut et fort. Chacun défend ses priorités, ses besoins et ses envies quand vient le temps de dépenser l'argent. On se valorise beaucoup par le travail et l'argent qu'on gagne. Si dans un couple, un des deux reste a la maison pour prendre soin de la famille (ce qui a longtemps été le cas des femmes et l'est encore très souvent), sa contribution semble avoir moins d'importance que celle de son partenaire qui rapporte l'argent a la maison. Du point de vue de l'égo, c'est très humiliant d'admettre devoir dépendre a l'autre financièrement. Mais pour permettre a l'un de se réaliser professionnellement a sa pleine capacité, l'autre doit prendre tout le reste en charge: l'intendance de la maison, les rendez-vous chez le dentiste, l'éducation des enfants, etc. S'il s'agit d'une situation que l'on subit, l'égo en prend ombrage et on se sent dégradé d'être ainsi considéré comme la "bobonne" de service. Si au contraire il s'agit d'un choix de vie éclairé et assumé, l'égo y verra une forme de valorisation. 

Donc, pour durer dans le temps, il faut continuellement nourrir le désir d'être avec l'autre. Faut pas oublier les trois piliers de l'amour que sont: La passion,l'intimité et l'engagement!!!

Puisque ce sont les blessures de l'enfance qui marquent notre vie d'adulte, notre guérison implique que nous devenions notre propre parent qui prendra soin de l'enfant blessé en nous, en le traitant avec attention et délicatesse comme nous le ferions pour un enfant qui porterait nos blessures. Lâcher prise, faire la paix avec le passé, accepter les changements et laisser le temps faire son oeuvre! Donc a travers cet engagement,il y a l'importance de confiance qui règnera dans le couple.

 




NOTA: Selon Sandra Vimont, L' Ego : Expression plus ou moins perfectionnée de l’esprit dans la forme et la matière. L’ego vibre, agit ou réagit en fonction de la capacité de sa lumière prépersonnelle à pénétrer son corps physique et ses corps subtils ; il s’exprime à travers sa personne réelle ou par l’intermédiaire de sa personnalité. Prépersonnel : Qualifie la lumière qui correspond à la source et à la manifestation créative de la conscience intégrale de l’être. Ce qui est prépersonnel n'appartient pas à l'ego comme tel, mais fait partie de sa réalité solaire.https://www.supramental.biz/fr/supramental-lexique.xml#Lettre_E

Les failles de l'égo: https://www.supramental.biz/fr/art155-desinformation_rdf.xml

REF.: Louise Sigouin, "Si on s'aimait" Tome 2.