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vendredi 8 juin 2012

Anonymous 1 et le SPVM o ?

Le groupe de pirates informatiques Anonymous maintient la pression sur les corps policiers. Depuis samedi, ce sont les coordonnées professionnelles de policiers qui sont diffusées en ligne.
Sur la page en question, qui porte la signature d'Anonymous, les pirates demandent aux policiers de Montréal de reprendre la «véritable fonction de leur poste au lieu de s'attaquer lâchement au peuple.»
(Crédit: Agence QMI) Une capture d'écran du site sur lequel sont transmises les informations piratées par Anonymous.
Les noms de centaines de policiers québécois provenant de l'ensemble des services de police de la province sont par la suite diffusés, de même que leur adresse courriel professionnelle.
Pour l'instant, on ignore d'où proviennent les informations qui sont enregistrées via le site Internet Paste HTML, un site qui permet de diffuser de l'information rapidement et de façon anonyme.
La Sûreté du Québec et le Service de police de la Ville de Montréal ont refusé de commenter cette affaire.
Le site Internet de l'Association des policiers provinciaux du Québec et celui de l'Association des directeurs de police du Québec étaient inaccessibles samedi après-midi, mais rien n'indique pour le moment qu'Anonymous en soit la cause.


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Jean Charest a créer un Monstre et il mourra avec ?

Aujourd’hui, j’ai une pensée pour tous les commerçants de Montréal.
L'économie Québécoise en prendra un coup !
Plusieurs hôtels du centre-ville, habituellement en demande quand se pointe le cirque de la Formule 1, ont encore beaucoup de chambres libres. Ça peut être dû à une foule de facteurs. Pas seulement aux scènes d’affrontements entre policiers et manifestants qu’on voit dans les médias, ici et ailleurs. Mais en ce début d’été, les organisateurs de festivals commencent à s’inquiéter.
Comme si ce n’était pas assez, le collectif informatique Anonymous menace d’attaquer le système informatique du Grand Prix. Au Grand Prix de Bahrein, Anonymous avait publié sur internet les informations personnelles d’acheteurs de billet. C’est ce que laisse entendre un communiqué émis par le groupe.
Montréal perd, les régions gagnent
Un ami de la Gaspésie m’a récemment écrit : « si les rumeurs de manifestations pendant le Grand Prix ou le Festival Juste pour rire sont fondées, je me dis que ça pourrait être bon pour nous en Gaspésie. Parce que plus de gens pourraient être tentés de venir en vacances dans notre bout. »
Sans vouloir offenser les habitants de ce superbe coin de pays, je ne suis pas sûr que le plan B des « poules de luxe » du Grand Prix soit d’aller cruiser les maringouins au camping Sainte-Gertrude. Mais quand même, il a raison sur le fond : ce que Montréal perd, le reste du Québec va le gagner. Du moins, en partie.
Le Grand Prix, par exemple. Bon an mal an, 75 % des spectateurs proviennent du Québec. Si ces gens ne vont pas au Grand Prix, ils vont dépenser leur argent ailleurs – football, théâtre, camping en Gaspésie (!?) Et vont faire apparaître autant de « retombées économiques » et de recettes fiscales. Ce serait Québec, Charlevoix ou votre banlieue qui profiterait des retombées, au lieu des restaurateurs et hôteliers de la rue Crescent et des alentours. La même chose vaut pour le festival Juste pour rire ou tout autre spectacle.
Par contre, une partie de la clientèle est formée de touristes internationaux. Quand ces gens viennent manger notre poutine ou admirer nos danseuses (entre autres), on parle d’« argent neuf », qu’ils auraient dépensé ailleurs sinon. Et des rentrées fiscales associées. (Mais gardons en tête que ces touristes ne nous donnent pas leurs euros ou leurs dollars. Ils les échangent contre des biens et services, comme le fait toute entreprise exportatrice.)
Et l’image, dans tout ça? Un événement de l’envergure du Grand Prix peut entraîner toute sorte de « retombées » sociales et économiques difficiles à chiffrer. Même chose pour le Festival Juste pour rire et les autres événements qui pimentent l’été montréalais.
Une tuile de plus
Mais je m’inquiète surtout pour l’ensemble des commerçants montréalais. Eux surmontaient déjà des embûches bien avant le conflit étudiant. Après les bouchons, les détours, les histoires de parcomètres et de taxes, la morosité économique… arrivent AnarchoPanda et sa bande!
Une tuile de plus sur la tête de ces membres de la majorité silencieuse, qui commence à en avoir plein son casque.
Vivement qu’on trouve une solution (une élection?) et qu’on passe à autre chose. En attendant, je souhaite un bon été à nos commerçants, et beaucoup de patience. Ils en auront besoin.


Le vendredi 8 juin 2012
David Descôteaux

David Descôteaux

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Les centrales syndicales défendent les intérêts des banques qui financent la gauche ?

Il y a quelques semaines, j’écrivais que les syndicats se servaient de la « cause étudiante » pour régler leurs comptes avec le gouvernement.
Ils n’ont pas digéré le fait que le gouvernement veuille abolir le placement syndical dans le milieu de la construction, disais-je, et ils ont décidé d’envoyer les jeunes au front pour mener leur bataille et déstabiliser leur adversaire.

PAR ICI, LES FACTURES !

Dans L’Actualité, le journaliste Alec Castonguay signe un texte éclairant sur le rôle joué par les centrales syndicales dans la crise étudiante.
On y apprend entre autres que :
— La CSN a versé 35 000 dollars à la FECQ, la FEUQ et la CLASSE depuis le début du conflit.
— Elle a payé la salle du Métropolis (5 000 dollars) pour un concert en appui au mouvement.
— Elle a nolisé des dizaines d’autobus en vue des rassemblements.
— La CSQ a dépensé 9 000 dollars pour construire le site Internet des étudiants contre la hausse et dépensé 7 000 dollars pour aider à combattre les injonctions obtenues par les étudiants opposés à la grève.
— La CSQ a payé la rédaction et la diffusion de communiqués de presse ainsi que deux envois massifs de journaux de grève aux étudiants.
— La FTQ a contribué pour 25 000 dollars à l’organisation de manifestations.
— Les syndicats paient pour la location des camions placés à la tête des manifestations, les porte-voix, les bâtons qui servent à tenir les pancartes, etc.
Bref, les grandes centrales syndicales financent bel et bien le mouvement. Sans elles, ça ferait longtemps que cette lutte aurait manqué sinon de souffle, du moins de moyens…

LA VACHE À LAIT

Mais ce n’est pas tout. Alec Castonguay nous révèle aussi que de 2008 à 2011, la CSN a versé près de deux millions de dollars à des groupes écologistes, des organismes de lutte contre la pauvreté ou de défense des femmes, des cocktails de financement en culture, des sommets sur le logement abordable…
Et cette année, la CSQ versera 160 000 dollars à 140 organismes, alors que la FTQ donnera plus de 142 000 dollars à des dizaines de groupes.
Tout ça, grâce aux cotisations obligatoires versées par leurs membres…
Que des centrales syndicales défendent les intérêts de leurs membres est une chose. Mais qu’elles se servent des cotisations que ceux-ci leur envoient pour soutenir telle ou telle cause politique en est une autre.
Après tout, les syndiqués de la CSQ, de la CSN et de la FTQ sont AUSSI des contribuables et des citoyens. Ils sont aussi divisés sur certaines questions que la population en général. Ils ne sont pas tous rouges, tous écolos, tous gauchistes…
Ce n’est pas parce que Joe Blow verse une cotisation à la CSN ou à la FTQ (de toute façon, a-t-il le choix ?) qu’il est nécessairement pour Québec Solidaire ou pour le gel des frais de scolarité.
Sinon, cela se reflèterait dans les sondages, non ?

DES BANQUES

À quand une loi interdisant aux grandes centrales syndicales d’utiliser l’argent que leur envoient leurs membres pour financer des luttes qui n’ont RIEN À VOIR avec les intérêts de ceux-ci ?
Les centrales syndicales sont-elles des organismes défendant les intérêts des salariés, ou des banques qui financent la gauche ?


 
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L'hommerie,......il y en aura d'autres !

Saguenay - Un ex-procureur prend la route des cellules
Jean-François Morency 
Photo Roger Gagnon / Agence QMI
Saguenay

Un ex-procureur prend la route des cellules

SAGUENAY - Un ancien procureur de la Couronne, Jean-François Morency, a écopé d'une peine de trois ans de pénitencier, vendredi.
Jean-François Morency avait reconnu sa culpabilité à trois accusations de corruption et d'abus de confiance dans le cadre de ses fonctions.
De 2004 à 2008, l'ancien procureur de la Couronne a délibérément orchestré la perte du dossier d'ivresse au volant de son ami Pierre Deschesne. Il a par la suite accepté une somme de 6000 $ de ce dernier.
Morency a été arrêté en mai 2008 après avoir encaissé une avance de 2000 $ provenant d'une agente double qui prétendait vouloir éviter la justice dans un dossier de même nature.
Lors de son témoignage, Jean-François Morency avait déclaré avoir pris conscience des fautes commises. Il s'était décrit comme un homme détruit qui a choisi de faire face à l'opinion publique plutôt que de quitter la région. «Je suis en prison depuis déjà quatre ans», avait-il déclaré.
La défense réclamait une peine dans la collectivité et la poursuite une sentence de 36 mois de pénitencier.


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Le Roi des cons ?


Culture politique de Jean Charest - La cause de tous les maux
Le député Bertrand St-Arnaud  
Photo Agence QMI / Archives

QUÉBEC - La culture politique personnelle de Jean Charest est la cause de tous les maux au Québec, selon le Parti québécois.
Au cours d'une période de questions particulièrement intense marquée par des attaques de favoritisme de part et d'autre entre libéraux et péquistes, le député Bertrand St-Arnaud a accusé le premier ministre de miner toutes les sphères d'activité au Québec.
«C'est lui qui a changé les règles d'éthique, c'est lui qui a reçu un salaire secret de 75 000 $ pendant 10 ans, c'est lui qui a imposé des quotas de financement de 100 000 $ à ses ministres», a tonné le député péquiste.
Il lui a reproché aussi «d'accepter que, pour du financement à la caisse du PLQ, on puisse monnayer des places en garderie, des contrats de construction, des nominations de juges, des terrains synthétiques».
L'opposition officielle est revenue à la charge en questionnant la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, sur sa gestion du Fonds pour le développement du sport, qui a fait l'objet d'un rapport accablant du Vérificateur général.
«Je ne pense pas que l'ensemble des projets qui ont été octroyés ont tous été des dossiers mal gérés, mal ficelés, donnés pour les mauvaises raisons», a répliqué la ministre, rappelant que 48% des projets ont été accordés dans des comtés des partis d'opposition.
«Qu'ils viennent me le dire en face que leurs dossiers, qui ont été octroyés dans leurs comtés n'étaient pas des bons dossiers», a-t-elle lancé, mettant au défi ses adversaires.
Construction
Le député péquiste Nicolas Girard a pour sa part affirmé que 21 jours après l'adoption de la loi 35, censée empêcher les entrepreneurs frauduleux de décrocher des contrats publics, la ville de Laval a accordé un contrat de 32 millions $ à Louisbourg SBC pour la rénovation d'une usine d'eau potable.
Puis, six mois avant le dépôt de la loi, la Ville de Laval avait accordé un premier contrat de 32 millions $ à Louisbourg SBC pour une autre usine d'eau potable à Chomedey.
«Pourquoi avez-vous fermé les yeux? Parce que c'était à Laval, ou parce que c'était Accurso», a questionné le député de Gouin.
La ministre du Travail, qui a déjà annoncé son intention de resserrer l'étau sur les entreprises coupables d'évasion fiscale au moyen d'une nouvelle loi, a préféré répliquer par la bouche de ses canons.
«La seule qui a vraiment enfreint les règles du Québec, c'est la chef de l'opposition lorsqu'elle était ministre des Services sociaux», a lancé Lise Thériault.
Elle a précisé que Pauline Marois avait alors octroyé 110 millions $ à Tony Accurso et Marcel Melançon pour la construction de centres d'hébergement, «invoquant l'urgence».
«Savez-vous combien il y avait de centres de construits après 18 mois? Un, seulement qu'un. Levez-vous encore», a martelé la ministre, triomphante.


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mercredi 6 juin 2012

La drogue appelée « sels de bain » le MDPV

Santé - Ottawa prévoit réglementer la drogue appelée « sels de bain »
 
Photo: Chris Roussakis / Agence QMI

OTTAWA – La ministre de la Santé du Canada a annoncé mardi que le gouvernement fédéral prévoyait réglementer un ingrédient important de la drogue illicite appelée « sels de bain », qui est un puissant stimulant pouvant entraîner des épisodes psychotiques et des comportements dangereux. Les sels de bain, qui sont connus dans la rue sous l'appellation de LSD, ressemblent aux sels de bain vendus dans les pharmacies.

Rudy Eugene, qui a été abattu à Miami alors qu'il mangeait le visage d'un autre homme le mois dernier, est soupçonné d'avoir été sous l'emprise des sels de bain. Selon la police, cette drogue est en vente dans les rues aux États-Unis.
L'ingrédient qui sera réglementé est appelé MDVP.
Les sels de bain sont illégaux aux États-Unis, mais ils n'étaient pas répertoriés comme une substance contrôlée au Canada.
« Cette mesure témoigne de la volonté de notre gouvernement de protéger les familles canadiennes de cette substance dangereuse », a dit la ministre Aglukkaq.
« Cette mesure fournit aux autorités les instruments dont elles ont besoin pour que nos rues et nos communautés soient à l'abri de cette nouvelle drogue, qui ruine des vies et ravage des communautés partout au pays », a-t-elle ajouté.
Le gouvernement fédéral a indiqué « qu'à moins que de nouvelles données retentissantes ne soient obtenues, cette drogue sera déclarée illégale cet automne ».
Les nouvelles règles signifient donc que les activités comme la possession, le trafic, la possession en vue du trafic, l'importation, l'exportation et la production de la MDPV seraient par conséquent illégales.




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Un virus d'États ,prend 2 ans a être identifié ?

Virus Flame - Une nouvelle étape dans la cyberguerre
 
Photo maxkabakov - Fotolia.com
Virus Flame

Une nouvelle étape dans la cyberguerre

SAN FRANCISCO - La récente découverte du virus informatique «Flame», opérationnel depuis plusieurs années et dont le potentiel destructeur serait inégalé, confirme les craintes des experts d'assister dans le monde à une nouvelle étape dans la cyberguerre.

À LIRE ÉGALEMENT:
Le virus Flame dérobait PDF et autres fichiers L'éditeur d'antivirus Kaspersky détecte une cyber-arme visant l'Iran
Le recours au virus «Flame» contre l'Iran est «justifié»
«Nous voyons apparaître des programmes informatiques malveillants et des attaques bien plus spécifiques» qu'auparavant, estime David Marcus, directeur de recherche en sécurité chez McAfee Labs, soulignant que la spécificité de ce nouveau virus est que «l'attaquant connaît sa victime et conçoit son logiciel malveillant en fonction de l'environnement dans lequel il va le lancer».
L'éditeur russe de logiciels antivirus Kaspersky Lab a annoncé lundi avoir identifié un virus informatique au potentiel destructeur inégalé, baptisé Flame ou Flamer et utilisé comme une «cyberarme» contre plusieurs pays.
Il a assuré que ce logiciel était «dans la nature depuis plus de deux ans».
Recueillir des informations sur les cibles visées pour ensuite pouvoir concevoir des virus qui s'en prennent à des réseaux spécifiques et aux personnes qui les utilisent est certainement une pratique «à la mode» et constitue un style d'attaque dont la naissance a été annoncée avec la découverte du virus Stuxnet, souligne M. Marcus.
Détecté en juillet 2010, Stuxnet a pris pour cible les systèmes de contrôle informatique fabriqués par le géant industriel allemand Siemens et utilisés en général pour gérer les systèmes de distribution d'eau et les plate-formes pétrolières. Le virus pourrait avoir été spécialement conçu pour s'en prendre aux moteurs qui fournissent l'énergie aux centrifugeuses iraniennes permettant d'enrichir l'uranium.
Flame est «vingt fois plus important que Stuxnet», selon la société Kaspersky. Il est capable de «voler des informations importantes, pas uniquement contenues dans les ordinateurs, des informations sur des systèmes visés, des documents archivés, des contacts d'utilisateurs et même des enregistrements audio de conversations», a précisé l'éditeur russe.
Selon des médias occidentaux, Flame aurait été exploité pour attaquer le ministère du Pétrole iranien et le principal terminal pétrolier d'Iran.
Après les virus Stuxnet et Duqu, un autre programme semblable, Flame marque «une nouvelle étape» dans la cyberguerre, «et il est important de comprendre que de telles cyberarmes peuvent facilement être utilisées contre n'importe quel pays», a dit Evgueni Kaspersky, directeur général de la société russe.
Flame est particulièrement actif au Moyen Orient, mais sévit aussi dans d'autres zones du monde, a indiqué mardi à l'AFP Laurent Heslault, le directeur des stratégies de sécurité du groupe de sécurité informatique Symantec.
Le nouveau virus a été localisé «un petit peu partout, en l'occurrence plutôt au Proche et Moyen-Orient, notamment dans une banque palestinienne et en Iran, au Liban. Mais aussi, dans une moindre mesure, en Russie, en Autriche, à Hong-Kong, aux Émirats arabes unis», a détaillé M. Heslault.
Il a décrit «une menace très sophistiquée et très modulaire, c'est la boîte à outil du cyberespion dans toute sa splendeur». «On a vraiment affaire à un outil d'espionnage, qui est capable d'enregistrer un tas de trucs, de voler plein de documents».
«On ne peut pas nier le fait que cette chose soit gigantesque», assure David Marcus. «Quelqu'un s'est donné beaucoup de mal afin de déconcerter les chercheurs. Nous allons devoir démonter cet aspirateur (de données) pendant un bon moment avant de réussir à comprendre tout ce qu'il était capable de faire».


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