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jeudi 3 mars 2011

Mot a retenir,dormir au volant,repété a près moi,......dormir au...

Montérégie - Catastrophe évitée de peu à St-Jean-sur-Richelieu
Vers 7h20, un conducteur a perdu la maîtrise de sa voiture, possiblement en raison des conditions routières.
© Agence QMI / Maxime Deland

SAINT-JEAN-SUR-RICHELIEU – Une simple sortie de route a bien failli connaître un dénouement tragique, mercredi matin, à Saint-Jean-sur-Richelieu.

Vers 7h20, un conducteur a perdu la maîtrise de sa voiture, possiblement en raison des conditions routières, alors qu'il se dirigeait en direction nord sur l'autoroute 35, un peu avant le pont Marchand.

«Voyant le véhicule immobilisé dans la neige en bordure de l'autoroute, un autre automobiliste s'est arrêté pour aller voir si le conducteur avait besoin d'aide», a indiqué la sergente Joyce Kemp, porte-parole de la Sûreté du Québec.

Quelques instants plus tard, un troisième véhicule a effectué une sortie de route au même endroit. Il a violemment percuté l'arrière de l'une des deux voitures et a terminé sa course sur le côté.

La conductrice est demeurée coincée pendant plusieurs minutes à l'intérieur de l'habitacle. Les services d'urgence sont toutefois parvenus à la dégager sans avoir recours aux pinces de désincarcération.

Souffrant de blessures jugées «sérieuses», la dame a été transportée à l'Hôpital de Saint-Jean-sur-Richelieu. Selon la police, sa vie ne serait pas en danger. Personne d'autre n'a été blessé lors de l'accident.

Une enquête est en cours afin d'établir les circonstances exactes de l'accident.


REF.:

Quotas illégaux en radio-oncologiques ?




Quotas illégaux - L’hôpital Maisonneuve-Rosemont devra dédommager un médecin
L'hôpital avait imposé en 2002 des quotas à chacun de ses médecins quant à l’utilisation de machines de radio-oncologie
© Agence QMI / Archives

Quotas illégaux

L’hôpital Maisonneuve-Rosemont devra dédommager un médecin !




MONTRÉAL – L’Hôpital Maisonneuve-Rosemont devra verser près de 35 000 $ à l’un de ses docteurs, aujourd’hui à la retraite, pour l’avoir empêché de faire passer des examens radio-oncologiques à ses patients. Il était tenu à des quotas d'utilisation des appareils de l’établissement.

Elie Tawil, 71 ans, vient de remporter une longue bataille juridique qu’il mène depuis 2002 contre son ancien employeur. La Cour d’appel a tranché en sa faveur le 25 février. Selon le jugement, l’établissement hospitalier avait imposé en 2002 des quotas à chacun de ses médecins quant à l’utilisation de machines de radio-oncologie, afin de mieux gérer les listes d’attente. Le problème, c’est que certains oncologues auraient obtenu des quotas moins avantageux que d’autres, ce qui aurait eu un impact direct sur le traitement de leurs malades atteints de cancer.

«Ce système était non seulement illégal, comme l’ont conclu les juges, mais aussi injuste, a commenté le Dr Tawil à 24H. Pour une même pathologie, certains malades ont été traités tout de suite, et d’autres beaucoup plus tard.»

Une centaine de ses malades auraient ainsi été défavorisés, selon lui, au détriment de plusieurs patients de certains de ses collègues.

«Une fois mon quota atteint, mes patients ne pouvaient plus être traités, sauf si je transférais leur cas à l’extérieur ou à un collègue pourvu d’un plus gros quota. J’ai essayé d’en transférer le plus possible, mais plusieurs patients n’ont pas voulu être traités par quelqu’un d’autre que moi», a-t-il assuré.

Des quotas jugés «illégaux» par la Cour

Dans une première décision de la Cour supérieure en avril 2009, le juge Marc-André Blanchard avait donné raison au Dr Tawil, condamnant l’hôpital Maisonneuve-Rosemont à lui verser 150 000 $ pour compenser la perte de ses revenus entraînée par la perte de patients.

«Le fait pour HMR de créer des quotas d’accès aux appareils pour chacun des médecins est inacceptable et contraire à ses obligations légales», peut-on lire dans le jugement.

L’hôpital a contesté cette décision en Cour d’appel, qui l’a confirmée. En revanche, le montant des indemnités à verser au Dr Tawil est passé à 34 604 $, celui-ci étant finalement dédommagé pour le transfert de 25 patients à d’autres collègues oncologues.

«L’établissement de tels quotas avait pour effet de changer le rang de certains patients sur les listes de traitement, non pas en raison de la gravité de leur condition, mais en fonction d’un choix de l’administration hospitalière fondé sur le mode de rémunération des médecins», ont affirmé les juges Thibault, Vézina et Kasirer.

L’HMR a plaidé que la Loi sur les services de santé et les services sociaux «autorise le chef d’un département à décider de l’utilisation opportune des ressources». Il n’a pas été possible d’avoir la version des faits de l’administration, mercredi.

Elie Tawil, à la retraite depuis peu, a dit qu’il souhaitait maintenant tourner la page. «Cette situation ne s’est jamais vue nulle part au Québec et elle ne doit pas se reproduire.»


REF.:

mercredi 2 mars 2011

Cinar: fraude d'environ 120 millions de dollars et dépot dans des comptes offshore des bahamas

Soupçon de fraude - Mandats d'arrêt contre des dirigeants de Cinar

© Photo d'archives
Encore d'autres fraudes avec ,Mount Real ,Norshield,tout est interconnecté avec Cinar !


MONTRÉAL - Des dirigeants de Cinar et des hommes d'affaires liés à l'entreprise montréalaise devront faire face à la justice pour une fraude d'environ 120 millions de dollars qui se serait déroulée d'août 1998 à mars 2000.

Ronald A. Weinberg, 59 ans, président et cofondateur de Cinar, John Xanthoudakis, 52 ans, président de Norshield Financial Group et Lino Pasquale Matteo, 44 ans, président de Mount Real sont visés par des mandats d'arrêt. Quant à Hasanain Panju, 58 ans, chef de la direction financière de Cinar il a déjà été arrêté par la SQ.
Les quatre hommes font face à 36 chefs d'accusations de fraude, de faux et usage de faux ainsi que de faux prospectus.
L'enquête, qui s'est étendue sur sept ans, tend à démontrer que Ronald Weinberg et Hasanain Panju ont investi dans des portefeuilles de placements, sans l'autorisation du conseil d'administration de Cinar, et ce, dans le but de s'enrichir personnellement.
Quant à John Xanthoudakis, il leur aurait permis d'investir aux Bahamas, alors que Lino Matteo aurait aidé ce dernier à camoufler le portrait réel des investissements.
Les enquêteurs de la SQ ont exécuté huit mandats de perquisition, 11 ordonnances de communications et rencontré plus de 50 témoins entre autres des employés de Cinar, des témoins aux Bahamas, des employés d'Ernst and Youg au Canada.
Ils ont obtenu un mandat d'entraide internationale afin de rencontrer des témoins et de faire exécuter des perquisitions aux Bahamas. Ils ont ensuite étudié et analysé une cinquantaine de boîtes de documents et environ 10 000 fichiers informatiques.
La dégringolade
À l'automne 1999, une histoire de prête-noms a terni l'image de Cinar. L'entreprise avait recouru à des scénaristes américains en les faisant passer pour des Canadiens. Ce subterfuge avait permis à Cinar d'obtenir des crédits d'impôt et des subventions des deux ordres de gouvernement.

En août 2009, le dessinateur Claude Robinson a gagné finalement sa cause contre Cinar après 14 ans d'une épique bataille judiciaire. Il a récupéré son œuvre Robinson Curiosité, renommée Robinson Sucroë par Cinar. Il s’était aussi vu attribuer un dédommagement de 5,2 millions de dollars plus les intérêts par les tribunaux, mais cette décision a été portée en appel, entre autres, par Ronald Weinberg.
La cofondatrice de Cinar, Micheline Charest, est morte lors de complications liées à une opération esthétique en 2004. Cette même année, l’entreprise a été rachetée et rebaptisée Cookie Jar.

1,5 milliard $ pour 3 600 assistés sociaux de moins ?








«Le Québec est parmi ce que l'humanité a de mieux à offrir», a dit Jean Charest cette semaine. Pas de farce. «Ce que l'humanité a de mieux à offrir.» Il a dit ça sans rire. Et (à preuve du contraire) sous l'influence d'aucune substance illégale.

AU PAYS DES GÉANTS

J'aime le Québec. Profondément.

Je suis heureux de vivre ici, et chaque fois que je pars à l'étranger, je suis content de revenir.

Mais «ce que l'humanité a de mieux à offrir» ? Vraiment ?

Vous trouvez que notre système de santé est «ce que l'humanité a de mieux à offrir» ? Même chose pour notre système d'éducation ?

Si on se compare au Burkina Faso, peut-être. À côté d'un nain, on a toujours l'air d'un géant. Mais quand on se regarde dans le miroir, ou qu'on se compare à des gens de notre taille, c'est une autre affaire...

UN ÉCHEC CUISANT

C'est vrai qu'au point de vue économique, la province se porte plutôt bien. Grâce, entre autres, à la péréquation (c'est-à-dire le B.S.) que nous recevons du fédéral.

Mais il n'y a pas que l'argent dans la vie. Il y a aussi la façon dont on l'utilise.

Prenez le fameux Pacte pour l'emploi. Ce programme gouvernemental était censé retourner 50 000 assistés sociaux sur le marché du travail.

Après trois ans d'existence, seulement 3 600 prestataires ont fait le saut.

Ce n'est pas le manque d'argent, le problème (le programme bénéficie d'une enveloppe de 1,5 milliard $ !). C'est le programme lui-même.

Idem pour le système de santé, qui pompe chaque année des gonzilliards de dollars avec le résultat que l'on connaît.

C'est ça, le principal défidu Québec. Pas tant l'économie que la façon dont nous gérons les deniers publics.

C'est ça, qu'il faut améliorer.

La beauté de la chose est que pour accomplir cette tâche, on n'a pas besoin de taxes ou d'impôts supplémentaires.

Juste un crayon et une feuille blanche. Pour redessiner les structures.

AMIR VERSUS DELTELL

Mais qui s'attaquera à ce dossier épineux ? Quelle formation osera affronter les différents groupes d'intérêt (syndicats, corporations, groupes de pression) qui imposent leur façon de faire et mènent l'État par le bout du nez ?

Jusqu'à maintenant, seule l'ADQ tient ce discours. Mais le parti traîne la patte dans les sondages, et les citoyens préfèrent Amir Khadir (un compagnon de route du Parti communiste qui a manifesté devant un honnête vendeur de souliers) à Gérard Deltell.

Comprenne qui pourra...

OPTIMISME BÉAT

Les lecteurs me reprochent souvent mon pessimisme. C'est vrai, j'ai souvent tendance à voir le verre à moitié vide.

Que voulez-vous, je suis comme ça; quand je commence à rédiger un texte, je suis toujours de bonne humeur, mais après trois lignes, mon naturel reprend le dessus et le ton de ma chronique s'assombrit.

Mais entre cette fâcheuse tendance et l'optimisme béat d'une Julie Boulet, par exemple, qui affirme que le Pacte pour l'emploi est une formidable réussite (1,5 milliard $ pour 3 600 assistés sociaux de moins ?), je préfère de loin ma position.

J'aime le Québec.

Mais si c'est le meilleur que l'humanité peut nous offrir, on n'est pas sorti du bois...

REF.: journal de mtl , Richard Martineau,

mardi 1 mars 2011

Où vont vos impôts ? Des «pensions en or»



Tout comme l'État du Wisconsin, les municipalités du Québec sont étouffées par les régimes de pension de leurs employés. «C'est encore pire ici», soutient le maire de Westmount, Peter Trent.

Selon M. Trent, qui préside l'Association des municipalités de banlieue de l'île de Montréal, le problème particulier du Québec c'est le déséquilibre marqué entre les fonctionnaires municipaux et ceux des autres niveaux de gouvernement.

«Au Québec, pour les municipalités, c'est encore plus sérieux à cause du redressement salarial effectué par René Lévesque en 1982 dans le reste du secteur public », dit-il.

Résultat ? Les fonctionnaires municipaux ont un traitement salarial global (salaire + avantages sociaux) 30 % plus élevé que le reste du secteur public. Et la majeure partie de cette différence provient de leurs généreux régimes de pensions.

«Sur l'île de Montréal, les coûts de ces régimes ont augmenté de 126 % depuis 2002. On ne peut pas supporter ça», croit-il.

«Le deux tiers de vos lecteurs n'ont probablement même pas de fonds de pension. Ils paient des taxes et les taxes, elles vont où ? Elles vont à payer des employés qui peuvent prendre leur retraite à l'âge de 50, 55 ans. C'est le propriétaire, c'est le payeur de taxes qui paie pour ces pensions en or. Il y a quelque chose qui n'est pas juste dans ça», dit-il.

D'ici 10 ans

Le maire Trent compte donc demander, avec l'appui du maire de Montréal, Gérald Tremblay, au gouvernement du Québec d'adopter des mesures pour ramener les salaires et les pensions des employés municipaux au niveau de ceux du provincial «d'ici 10 ans».

«Il va falloir obtenir la coopération des syndicats, c'est sûr», note-t-il.

M. Trent croit qu'il n'est pas nécessaire d'être radical. «Moi, je ne prône pas l'idée qu'on doit couper des salaires, couper des bénéfices, tout de suite et à tout le monde. Mais tranquillement, il faut réduire les bénéfices marginaux», souligne-t-il.


Évolution du traitement des employés municipaux de 2002 à 2008

Inflation : + 18 %

Salaires: + 28 %

Coûts des régimes de pensions: + 126 %

Écart de rémunération globale (salaires + avantages sociaux) entre les employés municipaux et les autres employés de la fonction publique: + 29,6 %


REF.:

lundi 28 février 2011

154$ pour faire un film sur la SQ

La Video !

La Sûreté du Québec a ouvert une enquête interne visant deux de ses policiers surpris par un automobiliste en train de faire une sieste dans leur auto-patrouille, jeudi matin, le long de l'autoroute 40 près de Trois-Rivières.

Les deux agents ont été pris en flagrant délit par le Trifluvien Maxime Carpentier, qui a filmé la scène avec son téléphone cellulaire.

La séquence d'une vingtaine de secondes a été vue plusieurs milliers de fois par les internautes au cours de la journée, notamment sur Youtube.

Les images montrent clairement les deux policiers étendus, le dossier de leur siège rabattu vers l'arrière. L'un d'eux s'est réveillé à l'arrivée du caméraman amateur et est rapidement sorti de l'auto-patrouille. «J'vais prendre ton permis de conduire», a simplement demandé le policier à Maxime Carpentier.

«Ça leur a pris 25 à 30 minutes pour rédiger ma contravention, a raconté M. Carpentier, en entrevue téléphonique avec QMI. À un certain moment, je suis débarqué et je suis allé leur demander s'ils allaient vraiment me donner un ticket. Il m'a dit oui.»

Pour avoir immobilisé son véhicule dans un endroit inapproprié, l'automobiliste de 31 ans a écopé d'un constat d'infraction assorti d'une amende de 154 $. Maxime Carpentier entend évidemment contester sa contravention.

Il voulait bien faire

«Le pire, c'est qu'à la base, je me suis arrêté parce que je croyais qu'ils étaient peut-être en danger, a expliqué le résidant de Trois-Rivières. Quand je suis passé devant leur voiture, elle était en marche, mais je n'ai vu aucune tête.»

Maxime Carpentier a pensé que les deux policiers pouvaient avoir été intoxiqués au monoxyde de carbone. «J'ai pensé aux deux jeunes qui sont morts à Saint-Tite de la même façon cet automne. Ils voulaient se réchauffer dans leur voiture», a-t-il indiqué.

«J'ai seulement voulu bien faire, poursuit M. Carpentier. S'ils avaient été inconscients et que je leur avais évité un mort certaine, ils m'auraient remercié. Sauf que là, ils dormaient et ils ont préféré me donner un ticket», a-t-il laissé tomber.

Malgré sa mésaventure, Maxime Carpentier assure que l'opinion qu'il a des policiers n'a pas changé. «Quand on a besoin d'eux, ils sont là pour nous. Je pense que ces deux-là sont seulement des pommes pourries dans le panier», a-t-il indiqué.

La SQ embarrassée

La vidéo montrant les deux agents qui dorment a évidemment mis la Sûreté du Québec dans l'embarras. «Une enquête disciplinaire est déjà amorcée, a fait savoir la sergente Éloïse Cossette, porte-parole de la SQ. C'est clair que ce genre de comportement est inacceptable [...]. Les deux policiers devront produire un rapport pour s'expliquer.»

La sergente Cossette a toutefois indiqué qu'il était encore trop tôt pour «s'avancer quant aux sanctions disciplinaires» auxquelles s'exposent les deux patrouilleurs concernés.

Invité à commenter la vidéo, l'ancien policier de la Sûreté du Québec et expert en sécurité routière, Robert Poéti, déplore les agissements des policiers filmés pendant leur sieste. «C'est malheureux pour l'image de la police au Québec, a-t-il dit d'emblée. S'ils étaient si fatigués, ils n'avaient qu'à retourner au poste. Leur superviseur aurait compris et les aurait sans doute retournés à la maison.»





Ok qu'on se le dise, le citoyen ne craignait surement pas pour la vie des policiers... Il savait surement que les policiers dormaient, mais ce matin là, c'est le seul qui a eu le guts de s'arreter pour en constater qu'il avait raison ! Ce gars là est mon idol, presque chaque matin je vois des voitures de patrouille qui semblent etre inoccupées, mais ce gars là a eu le courage de les filmer en plein action ! LOLL Bravo mon gars !

Une seconde chande de pouvoir gagner 1 Million $




Surnommé Super Fred,ce surhomme des temps moderne retourne a l'émission Télé (Le Banquier, de TVA)dans l'espoir de pouvoir gagner plus que 14,22$ ,qu'il avait gagné la première fois.

Avec ses 3 amis concurrents,ils totalisaient moins de 500$ a eux trois.
Sauf que ces 3 personnes ont maintenant gagnées environ 11,000$ chacun,et Super Fred ,lui est reparti avec plus de 60,000$ .

dimanche 27 février 2011

La vérité rien que la vérité

Adoption de la loi spéciale - Les procureurs retournent au travail la mine basse
À Montréal, c'est en silence que les employés de l'État ont monté les marches menant à leurs bureaux.
© TVA Nouvelles

MONTRÉAL - Les procureurs de la Couronne sont rentrés au travail la mine basse, mardi après-midi, quelques heures après l'adoption d'une loi spéciale leur imposant une nouvelle convention collective et les obligeant à mettre fin à la grève qu’ils avaient entamée le 8 février dernier.

À Montréal, c'est en silence que les employés de l'État ont monté les marches menant à leurs bureaux. Des processions similaires ont eu lieu au même moment dans la plupart des palais de justice de la province.

Il s'agit du pire scénario imaginable pour les procureurs de la Couronne et les juristes de l’État, qui se disent démoralisés par l'adoption de cette loi.

«L'ambiance est très sombre, a affirmé la représentante des procureurs, Me Sonia Lebel. La loi spéciale qu'on vient de subir est un coup de poignard dans le cœur de la justice, dans le cœur des procureurs de la Couronne dont je suis fière de faire partie.»

Elle ajoute que les procureurs se sont toujours dévoués pour faire leur travail et qu'on les récompense bien mal en agissant ainsi. «Ces gens-là tiennent le système à bout de bras depuis des années. C'est leur énergie à eux qui fait que les victimes ont un service potable, mais le cœur n'y est plus», a-t-elle dit.

En entrevue, les procureurs rencontrés assurent qu'ils se plieront à la loi imposée par le gouvernement Charest, mais pas de gaieté de cœur. «C'est sûr que nous allons le faire; on est des professionnels. Mais ça reste frustrant, honteux, de se faire imposer ça», a dit Me Gabriel Miron.

Une grève du zèle?

Pour contester cette décision, les procureurs pourraient refuser de faire des heures supplémentaires, ce qui devrait passablement perturber le déroulement des procédures au niveau judiciaire. Les procureurs ont droit à la semaine de 35 heures, mais ils travaillent régulièrement plus de 50 heures par semaine.

Ils ont aussi l'intention de contester la loi spéciale devant les tribunaux et envisagent de porter cette cause devant les Nations unies.

Lundi, en réaction au dépôt de cette loi spéciale et par solidarité envers leurs collègues procureurs, 80 % des procureurs en chef ou procureurs en chef adjoints ont annoncé qu'ils quittaient leur fonction de cadre. Ils auraient l'intention de demander une réaffectation de façon à redevenir de simples procureurs.


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Lisez ceci:

C'est la vérité rien que la vérité ;-)

L'article ci-dessus,n'est rien que de la poudre aux yeux,Charest met sa loi spéciale et encore un tour de roue!

On entretien la machine capitaliste,rien de moins que le système bien huilé doit continuer a tourner,car maintenant c'est planétaire.Les états-unis tousse et on a la grippe.Pour les salaires,faites moi rire,en temps de crise économique perpétuelle,faut que les grosses poches dans la hyérarchie des salaires soient de plus en plus haute,car même les riches sont endettés,ou plutôt sont de gros consommateur ,et prévoient prendre une retraite dorée,comme il se doit !

Alors si les policiers ont tant,les avocats auront tant,...............si hydro-quebec a tant, hydro-ontario aura tant,.....tout est question de comparaison . Le monde regarde sur le terrain du voisin et veut même sa femme en bonus! Les syndicats,la Bourse,les revendeurs et courtiers de toute sortes font monter le coup de la vie !

Alors que tout poste ou emploi qui gère de l'humain ; comme la médecine,science,éducation,etc...........doivent avoir un salaire en conséquence,sauf que gérer des lois ,chu pas sûre..............et ceux qui gèrent de l'argent,comme les banquiers,les lobby,les politiciens,etc...........eux autres aussi,mais dans notre monde capitaliste c'est complètement a l'envers,tout ce qui est en haut devrait être en bas et vice versa ! A vous de juger,................a regarder le cirque tourner,faudrait que les spectateurs interrompe le spectacle et construise un autre chapiteau.

A trop serrer la ceinture ,les bas de laine s'effiloche et peuvent accasionner des dérèglements ,et des comportement comme on voit en Égypte,et ou dans internet libre,avec Facebook,Twitter,OpenLeaks,Wikileaks,Cryptome ou Quebec leaks ! Tout se lit ,surtout que le 1er ministre Harper paye des milliers de $ sinon des millions $ pour surveiller le Net et le web 2,0 ,juste pour ajuster son tire ,sur l'opinion du peuple!Tout ça pour une liberté,car on a la preuve que l'argent est plus fort que la religion;sauf que les jeunes dans leurs soiffe de liberté ,il veulent vivre et être bien,se réaliser avec une éducation qui les rendra utile a la société.L'homme a besoin de travailler,c'est vital,surtout si ça lui rapporte de $,mais surtout si ça lui rapporte qu'il est utile aux autres!

On se rend compte que le pauvre peuple va surclasser les gens riches a un niveau que les gens riches n'ose pas regarder ; tant que ce ne sera pas cellulariser on n'avancera pas.

Ça parait bien quand tu dit ce que le monde veut entendre,sauf que les décideurs ne pense pas comme le peuple,et ça sa changera jamais !

La flamme de l'humanité est allumer par le démon,sauf qu'elle ne s'éteindra jamais pour mettre en évidence la noirceur des ténèbres ;-)


un peuple coopératif ,doit engendrer des coopératives,non pas socialiste ,ni capitaliste,mais coopératives.Tout doit être sans but lucratif,sinon vous aller payer le prix: soit environ $6.66 taxes inclus.


Belle murale sur fond de ciment ,c'est du solide !

Google

Hommage aux arts de la rue

Canoe.ca
Sophie Giroux
23/02/2011 16h57

Google - Hommage aux arts de la rue
Ce projet répertorie et géolocalise les plus beaux graffitis du monde.
Crédit: streetartview.com

Depuis maintenant plus d’une semaine, une version de Street View sur Google est disponible en ligne. Il s’agit d’un projet qui s’appelle «Street Art View» et qui répertorie et géolocalise les plus beaux graffitis du monde, un hommage aux arts de la rue.

«Street Art View» est une association entre la boisson énergisante Red Bull et Google. Les internautes sont invités à y participer.

L’application donne l’opportunité aux amoureux des arts de la rue d’indiquer sur la carte du monde les lieux où on retrouve des œuvres qui ont été capturées en image par Street View. Il peut s’agir de graffitis, de «tags», de pochoirs ou de collages.

Outre les données GPS, on peut retrouver le nom de l’artiste, qu’il soit renommé ou pas, et de l’information sur son style.

Pour les observateurs, un moteur de recherche est en place permettant d’effectuer une recherche par lieu ou par artiste. Les œuvres répertoriées dans cet ouvrage peuvent également être partagées dans les réseaux sociaux Facebook et Twitter.

À l’heure actuelle, on compte plus de 1700 œuvres cataloguées à travers le monde, dont celles de Keith Haring, Space Invader, Os Gêmeos et Bansky.


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