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lundi 13 janvier 2020

SNC-Lavalin: Corruption: est-ce la fin ou le début?

SNC-Lavalin: Corruption: est-ce la fin ou le début?





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Un yacht de 25 M$ pour le fils du dictateur Kadhafi. Un spectacle privé du rappeur 50 Cent. Des escortes et des bouteilles de vin à plusieurs milliers de dollars.
SNC-Lavalin n’a pas lésiné sur les moyens pour corrompre le régime libyen à partir du début des années 2000.
Notre Bureau d’enquête a montré cette semaine les pratiques d’affaires nauséabondes de ce fleuron québécois de l’ingénierie et de la construction dans cette dictature du Moyen-Orient.
Nos reportages ont été possibles parce que notre journaliste Jean-François Cloutier a passé des semaines à assister à l’enquête préliminaire qu’a subie l’entreprise, l’an dernier.
Il a aussi pu éplucher des centaines de pages de documents judiciaires.
Ce travail demande beaucoup de temps, mais nous croyons que l’investissement en vaut la chandelle pour dévoiler ce que certains riches et puissants aimeraient vous cacher.
Le PDG Jacques Lamarre, par exemple, était en copie dans des courriels qui décrivaient des paiements douteux.
À table avec le dictateur
Le patron de SNC International, Michael Novak (mari de l’ex-ministre libérale Kathleen Weil), quant à lui, a signé au moins cinq contrats permettant le transfert de fonds pour payer les pots-de-vin.
Les deux hommes n’ont fait face à aucune accusation et ont assuré qu’ils ignoraient toute fraude.
À la suite de notre reportage, l’ex-premier ministre y est allé d’une brève déclaration écrite dans laquelle il assure n’avoir reçu aucune rémunération pour ce service et n’avoir eu « aucun autre contact » avec le fils de Kadhafi.
Mais Philippe Couillard n’a pas donné suite à notre demande d’entrevue.
S’il nous rappelle, nous lui demanderons si, en 2008, il avait entendu parler des soupçons qui pesaient contre le régime libyen d’avoir commandité deux attentats à la bombe contre des avions à la fin des années 1980, qui ont fait des centaines de morts.
La pointe de l’iceberg
Ces trouvailles ne sont-elles que la pointe de l’iceberg ? Y aura-t-il d’autres accusations à venir ?
En surface, 2019 s’achève avec la fin de la saga judiciaire de SNC-Lavalin--. Sami Bebawi passera plusieurs années au pénitencier. L’entreprise a accepté de payer une amende de 280 M$, et ne s’inquiète plus pour son avenir, puisqu’elle pourra continuer à obtenir des contrats publics fédéraux.
Mais nous verrons en 2020 si SNC et ses ex-dirigeants en ont vraiment fini avec la justice.
Jean-Louis Fortin, Directeur du Bureau d’enquête


mardi 15 janvier 2013

Corruption 101 ?

Les rouages de la corruption

Pots-de-vin aux fonctionnaires, pizzo à la mafia, collusion entre soumissionnaires, financement illégal des partis politiques… Avec les audiences de la commission Charbonneau sur l’industrie de la construction, le Québec découvre, mi-cynique, mi-éberlué, à quel point la corruption pourrit ses institutions. Comment a-t-on pu en arriver là?
Pour avoir un petit cours «Corruption 101», Jobboom a rencontré Jonathan Goyette, professeur adjoint au Département d’économique de l’Université de Sherbrooke. Membre du Groupe de recherche en économie et développement international, il s’intéresse aux conséquences de la corruption sur la croissance économique des pays en développement. Après avoir passé quelques années en Côte d’Ivoire, où il a pu observer la petite et la grande corruption au quotidien, il se penche ces jours-ci sur les récits de corruption et de trafic d’influence qui s’étalent au grand jour dans la Belle Province.
JOBBM   D’où vient la corruption? 
Jonathan Goyette La corruption survient là où il y a des failles dans l’administration de l’appareil gouvernemental. Il peut s’agir de lois ou de règles qui sont confuses ou de documents peu clairs. Des individus intelligents et malhonnêtes perçoivent ces failles et les utilisent à leur avantage.
 Au Québec, quelles sont ces failles? 
JG Selon les faits relevés à la commission Charbonneau, les règles entourant l’octroi de contrats publics manquaient de clarté. La présidente de la commission a aussi noté un manque de communication entre les différents organes qui devaient gérer les contrats.
Par ailleurs, si l’octroi des contrats est seulement basé sur le prix (en fonction du plus bas soumissionnaire), comme c’est le cas à l’heure actuelle, il y a une porte ouverte à la manigance : les prix peuvent être manipulés. Il peut y avoir de la collusion entre les entrepreneurs, si ce n’est de la corruption pure et simple, avec des pots-de-vin versés aux employés municipaux afin de connaître les prix des autres soumissionnaires. Je crois qu’un système d’octroi qui ne serait pas seulement basé sur les prix, mais aussi sur les compétences, pourrait limiter les abus comme ceux que nous avons vus.
 Quelle différence voyez-vous entre la corruption ici et celle dans les pays en voie de développement?
JG Au Québec, on observe ce que j’appelle la grande corruption : des individus (fonctionnaires et entrepreneurs) ont manipulé l’octroi de contrats pour pouvoir blanchir de l’argent et utiliser cet argent pour financer des partis politiques. On va voir autant, sinon plus de grande corruption dans un pays en voie de développement, mais la différence, c’est surtout sur le plan de la petite corruption, soit les petits bakchichet autres «pourboires» qui sont exigés par des employés de l’État. Dans certains pays, c’est à se demander si une bureaucratie complexe n’est pas mise en place justement pour faire en sorte que ceux qui font la queue offrent des pots-de-vin pour accélérer le service. Prenons le nombre de jours pour obtenir un permis de construction pour un entrepôt, par exemple. Il est de 1 030 jours en Haïti, comparativement à 73 jours en moyenne au Canada. Celui qui a assez d’argent va payer les bureaucrates pour obtenir un service accéléré.
Dans les pays en voie de développement, on observe aussi que, même si les salaires sont très bas dans la fonction publique, les emplois y sont très convoités. C’est un secret de Polichinelle : on sait qu’il y a un moyen de faire de l’argent avec les pots-de-vin une fois en poste. Ça fait partie de la culture.
Ici, la corruption vise plutôt l’obtention de contrats lucratifs avec le gouvernement. Les contrats ne sont pas donnés aux entreprises les plus efficientes ou capables de réaliser les projets à moindre coût pour les contribuables. On les octroie aux entreprises capables de payer les plus gros pots-de-vin aux fonctionnaires ou aux collecteurs de fonds des partis. Une fois que le système est instauré, il y a un groupe restreint d’entrepreneurs qui surveillent leur terrain et qui fixent les prix : il faut être «dans le club». Les entrepreneurs indépendants et honnêtes sont exclus.
 Et quelles sont les conséquences de la corruption?
JG Dans les pays en développement, la conséquence la plus importante est une baisse de l’investissement et de la croissance économique, car la corruption décourage les investisseurs de monter des projets. Dans ces endroits, où on observe des problèmes de crédit importants, c’est déjà difficile de débloquer un cash flow pour financer un projet. En plus, une taxe arbitraire sous forme de pot-de-vin risque de vous tomber dessus en cours de réalisation. Résultat : beaucoup de projets viables ne voient pas le jour, faute de promoteurs avec les reins assez solides. Chez nous, on pourrait croire que la corruption décourage les entrepreneurs indépendants de monter des projets de qualité, sachant qu’ils seront exclus.
La corruption cause aussi une délégitimation de la démocratie et de l’économie de marché dans l’opinion publique. En 2010, selon Transparency International (un organisme qui surveille la corruption dans le monde), environ 62 % des Canadiens croyaient que la corruption avait augmenté au Canada dans les 3 dernières années. Et lorsqu’on leur demandait de nommer les organisations les plus corrompues au Canada, c’était les partis politiques qui ressortaient le plus. Le phénomène n’est pas présent qu’au Québec, il est partout au pays.
Enfin, l’une des conséquences dont on ne parle presque jamais, c’est le détournement de talents. Des gens intelligents passent leur temps à chercher comment extraire des rentes et des avantages du système public à travers la corruption. Que se passerait-il s’ils s’ingéniaient plutôt à développer des idées créatrices de richesse et d’emplois?
 À qui profite la corruption? 
JG Dans les pays en développement, elle profite aux individus qui empochent les pots-de-vin et qui peuvent mettre l’argent en banque à l’extérieur du pays. Au Québec, ça profite à des groupes. Il y a le groupe d’entrepreneurs qui se partagent les contrats, ensuite il y a l’organisation mafieuse qui récolte une rente de tout ça et enfin, il y a les politiciens qui en profitent en augmentant leur financement électoral et ainsi leurs chances d’être élus ou réélus.
 Quelles sont, selon vous, les pistes de solutions?
JG Il y a différentes avenues. Dans les pays en développement, verser un meilleur salaire aux fonctionnaires peut donner de bons résultats, car les conséquences de se faire pincer – perdre son emploi et renoncer à un salaire élevé – deviennent plus importantes. Mais pour ça, il faut qu’il y ait plus de mécanismes pour débusquer la corruption. Car si on augmente le salaire d’un employé, mais qu’il court peu de risques d’être pris, il va continuer à accepter des pots-de-vin. Singapour est un bon exemple à cet égard. Les fonctionnaires y gagnent les salaires les plus élevés au monde. Mais il y a aussi des règles strictes et des amendes très élevées, voire des peines de prison, pour les écarts de conduite. Ces deux facteurs ont permis d’attirer beaucoup d’investissements et de hausser le niveau de vie pour une bonne partie de la population.
 Et quelles seraient les solutions spécifiques au Québec? 
JG En ce moment, les médias accordent beaucoup d’importance à la corruption, mais dans quelques mois, lorsque la commission Charbonneau sera terminée, que va-t-il se passer? Il va sûrement y avoir des améliorations sur le plan bureaucratique, mais les fraudeurs sont assez rusés : dès qu’il va y avoir de nouveaux systèmes, certains vont trouver de nouveaux moyens pour les contourner.
Les solutions durables passent par la création d’organes de surveillance totalement indépendants et détachés de l’appareil politique. On pourrait même envisager que la direction de ces organes obéisse à une rotation fixe, afin d’éviter toute «contamination» par le parti au pouvoir. En ce sens, la création de l’Unité permanente anticorruption est une bonne nouvelle. Mais il faut s’assurer qu’il y ait des ressources efficaces pour ceux qui veulent dénoncer. Par exemple, il devrait y avoir un protecteur du citoyen auprès duquel les entrepreneurs pourraient formuler des plaintes de manière anonyme contre le harcèlement. De même, un travailleur qui serait témoin de corruption de la part de son employeur devrait pouvoir se tourner vers des ressources solides. On parle de crime organisé. Il faut que les délateurs soient protégés.


vendredi 5 octobre 2012

Gilles Cloutier a vendu la mèche et explique un stratagème des années 50

Stratagème vieux de plus de 50 ans,............. Duplessi le faisait,tout le monde le faisaient !
On donne au parti ,pour qu'il règne en Roi !
Pourquoi ?  pour que des Jobs soient assurées aux travailleurs ,par l'entremise des Groupes et Firmes d'ingénieurs,qui eux fleurte avec les élus qui ont le pouvoir de donner des subventions !

Oui,..............Gilles Cloutier vice-président adjoint au développement des affaires ,chez Roche lté groupe conseil,le savait et le faisait.

Gilles, c'est l'homme dans l'ombre ,spéçialiste de l'organisation d'élection et de financement politique.
Il s'agite dans les coulisses du pouvoir depuis les anbnés 50.Il a travaillé a l'élection de nombreux candidats.Pour les élections Provinçiales;Pierre-Marc Johnson,Robert Bourassa;aux élections Fédérales,Jean Chrétien,Paul Martin,Denis Coderre;aux élections Municipales,Maire Gérald Tremblay,Maire Bourque.

Gilles Cloutier,donnait des cadeaux ,louait même un chalet dans charlevois a Pointe au Pic pour ses ami$ !


Il donnait de l'argent pour décroché des contrats.C'est comme ça que sa marchait !

Marc-Yvan Côté (ex-député)devenu haut dirigeant chez Roche,payait les factures que Gilles Cloutier envoyait pour contribution politique et cadeaux.
Oui,vous savez Marc-Yvan Coté ,le gars dla Commission Gomery ?
Oui,Oui, en 2005 M.Coté dit avoir reçu 120,000$ du Parti Libéral en argent,pour donner aux candidats pour les élections en 1997.Vive la Parti Lib ;-)

Gilles Cloutier a donné 25,000$ pour l'usine d'épuration des eaux de Boisbriand,a Jean-Guy Gagnon (décédé)qui est l'organisation politique de solidarité Boisbriand.En faisant des fausses factures a Roche,l'argent se récupérait en contrat.


BPR Triax et Roche,étaient les 2 firmes choisit a l'unanimité pour ces contrats par soumissions truqués.Et de ces 2 firmes une seul a eut le contrat et c'est  infrabec de Lino Zambito.



Lino Zambito d'infrabec a enclanché son opération de charme auprès de la ministre Nathalie Normandeau(ex-Ministre des Affaires Municipales) pour avoir la subvention de 11 Millions $,et se contre l'avis de ses fonctionnaires conseilliers.


Alors des cadeaux en veut tu ? Mme Normandeau a eut des billets gratuit pour des spectacles de Madonna et Céline Dion ,gracieuseté de Lino Zambito ;-)



Donc,le vieux Gilles Cloutier a parlé a l'esquade Marteau pour se protéger des futurs accusations pour avoir dénoncé le vieux stratagème ,du temps de Mathusalem !




RDI.:

jeudi 13 septembre 2012

Au moins 1,2 millions de Québécois floués par le Cartel de l'essence

Cartel de l'essence

Recours collectif autorisé



Cartel de l'essence - Recours collectif autorisé
La décision de la juge de la Cour supérieure Dominique Bélanger fait en sorte que le recours s'étend à 23 villes additionnelles, situées plus à l'Est de la province.
Photo: Archives AFP


QUÉBEC – Nouveau rebondissement dans l'affaire du cartel de l'essence : la Cour supérieure a autorisé jeudi un recours collectif à l’encontre de distributeurs de carburant oeuvrant à l’extérieur des quatre centres urbains ciblés à l’origine par l’enquête du Bureau de la concurrence du Canada.
La juge Dominique Bélanger de la Cour supérieure a autorisé un nouveau recours déposé par l'Association de protection des automobilistes (APA) et Daniel Thouin concernant la vente d'essence dans 22 autres municipalités, dans les régions de l'Estrie, de la Beauce, de Québec et du Bas-Saint-Laurent.
Cartel de l'essence: un deuxième recours...

Le recours vise notamment Ultramar, le Groupe pétrolier Olco, les Pétroles Irving, Alimentation Couche-Tard, les Pétroles Cadrin, les Pétroles Global et Philippe Gosselin & Associés. Quatre employés de ces compagnies font aussi partie des intimés.
Un premier recours a été autorisé en novembre 2009, concernant les détaillants d'essence à Victoriaville, Thetford Mines, Sherbrooke et Magog. L'APA agit aussi comme corequérant dans le dossier.
Selon les prétentions de l'APA, les compagnies impliquées ne fixaient pas seulement les prix pour les quatre marchés concernés par les accusations portées par le Bureau de la concurrence, mais également pour plusieurs autres régions du Québec.
Les requérants soutiennent ainsi que les augmentations de prix faites de manière concertée par les intimés entraînaient aussi une hausse de prix de la part des stations-service opérées par des tiers.
À ce jour, 27 particuliers et sept entreprises ont plaidé coupables à des accusations portées par le Bureau de la concurrence liées à la fixation des prix de l'essence. Certains individus ont été condamnés à des peines de prison.
D'ores et déjà, le juge Bélanger a statué qu'aucun montant ne pourra être versé à titre de dommages exemplaires ou en dommages-intérêts dans l'affaire.
On ignore à quel endroit la cause sera entendue, ni à quel moment. L'APA est représentée par Me Guy Paquette du bureau Paquette Gadler de Montréal.


REF.:

jeudi 1 mars 2012

Le cowboy de la construction ou des commandites ?


 L'arrivé du cowboy au Palais de justice de Jocelyn Dupuis, pas de chapeau,ni cheval,ressemble étrangement a celle de Charles Guité  !
 L’ancien dirigeant de la FTQ-Construction Jocelyn Dupuis est ­revenu en cour pour la première fois hier depuis son arrestation en 2010, alors que l’ex-syndicaliste a ­commencé à subir son enquête ­préliminaire à Montréal.
Dupuis est accusé de fraude, fabrication de faux documents et incitation à ­commettre une infraction.
Il est soupçonné d’avoir floué la FTQ de plusieurs dizaines de milliers de dollars en 2007 et 2008 en présentant notamment de fausses factures de restaurant.
Il aurait également incité le comptable de la FTQ-Construction à fabriquer une fausse facture pour rembourser des ­fenêtres installées chez un autre dirigeant de la centrale syndicale.

 REF,:










OU


L’ancien responsable du programme des commandites, Charles Guité portait son chapeau de cowboy, hier, en quittant le Palais de justice de Montréal où il a comparu en compagnie du président de Groupaction, Jean Brault .Ils avait plaidé non coupables de complot et de fraudes totalisant 1,9 million dans les affaires des commandites et des armes à feu

Ref.:  Le Devoir,

Autres cowboys morts au combat :
Des firmes coupables, Les As d’amusement, Camping terrasse St-Marc et Camping de la Diable, sont liées à une seule et même personne, Stéphane ­Lefebvre, un homme d’affaires qui possède une luxueuse résidence à Terrebonne.

 Garage Lefebvre (1994) enr., 9085-7913 Québec inc., Les Couvertures Nationales inc. et Les Peintres Aljomax inc., ainsi qu’un ­individu, Sébastien Quiet, se sont aussi ­reconnus coupables d’évasion fiscale.

 Le principal coup de filet a été l’arrestation de Ronald Chicoine, 58 ans, considéré par les enquêteurs comme la tête dirigeante d’un réseau de fraude. Il a été condamné, en décembre dernier, à passer 45 mois derrière les barreaux.

 Un autre individu, Jean-François Cantin, administrait à lui seul 65 entreprises qui n’étaient en fait que des « coquilles vides » destinées à émettre des fausses factures. Il a été condamné, le 16 juin 2010, à purger trois ans d’emprisonnement.


En octobre 2010, trois entreprises et trois personnes ont plaidé coupable pour avoir produit de fausses déclarations de ­revenus. Elles ont écopé d’amendes ­totalisant près de 138 000 $.
Auparavant, le 8 juin 2010, l’entreprise Isolation Y.G. Ippersiel inc., de Mirabel, a reconnu avoir trompé le fisc. Elle a dû payer des amendes de presque 50 000 $.
Aussi, en janvier 2010, trois autres firmes se sont vu imposer des amendes de 63 000 $.


REF.: