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lundi 27 janvier 2020

Le FBI pourrait maintenant déverrouiller n’importe quel Mac


Le FBI pourrait maintenant déverrouiller n’importe quel Mac




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Le prestataire qui aide le Bureau à accéder aux iPhone de certains suspects ajoute une nouvelle corde à son arc, permettant de faire la même chose… Avec des ordinateurs. Est-on encore en sécurité quelque part ?

On en parlait il y a tout juste quelques heures : les autorités américaines sont en proie à de vives critiques, car elles font pression sur Apple pour que la firme mette en place des backdoors. Alors même que Cellebrite, une entreprise israélienne, lui a déjà fourni toutes les clés pour hacker les smartphones de Cupertino.
Depuis, une nouvelle de taille vient est venue confirmer la puissance de cette société : elle vient en effet de racheter BlackBag, un concurrent indirect californien spécialisé dans les PC, pour 33 millions de dollars et ce juste après une levée de fonds trois fois plus importante en juin dernier. Son service MacQuisition permet notamment aux gouvernements, pour seulement un peu plus de 1 100 euros, de pirater 185 modèles de Mac différents. Rien que ça.

Les enquêtes progresseraient plus rapidement, mais à quel risque ?

Pour le FBI, qui a donc déjà été un client de Cellebrite lors de la fusillade de San Bernardino, une telle information a des chances d’être une réelle opportunité. Les policiers pourraient ainsi faire appel au programme de BlackBag pour déverrouiller un ordinateur appartenant par exemple au suspect d’un attentat terroriste, voire obtenir des avantages tarifaires avec leur passé d’acheteur.
Malgré tout, cet avantage reste à nuancer : on sait que les travaux de Yossi Carmil, le PDG, ont déjà été compromis par le passé, lorsque des internautes malveillants se sont introduits dans ses systèmes de sécurité. Ironique, quand on connaît l’objectif principal de leur activité.
Par ailleurs, à l’heure de la surveillance de masse perpétrée par de nombreux états comme la Chine, on est en droit de se poser des questions : dans quelles mains malintentionnées pourraient terminer de telles technologies ? Les utilisateurs qui n’ont rien à se reprocher sont-ils encore en mesure de garantir la confidentialité à leur vie privée ?

REF.:

jeudi 9 octobre 2014

Les attaques à l’anthrax en 2001 : une conspiration interne aux USA ?



Voici un livre paru en anglais et qui ne sera sans doute jamais traduit ni publié en France, faute d’éditeur intéressé. Pourtant, il nous dévoile, preuves à l’appui, que les fameuses attaques à l’anthrax d’octobre 2001 ne sont qu’une gigantesque manipulation, étroitement liée aux attentats du 11-Septembre, et qu’elles ont probablement été menées par le même groupe de personnes au sein même de l’administration Bush. Leur but : faire porter le chapeau aux extrémistes islamiques, faire passer les lois liberticides PATRIOT Act, lancer les guerres d’invasion en Afghanistan et en Irak et plus généralement la "Guerre au Terrorisme". Objectifs tous atteints, comme nous le voyons 13 ans après.


L’escroquerie de l’anthrax en 2001
Une affaire de conspiration interne aux USA
par Graeme MacQueen
SYNOPSIS

Les attaques aux lettres empoisonnées à l’anthrax en 2001 aux États-Unis ont tué cinq personnes et en ont blessé des dizaines d’autres. Elles ont rapidement été imputées aux extrémistes islamiques et à ceux qui les soutiennent, et ont servi de prétexte pour les guerres d’invasion en Afghanistan et en Irak.
Elles ont également été utilisées pour justifier et accélérer le vote des lois USA PATRIOT Act, qui ont été présentées au Congrès alors que la première victime de l’anthrax tombait gravement malade.
En octobre 2001, l’une des hypothèses qui gagnaient du terrain était celle du "double coupable", à savoir qu’al-Qaïda avait perpétré ces attaques avec le soutien de l’Irak. De nombreuses preuves furent avancées pour corroborer cette hypothèse du double coupable, mais des chercheurs indépendants ont très vite découvert que ces spores d’anthrax provenaient non pas d’al-Qaïda ou d’Irak, mais d’un laboratoire situé aux USA et travaillant pour l’armée et les services secrets US.
Le FBI a alors déclaré avoir identifié le responsable des attaques et a clamé haut et fort qu’il s’agissait d’un « loup solitaire ». En 2008, le Bureau a désigné le Dr. Bruce Ivins de l’Institut médical des maladies infectieuses de l’armée US comme le « tueur à l’anthrax ». Même si le FBI reste toujours accroché à ce scénario « Ivins », cette hypothèse a rapidement été démontée au cours de ces trois dernières années. Elle est aujourd’hui traitée avec mépris non seulement par les scientifiques qui travaillaient avec Ivins, mais aussi et surtout par de nombreux journalistes et sénateurs américains.
Mais cela soulève la question : si Ivins n’a pas commis ce crime, alors qui l’a fait ?
Ce livre nous présente les éléments factuels qui montrent que :
  1. Les attaques à l’anthrax ont été menées par un groupe de personnes, et non par un « loup solitaire ». Elles sont, par conséquent, le fruit d’une conspiration, au sens où il s’agit d’un plan mené par au moins deux personnes, en secret, et dans un but illégal ou immoral.
  2. Le groupe qui a perpétré ce crime est constitué, pour la plupart, de personnes infiltrées au sein même de l’appareil d’État américain.
  3. Ces infiltrés sont les mêmes que ceux qui ont planifié les attentats terroristes du 11-Septembre.
  4. Les attaques à l’anthrax avaient pour but de faciliter une prise de pouvoir par une branche exécutive du gouvernement, en utilisant l’arme de l’intimidation contre le Congrès et la société civile américaine.
Elles avaient également pour objectif de provoquer l’assentiment et le soutien du public pour le revirement de la politique étrangère américaine, en remplaçant la Guerre froide par un nouvel ensemble global de guerres d’agression, la "guerre au terrorisme".

L’AUTEUR
Graeme McQueen est titulaire d’un PhD en Études bouddhiques à l’Université de Harvard et a enseigné pendant 30 ans au Département des Études de la religion à l’Université McMaster, où il a fondé et est devenu le Directeur du Centre d’Études pour la Paix, après quoi il a développé le programme d’Études pour la Paix et a supervisé le développement des projets en faveur de la paix au Sri Lanka, à Gaza, en Croatie et en Afghanistan. Graeme fut l’un des membres du Comité d’organisation des « Auditions de Toronto » qui se sont tenues en 2011 lors de la commémoration des 10 ans des attentats du 11/9, et il est coéditeur du Journal of 9/11 Studies.
Il est actuellement membre du 9/11 Consensus Panel, un groupe de 24 personnalités de différents pays qui à ce jour a produit, à l’aide d’une méthode rigoureuse utilisée dans le domaine médical, 44 Points de Consensus (intégralement traduits en français) réfutant point par point les affirmations officielles sur les attentats du 11-Septembre.
 Ce travail du 9/11 Consensus est disponible en français au format PDF

LE LIVRE
L’ouvrage est disponible en anglais sur Clarity Press.

CRITIQUES ET RECENSIONS
« Ce livre extrèmement troublant devrait être lu par tous les Américains qui réfléchissent »
Denis J. Halliday, Secrétaire général adjoint des Nations Unies,  1994-98


« Le professeur MacQueen nous apporte une nouvelle pièce au puzzle qui connecte les attentats terroristes du 11-Septembre avec les attaques à l’anthrax qui ont suivi immédiatement en octobre 2001 et qui ont été perpétrées de façon indiscutable par des agents au sein du gouvernement des États-Unis »
Francis A. Boyle, auteur des lois américaines implémentant la législation
pour la Convention sur les armes biologiques de 1972

« Finalement, un livre sort pour en finir avec cette histoire pondue par le FBI au sujet des lettres empoisonnées. Non seulement il n’existe aucune preuve que le scientifique Bruce Ivins ait commis ce crime – et il se trouve que sa fameuse flasque d’anthrax n’a jamais été formellement reliée aux spores utilisées pour ces attaques ( !), mais MacQueen nous révèle l’envers du décor, et nous montre que rien ne s’est passé comme on nous l’a raconté dans cette affaire d’anthrax. »
Meryl Nass, médecin, consultante en prévention et limitation
des risques de bioterrorisme auprès du Directeur du Renseignement
national et de la Banque Mondiale (World Bank)

« Graeme MacQueen fournit de nombreux éléments prouvant que les attaques à l’anthrax et les attentats du 11-Septembre, qui ont tous deux conduit le peuple américain vers la guerre, ont été menés par les mêmes personnes – haut placées dans le gouvernement américain. »
David Ray Griffin, auteur de « Un autre regard sur le 11-Septembre »
Editions Demi Lune) et de nombreux autres ouvrages sur le 11/9

« Le livre de MacQueen est un mélange d’éléments factuels et d’analyse de leurs implications. Ce n’est pas une théorie. Il fait avancer notre connaissance des faits, et met encore plus à mal la version officielle. »
Dr Paul Craig Roberts, ancien secrétaire adjoint au Trésor US

« Dans son livre ‘’ The 2001 Anthrax Deception’’, le Dr MacQueen nous révèle les multiples façons dont les Américains ont initialement été manipulés pour les amener à croire que les attentats du 11-Septembre et les attaques à l’anthrax étaient tous deux l’oeuvre de terroristes musulmans soutenus par l’Irak. Plus tard, lorsqu’il devint impossible de nier que l’origine des spores d’anthrax se trouvait dans un laboratoire biologique de l’armée américaine, toutes les soi-disant connexions qui avaient été mises en avant entre le 11/9 et l’anthrax ont soudainement disparu. Le Dr MacQueen nous montre qu’en réalité, le 11-Septembre et l’affaire de l’anthrax sont bien étroitement liées, et que les caractéristiques d’attentat sous fausse-bannière, et coup monté qui s’appliquent aux attaques à l’anthrax s’appliquent  également aux attentats du 11-Septembre. »
Barry Kissin, avocat américain,
auteur de ‘’ The Truth About The Anthrax Attacks’’

«… il mord à pleines dents le tabou de la « théorie de la conspiration » pour démontrer en détail que les propagandes successives de l’Administration et des médias qui ont accusé à tort al-Qaïda, et permis de semer la panique, et de mettre en place leur projet de domination globale… »
John McMurtry, diplômé de la Royal Society of Canada
et professeur universitaire émérite, auteur de
The Cancer Stage of Capitalism / from Crisis to Cure (2013).

« Le Pr. Graeme MacQueen a écrit un livre qu’il faut lire absolument, sur les attaques à l’anthrax aux USA, The 2001 Anthrax Deception. Même ceux qui ont suivi attentivement – et écrit abondamment – sur les lettres empoisonnées à l’anthrax de 2001 apprendront des choses à sa lecture. »
Washington’s Blog
 
Traduction IlFattoQuotidiano.fr


Pour en savoir plus sur l’affaire de l’anthrax :
  • Pour en savoir plus sur l’affaire de l’anthrax, lisez le remarquable ouvrage de Francis Boyle : "Guerre Biologique et Terrorisme", paru aux Éditions Demi-Lune Ce livre traite d’un sujet trop ignoré bien que d’une importance considérable. Liant le développement des capacités militaires US en matière de guerre biologique aux attaques à l’anthrax sur le Congrès en octobre 2001, BOYLE jette une lumière nouvelle sur les vraies raisons de ces attaques : l’instauration d’un système politique liberticide et le développement phénoménal de la recherche US sur la guerre biologique qui s’accorde avec les projets néo-conservateurs de guerre préventive biochimique.

mardi 20 mai 2014

FBI arrête 100 pirates qui contrôlait des comptes Facebook

FBI arrête 100 pirates plus Blackshades ,un logiciels malveillants
Après une dizaine de raids à travers le monde , la police détenaient les hackers derrière le logiciel « RAT » , qui permet aux attaquants de prendre sur les comptes Facebook et infectent les ordinateurs

Le logiciel malveillant Blackshades RAT a permis aux pirates d'accéder aux ordinateurs des victimes d'accéder aux fichiers , copier frappes ou activer la webcam - mais aussi en grand facilitée les attaques par dénis de service .
Plus de 100 personnes à travers le monde ont été arrêtés à la suite d'une vague de répression menée par  FBI sur les pirates liés à un «outil d'administration à distance " appelé Blackshades .

Raids ont eu lieu dans plus d'une douzaine de pays , selon des responsables qui ont parlé au magazine Time , et concernés les organismes d'application de la loi en Europe , en Asie , en Australie et en Amérique du Nord . Selon l'Agence nationale de la criminalité au Royaume-Uni , 17 des personnes arrêtées ont été basées en Grande-Bretagne .

Les charges sont encore scellés , mais les prosectors des États-Unis devraient annoncer certains des résultats à la mi-journée de conférence de presse à New York .

Connu comme un RAT ou de porte dérobée , Blackshades et autre logiciel comme il permet à des attaquants de saisir le contrôle à distance de l'ordinateur de l'utilisateur, qui en tournant sur ​​les webcams , voler les mots de passe et des informations personnelles , et lancer de nouvelles attaques sur d'autres ordinateurs . Le logiciel lui-même n'est pas illégal , et peut être acheté pour aussi peu que 40 $, mais l'installer sur l'ordinateur de la victime à son insu est illégal dans la plupart des pays .

En 2012 , une piqûre par le FBI a abouti à l'arrestation de plus de 20 personnes impliquées dans le programme , y compris Michael Hogue , aurait comme codeur principal de ce programme sous le nom xVisceral . Malgré l'arrestation , les chercheurs de Symantec ont vu une augmentation des infections au cours de la deuxième moitié de 2013 .

Troy Gill , analyste en sécurité chez AppRiver , pense que ces arrestations sont liées à Hogue . «Même si ces bustes ont parcouru un peu plus tard que prévu , " dit-il, " il n'est pas inconcevable de penser que l'information ou l'accès glanées à l'arrestation de l'auteur auraient contribué à faciliter cet effort coordonné . "


REF.:

mercredi 23 avril 2014

Violence: Quand le Patrouilleur du Net fait pas sa job ;(

Si tout le monde cautionne et partage une video de violence envers un être humain(pas un animal),comme Facebook le fait,............c'est que personne de sensé ne mentionne comment rapporter (signaler) cette video auprès de FB ,qui la rapportera au FBI.

Aucun site web ou personnalité publique ne peut laisser circuler une video sur les droits des humains et rien faire sinon permettre sa circulation parmis les cons. Faut indiquer aux newbie,comment signaler cette video pour la sortir du web visible,.............elle doit aller dans l'enfer dans le web invisible(Deep Web) !
Ce que dit le Patrouilleur du Web,Dominic Arpin:




Pour signaler une video et l'effacer du site FB, faut juste cliquer en haut a droite(ou en bas a gauche) du video,et avec le pointeur de la souris ,cliquer sur signaler la video(vous pourrez bloquer les usagers pervers ,si vous voulez aussi) !
Ce que mentionne Facebook :

Donc,si on est vite a supprimer ,pour les droits d'auteur(musique,film),.....faut aussi l'être comme citoyen envers la violence sur le web ! ,...............,Le web c'est vous ! Quenelle bien épaulée DA!


REF.: une foisct'un con,

jeudi 6 février 2014

La police veut une télécommande pour stopper les véhicules


Un groupe de travail regroupant les services de polices européens a défini une liste d’objectifs en matière d’équipements et de capacités high-tech. La voiture connectée fait particulièrement rêver les forces de l’ordre.


Les polices européennes veulent une télécommande pour stopper les véhicules
Les polices européennes veulent une télécommande pour stopper les véhicules
Il n’y a pas que les services secrets qui veulent profiter du boom des nouvelles technologies. Les polices aussi cherchent à perfectionner leurs méthodes de travail et d’investigation. La voiture et son système d’information embarqué les intéressent particulièrement, comme le montre le programme 2014-2020 de l’ENLETS (European Network of Law Enforcement), une plateforme d’échange entre les  services de police des différents états membres de l’Union européenne. Ce document a été rendu public il y a quelques jours par statewatch.org, une association britannique qui défend les droits des citoyens.
Ainsi, parmi les cinq projets high-tech que ce groupe de travail souhaite développer en priorité, figure « l’arrêt à distance des véhicules ». Ce projet a été proposé à l’origine par la police britannique. Il part de la constatation qu’il est difficile de prendre en chasse des criminels en fuite, en raison du danger que cela représente pour la population. La solution imaginée par les policiers serait donc de faire en sorte que les véhicules européens soient, à terme, dotés par défaut d’une technologie permettant aux forces de l’ordre de stopper un véhicule à distance. Comment ?  Rien n’est encore défini, mais il est très probable que cela se fera - si cela se fera - grâce à l’informatique embarquée qui équipe de plus en plus nos voitures.
© ENLETS
Ces systèmes peuvent assister ou contrôler les fonctions mécaniques d’un véhicule (freinage, injection, conduite...). Ils peuvent également intégrer des fonctions de communication, que ce soit dans un but récréatif (téléchargement de musique ou d’applis) ou de maintenance (prise de contrôle par un technicien pour une mise à jour du firmware, par exemple). En théorie, toutes les briques technologiques sont déjà là pour créer une « télécommande » d’arrêt d’urgence.
Les policiers européens sont également attirés par les techniques d’espionnage et de surveillance, qui concerne trois autres projets prioritaires. Ainsi, ils souhaitent développer « l’espionnage open source », c’est-à-dire basé sur les sources ouvertes et accessibles à tout le monde (réseaux sociaux, web, mobile, etc.). Ils souhaitent également se perfectionner dans l’espionnage électronique (« signal intelligence ») et dans la surveillance vidéo.

REF.: