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mercredi 1 avril 2020

Les transmissions des Nissan, ne tiennent pas la route

Les transmissions des Nissan, ne tiennent pas la route






auto,



Des centaines de propriétaires de voiture Nissan avec transmissions à variation continue(TVC une techno abandonnée par plusieurs), mais refuse aujourd’hui de prolonger sa garantie sur tous les modèles concernés.Plusieurs propriétaire de nissan se retrouvent avec des transmissions TVC,qui  lâche à 54,000 km et doivent payer facilement de leurs poches jusqu'a 3,500$ de réparation.


L'action collective « TRANSMISSION AUTOMATIQUE DES VÉHICULES NISSAN DE 2010 À 2016 » a été déposée à la Cour supérieure.
Les personnes visées par cette action collective sont celles qui ont acheté ou loué leur véhicule Nissan au Québec.
Vous pouvez avoir plus d'information en cliquant sur ce lien vers le recours.
Le cabinet qui pilote le dossier est Adams Avocat inc.
9855, rue Meilleur, bureau 215, Montréal, Québec, H3L 3J6
Téléphone: 514-848-9363
Courriel : fadams@adamsavocat.com
Pour les propriétaires de voitures qui ont acheté ou loué une voiture Nissan ailleurs qu'au Québec et qui éprouvent des problèmes de transmissions, l'Association pour la protection des automobilistes, l'APA, collige actuellement les plaintes et envisage la possibilité d'intenter d'autres actions contre Nissan.
Pour plus de détails, consultez la page web de l'APA qui vous propose des étapes à suivre si vous avez des problèmes avec la transmission de votre Nissan.
 

REF.: Journaliste : Annie Hudon-Friceau

Une usine de vaccins prioritaire à Québec

Une usine de vaccins prioritaire à Québec






vaccins, santé, maladie,



Pendant que l’économie de la province est sur pause, un rare chantier, celui de Medicago, a pu reprendre du service à Québec lundi. La firme, engagée dans la lutte au coronavirus, veut augmenter sa capacité de production de vaccins d’ici 2023.
Une semaine après l’interruption de l’activité économique non essentielle, des travailleurs ont déjà réinvesti le chantier de construction dans le secteur D’Estimauville, a constaté Le Journal. Il devrait bientôt retrouver sa cadence normale.
« On a fait la démarche auprès du gouvernement pour faire valoir l’importance de continuer le chantier et c’est dans ce cadre-là qu’on a eu la dérogation », confirme Jean-Luc Martre, vice-président au marketing et au développement des affaires chez Medicago.
<i>Le Journal</i> a pu constater l’installation d’un poste sanitaire avec évier et savon à l’entrée du chantier.
Photo Jean-François Desgagnés
Le Journal a pu constater l’installation d’un poste sanitaire avec évier et savon à l’entrée du chantier.

Vaccin 

La société biopharmaceutique dit avoir développé un candidat-vaccin contre la COVID-19 prometteur, ce qui lui a valu une aide de 7 millions $ de Québec et une autre non chiffrée d’Ottawa.
Bien que le complexe d’au moins 245 millions $ ne sera pas pleinement opérationnel avant 2023, il est capital de ne pas retarder les travaux, estime l’entreprise.
« On ne sait pas du tout comment va se comporter ce virus-là. [...] Est-ce que c’est un virus qui va revenir de façon périodique ? Les experts ne sont pas unanimes là-dessus », dit M. Martre.
Dans ce contexte, « avoir une usine qui va avoir la capacité de fournir un vaccin en grand nombre, c’est une urgence. »
Justement, la future usine commerciale pourra en théorie produire jusqu’à 200 millions de doses par année d’un vaccin pandémique.
Une usine « pilote » verra le jour dans le même complexe et pourrait être inaugurée plus tôt, au début 2022.

« J’aime mieux travailler » 

En attendant, la firme est en mesure de continuer le développement de son vaccin contre le nouveau coronavirus dans ses installations actuelles de Québec. 
Au chantier dans D’Estimauville, un employé ne s’est pas plaint de retourner au boulot. « Les consignes [sanitaires] sont suivies à la lettre. J’aime bien mieux travailler », a-t-il lancé.
Le ministère de l’Économie n’a pas été en mesure de répondre à nos questions, lundi après-midi.

REF.:

dimanche 29 mars 2020

Roman jeunesse sur l'intimidation: Ne me parlez pas des Lapins! , de Céline Leblanc Barsalo

Roman jeunesse sur l'intimidation:  Ne me parlez pas des Lapins! , de Céline Leblanc Barsalo





livre,


Ma passion de l’écriture a été nourrie par mon contact auprès des enfants du niveau primaire. Témoin privilégiée de leur vécu quotidien, je veux partager mes histoires, mes aventures, mes souvenirs, mes anecdotes, mon amour des Arts et des voyages.

NOUVEAUTÉ – DÉCEMBRE 2019


Roman : Ne me parlez pas des lapins!
Depuis trop longtemps déjà, Coralie subit les moqueries du clan Jessica et ses amis. Est-ce que ce cauchemar continuera encore et encore?
Avec beaucoup d’efforts, un plan audacieux s’organise. Grâce à sa meilleure amie Isa et au beau David, Coralie s’implique de plus en plus aux activités de l’école, en espérant que tout ira mieux dans la classe de monsieur Mercure.
Au fil de plusieurs évènements imprévus, nous assistons à leurs nombreuses aventures. De New-York au lac Blondin, Coralie essaie de vaincre ses peurs afin de retrouver sa confiance en elle. Est-ce que l’arrivée d’Adam, lui aussi intimidé depuis deux ans, changera sa vision des choses et l’aidera dans son parcours?
Suivez Coralie tout au long de son combat contre l’intimidation!
Les Éditions de l’Apothéose
ISBN 978-2-89775-287-3

Condamnées à payer 70 000$ à une famille pour ne pas avoir protégé leur fille d'intimidation à l'école

Condamnées à payer 70 000$ à une famille pour ne pas avoir protégé leur fille d'intimidation à l'école




MISE À JOUR
Coup de boîte à lunch, cyberintimidation, lançage d’objets. Une commission scolaire, deux enseignantes et une directrice d’école sont condamnées à payer près de 70 000$ à une famille de la Montérégie pour ne pas avoir protégé leur fille de ses intimidateurs.




 

intimidation, écoles, livres, Céline Barsalo Leblanc



«Les défendeurs ont priorisé leur réputation professionnelle et celle de l’école, plutôt que de protéger [l’enfant]», conclut la juge Claude Dallaire dans une décision rendue le 1er octobre.
En 2012, Le Journal avait publié un article sur la poursuite intentée par des parents pour 400 000$ en raison de l’intimidation qu’a subie leur fillette en 2010-2011 à l’école Micheline-Brodeur de Saint-Paul-d’Abbotsford, près de Granby.
Sept ans plus tard, la justice leur donne partiellement raison. Elle condamne la commission scolaire des Hautes-Rivières, ainsi que trois membres de son personnel, à verser un total de 68 000$ à la famille pour leur «inaction».
Le Journal a choisi de ne pas nommer la fillette, qui avait entre 9 et 10 ans au moment des faits, pour ne pas lui causer de préjudice.
«Full lette»
Dès sa 3e année, elle reçoit un diagnostic d’arthrite juvénile qui l’oblige à porter des orthèses. Mais c’est lors de sa 4e année qu’elle commence à être ciblée à répétition par des élèves, malgré les interventions de la mère auprès de l’école, raconte-t-on dans le jugement.
Par exemple, un garçon répond à un potentiel commentaire de la fillette en lui assenant sur le dos un coup de boîte à lunch contenant un thermos.
Un mois plus tard, des élèves la qualifient de «full lette» sur Facebook.
En mars, trois enfants lui lancent des poches et des élastiques à deux reprises, indique le document.
L’enseignante qui surveillait la classe à ce moment-là n’était pas au courant de la situation d’intimidation que vivait la fillette, même si la direction s’était engagée dès décembre à aviser le personnel, explique-t-on dans le jugement.
De plus, la Commission scolaire a d’abord refusé de la changer de classe, puis d’école. «Pourquoi toute cette obstination?», se demande la juge.
Enfant à problème?
Dans la version de l’école, elle est décrite comme une enfant qui «provoque les réactions des autres par son attitude hautaine» et qui a «besoin d’attention», peut-on lire dans le jugement.
Relevant plusieurs contradictions, la juge a plutôt conclu que la fillette n’était pas une «enfant à problème» mais qu’elle a fait les frais d'une vision «biaisée» des intervenants de l’école. Elle conclut que la directrice Chantal Majeau et les enseignantes Marie-Josée Labrie et Chantal Lapointe ont fait de «l’aveuglement volontaire» vis-à-vis d’une enfant envers laquelle elles avaient «peu d’empathie».
D’ailleurs, la situation s’est améliorée dès que la fillette a changé d’école, note-t-on.
Depuis les événements, une loi provinciale est entrée en vigueur en 2012 pour obliger toutes les écoles à se doter d’un protocole de lutte à l’intimidation. Mais déjà à cette époque, la nécessité de protéger cette enfant «vulnérable» relevait de «gros bon sens et de sensibilité», note la juge. 
Jugement «important»
Ce n’est pas la première fois qu’un tribunal condamne une commission scolaire à dédommager des parents pour un cas d’intimidation, indiquent plusieurs juristes consultés par Le Journal.
Mais ce jugement est tout de même «important», analyse Me Virginie Dufresne-Lemire, car en plus de condamner l’école à compenser les dommages subis par la famille, la juge impose des dommages punitifs.
«C’est très rare», avoue l’avocate, notamment parce qu’il faut dans ce cas prouver que la faute a été «intentionnelle».
De plus, ce jugement vient envoyer un message aux commissions scolaires, leur rappelant l’importance de ne pas prendre l’intimidation à la légère, abonde Patrice Deslauriers, professeur de droit à l’Université de Montréal.
La cause a été portée en appel. Mmes Labrie, Majeau et Lapointe ne souhaitent pas commenter le dossier, indique la Commission scolaire des Hautes-Rivières par courriel. 
Avec la collaboration de Valérie Gonthier

EXTRAITS DU JUGEMENT

«À notre avis, la mère avait raison de revenir à la charge.»
«La preuve révèle qu’elle pleurait souvent, qu’elle ne voulait pas aller à l’école, qu’elle se sentait rejetée, isolée, insécure, et qu’elle faisait des cauchemars.»
«Il y a eu un manque au devoir de surveillance et de soins à l’endroit d’une enfant que les défendeurs avaient sous leur garde.»
«Personne ne semble avoir pensé un instant que [l’enfant], à force de dénoncer des comportements inadéquats de la part de ses camarades de classe, et de se faire rabrouer, a pu se fermer et devenir moins volubile, après s’être fait répondre des choses telles que : ‘’tu as dû faire quelque chose pour qu’ils soient sur ton dos’’. »
«Depuis que [l’enfant] est sortie de l’école Micheline-Brodeur, elle va beaucoup mieux. [...] Elle est appréciée à sa nouvelle école.»

REF.: