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vendredi 22 mars 2013

L'impôt sur le revenu, vous arrêtez de payer ça  !



Le mouvement Citoyens souverains, qui considère l'impôt comme illégal, est dans la mire de l'Agence du revenu du Canada et des autorités policières.Quoi ,.........tout pour diaboliser M. Harpeur ? ,........ Le groupe conteste les gouvernements et leurs lois, dont la Loi sur l'impôt. Certains d'entre eux conduisent même sans permis avec des plaques d'immatriculation non conformes.
Jacques-Antoine Normandin est l'une des figures les plus importantes des Citoyens souverains au Québec. Comme la plupart des personnes qui adhèrent à ce mouvement, il est convaincu que les gouvernements n'ont pas le droit de percevoir de l'impôt.
Jacques-Antoine Normandin est l'une des figures les plus importantes des Citoyens souverains au Québec.Jacques-Antoine Normandin est l'une des figures les plus importantes des Citoyens souverains au Québec.
« Il ne faut pas se culpabiliser parce qu'on ne paie pas d'impôt. L'impôt sur le revenu, vous arrêtez de payer ça », lance-t-il en entrevue à Radio-Canada.
L'Agence du revenu du Canada suit à la trace les activités de M. Normandin ainsi que celles d'une cinquantaine d'autres groupes de Citoyens souverains au pays, selon un document provenant des services de sécurité de l'agence, dont Radio-Canada a obtenu copie.
La directrice des enquêtes criminelles à l'Agence, Johanne Charbonneau, a accepté de parler à Radio-Canada, à condition de ne pas être vue à l'écran pour des questions de sécurité.
« Les renseignements qu'on a, c'est que, oui, il faut être à l'affût de ça et garder certaines précautions. Il y a certains d'entre eux [des membres de Citoyens souverains] qui promeuvent une certaine violence envers les gens avec autorité. » — Johanne Charbonneau, directrice des enquêtes criminelles, Agence du revenu du Canada
Les Citoyens souverains rencontrés par l'équipe de Radio-Canada se disent pacifiques. Ils sont toutefois prêts à tenir tête à un système qu'ils jugent illégal.
Du côté de l'Agence du revenu, le message est clair. « Ne pas payer ses impôts, c'est un crime », souligne Mame Charbonneau;)
Selon l'Agence, le mouvement Citoyens souverains est en pleine expansion et compterait 4000 adeptes au Canada.
Le mouvement s'étend en Estrie
Plusieurs figures de proue des Citoyens souverains se retrouvent en Estrie dont Jacques-Antoine Normandin, de Cowansville. Ce dernier utilise plusieurs identités (Jacques Normandin, Jacques-Joseph-Pierre-Antoine Normandin, Jacques-Antoine Lagassé-Normandin). « Mon nom d'Être humain, c'est mon nom de baptême, c'est ce qu'on retrouve dans l'Acte de baptême. Mon nom, c'est Jacques-Joseph-Pierre-Antoine. Normandin, c'est la lignée, c'est un nom juridique. Notre numéro d'assurance sociale est attaché à notre nom de famille et non pas à l'Être humain, à notre nom de baptême », explique-t-il.
Réjean Dubois et de son fils Jean-François, qui vivent à La Patrie, sont convaincus que la Constitution ne s'applique pas au Québec et que les lois sont invalides. « On ne peut pas continuer à payer une cenne d'impôt. C'est fini! Enrichir le système, enrichir le Barreau du Québec qui se fait des lois pour se donner de l'ouvrage, c'est assez! », dénoncent-ils.
Les actions des Citoyens souverains ont aussi joué un rôle dans la saga entourant la vente du Club de golf de l'Estrie. L'ancien directeur général de l'endroit, Luc Bergeron, a été congédié en 2007, mais la propriétaire du club de golf refusait de payer les sommes qui restaient à son contrat, ce qui représentait une somme de 66 000 $. Selon ce qu'a appris Radio-Canada, les Citoyens souverains, et plus particulièrement Jacques-Antoine Normandin, ont joué un rôle dans ce dossier.
Luc Bergeron s'est retrouvé envahi de documents volumineux provenant des Citoyens souverains. « On a commencé à recevoir des documents. Le premier contenait 14 pages et on n'en comprenait pas 10 %, ni mon avocat. Mon avocat commençait à être sur le nerf chaque fois qu'il voyait le postier arriver avec des documents. Il savait que c'était encore un paquet de cochonnerie qu'il était obligé de lire. »
Selon l'avocat constitutionnaliste et ancien ministre de la Justice, Benoît Pelletier, les arguments des Dubois ne tiennent pas la route. Les Tribunaux ont également tous rejeté les arguments des Citoyens souverains.

Le mouvement Citoyens souverains, qui considère l’impôt comme illégal, est dans la mire de l’Agence du revenu du Canada,.....ça veut tu dire qu'on est près a se séparer du Canada et rapatrier notre assurance chomage et mettre dehors le Sénat et la Reine ? trudeau s'est déja retourné debord dans sa tombe ! Le mouvement de frénisie a la sauce  Oklahoma City est inscrusté dans notre code génétique,il est trop tard,vous devez sortir de la Matrice!


La journaliste Brigitte Bureau et la réalisatrice Sylvie Robillard présentent un reportage complet sur le mouvement Citoyens souverains et sa doctrine, jeudi soir, à 21 h, à l'émission « Enquête » de Radio-Canada.

Les pauvres et les faillis de secondes faillites ne peuvent payer leurs impôts ?


Les pauvres et les faillis de secondes faillites ne peuvent payer leurs impôts ?




Les "citoyens souverains" sont des "gens dangereux" selon la GRC,..........mais qui a créé ce mal, économique ? 
Le système ,......ou les membres du système ?
L'argent est tellement une bonne invention ,alors que.......... c'est le service rendu qui compte !


Jacques-Antoine Normandin est l'une des figures les plus importantes des Citoyens souverains au Québec.


Voir l'émission d'affaires publiques "Enquête" du 21 mars, où il est question des "citoyens souverains" qui contestent le fondement des lois dont la loi de l'impôt.  Jacques-Antoine Normandin(ou Jacques Joseph Pierre Antoine ? ),disait que "le système s'en va vers la pauvreté" et qui défend ses idées et convictions depuis plusieurs années au Québec, est présenté comme le gourou d'une doctrine dangereuse...  Que l'on soit d'accord ou non avec les  idées et le zèle de Jacques-Antoine, il nous faut admettre qu'il a le courage de ses convictions.     Nos vues sont très différentes sur certains sujets, mais je garde un profond respect pour cet homme qui a tout sacrifié pour la justice et pour sa foi.  Salut à toi Jacques-Antoine!

L'émission sera en ligne dans les prochaines heures:
http://www.radio-canada.ca/emissions/enquete/2012-2013/Reportage.asp?idDoc=279881



Alertée par le juge en chef de la Cour supérieure, la Sûreté du Québec a lancé une série d'enquêtes sur une mouvance radicale antigouvernement, importée des États-Unis et du Canada anglais, dont les adeptes ont causé des soucis à plusieurs juges et policiers québécois en prenant notamment pour cibles leurs finances, a appris La Presse.
Les «Freemen on the Land» ou «Sovereign Citizens» (Citoyens souverains) sont déjà bien connus des autorités de plusieurs communautés anglophones nord-américaines. Ils rejettent vigoureusement l'État, le système économique, les services publics, les lois, qu'ils assimilent à une vaste conspiration dont ils peuvent prétendument s'extirper grâce à leurs soi-disant connaissances juridiques et constitutionnelles.
Ils se rebellent au point de cesser de payer leurs factures, de rouler en voiture sans plaque d'immatriculation et de résister à la police. Une des tactiques des Freemen est l'envoi de correspondance pseudojuridique et l'inscription d'hypothèques mobilières sur les possessions de représentants de l'ordre qu'ils accusent d'avoir outrepassé leur autorité en s'attaquant à une «personne souveraine» comme eux.
Ce phénomène est peu connu au Québec et peut paraître étrange à première vue. Mais lorsque le juge en chef de la Cour supérieure François Rolland l'a vu montrer le bout de son nez ici, il est intervenu immédiatement.
«Tout s'est produit l'année dernière, raconte-t-il, dans un entretien avec La Presse. J'ai été alerté plus particulièrement au printemps 2012. Huit ou neuf juges de notre cour avaient reçu leurs avis, dont moi, ainsi qu'un ou deux juges de la Cour du Québec.»
«J'ai pris ça au sérieux dès le début, car je parle aux collègues des autres provinces, et on m'a dit que c'est devenu une plaie dans l'Ouest. Aux États-Unis, c'est très important. J'ai demandé à la Sûreté du Québec de faire enquête», dit-il.
Hypothèque mobilière
Selon nos sources, les enquêteurs ont recensé plusieurs cas où des policiers et juges ont eu maille à partir avec des Freemen et d'autres idéologues apparentés, en personne ou par l'envoi de correspondance. Dans 10 cas précis, des adeptes avaient tenté d'inscrire une hypothèque mobilière sur les biens de juges québécois grâce au Registre des droits personnels et réels mobiliers (RDPRM).
Le RDPRM est un registre gouvernemental informatisé qui permet de savoir si certains biens (véhicules, actions, équipements) ont été donnés en garantie ou s'ils sont grevés d'une dette. On peut y rendre publics des droits relatifs à certains biens meubles ou à des personnes. L'avis qui y est publié n'a pas force de loi, mais il est visible par tout le monde, ce qui peut causer des ennuis à une personne qui souhaite emprunter de l'argent ou vendre son bien.
Des mesures existent pour filtrer les avis frivoles. Selon nos sources, la police a identifié seulement un cas où la manoeuvre a fonctionné jusqu'au bout contre un juge. Mais le porte-parole du RDPRM, Me Charles Dorion, affirme de son côté que les Freemen ont fait plus d'une victime.
«Nous les avions vus venir, nous savions que c'était un problème dans l'Ouest canadien. Nous avions des mesures mises en place, mais qui ont pu être contournées à quelques reprises», confirme-t-il.
«Ça pose des problèmes, les gens ont dû prendre un avocat, avec tout ce que ça représente, pour faire radier ça», déplore le juge Rolland.
Parade en place
La direction du RDPRM assure toutefois avoir trouvé une parade, qui est gardée confidentielle, et qui aurait permis aux fonctionnaires de bloquer toutes les tentatives des Freemen depuis septembre.
À la Sûreté du Québec, plusieurs enquêtes sont en cours sur ces tentatives. L'inscription d'une hypothèque mobilière est un recours parfaitement légal, mais les policiers tentent de vérifier s'il y a eu harcèlement ou intimidation du système judiciaire. Officiellement, les porte-parole du corps policier ont peu à dire à ce sujet.
«C'est sûr que la SQ est au courant de ce phénomène et demeure très vigilante. S'il y a des gens qui veulent commettre des actes criminels, que ce soit individuellement, en groupe, ou sous la bannière d'une organisation, la SQ va intervenir», assure le sergent Bruno Beaulieu.
La Gendarmerie royale du Canada (GRC), qui couvre quant à elle des territoires comme l'Ouest canadien, où cette philosophie compte beaucoup plus d'adeptes, se montre plus clairement préoccupée.
«La GRC est au courant de l'idéologie Freeman on the Land et des interactions que certains services de police ont eu avec des individus adeptes de ce courant. Au cours des dernières années, la GRC a reçu des correspondances directement des adeptes de ce mouvement», explique le caporal David Falls.
«[Ils] sont une source de préoccupation, car certains approuvent la violence pour promouvoir leur vision, et cela peut inclure la violence envers les policiers», dit-il.
Rien n'indique que les Freemen puissent représenter une menace pour le public en général, insiste le caporal, mais la GRC et l'Association des chefs de police canadiens travaillent à développer du matériel de sensibilisation pour les agents sur le terrain qui auront à intervenir auprès d'eux, d'un océan à l'autre.
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En chiffres
30 000
Selon un rapport du Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) citant des sources publiques, ce serait le nombre d'adeptes de la philosophie des Freemen au Canada.Et probablement 4,000 au Québec ,sans compter que jusqu'a 2 Millions(ou le 1/4 des Québécois) du Québéc n'ont pas payer leurs impôts des dernières années ! Autrement dit serions-nous encore en crise économique Mondiale mes amis ?$?
10
Nombre de juges québécois répertoriés par la police qui ont eu maille à partir avec des adeptes locaux de cette mouvance.
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«Une menace», jugent les services secrets canadiens
Le FBI les considère comme un mouvement terroriste intérieur. Le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS), comme «une menace». Mais la plupart des Freemen, eux, se présentent comme des gens pacifiques qui détiennent la clé pour revenir à l'ancienne utopie perdue de l'Amérique.
Bien qu'ils ne constituent pas un groupe organisé, les promoteurs de cette philosophie prétendent généralement qu'autrefois, chaque individu était «souverain», libre des taxes, lois et règlements, jugés oppressifs.
Un sombre complot aurait remplacé cet état de grâce par une tyrannie illégale. La population aurait été manipulée à son insu: en obtenant un permis de conduire, une carte d'assurance sociale, un permis de chasse, les gens signeraient en fait des «contrats» par lesquels ils acceptent de se soumettre à l'autorité alors qu'ils n'y seraient pas obligés. En rejetant tous ces «contrats», il serait ainsi possible de reprendre sa liberté et de déjouer le système.
L'Anti-Defamation League (Ligue antidiffamation), un organisme américain qui étudie les mouvements extrémistes, les considère comme des «anarchistes de droite», ou «libertariens», qui se distinguent par une particularité: ils croient vraiment que leur astuce fonctionne. Plusieurs Freemen disent être immunisés contre la police et ne pas avoir à payer d'impôt parce qu'ils jouissent de l'immunité judiciaire depuis qu'ils ont résilié tous les «contrats» avec le gouvernement.
Le FBI affirme sur son site web que les membres peuvent devenir violents lorsqu'on les contredit. Depuis l'an 2000, six policiers auraient été tués par des Freemen ou «Citoyens souverains» aux États-Unis.
Terry Nichols... (PHOTO ARCHIVES AP) - image 2.0
Terry Nichols
PHOTO ARCHIVES AP
L'un des adeptes les plus connus du mouvement est Terry Nichols, un complice de l'attentat terroriste d'Oklahoma City, qui a fait 168 morts en 1995.
Les actes violents demeurent des exceptions et la grande majorité des Freemen préfèrent les documents écrits, les discours et la résistance pacifique aux autorités jugées abusives. Mais dans un rapport daté de mars dernier obtenu par La Presse, le SCRS parle tout de même d'une menace.
«Au cours des deux dernières années, les agences d'application de la loi ont noté une augmentation des incidents reliés à l'idéologie anti-gouvernement Freeman on the Land. [Ses adeptes] croient qu'ils ne devraient pas avoir à payer des taxes, à obéir à des lois et qu'ils ont le droit de se défendre, ce qui inclut le recours à la force mortelle si confrontés à un agent de l'État», précise le service de renseignement, selon lequel il pourrait y avoir jusqu'à 30 000 adeptes au Canada.
En septembre, un juge albertain a publié un jugement de 180 pages dans la cause d'un Freeman qui faisait traîner ses procédures de divorce par ses discours et sa rhétorique. Pour le juge, les promoteurs de ces théories n'ont aucune base juridique ou même logique. Ce sont des «escrocs» heureux de réussir à vendre leurs DVD, livres et séminaires à des gens crédules, dit-il.

Citoyens souverains à tout prix









Video ici !
http://www.radio-canada.ca/emissions/enquete/2012-2013/Reportage.asp?idDoc=279881


REF.:

lundi 18 mars 2013

téléphone portable capable de mesurer le pouls


Japon - Mesurer le pouls par un simple regard
 
Photo Yoshikazu Tsuno / AFP


Une entreprise japonaise a présenté lundi un téléphone portable capable de mesurer le pouls de son utilisateur d'un simple regard.

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La firme Fujitsu prévoit de commercialiser dans l'année à venir cette invention qui permettra de collecter des données utiles sur sa santé depuis son travail ou de chez soi, sans avoir à utiliser d'instruments de mesure particuliers.
L'appareil fonctionne en mesurant les variations de brillance du visage d'une personne causée par le flux sanguin. En pointant ce téléphone sur un visage pendant cinq secondes, l'appareil peut mesurer le taux d'hémoglobine, tirant parti de la caractéristique de cette protéine d'absorber la lumière verte du spectre visible.
Le système est capable d'évacuer de ses calculs les mouvements de la tête et autres perturbations pour fournir une estimation précise du rythme cardiaque, ont assuré les chercheurs de Fujitsu.
L'entreprise a précisé qu'il pouvait être installé sur d'autres supports qu'un téléphone, comme sur un écran de télévision ou un miroir.
«Des applications sont possibles dans le secteur de la sécurité, par exemple dans des lieux publics ou des points de contrôle d'un aéroport, pour détecter les gens malades ou qui agissent de façon suspecte», a souligné Fujitsu dans un communiqué.


dimanche 17 mars 2013

Des laboratoires chargés de faire des expériences sur la production de maladies

Des laboratoires chargés de faire des expériences sur la production de maladies.



Enquête sur un possible empoisonnement

CARACAS | (Reuters) Le Venezuela va ouvrir une enquête sur le cancer de son défunt président Hugo Chavez, soupçonné d’avoir été provoqué par un empoisonnement orchestré par ses ennemis à l’étranger, a annoncé le gouvernement hier.
Hugo Chavez, président du Venezuela pendant quatorze ans et chef de file de la gauche anticapitaliste latino-américaine, est mort le 5 mars après des mois de lutte contre un cancer dans la région pelvienne, diagnostiqué à la mi-2011.
Le soupçon d’un empoisonnement, régulièrement soulevé par le camp chaviste, fait l’objet de railleries dans l’opposition. Elle l’assimile aux théories du complot, qui, ditelle, ont fleuri sous Chavez pour alimenter la peur de la population face aux menaces «impérialistes» et la détourner de ses préoccupations quotidiennes.
Le président intérimaire Nicolas Maduro a néanmoins promis de mener une enquête sérieuse sur cette hypothèse, émise la première fois par Hugo Chavez lui-même quand son cancer lui a été diagnostiqué.
«Nous chercherons la vérité», a déclaré lundi soir Nicolas Maduro au réseau de télévision régional Telesur. «Nous avons l’intuition que notre commandant Chavez a été empoisonné par des forces obscures qui ont voulu l’écarter.»
Des scientifiques étrangers seront invités à faire partie de la commission gouvernementale qui sera mise en place.
S’il considère qu’il est trop tôt pour identifier un responsable, Nicolas Maduro relève par exemple qu’il existe aux États-Unis des laboratoires chargés de faire des expériences sur la production de maladies.