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vendredi 19 juillet 2024

Les réseaux sociaux de nos jours et les problèmes sociaux affectifs

 Les réseaux sociaux de nos jours et les problèmes sociaux affectifs

Les problèmes sociaux affectifs naissent de l'absence de dialogue ou de l'isolement, c'est le cas des réseaux sociaux de nos jours, je pense d'ailleurs qu'il porte très mal leur nom ce sont essentiellement des réseaux antisociaux, il n'aide pas les gens à dialoguer, ils entravent la capacité des gens à se rapprocher sur un plan plus personnel.

Votre interlocuteur sur Skype(ou Messenger ou en Zoom) peut être d'accord avec vous, mais comme vous ne voyez pas ses pupilles se dilater et acquiescer de la tête, votre corps ne perçoit pas l’approbation, alors vos neurones miroirs ne s’activent pas, l'ocytocine n'est pas transmise et on fait moins confiance aux humains parce qu'il ne déclenche pas nos mécanismes sociaux. Mécanismes qui ont été minutieusement élaborés et résultent de 600 000 années d'évolution pour créer des liens avec d'autres personnes , nouer les collaborations nécessaires  et former des groupes sociaux.

Nous cherchons à nous convaincre et tissons des liens avec autrui par le biais de nos appareils technologique. Sur les réseaux sociaux, on mesure son monde intérieur avec les manifestations extérieures des autres. Quand je vois une célébrité avec une voiture de sport, je ne m'y identifie pas. Mais beaucoup de gens le font, c'est la leçon que les réseaux sociaux veulent nous enseigner, ils nous disent qu'en travaillant dur, on pourra un jour devenir quelqu’un d’important ! Non!!!  Accepter qui vous êtes aujourd'hui, vous pouvez bien sûr améliorer votre vie, mais comprenez que ce qui va réellement vous rendre heureux, est la qualité des liens que vous établissez avec les autres et ressentez la gratitude pour ce que vous avez. Toutes les choses que nous apprennent les réseaux sociaux et les médias en général sur le bonheur nous rendre malheureux et paradoxalement, je vie dans la culture du soi-disant droit inaliénable du bonheur.

 Mais on ne peut pas rechercher le bonheur, c'est une ramification ; le bonheur est un produit dérivé , tout ce que vous avez affaire, c'est de bien dormir, avoir des relations amoureuses , bien mangé, faire de l'exercice, c'est aussi simple que ça. Et pourtant, 100 millions de prescriptions d'antidépresseurs sont rédigés aux États-Unis qui compte 330 millions d'habitants. Nous vivons une époque délirante , nous avons tous nos téléphones, ils sont parfois sous nos oreillers, je ne connais personne qui va aux toilettes sans son iPad ou sans un autre appareil. Les enfants qui ont grandi avec les Likes des réseaux sociaux sont déjà quantifiés ; ils quantifient déjà leurs compréhensions d’eux-mêmes ; mais le problème avec ça pour moi et ce n'est pas nécessairement dû aux réseaux sociaux, mais le fait est que leur estime d’eux-mêmes, est externe à eux, et qu'elle n'est pas acquise par l'expérience. 

Quelque chose me dit ce que je vaux et ce n'est même pas un humain, ce n'est qu'un chiffre (digital) et il ne va pas nourrir mon organisme, il nourrit le comptable qui se trouve au fond de moi. Ça pourrait s’apparenter au Wattico ( des peuples indegènes) c'est ça, la maladie, l'individu quantifié. Notre place dans le monde , nos relations avec les autres et notre relation avec la planète sont une partie du problème. Et si nous n’allons pas à la source du problème et si nous ne réfléchissons pas de façon plus intégrée, plus global et plus humaniste, nous sombrerons dans la matrice, une sorte de jeux, une pièce de théâtre que notre société moderne a créée pour nous maintenir dans cette illusion qui ne correspond pas à nos valeurs réelles et de qui on doit devenir ! 


RÉF.: T30d113, GaiaTV,

mardi 17 octobre 2023

Mon Carnet - De la bonne volonté sur les réseaux sociaux

 Mon Carnet - De la bonne volonté sur les réseaux sociaux

Les réseaux sociaux sont devenus incontournables. Ils offrent des opportunités pour établir des liens et partager des idées, mais peuvent également être le lieu d'échanges offensants. Il est donc crucial de faire preuve de civisme lors des conversations sur les réseaux sociaux afin de promouvoir un environnement respectueux pour tous.



Dans notre société de plus en plus connectée, les interactions sociales se font de plus en plus fréquentes à travers les réseaux sociaux. Ces plateformes offrent des opportunités inestimables pour établir des connexions avec des personnes du monde entier et partager des idées et des perspectives. Cependant, elles peuvent également être le lieu d'échanges peu respectueux et offensants. Il est donc essentiel de faire preuve de civisme et de bon comportement lors d'échanges et de conversations sur les réseaux sociaux.


Il est important de se rappeler que les mots ont un pouvoir considérable. Ce que nous disons sur les réseaux sociaux peut avoir des répercussions réelles et durables dans la vie des autres. Les commentaires que nous publions peuvent avoir un impact sur la façon dont les autres nous perçoivent et peuvent également avoir des conséquences sur notre réputation en ligne. Il est donc essentiel de se montrer respectueux et d'éviter les propos offensants ou blessants.



Pour couter Radio Mon Carnet  wwwRadioMonCarnetcom

Pour écouter Radio Mon Carnet : www.RadioMonCarnet.com

Il est aussi important de faire preuve d'empathie et de considération envers les autres lors d'échanges sur les réseaux sociaux. Nous ne savons jamais ce que les autres traversent dans leur vie et comment ils pourraient interpréter nos propos. Les commentaires maladroits ou inappropriés peuvent blesser les autres et causer des dommages émotionnels importants. Il est donc important d'être conscient de nos propres émotions et de prendre le temps de réfléchir avant de publier des commentaires ou des réponses.


Mais, il est surtout essentiel de respecter les opinions et les croyances des autres. Les réseaux sociaux offrent une plateforme pour échanger des idées et des perspectives différentes, et cela est une partie importante de la vie en communauté. Cependant, il est important de se rappeler que tout le monde n'a pas la même opinion ou la même croyance que nous. Nous devons être ouverts d'esprit et respectueux de ceux qui ont des points de vue différents. Nous devons apprendre à écouter et à apprendre des autres, plutôt que de chercher à imposer nos propres opinions.


Gardez en tête qu'il est primordial de se montrer responsable de nos actions sur les réseaux sociaux. Nous devons prendre en compte l'impact que nos commentaires pourraient avoir sur les autres, ainsi que sur nous-mêmes. Nous devons être conscients de l'effet que nos actions peuvent avoir sur notre communauté en ligne et sur la société dans son ensemble. Il est important de se rappeler que nos actions en ligne peuvent avoir des répercussions réelles dans le monde réel.


Et à l'occasion, il est sain de se rappeler que les réseaux sociaux ne sont pas un lieu pour les attaques personnelles ou la haine envers les autres. Les insultes, le harcèlement et la discrimination ne sont pas acceptables, que ce soit en ligne ou hors ligne. Nous devons nous rappeler que nous sommes tous des êtres humains, avec des sentiments et des émotions, et nous devons traiter les autres avec dignité et respect. Nous devons apprendre à construire des ponts plutôt que des murs, et à travailler ensemble pour créer un monde plus positif et inclusif.


Les réseaux sociaux offrent de nouvelles façons de communiquer et de connecter avec les autres, mais cela ne signifie pas que nous devons abandonner notre sens du civisme et de la décence. Au contraire, il est essentiel que nous continuions à faire preuve de bon comportement et à nous comporter de manière responsable sur les réseaux sociaux.


En adoptant une attitude respectueuse et empathique envers les autres, nous pouvons créer des communautés en ligne plus saines et plus positives. Nous pouvons également contribuer à promouvoir la tolérance, la compréhension et l'inclusion dans notre société. Nous avons tous un rôle à jouer dans la création d'un monde meilleur, et cela commence par les choix que nous faisons chaque jour sur les réseaux sociaux.


En faisant preuve de civisme et de bon comportement sur les réseaux sociaux, nous pouvons aider à promouvoir une culture de respect, de compréhension et de compassion. Nous pouvons également contribuer à créer un environnement en ligne plus sûr, où chacun se sent libre d'exprimer ses opinions et ses idées sans craindre le harcèlement ou les attaques personnelles.


Nous devons nous rappeler que les réseaux sociaux sont un outil puissant, mais avec ce pouvoir vient également la responsabilité de l'utiliser de manière responsable et respectueuse. En agissant de la sorte, nous pouvons contribuer à créer un monde plus positif et inclusif pour tous.


REF.: https://moncarnet.blog/2023/04/28/mon-carnet-du-28-avril-2023/

Par: Bruno Guglielminetti

jeudi 8 février 2018

Shot de dopamine : c'est ce que Facebook fait a votre cerveau

Shot de dopamine : ce que Facebook fait au cerveau de mon amie Emilie


"le défi initial de Facebook " avait été pour son "fondateur" de faire élire la fille la plus jolie du campus et de remarquer tout de suite les excès possible en cherchant à faire élire la fille la plus moche du campus..

Face à son ampleur grandissante, les propos à charge contre le géant des réseaux sociaux se multiplient. Une histoire de dopamine a retenu notre attention.

L’autre soir, alors que je traînais (encore) mon être sur les réseaux sociaux, je reçois un message d’une amie. C'est Emilie qui a "absolument" besoin d’un conseil : elle se prépare à changer sa photo de profil. Le truc, c’est qu’elle hésite, elle ne veut pas se planter tu vois. Elle a deux options.
Sur la première, on voit son reflet dans un miroir accroché au plafond de quelque part, c'est globalement noir et blanc et flou (j'ai nommé la photo "Ah bon je suis stylée"). Sur l’autre, on la voit sur la plage, lunettes de soleil sur le nez et poitrine bombée (c'est la classique "Ah bon je suis bonne").
Emilie me demande de ne pas trop traîner à répondre "parce que là c’est le bon moment pour poster". Ce jour là, sur mes bons conseils, elle a fait un carton virtuel (j'ai choisi la plage) et elle m’a envoyé un truc genre "BOUYAA".
J'ai trouvé ça drôle et inquiétant. Le comportement d'Emilie illustre parfaitement les récentes sorties virulentes d'anciens dirigeants de Facebook dénonçant les problèmes d'addiction à la plateforme qu'ils ont créée.

« We did it anyway »

Cet article de The Verge résume bien les déclarations tenues, en novembre dernier, par Sean Parker, ancien président de Facebook, qui se présente aujourd’hui comme un "objecteur de conscience".
Lors d’un évènement tenu par le média Axios, Sean Parker expliquait que le défi initial de Facebook avait été le suivant :
"Comment pouvons-nous consommer un maximum de votre temps et de votre attention ?" Parce que c’est bien beau de construire un monde plus ouvert et plus connecté, mais ça fait pas bouillir la marmite.
Sean Parker explique comment les créateurs de Facebook ont imaginé un système fondé sur une « boucle de rétroaction de validation sociale » basée sur des shots de dopamine (susucres) envoyés au cerveau.
Des boucles dites de rétroaction ou de feedback qui vous poussent ensuite à publier encore, et constamment. Parce que vous voulez plus de like, de cœurs, de « trop belle ma chérie ».
"C’est exactement le genre de trouvaille d’un hacker dans mon genre : vous exploitez une faille dans la psychologie humaine. Et je crois que les inventeurs, les créateurs – c’est moi, c’est Mark [Zuckerberg, ndlr], c’est Kevin Systrom pour Instagram, ce sont tous ces gens – nous avions conscience de cela. Mais nous l’avons fait quand même." 

Le cerveau de nos enfants

Pas besoin d’être psy pour voir que les réseaux sociaux – c’est Facebook, mais aussi Twitter, Instagram, Snapchat, etc. – nous rendent un peu fous.
C'est votre mec qui regarde Instagram quatre fois pendant le dîner parce qu'il vient de poster une vidéo de ses spaghetti, votre belle-mère qui raconte sa thalasso en live, votre meilleur ami qui live-tweete son dîner de Noël. "Ça change littéralement notre relation à la société, aux autres (…). Et Dieu seul sait ce que ça fait aux cerveaux de nos enfants !", dit Sean Parker. Cela l'active en tout cas. Regardons du côté de la chimie cérébrale.
Selon une étude de plusieurs psychologues de l’Université californienne UCLA, lorsque nous découvrons du contenu digne d’intérêt sur les réseaux sociaux, l’une des premières régions de notre cerveau à s’activer est le carrefour temporo-pariétal : la zone du cortex qui nous pousse à échanger avec nos semblables.
C’est-à-dire que notre réaction inconsciente à un nouveau contenu va être de se demander s’il est susceptible d’intéresser les autres. Et ça, c’est le share de Facebook, qui a tout compris.
On partage un article, une chanson ou une photo de soi.
Ensuite les likes, commentaires, identifications et autres invitations, toutes ces petites récompenses pour lesquelles il suffit d’actionner de simples leviers, donnent l’impression d’être entouré d'amour (et déclenche la chimie du bonheur, le couple ocytocine et dopamine etc).
La dopamine permet la boucle. C'est un neurotransmetteur qui joue un rôle dans la motivation et le système de récompense.

La cocaïne et Facebook 

Ofir Turel, qui a étudié le cerveau d'étudiants dont certains étaient accros à Facebook, a montré que certains d'entre eux réagissaient plus vite aux stimuli du réseau social qu'à ceux du Code de la route.
Son étude a notamment montré que l'utilisation de Facebook active l'amygdale, zone du cerveau impliquée dans l'évaluation de la valence émotionnelle des stimuli sensoriels. Et le striatum, où se joue, en collaboration avec la dopamine, ce qui est de l’ordre du motivationnel.
Le chercheur de l'université Fullerton en Californie a commenté :
"Quand on regarde le cerveau des gens qui ont une addiction à Facebook ou à la cocaïne, il y a des similitudes et des différences. Les deux groupes ont un surcroît d'activité dans les zones motivationnelles du cerveau, mais dans le cas de drogués seulement, on voit des perturbations dans les zones liées à l'inhibition." Chez les accros à Facebook. Hypothèse : comme l'utilisation de Facebook n'est pas encore perçue comme toxique ou négative, les zones liées au contrôle du comportement ne sont pas encore mobilisées par les utilisateurs.

Utilisation hardcore

Bref, Facebook est un joli foyer d’émotions positives.
Laurent Karila, psychiatre à l’hôpital Paul Brousse (APHP) et auteur, avec Annabel Benhaiem, de "Accro !" (éd. Flammarion, 2013) décrit un "neuromarketing addictif". Il m’explique au téléphone, après que nous ayons été coupés par l’un de ses patients, justement addict aux écrans :
"Sur les réseaux, les gens peuvent se créer un hypervisage, par le biais d’une nouvelle sociabilité. Ils peuvent se créer une cyber-identité, pleine d'assurance, qui leur procure beaucoup de plaisir. Tellement qu'ils ne peuvent plus s'en passer et vont la vérifier tout le temps." Mais Laurent Karila se veut rassurant :
"On peut parler d’une addiction aux réseaux sociaux, oui, il y a des mécanismes similaires à la drogue qui entrent en jeu. Mais les deux milliards d’utilisateurs de Facebook ne sont pas tous addicts. Tous les utilisateurs ne sont pas exposés de la même manière. Seules certaines personnes très vulnérables en font une utilisation hardcore. Des comportements qu’on trouve chez certains jeunes en particulier." Alors OK, nous ne sommes pas deux milliards d’héroïnomanes. Mais deux milliards d’utilisateurs, c’est quand même plus du quart de l’humanité. Imaginez le nombre de shots de dopamine.
On vous en parlait déjà de ça dans cet article, où l’on citait James Williams (un ancien de Google cette fois). "Nous en sommes arrivés à une industrie de la persuasion à grande échelle, qui définit le comportement de milliards de gens chaque jour. Et seulement quelques personnes ont leurs mains sur les leviers."

Les lynchages en Inde

Sean Parker n’est pas le seul ancien de Facebook à avoir exprimé des inquiétudes et des remords. Plus récemment, Chamath Palihapitiya, ancien vice-président de Facebook, s’est aussi positionné publiquement sur la question, lors d’une conférence à la Standford Graduate School of Business.
Dans cette intervention filmée, celui qui était chargé de la croissance de l’audience, exprime une « énorme culpabilité » pour avoir participé au succès de Facebook. Il évoque aussi ces "boucles de rétroaction" basées sur la dopamine, mais il va encore plus loin :
"Nous avions conscience, au fond, que quelque chose de mal pourrait arriver. (…) Je crois que nous avons créé des outils qui déchirent le tissu social. Nous en sommes vraiment là." Pour illustrer son propos, Chamath Palihapitiya (qui a depuis rétropédalé sur sa page Facebook) revient sur cet incident survenu en Inde au mois de mai : après la diffusion d'un spam (ce que l’intéressé nomme un hoax) sur la messagerie cryptée WhatsApp, des émeutes ont éclaté dans un petit village du Jharkhand, menant au lynchage de sept personnes par une foule en délire.
"C’est à ça que nous avons affaire. Et imaginez, si on pousse le raisonnement à l’extrême, comment des acteurs mal intentionnés pourraient ainsi manipuler un grand nombre de personnes."

« Vous êtes programmés »

En novembre encore, le New York Times publiait les remords de Sandy Parakilas, une ancienne cadre de l’entreprise, qui s’inquiétait à propos des questions de vie privée.
On pense aussi à Antonio Garcia Martinez, qui avait travaillé deux ans chez le géant des réseaux sociaux, avant d’écrire « Chaos Monkeys » (HarperCollins, 2016), un livre dans lequel il décrit d’un ton décapant son quotidien à l’époque. De son côté, Chamath Palihapitiya nous interpelle :
"Vous ne le comprenez pas, mais vous êtes programmés. Maintenant, c’est à vous de décider ce que vous voulez abandonner, à quel point vous êtes prêts à renoncer à votre indépendance intellectuelle." Sa solution ? Faire un break avec les réseaux sociaux, tout simplement. Lui-même interdit « cette merde » (sic) à ses enfants.

Changer nos comportements

"Cette merde" ne se cache même plus. La start-up Dopamine Labs, qui a été fondée par un neuropsychologue et un neuroéconomiste (oui c'est une profession), a récemment reçu des critiques similaires à celles formulées contre Facebook.
Leur idée ? Ils proposent aux entreprises de rendre leurs applications addictives grâce à des processus faisant appel à l’intelligence artificielle.
T. Dalton Combs, l’un des fondateurs de la boîte, s’expliquait dans un article de Slate, créer de l'addiction par de l'habitude, des message de félicitation et toutes sortes de "susucres" numériques :  "Ce que nous essayons de montrer, c’est que ces technologies qui changent le comportement des gens peuvent être utilisées de façons différentes. Pour le moment, c’est surtout utilisé par les réseaux sociaux, ou les publicitaires, pour augmenter le temps d’utilisation de leurs plateformes. Mais elles peuvent aussi être utilisées pour vous aider à prendre vos médicaments à l’heure. Ou pour aller régulièrement à la gym."  Voyez ce monde où l'on sera accueillis à la salle de gym par les vibrations de notre portable. Des like de nos amis, des confettis sur Messenger et des "go Juliette, go".



REF.:

mardi 22 septembre 2015

Devenir un Humain en accéléré



De plus en plus de personnes devront se dénicher un travail moins payant qu’avant.Plusieurs cas qui pourraient laisser croire que le monde du travail s’appauvrit.
Un travailleur minier qui frôle la faillite après avoir gagné 120 000 $ par année, un gestionnaire forcé de vendre de l’électronique, des travailleurs d’Electrolux qui se retrouvent à l’aide sociale. Des centaines de travailleurs vivent le drame d’une baisse de salaire extrême.
Signe des temps,...............le temps de la fusion de l'Homme avec son esprit !
Se retrouver a gérer son anxiété seul,car tout le monde vit a 200 mph, a la même vitesse que les Banques ! Quand les emprunts ne peuvent se payer, on perd tout,même sa dignité.On se tue au travail avec 2 jobs a la fois !Ce sont les écoles qui élève nos enfants ! La pub ,les média sociaux scrappe l'idéologie des ados ! Les valeurs humaines disparaîssent.

POURQUOI ?
Le Monde du travail change:
Le Monde change:
Le taux de chômage ne dit pas tout sur le marché du travail. Les gens qui perdent un bon emploi en retrouvent un, mais souvent au prix de nombreux sacrifices.
Entre 2004 et 2014, l’industrie manufacturière au Québec a perdu 140 000 emplois. Il s’agissait souvent d’emplois syndiqués et bien rémunérés occupés par des travailleurs expérimentés, mais avec un faible niveau d’éducation.
«J’ai toujours fait un excellent salaire, même si j’ai l’équivalent de mon secondaire 3. Je n’ai jamais su c’était quoi travailler à 40 000 $ par année. Maintenant, je sais et ce n’est pas évident», affirme Aurèle Lafrenière, un travailleur minier qui a perdu son emploi en 2011 à l’âge de 59 ans.
Plusieurs de ces travailleurs licenciés vont trouver un emploi beaucoup moins payant que celui qu’ils occupaient auparavant. Vivant d’un salaire de plus de 20 $ de l’heure depuis des années, ils doivent accepter maintenant de vivre avec un salaire horaire de moitié moindre.
Selon Marcel Paradis, qui aide ce type de travailleurs à retourner sur le marché du travail, le gros défi est la surestimation.
«En moyenne, ils ont peu de scolarité et ils veulent faire 20 $ de l’heure en commençant. Notre travail est de les ramener à la réalité», explique le cofondateur de Campus Emploi à Joliette.
Technologies « mortelles »
Les travailleurs du secteur manufacturier, largement syndiqués, vivent un déclin de leurs conditions de vie.Alors faut-il se syndiquer ou bien retourner a l'université, avec une bonne job plus payante et essayer de payer son emprunt,mais avec quoi ?

«Lorsque nos entreprises du textile, des scieries, des pâtes et papiers et de l’industrie pétrochimique reprennent de la vigueur, elles introduisent des progrès technologiques qui sont mortels pour les anciens travailleurs de ce secteur», observe Paul-André Lapointe, professeur titulaire au Département des relations industrielles de l’Université Laval.
Faut-il changer de secteur d'emploi,oui mais a quel sacrifice, si t'es trop veux tu fait quoi ?

Emploi temporaire
Il se crée davantage d’emplois temporaires que permanents au Québec. Or, ce type d’emploi offre un salaire moyen de 19,41 $ l’heure contre 23,66 $ pour les emplois permanents.
Les avantages sociaux, comme les vacances, le fonds de pension et les assurances santé, sont également moindres dans un poste temporaire.
L’an dernier, 177 100 Québécois devaient cumuler plus d’un travail pour survivre. De 2004 à 2014, le cumul d’emplois a augmenté de 31,1 %, observe l’Institut de la statistique du Québec.


Concurrence:
«Ce phénomène s’accélère, ça devient la norme. C’est préoccupant. Cette tendance semble indiquer une recherche de productivité ou de profits à court terme. Elle effrite la transmission des savoirs, la socialisation et la transmission des compétences», s’inquiète Angelo Soares, professeur au département d’organisation et ressources humaines de l’École des sciences de la gestion de l’UQAM.
Selon le chercheur, cette situation place les employés en concurrence les uns contre les autres et crée des conditions de travail beaucoup moins généreuses, par exemple, des horaires flexibles, aucune garantie d’heures travaillées et une disponibilité en tout temps.
«En conséquence, les entreprises connaissent un taux de roulement élevé, des conflits de travail, elles doivent gérer du harcèlement moral et de la détresse psychologique. Enfin tout pour vous faire capotter ,......avez-vous la psychologie assez forte pour ça ? Beaucoup d'entre-vous ,.....Non !
Les travailleurs perdent toute loyauté envers l’employeur»,on vend les idées ou la marchandise de notre ancien Boss sur le marché noir,c'est la loi de la jungle , on entre en mode autodestruction !
Le marché du travail devient une corvée !

Que faire ?

La solution:
Ça toujours été la, et personne encore n'a compris ,faut vivre dans le présent(pas le passé et le futur/la rancune et l'envie),faut vivre avec ses propres moyen ,ne pas vivre en fonction du matériel,du visible(tout est illusoire), ni le luxe, l'argent , le sexe,encore moins d'essayer de s'évader de votre réalité enfernale ,aucune pilule va vous donner ça !

Dans le monde du travail ,faut gérer son anxiété ,sinon vous perdrez le contrôle a travers une psychose.Vaut mieux aller chercher les valeurs humaines que l'on a en soi, et a travers les autres !L'amour,la paix,le pardon ,.......vous les connaissez tous ! Allez !
Votre salut,sera de vous sentir bien dans cette énergie(il y en a deux:le bien et le mal) ,pour y rester (car le mal, le 666, la petite voix dans votre tête, votre égo,attend sa chance pour vous récupérer),parce que vous aurez le souvenir de cette état de grâce,de bien-être ,afin que vous deveniez des Humains aidant son prochain !
C'est plus gratifiant de donner que de recevoir ou de prendre !
Votre monde est maintenant a l'envers ! Les vrai valeurs arriveront pour vous, juste en face de vous,vous n'avez qu'a les suivres ! La vie deviendra facile , tant que vous serez en synchronicité avec la vie(Énergie) , la Vrai !
Si la Vie vous intéresse , enrolez-vous dans la Force du bien !


lundi 3 novembre 2014

Pouême pour les Trolls ?



Ne nourrissez pas les trolls du ouèbe ,.................pourquoi ?

Parce que sa chie partout et que dla marde c'est nécessaire pour faire avancer le monde et de montrer a ceux qui sente la marde ,qu'il devrait pas se laver nécessairement,mais de moins en manger !


A t'on besoin des Trolls ?
La liberté d'expression des Forums,des Réseaux sociaux
n'est que le besoin d'exprimer notre liberté a tous !
Car tout ce qui a déformé la réalité sera un jour connu.
L'énergie incarné dans la matière la déforme;
C'est pour ça que la vérité est déformé ,
pour que les newbies la découvre par eux-même ,
a leurs rythme,sans qu'il perdre le contrôle de leurs conscience !

Un jour la masse crétique atteinte des consciences,élus etc.,fera connaître au troupeau la vérité,
il ne vous restera qu'a l'assimiler.
Lorsque que tous les bureaucraces mangerons et chierons moue,
vous pourrez prendre leurs places,mais faudra lutter pour la cause,
pour l'Homme éthérique et non votre Égo$ !
Vous vous appercevrez que le Monde a toujours été a l'envers !
Pourquoi ?
Parce-qu'il est descendu a nous et maintenant il est déja remonté a lui ,
il est dans l'autre direction !
Rien ne se perd ,tout est créé.
C'est le cheminement même le l'énergie de l'invisible !

Si pendant toute ta vie ,tu n'a que vue, touché,senti,écouté et entendu,
tu n'a rien compris , ce qui te reste a faire est de trouver l'invisible, l'impalpable ,
c'est facile,sauf pour ceux qui sont hantés par le monde astral, la schizophrènie et ceux qui sont encore sous l'emprise de leur Égo(le péché original).
Plus tu es loin de l'égo,plus tu es proche de l'énergie,de la source,
l'égo c'est une coque qui garde l'énergie qui ne lui appartient pas.
L'égo va vous tuer,avant votre temps,si vous ne la pulvérisez pas !

Tu ne peut rien expliquer ,ni forcer a comprendre a un Être,
s'il ne le veut pas ou s'il ne monte pas en vibration ,
tout est vibratoire,alors la gravité de Pluton va tout balayer sur son passage,
avec l'aide de l'univers qui vibre, malgré votre acharnement a résister a ce flux cosmique .

 Si tu n'aime pas l'initiation Lunaire , tu vivra l'initiation Solaire ,malgré toi !
Il se pourrait que ton égo puisse ne pas pouvoir subir ce choc !
Mais tout est déja dans le plan cosmique,
vous n'avez pas a le savoir ,vous allez simplement le vivre et l'expérimenter !


REF.:pouême a T30

dimanche 27 avril 2014

Poème pour initiés ? Vivant !

Vivant:

Les jours passent devant ma fenêtre(mon Ordi ?)
Le Monde ralentit comme il se doit
Adieu à la nuit passée
Les amours, perdu de vue
Pouvez-vous pas m'aider à les voir ?
( Ils ne pourront pas m'obtenir le droit)

Aimer chaque minute parce que tu me fais tellement me sentir vivant
Vivant d'aimer chaque minute parce que tu me fais tellement ressentir vivant
Vivant , vivant, être vivant

Se réveiller dans la neige
traçant les marche avec toi
Nageant à travers la fumée
Enveloppé dans un manteau de velours
Pouvez-vous pas m'aider à les voir ?
( Ils ne pourront pas m'obtenir le droit)

Aimer chaque minute parce que tu me fais tellement me sentir vivant
Vivant d'aimer chaque minute parce que tu me fais tellement ressentir vivant
Vivant , vivant, être vivant

Peut-tu me le décrire en moi
Tout le monde que tu vois ?
J'ai besoin de quelqu'un , je suis en attente de ça
La liberté est en toi
Donner nous fait du bien
Bonjour à notre monde
Dites bonjour au futur
La liberté est en toi
Donner nous fait du bien
Bonjour à notre monde
Dites bonjour au futur

Aimer chaque minute parce que tu me fais tellement me sentir vivant
Vivant d'aimer chaque minute parce que tu me fais tellement ressentir vivant
Vivant , vivant, être vivant
Aimer chaque minute parce que tu me fais tellement me sentir vivant
Vivant d'aimer chaque minute parce que tu me fais tellement ressentir vivant
Vivant , vivant, être vivant !






REF.: poème de Zedd,

mercredi 23 avril 2014

Violence: Quand le Patrouilleur du Net fait pas sa job ;(

Si tout le monde cautionne et partage une video de violence envers un être humain(pas un animal),comme Facebook le fait,............c'est que personne de sensé ne mentionne comment rapporter (signaler) cette video auprès de FB ,qui la rapportera au FBI.

Aucun site web ou personnalité publique ne peut laisser circuler une video sur les droits des humains et rien faire sinon permettre sa circulation parmis les cons. Faut indiquer aux newbie,comment signaler cette video pour la sortir du web visible,.............elle doit aller dans l'enfer dans le web invisible(Deep Web) !
Ce que dit le Patrouilleur du Web,Dominic Arpin:




Pour signaler une video et l'effacer du site FB, faut juste cliquer en haut a droite(ou en bas a gauche) du video,et avec le pointeur de la souris ,cliquer sur signaler la video(vous pourrez bloquer les usagers pervers ,si vous voulez aussi) !
Ce que mentionne Facebook :

Donc,si on est vite a supprimer ,pour les droits d'auteur(musique,film),.....faut aussi l'être comme citoyen envers la violence sur le web ! ,...............,Le web c'est vous ! Quenelle bien épaulée DA!


REF.: une foisct'un con,

mardi 25 septembre 2012

Des Scammers sur Tagged ?

By :    muurahlee...luv my owners..mmwah
9 days ago


Chers amis .....Je vous envoyer cette vidéo .... parce qu'il y a beaucoup d'escrocs dans le site social de Tagged.com...pour vous soutirer de l'argent......ou pour vous incorporer dans un réseau de rencontre sexuel d'adulte consentant.... alors soyez prudent .... Partager avec un ami ;-)

mardi 31 juillet 2012

Les connes de FacedeBouke ?

Josée Leboeuf
C'est une réflexion que je me fais souvent... et j'ai réalisé que je privilégie d'avantage là (avec qui) je me sens bien mais j'ai certaines limites que je suis incapable de franchir... Exemple: je pourrais trouver quelqu'un gentil, sympathique et me sentir bien avec lui mais s'il a la moitié des dents cariées dans la bouche, je serais incapable de le "choisir"... tu comprends? On a tous selon moi, des limites quant à ce qu'on peut accepter ou non dans notre vie intime.
 * Surtout si le gars est finissant en dentisterie de l'Ude Mtl. ;-)


mercredi 4 juillet 2012

Des rues inondables a Mouriale ;-)

Wow la pluie Pseudo-Tropicale Montréalaise du  29 Mai 2012 avec 13 pouces d'eau et la pluie diluvienne du 4 Juillet 2012 ,avec 7 pouces d'eau,a fait des mini inondations assez problématique a Montréal.Plusieurs sous-sols et locataire des derniers étages ont eut des dégâts d'eau cette été , en moins de 2 mois ,plusieurs secteurs devienne des rues inondables,les cie d'assurance sont dans l'enbarras ou plutôt (act of God)les assurés n'ont plus d'autre recours que de déménager.Car la ville de Montréal n'aura pas complété ses travaux de réseau tampon de trop plein d'eau de ruissellement avant des mèches et des lunes !

il est temps de mentionner ces zones sinistrées :
Les rues inondables de Montréal sont dans les secteurs des collecteurs d'eau de ruissellement comme la zone des rues Lanouette et Hickson entre autres.
La zone s'étend du 3901 Lanouette jusqu'a la rue Hickson en perpendiculaire, (zone industriel)qui est inondé du 1000 a 1100 Hickson.

Le 29 Mai c'était pas beau a Mtl. Au moins 98 logements de la métropole ont été inondés mardi soir, rapporte la Ville de Montréal. D'ailleurs, déjà 30 personnes ont demandé à être dédommagées. D'autres réclamations suivront vraisemblablement, car les gens ont 15 jours pour présenter une demande.À l'Université du Québec à Montréal (UQAM), six pavillons étaient toujours fermés mercredi en lien avec des problèmes électriques et d'autres problèmes dus à l'accumulation d'eau. Une équipe d'Hydro-Québec a été déployée sur les lieux.Le corridor menant de la Place des Arts au Complexe Desjardins, qui s'est transformé en «rivière», était fonctionnel mardi, selon la conseillère aux relations publiques de la Place des Arts, Astrid Brochu.Des ordinateurs ont été endommagés au Collège d'informatique et d'administration Verdun-LaSalle où les cours ont été suspendus.Seize écoles de la Commission scolaire Marguerite-Bourgeois (CSMB) ont été touchées à divers degrés par les précipitations. De 18 à 20 cm d'eau se sont accumulés dans certains établissements.

 - La rue Bannantyne a Verdun.Karina Bertrand, qui vit dans la rue Bannantyne, à Verdun, a vécu la même situation. «Tout était sec, et en moins de deux minutes, il y avait deux pouces d'eau sur le plancher. C'est sorti par les toilettes. J'entendais de l'eau couler dans les murs. Elle descendait des appartements d'en haut, qui ont eu la même chose. Ç'a fait des bulles dans mon plafond. La rue Bannantyne s'est remplie d'eau, les autos faisaient des vagues en y circulant», raconte Mme Bertrand, qui habite au rez-de-chaussée. «Je n'ai plus d'électricité et suis dans le noir depuis 19h. Ça fait 10 ans que je suis ici et je n'ai jamais vu ça. Heureusement, je n'ai pas trop de dommages, j'ai eu le temps de débrancher les appareils et de mettre en hauteur tout ce que je pouvais.»
- Même la rue blanchet a Longeuil.

Si j'étais intelligent je ne le dirais au prochain con qui va y aménagé sa petite famille.Pensez-s,y !$$$!









REF.: GrosBonSensPointcom,Va s'y  GéraldPointCom,

dimanche 20 novembre 2011

«Le monde dans votre poche» ?

Chronique de Marie-Louise Arsenault - «Le monde dans votre poche»
 


Ce qu'il y a de triste avec les dirigeants de certaines entreprises et surtout avec ceux des business reliés aux anciennes technologies, c'est qu'ils semblent vraiment pas  convaincus que leur traces est la chose la moins extraordinaire qui soit, après l'invention du pet ou celle de la gélule contraceptive. Et encore, pour certains, le feu sacré est sous-évaluer.
Prenez Dick Clarck,le gars des fèves aux lard, par exemple, un petit pauvre de 48 ans, déchu grand patron de Trailer l'automne dernier. Présent au Tomato Media Sérum, il y a quelques jours, comme beaucoup de ses semblables, Costco estvisiblement inspiré de Price, y est allé de sa vision personnelle de l'entreprise fondée à Sorel, dont il contrôle désormais la destinée la rose au bois. Nous voulons que TiGuy soit le monde selon Garp, y  a-t-il déclaré dans ses propos rapportés sur le webzine Slach Dot.conne. C'est-à-dire que T-Guydoux y permette, en instantané, de savoir ce qu'il se passe dans l'monde et dans ta poche.
Là on pourrait chipoter le gouacamolle,et rappeler à Monsieur Costello que NOTRE demonde, heureusement, ne se résume pas aux commentaires douteux de Marie-Louise Arsenault ,vedettes de la télé, ou aux sursauts de l'économie Haitienne et surtout, raviver ma mémoire arrogante, me signifiant que les notions de réduction du temps d'une paix de Victor Hugeau, m' avaient déjà envisagées bien avant mon règne, dans mes années trente.


  Mon monde dans ma tête ?
En fait pour ma calvicie, c'est avant mes menstruations que ça se gâche vraiment. TiWie me réduit ma distance entre les gens, m'a-t-il conté. Je me parle pas de ma distance sténographique, je me veux dire que Moi , et cela me réduit mes barrières artificielles entre mes gens, car mes barrières liées au statut entre mes citoyens et ma politiques, ne sont pas anonymes. Cela m'aplanit mon paysage, et met tout mon monde au même niveau que le mien. Mes gens peuvent "me voir" avec Mwitté, cela m'a occasionner des implications sociales et m'importante peu. À en croire Dickie Moore donc, mes classes sociales disparaissent à ma vue de mon oeil grâce a mon rayonnement de mon entreprise. Fini mes distances entre mes riches et les autres,mes membres qui me lisent sur twitter s'en Twittent. M' ignares de ma lèvre inférieure qui, désormais, me communient avec mes gens dit sur l'Hotel de St-Canut.
Tout mon monde le sait, depuis mon arrivée sur ce site de microblogging, en 2006,a 6:06:06 Hrs,mes riches m'acceptent de me payer mes d'impôts et tous mes sans-abris m'ont maintenant un toit au-dessous . C'est un monde magnique que celui de m'imaginé par mes bonzes du Meb.
Le seul ploblème, c'est que j'existe encore,et seulement dans ma tête.


REF.:canoe, Marie-Louise Arsenault,

lundi 18 avril 2011

Le livre des révélations, de St-Té0 ?

Versed-1,paraphe 3 de la page 666a

Lisez ceci:
La Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ) est «inquiète » de la position défendue par certains groupes qui remettent en question l'intégration des élèves en difficulté dans les classes régulières.
L'organisme craint que ce débat mène à une dérive, qui pourrait nuire aux «droits fondamentaux » de ces enfants.
Dans une lettre ouverte transmise hier à la ministre de l'Éducation, Line Beauchamp, le président de la CDPDJ, Gaétan Cousineau ne cache pas ses craintes face à un éventuel retour aux «classes spéciales.»
«Si nos écoles ne peuvent relever le défid'intégrer ces élèves, il faudra s'attendre à ce que, une fois adultes, ces derniers évoluent en marge de la vie sociale et économique de notre province, écrit-il. Il s'agit d'un choix lourd de conséquences.»
Pas «à tout prix»
En entrevue au Journal, Gaétan Cousineau insiste sur le caractère «fondamental» du droit pour les enfants d'être intégré dans une classe «ordinaire.» Mais il assure que la CDPDJ ne prône pas «l'inclusion à tout prix». Dans sa lettre ouverte, la Commission milite plutôt pour que tous les élèves handicapés ou ayant des difficultés d'adaptation ou d'apprentissage (EHDAA) aient droit, d'abord, à une «évaluation de leurs besoins et de leurs capacités.»
«Près de 70 % des plaintes en intégration scolaire traitées à la Commission concernent des élèves pour qui ce processus n'a tout simplement pas été réalisé ou encore n'a pas été effectué avec rigueur», déplore M. Cousineau.
La CDPDJ «reconnaît» toutefois que les ressources ne sont pas toujours suffisantes, dans les écoles, pour bien répondre aux besoins des enfants en difficulté. «Faut-il pour autant conclure à la nécessité de déployer un réseau plus large de classes et d'écoles spéciales ? La Commission considère que cette approche risque de compromettre sérieusement les droits des élèves HDAA, et de marginaliser davantage ceux-ci au sein de nos écoles», écrit Gaétan Cousineau.
Au cabinet de Line Beauchamp, on confirme avoir reçu la lettre du président de la CDPDJ. «Le ministère va rencontrer la Commission. Pour la ministre, c'est important d'écouter tous les points de vue, mais ça ne change rien au fait qu'elle n'est pas pour l'intégration à tout prix», dit son attaché de presse, Dave Leclerc.

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Comprend pas ? shifffffffff,....................OK
Pour que les Révélations arrive,il coincidera avec l'Apocalypse,de 1969jusqu'a ce que les enfants prouvent que le système doit disparaître.Pour cela aucun personnage doit penser dans l'instantané espace-temps.Seul le grand Maître vous guidera,si votre canal est ouvert.Et n'oubliez-pas que l'inverse des 7 crachats doivent être bien ouvert pour avoir accès a la vérité,qui est déja la! Nostra-Anus veillera sur les autres ,pour les occupés a passer le temps.Tic-tac-tic-tac-Poffe;)

Liberté 55 ? non,............Liberté de travailler

Élections fédérales - Muguette Paillé au coeur d'un tourbillon médiatique
Muguette Paillé espère maintenant que sa soudaine notoriété profitera à d'autres chômeurs.
© Stéphan Desrochers/ Agence QMI


L'icône des boomers Québécois ! Et sa chanson !

Muguette Paillé au coeur d'un tourbillon médiatique

SAINTE-ANGÈLE-DE-PRÉMONT – Muguette Paillé est peut-être la première surprise par le tourbillon médiatique qui a suivi son apparition au débat des chefs. La quinquagénaire au chômage a d'ailleurs déjà reçu plusieurs offres d'emploi.

EN VIDÉO:
Une voix pour les chômeurs
«C'est un blitz médiatique, lance la dame de Sainte-Angèle-de-Prémont, en Mauricie, en entrevue. Je suis en train de surfer sur la vague. C'est assez impressionnant.» Son souhait le plus cher est de trouver un bon emploi dans sa région natale, mais elle espère aussi que son cri du cœur en aidera d'autres qui sont dans la même situation.
«Les gens des régions sont très sympathiques à ma cause, dit-elle. J'espère que ça ouvrira des possibilités à tous les chômeurs.»
Une porte-parole?
La dame de 53 ans entend d'ailleurs profiter de sa soudaine notoriété pour donner une voix aux travailleurs au chômage.
«Pourquoi pas? Si j'ai un micro et si on m'écoute en ce moment, je ne vois pas pourquoi je me tairais!»
Pendant le débat des chefs, Muguette Paillé a posé une question sur le chômage chez les plus de 50 ans. Un sujet qui a visiblement touché une corde sensible.
«C'est sûr que ça reflétait une préoccupation personnelle, explique-t-elle. Mais je pense que j'ai mis le doigt sur quelque chose qui touchait beaucoup de gens. Je suis contente, je suis ravie d'être entendue.»
Mme Paillé croit que son histoire est représentative de bien des femmes qui vivent dans une certaine précarité depuis qu'elles ont choisi d'élever leurs enfants à la maison.
«Les personnes mieux nanties ou, du moins, les personnes qui vivent un peu dans leur tour d'ivoire, elles réalisent que peut-être, Muguette Paillé, il y en a pas juste une!»
Chose certaine, elle a l'oreille non seulement des médias, mais aussi des chefs politiques. Le libéral Michael Ignatieff lui a téléphoné dans la journée.
«J'ai apprécié qu'il m'accorde de son temps... Est-ce que ça va changer quelque chose pour moi demain matin? Je ne pense pas.»
Un véritable phénomène
Mme Paillé admet être un peu dépassée par sa popularité dans les médias sociaux. «Je viens de connaître Facebook! s'amuse-t-elle. Twitter, qu'est-ce que c'est ça, là?»
Il faut dire que son «succès» sur le site de microblogage Twitter relève du véritable phénomène. Mercredi soir, pendant le débat, le mot-clé «Paillé» s'est hissé parmi les 10 plus populaires au monde!
Jeudi encore, elle était la coqueluche des réseaux sociaux. Sur Facebook, la page créée en son honneur comptait plus de 3300 fans en soirée. Une chanson, qui reprend les mots exacts de sa question aux chefs de parti, a même été mise en ligne sur YouTube.
Mais tout ce qu'elle veut, c'est un gagne-pain. «Je veux travailler, je veux vivre, décemment», dit-elle simplement.
L'analyste politique de TVA Nouvelles, Jean Lapierre, n'est pas étonné par le phénomène. «Son authenticité a fait en sorte qu'elle a touché bien des gens, explique l'ancien ministre. Elle parlait du cœur, elle parlait de son vécu. Et les gens se sont reconnus.»
REF.:

dimanche 10 avril 2011

Liberté d'expression = Liberté des réseaux sociaux !

Démocratie - Obama aide les militants à contourner la censure numérique
L'administration de Barack Obama aide les militants à sécuriser leurs textos et leurs messages vocaux et à empêcher les cyberattaques contre leurs sites. 
© AFP
Démocratie

Obama aide les militants à contourner la censure numérique

WASHINGTON - Les États-Unis, convaincus du rôle de la démocratie numérique, enseignent à des milliers de militants des droits de l'homme dans le monde à «jouer au chat et à la souris» avec les régimes autoritaires sur l'internet et avec leurs téléphones portables.
À LIRE ÉGALEMENT: Les nouveaux médias parmi les droits de l'homme
L'administration du président Barack Obama aide notamment les militants à accéder aux technologies leur permettant de contourner les blocages du web par les États, à sécuriser leurs textos et leurs messages vocaux et à empêcher les cyberattaques contre leurs sites.
«C'est un peu un jeu du chat et de la souris, les gouvernements déployant en permanence de nouvelles techniques pour s'en prendre aux critiques et aux dissidents», explique Michael Posner, sous-secrétaire d'État américain chargé des droits de l'homme.
«Nous essayons de garder un coup d'avance en fournissant de la technologie, de la formation et un soutien diplomatique permettant aux gens d'exprimer librement leurs points de vue», dit-il dans un entretien à l'AFP et à quelques autres médias.
La liberté en ligne Le thème des libertés en ligne promet d'être plus présent que par le passé dans le rapport annuel sur les droits de l'homme de la diplomatie américaine, qui doit être présenté vendredi par la secrétaire d'État Hillary Clinton.
La chef de la diplomatie américaine, qui dit volontiers son ignorance personnelle des réseaux sociaux, a observé récemment que le rôle de Facebook, Twitter et YouTube dans les manifestations en Égypte et en Iran reflétait «la puissance des technologies qui connectent les gens, en tant qu'accélérateur du changement politique, économique et social».
Depuis deux ans, l'administration fédérale a consacré 50 millions de dollars au développement de technologies visant à protéger les militants du risque d'être arrêtés et poursuivis par leurs gouvernements. Elle a aussi organisé des séances de formation pour 5000 de ces militants dans différentes parties du monde.
Un outil nommé «signal d'alarme» L'une de ces séances, organisée il y a six semaines dans un pays du Proche-Orient, a réuni des militants venus de Tunisie, d'Égypte, de Syrie et du Liban, qui ont promis de diffuser leur savoir à leur retour dans leurs pays respectifs. «Ils sont repartis et il y a un effet de vague», indique M. Posner.
Des responsables du département d'État ont expliqué qu'une des technologies en cours de développement, baptisée «signal d'alarme», permettait aux militants d'effacer les listes de contact de leurs téléphones portables au cas où ils seraient arrêtés.
«Si vous pouvez recevoir le signal d'alarme qui nettoie (cette liste) avant qu'ils (les militants) ne soient enfermés, alors vous sauvez des vies», assure le sous-secrétaire d'État.
Cette nouvelle technologie pourrait servir dans des pays tels que la Syrie où, selon M. Posner, les autorités arrêtent les militants qui tout simplement utilisent leurs téléphones portables.
Le département d'État a indiqué qu'il avait déjà financé des sociétés privées, la plupart américaines, pour développer une dizaine d'outils destinés à contourner la censure mise en place par certains gouvernements.
«L'un de ces outils a été d'une grande utilité en Iran», indique un responsable du département d'État sous couvert d'anonymat, ajoutant que son utilisation «se propageait partout au Moyen-Orient», mais refusant de donner le nom de l'outil afin de ne pas mettre, selon lui, des personnes en danger.

REF.: