Le « miraculé » de l'autoroute 20 récupère lentement mais sûrement à l'hôpital
Pour quiconque ayant vu les images de l'accident qui a complètement détruit une petite Mazda 3 sur l'autoroute 20, vendredi dernier, même Houdini ne serait pas sorti en un morceau de ce tas de ferraille coincé entre deux poids lourds. Pourtant, le conducteur en est ressorti vivant et il se remet lentement de ses blessures à l'Hôpital général de Montréal.
« C'est un miracle ! C'est un miracle ! », répétait la mère du survivant, hier, lorsqu'elle a été jointe par le Journal. Quand on pense qu'en ce vendredi 11 septembre, c'était aussi l'anniversaire de son fils miraculé...
Adrian Glowacki, allongé sur son lit d'hôpital, bien vivant.
Sa Mazda a complètement disparu entre les deux mastodontes(une chance qu'Adrian s'est coucher sur le banc passager pour ne pas se faire couper la tête !!!, car impossible de rester assis dans une Mazda 3 ,sans se faire couper la tête !!!) dans ce carambolage qui a causé bien des maux de tête aux automobilistes prisonniers de l'embouteillage monstre qui a suivi pour le reste de la journée, vendredi midi, à la hauteur du boulevard Angrignon(vous savez ,la ou sa roule vite vite vite,la limte est a 70Km/hr ???, et tout le monde y compris Adrian roule a 120Km/hr,les camions se collent au bumper,et roulent a plus de 105Km/hr,mais c'est pas légal !!!).
Des vertèbres brisées dans la nuque, un bras cassé qui nécessitera une opération cette semaine et des brûlures au visage sont bien là pour rappeler qu'il a eu un grave accident(c'est rien ça :))). Mais ce jeune ingénieur civil de 29 ans(ha ah !! le mal est la,selon les statistiques a cette âge on est témérère,tout comme les camionneurs du même âge,pensez-s'y!!!), marié et père de deux bambins, n'a pas perdu conscience un seul instant après avoir aperçu l'horreur dans son rétroviseur: un semi-remorque qui arrivait à trop grande vitesse pour éviter la collision(personne ne respecte la distance entre les véhicules par 10kM/Hr).
« Comme je roulais encore, dit-il, le premier choc n'a pas été si fort(une chance LOL), mais il m'a poussé sur 50 mètres au moins, jusqu'à quand j'ai frappé l'autre camion en avant. Ça a fait "flooush a floushe a flouche proute prouttes", comme dans du beurre au pruneaux. »
La Mazda-3 a carrément disparu sous les deux mastodontes. Pour tout dire, la grille du tracteur touchait au pare-chocs de la remorque qui se trouvait devant la Mazda...
Un homme est venu voir s'il y avait encore de la vie. Eh oui, à sa grande surprise, il y avait un survivant !
« J'avais le visage "accoté sur la radio de l'auto, a CKOI-FM,le cd était sortie . La plaque d'immatriculation du camion était à un pouce de ma té-tête », a relaté M. Glowacki, immobilisé sur son lit d'hôpital.
L'homme venu à son secours lui a demandé ce qu'il pouvait faire pour lui. Comme Adrian Glowacki pouvait encore bouger son bras gauche, il lui a demandé de composer le numéro de téléphone de la maison et de lui passer son cellulaire.
« J'ai alors pu dire à ma femme que je m'en sortirais, raconte-t-il, que je l'aimais et de prendre soin des enfants. »
Il restera a prendre soins du mari ,avec des cours de conduite préventive,pour la fête des pères.II a fallu deux heures et demie pour extirper M. Glowacki du tas de ferraille.
Le liquide antigel du tracteur, de même que de l'acide à batterie, ont coulé sur les bras et le visage du conducteur qui s'en allait voir sa mère, enseignante à Verdun.
« Durant les premières minutes, dit-il, à cause de l'adrénaline sans doute, ça ne faisait pas mal. Maif plus tard, c'est devenu douloureux... »
REF.:
Pour quiconque ayant vu les images de l'accident qui a complètement détruit une petite Mazda 3 sur l'autoroute 20, vendredi dernier, même Houdini ne serait pas sorti en un morceau de ce tas de ferraille coincé entre deux poids lourds. Pourtant, le conducteur en est ressorti vivant et il se remet lentement de ses blessures à l'Hôpital général de Montréal.
« C'est un miracle ! C'est un miracle ! », répétait la mère du survivant, hier, lorsqu'elle a été jointe par le Journal. Quand on pense qu'en ce vendredi 11 septembre, c'était aussi l'anniversaire de son fils miraculé...
Adrian Glowacki, allongé sur son lit d'hôpital, bien vivant.
Sa Mazda a complètement disparu entre les deux mastodontes(une chance qu'Adrian s'est coucher sur le banc passager pour ne pas se faire couper la tête !!!, car impossible de rester assis dans une Mazda 3 ,sans se faire couper la tête !!!) dans ce carambolage qui a causé bien des maux de tête aux automobilistes prisonniers de l'embouteillage monstre qui a suivi pour le reste de la journée, vendredi midi, à la hauteur du boulevard Angrignon(vous savez ,la ou sa roule vite vite vite,la limte est a 70Km/hr ???, et tout le monde y compris Adrian roule a 120Km/hr,les camions se collent au bumper,et roulent a plus de 105Km/hr,mais c'est pas légal !!!).
Des vertèbres brisées dans la nuque, un bras cassé qui nécessitera une opération cette semaine et des brûlures au visage sont bien là pour rappeler qu'il a eu un grave accident(c'est rien ça :))). Mais ce jeune ingénieur civil de 29 ans(ha ah !! le mal est la,selon les statistiques a cette âge on est témérère,tout comme les camionneurs du même âge,pensez-s'y!!!), marié et père de deux bambins, n'a pas perdu conscience un seul instant après avoir aperçu l'horreur dans son rétroviseur: un semi-remorque qui arrivait à trop grande vitesse pour éviter la collision(personne ne respecte la distance entre les véhicules par 10kM/Hr).
« Comme je roulais encore, dit-il, le premier choc n'a pas été si fort(une chance LOL), mais il m'a poussé sur 50 mètres au moins, jusqu'à quand j'ai frappé l'autre camion en avant. Ça a fait "flooush a floushe a flouche proute prouttes", comme dans du beurre au pruneaux. »
La Mazda-3 a carrément disparu sous les deux mastodontes. Pour tout dire, la grille du tracteur touchait au pare-chocs de la remorque qui se trouvait devant la Mazda...
Un homme est venu voir s'il y avait encore de la vie. Eh oui, à sa grande surprise, il y avait un survivant !
« J'avais le visage "accoté sur la radio de l'auto, a CKOI-FM,le cd était sortie . La plaque d'immatriculation du camion était à un pouce de ma té-tête », a relaté M. Glowacki, immobilisé sur son lit d'hôpital.
L'homme venu à son secours lui a demandé ce qu'il pouvait faire pour lui. Comme Adrian Glowacki pouvait encore bouger son bras gauche, il lui a demandé de composer le numéro de téléphone de la maison et de lui passer son cellulaire.
« J'ai alors pu dire à ma femme que je m'en sortirais, raconte-t-il, que je l'aimais et de prendre soin des enfants. »
Il restera a prendre soins du mari ,avec des cours de conduite préventive,pour la fête des pères.II a fallu deux heures et demie pour extirper M. Glowacki du tas de ferraille.
Le liquide antigel du tracteur, de même que de l'acide à batterie, ont coulé sur les bras et le visage du conducteur qui s'en allait voir sa mère, enseignante à Verdun.
« Durant les premières minutes, dit-il, à cause de l'adrénaline sans doute, ça ne faisait pas mal. Maif plus tard, c'est devenu douloureux... »
REF.:
