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jeudi 16 décembre 2010

Des Infirmières Robot aux Urgence ?

États-Unis - Des infirmières-robots aux urgences
Les chercheurs ont imaginé des robots qui se déplaceront pour la prise en charge de patients dans les salles d'attente.
©AFP PHOTO / Yoshikazu TSUNO
Mme Jigger de la rue Plessi n'a rien remarquée de différent,sinon que ses mains sont froide ! "Ahhhhhhhhhh Mon dieu,y a pas rien de changer ,c'est comme avant ! "



Les infirmières en charge de l'accueil dans les services d'urgences aux États-Unis pourraient se voir bientôt remplacées par des robots appelés TriageBots, enfin, c'est ce qu'ont imaginés des ingénieurs informatiques à l'Université Vanderbilt au Tennessee.

Une équipe d'ingénieurs travaille au développement de systèmes robotiques qui puissent recueillir des informations médicales, prendre des données basiques de diagnostic, et prendre des décisions sur les besoins immédiats d'un patient.

Université Vanderbilt

Le projet de l'Université Vanderbilt a été annoncé dans un communiqué le 6 décembre, et explique que la mise en place de TriageBots devrait arriver d'ici cinq ans.

Les chercheurs ont donc imaginé des robots qui se déplaceront pour la prise en charge de patients dans les salles d'attente, mais aussi des kiosques électroniques munis d'écrans tactiles et de messages vocaux pré-enregistrés. Des douleurs dans la poitrine? Le kiosque alertera immédiatement le personnel hospitalier. Sinon, il évaluera vos signes vitaux, vous fera remplir des documents et vous indiquera dans quel service patienter.

Selon les chercheurs, environ 40% des patients des services d'urgences arrivent avec des symptômes qui peuvent engager leur pronostic vital. Les TriageBots peuvent prendre en charge les 60% restant, et réduire ainsi les temps d'attente et accroître l'efficacité des hôpitaux, toujours selon l'étude.

L'équipe de chercheurs a fait un présentation de leur travail à la conférence robotique «Humanoids 2010»à Nashville, le 6 décembre.

Robots dans les hôpitaux

Mais les robots dans les centres hospitaliers, ça n'a rien de nouveau, surtout au Japon où un robot réceptionniste, non-androïde, à l'hôpital Aizu Central au nord de Tokyo, accueille les visiteurs et répond aux questions posées oralement. Une infirmière-androïde, appelée Actroid F, a aussi été présentée il y a quelques mois au Japon.

Un autre robot, le RIBA (Robot Assistance for Interactive Body) créé par l'institut japonais de recherche physique et chimique, rend service aux patients des hôpitaux en les aidant à se lever de leur lit.

Par ailleurs, une troupe de robots-ménagers officie dans les hôpitaux britanniques: ils transportent les déchets et les draps à nettoyer, pendant que d'autres livrent les plateaux-repas et les médicaments.

REF.:

lundi 13 décembre 2010

L'ébauche de l'Impérialisme Américain par la force Mondiale du FMI

La crise commence a peine pour l'Europe!
Le ministre irlandais des Finances, Brian Lenihan, a annoncé jeudi qu'il envisageait de taxer à 90% les bonus de banquiers, sur fond de scandale provoqué par Allied Irish Bank (AIB) qui a prévu d'accorder 40 millions d'euros de bonus à son personnel.

«Je vais inclure un amendement dans la prochaine loi des Finances pour introduire une taxation de 90% sur les futurs bonus des banquiers», a déclaré M. Lenihan à Dublin devant le Dail, la chambre basse du Parlement irlandais.

Le gouvernement irlandais a présenté mardi au Parlement le budget d'austérité le plus sévère de l'histoire du pays, exigé par l'Union européenne et le Fonds monétaire international (FMI) en échange d'un plan de sauvetage de 85 milliards d'euros (113 milliards de dollars). Dans le cadre de ce plan, 10 milliards d'euros (14 milliards de dollars) sont immédiatement disponibles pour recapitaliser les banques irlandaises, au coeur de la tempête financière ayant mis le pays à genoux.(Et en passant le FMI rend les pays plus pauvre qu'il ne sont,au point que les pays super-pauvres ne pouvant plus payés voient leurs dettes s'effacés,et ensuite on leurs en prête encore)


Le gouvernement britannique a publié jeudi les modalités d'application d'une loi instituant une taxe permanente sur les banques destinée à rapporter 2,5 milliards de livres (environ 4 milliards $ CAD) par an à l'État.

Selon la version finale du texte diffusée par le ministère des Finances après plusieurs mois de consultations, la taxe s'élevera à 0,05% du bilan des banques en 2011 et à 0,075% ensuite.

Son principe avait été arrêté en juin après l'arrivée au pouvoir de la coalition conservatrice/libérale démocrate, puis confirmé par le ministre des Finances George Osborne lors de la présentation en octobre de coupes budgétaires d'une ampleur sans précédent.

Mais les modalités de son calcul restait à déterminer, les banques ayant tenté jusqu'au dernier moment d'en alléger le montant.


La taxe entrera en application le 1er janvier prochain et s'appliquera à toutes les banques britanniques et à toutes les filiales de banques étrangères dont le bilan est supérieur à 20 milliards de livres (23 milliards d'euros).

Elle vise, selon le gouvernement, «à favoriser des profils d'investissement moins risqués» et à s'assurer que «les banques versent une contribution équitable en fonction des risques qu'elles font courir au système financier britannique».

L'État avait été obligé de débourser des dizaines de milliards d'euros lors de la crise financière de fin 2008 pour empêcher le naufrage de grandes banques britanniques, comme la Royal Bank of Scotland.

Ces aides expliquent en partie l'ampleur du déficit public (10,1% en 2010) qui a contraint le gouvernement à annoncer un plan d'austérité d'une ampleur sans précédent.

A partir du début de l'année 2010, avec le déclenchement de la crise de la dette grecque, puis de la crise irlandaise, la zone euro entre dans une période de turbulence qui génère de nombreux débats tant sur la gouvernance de la zone, que sur les politiques économiques à suivre, voire sur la pérennité de la zone elle-même. Ces débats entraînent certaines évolutions institutionneles et structurelles.

La zone euro est une des principales étapes de l'intégration économique au sein de l'Union européenne. Il était prévu à la création de l’Union économique et monétaire que tous les pays de l'UE l'intègrent à terme.

À sa création, en 1999, la zone euro comprenait onze des quinze pays5 que l'UE comptait alors, essentiellement les pays fondateurs ou historiques. À leur entrée, ils étaient censés respecter lescritères du pacte de stabilité et de croissance. L'Italie et l'Espagne ont fait des efforts budgétaires importants pour respecter ces critères. Certains pays (Italie, Belgique, etc.) ont intégré la zone malgré une dette publique supérieure à 100 % du PIB.

Suite à la crise financière de 2007-2008, la zone euro est entrée en récession au troisième trimestre de 2008, comme l'ont montré les chiffres officiels parus en janvier 200918. Le 11 octobre 2008 , les chefs d'Etat et de gouvernements de la zone Euro ont tenu un sommet extraordinaire à Paris pour élaborer un plan d'action commun à l'Eurozone et à la Banque centrale européenne afin de stabiliser l'économie de l'Union européenne. Les dirigeants ont bâti un plan destiné à faire face à la crise financière de 2008. Ils se sont mis d'accord sur un plan de sauvetage des banques prévoyant une entrée des gouvernements dans les banques et des garanties.

Début 2009, en février, des inquiétudes sur la fragilité de la zone euro se font jour, et les dettes de la Grèce, de l'Espagne et du Portugal voient leur note dégradée par les agences de notation, ce qui entraîne une hausse des taux d'intérêt auxquels ils peuvent emprunter19. Parallèlement, certains, tel Laurent Cohen-Tanugi20 avancent que le plan de relance européen estimé à 200 milliards d'euros (1,5% du PIB) n'est qu'un agrégat de plans nationaux suffisants pour éviter une dépression mais insuffisants pour une sortie de la crise par le haut.

Finalement, en 2009, la zone euro est entrée en récession économique et son PIB a chuté de 4%21. Sa croissance prévue par le FMI en 2010 et 2011 est relativement faible 22.


Le plan de 750 milliards et la décision de la BCE[modifier]

Dans la nuit du 9 au 10 mai 2010, pour faire face à la peur des marchés et éviter que la crise grecque s'étende à l'Espagne, au Portugal voire à l'Italie, l'Union européenne en coopération avec le FMIse dote d'un fonds de stabilisation de 750 milliards d'euros (La commission européenne est autorisée à emprunter 60 milliards d'euros, 440 milliards apportés par les États et 250 milliards apportés par le FMI)10. Durant la journée du dimanche 9 mai 2010, le président Barack Obama soucieux des répercussions sur les autres pays de la crise, téléphone deux fois à Angela Merkel et une fois àNicolas Sarkozy pour leur faire part que les États-Unis voulaient une « action résolue »59. Dès dimanche matin la Fed avait ouvert des lignes de crédit aux banques centrales afin d'éviter qu'elles manquent de dollars}59. Le 10 mai, la BCE décide de permettre aux banques centrales de la zone d'acheter de la dette publique et de la dette privée sur les marchés secondaires.



Les questions sur le devenir de la zone euro[modifier]

Un très grand nombre de questions continuent à se poser parmi les quelles :

  • Y aura-t-il des pays en défauts de paiement et si oui avec ou sans maintien dans la zone euro ?
  • Comment réduire l'endettement sans tomber dans la récession ?
  • Comment augmenter le potentiel de croissance de la zone euro qui permettrait à terme de desserrer plus aisément l'étau de l'endettement ?72. Question subsidiaire : dans l'économie mondiale quelle spécialisation doit adopter la zone euro pour assurer son avenir.
Pour Alain Lamassoure président de la commission des budgets du parlement européen, la crise a montré que le modèle économique de la plupart des États était en faillite. Il voudrait que budget européen ait les financements nécessaires à la "Stratégie 2020" qui vise à investir dans les secteurs d'avenir73
  • Pour Thomas Klaus, de l'European Council on Foreign Relations74, le plan suppose que les pays acceptent de ne plus être souverains en matière de politique économique et budgétaire, l'accepteront-ils ?
  • La Zone euro est-elle assez homogène ? ou y a-t-il de facto deux zones euro, une zone du Nord (Allemagne, Autriche, Pays-Bas notamment) et une zone du Sud (France, Espagne, Portugal, Italie, Grèce...) 75 ?


Faut être a moins de 15 cm du bord du trottoir pour les véhicules d'urgence ?

Un agent de stationnement de Montréal ,les fameux Bonhommes Vert,semble avoir usé d'un zèle hors du commun, hier : au lendemain de l'importante bordée de neige, il a remis une série de tickets à des automobilistes pour s'être stationnés à plus de 15 centimètres du trottoir.

«C'est d'un ridicule consommé», a indiqué Paul Robertson, l'un de ces automobilistes, qui n'avait pas d'autre mot pour qualifier la situation.

Il n'en revient pas qu'en pleine tempête de neige, la ville soit si sévère et si intolérante envers les automobilistes.

À ses yeux, on pourrait accepter une petite dérogation au règlement, le temps que le déneigement soit complété.

L'agent de sécurité qui ha-bite LaSalle a dû se stationner un peu plus loin qu'à l'habitude, mardi soir, à son retour du boulot, puisque les places de stationnement près de chez lui étaient prises.

Un mètre du trottoir

Il s'est stationné sur la rue Comte, comme plusieurs autres voitures l'étaient.

Mais compte tenu de la quantité de neige tombée la veille et tout au long de la journée, il n'a pu se garer aussi près qu'à l'habitude de la chaîne de trottoir.

Pour M. Robertson, il s'agissait évidemment d'une façon de faire exceptionnelle, dans une circonstance hivernale exceptionnelle.

Il se trouvait à un peu plus d'un mètre du trottoir, selon lui. Et il devait y avoir environ un mètre de neige.

Hier matin, quand il s'est rendu à sa voiture, il avait un constat d'infraction dans son pare-brise. Tout comme la presque totalité des voitures de ce segment de rue.

«J'ai eu une amende de 52 $, déplore le citoyen. C'est de l'abus. Il faut dénoncer ça, si-non, ça va toujours continuer.»

On reproche à l'automobiliste d'avoir «stationné un véhicule à plus de 15 cm de la bordure la plus rapprochée de la chaussée», contrevenant ainsi à l'article 2030 du règlement municipal.

Le constat d'infraction a été émis à 8 h 07.

Contestation possible

Pour M. Robertson, c'est du zèle, un manque de jugement.

Il a même pris des photographies de son véhicule, du banc de neige, de son billet, des autres véhicules, etc.

Pour la police de Montréal, la solution est simple :

«Si les gens croient qu'ils ont reçu un billet qu'ils pensent non-mérité, ils peuvent le contester», explique le sergent Ian Lafrenière.

Pour lui, chaque cas est un cas d'espèce qui doit être analysé à la pièce.

La police fait aussi valoir que dans certains cas, le stationnement loin du trottoir peut rendre dangereuse la circulation automobile.

«Il faut que les véhicules d'urgence puissent passer», dit le sergent Lafrenière.

REF.: