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mercredi 26 septembre 2018

La véritable histoire de L'assassinat de John F. Kennedy


Selon l'enquête de William Reymond,sur le dernier témoin Billie Sol Estes:



JFK

La véritable histoire de L'assassinat de John F. Kennedy n'a rien a voir avec le scénario déja connu de la commission Warren.Et beaucoup plus simple que les 40 années des thèses conspirationnistes pourraient nous faire croire.

La décision finale de supprimer Kennedy fut prise lors d'une partie de poker disputée au restaurant Brownies situé sur Grand Avenue, a Dallas,assène Estes.En Mai 1963, Cliff Carter(le bras droit de LBJ)assista a une partie de poker opposant de très hauts dignitaires de la mafia texane.Qui évoquèrent la possibilité de se débarrasser de Kennedy ,comme ils en rêvaient depuis des mois.H.L. Hunt et D. H. Byrd ,le propriétaire du texas school book depository,étaient présents.Carter reçut le feu vert,je ne sais pas qui a pris la décision finale de passer a l'acte . J'ai en revanche le sentiment profond que Cliff a demandé,au nom de Lyndon B. Johnson (LBJ),QUE LA PROCÉDURE SOIT ACCÉLÉRÉE ET QU'UNE POSITION DÉFINITIVE SUR LE SUJET SOIT ÉLABORÉE.
En fait,si la Texas mafia songeait a assassiner JFK depuis un bon moment ,la réflexion de LBJ et Carter était beaucoup plus avancée.Carter annonça donc,ce soir-la ,que l'argent utilisé pour mener a bien le projet proviendrait des fonds secrets de Lyndon. Et que les participants seraient ensuite payés selon des modalités que lui-même fixerait,dont chaque joueur de poker donnerait chacun 1 million $ a la cause.

Quant a D.H. Byrd,allié politique de Lyndon depuis de nombreuses années ,magnat agricole et pétrolier détenant des parts importantes dans des entreprises liées a l'aéronautique militaire ,comme LTV qui,on l'a vu, employait Mac Wallace depuis 1951,il voyait ses intérêts a court terme . Une fois LBJ installé a la Maison Blanche ,les contrats liés a l'engagement au Vietnam rapportèrent a Byrd bien plus que ce qu'il avait versé au fonds secret de Lyndon cette nuit de Mai 1963,explique Estes.
L'ensemble de mes conversations de 1963-1971 avec Cliff Carter,Malcom Wallace et Lyndon Johnson me permet d'affirmer que Carter était le cerveau de cette opération.SelonBillie Sol,ce fut même Cliff Carter qui eut l'idée de livrer un coupable en pâture a l'opinion.

Le plan était simple ,explique Billie ,Kennedy devait être tué pas un assassin solitaire qui, a son tour,serait abattu lors de son arrestation.Or en 1963,Mac Wallace apprit de Mohrenschildt,qui rendait des services a la CIA,surveillait pour l'agence un certain Lee Harvey Oswald,de retour d'union soviétique.Wallace contacta donc son ancien ami et demanda a être présenté a Lee.Comme Oswald n'était pas très futé,facilement influençable et qu'il avait besoin d'argent,la manipulation allait s'avérer facile.Carter et Wallace connaissaient aussi Jack Ruby.Je ne crois cependant pas que Jack Ruby ait été au courant de quoi que ce soit avant sa propre entrée en scène,puisqu'il n'était pas prévu qu'Oswald soit capturé vivant.

Restait encore a recruter les autres tireurs,ceux qui achèveraient l'exécution entamée par Oswald.Carter délégua cette mission a Malcom Wallace.J'ignore les détails concernant l'équipe formée par Mac explique Estes.En 1971,Carter m'a avoué que l'équipe était principalement composée de texans,parce qu'il savait leur sens du secret. Si a plusieurs reprises,il m'est arrivé d'entendre un nom cubain et 2 ou 3 noms français,j'ignore s'ils ont réellement pris part a l'opération. Comme j'ignore la position précise des tireurs placés en embuscade sur Dealy plaza.Dans ses confidences ,Cliff m'a juste révélé que Mac se trouvait au 5ième étage avec Oswald.Et qu'il avait réservé la place située derrière la palissade du Grassy Knoll a la meilleure gâchette du groupe.Seul accroc,et de taille,l'arrestation de Oswald ne se déroula pas comme prévu.

Le plan initial prévoyait sa mort,et non son interpellation et son interrogatoire au DPD,confirme Estes.J'ai certaines bonnes raisons de croire que le policier J.D.Tippit devait faire le boulot.Mais sans confirmation de Carter ,je n'extrapolerai pas.Je suis certain en revanche que cette arrestation a déclenché a déclenché un beau mouvement de panique au sein des comploteurs.Et que c'est seulement la que le contre-feu Jack Ruby a été déclenché.Jack n'eut pas le choix : il reçu l'ordre accompagné de garanties de clémence judiciaire,et ne pouvait refuser.Il pensait pouvoir être jugé a Dallas par des amis de Lyndon et,en plaidant la démence,s'en sortir pas trop mal.De toute façon,s'il avait dit non,il signait son arrêt de mort.Mais cette précipitation fit commettre une erreur aux compltteurs.Lorsque ,le 24 novembre ,Jack Ruby tira a bout portant sur Oswald,il ne vit pas qu'il avait oublié un bout de papier froissé dans sa poche.Une pièce découverte durant sa fouille ,sur laquelle apparaissait le numéro personnel de la fidèle et discrète assistante du shérif Bill Decker.

LBJ a fait tuer JFK pour accéder a la Maison Blanche ,LBJ n'avait pas de coeur et aurait tué sa propre mère pour réussir.Et JFK ne connaissait pas le Texas et ses règles,il n'aurait jamais dû venir au Texas.
En fait JFK n'a jamais cru que LBJ et ses amis auraient les couilles de le descendre.Je n'étais pas au courant du meutre,même si le sujet avait été abordé a plusieurs reprises lors de conversations avec Cliff ou Lyndon.Et puis(Billie Sol Estes),j'étais plus occupé a me battre pour ne pas me retrouver en prison que préoccupé par le sort de JFK.Quand on pense qu'il (JFK)avait décidé de s'attaquer a nos producteurs de pétrole et qu'enfin il se comportait comme un Yankee prétentieux ,en nordiste qui aurait dû rester dans son country club.

Ton argent(Billie Sol Estes)a t'il servi a préparer l'assassinat de JFK ? Pour être honnête ,je n'en sais rien ,mon dernier versement au fonds secret de Lyndon remonterait a Janvier 1963 et n'avait pas été effectué dans cet objectif spécifique.

Mac Wallace et Cliff Carter me parlairent peu de l'assassinat de Kennedy,mais ils en dirent suffisamment pour me convaincre de leur implication.Carter avertit évidemment Billie qu'il était hors de question d'évoquer devant qui que ce soit les meutres perpétrés entre 1961-63,Carter précisa même clairement que toute entorse a cette règle se solderait par la mort de Billie Sol.C'est a ce moment que Billie informa Cliff de l'existence de ses enregistrements.Avec cette révélation ,je faisais d'une pierre deux coup : je l'avertissais que je disposais de moyens de pression quasiment atomiques tout en prévenant que je n'avais aucune intention de m'en servir,mais c'était mon assurance vie.

En 1966,Carter fut obligé de quitter la tête du comité national du parti démocrate.Ses méthodes de levée de fonds commençaient a soulever des questions d'éthique.Cliff s'est excusé pour les années de prison que j'avais endurées,explique Estes.Et Carter me confia que LBJ était devenu réellement paranoiaque ,craignant que sa place dans l'histoire soit compromise par son passé. Carter raconta sur bande magnétique la solution au crime du siècle ,trente-six heures après ,Cliff fut frappé d'une pneumonie foudroyante ,et mourut immédiatement a l'hôpital...La secrétaire de Cliff avait elle ,donné une version différente de sa mort;elle assurait que son patron n'avait pas été victime d'une pneumonie ,puisque son corps avait été découvert sans vie dans un motel de Virginie.
Ce que contenait la bande magnétique fut:
"Lyndon n'aurait pas dû donner a Mac (Wallace)l'ordre de tuer le président..."


Nota:
Le journaliste James Buchanan revendique le fait que Frank Anthony Sturgis, né Frank Angelo Fiorini ait rencontré Lee Harvey Oswald à Miami, Floride peu de temps avant l'assassinat de John F. Kennedy. Buchanan revendique aussi le fait qu'Oswald ait tenté d'infiltrer la Brigade anti-communiste de Sturgis. Lorsqu'il fut interrogé par le FBI, Sturgis affirma que Buchanan avait mal cité les commentaires lui-même et Oswald.
Selon une note de service envoyée par le directeur du FBI Patrick Gray, à H. R. Haldeman en 1972 : "Une de nos sources à Miami a cité que Sturgis était, à ces moments très impliqué avec le milieu du crime organisé. Dans son livre L'Assassinat de JFK, Bernard Fensterwald prétend que Sturgis a été fortement impliqué avec la mafia en particulier avec Santo Trafficante et les activités de Meyer Lansky en Floride.
La Commission Rockefeller du Congrès américain de 1974 a enquêté sur les diverses connexions entre Sturgis et Howard Hunt, ces derniers ayant des connexions avec l'assassinat de John F. Kennedy. Plus précisément, la Commission a enquêté sur le fait que Sturgis et Howard Hunt étaient agents de la CIA et qu'ils se trouvaient à Dallas au moment où le coup de feu est parti du monticule herbeux sur Dealey Plaza. Howard Hunt a notamment été accusé par l'appui de Kerry Wendell Thornley, qui disait avoir eu plusieurs discussions avec Hunt pour des tentatives d'assassinat sur JFK entre 1961 et 1963. Le magazine Newsweek a publié des photos montrant trois hommes dont deux qui ressemblaient fortement à Sturgis et Hunt, que l'on vit peu de temps après l'assassinat, derrière la palissade donnant sur la butte herbeuse. D'après un article de ce dernier magazine Newsweek, un rapport officiel a indiqué que les autorités avaient considéré que les deux hommes étaient des « clochards de chemins de fer » se servant des trains comme abris. Les deux hommes furent relâchés sans complément d'enquête.


Et,...en 1977,Marita Lorenz ,a annoncé à Paul Meskil du New York Daily News qu'elle avait rencontré Oswald à l'automne 1963 dans une maison sécurisée d'Opération 40 dans la section de Little Havana à Miami [9]. Selon Lorenz, elle le reverrait avant l'assassinat de Kennedy en 1963 dans la maison d'Orlando Bosch, en compagnie de Frank Sturgis, de Pedro Luis Diaz Lanz et de deux autres Cubains présents. [9] Elle a ajouté que les hommes avaient étudié les cartes des rues de Dallas et qu'elle soupçonnait avoir l'intention de faire un raid sur un arsenal. [9] Lorenz a déclaré qu'elle avait rejoint les hommes se rendant à Dallas à bord de deux voitures et portant "des fusils et des lunettes de visée", mais qu'elle était rentrée à Miami le lendemain de leur arrivée. [9] En réponse à ses allégations, Sturgis a déclaré qu'il ne se souvenait pas avoir jamais rencontré Oswald et a réitéré ses précédentes dénégations selon lesquelles il était impliqué dans un complot en vue de tuer Kennedy. [9] Dans une interview avec Steve Dunleavy du New York Post, il a déclaré croire que des agents communistes avaient fait pression sur Lorenz pour qu'il porte les accusations portées contre lui [10].
Lorenz a témoigné au sujet de ce complot d'assassinat contre Kennedy devant le comité spécial de la Chambre sur les assassinats (HSCA). Le comité politique a enquêté sur son témoignage et déclaré qu'il n'était pas fiable. [11]
En février 1985, l'avocat Mark Lane a lu une déposition que Lorenz avait fournie dans le procès en diffamation d'E. Howard Hunt contre le tabloïd du lobby de Liberty, The Spotlight [12]. Lorenz vivait à New York à l'époque, cependant, Lane a lu la déposition devant le tribunal en déclarant que Lorenz "avait peur de venir à Miami". [12] La déposition réitérait des allégations similaires à celles qu'elle avait fournies à la HSCA. [12] Lorenz a déclaré avoir rencontré Oswald à Miami au début des années 1960 et qu'en novembre 1963, Sturgis lui avait demandé de venir à Dallas avec lui et avec Oswald pour se faire leurres [12]. Sa déclaration indiquait qu'elle, Oswald et sept Cubains anti-castristes avaient transporté des armes à Dallas dans deux voitures peu de temps avant le 22 novembre 1963 [12]. Lorenz a affirmé que Hunt était venu dans leur chambre d'hôtel à Dallas et avait fourni à Sturgis une enveloppe remplie d'argent [13]. Selon un récit, ce témoignage est devenu la "pièce maîtresse" du livre de Lane, publié en 1991, Plausible Denial [6].
En 1993, Lorenz a été interviewée par Ann Louise Bardach, écrivain à Vanity Fair, qui l'a décrite comme "une sainte patronne des amateurs de conspiration" [6]. Bardach a écrit "au moins la moitié de son histoire est facilement documentée par les comptes d'autrui et le mémorandum du FBI, l'autre moitié est sans fondement. Parfois, elle vole à l'encontre des preuves existantes" [6].



REF.: