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mardi 26 septembre 2023

Destruction de l’égrégore supramental

 

No 42 Destruction de l’égrégore supramental

Le supramental est une nouvelle vogue pour les intellectuels et les philosophes. Plus ils en parlent à partir de leur vibration intellectuelle, plus ils en diminuent la vibration, la rendant même ridicule, et le supramental ne devient qu’un simple point de vue discutable.

Michel Dow

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Dans le supramental, ce que nous appelons les intelligences sur les plans de l'éther, sont des êtres totalement absents. Il devient idiot de maintenir un certain sentiment, un certain regard dit supramental, afin d'entretenir dans notre ego, dans notre cerveau, un certain avenir avec des êtres intelligents du cosmos qui représentent en réalité l'énergie que l'homme n'utilise pas, à cause de l'enseignement philosophique qu'il a reçu concernant cette dimension, qui semble-t-il amènera encore beaucoup de jasette pour les prochains centenaires.

Les hommes aiment bien se regrouper pour jaser entre eux et se faire valoir, comme des personnes qui n'ont absolument rien à dire de réel, mais qui prétendent néanmoins qu'elles sont de la même espèce. Il y aura toujours des gens qui courront vers des débats philosophiques, puisqu'ils auront toujours besoin d'affection émotionnelle supramentalisée et de discussions intellectuelles pour se ressouvenir que « ça ne marche toujours pas » après toutes ces années de débats et de discussions qui sont devenues comme un vrai marché aux puces.

En réalité, tout n'est que question de survivre à l'inévitable, c'est-à-dire la bêtise humaine, la bête, l'humain et la conscience sans fin. Cette conscience sans fin s'est infiltrée dans l'avènement supramental.

Avant, l'homme se cherchait à travers toutes les formes de philosophies. Maintenant, puisqu'il est plus évolué, il s'enchaîne à l'avènement supramental, sans rien pour se protéger lui-même, dans des sentiers où les intervenants jouent à la balle... et guère à celui qui l'attrapera...

Il n'y a pas de science dans le cerveau chez l'homme, dans son intellect ou dans son mental dit supérieur pour réaliser l'ampleur de l'avènement supramental. Tout n'est que jasette, un simple réchauffé... On se croit obligé de s'associer à des êtres dits conscients, lorsqu'en réalité, les gens n'essaient que de survivre entre eux comme le faisait l'homme dit ancien, qui lui survivait dans les brasseries, les tavernes ou les bordels de toutes sortes.

L'avènement supramental a été totalement boycotté dans son aspect réel et il ne reste que la mémoire inachevée de l'un ou de l'autre qui sert de discussion philosophique, de spectacle, de show off. Après toutes ces années, c'est curieux de voir des gens, qui autrefois étaient conscients, se retrouver sous le même toit de l'incompétence.

L'élitisme rassemble tous les intervenants qui ont quelque chose à jaser. Ils n'ont absolument rien à dire, mais « the show must go on ». Le plus important, c'est de faire croire aux autres qu'on a rien compris et qu'ensemble on va y arriver. La joke c'est que personne n'arrive en même temps là où on doit arriver. Dire qu'il n'y a pas de fin à la conscience dite supramentale laisse entendre que l'être humain seul avec lui-même ne peut y arriver sans les intervenants, les surveillants ou les autorités de la conscience nouvelle.

Le supramental n'existe plus. Il a été philosophisé, égrégorisé et intellectualisé pour donner l'impression que cet avènement s'adressait bien à l'homme, au chercheur, à l'être dévoué, et il est finalement devenu une affaire de masse et d'opinions. Si une personne était le moindrement consciente, elle pourrait regarder pour elle-même où elle en est depuis toutes ces années et constater avec désolation qu'elle porte toujours les mêmes vieux vêtements que la masse dite inconsciente. Malgré son discours, l'humain demeure toujours un homme ancien et il est encore plus inquiet que ce dernier pour son avenir.

Michel Dow

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La science que possède le conscientisé, c'est-à-dire le survivant, l'homme de son temps, n'a plus aucun égard pour les philosophies et les discussions supramentalisées. La conscience supramentale est une belle baloune pour l'ego qui n'a rien à faire de réel dans sa vie.

Lorsque l'ego aura assez soufflé dans la baloune du supramental et que le supramental lui aura donné une heure de gloire, de paraître ou de fantaisie, soit que l'ego meurt ou qu'il reprenne son nouveau souffle de vie individualisé.

L'homme ne parle pas à l'homme. L'homme parle pour lui, il aime s'écouter parler. Il ne fait qu'échanger ses images avec un autre qui échange les siennes, et ensemble, ils jasent de tout et de rien. Ensuite, chacun repart avec ses convictions, ses vérités et son intellect et ils se disent : « À la prochaine ! ».

L'intellectuel, le philosophe, l'homme ancien ou l'ego supramentalisé ne peuvent parler, car ils n'ont absolument rien à dire. Ils ne font que se raconter aux autres, qui eux non plus n'ont rien à faire de réel, sauf les écouter et croire qu'ils vont finir par comprendre qu'ils n'ont absolument rien compris, sauf une vanité intellectuelle supramentalisée dans laquelle ils portent un vêtement coloré.

Lorsque l'homme nouveau, le conscientisé, détestera l'évolution dite supramentale, dans le sens ancien du terme, il commencera à s'intégrer lui-même avec lui-même. Le réel ne se discute pas, l'intégration ne se présente pas à un être ignorant, voilé et abusé par une forme de conscience sociale dont il entend parler depuis longtemps, mais dont il ne comprend absolument rien, sauf l'illusion de croire qu'il comprend parce qu'il peut en discuter intellectuellement à partir de la mémoire supramentalisée qu'il a accumulée.

Cette mémoire que l'homme a accumulée de la science de l'énergie est totalement fausse, puisqu'elle n'est pas la sienne, mais celle des autres. Elle n'est constituée que de ceux qu'il a écouté jaser. Car tant que l'homme ne peut parler pour lui-même, il est forcé astralement de s'accumuler une mémoire.

L'avènement supramental est rendu à un stade où il a été spiritualisé, philosophisé et égrégorisé mémoriellement par les êtres qui subtilement et inconsciemment l'ont détruit par leur jasette non productive pour s'en accaparer. Ceci devait arriver et est arrivé. Ceci devait être dit et dénoncé, et c'est fait. L'ego en est arrivé à se ramasser des hangars d'égrégores et maintenant il ne peut plus être seul, c'est-à-dire oser parler.

Avez-vous la moindre idée de ce qu'est être seul ? C'est de ne plus jamais ressentir l'illusion affective, astrale ou philosophique d'aider une autre personne.

Alors d'ici-là, on se donne l'illusion d'être intelligent, ouvert et libre dans l'Esprit, en écoutant n'importe qui se raconter. Mais on se fait du mal et on ne finit jamais par arriver chez soi... Mais quel chez soi ?

Nous croyons que l'avènement supramental est une question de connaissances qui doit toucher la masse. Mais la masse a été réduite, bien sûr, elle est devenue une petite minorité dite supramentalisée et hautement évoluée, tellement elle a entendu des commentaires de tous ceux qui inconsciemment ont créé l'égrégore.

Michel Dow

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Seul avec vous-même depuis les dernières années... dans votre tête, dans votre coeur, dans votre émotion et dans vos sentiments... avez-vous réellement changé ? Avez-vous transmuté vos doutes, vos inquiétudes et vos questionnements ?...

N'oubliez jamais que le « show must go on ». Le paraître de la conscientisation, le show du savoir, le show de l'un et de l'autre must go on. Et ce show, ce spectacle, cette sorte de clownerie se poursuit pour ceux qui ne peuvent parler pour eux-mêmes.

Quand l'homme parlera pour lui-même, il se retirera du show. Le show est justement l'échiquier

supramentalisé.

Mais les beaux et grands parleurs, qu'ont-ils faits de réel pour l'être humain, sinon un show, un spectacle qui s'adresse et ne se communique qu'entre eux ?... Et après, les chanteurs se retirent de la scène et la foule entre chez elle... Que reste-t-il alors de réel dans le coeur... et non dans l'intellect ?

Dans ce que l'ego adore jaser, il ne peut même plus faire la différence entre ce qui est vrai et ce qui est réel, tellement son intellect et sa petite personnalité gonflée sont vampiriques. L'ego vaniteux ne sait même pas reconnaître que sa fusion, son lien avec cette même dimension de lui-même a été fait depuis tellement longtemps, bien avant l'arrivée de l'avènement supramental .

Il ne s'agit que de reconnecter les fils pour que l'homme, au-delà de son ego intellectuel, réalise que dans son lointain passé, il a toujours su. Il faut dire à l'homme qu'il sait et qu'il se ressouvient d'avoir su ces choses-là.

Les grands discours supra-mentaux ne réussiront jamais à libérer la conscience réelle de l'homme, pas plus que la spiritualité et la philosophie n'ont réussi à le faire.

Depuis des années, au niveau de son évolution supramentale, l'ego est devenu névrosé d'une science, d'un état vibratoire relié à l'invisible dont il est le parfait cobaye. Et en plus, il ne peut même pas le savoir de lui-même. Les autres ne savent pas qu'ils sont eux aussi névrosés, abusés, étourdis.

L'être normal, l'homme de la rue, le père de famille, cette femme qui s'occupe de ses enfants et de son partenaire, cet homme qui ne sait plus comment lui dire : « Je t'aime, chérie. » Mais non ! Il faut être drôlement supramentalisé de nos jours, avoir l'émotion et le mental froids et mourir tout seul dans son coin. Mais quand tu te couches et quand tu te lèves le matin (si jamais tu as pu dormir un peu) tu le sais au profond de toi, sans te mentir, que ça ne marche toujours pas, puis là, tu te racontes des histoires...

L'homme, dans son attitude à vouloir fusionner, à vouloir être UN avec l'invisible et lui-même, à vouloir mettre un terme à son évolution, est plus coincé que l'homme dit psychologiquement ancien. Mais qu'est-ce qui ne marche pas avec l'homme dit nouveau, l'homme supramentalisé ?

Le problème fondamental est qu'il ne cesse de vouloir être plus nouveau que lui-même. Il veut tellement être nouveau, intelligent, vibratoire et fusionné qu'il est un simple névrosé

Michel Dow

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supramentalisé. Il s'agit de le rencontrer pour constater que cette science n'est pas encore descendue dans son coeur et son corps. Tout est dans sa tête, donc il pense, il s'astralise et il survit séparé de son corps.

Le supramental est une nouvelle vague qui a été attribuée à l'ère du Verseau, parce que l'être humain aime ces choses-là. Puis là, l'être humain à commencé à communiquer avec des formes-pensées créées par l'être humain.

Il a fait des études, il détient des prophéties et il est l'intermédiaire de la comédie cosmique. Et puis là, les sages de la conscience en parlent à partir de leur vibration intellectuelle réfléchie. Et plus ils en parlent, plus ils la diminuent et plus ils la rendent normale, simple et accessible. Et pour finir, elle devient un simple point de vue discutable parmi les intéressés, c'est-à-dire parmi ceux qui supportent les autres à continuer de créer la confusion mentale.

L'homme croit que les êtres dits éthériques, le double, l'Ajusteur de pensée ont un intellect pour comprendre, pour être contents des efforts d'évolution que se font les ego entre eux pour défendre et protéger leurs intérêts supra-mentaux.

Le double, l'Ajusteur de pensée, le survivant, le surhomme, l'homme de l'espace, l'homme de l'éther, appelez-le comme vous le voulez, n'est rien d'autre que l'homme lui-même, confus, perdu, égaré et divisé qui tente névrotique-ment de s'associer avec lui-même, à travers tous ces discours dont les intervenants sont de toutes manières souffrants en eux-mêmes et confus philosophiquement. Ils savent que tôt ou tard leur heure de gloire avec la bête sera terminée et remplacée par un nouvel intervenant dynamique et intelligent, mais parlant toujours le même langage qui ne dérange pas l'Élite.

Un jour, l'homme devra sortir des écoles initiatiques de la Terre et apprendre à envoyer promener les autorités qui croient savoir comment l'éduquer. L'homme n'a pas besoin d'être éduqué, il a simplement besoin de savoir qu'il sait. Mais ceci est énervant pour ceux et celles qui veulent "enseigner".

L'ego est en train de se faire polluer supramentalement par des égrégores qui n'ont aucune réalité avec ce qu'il est en-dedans de lui-même. L'être humain ne sait même pas qu'il a créé la condition évolutive dite supramentale pour se réconcilier avec lui-même, à partir de la névrose planétaire actuelle qu'il lance vers l'invisible comme un cri d'espoir auquel l'éther doit répondre.

Et une fois le cri d'espoir lancé, les intervenants arrivent. Ils sont solidaires, solaires, supramentalisés et ils se "tiennent". Ils sont les nouveaux sauveurs de l'humanité, et l'humanité les croit et se conforme à leurs vérités.

En réalité, rien n'a changé dans ce que nous appelons l'évolution. Il s'agit simplement de faire comme autrefois, c’est-à-dire se conformer et attendre qu'on nous dise que maintenant nous sommes corrects. Mais en faisant ainsi, à qui croyez-vous donner votre pouvoir, votre savoir, votre identité ?

L'homme dit nouveau n'a rien de nouveau que le terme de se croire nouveau. Il doit se remettre en mémoire, c'est-à-dire se ressouvenir de ce qu'il sait depuis toujours et se ressouvenir qu'il a toujours voulu se reconnecter avec son propre savoir.

Michel Dow

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L'être fusionné n'a rien d'autre que le terme d'être fusionné. Mais par qui ? Qui a fusionné l'initié ? Qui a dit à l'homme ancien : « Maintenant, tu es un homme nouveau, tu es vibratoire, tu as la vibration, car je l'ai étudié "moi-même", et oui, tu as la vibration. WOW ! Et tes questions sont intelligentes !... Maintenant, tu fais partie des nôtres... »

Le conscientisé fait intégralement partie de lui-même. Il n'est pas plus grand ou plus petit que lui- même, car il est de son temps. Il n'est pas en devenir d'être plus grand que lui-même demain.

Et si l'homme a une tête dure, et avec raison, puisqu'il y a une raison à toute chose, pourquoi devrait-il s'intéresser à une forme d'évolution consciente, qui en réalité ne le conduira nulle part, sauf dans l'image qu'il se fera de lui-même ? Mais s'il est égal à lui-même maintenant, cette névrose évolutive cessera...

L'homme dit conscient vit dans une image et il s'efforce de la maintenir devant lui-même, devant son couple et devant les autres. Voilà pourquoi il est névrosé. Il croit que ceci lui donne du levier, du prestige, de la vibration... et là, il peut jaser absolument de tout, mais de rien d'important, en autant qu'il n'aille pas trop loin et qu'il respecte par amour les autres personnes névrosées.

Ce que nous appelons supramental ne veut rien dire encore pour l'instant dans son avènement réel. C'est

un terme, un mot qui est seulement imprégné dans le subconscient par l'être humain. C'est une certaine image d'un réel inaccessible, qui tente de prendre sa résolution définitive dans la forme.

Puis, toutes les images sont colorées par la mémoire spirituelle de l'inconscience collective, et le subconscient les matérialisera tôt ou tard. Rien de plus, rien de moins. Et ceci n'est pas un signe d'évolution supramentale, ce n'est que le reflet de l'âme qui prend forme matériellement.

Imaginez-vous une certaine évolution, une initiation solaire à subir pour devenir soi-même, pour devenir réel et avoir une personne réelle, pour fusionner avec l'invisibilité naïve, où au bout du tunnel, l'homme rencontre l'homme, donc lui-même... et il est aussi confus qu'au début de son incarnation. Mais au moins, il lui reste une mémoire expérimentale pour se consoler de n'avoir jamais osé prendre des décisions pour lui-même.

Le fusionné dans sa névrose naïve avec l'antimatière veut rencontrer qui ? Un artiste du cosmos ? Un géniteur d'étoiles ? Un être civilisé d'une autre planète? Un initié ou un extraterrestre qu'il a connu ou dont il a entendu parlé dans le plan de l'absurdité de son ignorance infantile et qu'il a osé croire pour se faire valoir d'être quelqu'un qu'il n'est pas.

L'homme, lorsqu'il prend conscience de lui-même, une fois qu'il devient conscient que jusqu'alors il ne l'était pas, réalise que la conscience supérieure est en lui et avec lui depuis toujours. L'homme a toujours su, mais il n'a pas toujours connu, et sa perte a été la recherche des connaissances qui lui ont fait croire qu'il ne savait pas. Et de là sa confusion entre le réel et le vrai.

Souvenez-vous que vous saviez, il y a 10, 20 ou 40 ans, avant l'événement dit supramental. Vous avez toujours su en esprit avant l'événement. C'est à vous seul d'aller voir que vous saviez.

Michel Dow

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Vous avez toujours su, mais vous l'avez fait quand même. La jeune fille, la femme, qui rencontre un jeune homme, ou vice versa, le sait dans son coeur, et son coeur le lui dit. Vous avez toujours su et cela depuis que vous êtes tout jeune. Ressouvenez-vous de vous.

C'est l'expérience du libre arbitre intellectuel relié aux désirs de l'ego, aux désirs de l'expérience charnelle de l'âme, qui a été la cause de la séparation entre le réel et le vrai. Le réel, vous le savez en vous. Le vrai, c'est l'expérience de ne pas avoir pris la décision réelle.


REF.: https://www.bernard-de-montreal-energie-du-savoir.com/2018/02/18/michel-dow/