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vendredi 30 mars 2012

Non-respect de la Politique de soutien à domicile et budget détourné par les CSSS

Personnes âgées - Le soutien à domicile est déficient
La protectrice Raymonde Saint-Germain 
© Stevens Leblanc / Agence QMI
Personnes âgées

Le soutien à domicile est déficient


QUÉBEC - Malgré l'adoption d'une politique gouvernementale de soutien à domicile en 2003, neuf ans plus tard, les services aux aînés en perte d'autonomie se sont dégradés. Le Protecteur du citoyen du Québec a publié vendredi un rapport dévastateur documentant le non-respect de la Politique de soutien à domicile du ministère de la Santé.
On fait état notamment de nombreux aînés placés sur des listes d'attente, faute de services, des heures de services hebdomadaires largement en deçà des besoins et de budget détourné par des centres de santé et de services sociaux.
«Les aspects les plus problématiques sont l'insuffisance des heures de services allouées en fonction des besoins et les délais à recevoir les services», écrit la protectrice, Raymonde Saint-Germain.
Elle signale que son enquête, menée à la suite d'une augmentation significative des plaintes, met en lumière l'incapacité de certaines instances locales et régionales d'appliquer la politique adoptée en 2003.
Elle reproche au ministère de la Santé de ne pas fournir les ressources requises au respect de la politique.
«Faute de moyens, les instances locales ont dû développer des pratiques qui privent les usagers des services nécessaires pour répondre à leurs besoins, reportant ainsi le fardeau sur les aidants naturels», indique Mme Saint-Germain.
La protectrice déplore aussi que les violations répétées de la politique de soutien à domicile contribuent à une utilisation inappropriée des places en milieu hospitalier ou en CHSLD.


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jeudi 29 mars 2012

Première opération radar spéciale de nuit,la prochaine suivra ....

Vitesse - Opérations radar de nuit
 
© Karl Tremblay / Agence QMI

SAINTE-THÉRÈSE – Les 15 services de police de la Rive-Nord ont émis un total de 1190 constats de vitesse et de 272 constats pour d'autres infractions lors de leur première opération radar spéciale de nuit, qu'ils ont conjointement organisée du 27 février au 9 mars dernier.
Les policiers des districts de Montréal, Laval, Laurentides et Lanaudière ont mené 138 opérations sur l'ensemble du réseau routier de leur territoire respectif durant ces nuits.
Les services de police ont donc dressé un bilan positif de ces opérations. «Le but de cette opération spéciale était de sensibiliser la population au fait que de nombreux décès surviennent sur les routes pendant la nuit à chaque année», a expliqué Sylvain Théorêt, le porte-parole du Service de police de Terrebonne/Sainte-Anne-des-Plaines/Bois-des-Filion.
Martin Charron, sergent et porte-parole à la Régie de police Thérèse-De Blainville, avait quant à lui expliqué avant l'opération que les automobilistes ont souvent le sentiment qu'ils sont seuls sur la route la nuit et qu'il n'y a pas de surveillance policière. Le niveau d'alcool plus élevé dans le sang et la fatigue sont aussi des facteurs de risques d'accident qui sont à leur niveau le plus élevé la nuit.
Le regroupement policier a prévu mener d'autres opérations spéciales dans les mois à venir. Les services de police participants sont ceux de Blainville, Deux-Montagnes, Laval, Mascouche, Mirabel, Montréal, Mont-Tremblant, Repentigny, Sainte-Adèle, Saint-Eustache, Saint-Jérôme, l'Assomption-Saint-Sulpice, Terrebonne/Ste-Anne-des-Plaines/Bois-des-Filion, Thérèse-de-Blainville et la Sûreté du Québec.


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mercredi 28 mars 2012

On devraient encadrer les vieux Doc,comme le Dr radiologiste de 77 ans, Raymond Bergeron

Relecture de 22 000 mammographies - 109 cas de cancer du sein détectésMammographie - Elle publie la photo de sa chirurgie pour sensibiliser Dans le but de sensibiliser les femmes à l'importance de passer une mammographie, Ginette Langevin, qui vient de subir l'ablation de son sein gauche, a publié avec beaucoup de courage une photo de sa chirurgie, sur internet, cinq jours après l'opération.  

© Ginette Langevin / Agence QMI
La révision des mammographies a permis de détecter 109 nouveaux cas de cancer du sein qui ont par la suite été traités. 
© Enrique Castro-Mendivil / Reuters
Relecture de 22 000 mammographies

109 cas de cancer du sein détectés

 

Quand il faut chercher un signe de cancer de la grosseur d 'un cristaux de neige dans une photo et qu'ont peut pas zoomer et que la technologie est déficiente et archaïque,c'est ça que sa donne !


MONTRÉAL – Après avoir passé à la loupe (a la quoi ???? j'ai peur moué la la ,la )plus de 22 040 mammographies réalisées dans des cliniques de la province de 2008 à 2010, le Collège des médecins du Québec a constaté que sur le lot, 109 cancers du sein n'ont pas été détectés. Le Collège a remis mardi son rapport d'enquête concernant la relecture de plus de 22 040 mammographies.


«Il est important de savoir que les patientes [victimes de ces erreurs de lecture] ont été référées et prises en charge au fur et à mesure que les résultats étaient connus en cours d'enquête», a rassuré le Dr Charles Bernard, président-directeur général du Collège des médecins.
Cette enquête «sans précédent» visait à vérifier la qualité de la lecture des films des mammographies réalisées dans les cliniques de radiologie de Fabreville, Jean-Talon-Bélanger et Domus Medica, de 2008 à 2010. C'est dans ces établissements que travaillait le radiologiste dans la mire de l'enquête, le Dr Raymond Bergeron. Ce dernier ne pratique plus aujourd'hui et deux des cliniques ont été vendues, tandis que l'autre a fermé ses portes.
Selon les résultats de l'enquête, 96 des 109 cas de faux diagnostics sont attribuables au Dr Bergeron. Les autres cas seraient attribuables à d'autres médecins qui pratiquaient dans ces cliniques.
Des cas troublants
Selon Louise Charbonneau, enquêteuse pour le Collège des médecins dans ce dossier, on ne compte aucun décès parmi ces 109 femmes victimes d'une mauvaise lecture. Toutefois, la situation est loin d'être rose pour celles qui ont reçu un diagnostic erroné.
TVA Nouvelles rapportait récemment le cas d'une des femmes faisant partie des victimes. Après avoir effectué une première visite chez le Dr Bergeron en raison d'une petite bosse, le médecin lui a assuré que ce n'était rien et l'a retournée chez elle. Cinq mois plus tard, un deuxième avis lui indiquait toutefois le contraire. Elle a dû se faire opérer, mais le cancer s'est tout de même propagé jusqu'au cerveau. Elle envisage aujourd'hui d'entamer une poursuite contre le Dr Bergeron.
Malgré les résultats de son enquête, le Collège des médecins refuse de parler d'un rapport «dévastateur» pour l'ensemble des cliniques privées québécoises, soulignant du même souffle que les problèmes qu'il a permis de révéler se rattachent presque en totalité à un seul radiologiste.
Des recommandations
Le Collège émet tout de même plusieurs recommandations afin d'éviter qu'une telle situation ne se reproduise. Parmi celles-ci, on retrouve l'établissement d'un lien formel entre les centres de dépistages, les centres de référence et les cliniques privées de mammographie pour notamment faire le suivi de performance des centres de dépistage et des radiologistes qui y exercent.
On suggère également de nommer quatre radiologistes experts pour assurer un suivi continu de l'interprétation des mammographies pour l'ensemble du Québec.
Un cas isolé
En réaction aux résultats obtenus par le Collège des médecins, l'Association des radiologistes du Québec tient à se faire rassurante : le Dr Bergeron reste un «cas isolé».
Selon son président, le Dr Frederic Desjardins, le médecin qui faisait l'objet d'une enquête, âgé de 77 ans, avait tendance à s'isoler professionnellement.
Il souligne d'ailleurs que lorsqu'«on regarde les chiffres, on a de très bons taux de détection (au Québec). On se compare très favorablement aux autres programmes dans le reste du Canada et de l'Europe», a-t-il souligné.
Le Dr Desjardins se montre favorable aux recommandations émises par le Collège des médecins.




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Le réel est invisible, a vous en arracher les yeux


Jonathan Antoine ,accompagné de Charlotte ,il est un autre SuBo(Suzan Boyle) .il a 17 ans ,elle 16 et il est vraiment Baby face !













Vivre comme un enfant de Dieu !











Tout comme Suzan Boyle !
http://youtu.be/X9whxWNI7bE

ou un Paul Potts.
 https://www.youtube.com/watch?v=bskw0fLqYyM

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lundi 26 mars 2012

Le "Sherlock Holmes" Kébékois



contrepoing

Courtoisie



Fort du succès de son ouvrage précédent, Poing à la ligne, le journaliste et chroniqueur Normand Lester analyse sans pitié l’actualité dans Contrepoing, un nouveau recueil de 150 chroniques colorées et percutantes qui reflètent son point de vue.
Normand Lester se demande, au lendemain des élections fédérales, si les Québécois sont « aussi stupides que le pense le Canada anglais », par exemple, et constate le déclin « inexorable » du Québec au Canada. Les titres de ses chroniques sont révélateurs : « La justice est aveugle et les jurés le sont souvent aussi », « Nommons l’inspecteur Clouseau pour surveiller les services secrets canadiens », « Les commissions scolaires, ‘’quossa donne’’? ».
Au fil des pages, il dévoile que le Canada a mené une guerre secrète en Irak aux côtés des Américains, qu’un drone israélien va bientôt être basé au Lac-Saint-Jean et que le Northern Command du Pentagone a pris en main la défense du Canada sans que nous soyons consultés. Il parle aussi des « araignées » de la planète Mars et de l’écoute illégale à laquelle Tony Accurso a été soumis.
Chroniques appréciées
« Je publie trois fois par semaine des chroniques sur Yahoo Québec. Et puis, elles ont un certain succès. Régulièrement, je suis parmi les plus « cliqués » du site Yahoo Québec et certaines de mes chroniques ont été recommandées par plus de 1 000 personnes. Michel brûlé, mon éditeur, m’a dit que ça l’intéressait de publier mes chroniques. Je les réunis pour la deuxième année et je mets aussi des textes que j’ai publiés ailleurs, à la fin. Ça fait un livre de plus de 300 pages chaque année et il se vend très bien. Cette année, les grandes surfaces ont commandé 5 000 exemplaires du livre avant même qu’il soit mis en vente », explique Normand Lester en entrevue.
Son livre traite d’actualité, mais pas de la manière dont on l’aborde habituellement dans les grands médias d’information. « L’information de base est la même, mais je vois et j’analyse les événements avec une perspective qui est la mienne, et j’aborde aussi parfois des questions qui ne sont pas abordées par les grands médias. Ce que j’aime, c’est d’essayer de mettre en perspective historique les événements que je rapporte.»
Style provocateur
Normand Lester s’intéresse à une foule de sujets, des dossiers noirs de l’église catholique à la vie sur Mars, en passant par d’autres sujets qu’il découvre en surfant sur la toile et qui ne sont pas couverts par l’actualité. « Le fait qu’on envisage de faire voler des drones israéliens au Lac-Saint-Jean, j’ai trouvé ça fascinant et je n’ai pas compris que ça n’ait pas fait beaucoup de bruit dans l’actualité, quand l’information est sortie l’automne dernier», note-t-il.
Son style particulier provoque toutes sortes de réactions. « J’essaie de ne pas être politiquement correct et d’appeler les choses par leur nom et parfois, ça blesse
les gens. C’est curieux. Si on dit que quelqu’un est un imbécile et qu’on essaie de le prouver, les gens disent qu’on ne peut pas dire ça... Les gens sont tellement habitués d’avoir un langage édulcoré, où on emploie des euphémismes et où on fait des allusions. Moi, dans mes textes, c’est peut-être ce qui explique le succès de mes chroniques – c’est que j’appelle les choses par leur nom. »
L’hypocrisie l’indigne
Normand Lester se choque, s’indigne, se questionne. « Ce qui me fascine le plus en ce moment sur la scène politique, c’est l’hypocrisie et la duplicité des gens qui sont en autorité. Et là, je parle autant du big government, du big union et du big business. Les grosses affaires, les gros gouvernements, les gros syndicats, sont des gens qui ont de l’influence sur la société. Ce sont des gens qui mentent continuellement. Je vois très peu de politiciens qui exercent le pouvoir sans jamais mentir. Il y a tout un système où on apprête les mensonges et on les présente au gens. Et ça, qu’est-ce que vous voulez, le système de média standard ne fait pas face à ça. »