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mercredi 15 avril 2020

Covid-19: La directrice des services professionnels du CIUSSS,a la recousse de la Médecin rattachée au CHSLD Herron:


Covid-19: La directrice des services professionnels du CIUSSS,a la recousse de la Médecin rattachée au CHSLD Herron:




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Covid-19
Montré du doigt pour la mort de 31 résidants du CHSLD Herron, le Groupe Katasa défend sa gestion. Pour sa part, la Dre Nadine Larente raconte comment elle et sa famille sont venues en aide à des aînés laissés à leur sort.
Chronique

Au front, avec la famille

Ce que la Dre Nadine Larente a vu au CHSLD Herron

Vous connaissez l’histoire terrible du délabrement du CHSLD privé Herron, révélée par la Montreal Gazette le week-end dernier. Je veux vous raconter ce que la première employée du CIUSSS de l’Ouest-de-l’Île-de-Montréal a découvert en arrivant au CHSLD.
C’était le 29 mars. La Dre Nadine Larente, directrice des services professionnels du CIUSSS, a reçu un appel qui l’a intriguée : « La médecin rattachée(C'est qui elle ???) à ce CHSLD m’a dit qu’elle n’arrivait pas à parler à quelqu’un à Herron. Elle m’a dit : “On dirait qu’il n’y a personne…” »


Il y a pourtant 130 résidants qui habitent Herron. La Dre Larente n’a fait ni une ni deux : elle a sauté dans sa voiture et s’est rendue sur place.(Mais ou est la Médecin rattaché au CHSLD Herron ?)
Ce qu’elle a découvert à 16 h 30, ce dimanche-là, l’a renversée.
« Il y avait deux préposés aux bénéficiaires et une infirmière auxiliaire pour 130 résidants. Bien en deçà des ratios de jour, qui devraient être de 5 infirmières, de 22 préposés et de quelques infirmières auxiliaires… »
— La Dre Nadine Larente, directrice des services professionnels du CIUSSS
Le sous-effectif paraissait : les plateaux du repas du midi avaient été déposés sur le sol des chambres. Les assiettes étaient pour la plupart intouchées ; bien des résidants ont des problèmes de mobilité et ne peuvent pas se pencher pour ramasser un plateau. Et les couches des résidants n’avaient pas été changées de la journée…
La Dre Nadine Larente a rapidement pris conscience du chaos ambiant et de l’urgence de la situation : ces personnes devaient être soignées et nourries.
Elle avait besoin d’aide immédiatement, là, maintenant. Elle a fait un premier appel, s’est tournée vers… sa famille.
« Il fallait agir maintenant. J’ai appelé mes trois enfants et mon conjoint pour qu’ils viennent tout de suite m’aider à nourrir les résidants, c’était urgent… Je leur ai juste dit : “On a besoin d’aide, on ne peut pas laisser des personnes âgées comme ça, on a besoin d’aide pour les aider à manger.” »
J’appuie sur « pause », ici.
J’avais entendu au cours du week-end l’histoire hallucinante d’une employée du CIUSSS de l’Ouest-de-l’Île-de-Montréal qui avait appelé sa famille en renfort pour aider à nourrir les résidants de Herron, le fameux soir du 29 mars. J’ai fait des appels, j’ai tenté de la retracer. Et, lundi soir, j’ai enfin pu parler à la Dre Larente, qui était ébranlée par cette saga. Elle a confirmé l’histoire.
« J’ai demandé à mes enfants de passer les cabarets aux résidants et d’aider à les nourrir.
— Vous avez combien d’enfants, Dre Larente ?
— Trois.
— Ils ont quel âge ?
— Ils ont 13, 15 et 17 ans. Ils sont venus avec mon conjoint. »
C’est donc la famille de la Dre Nadine Larente, ce dimanche-là, qui a nourri les résidants de deux des trois étages du CHSLD Herron, à Dorval.
Avant l’arrivée de sa famille, la Dre Larente a bien sûr fait un autre appel, au CIUSSS, pour sonner l’alerte. Deux directrices sont arrivées, puis une infirmière volontaire de l’Hôpital Douglas.
Nadine Larente, qui est passée du côté gestion depuis quelques années – elle est gériatre –, est rapidement passée à la médecine, faisant le tour des chambres pour ausculter des résidants.
« L’infirmière de Douglas est arrivée, elle m’a aidée. On est passées en mode soins. »
Elles ont aussi changé des couches.
Une préposée envoyée par le CIUSSS est arrivée pour prêter main-forte.
« Aviez-vous déjà vu une situation semblable ?
— Non, jamais. »
Au bout du fil, Nadine Larente m’explique qu’en ces temps de pandémie, la pénurie de personnel habituelle dans les CHSLD s’est aggravée. « J’ai fait le tour de nombreux CHSLD, et la situation est difficile. Mais les besoins de base étaient remplis : les gens étaient nourris, lavés, couchés, recevaient leurs médicaments, leurs couches étaient changées. Mais à Herron, ce soir-là, les besoins de base n’étaient pas comblés… »
La Dre Larente a constaté qu’au moins un résidant affichait des symptômes d’infection à la COVID-19. En parlant avec des employés du CHSLD Herron, elle a compris que l’essentiel du personnel avait déserté les lieux le vendredi et le samedi, à cause de la présence du coronavirus.
La Dre Larente a eu des contacts avec Samantha Chowieri, la propriétaire, qui était sur place à son arrivée. Mais elle s’est rapidement consacrée aux soins ; ce sont d’autres employés du CIUSSS qui ont composé avec Mme Chowieri. La Dre Larente note quand même que le système de médicaments à donner aux résidants était difficile à comprendre, ce qui a compliqué les choses, ce soir-là.
On sait maintenant que, depuis un mois, une trentaine de résidants du CHSLD Herron sont morts, bien plus que les quatre qui, d’ordinaire, y meurent chaque mois. L’histoire a ému le Québec et mis en relief la vulnérabilité des CHSLD aux éclosions de coronavirus.
Il y a des enquêtes sur ce qui a pu déraper à ce point au CHSLD Herron – propriété du Groupe Katasa, de Gatineau –, il y en a trois : une enquête de la Santé publique, du coroner et de la police de Montréal.
Mais en entrevue, la Dre Larente ne voulait pas s’étendre là-dessus : si elle acceptait de me parler, c’était pour dire à quel point ce soir-là, le 29 mars, des personnes se sont unies pour aider les personnes âgées de Herron.
Et la Dre Larente m’a confirmé une autre info que j’avais entendue pendant le week-end : oui, une personne dépêchée par le CIUSSS le 29 mars a contracté la COVID-19.
« Et vos enfants ?
— Non, ils sont O.K. Mon conjoint aussi. Je m’en serais tellement voulu… »
Le conjoint de la Dre Larente est reparti avec les deux plus jeunes vers 21 h. La fille aînée est restée. « Elle a aidé des résidants à manger, elle a écouté ceux qui avaient besoin de parler… »
Nadine Larente et sa fille sont parties vers 1 h du matin.
Je demande à Nadine Larente quel était son état d’esprit quand, dans la nuit de dimanche à lundi, après ces heures frénétiques au CHSLD Herron, elle est revenue chez elle.
La réponse tient en un mot : « Bouleversée. »
Elle termine en me faisant une demande : rappeler que le site JeContribue (1) recrute des Québécois qui voudraient aider les personnes âgées. « Nous avons besoin d’aide. »
***
Il y aura des enquêtes sur ce qui s’est passé au CHSLD Herron, comme il y en aura sur ce qui s’est passé dans le réseau québécois de la santé et des services sociaux pendant la pandémie de 2020.
On se concentrera bien sûr sur ce qui aura déraillé, pour éviter que ça ne déraille encore.
Mais il faudra se souvenir, aussi, de l’héroïsme de certaines personnes.
Et, des fois – l’histoire de la Dre Larente en est un exemple extraordinaire –, de celui de leurs familles.
ET LES FAMILLES DES RÉSIDANTS ?
Vous avez été nombreux à m’écrire pour me demander, dimanche, mais où diable étaient les familles des résidants du CHSLD privé Herron ? N’avaient-ils pas constaté le délabrement des lieux ?
Réponse : les visites en CHSLD sont interdites depuis le 14 mars.
Les familles des résidants du CHSLD Herron ne pouvaient donc pas savoir ce qui s’y passait.
CHSLD Herron

« On a fait ce qu’on pouvait »

La situation était catastrophique au CHSLD privé Herron de Dorval ; les propriétaires le disent eux-mêmes. Mais ils refusent de porter l’entière responsabilité des 31 décès survenus depuis le 13 mars et se défendent de ne pas collaborer avec le CIUSSS qui assure sa tutelle depuis le 29 mars.
« C’était le chaos total. On était à gauche, à droite. On a environ 100 employés et, du jour au lendemain, il en manquait la moitié sur le plancher », raconte Katherine Chowieri, copropriétaire et gestionnaire, avec ses sœurs et son père, du Groupe Katasa, dont fait partie la résidence Herron. « Les employés n’ont pas déserté. On vivait une crise de pandémie. »
Le problème de recrutement au CHSLD Herron existait avant la pandémie – comme dans de nombreux milieux de soins longue durée. La direction plaide qu’un premier cas positif de COVID-19 le 27 mars a fait basculer le fragile équilibre ; suivant les conseils d’Info-Santé, ceux qui croyaient avoir été en contact avec ledit cas se sont mis en quarantaine.
« Le 28 mars, ma sœur [Samantha Chowieri, copropriétaire] était sur place et a constaté que les gens ne rentraient pas travailler. Son chum et elle changeaient eux-mêmes les couches », raconte-t-elle, disant qu’elles pensaient à ce moment-là « être capables de remonter la côte ».
Le lendemain, le 29 mars, Samantha Chowieri échange des messages textes avec des représentantes du CIUSSS de l’Ouest-de-l’Île et les informe de son manque criant de personnel et d’équipements. « Nous n’avons pas d’infirmière pour cette nuit. SVP, appelez-moi parce que nous ne pouvons pas donner les services de base. Aucune des agences ne veut venir. »
Ce soir-là, le CHSLD est placé sous tutelle. Dans un courriel envoyé le lendemain, Samantha Chowieri demande à Lynne McVey, directrice générale du CIUSSS de l’Ouest-de-l’Île-de-Montréal, des précisions sur le rôle que la direction a à jouer et offre son entière collaboration pour la suite. La Presse n’a pas lu le message initial envoyé par le CIUSSS, mais Mme Chowieri semble aussi se justifier.
« J’aimerais simplement clarifier que je suis la propriétaire et que j’étais sur les lieux. Nous avons eu une réduction de l’effectif énorme avec le premier cas diagnostiqué [le vendredi 27 mars] positif cette semaine et le directeur général ayant démontré des symptômes de COVID-19 [maintenant en quarantaine]. […] Cette pandémie est une zone grise et de peur pour tous », peut-on lire.
Vendredi dernier, La Presse a rapporté que des résidants du CHSLD Herron avaient été retrouvés dans un état lamentable – affamés, déshydratés, souillés – à l’arrivée des renforts du CIUSSS. Un médecin parmi les premiers arrivés sur place après le 29 mars en témoigne encore aujourd’hui (voir autre texte). La direction dit avoir agi au meilleur de ses capacités.
« On était en crise, surtout le 28 mars. Le 29, on n’a pas laissé passer 48 heures pour joindre le CIUSSS. On a fait notre possible pour contrôler la situation. On a dit au CIUSSS que ça n’allait vraiment pas bien. On a fait ce qu’on pouvait pour dire qu’on avait besoin d’aide pour assurer les soins et services, pour assurer la sécurité des résidants. »
— Katherine Chowieri, copropriétaire et gestionnaire du Groupe Katasa
Au premier ministre, qui a déclaré lundi qu’avec des « loyers [qui] variaient de 3000 $ à 10 000 $ par mois […il y avait des médecins la ,comme usagers lol], le CHSLD aurait dû être capable de payer des bons salaires pour garder son monde », Mme Chowieri répond que les employés syndiqués « ont eu des augmentations de salaire dans les dernières années, et le salaire des préposés aux bénéficiaires et du personnel de soin a été augmenté pour la crise ».
« Ils étaient payés près de 20 $ de l’heure. Je ne vois pas ce qu’on aurait pu faire d’autre. Le problème de recrutement était vraiment lié à la COVID. »
Dire la vérité
Lundi, le premier ministre François Legault a accusé le Groupe Katasa d’avoir menti sur les réels problèmes l’ayant forcé à demander l’aide du CIUSSS de l’Ouest-de-l’Île-de-Montréal. Vendredi, il a appris que 31 résidants avaient perdu la vie depuis le 13 mars, dont au moins 5 à cause de la COVID-19.
« La première chose qu’aurait dû faire la directrice du CHSLD Herron, c’est de dire la vérité, qu’il y avait eu 31 morts. Je pense qu’il y a une différence entre dire au CIUSSS : “Il manque de personnel”, puis de dire au CIUSSS : “Bien, j’ai eu 31 morts en quelques semaines, là” », a déclaré M. Legault en conférence de presse.
Les propriétaires de la résidence se défendent d’avoir caché quelque information.
« On avait un seul décès relié à la COVID-19 en date du 29 mars, et deux cas de COVID positifs. S’il y a eu d’autres décès par la suite, c’est arrivé sous la tutelle du CIUSSS. »
— Katherine Chowieri, copropriétaire et gestionnaire du Groupe Katasa
Le Bureau du coroner fait enquête pour déterminer la cause de chacun des décès depuis le 13 mars. Le SPVM et la Santé publique mènent aussi une enquête de leur côté.
« On veut juste que les vrais faits soient dits. Peut-être, oui, qu’il y a des choses qu’on aurait pu faire mieux, mais le CIUSSS doit aussi prendre sa part de responsabilité. Ça ne doit pas tomber juste sur nous », soulève Mme Chowieri.
Échanges acrimonieux
Depuis le début de la mise sous tutelle, la situation s’est envenimée entre le CIUSSS et la direction du CHSLD Herron. Le CIUSSS accuse le Groupe Katasa de ne pas collaborer.
À titre d’exemple, le 4 avril, Samantha Chowieri a envoyé un courriel au CIUSSS contenant les horaires jusqu’au 6 avril. Elle avise : « On continue de confirmer les horaires avec les employés sur une base journalière (et même par quart). Aussitôt qu’on peut avoir plus de lignes directives et d’informations, on pourrait améliorer la collaboration. »
Le lendemain, une mise en demeure est envoyée au Groupe Katasa, dans laquelle les avocats du CIUSSS lui reprochent d’être « incapable d’informer [le CIUSSS] du personnel qui sera présent dans les jours à venir, des absences prévues et des besoins à combler ».
La résidence a été placée sous tutelle en raison de son personnel insuffisant, mais la tâche de gestion des horaires lui revient encore.

REF.:

jeudi 21 mai 2015

L'Intimidation ou TDAH ?



Le Moule:
 Intimidation ou TDAH ? est un film coup de poing de JoFX Productions qui aborde le sujet de l'intimidation de façon inédite.  Les parents d'une fillette intimidée sillonnent le Québec afin de trouver des pistes de solution au problème de l'intimidation. Ceux-ci sont loin de se douter de ce qu'ils vont découvrir. En l'occurrence, que la hausse des diagnostics du TDAH est liée au problème de l'intimidation en milieu scolaire au Québec.Durée: 52 minuteshttp://www.jofxproductions.com/Lettre envoyée à l'école par la maman de la fillette en juin 2013:Depuis son entrée à l'école, ma fille est victime d'intimidation. Elle ne cadre pas dans le moule. À la récréation, les enfants ont même inventé un parfum «anti-Clémence» (nom fictif) pour la repousser. Ma fille est belle, intelligente et sensible, mais elle ne cadre pas dans le moule.L'autre jour, à la récréation, j'étais là. Derrière la clôture. Les enfants se mettaient en cercle pour jouer. Celle qui devait donner la main à ma fille a lancé un gros «Yark!» bien senti. Mon cœur est tombé par terre. Cette semaine, j'ai vu une petite fille arracher violemment les fleurs sur notre terrain. Elle les jetait au sol en maudissant ma fille. Quelques jours plus tôt, j'ai vu cette même fillette gambader sur le trottoir en chantant: «Clémence la laide, Clémence la laide...» J'ai contacté la mère de cette enfant afin de discuter de la situation, et à ma grande surprise; celle-ci s'est fâchée. Elle a invoqué un «manque de respect». Soit, de ce mot nous n'avons pas la même définition...J'estime que l'école devrait prendre des mesures plus drastiques afin de sensibiliser les enfants: L'intimidation n'a définitivement pas sa place dans la cour d'école. Ma fille est loin d'être la seule aux prises avec cette situation. Une fillette stigmatisée par les autres enfants depuis la maternelle bâtit son monde intérieur différemment, elle souffre et refoule sa colère du mieux qu'elle peut.Ma fille veut tellement arriver à se faire des amis, tellement qu'elle est prête à ne pas tenir rigueur à une amie, envolée mystérieusement avec sa console de jeux vidéo. «Elle n'a peut-être pas fait exprès, maman». Intimidation, vol, vandalisme, il faut agir maintenant, parce que nous savons que l'intimidation engendre un manque d'estime de soi, de l'isolement et peut causer le suicide.



Le Moule: Intimidation ou TDAH? est un film coup de poing de JoFX Productions qui aborde le sujet de l'intimidation de façon inédite.  Les parents d'une fillette intimidée sillonnent le Québec afin de trouver des pistes de solution au problème de l'intimidation. Ceux-ci sont loin de se douter de ce qu'ils vont découvrir. En l'occurrence, que la hausse des diagnostics du TDAH est liée au problème de l'intimidation en milieu scolaire au Québec.

 

lundi 2 février 2015

Les Hôpitaux cultive la C. difficile et vous ?



La bactérie Clostridium difficile:

La forme sporulée permet au germe de persister longtemps dans le milieu extérieur sur à peu près n’importe quelle surface. Une fois la spore ingérée, elle passe sans encombre l’estomac, résistant à l’acidité locale, et se transforme en bactérie active, se multipliant dans le côlon.
Il est le principal agent responsable de la diarrhée secondaire à l’administration d’antibiotiques (clindamycine et ampicillines dans les années 1970, essentiellement céphalosporines depuis), redoutable en raison de son potentiel de contagion très élevé. Bien qu’environ 5 % de la population soient porteurs asymptomatiques (c’est-à-dire ne se plaignant de rien) de la bactérie, ses manifestations sont étroitement reliées à un séjour à l’hôpital. L’usage judicieux d’antibiotiques et le respect strict des mesures de prévention et d’hygiène (dont principalement l’hygiène des mains) demeurent les principaux moyens de lutte contre le germe.
De plus, le patient peut être un porteur sain du germe (ne présentant pas de signe de la maladie) dans près de 10 à 30 % des cas hospitaliers7.
Les spores sont résistantes à la majeure partie des désinfectants utilisés et survivent des mois sur les surfaces.
La lutte contre la diffusion de Clostridium difficile prévoit différentes mesures préventives dont une hygiène des mains renforcée, un entretien des locaux scrupuleux ainsi qu’isolement septique des patients infectés. En prévention de transmission nosocomiale manuportée de Clostridium difficile, différentes conférences de consensus recommandent le lavage des mains à l’aide d’un savon doux puis l’utilisation de la solution hydro-alcoolique en friction après contact avec le patient. L’eau de Javel diluée au 1/5e (0,5 % de chlore actif) est recommandée pour l’entretien des locaux et de l’environnement du patient8.

Ce qu'ont fait dans les hôpitaux:
D'abord un repas santé : Hummm,pas sûre,.............c'est une assiette contenant une demie assiette de légume,un quart d'assiette patate et le dernier quart viande.Sauf que c'est 1/3,1/3,1/3 en centre hospitalier. Ça part mal la journée !

Pour ce qui est de la désinfection des chambres d'hôpital:
Pour les bactéries plus vérulentes que la C.difficile ont lave 3 fois,avec la combinaison ,nettoyant,javellisant,savon !
Mais ,dans la technique de travail des P.A.B.(préposé aux malades) , un chamgement de couche ou linge souillé,c'est pas trop bien. La couche va pas dans un sac de plastique toute suite;Non,elle va par terre ainsi que les serviettes ,linge et vêtements souillés(contenant la C.Difficile,.....).Alors quand tout est ramassé pour mettre dans les bacs déchet et linge souillé,ça fait longtemps que la ridelle du lit est contaminé,que les cabarets du diner traine sur le couvert des bacs a roulettes du linge et des déchets souillés.Cette contamination indirecte se fait surtout si la visiteuse du malade a pas mit a temps sa jaquette et gants et masque assez vite avant de rentrer dans chambre(l'infirmière l'a pas vue) et prit ou toucher aux ridelles ou au cabarets diner qui peut être mit dans le chariots a cabaret sans que personne vous disent qu'il ne faut entrer dans la zone de la chambre contaminée du malade sans mettre ou enlever votre armure anti bactérienne a C.Difficile (jaquette+gants+masque)!

Faut les mettre avant d'entré dans chambre et de les jeter dans les bacs avant de sortir de la chambre,pour éviter de faire circuler la bactérie,mais déja vos bottes en sont porteur! C'est qu'on ne nettoie jamais les bottes de façon aseptique ,dans un hôpital,...............bizare(sauf en afrique avec l'Ébola ? )!

Et vos effets personnels: même ton manteau,faut que tu mette ça, dans un sac noir avant d'entré dans chambre et le jeter avant de sortir de la chambre avant de partir,tout doit rester dans la zone de contamination ,............................et vive le plastique,non , ................le jetable  !

Les cabarets,eux ça fait longtemps qui sont rendu a cafétéria en bas, avec les bactéries, du couvert a bac du linge souillé(c'est pas une tablette) ? Trop tard ;-(
Bonne appétit !

Le gars qui passe la vadrouille ,lui a pas mit de javellisant ,et moppe la chambre régulièrement et étend la bactérie qui a été mit par terre avec la couche souillé de tantôt,le savon c'est plutôt pour le bol de toilette et le sac noir a déchet qu'il a changé avant de vous dire bonjour,............... ?

Des chaussettes jetables,personnes connait ça,sa prend toute pour que le patient en ait une paire !

Des bactéries,on n'en a naturellement dans le corps;Oui,mais notre système immunitaire nous protège,..................mais moi j'empêcherais mes enfants de manger de la neige a côté des centre hospitalier,................ lol !

Quoi,lorsqu'il nous ont dit qu'ils ont nettoyer et installé des conduits d'air stérile,dans les hôpitaux, des bactéries ,y en avaient,......................mais ...............celle des chambres aussi, et eux autres ils sont encore la ,..........par-ci, par-là ! En tous les cas ,moi je me change même de linge et le lave a l'eau chaude en arrivant chez moi,mais c'est mieux avant d'arriver,non !Et du Purell c'est bon partout ,mais de l'alcool aussi LOL !
C'est tu,................c difficile que ça ?



Source.:

jeudi 15 janvier 2015

Poème: Les Anges ? (intro)

 C'est mon INTRO .:


Moi je travail avec des Anges !
C'est ce qui me fait écrire des poèmes,
Car, on ne les compose pas,il s'écrive simplement !

Vous,vous appelez pas ça des Anges,
Vous appelez ça des déficients,des itinérants,des schizophrènes.
Essaye juste de lui dire un Bonjour sincère !
C'est pas facile,j'en conviens , mais combien gratifiant !





Source.: T30

vendredi 14 novembre 2014

Et si Magnotta disait vrai ? ................un Test !

Magnotta conscient qu'il était recherché ?

 Luka Rocco Magnotta a déjà menti aux médecins pour ne pas être hospitalisé. Alors pourquoi ne mentirait-il pas pour éviter la prison,(sinon son propre avocat ? ) a suggéré mercredi la Couronne à la psychiatre experte de la défense.Magnotta, un ancien acteur porno, est accusé d'avoir tué avec préméditation et dépecé un étudiant chinois en mai 2012, avant d'envoyer certains de ses membres jusqu'au bureau du Premier ministre canadien Stephen Harper et de fuir vers Paris et Berlin, où il avait été arrêté une dizaine de jours plus tard.

Âgé de 32 ans, Luka Magnotta est accusé d'avoir tué chez lui avec un pic à glace son ancien petit ami Lin Jun(rencontré sur un site de sadomasochiste). Il est également poursuivi pour outrage à cadavre pour l'avoir découpé, de diffusion de matériel obscène avec une vidéo postée sur internet, d'envoi par courrier de morceaux du cadavre, et de harcèlement vis-à-vis du Premier ministre canadien Stephen Harper(l'horreur du Québec) et de députés.Tout coïncide avec la décadence du pouvoir au québec ?

Le dépeceur présumé a plaidé non coupable à tous ces chefs d'accusation pour lesquels il est passible de l'emprisonnement à vie.
L'affaire avait commencé en mai 2012, alors que le Québec était plongé dans une crise sociale majeure provoquée par une grève étudiante(en rapport avec le gouvernement Charest ). Un torse décapité, celui de la victime, avait été retrouvé dans une valise jetée sur un tas d'ordures dans une ruelle de Montréal. L'enquête avait rapidement mené la police à un logement situé tout près, où habitait Magnotta.
Avant de prendre un vol pour Paris, le 26 mai, le suspect aurait envoyé les pieds et les mains de la victime par colis postal au siège du Parti conservateur canadien et à celui du Parti libéral, à Ottawa, ainsi qu'à deux écoles de Vancouver. La tête de la victime n'avait été retrouvée qu'en juillet 2012 dans un parc de Montréal.
La cavale du tueur présumé l'avait ensuite conduit en Allemagne où il avait été arrêté le 4 juin 2012 dans un cybercafé à Berlin, avant d'être rapidement extradé au Canada.

il n’est pas facile de distinguer le vrai du faux dans le discours de l’accusé, et il peut filtrer les informations,(donc la demi vérité ?) a-t-elle admis au procès de l’accusé de 32 ans.

Car Magnotta a beau s’être «confié» à sa psychiatre, il y a de nombreux illogismes inexpliqués dans sa version, a noté la Couronne durant le contre-interrogatoire de la psychiatre.Encore la ,le dossier médicale de Magnotta ,ne sera jamais rendu publique ? Tout le monde est berné,même les jurés ,la population,...............ah c'est vrai , c'est la justice des Hommes avec un petit "h" ?

Pourquoi Magnotta est-il sorti de chez lui alors qu’il était censé être terrifié d’une voiture noire(un espion du SCRS ?) en bas de chez lui ? Et si c'était vrai ?
L'escoude des crimes sexuels est a vos trousses ,...........pour la pédophilie, et toute ces cochonneries sexuelles ?

Le Canada se créait une banque de données nationale de tous les usagers d'Internet afin de les identifier plus facilement.Ou bien le ouwernement ,met des citoyens hors circuit, comme,Richard Glenn,le Docteur Mailloux,l'argent et les votes ethniques de Jacques,les Yvette de Lise, Mme Lanctot ?Les vérités qui voudrons anéantir l'argent (les Banques)et la soumission des citoyens(taxé pour travailler,pour produire et non de donner ou d'entraider) seront toujours mit de côtés !Ça prendra des enfants Teflon ?

Sa nous prend un choc pour nous réveiller,(comme disaient Richard Glenn et Bernard de M.)mais faut-il que les vieilles consciences (la masse ,la collectivité,le ouwernement,les décideurs) ne mettent pas les freins dans les roues du futur  ?



Logique psychotique :

L’experte retenue par la défense estime que Magnotta ne distinguait pas le bien du mal quand il a tranché la gorge de Jun Lin, le 25 mai 2012.Pourquoi a-t-il utilisé sa scie circulaire sur un Colombien attaché sur son lit, une semaine avant de tuer Jun Lin ? Pourquoi a-t-il sali et lacéré la valise contenant le torse de l’étudiant chinois avant de la jeter ?

Quoi,............on est tu rendu plus loin que le cas du Docteur Turcotte réhabilitable ? Lequel est réalisable ou réhabilitable ? Magnotta ou Turcotte ? Un Test psychosociale ? Jésus ou Barabas ?
 L'Institut Pinel (centre carcérale pour criminel psychiatrisé)version 2.0 devra naître pour répondre a certains cas de réhabilitation borderline ?

«Dans la psychose, ce n’est pas nécessairement la même logique que les gens qui n’ont pas de psychose, a répondu la Dre Allard. On ne peut pas expliquer chaque comportement, car la logique n’est pas basée sur la réalité.»

    un site Internet : les Détrackeurs. L'objectif : inciter les habitants à ouvrir l'œil. «Cela touche notre quotidien, indique Antoine Cauty, responsable web du site. Même lorsque vous achetez des habits, vous êtes tracés. On sait grâce à cela vos préférences, vos habitudes de consommation.»

  Paranoïa ? Peut-être pas !

Les étudiants ont donc développé plusieurs thématiques pour informer au mieux les citoyens. Parmi lesquelles une carte virtuelle recensant toutes les caméras de vidéo surveillance installées le long d'un parcours défini. Prenons l'exemple, d'un trajet partant de la place des Terreaux pour rejoindre la rue de la Baleine. Un kilomètre et demi et 34 caméras repertoriées.
«Chaque rue que vous croisez, chaque objet traceur que vous portez sur vous, chaque application que vous téléchargez : tout sera passé au peigne fin», appuie le groupe. Un peu trop méfiants les étudiants?
«Il ne s'agit pas de tomber dans la paranoïa. On ne se veut pas un site militant, répond Antoine Cauty. L'idée est d'informer les Lyonnais sur ces questions». Et d'expliquer comment le tracking fonctionne, pourquoi : Par mesure de prévention? pour l'argent? «Chacun se fera sa propre idée.»


 

REF.:

lundi 30 décembre 2013

CHSLD Résidence Soleil: Encore des P.A.B. Haitiennes dans le trouble ?$?

Deux P.A.B.  arrêtées pour voies de fait dans un CHSLD

SAINT-LAMBERT - Deux préposées aux bénéficiaires qui étaient à l'emploi du Centre d'hébergement et de soins de longue durée (CHSLD) Saint-Lambert-sur-le-golf ont comparu mardi au palais de justice de Longueuil pour des accusations voie de fait et de trafic de stupéfiants.
Immacula Eugène, 51 ans et Marie-Margaret Pétimé, 46 ans, suspectées d'avoir maltraité une résidente de 87 ans, avaient été arrêtés plus tôt dans la journée par la section des crimes graves du Service de police de l'agglomération de Longueuil (SPAL).
En juillet 2013, elles auraient battu à plusieurs reprises la dame âgée. La plainte n'a toutefois été acheminée que le 21 novembre. La police avait ensuite saisi une vidéo captée par des caméras de surveillances installées à l'intérieur du CHSLD.
«Dans la vidéo, il y a deux infirmières qui battent une résidente depuis un bout, avait confié une source anonyme à l'équipe de l'émission Le Négociateur diffusée sur les ondes de LCN. La famille avait caché des caméras dans la chambre de leur mère(Mesdames Messieurs vous avez le droit !)
Eugène et Pétimé ont notamment été accusées de trafic de substances interdites, de complot (avec ou sans gagne de rue ? .....Les rouges ou les Bleus ?)et d'avoir administré une substance délétère. Des accusations de voie de fait pèsent également sur la première d'entre elles.
Les deux femmes ont repris le chemin de leur cellule après leur brève comparution devant la juge Anne-Marie Jacques. Elles seront de retour devant le tribunal jeudi pour leur enquête sur remise en liberté.
La semaine dernière, la direction du CHSLD affilié aux Résidences Soleil (CSSS de Saint-Lambert-sur-le-golf,pas vraiment pro-actif dans ce dossier ?)avait confirmé que deux employés avaient été congédiés dans cette affaire.
Ce n'est pas la première fois que les projecteurs se braquent sur le CHSLD Saint-Lambert-sur-le-golf. En 2011, l'Association québécoise de défense des droits des personnes retraitées et préretraitées réclamait une enquête du coroner pour faire la lumière sur deux décès survenus entre ses murs.
Plus récemment, TVA Nouvelles a appris qu'une résidente âgée de cet établissement qui avait subi une fracture n'avait jamais été transportée à l'hôpital et qu'elle était morte quelques jours plus tard.

Clique Haitienne,c'est jusqu'a 85% de la main d'oeuvre dans certain secteur en milieu de la santé,maltraitance,erreur de médicament,salarier sous-payé,trop de tâches,fatigue,trop d'heure ou trop de résidents par ratio P.A.B.,manque de qualification,trop d'expérience=la routine de l'irresponsabilité ,racisme,intimidation ? tout ça est possible !

Nouvelle victime de maltraitance au CHSLD

LONGUEUIL - Déjà accusées d'avoir maltraité une résidente de 87 ans, les deux ex-préposées aux bénéficiaires font face à de nouvelles accusations contre un autre résident du CHSLD de Saint-Lambert-sur-le-golf, qui est relier aux Résidence Soleillllllll.
Cette fois, Immacula Eugène et Marie-Margaret Pétimé sont accusées de trafic de stupéfiants,(la morphine des résidences Soleil était pas contrôlé ?) de vol et de menaces contre un homme (menace ou intimidation de gagne de rue Haitienne ?)dont l'âge n'a pas été précisé.
L'affaire remonte à juillet 2013, alors que les accusées de 51 et 46 ans auraient maltraité les deux résidents. Mais il aura fallu attendre le mois de novembre avant qu'une plainte ne soit déposée. La police de Longueuil avait fait enquête, ce qui avait permis l'arrestation des deux préposées aux bénéficiaires.
Eugène et Pétimé font face à plusieurs accusations, notamment de trafic de substances interdites,(par le réseau des gagnes de rue ? ou parce qu'elle est addic aux drogues ? ) de complot et d'avoir administré une substance nuisible à la femme de 87 ans. De plus,
Eugène Immacula,est accusée de voies de fait dans cette affaire.
Détenues depuis leur arrestation, elles devaient subir leur enquête sur cautionnement ce jeudi au palais de justice de Longueuil.
Pétimé a finalement été libérée sous caution(ses enfants sont tu des Aurore l'enfant martyre eux ?). Mais elle a dû verser une garantie de 12 000 $ et elle s'est engagée à ne pas travailler avec des personnes âgées.
Eugène Immacula,(ses enfants sont tu maltraités eux ?)n'a pour sa part pas procédé, puisque son avocat s'est retiré du dossier. Elle reviendra à la cour ce vendredi et devra entre-temps trouver un nouvel avocat.Plutôt que de subir son enquête sur remise en liberté, la femme de 51 ans a en effet été accusée Vendredi,de voies de fait sur quatre autres résidents de ce centre, en plus d'avoir volé des médicaments à une cinquième personne.
L'accusée aurait ainsi fait sept victimes, puisqu'elle était déjà accusée avec une autre ex-préposée d'avoir maltraité deux aînés en juillet dernier.


mardi 2 juillet 2013

Encore une Préposée Africaine vole les résidents d'un Centre de personnes âgées

Une ex-employée du CLSC

CLSC de Dorion

Adresse

490 boulevard Harwood
Dorion (Québec)
J7V 7H4
Téléphone : 450 455-6171
Télécopieur : 450 455-2356

Site Web :



Et travaillant au centre de personnes âgées du 3XX Chemin de l'Anse, Vaudreuil-Dorion, Vaudreuil-Soulanges, QC J7V 8P3.
Le propriétaire M. Sylvio a surpris en Juin 2013,son employée nommé Wasbras, une Africaine(mettez un peu de couleur dans votre vie) ,................voler de la nourriture,..........un gros jambon,.........du papier de toilette (et taaaaaaaa???)et beaucoup de viande.
Sylvio a fait affaire avec une cie de sécurité pour filmer sur pellicule l'employé fautive.
C'est plutôt rare que cette employée ne s'entendait pas avec les Québécoises de l'établissement !
D'habitude c'est l'inverse et on nous traite de raciste !
Dommage que le CLSC ne l'a pas rapportée a la corporation des infirmières et préposées aux malades !


REF.: Anonymous,Hackfest,