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lundi 30 décembre 2013

Affaire Villanueva: Pour une fois le Gun Taser aurait été utile ?

Affaire Fredy Villanueva: la police n'est pas blâmée

Quoi c'est tu le citoyen qui va se prémunir du Taser gun contre autrui ?

 -Richard Dupuis a aussi relevé la suggestion du coroner destinée au ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport, en recommandant d’apprendre aux jeunes du secondaire comment réagir en cas d’arrestation policière.

La formation des policiers doit être améliorée à plusieurs égards, estime le coroner André Perreault dans son rapport sur les événements ayant mené à la mort du jeune Fredy Villanueva en août 2008, à Montréal-Nord.
Dans son rapport publié mardi, le coroner critique aussi le jugement du policier Jean-Loup Lapointe, qui a blessé mortellement le jeune homme en ouvrant le feu dans sa direction. Il estime que le policier Lapointe aurait pu gagner du temps et demander des renforts avant d'intervenir physiquement auprès du frère de la victime, ce qui a déclenché la série d'événements.
«En ce sens, le contact physique initié par l'agent Lapointe paraît précipité, observe-t-il. Disons toutefois que le comportement de Dany Villanueva (qui s'agitait) n'avait pas de quoi faciliter les choses.»
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Il soutient aussi que le policier a eu tort de sentir que sa vie était menacée, bien qu'il comprenne que Lapointe «n'avait pas le bénéfice de pouvoir considérer a posteriori des éléments de preuve abondants». Le coroner refuse cependant de qualifier le policier d'assassin et ne croit pas qu'il devrait perdre son emploi.
M. Perreault critique aussi le travail de la police de Montréal et de la Sûreté du Québec à la suite des événements, estimant que son enquête a été «complexifiée par des lacunes au niveau de l'application des mesures prévues à l'occasion d'un décès survenu à la suite d'une opération policière».
Ces «manquements» ont représenté «des obstacles à la découverte de la vérité», affirme-t-il. Le coroner questionne notamment la façon dont ont été interrogées les différentes personnes impliquées.
En contrepartie, M. Perreault souligne le bon travail de la partenaire de l'agent Lapointe, Stéphanie Pilotte, indiquant que «si chacune des personnes impliquées avait fait preuve d'autant de pondération que l'agente Pilotte ce soir-là, Fredy Villanueva serait encore vivant.»
Finalement, le coroner écorche Dany Villanueva pour sa résistance excessive aux agissements du policier Lapointe. «Si Dany Villanueva estimait avoir une bonne raison de contester l'infraction qu'on lui reprochait, il ne servait à rien de crier, de s'agiter et de refuser d'établir son identité, quels que soient les motifs pour lesquels il le faisait», écrit-il.

«CIRCONSTANCES DE NATURE HUMAINE»

Le 9 août 2008, les policiers Jean-Loup Lapointe et Stéphanie Pilotte sont appelés à intervenir auprès de jeunes qui jouaient aux dés dans le stationnement du parc Henri-Bourassa, à Montréal-Nord.
Lorsque le frère de Fredy, Dany Villanueva, refuse de s'identifier, la police tente de le maîtriser. Fredy se joint à la mêlée et est atteint par trois coups de feu. Il meurt des suites de ses blessures.
La tragédie est le «résultat d'une multitude de circonstances de nature humaine qui, chacune prise isolément, ne saurait justifier logiquement ce résultat», estime le coroner, qui a examiné les témoignages de 47 personnes.
«Des milliers d'infractions aussi banales que celle de jouer aux dés dans un parc font l'objet chaque année d'interventions policières qui se déroulent bien, même lorsque la police et le citoyen ne s'entendent pas sur la question de savoir si l'infraction a bel et bien été commise», indique M. Perreault.

AMÉLIORER LA FORMATION

Dans son rapport, le coroner émet une vingtaine de recommandations à l'endroit du ministère de la Sécurité publique, la Ville de Montréal, le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), l'École nationale de police du Québec, la ministre de l'Éducation du Loisir et du Sport ainsi que le ministre de la Santé et des Services sociaux.
André Perreault recommande notamment au SPVM de veiller à ce que les policiers reçoivent une formation relative à l'intervention auprès de personnes issues de minorités ethnoculturelles. Il incite également le corps de police à rendre publiques les données relatives aux indicateurs de performance du Plan stratégique en matière de profilage racial et social.
L'École nationale de police du Québec devrait quant à elle améliorer la formation des patrouilleurs pour faire face à un groupe de gens qui résistent à leur arrestation. Les policiers devraient apprendre à se désengager et à appeler du renfort plutôt que d'entrer en contact physique avec les suspects lorsque l'intervention concerne une infraction mineure.
Il demande aussi que le ministère de la Sécurité publique s'assure de doter les policiers d'armes à feu dont la séquence de tir est moins rapide, pour éviter qu'un policier ne tire plus de coups de feu que nécessaire.
Le coroner suggère également à la Ville de Montréal de mettre sur pied un plan d'action relatif à la lutte à la pauvreté et à l'exclusion sociale des personnes et des communautés qui composent la population de Montréal-Nord.
Au lendemain du décès de Fredy Villanueva, de violentes émeutes avaient éclaté dans Montréal-Nord. La police avait procédé à des dizaines d'arrestations. Quatre mois plus tard, le Directeur des poursuites criminelles et pénales avait annoncé que les policiers impliqués étaient blanchis de toute accusation.


REF.:

CHSLD Résidence Soleil: Encore des P.A.B. Haitiennes dans le trouble ?$?

Deux P.A.B.  arrêtées pour voies de fait dans un CHSLD

SAINT-LAMBERT - Deux préposées aux bénéficiaires qui étaient à l'emploi du Centre d'hébergement et de soins de longue durée (CHSLD) Saint-Lambert-sur-le-golf ont comparu mardi au palais de justice de Longueuil pour des accusations voie de fait et de trafic de stupéfiants.
Immacula Eugène, 51 ans et Marie-Margaret Pétimé, 46 ans, suspectées d'avoir maltraité une résidente de 87 ans, avaient été arrêtés plus tôt dans la journée par la section des crimes graves du Service de police de l'agglomération de Longueuil (SPAL).
En juillet 2013, elles auraient battu à plusieurs reprises la dame âgée. La plainte n'a toutefois été acheminée que le 21 novembre. La police avait ensuite saisi une vidéo captée par des caméras de surveillances installées à l'intérieur du CHSLD.
«Dans la vidéo, il y a deux infirmières qui battent une résidente depuis un bout, avait confié une source anonyme à l'équipe de l'émission Le Négociateur diffusée sur les ondes de LCN. La famille avait caché des caméras dans la chambre de leur mère(Mesdames Messieurs vous avez le droit !)
Eugène et Pétimé ont notamment été accusées de trafic de substances interdites, de complot (avec ou sans gagne de rue ? .....Les rouges ou les Bleus ?)et d'avoir administré une substance délétère. Des accusations de voie de fait pèsent également sur la première d'entre elles.
Les deux femmes ont repris le chemin de leur cellule après leur brève comparution devant la juge Anne-Marie Jacques. Elles seront de retour devant le tribunal jeudi pour leur enquête sur remise en liberté.
La semaine dernière, la direction du CHSLD affilié aux Résidences Soleil (CSSS de Saint-Lambert-sur-le-golf,pas vraiment pro-actif dans ce dossier ?)avait confirmé que deux employés avaient été congédiés dans cette affaire.
Ce n'est pas la première fois que les projecteurs se braquent sur le CHSLD Saint-Lambert-sur-le-golf. En 2011, l'Association québécoise de défense des droits des personnes retraitées et préretraitées réclamait une enquête du coroner pour faire la lumière sur deux décès survenus entre ses murs.
Plus récemment, TVA Nouvelles a appris qu'une résidente âgée de cet établissement qui avait subi une fracture n'avait jamais été transportée à l'hôpital et qu'elle était morte quelques jours plus tard.

Clique Haitienne,c'est jusqu'a 85% de la main d'oeuvre dans certain secteur en milieu de la santé,maltraitance,erreur de médicament,salarier sous-payé,trop de tâches,fatigue,trop d'heure ou trop de résidents par ratio P.A.B.,manque de qualification,trop d'expérience=la routine de l'irresponsabilité ,racisme,intimidation ? tout ça est possible !

Nouvelle victime de maltraitance au CHSLD

LONGUEUIL - Déjà accusées d'avoir maltraité une résidente de 87 ans, les deux ex-préposées aux bénéficiaires font face à de nouvelles accusations contre un autre résident du CHSLD de Saint-Lambert-sur-le-golf, qui est relier aux Résidence Soleillllllll.
Cette fois, Immacula Eugène et Marie-Margaret Pétimé sont accusées de trafic de stupéfiants,(la morphine des résidences Soleil était pas contrôlé ?) de vol et de menaces contre un homme (menace ou intimidation de gagne de rue Haitienne ?)dont l'âge n'a pas été précisé.
L'affaire remonte à juillet 2013, alors que les accusées de 51 et 46 ans auraient maltraité les deux résidents. Mais il aura fallu attendre le mois de novembre avant qu'une plainte ne soit déposée. La police de Longueuil avait fait enquête, ce qui avait permis l'arrestation des deux préposées aux bénéficiaires.
Eugène et Pétimé font face à plusieurs accusations, notamment de trafic de substances interdites,(par le réseau des gagnes de rue ? ou parce qu'elle est addic aux drogues ? ) de complot et d'avoir administré une substance nuisible à la femme de 87 ans. De plus,
Eugène Immacula,est accusée de voies de fait dans cette affaire.
Détenues depuis leur arrestation, elles devaient subir leur enquête sur cautionnement ce jeudi au palais de justice de Longueuil.
Pétimé a finalement été libérée sous caution(ses enfants sont tu des Aurore l'enfant martyre eux ?). Mais elle a dû verser une garantie de 12 000 $ et elle s'est engagée à ne pas travailler avec des personnes âgées.
Eugène Immacula,(ses enfants sont tu maltraités eux ?)n'a pour sa part pas procédé, puisque son avocat s'est retiré du dossier. Elle reviendra à la cour ce vendredi et devra entre-temps trouver un nouvel avocat.Plutôt que de subir son enquête sur remise en liberté, la femme de 51 ans a en effet été accusée Vendredi,de voies de fait sur quatre autres résidents de ce centre, en plus d'avoir volé des médicaments à une cinquième personne.
L'accusée aurait ainsi fait sept victimes, puisqu'elle était déjà accusée avec une autre ex-préposée d'avoir maltraité deux aînés en juillet dernier.