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vendredi 17 novembre 2023

La femme et l’évolution supramentale

 

La femme et l’évolution supramentale

La femme est de nature sensible, intuitive et ressent intrinsèquement une certaine direction occulte qu’elle doit prendre dans sa vie. Elle est proche de son esprit, de la vibration du réel chez elle, mais demeure toutefois soumise à différents plans d’intelligences. Sa nature bienveillante, apaisante et protectrice la sert bien à différents niveaux, mais la nuit lorsqu’elle donne une partie d’elle-même à autrui, s’oublie pour quelque chose ou quelqu’un.


La haute vibration jumelée à la sensibilité des centres de perception de la femme moderne la prédispose à s’intéresser à l’occulte de la vie, à l’ésotérisme et à la spiritualité. La spiritualité concorde bien avec sa nature puisque, contrairement au matérialisme, cette dernière tend vers des réponses qui répondent à sa sensibilité. De plus, les forces présentes dans le haut astral – plan qui régit la spiritualité chez l’humain – sont pour elle une source de fascination car les entités qui y évoluent l’aident à faire face à son quotidien qui peut sembler trop lourd et trop dense pour ses corps.


Évidemment, certaines femmes sont plus sensibles que d’autres, et chacune d’elles sont rendues à un point différent au niveau de leur évolution. Certaines femmes particulièrement sensibles peuvent répondre à la vie par une révolte dans leur caractère puisqu’elles sentent une tension interne qu’elles ne peuvent comprendre ou diriger correctement, et c’est ainsi que leur surplus de sensibilité peut les amener à poser des gestes incongrus. D’autres vont entrer dans un moule social pour apaiser temporairement leur personnalité. Beaucoup d’entre elles sont à la recherche de quelque chose, et cherchent sans mettre le doigt sur ce qui manque, un vide sans nom. Dans un cas comme dans l’autre, elles se trouvent inconsciemment des échappatoires afin de vivre leur vie de manière à fuir un malaise interne, une tension interne, qu’elles n’arrivent pas à bien cerner.


De plus en plus, cette tension amènera la femme à vouloir mettre le doigt sur le réel de la vie, de sa vie, car elle réalisera tôt ou tard que la spiritualité est un cul-de-sac, ou une béquille temporaire. Pour sortir de cette étape d’évolution, elle devra utiliser la tension qu’elle vit à l’intérieur d’elle-même afin de briser le voile de sa soumission devant la vie, devant les forces qui la régissent. Cette tension nourrira sa volonté d’action.


La soumission de la femme à un niveau social a beaucoup diminué depuis quelques décennies, mais il reste beaucoup à faire pour elle en tant qu’individu. Lors de sa prochaine évolution, la femme prendra sa place dans sa vie planétaire, dans sa vie de couple, mais aussi dans l’espace mental de sa conscience. La femme n’acceptera plus d’être soumise devant les forces astrales ou cosmiques, et peu importe leur provenance, et elle utilisera sa parole pour transpercer les illusions psychologiques accolées aux formes rencontrées. Certains individus pourront y voir une menace à leur orgueil quand l’événement les concernera, mais les êtres les plus sensibles pourront côtoyer ces femmes tout en vibrant à l’intelligence qu’elles ont en elles, et sans avoir l’impression d’y perdre leur image.


Il est clair que la femme qui apprendra à devenir autonome au niveau matériel et financier aura un net avantage puisqu’elle apprendra à s’organiser d’elle-même, sans vivre un sentiment de dépendance envers quelqu’un. Cet aspect est important pour la femme car elle deviendra son propre point d’appui et saura qu’elle peut toujours compter sur ses propres ressources pour faire les mouvements qu’elle doit faire.


Ainsi, l’évolution future de la femme reposera ultimement sur sa capacité de faire face au réel et de déchirer l’illusion qui lui fait sentir petite devant la grandeur du cosmos ; elle devra un jour toucher à sa grandeur réelle. La femme devra apprendre à conquérir l’espace de sa conscience, mais ceci ne pourra se faire avant que la femme accepte d’extérioriser la tension interne qu’elle ressent à travers la colère d’avoir vécu la soumission, aussi occulte soit-elle. Domination par ses pensées, domination par la culture, domination par le plan astral, domination au travers les événements de sa vie… Tous ces éléments deviendront les leviers qui allumeront le feu à l’intérieur de sa conscience afin de faire descendre son énergie réelle à l’intérieur de son système nerveux. Sa colère extériorisée face à sa soumission et à son manque de puissance personnelle face à la vie brûlera les restes de sa spiritualité, qui était le résultat des forces astrales sur sa conscience.


Toutes les formes de domination qu’a subi la femme étaient nécessaires et lui ont servi à préparer ses corps afin qu’elle soit capable, un jour, d’extérioriser sa tension de manière à faire fondre les anciens fondements psychologiques qui la maintenaient dans l’ignorance du réel. La femme retrouvera alors sa pleine maturité, sa liberté réelle, hors de tout rabattement psychologique la soumettant à une autorité quelconque. Aucune domination mentale ne pourra lui faire vivre l’illusion de l’évolution psychologique à l’intérieur des formes puisqu’elle aura touché à sa volonté de vibrer au réel derrière le jeu de son esprit en mouvement.


La femme apprendra à mettre de l’ordre dans sa vie, et à régler sa vie. Il n’est plus question ici pour elle de sauver quiconque car elle saura que son incarnation sur Terre est pour elle-même, pour sa propre évolution individuée, et non pour servir des gens ou une population vivant de mémoires, donc sans appui réel. Il ne faut pas interpréter et dire au-revoir à toute forme d’autorité qui, temporairement, assurent le bon fonctionnement de la vie de la femme. La femme s’occupera de mettre fin à toute autorité mentale dans sa conscience, et les événements changeront d’eux-mêmes. La femme verra clairement que tout changement réel dans sa conscience apportera les changements nécessaires dans la densité de la forme et ce, sans forcer. Un âge nouveau alors naîtra.

La femme est à l’âme ce que l’homme est à l’esprit

La femme représente l’aspect yin ou féminin chez l’humain, tout comme l’homme représente son aspect yang ou masculin. En parallèle, l’âme est l’aspect yin de la manifestation humaine et est liée à l’intériorisation, au repos, à la forme et au Soleil central. L’esprit est son aspect yang qui est lié à l’extériorisation, à l’action, au mouvement et au Soleil.


Pour évoluer, l’esprit a besoin d’avoir une mesure de lui-même dans la forme. Cette mesure, il l’obtient à travers l’âme qui lui reflète continuellement de nouvelles formes qui correspondent à qui il est vibratoirement. L’âme est donc le miroir de l’esprit en termes d’évolution, car elle crée toujours des formes qui permettent à l’esprit d’avoir une image claire de qui il est.


L’homme est très influencé par la réalité yang de son esprit, par le mouvement et par l’extériorisation. La femme est plus près de la réalité yin de son âme, de la mémoire et de l’introspection. Cela étant, le véritable bien-être de la femme devient naturellement une mesure de la capacité de l’homme à ne pas la dominer. Cette mesure reflète donc la capacité de l’homme à ne pas être dominé par l’Invisible (qui tente de dominer l’homme pour qu’il domine la femme).


Pour prendre sa place, la femme doit parvenir à intégrer le principe de l’Intelligence, ce qui lui permet d’entrer en concordance vibratoire avec l’énergie de son esprit. Cette intégration lui donne la force de contester les manigances de l’Invisible sur son psychisme. Ensuite, en intégrant le principe de l’Amour, elle parvient non seulement à être en équilibre avec elle-même, mais aussi avec l’autre qui fait partie de qui elle est sur le plan universel de sa conscience.


Cela dit, pour que la femme puisse vivre en harmonie avec l’homme, celui-ci doit aussi avoir intégré le principe de l’Amour ou avoir développé un très grand sens du respect d’autrui. Sinon, malgré toutes les intégrations qu’auraient faites la femme, cette dernière serait continuellement confrontée aux failles psychiques de son conjoint. Dans ce contexte, même si elle faisait une bonne gestion de son psychisme, elle serait continuellement mise sous tension par ce que son partenaire ne serait pas apte à voir en lui-même.


— Sandra Vimont, 4 octobre 2017

L’homme, la femme et l’incarnation

Au niveau du plan supramental (ou universel), le masculin est toujours fondamentalement uni au féminin dans les différents Couples cosmiques qui font partie de ce plan de conscience. Un jour, l’énergie de plusieurs Couples cosmiques s’est diffractée, d’où l’émergence de l’énergie de l’homme et de la femme sur le plan surmental (la séparation du yin et du yang). Dans la religion chrétienne, ce phénomène est considéré comme étant le début de la « chute de Lucifer ».


Dans un multivers donné, chaque individu (être humain ayant une âme et un esprit) a un positionnement qui dépend de l’observateur. Si on regarde d’un premier point de vue, l’individu peut être dans un positionnement d’incarnation masculine (cercle en bas de la fleur de vie), et d’un second point de vue, il peut être dans un positionnement d’incarnation féminine (en haut de la fleur de vie). Cela dit, un troisième regard nous laisserait voir qu’il ne s’agit pas d’un être humain incarné, mais d’un esprit… et ainsi de suite. Les corps distincts de l’homme et de la femme dépendent donc du point de vue de l’observateur sur la forme (autrement dit, dans quel univers se situe l’observateur). Si l’observateur se situait sur le plan supramental, il arriverait à la conclusion que chacun est homme et femme à la fois… mais aussi chacun est esprit, âme, Esprit universel, Âme universelle, etc. Chacune de ces réalités figurent dans un univers différent et créent l’aspect multidimensionnel de l’être humain intégral.


Pour prendre conscience de la réalité fractale et perméable des univers et des multivers, il faut être entré dans le réel de ses origines de vie.


Sandra Vimont, 18 octobre 2017 


REF.: — Sandra Vimont, 2011

https://supramental.biz/art051-femme-supramental.htm