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jeudi 30 octobre 2014

Rétro-causalité: quand la physique Quantique rejoint la spiritualité




Qu’est-ce que la rétro-causalité ?

C’est envisager qu’une conséquence puisse être la cause d’un événement antérieur.
C’est un modèle qui heurte la compréhension habituelle de la flèche du temps, et cela nous amène à reconsidérer ce qu’est « le temps ». Pléthore de conférences sur ce thème ont déjà été menées par les plus grands physiciens et philosophes, et le seront encore ; un développement alambiqué sur le temps ne sera donc pas l’objet des prochaines lignes. Plutôt, basons-nous sur ces quelques indices pour comprendre comment une expérience peut être rétro-causale.

retro causalité
Selon les investigations de Stéphane Allix, journaliste et fondateur de l’INREES, et l’ayant lui-même expérimenté en laboratoire, notre cerveau perçoit déjà le futur proche quelques millisecondes avant qu’on le conscientise. Cela sous-tend que la combinaison des plus fortes probabilités soit déjà formée avant leur manifestation, à la manière des techniciens qui élaborent les prévisions météorologiques. Serait-ce ce que l’on qualifie communément d’intuition ?
Comprenons que la conscience est centrale dans toute analyse, puisque c’est l’observateur qui créé l’expérience et non l’inverse, de la même façon que de la Grande Conscience naît la matière. En parallèle des acquis de la science quantique et relativiste, la culture ésotérique avance que le temps terrestre est un mirage, le véritable étalon étant « l’éternel présent ». Dans ce cas, le passé comme le futur deviennent illusoires, ne servant que de balises théoriques pour placer son expérience humaine (ou non-humaine), en quelques sortes, établir des coordonnées pour l’adapter à notre modèle en trois dimensions. Une forme de conditionnement atemporel ou connaissance omnisciente sur un plan subtil pourrait avoir influencé nos choix déjà accomplis.
Postulons que la conscience de l’expérience prend racine dans le modèle du double-tore évoqué par Nassim Haramein (théorie des champs unifiés) et Foster Gamble (auteur de « Thrive »), un phénomène par lequel la conscience « accuse réception » de l’expérience, selon les termes de Philippe Guillemant, chercheur au CNRS. Il est désormais établi que le cerveau est une antenne émettrice-réceptrice, un programme (limitatif) par lequel transitent les données nécessaires à la formation de l’expérience, la conscience elle-même étant non-localisée. Monsieur Guillemant lui-même annonçait dans sa théorie de la double-causalité « l’intention comme excitation du vide », attribuant le premier rôle à la conscience… Celui-ci aborde l’indéterminisme comme l’enfant du libre-arbitre, laissant supposer que l’étendue de l’«éternel présent» des dimensions supérieures, perçu de manière morcelée depuis notre troisième dimension, ne serait pas figée.
Parallèlement, en attribuant à la mécanique universelle une harmonie, un équilibre inhérent à sa nature, à contre-courant de la théorie de l’entropie, on présuppose l’existence d’un « facteur stabilisant » (P.Guillemant) dans le champs vibratoire de la toile cosmique. Ainsi, la matrice universelle procéderait à des ajustements automatiques, basés sur le même processus du double-tore. Cette configuration boucle la boucle du principe du double-tore attribuable à la conscience comme au cosmos, un mécanisme qui s’auto-alimente perpétuellement, incluant simultanément des données « passées », présentes et « futures ». Notons que le modèle fractal émis par Nassim Haramein et le modèle holographique également et notamment proposé par Gregg Braden, scientifique pluridisciplinaire, obéissent à une dynamique comparable, à la manière des poupées russes s’imbriquant les unes dans les autres. Le maître-mot qui met tout le monde d’accord : tout est interconnecté.
Cette perspective nous amène logiquement à aborder un fait désormais avéré : l’intrication. « Si les particules constituant nos corps peuvent communiquer instantanément entre elles, se trouver simultanément en deux endroits, et même modifier des événements passés par des choix effectués dans le moment présent, alors nous le pouvons également » (« La Guérison Spontanée des Croyances », Gregg Braden, Éditions Ariane). Et si comme le suggère la célèbre énigme des « neufs points en quatre traits », il fallait sortir du cadre, c’est-à-dire des anciens paradigmes, pour obtenir la bonne réponse ?
Par Angélique Mauffré, le 14 octobre 2014.
Note de stopmensonges :
Cela rejoint les enseignements de Bashar et The Law Of One.
Seul le moment présent existe, le présent crée le passé et non l’inverse, le temps n’existe pas seul l’expérience du temps existe. La conscience crée la réalité que nous expérimentons, notre pouvoir sur nos vies est illimité.


Source : http://ovnis-direct.com/essai-sur-la-retro-causalite-tentative-de-vulgarisation.html#yksOxtwG