Si voulez faire chXXXX l'État,faîtes des enfants,...........pendant que votre société ,que vous avez créé,va vous faire accroire que l'euthanasie est un choix humain,au nom de l'économie $ ! 
Ce seront eux (les "X","Y" , ...) qui travailleront ,pour payer vos rentes,..........dirait un boomers,qui a fait sa vasectomie, a cause que tout commençait a coûter trop cher  ! C'est pour ça que les X sont laisser a eux-même et que les Y sont encore pire ! La seul génération qui devrait faire la différence serait la génération C (internet),qui pense avoir des enfants,pendant qu'ils sont dans l'âge de le faire ,alors.............aller s'y !
Vivre au dessus de ses  moyens ? ...................c'est peut-être vivre au présent ,pleinement,avec le peu que l'état voudait nous laisser;c'est ce que les "X" se rendent compte.Les "Y" eux,savent que l'État ne pourra subvenir a leurs besoin,ils devrons inventé leurs propres liberté ,s'autosatisfaire,au risque de détruire l'État ou de vous séparer de la mammelle Fédérale qui vous a jamais assez assouvi.
 
J'accuse les boomers ? .................« hold-up intergénérationnel » ,.......foutaise ?
Éric Duhaime dédie son essai à ses 
boomers de parents, Ginette et Henri. Mais c'est à peu près la seule fleur qu'il lance à cette génération. 
Santé, éducation, immigration et surtout, fonds de pension... Tout 
doit être revu et corrigé en dehors du carcan idéologique qu'impose 
depuis des décennies cette génération. 
Son poids démographique est si pesant, écrit Éric Duhaime dans son essai, 
L'État contre les jeunes, qu'elle dicte aux Québécois leur manière d'agir et de penser. 
Et elle a sérieusement hypothéqué les générations qui la suivent. 
« La Révolution tranquille a été un idéal d'une société plus juste. 
Mais elle a créé de grandes inégalités intergénérationnelles », dit 
l'essayiste et chroniqueur de 42 ans - membre de la génération X -qui a 
été conseiller des politiciens Stockwell Day et Mario Dumont. 
Il se considère aujourd'hui comme un libertarien. Un mouvement qu'on 
associe à la droite économique et à la gauche sociale, dit-il. « En 
gros, je suis en faveur de plus de libertés individuelles et de moins 
d'interventions de l'État. » 
Éric Duhaime avance dans son essai une série de statistiques 
troublantes : les jeunes générations paieront plus d'impôts et de taxes 
pour moins de services. Lorsqu'ils arriveront à l'âge de la retraite et à
 celui où leur santé commencera à décliner, les caisses de l'État seront
 vides et le système de santé, dans un état lamentable. 
Qu'est-ce qui s'est passé ? 
« Les 
boomers pensaient, à tort, que la croissance était éternelle. » 
L'État a gonflé, les dépenses publiques aussi, la dette a explosé. Le
 Québec vit à crédit et la facture passera de sa génération la plus 
dépensière aux suivantes, moins nombreuses et surtout, moins riches. 
Il y a des solutions 
Éric Duhaime ne croit pas que la solution aux inégalités 
intergénérationnelles viendra des partis politiques, trop occupés à se 
faire élire... par les 
boomers. 
Mais des solutions, il y en a. Notamment pour le problème sans doute 
le plus urgent à régler : la dette. « Sa réduction doit devenir une 
priorité, pour ne pas dire une obsession. » 
Il faut réformer le Régime des rentes du Québec. La caisse sera vide 
en 2037. Il cite les modèles chilien et suédois et croit à la 
transformation des régimes de retraite publics en super REER au nom de 
chaque travailleur. « On est dans une spirale. Le système de pension 
n'est pas viable à moyen et long terme. » 
Le système de santé doit s'ouvrir au privé, comme partout dans le 
monde, l'éducation doit être débureaucratisée et plus adaptée aux 
avancées technologiques. 
L'environnement doit rester une préoccupation, certes, mais on ne 
doit pas, en son nom, empêcher de développer notre potentiel énergétique
 comme c'est le cas actuellement. « Les boomers, qui ont été la 
génération la plus pollueuse, veulent se reposer, dit-il, mais les 
jeunes, eux, ont besoin de travailler. » 
Même en immigration, les 
boomers ont erré, dit-il, en 
favorisant une immigration francophone (lire maghrébine) au détriment de
 groupes qui s'assimileraient plus facilement. « Leur discours sur 
l'indépendance a teinté le choix des candidats. » 
Ont-ils fait de bonnes choses, les 
boomers ? 
Bien sûr. « On leur doit de grandes avancées sociales, notamment pour 
les femmes, une société ouverte envers les minorités, comme les 
homosexuels, et sur le monde. Mais du côté économique et financier, je 
n'ai pas de fleurs à leur lancer. » 
 Plus pauvres, les jeunes 
Éric Duhaime n'y va pas avec le dos de la cuillère lorsqu'il dénonce ce qu'il qualifie de « 
hold-up intergénérationnel ». 
« Pour la première fois depuis que nos ancêtres ont foulé le sol du 
continent nord-américain, une génération s'apprête à laisser moins à ses
 enfants que ce dont elle a hérité. (...) Cet appauvrissement relatif de
 la jeune génération n'est pas le fruit du hasard. C'est le résultat 
d'une planification étatique centralisée à l'oeuvre depuis la Révolution
 tranquille (...)  
 Faire le ménage
« Au terme d'un demi-siècle de politiques irresponsables, le Québec 
vit au-dessus de ses moyens. Un électrochoc s'impose et il sera brutal, 
que les politiciens de toutes allégeances le veuillent ou non. (...) 
Nous sommes collectivement obligés de faire le ménage dans le désordre 
laissé par la gabegie de l'endettement public, de l'État providence 
obèse et de la sous-capitalisation des fonds de retraite des années 
1970. Le « début d'un temps nouveau » n'était qu'une illusion, qui 
aujourd'hui est parvenue à la fin de son potentiel d'artifice ».  
 Sur l'environnement 
« Voir les 
boomers verdir en vieillissant a de quoi 
surprendre. Ils auront été, et de loin, la génération la plus pollueuse.
 Ils ont inventé la société de surconsommation (...) Les 
boomers 
ont agi avec l'environnement comme avec les finances publiques : ils se 
sont servis sans trop se soucier des générations suivantes, et à présent
 ils crient que les jeunes doivent faire quelque chose. Maintenant que 
le travail est pour eux chose du passé, ils réclament la quiétude, un 
environnement bucolique et l'élimination des risques de catastrophes 
écologiques. (...) Il est indécent de vouloir profiter des ressources 
albertaines grâce à la péréquation tout en refusant de développer nos 
propres ressources. »
REF.: