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vendredi 1 avril 2011

Le ministère du Revenu s'enfarge dans ses taxe$ !

Impôts -  Victime de la confusion chez Revenu Québec
Claude Plouffe, qui s’estime victime d’une injustice flagrante, a été poussé dans ses derniers retranchements par Revenu Québec. 
© Jean-François Sarrazin/Agence QMI

SANS INDICATIF – L’entrepreneur Claude Plouffe de Gatineau, spécialisé dans la fourniture de repas et de collations aux Centres de la petite enfance (CPE), vit l’enfer.
À LIRE ÉGALEMENT: Revenu Québec se contredit
Alors qu’un agent de Revenu Québec lui avait dit qu’il n’avait pas à percevoir des taxes sur les repas vendus aux CPE, il se retrouve aujourd’hui avec une énorme facture pour taxes non perçues de 125 000 $. Une situation qui met en péril son entreprise et qui l’a amené au bord de la dépression.
M. Plouffe, père de quatre enfants, est un contribuable hors de tout reproche. Avant ce litige qui l’oppose à Revenu Québec, son dossier de taxes était vierge. « Je souffre aujourd’hui parce que j’ai obéi à Revenu Québec », commente-t-il.
L’origine du litige remonte à 2002. L’entreprise de M. Plouffe, La Table de Claude, commence à fournir des repas et des collations préparés pour les enfants des CPE. Il contacte alors Revenu Québec pour savoir s’il doit percevoir des taxes sur cette nourriture.
Le préposé de Revenu Québec lui indique qu’il ne doit pas le faire, car les repas sont préparés pour des enfants.
Avant de fournir des repas aux CPE, Claude Plouffe avait eu comme clients des écoles primaires. En vertu de la loi, les repas vendus à ces établissements sont non taxables. M. Plouffe comprend donc que les CPE tombent dans cette catégorie.
Or, en 2007, il change de comptable et sa nouvelle comptable l’avise qu’il n’y a aucune mention relative aux garderies ou CPE dans la Loi sur la taxe de vente du Québec. M. Plouffe se rend donc aux bureaux de Revenu Québec pour voir de quoi il retourne. La personne qui analyse son cas l’avise alors que les CPE tombent dans une zone grise, mais que, d’après elle, il ne devrait pas percevoir la taxe de vente.
Il sollicite un avis écrit sur la question auprès de Suzanne Dagenais, une employée de Revenu Québec, mais celle-ci ne le rappelle pas.
Malgré ce qui précède, Claude Plouffe reçoit en décembre 2007 la visite de deux vérificateurs de Revenu Québec. Puis quelques semaines plus tard, il reçoit un projet d’avis de cotisation pour 2004 à 2007 où on lui réclame toutes les taxes de vente non perçues auprès des CPE, en plus de pénalités et d’intérêts sur ces sommes.
La vérificatrice Danielle Rhéaume explique à M. Plouffe que c’est « plate », mais qu’il va devoir payer en dépit de la mauvaise information qu’il a reçue du ministère. L’avis de cotisation pour les années 2004 à 2007 atteint 107 553 $ et grimpe ensuite à 125 020 $ à cause des pénalités et intérêts. C’est une somme colossale pour sa petite PME.
Ébranlé par ce qu’il considère être une injustice flagrante, M. Plouffe conteste l’avis de cotisation. Mais comme les cotisations concernent des taxes de vente, le processus de perception n’est pas suspendu pendant cette période et il fait l’objet de mesures de récupération agressives.
Puisqu’il est incapable de payer les montants réclamés, Revenu Québec inscrit une hypothèque légale de 45 000 $ sur sa résidence. À l’été 2009, le compte de banque de son entreprise est saisi et vidé, ce qui l’empêche de l’exploiter et cause un grave préjudice à sa réputation.
Revenu Québec retient aussi le remboursement d’impôt auquel il a droit, divers crédits de taxes et une rémunération pour services rendus à des organismes publics.
M. Plouffe dit être passé à deux doigts de sombrer dans une grave dépression. « La seule chose qui m’a sauvé, c’est la paix du cœur. J’ai le cœur pur. Je sais au fond de moi que je n’ai rien à me reprocher », dit-il.
Ce n’est même pas son argent
La situation est encore plus étonnante quand on considère que l’argent qu’on lui réclame n’est pas le sien, mais bien celui des CPE à qui il aurait omis de réclamer la taxe de vente.
Pour régler le litige, M. Plouffe est obligé de poursuivre trois CPE de Gatineau qui refusent de payer les montants non perçus entre 2004 et 2007.
Dans la foulée de ces poursuites et de ces démêlés, sa relation avec sa clientèle s’est évidemment dégradée. Le chiffre d’affaires de son entreprise est passé de 200 000 $ par année à presque rien.
M. Plouffe survit aujourd’hui en travaillant dans une résidence pour personnes âgées. « Ils sont en train de nous mettre à la rue », affirme-t-il. Pour conserver sa maison, il dit avoir dû imposer des sacrifices à toute sa famille. « Il faut couper partout, on se prive de tout ».
Notons par ailleurs que les CPE ont eux-mêmes droit à une ristourne de 50 % sur les taxes qu’ils paient. Revenu Québec réclame donc 125 000 $ à M. Plouffe, mais devra retourner un peu moins de la moitié de cette somme aux garderies qui devraient en théorie le payer.
Souhaitant avant tout de mettre un terme à ce cauchemar, Claude Plouffe a proposé à Revenu Québec de trancher la poire en deux et de régler pour un montant réduit, même s’il estime n’avoir rien à se reprocher.
Revenu Québec refuse cependant tout compromis et s’entête à réclamer la somme totale. La porte-parole de Revenu Québec, Valérie Savard, n’avait pas rappelé Argent vendredi pour commenter cette situation.

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« Chez Revenu Canada, dans les zones grises, on donne le bénéfice du doute. Chez Revenu Québec, on essaie d’aller chercher le plus d’argent possible »


Impôts

Revenu Québec se contredit


Malgré l’aplomb des fonctionnaires de Revenu Québec qui n’ont pas hésité à inscrire une hypothèque légale sur une résidence, à saisir le compte de banque d’une PME et à retenir des crédits de taxes de l’entreprise de Claude Plouffe, la question de savoir si la nourriture vendue aux CPE est taxable est loin de faire l’unanimité.

À LIRE ÉGALEMENT: Victime de la confusion chez Revenu Québec
Un document obtenu grâce à la loi sur l’accès à l’information contredit fortement la position défendue par les vérificateurs de Revenu Québec.
Dans un avis émis dans un cas similaire à celui de M. Plouffe, qui date de juin 2007, Me Ève Marie Fortin, du Service de l’interprétation relative aux mesures administratives et aux taxes spécifiques de Revenu Québec, soutenait que la fourniture de repas préparés aux garderies et CPE « ne constitue par un service de traiteur ». Cela s’explique notamment par le fait que les aliments ou boissons ne sont pas fournis avec l’ensemble des équipements nécessaires à la consommation des aliments. « En conséquence, la fourniture (…) de repas préparés constitue une fourniture détaxée », écrivait Me Fortin. M. Plouffe signale qu’avant que son dossier ne fasse du bruit, il était courant que des traiteurs ne perçoivent pas de taxes auprès des CPE et qu’il existait des avis divergents au sein du ministère.
L’expert Pierre Nadeau, de Jurifisc.com, soutient qu’il y a une différence marquée entre les attitudes de Revenu Canada et de Revenu Québec en cas de doute. « Chez Revenu Canada, dans les zones grises, on donne le bénéfice du doute. Chez Revenu Québec, on essaie d’aller chercher le plus d’argent possible », explique-t-il.
Pour sa part, l’avocat-fiscaliste Richard Généreux a estimé que Revenu Québec avait des pouvoirs beaucoup trop grands en matière de perception de taxes dans les cas litigieux. « La présomption d’innocence n’existe pas en matière de perceptions de taxes non payées », selon lui.

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mercredi 30 mars 2011

iode radioactif: Il y a des chances que l'Alaska en soufre

Fukushima

Iode radioactif en mer

 D'après le trajet des courants marin,tout près du Japon,le courant Kuro Siwo et le courant marin du Pacifique nord ,ces courants marins vont droit vers l'Alaska et les côtes de la Californie.D'ici plusieurs année ,cette flore marine en souffrera t' elle ?...............probablement que Oui,car toute la flore de la colonne d'eau qui alimente les espères plus grosses comme les baleines etc......vont s'en ressentir.

OSAKA - Un taux d'iode radioactif 1.250 fois supérieur à la norme a été mesuré en mer à quelques centaines de mètres au large de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima (nord-est du Japon), a annoncé samedi l'Agence japonaise de sûreté nucléaire.
L'Agence a précisé que les tests avaient été réalisés par la compagnie d'électricité gérant le site, Tokyo Electric Power (Tepco).
Mardi, ce taux d'iode 131 avait été détecté à un niveau 126 fois supérieur à la limite légale fixée par le gouvernement dans l'océan Pacifique à proximité de la centrale de Fukushima Daiichi (N°1).
Les pouvoirs publics avaient alors annoncé un renforcement des contrôles sur les poissons et fruits de mer pêchés le long des côtes.
Cette centrale, située à 250 km au nord-est de Tokyo, a été gravement endommagée par le séisme et le tsunami du 11 mars. Les systèmes de refroidissements de quatre réacteurs sont depuis en panne, entraînant de multiples incidents et des rejets radioactifs.
Déja le 26 Mars  samedi ,sur des échantillons d'eau de mer prélevés à 300 mètres au sud du réacteur 1 montraient une présence d'iode radioactif 1850 plus élevée que la normale. Ce taux était dix fois moins élevé en début de semaine. «le 31 mars, vers 09H30 (00H30 GMT), les ouvriers ont découvert que de l'eau d'une radioactivité de 1 000 millisieverts par heure s'était accumulée dans un puits» proche de la mer, a déclaré un responsable de Tokyo Electric Power (Tepco).

Le 4 avril, l'exploitant de la centrale nucléaire de Fukushima, au Japon, a été contraint de rejeter lundi 10 000 tonnes d'eau contaminée dans l'océan Pacifique,l'eau qui va être déversée dans la mer est environ 100 fois plus radioactive que les seuils autorisés, a précisé Tokyo Electric Power (Tepco), l'opérateur de la centrale.
L'iode 131 et les césiums 134 et 137 constituent les principales sources de contamination.
Au bout de quelques mois, l'iode, qui perd la moitié de sa radioactivité en huit jours, disparaît totalement. La première année, le césium 134 contribuerait pour près de 75% à l'exposition externe (hors inhalation ou ingestion de denrées contaminées), le reste résultant principalement de la présence de césium 137. Les années suivantes, le césium 137 deviendrait très largement majoritaire. Or, sa radioactivité met plus de 30 ans à diminuer de moitié.

La Chine a annoncé qu'elle allait surveiller de près les initiatives japonaises, s'inquiétant notamment des effets pour l'environnement du déversement en mer d'eau radioactive. La Corée du Sud a elle aussi critiqué les autorités japonaises, leur reprochant de ne pas avoir informé les pays de la région de ces rejets en mer. 

Le 6 Avril 2011:
Un taux d'iode radioactif 4 800 fois supérieur, puis 600 fois supérieur à la norme légale a été mesuré dans la mer. Le niveau de radiation de l'eau restant dans les réacteurs est pour sa part cinq millions de fois supérieur aux normes légales.Sur le plan sanitaire, l'inquiétude est montée d'un cran avec la découverte par le ministère chinois de la Santé de traces d'iodes radioactifs dans des épinards cultivés dans trois provinces chinoises.
L'iode 131, dont la durée de vie se réduit de moitié tous les huit jours, inquiètent moins les experts que le césium 137, également présent dans l'eau radioactive, et qui lui a une durée de vie de 30 ans.
Les experts craignent que la chaîne alimentaire soit contaminée en amont, à travers le plancton qui est consommé par les poissons.

Le 12 Avril 2011:
Le gouvernement a commencé à préparer «l'après-urgence» dans les environs de la centrale, où quelque 80 000 personnes ont déjà été évacuées dans un rayon de 20 km.
À cette zone d'exclusion viendront s'ajouter des localités situées parfois à des dizaines de kilomètres plus loin où des niveaux élevés de radioactivité ont été relevés.
e fait que l'impact de l'accident de Fukushima n'était, jusqu'à présent, pas aussi dévastateur que celui de la centrale ukrainienne.
Cette région, essentiellement agricole, pourrait rester inhabitable de longues années, comme à Tchernobyl où une zone d'exclusion de 30 km est en vigueur depuis 25 ans.
Le fait que l'impact de l'accident de Fukushima n'était, jusqu'à présent, pas aussi dévastateur que celui de la centrale ukrainienne(en Russie et de niveau 7).
«En termes de volume d'émissions radioactives, nos estimations les évaluent à environ 10% de celles émises par Tchernobyl», a indiqué Hidehiko Nishiyama, son directeur-adjoint.
Survenue le 26 avril 1986, l'explosion du réacteur 4 de la centrale ukrainienne avait projeté, en dix jours, près de 12 milliards de milliards de becquerels dans l’environnement, soit 30 000 fois l’ensemble des rejets radioactifs atmosphériques des installations nucléaires dans le monde en une année.



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Ténacité exemplaire,......mais dans une mauvaise cause

Poursuite contre cinq ex-collègues - Valery Fabrikant perd sa cause, 19 ans plus tard
Le tristement célèbre auteur de la tuerie de l’Université Concordia, Valery Fabrikant.  
© Archives QMI
Poursuite contre cinq ex-collègues

Valery Fabrikant perd sa cause, 19 ans plus tard

Quant tu dis ,que tu fait peur aux juges,parce qui en peuvent plus......................et que t'es prêt a attendre 19 ans ,ça c'est de la ténacité ! ;-)

L’ex-professeur de mathématiques et tristement célèbre auteur de la tuerie de l’Université Concordia, Valery Fabrikant, a finalement perdu la bataille judiciaire qu’il a amorcée il y a 19 ans contre cinq anciens collègues.
Le septuagénaire accusait ces derniers de s’être indûment approprié le fruit de ses recherches au début des années 1980. Il avait d’ailleurs déposé sa poursuite quelques mois avant d’abattre de sang froid quatre autres collègues, le 24 août 1992.
Le juge en chef de la Cour supérieure, François Rolland, a donc donné raison aux défendeurs après un peu plus de deux semaines d’audiences.
Rappelons que l’affaire a longtemps traîné devant les tribunaux puisque deux juges se sont coup sur coup retirés du procès, incapables de supporter le comportement intempestif de Fabrikant devant la cour.
Le juge en chef Rolland avait d’ailleurs annoncé que l’une de ses résolutions pour l’année 2011 était de mener à terme ce procès.
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mardi 29 mars 2011

L’opinion de la population sur le travail policier ?...............vous le savez !

Montréal - Consultation publique sur le travail policier
 
© Agence QMI / Archives

MONTRÉAL – Afin de connaître l’opinion de la population sur le travail policier, la Commission de la sécurité publique de l’agglomération de Montréal invite les citoyens à participer à une grande consultation.
Cette consultation, intitulée «Policiers et citoyens, ensemble pour la communauté montréalaise», est la première du genre dans l’histoire du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).
Ces dernières années, afin d’améliorer ses relations avec les citoyens, le SPVM a mis sur pied plusieurs programmes de formation et élaboré diverses mesures.
«Marc Parent (le directeur du SPVM) veut vraiment qu’il y ait un rapprochement entre les policiers et la population. Il veut tenir compte de la clientèle marginalisée ainsi que des jeunes issus des différentes communautés culturelles», a affirmé Nicole Paquette, de la Direction du greffe.
Lors de sa nomination en septembre dernier, M. Parent avait fait part de sa volonté de faire du SPVM «un service dans sa communauté, plus proche des réalités et des dynamiques propres à chaque quartier».
Au cours de cette consultation, chaque citoyen aura l’occasion de s’exprimer. Parmi les sujets de discussion : la perception de l’organisation policière ou l’image qu’ont les citoyens des policiers du SPVM.
La première séance se déroulera le 1 avril 2011,la deuxième séance aura lieu le 31 Octobre 2011.

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lundi 28 mars 2011

Près d'un milliard d'individus manqueront d'eau en 2050

Étude - Près d'un milliard d'individus manqueront d'eau en 2050
Aujourd'hui 150 millions de personnes consomment moins de 100 litres d'eau par jour. L'Américain moyen consomme 376 litres chaque jour. 

  Plus d'un milliard d'habitants de la planète, surtout dans les villes, vont manquer d'eau d'ici 2050 alors que le changement climatique accélère les effets de l'urbanisation, montre une étude publiée lundi aux États-Unis.Plusieurs projet de réduction d'eau des grandes entreprises,pose de compteur d'eau sont a l'étude,...............les prix a la consommation vont en soufrir,car tout est fait avec de l'eau, et les réseau d'aqueduc sous-terrain sont souvant en piteux état,les pertes sont énormes,les coûts de réparation seront refiler en taxes aux citoyens,en attendant qu'ils soient eux aussi aux compteurs !

Cette pénurie menace les conditions sanitaires de certaines grandes métropoles mondiales et présente un risque pour la faune et la flore si les villes pompent l'eau dans la nature, affirme l'étude parue dans les «Proceedings of the National Academy of Sciences».
Si la tendance actuelle à l'urbanisation se poursuit, vers 2050, quelque 993 millions d'habitants de villes auront accès à moins de 100 litres d'eau par jour pour vivre, ce qui correspond au volume d'un bain par personne.
Si on y ajoute les effets probables du changement climatique, quelque 100 autres millions d'habitants n'auront pas accès à ce volume d'eau, considéré par les experts comme le minimum nécessaire à un individu pour ses besoins en boisson, repas et toilette.
«Il existe des solutions pour que ce milliard de personnes ait accès à de l'eau. Mais cela nécessite beaucoup d'investissements dans les infrastructures et une meilleure utilisation de l'eau», souligne le principale auteur de l'étude, Rob McDonald, du centre d'études privé The Nature Conservancy.
Aujourd'hui 150 millions de personnes consomment moins de 100 litres d'eau par jour. L'Américain moyen consomme 376 litres chaque jour.

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Un téléphone à écran transparent signé Aston Martin et Mobiado


Industrie du luxe - Un téléphone à écran transparent signé Aston Martin et Mobiado
L'écran transparent et tactile du CPT002 est fait d'un saphir résistant.  
© Courtoisie

Deux sociétés de l'industrie du luxe, le constructeur auto Aston Martin et le fabricant high-tech Mobiado, ont imaginé un concept de téléphone mobile dont l'écran est totalement transparent. Et en plus de ses fonctions de téléphonie, le CPT002 fait office de clé pour ouvrir les portes d'une Aston Martin.
Mobiado ne détaille toutefois pas les caractéristiques techniques de ce concept de téléphone mobile, qu'est le CPT002. L'écran transparent et tactile capacitif est toutefois constitué en saphir résistant. Les bords de l'appareil sont en platine et contiennent la batterie, les composants électroniques et l'emplacement pour la carte SIM.
Le CPT002 est aussi une clé pour ouvrir les portes d'une Aston Martin. Lorsque le possesseur s'approche de son véhicule, les portes s'ouvrent automatiquement même si le téléphone reste dans la poche du pantalon.
Une fois à l'intérieur, le téléphone se synchronise avec le système GPS du véhicule. Avec Foursquare, le conducteur peut indiquer où il se trouve à ses amis; les caméras intégrées servent à prendre des vidéos ou des photos des lieux où l'on se trouve notamment lors d'un voyage et sont ensuite postées sur Facebook ou Twitter.
En cas d'accident, le système de coussin gonflable de la voiture est quant à lui relié à l'accéléromètre du CPT002 pour réagir en fonction du mouvement de l'appareil, si ce dernier se trouve sur le conducteur pour que le déclenchement du coussin gonflable et le blocage de ceinture de sécurité soient plus réactifs encore.

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Bénévolat: BLG , Programme national de lecture aux enfants !

Les programmes communautaires de BLG prennent la forme de diverses activités comprenant le travail juridique gratuit, la collecte de fonds et le bénévolat. En général, le cabinet appuie les initiatives axées sur les enfants, l'alphabétisation, la lutte contre le cancer et les services destinés aux moins nantis.

la lecture et les enfants

Après deux années d'élaboration, le cabinet a officiellement lancé en septembre 2003 son programme national de lecture aux jeunes enfants dans les écoles de milieux économiquement défavorisés. Dans le cadre du programme BLG, la lecture et les enfants, plus de 400 employés de tous les bureaux de BLG font la lecture à des enfants de la maternelle à la 3e année dans des écoles de leur région. Le programme a en outre établi un partenariat avec des organismes existants comme Ottawa Reads, Calgary Reads et plusieurs commissions et conseils scolaires.
Selon les professionnels canadiens de l'éducation, l'alphabétisation est une grande priorité. Tous les experts s'entendent sur une chose : si un élève du primaire ne parvient pas à lire convenablement avant la 3e année, son avenir s'annonce sombre.
BLG a reconnu l'importance d'un tel défi et a élaboré un programme communautaire d'envergure offrant une aide précieuse et enrichissante aux enfants des milieux défavorisés.
Peu après la fusion des cinq cabinets fondateurs au printemps de 2000, les coprésidents du cabinet ont mis BLG au défi d'élaborer une initiative nationale visant à fournir des services à nos collectivités. Ce défi a donné lieu à l'établissement du Comité national des coprésidents, constitué de représentants bénévoles de chacun des cinq bureaux de BLG. Par suite d'efforts de collaboration et de recherche d'idées, l'équipe a élaboré le programme BLG, la lecture et les enfants qui a reçu l'approbation de notre Conseil national.
Trois points clés expriment les principes fondamentaux du programme BLG, la lecture et les enfants :
  • Nous nous efforçons de développer l'amour de la lecture et notre objectif est d'aider et de soutenir les enfants.
  • Notre engagement est significatif et durable puisque nous reconnaissons que tout programme auprès des enfants exige la création et le maintien d'une relation sincère, stable et fiable avec les écoles et les enfants. Pour que le programme de BLG soit véritablement bénéfique à nos communautés, il lui faut maintenir à long terme son engagement et sa visée.
  • Afin d'assurer une participation active, BLG s'est fermement engagé à soutenir à fond et à promouvoir le programme, et nous encourageons activement tous les membres du cabinet à l'échelle du pays à y participer, notamment en libérant nos bénévoles de leurs fonctions régulières.
Depuis son lancement en septembre 2003, le programme continue à se développer avec succès et à susciter l'intérêt et les commentaires positifs de la collectivité. Nous cherchons à cibler les écoles de quartiers défavorisés qui sont les plus susceptibles de tirer profit de nos lecteurs bénévoles. BLG a établi un partenariat avec deux organismes existants qui jumellent des adultes bénévoles avec des écoles : Ottawa Reads et Calgary Reads. À Montréal, le programme BLG, la lecture et les enfants s'exprime en français et en anglais par l'entremise des commissions scolaires. À Vancouver, le cabinet a établi un partenariat avec le Vancouver School Board et fait la lecture dans deux écoles de quartiers défavorisés : Lord Roberts Elementary School et Lord Roberts Annex. À Toronto, BLG a fait équipe avec le Toronto District School Board dans le cadre d'un projet d'apprentissage de la lecture chez les jeunes enfants.
Des études démontrent que nombre d'écoles et de régions défavorisées n'ont pas suffisamment de livres et de matériel didactique pour susciter la passion de la lecture. BLG a, par conséquent, décidé d'appuyer le programme par une campagne de donation de livres.

 REF.: BLG (Borden ,Ladner, Gervais)

Troc, échange,co-op,..........encore mieux L'Accorderie !











Le troc est l'opération économique par laquelle chaque participant cède la propriété d'un bien (ou un groupe de bien) et reçoit un autre bien. Le troc fait partie des échanges dits de compensation, avec l'échange de services au pair.
On oppose le troc à l'opération d'achat-vente médiatisée par une monnaie.
Un système d'échange local (ou SEL) est un système d'échange de produits ou de services construit à côté du système monétaire classique. Classé généralement dans l'économie sociale et solidaire, il s'appuie dans une large mesure sur les mêmes bases que l'économie de marché.La coopération est une forme d'organisation collective qui encadre parfois des relations économiques. Elle existe :


Qu’est-ce qu’une Accorderie ?
Une Accorderie, c’est un système d’échange de services qui regroupe toutes les personnes intéressées à échanger entre elles différents services tels que du dépannage informatique, de la traduction de texte, du transport, des formations, de l’aide pour une déclaration d’impôts, etc. Les membres d’une Accorderie, les Accordeurs, ont accès aux services des membres de « leur » Accorderie locale, ainsi qu’aux services offerts dans une Accorderie implantée ailleurs au Québec.
De plus, en devenant Accordeur, une personne a accès aux activités collectives d’échange offertes par son Accorderie locale, soit à des services d’intérêt général qui s’adressent à l’ensemble des Accordeurs. Ces activités peuvent prendre différentes formes. À Québec, par exemple, un service d’achat regroupé de produits alimentaires et un système de crédit solidaire ont été mis en place.
Pour en savoir plus !
Voici un courriel envoyé au Réseau Accorderie par Judi Richards le 17 février dernier. Notre coup de coeur !

L’Accorderie, Qc,
Pour l’idée de l’Accorderie, son développement, sa continuité, pour l’entraide que vous incitez et le nouveau souffle offert à tous les jours ! ...bravo bravo bravo !
Quelle belle réponse à notre société en panne de solidarité. Merci !
Étant une narratrice pour l’émission de la série Naufragés des villes, j’ai pu voir avant tout le monde, le témoignage tourné pour le 10e épisode par un de vos Accordeurs ! Intriguée et intéressée, j’ai fait un tour sur votre site. Votre vidéo est très bien fait, très informatif et donne le gout de répandre la nouvelle (certaines entre nous ne sont pas si informés que ça !)
Et même de voir si on n’aura pas un service à rendre ! Bravo encore... Ai-je besoin de dire ne lâchez pas ? ... I don’t think so ! ;-)
judi

Note : Radio-Canada a produit une télé-série de 10 épisodes qui abordent différents thèmes qui se profilent derrière celui de la pauvreté : le défi du logement, les contraintes alimentaires, le phénomène d’endettement, l’accès aux soins, la réinsertion au travail, les réseaux d’entraide, l’estime de soi, etc.
Dans le 10e épisode, une AccordeurE de Montréal témoignera de son expérience à L’Accorderie.
À suivre sur RDI.
La série a débuté lundi le 31 janvier 2011.   
Voir en ligne : Le site de l’émission Naufragés des villes







OU ça ? ...............Parrrrrrtout au Québec et ça grossit !


Réseau Accorderie
Directrice : Madeleine Provencher
Téléphone : (418) 525-0258, poste 229
Télécopieur : (418) 525-1177
Courriel : madeleine.provencher@accorderie.ca

160 rue St-Joseph Est, bureau 2.4
Québec (Qc) G1K 3A7

L’Accorderie de Montréal-Nord

Animatrice à la vie associative : Noria Belamri
Téléphone : (514) 759-0697
Courriel : montreal.nord@accorderie.ca

11460, Avenue Pelletier, app. 201
Montréal (Qc) H1H 3S4

Horaire :
Lundi au vendredi : 9h-12h / 13h-17h
En soirée sur rendez-vous

L’Accorderie de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve

Animatrice à la vie associative : Jacqueline Lamontagne
Téléphone : (514) 544-3560
Courriel : mercier-hochelaga-maisonneuve@accorderie.ca

4903 rue Ontario Est, #002
Montréal (Qc) H1V 0A8

Horaire :
Mardi au vendredi : 9h-12h / 13h-17h
L’Accorderie de Québec
Coordonnatrice : Claudine Tremblay
Animatrices : Janie Roberge et Véronica Rioux
Téléphone : (418) 525-0258, poste 235 (coordonnatrice)
Télécopieur : (418) 525-1177
Courriel : quebec@accorderie.ca

160 rue St-Joseph Est
Québec (Qc) G1K 3A7

Horaire :
Lundi, mardi, jeudi et vendredi : 9h-12h / 13h-17h
Mercredi : 9h-12h / 13h-19h
L’Accorderie de Shawinigan
En démarrage

Coordonnateur : Frédéric Trudelle
Téléphone : (819) 537-8851
Télécopieur : (819) 537-0515
Courriel : shawinigan@accorderie.ca

Centre Roland-Bertrand
2183, Avenue St-Marc
Shawinigan (Qc) G9N 2J4

Demandez Frédéric
L’Accorderie de Trois-Rivières

Coordonnatrice : Anick Rainville
Téléphone : (819) 379-5111
Courriel : trois.rivieres@accorderie.ca

1060 rue St-François-Xavier, Bureau 335
Trois-Rivières (Qc) G9A 1R8

Horaire :
Du lundi au jeudi : 9h30-12h / 13h30-16h30
Vendredi : 9h30-12h






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