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jeudi 25 octobre 2018

Les Taupes de la SAAQ



Le problême a sorti en 2003,dans le plus grand secret.
Les deux taupes: Ginette Martineau,51 ans et Raymond Turgeon, 53 ans.
Les deux taupes se sont reconnues coupables d'avoir consultées frauduleusement des renseignements confidentiels de la SAAQ portant sur de nombreux individus qui ont défrayés les manchettes au cours des dernières années. Dont,certainement M.Michel Auger(celui qui s'est fait tiré,au journal de Mtl)qui avant même cette comparution a eut le temps d'écrire un livre sur son attentat et de faire des documentaires sur le crime organisé,en parlant aussi des taupes de la SAAQ.

A ce moment la,Michel Auger passait devant le juge Maurice Galarneau pour raconter comment ,le 13 Sept. 2000 ,il a été victime d'un attentat dans le stationnement du journal de montreal.
Aussi le procureur de la couronne me Randall Richmond ,lui a demandé, a Auger ,s'il a été a la SAAQ avant son attentat. Et ,si il a été déja a la succursale de la SAAQ de la rue ontario,ou travaillait la taupe Ginette Martineau.La réponse fut non !
Car, G. Martineau a déja consulté son dossier a la SAAQ , a ce moment ! Peut-être a la demande des Hells ?

Le juge Galarneau a demandé un interdit de publication des témoignages de M. Auger ,des policiers Gilles Greffe (spéçialiste du renseignement criminel).

 Le juge Maurice Galarneau, de la Cour du Québec, a ainsi condamné Raymond Turgeon à cinq ans de pénitencier, alors que sa complice, Ginette Martineau, écope de trois années derrière les barreaux.
Le couple, qui travaillait pour un mandataire de la SAAQ dans l'est de Montréal, avait plaidé coupable à 25 actes d'accusations pour avoir vendu, à 200 dollars pièces, des renseignements portant sur des certificats et des plaques d'immatriculation.

Raymond Turgeon n'a plus que huit mois d'emprisonnement à faire puisqu'il a déjà purgé plus de deux ans de détention préventive. Ginette Martineau, elle, n'a passé que 21 jours en prison depuis sa mise en accusation et devra donc passer 35 mois en réclusion.

* La nouvelle taupe d'un réseau de voleurs de véhicules a été découverte par la police au sein d'un bureau de la Société d'assurance automobile du Québec à Saint-Jérôme.
C'est dans le cadre de l'Opération Piranha, visant des criminels à l'oeuvre dans les Basses-Laurentides, que la Sûreté du Québec a découvert la corruption de la préposée au comptoir dans une agence faisant affaires pour le compte de la SAAQ.
L'Opération Piranha a jusqu'à maintenant amené la Section du crime organisé de la SQ à procéder à 59 arrestations au Québec, dont un avocat criminaliste, un membre en règle des Hells Angels et des personnages impliqués dans le trafic de drogues diverses.
La bande démantelée faisait dans le vol et le recel de machinerie lourde et de véhicules automobiles, d'après la police.
Depuis cinq ans, les diverses enquêtes policières ont permis d'identifier plusieurs taupes au sein de la SAAQ, dont une femme qui a fourni aux Hells Angels des détails sur 25 personnes que les motards voulaient assassiner.
Prison
Ginette Martineau a été condamnée à 34 mois de prison pour avoir mis les motards sur la piste de neuf personnes qui ont été blessées ou assassinées après qu'elle eut livré des renseignements personnels.
À la suite de cette enquête, la police avait découvert que des fonctionnaires de la SAAQ avaient consulté «illégalement» au moins 35 dossiers de citoyens.
Hier, la SAAQ n'a pas rappelé Le Journal de Montréal.
Saint-Jérôme
Manon Labelle, 49 ans, de Saint-Jérôme, est accusée de corruption et d'avoir participé aux activités d'un gang criminel pour avoir facilité l'enregistrement de véhicules automobiles volés.
Le lieutenant Patrick Bélanger de la SQ a dit que l'enquête avait démontré que la femme acceptait «de l'argent» pour finaliser le maquillage des véhicules volés dans la région nord de Montréal.
Ces véhicules, munis de nouveaux papiers «officiels», étaient ensuite écoulés un peu partout au Québec.


REF.:

samedi 21 mai 2011

Big Brother parental pour jeune conducteur


Gadget - Big Brother parental pour jeune conducteur
Jocelyn Désy, président de TECHNICOMM
©Agence QMI

Une entreprise québécoise offrira bientôt une technologie qui permettra aux parents de surveiller leurs jeunes conducteurs.
TECHNICOMM s’apprête à lancer sur le marché canadien un nouveau gadget pour que les parents contrôlent à distance les déplacements de leurs enfants.



«Le système interactif CONTACT combine la technologie du GPS et du cellulaire. Les parents peuvent ainsi établir une limite de vitesse que le conducteur ne peut dépasser, ou empêcher la voiture de démarrer après une certaine heure», explique Jocelyn Désy, président de TECHNICOMM, qui se spécialise dans la communication sans fils et dans l’installation d’accessoires automobiles.Plusieurs options s’offrent encore aux parents. Lorsqu’un jeune conducteur dépasse la limite de vitesse préconisée, une alarme très dérangeante retentit et ne s’arrête que si le conducteur ralentit. Un courriel est alors envoyé aux parents en précisant les faits.
«C’est comme si un mentor était assis dans la voiture car il peut voir en temps réel, les déplacements, la vitesse et la localisation du véhicule sur son ordinateur, sa tablette et même sur son téléphone intelligent», ajoute-t-il.
«La plupart des personnes que nous avons interrogées sur le dispositif affichaient au début un certain scepticisme. Mais, si nous les laissions choisir entre augmenter l’âge d’obtention du permis de conduire à 18 ans ou imposer un couvre-feu et CONTACT, la plupart choisissaient le système interactif», précise le président.

Changer les habitudes
Le coroner Yvon Garneau a effectivement recommandé, au début du mois de mai, à la Société d'assurance automobile du Québec (SAAQ) d'imposer un couvre-feu de minuit à 5 h du matin à tous les conducteurs de moins de 24 ans. Cette proposition fait suite à un accident de la route au cours duquel quatre jeunes ont trouvé la mort à Drummondville en octobre 2010.
«Immédiatement après l’installation, nous prévoyons un changement des habitudes de conduite, diminuant ainsi directement les risques d’accident, l’usure prématurée du véhicule et la consommation d’essence», continue M. Désy.
TECHNICOMM s’apprête à signer un contrat avec un distributeur présent à l’échelle nationale, dévoile M. Désy. Il n’a pas tenu à préciser le nom de ce distributeur, mais il s’agit d’un garage indépendant.
«Nous n’avons pas voulu traiter avec des concessionnaires, car nous souhaitions que la technologie puisse s’installer dans toutes les autos», ajoute-t-il.
«Nous avons cependant approché les compagnies d’assurance qui se sont montrées très intéressées par le projet. Elles attendent, toutefois, que le dispositif soit disponible en vente avant d’élaborer un quelconque contrat», ajoute-t-il. Les compagnies d’assurance pourraient utiliser ce système pour réévaluer les primes de leurs clients.
Le système interactif CONTACT devrait couter environ 400 $ à l’achat. À cela s’ajoute un abonnement mensuel de 20$ qui permettra, entre autres, de payer les frais d’accès à un réseau cellulaire.
TECHNICOMM, qui est basée à Berthierville emploie près de 25 personnes. Elle possède trois autres succursales à Repentigny, Montréal et Boucherville.

REF.: