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jeudi 28 septembre 2023

UNE ENTREPRISE FRANÇAISE PROMET UN DIAGNOSTIC MÉDICAL GRÂCE À UN SIMPLE SELFIE VIDÉO

 UNE ENTREPRISE FRANÇAISE PROMET UN DIAGNOSTIC MÉDICAL GRÂCE À UN SIMPLE SELFIE VIDÉO

Par Julie Ragot et Melinda Davan-Soulas

Le 09/01/2023 à 21:32  | MAJ le 10/01/2023 à 11:16

Caducy mesure les données de santé grâce à un selfie vidéo de 30 secondes avec @Caducy_iVirtual


Mute

Avec Caducy, la start-up i-Virtual veut améliorer la prévention et le diagnostic grâce à un calcul de plusieurs paramètres vitaux. Un simple selfie vidéo d’une trentaine de secondes sera nécessaire.

Savoir si vous êtes en bonne santé grâce à une vidéo de 30 secondes? Cela est possible grâce à la startup i-Virtual. Du moins, d'après ses promesses. L’entreprise française a développé une technologie permettant de mesurer plusieurs paramètres vitaux à distance, uniquement grâce à un selfie vidéo.


Le diagnostic final contient entre autres le rythme cardiaque, la fréquence respiratoire, le niveau de stress, mais aussi la tension artérielle, le tout sans brassard ni accessoire autre nécessaire. "Ce sont des paramètres physiologiques qui vont être mesurés grâce à la peau du visage", indique Gaël Constancin, président d’i-Virtual, à Tech&Co.



Grâce à la "photopléthysmographie sans contact", l’appareil utilisé va permettre de recueillir toutes les données nécessaires, notamment avec les formes d’ondes du pouls. Les mouvements de la cage thoracique et les flux sanguins sont aussi pris en considération par l’algorithme. La société espère à terme aussi pouvoir ajouter la détection de l’oxygénation du sang.


Une simple caméra ou webcam est requise, qu’importe le type et l’ancienneté de l’appareil. "N’importe quel smartphone, même un iPhone 6, tablette ou ordinateur peut être utilisé", affirme le président de i-Virtual. Le logiciel vérifie toujours en amont la qualité de la webcam avant de lancer le processus.


Nous avons testé le concept durant deux jours passés au milieu du brouhaha du salon CES de Las Vegas. Les données se sont avérées cohérentes avec nos constantes habituelles, mais aussi en comparant avec les relevés de notre montre connectée.


Module intégré aux plateformes de téléconsultation

Cet outil n’est toutefois pas proposé aux internautes sous la forme d’une application tierce. Il s’agit d’un module intégré à certaines plateformes de téléconsultation, mais aussi aux sites Internet d’assurances et mutuelles. Il pourrait être utilisé également par des médecins dans le suivi à distance, notamment pour la détection arythmie cardiaque et le suivi des pathologies respiratoires, car d’autres paramètres vont être ajoutés.



Et i-Virtual tend aujourd’hui à s’exporter à l’international. Après avoir développé son outil en France, l’entreprise messine propose désormais ses services sur le marché européen, en Suisse, en Italie ou au Portugal. "Les pays scandinaves sont également l’un de nos objectifs, car ils ont une forte appétence en matière de e-santé", a évoqué Gaël Constancin. La demande de l’entreprise pour obtenir un marquage CE est en cours. Cela lui permettrait de s’inscrire dans le parcours patient officiel.



Mais Caducy n’est pas le seul projet d’i-Virtual. L’entreprise travaille également avec Stellantis afin de pouvoir à terme mesurer les variables d’un conducteur. "On voudrait pouvoir mesurer les données cardio-vasculaires afin de pouvoir adapter la climatisation de l’habitacle, le bien-être des passagers et du conducteur, voire réaliser de la téléconsultation au sein de voiture autonome", explique Gaël Constancin.


REF.: https://www.bfmtv.com/tech/actualites/ces-2023-i-virtual-offre-un-diagnostic-medical-grace-a-un-simple-selfie-video_AV-202301090752.html

DOSSIER : CES 2023

Par Julie Ragot et Melinda Davan-Soulas

mardi 26 septembre 2023

Destruction de l’égrégore supramental

 

No 42 Destruction de l’égrégore supramental

Le supramental est une nouvelle vogue pour les intellectuels et les philosophes. Plus ils en parlent à partir de leur vibration intellectuelle, plus ils en diminuent la vibration, la rendant même ridicule, et le supramental ne devient qu’un simple point de vue discutable.

Michel Dow

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Dans le supramental, ce que nous appelons les intelligences sur les plans de l'éther, sont des êtres totalement absents. Il devient idiot de maintenir un certain sentiment, un certain regard dit supramental, afin d'entretenir dans notre ego, dans notre cerveau, un certain avenir avec des êtres intelligents du cosmos qui représentent en réalité l'énergie que l'homme n'utilise pas, à cause de l'enseignement philosophique qu'il a reçu concernant cette dimension, qui semble-t-il amènera encore beaucoup de jasette pour les prochains centenaires.

Les hommes aiment bien se regrouper pour jaser entre eux et se faire valoir, comme des personnes qui n'ont absolument rien à dire de réel, mais qui prétendent néanmoins qu'elles sont de la même espèce. Il y aura toujours des gens qui courront vers des débats philosophiques, puisqu'ils auront toujours besoin d'affection émotionnelle supramentalisée et de discussions intellectuelles pour se ressouvenir que « ça ne marche toujours pas » après toutes ces années de débats et de discussions qui sont devenues comme un vrai marché aux puces.

En réalité, tout n'est que question de survivre à l'inévitable, c'est-à-dire la bêtise humaine, la bête, l'humain et la conscience sans fin. Cette conscience sans fin s'est infiltrée dans l'avènement supramental.

Avant, l'homme se cherchait à travers toutes les formes de philosophies. Maintenant, puisqu'il est plus évolué, il s'enchaîne à l'avènement supramental, sans rien pour se protéger lui-même, dans des sentiers où les intervenants jouent à la balle... et guère à celui qui l'attrapera...

Il n'y a pas de science dans le cerveau chez l'homme, dans son intellect ou dans son mental dit supérieur pour réaliser l'ampleur de l'avènement supramental. Tout n'est que jasette, un simple réchauffé... On se croit obligé de s'associer à des êtres dits conscients, lorsqu'en réalité, les gens n'essaient que de survivre entre eux comme le faisait l'homme dit ancien, qui lui survivait dans les brasseries, les tavernes ou les bordels de toutes sortes.

L'avènement supramental a été totalement boycotté dans son aspect réel et il ne reste que la mémoire inachevée de l'un ou de l'autre qui sert de discussion philosophique, de spectacle, de show off. Après toutes ces années, c'est curieux de voir des gens, qui autrefois étaient conscients, se retrouver sous le même toit de l'incompétence.

L'élitisme rassemble tous les intervenants qui ont quelque chose à jaser. Ils n'ont absolument rien à dire, mais « the show must go on ». Le plus important, c'est de faire croire aux autres qu'on a rien compris et qu'ensemble on va y arriver. La joke c'est que personne n'arrive en même temps là où on doit arriver. Dire qu'il n'y a pas de fin à la conscience dite supramentale laisse entendre que l'être humain seul avec lui-même ne peut y arriver sans les intervenants, les surveillants ou les autorités de la conscience nouvelle.

Le supramental n'existe plus. Il a été philosophisé, égrégorisé et intellectualisé pour donner l'impression que cet avènement s'adressait bien à l'homme, au chercheur, à l'être dévoué, et il est finalement devenu une affaire de masse et d'opinions. Si une personne était le moindrement consciente, elle pourrait regarder pour elle-même où elle en est depuis toutes ces années et constater avec désolation qu'elle porte toujours les mêmes vieux vêtements que la masse dite inconsciente. Malgré son discours, l'humain demeure toujours un homme ancien et il est encore plus inquiet que ce dernier pour son avenir.

Michel Dow

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La science que possède le conscientisé, c'est-à-dire le survivant, l'homme de son temps, n'a plus aucun égard pour les philosophies et les discussions supramentalisées. La conscience supramentale est une belle baloune pour l'ego qui n'a rien à faire de réel dans sa vie.

Lorsque l'ego aura assez soufflé dans la baloune du supramental et que le supramental lui aura donné une heure de gloire, de paraître ou de fantaisie, soit que l'ego meurt ou qu'il reprenne son nouveau souffle de vie individualisé.

L'homme ne parle pas à l'homme. L'homme parle pour lui, il aime s'écouter parler. Il ne fait qu'échanger ses images avec un autre qui échange les siennes, et ensemble, ils jasent de tout et de rien. Ensuite, chacun repart avec ses convictions, ses vérités et son intellect et ils se disent : « À la prochaine ! ».

L'intellectuel, le philosophe, l'homme ancien ou l'ego supramentalisé ne peuvent parler, car ils n'ont absolument rien à dire. Ils ne font que se raconter aux autres, qui eux non plus n'ont rien à faire de réel, sauf les écouter et croire qu'ils vont finir par comprendre qu'ils n'ont absolument rien compris, sauf une vanité intellectuelle supramentalisée dans laquelle ils portent un vêtement coloré.

Lorsque l'homme nouveau, le conscientisé, détestera l'évolution dite supramentale, dans le sens ancien du terme, il commencera à s'intégrer lui-même avec lui-même. Le réel ne se discute pas, l'intégration ne se présente pas à un être ignorant, voilé et abusé par une forme de conscience sociale dont il entend parler depuis longtemps, mais dont il ne comprend absolument rien, sauf l'illusion de croire qu'il comprend parce qu'il peut en discuter intellectuellement à partir de la mémoire supramentalisée qu'il a accumulée.

Cette mémoire que l'homme a accumulée de la science de l'énergie est totalement fausse, puisqu'elle n'est pas la sienne, mais celle des autres. Elle n'est constituée que de ceux qu'il a écouté jaser. Car tant que l'homme ne peut parler pour lui-même, il est forcé astralement de s'accumuler une mémoire.

L'avènement supramental est rendu à un stade où il a été spiritualisé, philosophisé et égrégorisé mémoriellement par les êtres qui subtilement et inconsciemment l'ont détruit par leur jasette non productive pour s'en accaparer. Ceci devait arriver et est arrivé. Ceci devait être dit et dénoncé, et c'est fait. L'ego en est arrivé à se ramasser des hangars d'égrégores et maintenant il ne peut plus être seul, c'est-à-dire oser parler.

Avez-vous la moindre idée de ce qu'est être seul ? C'est de ne plus jamais ressentir l'illusion affective, astrale ou philosophique d'aider une autre personne.

Alors d'ici-là, on se donne l'illusion d'être intelligent, ouvert et libre dans l'Esprit, en écoutant n'importe qui se raconter. Mais on se fait du mal et on ne finit jamais par arriver chez soi... Mais quel chez soi ?

Nous croyons que l'avènement supramental est une question de connaissances qui doit toucher la masse. Mais la masse a été réduite, bien sûr, elle est devenue une petite minorité dite supramentalisée et hautement évoluée, tellement elle a entendu des commentaires de tous ceux qui inconsciemment ont créé l'égrégore.

Michel Dow

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Seul avec vous-même depuis les dernières années... dans votre tête, dans votre coeur, dans votre émotion et dans vos sentiments... avez-vous réellement changé ? Avez-vous transmuté vos doutes, vos inquiétudes et vos questionnements ?...

N'oubliez jamais que le « show must go on ». Le paraître de la conscientisation, le show du savoir, le show de l'un et de l'autre must go on. Et ce show, ce spectacle, cette sorte de clownerie se poursuit pour ceux qui ne peuvent parler pour eux-mêmes.

Quand l'homme parlera pour lui-même, il se retirera du show. Le show est justement l'échiquier

supramentalisé.

Mais les beaux et grands parleurs, qu'ont-ils faits de réel pour l'être humain, sinon un show, un spectacle qui s'adresse et ne se communique qu'entre eux ?... Et après, les chanteurs se retirent de la scène et la foule entre chez elle... Que reste-t-il alors de réel dans le coeur... et non dans l'intellect ?

Dans ce que l'ego adore jaser, il ne peut même plus faire la différence entre ce qui est vrai et ce qui est réel, tellement son intellect et sa petite personnalité gonflée sont vampiriques. L'ego vaniteux ne sait même pas reconnaître que sa fusion, son lien avec cette même dimension de lui-même a été fait depuis tellement longtemps, bien avant l'arrivée de l'avènement supramental .

Il ne s'agit que de reconnecter les fils pour que l'homme, au-delà de son ego intellectuel, réalise que dans son lointain passé, il a toujours su. Il faut dire à l'homme qu'il sait et qu'il se ressouvient d'avoir su ces choses-là.

Les grands discours supra-mentaux ne réussiront jamais à libérer la conscience réelle de l'homme, pas plus que la spiritualité et la philosophie n'ont réussi à le faire.

Depuis des années, au niveau de son évolution supramentale, l'ego est devenu névrosé d'une science, d'un état vibratoire relié à l'invisible dont il est le parfait cobaye. Et en plus, il ne peut même pas le savoir de lui-même. Les autres ne savent pas qu'ils sont eux aussi névrosés, abusés, étourdis.

L'être normal, l'homme de la rue, le père de famille, cette femme qui s'occupe de ses enfants et de son partenaire, cet homme qui ne sait plus comment lui dire : « Je t'aime, chérie. » Mais non ! Il faut être drôlement supramentalisé de nos jours, avoir l'émotion et le mental froids et mourir tout seul dans son coin. Mais quand tu te couches et quand tu te lèves le matin (si jamais tu as pu dormir un peu) tu le sais au profond de toi, sans te mentir, que ça ne marche toujours pas, puis là, tu te racontes des histoires...

L'homme, dans son attitude à vouloir fusionner, à vouloir être UN avec l'invisible et lui-même, à vouloir mettre un terme à son évolution, est plus coincé que l'homme dit psychologiquement ancien. Mais qu'est-ce qui ne marche pas avec l'homme dit nouveau, l'homme supramentalisé ?

Le problème fondamental est qu'il ne cesse de vouloir être plus nouveau que lui-même. Il veut tellement être nouveau, intelligent, vibratoire et fusionné qu'il est un simple névrosé

Michel Dow

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supramentalisé. Il s'agit de le rencontrer pour constater que cette science n'est pas encore descendue dans son coeur et son corps. Tout est dans sa tête, donc il pense, il s'astralise et il survit séparé de son corps.

Le supramental est une nouvelle vague qui a été attribuée à l'ère du Verseau, parce que l'être humain aime ces choses-là. Puis là, l'être humain à commencé à communiquer avec des formes-pensées créées par l'être humain.

Il a fait des études, il détient des prophéties et il est l'intermédiaire de la comédie cosmique. Et puis là, les sages de la conscience en parlent à partir de leur vibration intellectuelle réfléchie. Et plus ils en parlent, plus ils la diminuent et plus ils la rendent normale, simple et accessible. Et pour finir, elle devient un simple point de vue discutable parmi les intéressés, c'est-à-dire parmi ceux qui supportent les autres à continuer de créer la confusion mentale.

L'homme croit que les êtres dits éthériques, le double, l'Ajusteur de pensée ont un intellect pour comprendre, pour être contents des efforts d'évolution que se font les ego entre eux pour défendre et protéger leurs intérêts supra-mentaux.

Le double, l'Ajusteur de pensée, le survivant, le surhomme, l'homme de l'espace, l'homme de l'éther, appelez-le comme vous le voulez, n'est rien d'autre que l'homme lui-même, confus, perdu, égaré et divisé qui tente névrotique-ment de s'associer avec lui-même, à travers tous ces discours dont les intervenants sont de toutes manières souffrants en eux-mêmes et confus philosophiquement. Ils savent que tôt ou tard leur heure de gloire avec la bête sera terminée et remplacée par un nouvel intervenant dynamique et intelligent, mais parlant toujours le même langage qui ne dérange pas l'Élite.

Un jour, l'homme devra sortir des écoles initiatiques de la Terre et apprendre à envoyer promener les autorités qui croient savoir comment l'éduquer. L'homme n'a pas besoin d'être éduqué, il a simplement besoin de savoir qu'il sait. Mais ceci est énervant pour ceux et celles qui veulent "enseigner".

L'ego est en train de se faire polluer supramentalement par des égrégores qui n'ont aucune réalité avec ce qu'il est en-dedans de lui-même. L'être humain ne sait même pas qu'il a créé la condition évolutive dite supramentale pour se réconcilier avec lui-même, à partir de la névrose planétaire actuelle qu'il lance vers l'invisible comme un cri d'espoir auquel l'éther doit répondre.

Et une fois le cri d'espoir lancé, les intervenants arrivent. Ils sont solidaires, solaires, supramentalisés et ils se "tiennent". Ils sont les nouveaux sauveurs de l'humanité, et l'humanité les croit et se conforme à leurs vérités.

En réalité, rien n'a changé dans ce que nous appelons l'évolution. Il s'agit simplement de faire comme autrefois, c’est-à-dire se conformer et attendre qu'on nous dise que maintenant nous sommes corrects. Mais en faisant ainsi, à qui croyez-vous donner votre pouvoir, votre savoir, votre identité ?

L'homme dit nouveau n'a rien de nouveau que le terme de se croire nouveau. Il doit se remettre en mémoire, c'est-à-dire se ressouvenir de ce qu'il sait depuis toujours et se ressouvenir qu'il a toujours voulu se reconnecter avec son propre savoir.

Michel Dow

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L'être fusionné n'a rien d'autre que le terme d'être fusionné. Mais par qui ? Qui a fusionné l'initié ? Qui a dit à l'homme ancien : « Maintenant, tu es un homme nouveau, tu es vibratoire, tu as la vibration, car je l'ai étudié "moi-même", et oui, tu as la vibration. WOW ! Et tes questions sont intelligentes !... Maintenant, tu fais partie des nôtres... »

Le conscientisé fait intégralement partie de lui-même. Il n'est pas plus grand ou plus petit que lui- même, car il est de son temps. Il n'est pas en devenir d'être plus grand que lui-même demain.

Et si l'homme a une tête dure, et avec raison, puisqu'il y a une raison à toute chose, pourquoi devrait-il s'intéresser à une forme d'évolution consciente, qui en réalité ne le conduira nulle part, sauf dans l'image qu'il se fera de lui-même ? Mais s'il est égal à lui-même maintenant, cette névrose évolutive cessera...

L'homme dit conscient vit dans une image et il s'efforce de la maintenir devant lui-même, devant son couple et devant les autres. Voilà pourquoi il est névrosé. Il croit que ceci lui donne du levier, du prestige, de la vibration... et là, il peut jaser absolument de tout, mais de rien d'important, en autant qu'il n'aille pas trop loin et qu'il respecte par amour les autres personnes névrosées.

Ce que nous appelons supramental ne veut rien dire encore pour l'instant dans son avènement réel. C'est

un terme, un mot qui est seulement imprégné dans le subconscient par l'être humain. C'est une certaine image d'un réel inaccessible, qui tente de prendre sa résolution définitive dans la forme.

Puis, toutes les images sont colorées par la mémoire spirituelle de l'inconscience collective, et le subconscient les matérialisera tôt ou tard. Rien de plus, rien de moins. Et ceci n'est pas un signe d'évolution supramentale, ce n'est que le reflet de l'âme qui prend forme matériellement.

Imaginez-vous une certaine évolution, une initiation solaire à subir pour devenir soi-même, pour devenir réel et avoir une personne réelle, pour fusionner avec l'invisibilité naïve, où au bout du tunnel, l'homme rencontre l'homme, donc lui-même... et il est aussi confus qu'au début de son incarnation. Mais au moins, il lui reste une mémoire expérimentale pour se consoler de n'avoir jamais osé prendre des décisions pour lui-même.

Le fusionné dans sa névrose naïve avec l'antimatière veut rencontrer qui ? Un artiste du cosmos ? Un géniteur d'étoiles ? Un être civilisé d'une autre planète? Un initié ou un extraterrestre qu'il a connu ou dont il a entendu parlé dans le plan de l'absurdité de son ignorance infantile et qu'il a osé croire pour se faire valoir d'être quelqu'un qu'il n'est pas.

L'homme, lorsqu'il prend conscience de lui-même, une fois qu'il devient conscient que jusqu'alors il ne l'était pas, réalise que la conscience supérieure est en lui et avec lui depuis toujours. L'homme a toujours su, mais il n'a pas toujours connu, et sa perte a été la recherche des connaissances qui lui ont fait croire qu'il ne savait pas. Et de là sa confusion entre le réel et le vrai.

Souvenez-vous que vous saviez, il y a 10, 20 ou 40 ans, avant l'événement dit supramental. Vous avez toujours su en esprit avant l'événement. C'est à vous seul d'aller voir que vous saviez.

Michel Dow

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Vous avez toujours su, mais vous l'avez fait quand même. La jeune fille, la femme, qui rencontre un jeune homme, ou vice versa, le sait dans son coeur, et son coeur le lui dit. Vous avez toujours su et cela depuis que vous êtes tout jeune. Ressouvenez-vous de vous.

C'est l'expérience du libre arbitre intellectuel relié aux désirs de l'ego, aux désirs de l'expérience charnelle de l'âme, qui a été la cause de la séparation entre le réel et le vrai. Le réel, vous le savez en vous. Le vrai, c'est l'expérience de ne pas avoir pris la décision réelle.


REF.: https://www.bernard-de-montreal-energie-du-savoir.com/2018/02/18/michel-dow/

La Source (Dieu) n'est pas à l'extérieur de vous

 La Source (Dieu) n'est pas à l'extérieur de vous

Par Lodela dans Extraits Conférences Pastor le 5 Octobre 2019 à 11:22

La Source (Dieu) n'est pas à l'extérieur de vousComment faciliter l'épanouissement de la relation télépathique avec vous ?


Puisqu'il s'agit de communion, car en fait lorsque l'on parle de télépathie, de contacts, c'est une sorte de communion, et que cette communion vienne grâce à un canal qui soit existe concrètement sur un plan physique et qui est différent de vous, soit que cette communion existe à l’intérieur de vous-même par votre propre production, cela est la même chose.


Vous n'avez pas besoin de privilégier dans votre esprit un instant présent parce qu'il se passe par l'intermédiaire de quelqu'un, parce que vous venez écouter un canal, que vous imaginez être consacré à cela, être destiné à cela. 


Il faut différencier dans l'esprit uniquement la part qui est en vous qui peut et qui ne peut pas et non pas les êtres qui sont hors de vous et qui peuvent, et vous qui ne pouvait pas. La différenciation ne doit pas se faire à l'extérieur mais à l'intérieur.

Il est très gentil, il est très sympathique que vous reconnaissez que lors des séances il se passe quelque chose entre vous et nous, mais à vrai dire car vous connaissez mon esprit, je n'en ai rien à faire, que vous reconnaissiez que cela se passe grâce à moi,  par moi, et de vous à moi.


Cela peut tout aussi bien avoir lieu en vous-même. Que ce soit vis-à-vis de nous, d'ailleurs, si vous vous branchez à l'extérieur, que vous subissez une aspiration ou que vous alliez tout simplement dans le creuset de l'intelligence universelle ou près des flancs de votre propre guide.

Ce que l'on appelle communion, télépathie, ou tout simplement ouverture par la prière ou synthèse de l'âme du disciple avec l'âme du maître, tout ceci en fait, qui fait croire à l'esprit humain qu’il existe un temps où le disciple n'est pas en relation avec Dieu ou avec le Maître et qu'il existe un temps ensuite où il est en relation, tous ces clichés qui expriment cette différenciation ne sont pas des bons clichés, où du moins cette façon de les interpréter n'est pas du tout la bonne.

Il n'existe pas, un seul moment, une seule minute, je dirais même une seule seconde où votre esprit est hors de l'esprit de Dieu, hors de l'esprit de votre maître, hors de l'esprit, appelons-le hors de l'esprit bienfaisant du monde, d’un esprit positif. Oublions que Dieu existe et que les maîtres existent, parlons tout simplement d'un bien commun et d'un bien qui existe sur la planète, il n'existe pas une seule seconde où votre esprit n'est pas en communication que ce soit télépathique ou autre chose avec ce bien commun.


Et pourquoi cela est-il possible ?


Non pas, parce que vous êtes tous arrivé au niveau où vous pouvez entrer en communication avec le bien commun, mais tout simplement parce que le bien commun vous contient, donc il ne s'agit pas d'aller quelque part comme  vous imaginez qu’il s'agit d'aller quelque part lorsque vous voyez le phénomène du canal s'extérioriser, il s'agit tout simplement de s'ouvrir à ce qui est déjà autour de vous et qui ne demande qu'à devenir conscient en vous-même.


De la même façon que cette chose existe hors de vous, elle existe à l'intérieur de vous, la seule différence est que cette chose qui est à l'intérieur de vous n’est pas capable d'une auto-conscience, il s'agit exactement de la même chose pour votre capacité à être conscient, lucide et pour votre âme.

L’âme est en fait à l'intérieur de vous constamment, pas simplement au ciel, du côté du bien, du côté de Dieu, là où il n'y a ni la matière ni les tentations. Là, elle existe là sur la terre, jusqu'au fond de vos chaussures, jusqu'au plus profond de votre péché comme vous dites. L’âme existe aussi jusqu'à l'intérieur de vos cellules qui composent vos organes, qui compose vos membres, l’âme est constamment à disposition, à fleur de peau. 

Quelle est alors la différence entre un être qui est tout à fait son âme, qui la rayonne,et un être qui est potentiellement son âme et qui la rayonne pas ?


La différence est que l’un aura pris pleinement conscience de ce potentiel et l'autre n'a pas encore conscience de ce potentiel. Donc il va faire tout au long des jours quelque chose qui sera toujours contraire au fonctionnement de l’âme. Et pourtant l’âme est là, à l’intérieur de lui, sans aucun autre obstacle, en fait qu’un manque de conscience.


REF.: http://lumiere-et-conscience.eklablog.com/la-source-dieu-n-est-pas-a-l-exterieur-de-vous-a173424966

Il était une fois, un Père qui avait deux fils.

 

Il était une fois, un Père qui avait deux fils.

Vois-tu pour te faire comprendre le Père et ses deux fils et te rendre responsable sur la terre, je vais te raconter une histoire. 



Il était une fois, un Père qui avait deux fils. 


L’un de ses fils, resté dans le royaume, faisait tout ce que décidait le Père. Il connaissait les lois et arrangeait si bien les choses que le Royaume allait bien dans son train d’universalité. 


L’autre de ses fils a été envoyé loin du royaume. Son destin était de voyager et de ramener tous les trésors qu’il allait trouver aux confins de l’univers. 


Périodiquement, le fils resté auprès du Père venait sur le quai scruter l’horizon de l’océan. Il attendait avec impatience de voir revenir le bateau de son frère chargé de tous les trésors pour glorifier le Royaume et glorifier le Père. Mais point de bateau à l’horizon. Le temps passait et toujours pas de bateau au port. 

Très inquiet du retard de son frère, ce fils alla voir le Père et lui dit : 


« Père, je ne comprends pas. Mon frère, parti aux confins de l’univers, n’est toujours pas là, alors que ce serait normalement l’heure de son retour. Cela m’inquiète. » 


Alors, n’écoutant que la loi du Royaume, il va chercher son frère qui connaît quelque retard, retenu par trop d’attachements. Mais surtout, il sait que son frère est une part de lui-même, une partie du Père, car les deux frères n’ont pu être créés que parce que le Père s’est coupé en deux et s’est créé en deux frères apparemment différents et opposés. Il va chercher son frère, parce que cette autre partie du Père, à cause d’un conditionnement trop humain s’est mise à écouter le chant des sirènes. 


Alors cycliquement, il vient sur la terre et il rappelle ce qu’est la vérité, il rappelle ce qu’est Dieu. Il redit aux hommes : « Tu es ce Dieu, tu es ce frère qui est l’autre moitié de moi-même et si nous nous unissons nous composerons ce Dieu dans le haut des cieux. » 


C’est ce que chante le Christ aux cœurs des hommes. C’est ce que chante l’aspect christique à l’intérieur de chaque homme. 


Ainsi, le frère du ciel et le frère de la matière s’étant réunis, l’humanité dans son entier se retire du plan physique et comme une fusée monte à travers les plans. Un être immense que l’on appelle Dieu se dessine et se dresse dans le ciel. 


L’univers n’est que le déploiement de Shiva. Shiva qui s’amuse , Shiva que naît, Shiva qui meurt.


En fait, Shiva ne meurt pas, mais lorsque sa vie a été pleinement reconstituée, il retourne à l’intérieur, à l’endroit où a eu lieu sa véritable vie, que l’homme n’arrive pas à supposer autrement que par le concept et le mot de néant. La véritable vie de l’être divin est dans cet endroit. 


Pour l’homme, conceptualiser cet endroit est tellement difficile, que, lorsqu’il s’en approche du seuil, il ne peut pas dire autre chose que néant, tout est néant. Tout est néant, parce que tout ce qui a été sa vie jusque-là, paraît être anéanti au moment où il faut basculer dans la vraie vie. C’est donc un véritable instant d’anéantissement, mais anéantissement de la manifestation, qui n’était qu’un aspect de la vie de Dieu, pour passer au cœur de la vie même, qui est un état non manifesté. Mais lorsqu’à l’homme on dit non manifesté, il croit que c’est un endroit de l’univers, un endroit de Dieu où plus rien n’a lieu. En fait, c’est l’endroit où Dieu est le plus vivant, où il n’est pas manifesté, où il n’a même pas recours à un symbole, à aucun élément même le plus subtil soit-il. Il n’y a que Dieu, rien que Dieu, éternellement, à perpétuité, à perte de vue, à perte de conscience. 


C’est ce que je vous souhaite d’expérimenter. Vous pouvez expérimenter ceci à l’état individuel, et vous l’expérimenterez un jour à l’état collectif, car c’est ce qui est demandé à l’humanité. Ce qui est attendu


REF.: http://conscienceuniverselle.eklablog.com/09-06-89-s-individualiser-l-action-de-pluton-a119163900

Le chemin de libération

 Le chemin de libération

Par Lodela dans Extraits Conférences Pastor le 6 Mai 2020 à 18:22

Suite En fait l'humanité n'a pas d’évolution à accomplir,  l'homme doit simplement apprendre à réveiller les feux de la matière dans laquelle il est incarné afin que le Dieu, qui s’est incarné en lui, puisse se perpétuer.


Il n’y a rien d’ésotérique, ni d’occulte.


Pour celui qui imagine l’univers comme étant la construction d’un Dieu qui aurait eu la grâce de jeter l'homme dans la matière, et qui aurait aussi inventé des lois, une case départ, une prison sur le parcours, forcément l’évolution sera vécue comme un passage de souffrances, de douleurs, d’abnégations, de sacrifices et de martyres.


Pour changer tous ces concepts qui ne mènent nulle part, le disciple doit comprendre que ce Dieu créateur d'un jeu très malsain où ses enfants risqueraient de se perdre n'existe pas.


Lorsque les hommes ont atteint un mental suffisant, le jeu de Dieu vu ainsi devient inintéressant et de très mauvais goût. La forme  d’athéisme qui peut en découler dans l’esprit d'individus développés et intelligents est absolument logique.


La vérité est qu’il existe un Dieu qui s’incarne et se projette dans la matière. Ce Dieu descend ensuite une longue hiérarchie afin d’atteindre le règne physique puis il s'en va "frotter sa conscience" contre les feux de la matière. Comme si, pour perpétuer votre vie, vous creusiez une mine  et que vous frottiez votre conscience contre de l'uranium pour en déclencher l'énergie nucléaire. Vous seriez alors remplis de vie, renouvelé, et vous pourriez ainsi repartir pour un autre âge d’état d’être. 


L'homme n’est pas évolutif, il n’est pas le fils de Dieu. Il y a un Dieu et un seul qui s’incarne pour se perpétuer et à un moment donné de son incarnation, il devient un être humain. Et pour retrouver sa dimension divine, il passe par l’état que représente le mental.


Ainsi Dieu prenant connaissance de lui-même, peut sortir de sa condition physique et humaine qui est aussi la porte de sortie du plan physique.


Lorsque Dieu était dans des règnes comme les éléments, l’air, l’eau, le feu, les cristaux, les fleurs, les animaux, etc. tous ces règnes étaient des règnes d’emprisonnement, des règnes desquels il ne pouvait sortir. Il fallait les vivre les uns après les autres.


Il y a un règne clé, qui est une véritable porte de sortie pour Dieu, c’est le règne humain. C’est en cela que dans le règne humain on parle de libération, pour les autres règnes on parle de cristallisation. Si vous vous imaginez comme étant le fils de Dieu qui petit à petit va devenir l’héritier de Dieu, et un jour, si Dieu le veut, une grande entité dans l’univers, vous vous trompez  sur votre condition. Vous êtes la porte de sortie de Dieu.


Vous êtes donc ce point de connexion entre les règnes de la cristallisation et les chants de la liberté. Mais ceci ne peut se passer que si la conscience de Dieu, qui a été plongée dans tous les autres règnes de la cristallisation, arrive à un certain mode de prise de conscience de soi.


Lorsque la conscience vient des règnes de cristallisation, la première identification sera de s’identifier par rapport à la cristallisation que représentent ses premières personnalités. C’est pourquoi, les premières prises de conscience, dont sera capable la conscience évolutive, seront au niveau de la psychologie, du “moi, je”, moi j’aime ceci, moi je veux faire celà, moi je ne veux pas faire ceci. Ce sont tous ces paramètres qui sont considérés au début par la conscience trop identifiée aux concepts naissants du mental inférieur.


Si donc, cet instrument, qu’est le mental, est absolument nécessaire pour que la conscience prenne enfin conscience d’elle-même et construise sa libération, il ne doit pas inciter l’individu à se satelliser autour de cet instrument, sinon, l’individu demeure au niveau de l’identification avec l’environnement, d’où immanquablement la tendance à s’attacher aux objets, à certaines activités, que ce soit la sexualité, l’ambition, le besoin de gloire, le besoin d’argent. Tout cela est le fait de la cristallisation d’une conscience projetée à l’extérieur et qui ne peut pas contempler le royaume intérieur.


Là, le karma intervient, ou plus simplement le redressement de ce genre d’erreurs par la loi, et ainsi, la conscience finit par retirer son regard de l’environnement pour le fixer à l’intérieur d’elle-même, et ce qui était la vue, devient vision et le disciple devient un initié.


Lorsque la vue n’est projetée qu’à l’extérieur, on dit que l’individu est astral. Mais, en fait, la conscience ne peut pas être astrale. La conscience est pure divinité, mais si elle accroche ses rayons autour de tous les objets de l’environnement, la conscience perd sa forme de soleil radian et devient une boule avec des tentacules qui s’accrochent aux objets. Ainsi, tout son rayonnement, toute son énergie se trouve dilapidée et elle devient un soleil noir, sans énergie.


Pour que ce soleil noir devienne un soleil blanc, il faut qu’il rétracte ses tentacules et bascule dans la conscience vers le haut. C’est ce que doit faire le disciple, retrouver le contact avec la vision idéale, avec le grand soleil archétypal qui est resté dans l’univers, qui continue à constituer le royaume.


En résumé lorsque vous parlez d’évolution, n’imaginez pas que vous êtes un petit homme et qu’à la fin d’un long combat, votre âme est éveillée par les Maîtres qui l’emmènent se reposer au paradis. Le système n’est pas du tout comme cela. Le système, c’est un Dieu qui s’incarne et qui doit repartir de l’incarnation par la porte de sortie qu’est l’être humain.



Si tu veux être un disciple, si tu veux avoir une quelconque réalité dans l’univers attache-toi à te libérer toi-même, et comprends que la lumière est avant tout la libération du Dieu intérieur. Tu ne peux libérer personne si tu ne te libères pas toi-même.


Ensuite, pour que cette libération suive sa voie de libération et puisse s’accélérer, chacun peut utiliser les instruments que sont les rituels, les prières, les méditations, les invocations, ou quoi que ce soit d’autre, car ils seront libérateurs. Mais si on ne comprend pas avant toutes choses, que l’on abrite un Dieu puissant et que le stade humain est le stade de libération hors de la matière de ce Dieu, on pourra user d’alchimie pendant des millions d’années, on n’aboutira à aucune initiation, on ne découvrira aucune libération. Parce que l’énergie qui est déclenchée pendant les rituels, pendant les méditations, les ascèses ou quoi que ce soit d’autre, ne va pas jusqu’au Dieu intérieur, permettant à ce Dieu intérieur d’aller vers sa libération, ces énergies tombent dans le gouffre de la personnalité...


REF.: http://lumiere-et-conscience.eklablog.com/le-chemin-de-liberation-a187246092?fbclid=IwAR2N6Ny5Q9ChM97-V4hjIVe_HMIRqWG_bMuoA9I1cbrRV-V3kKs5cTFpxPs_aem_AU7j4KELMyHcX8lvuIoYm-0oCyziZ0WzWdXLcLQ36GgwzFwXrEMXL20FmwXdyU5OMg4

lundi 25 septembre 2023

Plan de vie, sur l'Échiquier Mondial : On ne joue que pour soi-même, devant l'illusion d'un autre joueur devant soi.

 

Plan de vie, sur l'Échiquier Mondial : On ne joue que pour soi-même, devant l'illusion d'un autre joueur devant soi.


Le plan de vie se joue sur l’échiquier mondial

L'instant que vous prendrez maintenant, pour bien saisir et profiter de ce qui est dit ici, sera un temps pour vous permettre d'observer ce qui se joue actuellement sur l'échiquier mondial.

L'échiquier mondial actuel sur Terre est entre les mains de personnes qui consciemment ou inconsciemment ont un pouvoir subtil de contrôler de près ou de loin les vibrations de votre plan de vie.

Les fréquences de votre plan de vie émettent des ondes discordantes qui se manifestent constamment dans des faits, des événements, avec des gens de toutes sortes qui traversent votre route de vie ou votre route vers la mort.

La femme consciente cherche toujours qui elle est, au niveau mental, au niveau émotionnel et au niveau de sa communication, c'est-à-dire au niveau de sa parole, qui a un impact continuel dans son environnement de vie. Il en est exactement de même pour l'homme qui se conscientise.

Votre destin, votre futur, votre avenir, tout comme votre passé, vos mémoires, vos échecs, vos réussites, reposent-ils réellement entre vos mains, à vous ? Tant et aussi longtemps que l'insécurité, le doute, la peur, l'incertitude, le regret, le rejet, l'émotivité face au passé conditionnent encore vos pensées, vous ne serez jamais libre.

Il ne s'agit pas ici de s'enfuir dans une fausse liberté, autrement dit, de se fuir soi-même dans des formes d'attitudes psychologiques, philosophiques et spirituelles, mais plutôt de faire face à ce que nous fuyons concrètement et radicalement.

L'âme se réincarne pour résoudre ses désirs physiques dans cette vie. L'âme est assoiffée de la matière, car dans la matière, elle croit qu'elle arrivera à s'en libérer. Donc, nous observons des ego de toutes catégories qui essaient, de toutes les manières possibles, de libérer leur âme de la pesanteur et de la lourdeur que leur impose leur plan de vie.

L'endroit où se joue cette délivrance de l'âme est l'échiquier mondial. Et l'homme et la femme tenteront leur chance dans ce jeu d'échecs et de réussites. Ce n'est pas autant le gain ou la perte qui comptent pour l'âme, mais le plan mental, le plan de la pensée, le plan de l'impression que laissent comme trace la perte ou le gain.

Quant à l'ego, lui, il a un tout autre point de vue : il aime ramasser des victoires en évitant le plus rationnellement possible le phénomène de l'échec, car la victoire lui donne l'impression de bien jouer la partie. Alors, son impression deviendra son propre combat personnel qu'il devra défendre continuellement dans le jeu, afin de conserver une attitude intellectuelle positive de l'image qu'il s'est créé de lui-même en tant que joueur et penseur.

L'échiquier mondial sur lequel se déroule le plan de vie des joueurs n'a aucun sentiment pour les perdants ni pour les gagnants, mais l'ego croit que oui. Donc, il lutte constamment contre sa propre impression, dans l'arène de l'échiquier, contre d'autres ego qui, eux aussi, ont leur propre impression.

L'ego veut avoir raison à mort face à l'impression d'un autre ego sur le même échiquier. Et ainsi, les événements les placeront, tôt ou tard, en échec et mat. L'échiquier n'est que l'enjeu du plan de vie où les joueurs s'affrontent avec un sourire, une arme, une souveraineté quasi absolue de dominer et de passer maître du jeu.

Mais de quel jeu parlons-nous ici ?... Nous parlons du jeu de l'impression de l'image que le maître laissera à l'élève dominé qui sort perdant du jeu de l'échiquier. C'est tout. Et il en est exactement de même dans le cas opposé, car dans ce jeu, que vous soyez gagnant ou perdant aboutit au même résultat. À vous de le voir.

La victoire est dans la connaissance exacte des ennemis qui constituent votre plan de vie, et jamais dans l'apparence des formes que laisse croire l'échiquier au perdant ou au gagnant, c'est-à-dire à l'ego inconscient qui s'abuse lui-même, que cet abus soit bien ou mal.

Les ennemis sont les fréquences vibratoires en vous, dans votre plan de vie, qui constituent l'amplitude, c'est-à-dire l'oscillation, l'inclination, la portée de votre raison, de votre intellect, de l'image que vous vous faites de vous-même durant la partie, c'est-à-dire durant le jeu de votre propre vie, face aux événements, face aux autres, face à vos pensées, face à vos émotions.

Tant que votre plan de vie n'est pas intelligencé, l'échiquier garde en mémoire ses effets et les relance continuellement dans l'expérience, car c'est vous-même qui êtes à risque et non l'échiquier.

Votre plan de vie doit vous être présenté de manière à ce que vous puissiez reprendre votre énergie, afin de commencer à créer votre sortie de l'échiquier et entrer en relation avec votre propre esprit, qui lui n'a pas de plan de vie, mais plutôt un présent et un avenir libres de l'influence mondiale de l'échiquier où les âmes s'affrontent continuellement, à tous les niveaux possibles de leurs expériences passées.

Et ces expériences sont continuellement relancées sur l'échiquier, où les joueurs se confrontent entre eux afin de sécuriser leur désir de puissance, qui devient un combat d'impuissance lancé vers l'autre, lorsqu'en réalité, on ne joue que pour soi-même, devant l'illusion d'un autre joueur devant soi.

L'illusion du jeu est de croire qu'il y a un adversaire : l'autre devant nous. Et ainsi, l'ego a cru en deux lois : celle du bien, c'est à dire lui, et celle du mal, c'est à dire l'autre. La dualité et la polarité font partie des fréquences programmées dans votre plan de vie, et des personnes passeront des vies sur la Terre avant d'en arriver à la leur.

Ne pas savoir son plan de vie est comme un bateau sans gouvernail que les vents conduisent partout, sauf là où il doit aller. Le bateau est votre propre embarcation. Il est comme une coque, et tôt ou tard, il se brisera sur l'échiquier océanique. Le bateau est une invention programmée, et vous êtes à bord de cette embarcation sans gouvernail réel.

Ce bateau est constitué de toutes les pièces conçues pour s'aventurer vers l'échiquier océanique. Il ne peut pas l'éviter. Il doit y aller et il doit passer à travers les courants, les vents, les tempêtes, mais il lui faut absolument un gouvernail. Et ce gouvernail est votre plan de vie. Le plan de vie vous fait voir ce que l'ego aveugle, l'ego raison, l'ego intellectuel ne peut voir, car il n'a pas de gouvernail, il va là où les événements le conduisent.

Vous avez une place que personne d'autre ne peut occuper, vous avez un présent et un avenir que personne ne peut réaliser à votre place. Le présent et le futur de votre vie doivent être entre vos mains à vous. Sinon, les autres, les événements et l'échiquier en prennent le contrôle. Et d'ailleurs, ils en ont déjà le contrôle.

Pour traverser le pont des mutants, vous devez avoir en main votre propre gouvernail. Sinon, par défaut, les autres prendront votre bateau en otage, c'est-à-dire votre vie. L'effet du doute, de la crainte, du ressentiment, de la peur, de l'insécurité, de l'inquiétude et de l'incertitude est que vous avez laissé autrui gouverner votre vie. Le combat est le mysticisme qui existe entre prendre votre vie en main ou vous laisser guider par des vents qui iront toujours à l'encontre de vos besoins de vie réelle.

L'âme a ses correspondances directes sur les faits de votre vie et, que vous en soyez conscient ou pas, cela ne change rien, puisque la conscience, ou l'aspect du conscient, fait partie de l'aveuglement déjà programmé dans votre plan de vie.

Pour bien recevoir son plan de vie, il faut être placé dans une position libre du mental inférieur, le mental raison, le mental intellectuel, autrement dit, l'esprit mortel, ce que nous appelons le conscient. L'être humain doit être amené vers un surmental, un mental qui prendra le contrôle de l'esprit mortel incarné en lui. Ce n'est que dans la permanence d'un surmental que l'homme connaîtra l'éther de son esprit universel qui oeuvrera à ses côtés. Ainsi, l'homme et son esprit feront Un.

Le mental n'a pas cette qualité réelle d'être objectif, car il est trop impliqué, malgré lui et à son insu, à défendre sa survie sur l'échiquier, car tel est l'aspect réel dominateur programmé dans l'âme de l'homme. Et ce vieux programme doit être délogé par la puissance réelle du surmental, face aux événements que les courants astraux apportent karmiquement sur son mental raisonnable, psychologique, appelé le conscient, l'esprit mortel en lui, qui fait de lui un mort-vivant sur l'échiquier mondial.

C'est l'intelligence réelle de l'esprit qui invite l'homme à dépasser l'effet retardataire de la conscience expérimentale de l'âme, le conscient. Le conscient ne peut rien faire pour l'homme, sauf prendre conscience de ceci ou de cela. Le conscient n'a aucun amour réel, aucune volonté réelle, puisqu'il n'est pas en relation avec l'esprit.

Le nouvel initié, l'homme ou la femme, doit conquérir l'âme et avancer lui-même vers sa plus grande réalisation ici sur Terre, qui est la fusion avec l'énergie de son esprit. L'énergie de l'esprit une fois libérée du mental mortel humain est la nouvelle vie dans l'éther qui s'ouvre à lui, ici même sur la Terre, car les clés lui sont données.

Le mental mortel ne peut recevoir cette clé, car il ne saurait pas ce qu'il doit en faire. Et s'il la reçoit dans son mental mortel, il ne peut l'utiliser, car son esprit mortel, l'âme,

a beaucoup plus d'emprise sur sa conscience expérimentale que peut se l'imaginer l'ego dit conscient, intellectuel, philosophe, spirituel et supramentalisé.

L'ego chez l'homme survit dans une condition mortelle, mais d'apparence vivante. La domination subtile de l'astral, pour ainsi dire, se joue sur l'échiquier des faits actuels, à coeur de jour. Le troc des âmes se joue continuellement, de manière raisonnable, intellectuelle, spéculative, sur l'échiquier mondial qui invite les gagnants et les perdants à s'affronter. Et que le meilleur gagne, et puis... qui perd perd et qui gagne perd aussi...

L'esprit est une énergie cosmique, réelle, qui n'a qu'une seule loi, une seule direction, et qui ne sert qu'à créer un lien direct avec le surmental de l'homme et de la femme. C'est l'expérience karmique de l'âme qui a fait croire à l'ego qu'il y avait deux lois: celle du bien et celle du mal.

Votre plan de vie est constitué de cette doublure polarisée dans votre mental humain, dans votre cerveau. Tous ont hérité de ce programme mortel. L'homme doit se libérer des influences de l'âme s'il veut retrouver sa liberté réelle, c'est-à-dire son intelligence, son amour, son émotion réelle, qui sont les éléments nécessaires afin de se redonner le droit et le pouvoir de recréer sa vie, libre du connu.

Le plan de vie permet au mortel de devenir un survivant qui entre dans l'énergie éthérique et universelle de son propre esprit. Le plan de vie fait partie du lien passé de l'ego de l'homme relié avec l'âme mortelle.

Ce nouveau plan de vie est le pont qui servira à l'homme et à la femme à entrer en relation directe avec l'énergie qui demeure inutilisée dans son coeur. Le surmental s'ouvre à l'homme et à la femme par le sentiment d'amour qui se loge dans le coeur. Dans le coeur se trouve la clé.

Mais dans l'involution, le coeur a été dominé par l'âme et il est devenu mortel. Et lorsque le coeur est mortel, l'homme et la femme ne peuvent plus sentir l'énergie de l'esprit qui filtre le coeur. Alors, tout est reçu dans le conscient, dans le mental, dans les effets placebo de la spiritualité ou de la philosophie supramentalisée, et l'ego meurt quand même chaque fois.

Une fois que le coeur a été touché, et non le conscient ou le mental, la vision s'ouvre, et l'être réel peut dire : « Et je vis une nouvelle terre et un nouveau ciel, et la mort a disparu à jamais. » L'énergie de l'éther devient le nouveau flux nerveux qui circule maintenant dans le surmental et conduit l'homme et la femme au-delà de l'avènement dit supramental. Un nouvel état éthérique s'est ouvert et non plus une philosophie.

Sachez bien que personne n'y échappe. Alors, savez-vous vraiment ce que représente votre plan de vie, dans cette vie, dans les faits que vous vivez sur l'échiquier ?

Par: https://www.bernard-de-montreal-energie-du-savoir.com/2018/02/18/michel-dow/

Michel Dow

La Vision de l'Homme Nouveau:

 La Vision de l'Homme Nouveau:


Il arrivera, au-delà des pseudo-Médiums et des Channeling, que l'Homme Nouveau avec son regard dans le temps Réel(au-delà du temps linéaire) pourra se synchroniser à un autre Soleil, un Soleil conscientisé !

Pour qu'enfin ce soleil, conscient de lui-même, ait accès à une partie de ce Soleil, qui sont reliés au Soleil Local.

Parce qu'un Soleil doit pouvoir communiquer avec son Soleil Primordial , dans la vibration qu'il est rendu en temps réel , avant qu'il n'implose. 

Car on sait que cette lumière de la Source manifestée, passe par le même chemin lumineux de nos atomes à la Source. On pourrait dire : "On l'a vécu, on l'a fait ! Moi, ça ne me tente pas de partir !"(les chances étaient de 0,01% dans le plan illusion de l'Astral)

 Et que parce que maintenant, la conscience est capable de changer de plan ! 

REF.: D.L.H.S.K.H.M.dL.L.M.T. de la partie 2,Du 100720-240923 !

dimanche 24 septembre 2023

Michel Dow: Ne plus enseigner mais se désimpliquer

 Michel Dow: Ne plus enseigner mais se désimpliquer

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Michel Dow Ne plus enseigner mais se désimpliquer (coupé et légèrement modifié par M. J.-C.)

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L’homme n’est pas sur Terre pour enseigner a` l’homme, il est sur Terre pour apprendre a` savoir se de´simpliquer...

Les hommes qui portent sur leurs propres e´paules, pour ainsi dire, le poids de leur savoir, pour s'en de´simpliquer, ils doivent le rendre par des formes d'enseignements.

Mais l'enseignement n'est pas leur savoir re´el, il n'est qu'une "forme" prenant vie à travers le verbe afin de le rendre accessible a` autrui...mais nous ne pouvons pas vibrer au savoir d'un autre, puisque chacun rec¸oit par vibration une pulsation nerveuse dans son cerveau et essaie par la parole et la communication de le rendre accessible par l'enseignement dit initiatique.

Autrement dit, l'enseignement et le savoir re´el sont deux choses distinctes. Un homme qui sait par pulsation nerveuse dans son cerveau peut prendre des anne´es a` rendre son savoir accessible par l'enseignement, par la parole, mais ce qu'il dit n'a rien a` voir avec ce qu'il sait de re´el en lui, car le re´el ne se communique pas par l'enseignement.

Un homme ne peut parler pour un autre homme. Et un homme qui parle ne doit jamais e^tre pris au pied de la lettre, sinon c'est ici qu'entre en ligne de compte le phe´nome`ne d'adeptes, le phe´nome`ne d'interpre´tation ou` l'ego se fabrique une raison, une ve´rite´, une croyance...

Et au court de sa propre de´simplication face a` ce qu'il pense croire, il inte´grera ce que l'esprit en lui sait de´ja`, car pour inte´grer, l'ego devra apprendre a` se de´simpliquer.

En se de´simpliquant, l'ego brise l'e´gre´gore et devient plus intelligent pour lui-me^me et non jamais face a` l'initie´ ou a` son enseignement. Et ceci est extre^mement important, sinon l'histoire se re´pe´tera toujours parmi les adeptes et les fanatiques.

Et lorsque l'ego en arrive a` se de´simpliquer, nous pouvons dire que l'initie´ est devenu libre...

Donc, l'initie´ peut alors parler librement, il peut commencer a` rendre son savoir par l'enseignement, c'est-a`-dire ce qui peut e^tre prononce´ et dit par la parole (et en re´alite´ c'est tellement peu), sans que son savoir cre´e des e´gre´gores individuels ou de masses dans le monde de ceux qui ne sont la` que pour retirer de l'enseignement...

L’INITIE PARLE TOUJOURS POUR LUI SEULEMENT...

Mais ce qu'il dit devient pour autrui une forme d'enseignement, parce que nous les hommes n'en savons pas plus.

Alors, nous nous construisons facilement et rapidement des formes d'interpre´tations philosophiques de l'enseignement, lorsqu'en re´alite´ nos interpre´tations n'ont rien a` voir avec le savoir.

Puis a` partir de nos interpre´tations, nous cre´ons des re´seaux de connaissances philosophiques qui deviennent l'e´chiquier social ou` se rassemblent ceux qui n'ont re´ellement rien a` dire, sauf se de´montrer entre eux, par comparaison intellectuelle, qu'ils n'ont vraiment rien saisi.

Ils n'ont rien saisi de ce qui est du savoir re´el derrie`re les mots et l'enseignement. Les connaissances et la gazette philosophique deviennent leur seule mesure face a` une autre personne, car nous aimons pre´tendre que nous e´voluons et inte´grons face a` l'autre, face a` ce que les autres ont a` dire, et ainsi le fosse´ s'e´largit et le jeu du miroir et de ses effets psychiques et psychologiques maintient les e^tres dans l'ignorance et dans l'abus d'eux-me^mes, jusqu'a` ce que l'enseignement ait e´te´ totalement de´vore´.

Michel Dow Ne plus enseigner mais se désimpliquer

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Que reste-t-il des enseignements dans les faits re´els ?

Rien, absolument rien, car l'enseignement ne repre´sente que la forme communique´e du savoir par la personne qui de l'inte´rieur est place´e en e´tat de choc vibratoire pour sa propre de´simplication.

DONC PLUS IL ENSEIGNERA, PLUS IL SE DESIMPLIQUERA...

Mais nous croyons tellement a` l'enseignement que nous reprenons sur nos propres e´paules l'initie´ qui se de´simplique par sa parole et son enseignement, et selon notre caracte`re et notre implication, nous en faisons notre propre initiation.

Mais to^t ou` tard, nous allons devoir nous de´simpliquer a` notre tour.

L'homme n'est pas sur Terre pour enseigner a` l'homme, il est sur Terre pour apprendre a` savoir se de´simpliquer. Plus il se de´simplique, plus il devient son propre canal a` lui-me^me.

Plus il est canal, moins il est fanatique du contact.

Donc, l'initiation n'est plus la porte de sortie, car il a appris finalement a` la toute fin a` ne plus entrer dedans pour aller se mesurer, en tant qu'intelligence, avec l'intelligence qui coule en lui et qui est lui.

Certains se mettent eux-me^mes en initiation face a` eux-me^mes lorsqu'ils se croient inconsciemment porteurs de l'enseignement, d'un enseignement qui n'est pas eux, mais celui du passage sur le plan mate´riel d'une autre personne ou d'autres personnes qui sont simplement venues se de´simpliquer, car leur temps e´tait arrive´.

Pour e^tre un jour un homme dit nouveau, un surhomme, il faudra cesser de prendre au se´rieux le passage des initie´s qui traversent le plan mate´riel pour venir se libe´rer eux-me^mes de leur propre incarnation et finalement savoir se de´simpliquer eux-me^mes.

Il serait inte´ressant d'observer la personne lorsqu'elle parle, je parle ici de l'initie´ ou de l'instructeur qui livre un enseignement pour se de´simpliquer.

Il serait nouveau de remarquer combien l'enseignement libe`re celui qui parle, et combien nous les hommes prenons sur nos propres e´paules cet enseignement comme une initiation personnelle qui nous est donne´e et combien nous essayons de toutes les manie`res de la vivre presqu'au pied de la lettre, comme un enseignement…

Donc, l'initie´ ne peut libe´rer l'homme, car l'homme se place lui- me^me en initiation devant l'enseignement.

Nous croyons, nous les hommes, que lorsque l'initie´ parle, il nous aime et nous donne un enseignement, alors qu'en re´alite´ il se de´simplique de l'e´nergie de son savoir en le communiquant.

Et par le fait me^me, il s'inte`gre lui-me^me avec lui-me^me, et non avec le savoir qui vient vers lui ou par rapport a` l'enseignement qu'il communique. Ainsi, il ne souffre pas de ce qu'il sait et de ce qu'il dit.

Ce savoir, il devra le vivre seul avec lui- me^me dans son corps et dans ses centres, avant de pouvoir oser s'en de´simpliquer par la parole, pour finalement inte´grer cette contre-partie de lui-me^me dite cosmique et universelle.

Mais sa parole devient pour autrui une forme d'enseignement, car les hommes aiment croire ces choses-la`, et ils rec¸oivent cette forme de de´simplication de l'initie´ comme un enseignement qui laisse croire aux hommes que tel est le chemin a` suivre, parce que l'initie´ l'a verbalise´ ainsi, selon le caracte`re de sa cole`re contre les forces.

Nous ne re´alisons pas, nous les hommes, que l'initie´ est en cole`re, que l'homme qui parle vraiment, je dis bien vraiment, a` partir de la vibration de son savoir, est en cole`re. Et cette cole`re provient de son syste`me nerveux qui est mis en vibration par le savoir qui vient et qui descend

Michel Dow Ne plus enseigner mais se désimpliquer

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vers lui dans son cerveau, et il n'a pas le temps de faire un transfert psychologique lorsqu'il parle, de traduire psychologiquement pour le commun des mortels.

Et le commun des mortels appelle c¸a un enseignement, au lieu de voir le feu de l'e´nergie de la cole`re qui passe en lui dans son cerveau. Et il est e´vident que les hommes ne peuvent contenir cette e´nergie mentalement, car ce n'est pas leur affaire, c'est l'affaire de celui qui se de´simplique en parlant.

L'initie´ se de´simplique de l'e´nergie qui lui donne son savoir en l'extirpant par la parole. Mais les personnes qui l'e´coutent s'impliquent dans les mots prononce´s et croient que c'est c¸a l'enseignement. Et leur implication les propulse vers des interprétations spirituelles, supramentales, philosophiques, psychologiques, et elles en font des formes psychiques de de´veloppement qu'elles appellent leur e´volution ou leur cheminement individuel. Puis elles tenteront de se rassembler pour en discuter et essayer d'apprendre l'une de l'autre, ou pour se mesurer, ou encore pour se situer par rapport a` l'autre dans le but d'inte´grer... quoi ?


REF.: https://www.bernard-de-montreal-energie-du-savoir.com/2018/02/18/michel-dow/