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vendredi 25 février 2011

Le Constable Geoff Mantler de Kelowna (RCMP) serait membre de la ligue de soccer de Kelowa




































voici l'histoire d'horreur :


La video de la réponse de Tavares.
cliquer sur le site facebook contre le constable Mantler !

Colombie-Britannique - La GRC s’excuse pour un coup de pied au visage
Buddy Tavares s'est donner un coup de pied au visage par un policier.
© Agence QMI

KELOWNA, C.-B. — Un agent de la GRC a dû s’excuser, lundi, pour avoir donné un coup de pied au visage à un homme de Kelowna, en Colombie-Britannique, alors qu’il procédait à son arrestation.

L’homme en question, Buddy Tavares, avait été arrêté le 7 janvier dernier pour avoir tiré des coups de feu sur un terrain de golf, alors qu’il tentait d’effrayer des oies. Les accusations portées contre ont toutefois été retirées lundi.

Peu de temps après son arrestation, le constable de la GRC Geoff Mantler avait été suspendu de ses fonctions en raison d’allégations de brutalité policière dans le cadre de l’arrestation, qui avait été captée sur vidéo à son insu. Une accusation d’agression causant des lésions corporelles a été recommandée par la police d’Abbotsford, mais n’a pas encore été approuvée par la Couronne.

En cour, lundi, la Couronne a suspendu l’accusation d’usage négligent d’une arme à feu portée contre M. Tavares, parce qu’elle ne détient pas suffisamment d’éléments de preuve, a indiqué la sœur de M. Tavares, Angela Behiels.

M. Tavares a également reçu lundi la visite du commissaire adjoint de la GRC Peter Hourihan, qui lui a présenté des excuses au nom de l’organisation.

«L’objet de ma visite ici aujourd’hui a été spécifiquement pour répondre à M. Tavares et lui dire que, au nom de la GRC, je m’excuse pour les blessures physiques qu’il a subies d’un de nos agents le 7 janvier 2011 à Kelowna», a-t-il déclaré dans un communiqué.


REF.:

Un Chinois meurt après trois jours de jeux ininterrompus




PÉKIN - Un homme est décédé en Chine après avoir passé trois jours d'affilée à jouer face à son écran dans un cybercafé près de Pékin, sans dormir et pratiquement sans se nourrir, a rapporté mardi la presse.

Le trentenaire a sombré dans le coma cette semaine, alors qu'il se trouvait dans le café, et n'a pu être réanimé dans la clinique où il a été transporté, a indiqué le journal Beijing Times.

Ce fait divers illustre le phénomène de dépendance aux jeux sur écran, dont souffrent en Chine 33 millions d'adolescents, selon des chercheurs cités par la presse.

En un mois, le joueur décédé avait dépensé plus de 10.000 yuans (1 508 dollars) en jeux sur l'internet. Il n'a pratiquement pas quitté sa chaise durant trois jours et trois nuits avant de mourir, a précisé la presse.

La Chine compte plus de 450 millions d'internautes, ce qui la place au premier rang mondial.

Le gouvernement avait annoncé l'an dernier tout une série de règles, les toutes premières, pour contrôler le secteur des jeux en ligne et réprimer les contenus pornographiques et violents.


REF.:

mardi 22 février 2011

Après les trappes a rat; les trappes a tickets ?






Justice

Les trappes à tickets existent




Dany Doucet
dany.doucet@journalmtl.com
21/02/2011 06h34

Les policiers de Montréal piègent les automobilistes dans des «trappes à tickets», a récemment conclu un juge de la cour municipale en acquittant un automobiliste.

«La cour en vient à la conclusion qu'il s'agit là d'une trappe effective», a déclaré le juge Philippe Clément, en acquittant Roger Labrecque à la cour municipale de Montréal.

M. Labrecque, 66 ans, venait de plaider sa cause après avoir écopé d'une contravention de 154 $ sur le boulevard Crémazie.

Plus d'une fois dans son témoignage, comme on peut l'entendre sur l'enregistrement dont Le Journal de Montréal' a obtenu copie, M. Labrecque a fait valoir qu'il avait été victime d'une «trappe à tickets» de laquelle il n'avait aucune chance de se sortir.

«Quand je suis sorti de la salle d'audience, les gens me félicitaient en levant le pouce dans les airs», relate-t-il fièrement.

Pris au piège

Plan en mains, M. Labrecque a mis cinq minutes pour convaincre le juge à rendre son jugement sur le banc.

Le 19 janvier 2010, vers 16h45, ce retraité circulait sur le boulevard Crémazie Est après être sorti du stationnement d'un restaurant A&W.

Il y a là une voie réservée aux autobus et aux taxis, mais les panneaux ne sont pas visibles de cet endroit.

« Quand j'en ai vu un, dit-il, il y avait tellement de trafic qu'il n'y avait plus moyen de me tasser à gauche, les gens ne me laissaient pas passer. »

Dans sa Ford Escort, M. Labrecque a alors poursuivi son chemin sur la voie réservée, un autobus poussant derrière lui.

C'est un peu plus loin que des policiers l'attendaient de pied ferme.

Plusieurs policiers

Il est interdit de circuler dans une voie réservée aux heures de pointe, tel qu'indiqué sur les panneaux.

« Ils donnaient des tickets à tout le monde, un après l'autre, relate-t-il. Il y avait déjà deux ou trois voitures arrêtées et plusieurs policiers sur place.

« C'était un piège, dit-il, une vraie trappe à tickets. »


REF.: Si vous avez plus d'informations à ce sujet, écrivez-moi à ddoucet@journalmtl.com