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mercredi 15 avril 2020

Covid-19: La directrice des services professionnels du CIUSSS,a la recousse de la Médecin rattachée au CHSLD Herron:


Covid-19: La directrice des services professionnels du CIUSSS,a la recousse de la Médecin rattachée au CHSLD Herron:




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Covid-19
Montré du doigt pour la mort de 31 résidants du CHSLD Herron, le Groupe Katasa défend sa gestion. Pour sa part, la Dre Nadine Larente raconte comment elle et sa famille sont venues en aide à des aînés laissés à leur sort.
Chronique

Au front, avec la famille

Ce que la Dre Nadine Larente a vu au CHSLD Herron

Vous connaissez l’histoire terrible du délabrement du CHSLD privé Herron, révélée par la Montreal Gazette le week-end dernier. Je veux vous raconter ce que la première employée du CIUSSS de l’Ouest-de-l’Île-de-Montréal a découvert en arrivant au CHSLD.
C’était le 29 mars. La Dre Nadine Larente, directrice des services professionnels du CIUSSS, a reçu un appel qui l’a intriguée : « La médecin rattachée(C'est qui elle ???) à ce CHSLD m’a dit qu’elle n’arrivait pas à parler à quelqu’un à Herron. Elle m’a dit : “On dirait qu’il n’y a personne…” »


Il y a pourtant 130 résidants qui habitent Herron. La Dre Larente n’a fait ni une ni deux : elle a sauté dans sa voiture et s’est rendue sur place.(Mais ou est la Médecin rattaché au CHSLD Herron ?)
Ce qu’elle a découvert à 16 h 30, ce dimanche-là, l’a renversée.
« Il y avait deux préposés aux bénéficiaires et une infirmière auxiliaire pour 130 résidants. Bien en deçà des ratios de jour, qui devraient être de 5 infirmières, de 22 préposés et de quelques infirmières auxiliaires… »
— La Dre Nadine Larente, directrice des services professionnels du CIUSSS
Le sous-effectif paraissait : les plateaux du repas du midi avaient été déposés sur le sol des chambres. Les assiettes étaient pour la plupart intouchées ; bien des résidants ont des problèmes de mobilité et ne peuvent pas se pencher pour ramasser un plateau. Et les couches des résidants n’avaient pas été changées de la journée…
La Dre Nadine Larente a rapidement pris conscience du chaos ambiant et de l’urgence de la situation : ces personnes devaient être soignées et nourries.
Elle avait besoin d’aide immédiatement, là, maintenant. Elle a fait un premier appel, s’est tournée vers… sa famille.
« Il fallait agir maintenant. J’ai appelé mes trois enfants et mon conjoint pour qu’ils viennent tout de suite m’aider à nourrir les résidants, c’était urgent… Je leur ai juste dit : “On a besoin d’aide, on ne peut pas laisser des personnes âgées comme ça, on a besoin d’aide pour les aider à manger.” »
J’appuie sur « pause », ici.
J’avais entendu au cours du week-end l’histoire hallucinante d’une employée du CIUSSS de l’Ouest-de-l’Île-de-Montréal qui avait appelé sa famille en renfort pour aider à nourrir les résidants de Herron, le fameux soir du 29 mars. J’ai fait des appels, j’ai tenté de la retracer. Et, lundi soir, j’ai enfin pu parler à la Dre Larente, qui était ébranlée par cette saga. Elle a confirmé l’histoire.
« J’ai demandé à mes enfants de passer les cabarets aux résidants et d’aider à les nourrir.
— Vous avez combien d’enfants, Dre Larente ?
— Trois.
— Ils ont quel âge ?
— Ils ont 13, 15 et 17 ans. Ils sont venus avec mon conjoint. »
C’est donc la famille de la Dre Nadine Larente, ce dimanche-là, qui a nourri les résidants de deux des trois étages du CHSLD Herron, à Dorval.
Avant l’arrivée de sa famille, la Dre Larente a bien sûr fait un autre appel, au CIUSSS, pour sonner l’alerte. Deux directrices sont arrivées, puis une infirmière volontaire de l’Hôpital Douglas.
Nadine Larente, qui est passée du côté gestion depuis quelques années – elle est gériatre –, est rapidement passée à la médecine, faisant le tour des chambres pour ausculter des résidants.
« L’infirmière de Douglas est arrivée, elle m’a aidée. On est passées en mode soins. »
Elles ont aussi changé des couches.
Une préposée envoyée par le CIUSSS est arrivée pour prêter main-forte.
« Aviez-vous déjà vu une situation semblable ?
— Non, jamais. »
Au bout du fil, Nadine Larente m’explique qu’en ces temps de pandémie, la pénurie de personnel habituelle dans les CHSLD s’est aggravée. « J’ai fait le tour de nombreux CHSLD, et la situation est difficile. Mais les besoins de base étaient remplis : les gens étaient nourris, lavés, couchés, recevaient leurs médicaments, leurs couches étaient changées. Mais à Herron, ce soir-là, les besoins de base n’étaient pas comblés… »
La Dre Larente a constaté qu’au moins un résidant affichait des symptômes d’infection à la COVID-19. En parlant avec des employés du CHSLD Herron, elle a compris que l’essentiel du personnel avait déserté les lieux le vendredi et le samedi, à cause de la présence du coronavirus.
La Dre Larente a eu des contacts avec Samantha Chowieri, la propriétaire, qui était sur place à son arrivée. Mais elle s’est rapidement consacrée aux soins ; ce sont d’autres employés du CIUSSS qui ont composé avec Mme Chowieri. La Dre Larente note quand même que le système de médicaments à donner aux résidants était difficile à comprendre, ce qui a compliqué les choses, ce soir-là.
On sait maintenant que, depuis un mois, une trentaine de résidants du CHSLD Herron sont morts, bien plus que les quatre qui, d’ordinaire, y meurent chaque mois. L’histoire a ému le Québec et mis en relief la vulnérabilité des CHSLD aux éclosions de coronavirus.
Il y a des enquêtes sur ce qui a pu déraper à ce point au CHSLD Herron – propriété du Groupe Katasa, de Gatineau –, il y en a trois : une enquête de la Santé publique, du coroner et de la police de Montréal.
Mais en entrevue, la Dre Larente ne voulait pas s’étendre là-dessus : si elle acceptait de me parler, c’était pour dire à quel point ce soir-là, le 29 mars, des personnes se sont unies pour aider les personnes âgées de Herron.
Et la Dre Larente m’a confirmé une autre info que j’avais entendue pendant le week-end : oui, une personne dépêchée par le CIUSSS le 29 mars a contracté la COVID-19.
« Et vos enfants ?
— Non, ils sont O.K. Mon conjoint aussi. Je m’en serais tellement voulu… »
Le conjoint de la Dre Larente est reparti avec les deux plus jeunes vers 21 h. La fille aînée est restée. « Elle a aidé des résidants à manger, elle a écouté ceux qui avaient besoin de parler… »
Nadine Larente et sa fille sont parties vers 1 h du matin.
Je demande à Nadine Larente quel était son état d’esprit quand, dans la nuit de dimanche à lundi, après ces heures frénétiques au CHSLD Herron, elle est revenue chez elle.
La réponse tient en un mot : « Bouleversée. »
Elle termine en me faisant une demande : rappeler que le site JeContribue (1) recrute des Québécois qui voudraient aider les personnes âgées. « Nous avons besoin d’aide. »
***
Il y aura des enquêtes sur ce qui s’est passé au CHSLD Herron, comme il y en aura sur ce qui s’est passé dans le réseau québécois de la santé et des services sociaux pendant la pandémie de 2020.
On se concentrera bien sûr sur ce qui aura déraillé, pour éviter que ça ne déraille encore.
Mais il faudra se souvenir, aussi, de l’héroïsme de certaines personnes.
Et, des fois – l’histoire de la Dre Larente en est un exemple extraordinaire –, de celui de leurs familles.
ET LES FAMILLES DES RÉSIDANTS ?
Vous avez été nombreux à m’écrire pour me demander, dimanche, mais où diable étaient les familles des résidants du CHSLD privé Herron ? N’avaient-ils pas constaté le délabrement des lieux ?
Réponse : les visites en CHSLD sont interdites depuis le 14 mars.
Les familles des résidants du CHSLD Herron ne pouvaient donc pas savoir ce qui s’y passait.
CHSLD Herron

« On a fait ce qu’on pouvait »

La situation était catastrophique au CHSLD privé Herron de Dorval ; les propriétaires le disent eux-mêmes. Mais ils refusent de porter l’entière responsabilité des 31 décès survenus depuis le 13 mars et se défendent de ne pas collaborer avec le CIUSSS qui assure sa tutelle depuis le 29 mars.
« C’était le chaos total. On était à gauche, à droite. On a environ 100 employés et, du jour au lendemain, il en manquait la moitié sur le plancher », raconte Katherine Chowieri, copropriétaire et gestionnaire, avec ses sœurs et son père, du Groupe Katasa, dont fait partie la résidence Herron. « Les employés n’ont pas déserté. On vivait une crise de pandémie. »
Le problème de recrutement au CHSLD Herron existait avant la pandémie – comme dans de nombreux milieux de soins longue durée. La direction plaide qu’un premier cas positif de COVID-19 le 27 mars a fait basculer le fragile équilibre ; suivant les conseils d’Info-Santé, ceux qui croyaient avoir été en contact avec ledit cas se sont mis en quarantaine.
« Le 28 mars, ma sœur [Samantha Chowieri, copropriétaire] était sur place et a constaté que les gens ne rentraient pas travailler. Son chum et elle changeaient eux-mêmes les couches », raconte-t-elle, disant qu’elles pensaient à ce moment-là « être capables de remonter la côte ».
Le lendemain, le 29 mars, Samantha Chowieri échange des messages textes avec des représentantes du CIUSSS de l’Ouest-de-l’Île et les informe de son manque criant de personnel et d’équipements. « Nous n’avons pas d’infirmière pour cette nuit. SVP, appelez-moi parce que nous ne pouvons pas donner les services de base. Aucune des agences ne veut venir. »
Ce soir-là, le CHSLD est placé sous tutelle. Dans un courriel envoyé le lendemain, Samantha Chowieri demande à Lynne McVey, directrice générale du CIUSSS de l’Ouest-de-l’Île-de-Montréal, des précisions sur le rôle que la direction a à jouer et offre son entière collaboration pour la suite. La Presse n’a pas lu le message initial envoyé par le CIUSSS, mais Mme Chowieri semble aussi se justifier.
« J’aimerais simplement clarifier que je suis la propriétaire et que j’étais sur les lieux. Nous avons eu une réduction de l’effectif énorme avec le premier cas diagnostiqué [le vendredi 27 mars] positif cette semaine et le directeur général ayant démontré des symptômes de COVID-19 [maintenant en quarantaine]. […] Cette pandémie est une zone grise et de peur pour tous », peut-on lire.
Vendredi dernier, La Presse a rapporté que des résidants du CHSLD Herron avaient été retrouvés dans un état lamentable – affamés, déshydratés, souillés – à l’arrivée des renforts du CIUSSS. Un médecin parmi les premiers arrivés sur place après le 29 mars en témoigne encore aujourd’hui (voir autre texte). La direction dit avoir agi au meilleur de ses capacités.
« On était en crise, surtout le 28 mars. Le 29, on n’a pas laissé passer 48 heures pour joindre le CIUSSS. On a fait notre possible pour contrôler la situation. On a dit au CIUSSS que ça n’allait vraiment pas bien. On a fait ce qu’on pouvait pour dire qu’on avait besoin d’aide pour assurer les soins et services, pour assurer la sécurité des résidants. »
— Katherine Chowieri, copropriétaire et gestionnaire du Groupe Katasa
Au premier ministre, qui a déclaré lundi qu’avec des « loyers [qui] variaient de 3000 $ à 10 000 $ par mois […il y avait des médecins la ,comme usagers lol], le CHSLD aurait dû être capable de payer des bons salaires pour garder son monde », Mme Chowieri répond que les employés syndiqués « ont eu des augmentations de salaire dans les dernières années, et le salaire des préposés aux bénéficiaires et du personnel de soin a été augmenté pour la crise ».
« Ils étaient payés près de 20 $ de l’heure. Je ne vois pas ce qu’on aurait pu faire d’autre. Le problème de recrutement était vraiment lié à la COVID. »
Dire la vérité
Lundi, le premier ministre François Legault a accusé le Groupe Katasa d’avoir menti sur les réels problèmes l’ayant forcé à demander l’aide du CIUSSS de l’Ouest-de-l’Île-de-Montréal. Vendredi, il a appris que 31 résidants avaient perdu la vie depuis le 13 mars, dont au moins 5 à cause de la COVID-19.
« La première chose qu’aurait dû faire la directrice du CHSLD Herron, c’est de dire la vérité, qu’il y avait eu 31 morts. Je pense qu’il y a une différence entre dire au CIUSSS : “Il manque de personnel”, puis de dire au CIUSSS : “Bien, j’ai eu 31 morts en quelques semaines, là” », a déclaré M. Legault en conférence de presse.
Les propriétaires de la résidence se défendent d’avoir caché quelque information.
« On avait un seul décès relié à la COVID-19 en date du 29 mars, et deux cas de COVID positifs. S’il y a eu d’autres décès par la suite, c’est arrivé sous la tutelle du CIUSSS. »
— Katherine Chowieri, copropriétaire et gestionnaire du Groupe Katasa
Le Bureau du coroner fait enquête pour déterminer la cause de chacun des décès depuis le 13 mars. Le SPVM et la Santé publique mènent aussi une enquête de leur côté.
« On veut juste que les vrais faits soient dits. Peut-être, oui, qu’il y a des choses qu’on aurait pu faire mieux, mais le CIUSSS doit aussi prendre sa part de responsabilité. Ça ne doit pas tomber juste sur nous », soulève Mme Chowieri.
Échanges acrimonieux
Depuis le début de la mise sous tutelle, la situation s’est envenimée entre le CIUSSS et la direction du CHSLD Herron. Le CIUSSS accuse le Groupe Katasa de ne pas collaborer.
À titre d’exemple, le 4 avril, Samantha Chowieri a envoyé un courriel au CIUSSS contenant les horaires jusqu’au 6 avril. Elle avise : « On continue de confirmer les horaires avec les employés sur une base journalière (et même par quart). Aussitôt qu’on peut avoir plus de lignes directives et d’informations, on pourrait améliorer la collaboration. »
Le lendemain, une mise en demeure est envoyée au Groupe Katasa, dans laquelle les avocats du CIUSSS lui reprochent d’être « incapable d’informer [le CIUSSS] du personnel qui sera présent dans les jours à venir, des absences prévues et des besoins à combler ».
La résidence a été placée sous tutelle en raison de son personnel insuffisant, mais la tâche de gestion des horaires lui revient encore.

REF.:

samedi 7 octobre 2017

Pharmacie: Chez PJC c'est pas toujours du bon service !


Plusieurs succursales sont pas encore au point concernant le service a la clientèle!

Surtout en ce qui a trait au comptage et service au comptoir des médicaments,il en manque souvent dans les pots ,le comptage est incorrecte et le préposé dit au clients que celui-ci en prend trop et ne peut avoir de dosette pré-préparée.
 Plusieurs médecins de famille prend en compte les plaintes envers la corporation des phamaciens et avise le PJC de l'erreur ,mais le mal continu.
Les personnes âgées écope de plus en plus,et doivent maintenant compter leurs pilules après la livraison des médicaments au comptoir.

Les recommandations du pharmacien concernant de prendre des tylenols avec des médicaments pour l'angine au coeur, sont souvent des erreurs qui ne devrait pas être recommandé aux clients.Car, il y a incompatibilité entre médicaments,et qu'un médecin sait très bien et les pharmaciens incompétent jout au docteur !

On voit a l'occasion des erreurs d'impressions sur les dispills concernant le nombre de pilules présente dans l'alvéole du dispills !!!

Plusieurs succursales ,n'ont pas le médicament pour les asthmatiques , nommé Accolate ,niette aucun en tablette,.....bizarre !
 Si les techniciens qui comptent les pilules se conte aussi leurs fin de semaine en me servant, sa me fruste de recompter mes pilules par après lol !

Il faut se plaindre a l'Ordre des Pharmaciens !
https://www.opq.org/fr-CA/grand-public/les-medicaments/medicaments-vendus-sans-ordonnance/

Une autre erreur de PJC : Lisez ceci !


 Ici les dossiers a régler avec l'odre des pharmacien:
Les 3, 4, 5, 11 et 12 octobre 2017 à 9 h 30 – Dossier 30-16-01883
Parties et procureurs : Pierre-Marc Déziel, en sa qualité de syndic adjoint de l'Ordre des pharmaciens du Québec (Me Philippe Frère) c. Spyridon Koutsouris (MOlga Koutsouris)
Type d'audience : Audition de la plainte
Lieu :  Siège social de l'Ordre des pharmaciens du Québec, salle Méditrina, située au 266, rue Notre-Dame Ouest, 5e étage, à Montréal (Québec) H2Y 1T6
Présidée par : Me Lydia Milazzo
Membres : Patrick Ouellet et Naji-Tom Samaha
Nature de la plainte disciplinaire :
  • Entrave (art. 80 du Code de déontologie des pharmaciens et art. 114 et 122 du Code des professions);
  • Réclamations illégales à un tiers payeur (art. 55 du Code de déontologie des pharmaciens et art. 59.2 du Code des professions);
  • Inscription de faux renseignements aux dossiers pharmaceutiques (art. 55 du Code de déontologie des pharmaciens);
  • Vente de médicaments sans ordonnance (art. 59.2 du Code des professions);
  • Versement d'avantages relatifs à la profession de pharmacien (art. 50 du Code de déontologie des pharmaciens);
  • Divulgation de ses codes d'utilisation du système informatique (art. 56 du Code de déontologie des pharmaciens);
  • Non-respect d'une décision administrative de l'Ordre des pharmaciens du Québec (art. 59.2 du Code des professions);
  • Défaut de se comporter avec respect et intégrité dans ses rapports avec l'Ordre des pharmaciens du Québec (art. 79 du Code des déontologie des pharmaciens).
 
Le Centre Antipoisons reçoit chaque année environ 7.000 appels (7.351 appels en 2016) pour une erreur survenue dans l’utilisation d’un médicament. Ces accidents se produisent aussi bien chez l’adulte (58,5% des cas) que chez l’enfant (41,5% des cas). Quelques appels concernent les animaux. Chez l’adulte comme chez l’enfant, les erreurs les plus fréquentes sont les surdosages (4.583 appels en 2016) et les erreurs de produit (1.995 appels). Les erreurs dans la voie d’administration sont plus rares (443 appels en 2016). Enfin, la prise de médicaments périmés (147 appels) est une source d’inquiétude mais reste en général sans conséquence. Chez l’enfant, les médicaments à base de paracétamol et d’ibuprofène utilisés pour combattre la fièvre et la douleur ainsi que les médicaments contre la toux et le rhume (antitussifs, mucolytiques, expectorants, gouttes pour le nez) sont souvent en cause dans les erreurs. Chez l’adulte ce sont les médicaments du système nerveux (somnifères, antidépresseurs…), les médicaments du système cardiovasculaire et les antidouleurs qui sont le plus souvent impliqués.

D'autres pharmacie mise en cause:
- Le pharmacien Marc-André Tessier a été radié pour une période de trois mois par l'Ordre des pharmaciens du Québec. Cette décision survient après que le pharmacien salarié se soit approprié des stupéfiants à même l'inventaire d'une pharmacie, située au 751, rue Principale à Granby. 

 Un pharmacien de Shawinigan a été radié pour une période de deux ans pour avoir notamment détourné à même les stocks de sa pharmacie des substances psychotropes pour son usage personnel. 


 Le pharmacien déchu Christian Vézina est condamné à une peine de deux ans moins un jour à purger dans la collectivité pour avoir vendu des dizaines de milliers de comprimés de narcotiques sans ordonnance.

 L'Ordre des pharmaciens du Québec veut assouplir son code de déontologie afin de permettre aux pharmaciens d'accepter certains cadeaux et ristournes. Seuls les cadeaux qui nuisent à l'indépendance des pharmaciens seraient interdits.



Les succursales PJC  fautives ,il y en a bien d'autres encore :

Le PJC :

PHARMACIE JEAN COUTU JOSEPH AMIEL, JACQUES-ALEXANDRE AMIEL ET JOSÉE BEAUPARLANT PHARMACIENS INC(n'est pas digne d'être un PJC ,si Jean Coutu savait ça !)


405, boulevard Grand
L'Île-Perrot QC  J7V 4X3

Téléphone
Général : 514 453‑2896



- Le PJC :

Jean Coutu Gino Consolante et Raffaele Delli Colli (Pharmacie Affiliée) 

4061 Wellington St, Verdun, QC H4G 1V6

Et bien d'autres ....



REF.: T30

lundi 2 février 2015

Les Hôpitaux cultive la C. difficile et vous ?



La bactérie Clostridium difficile:

La forme sporulée permet au germe de persister longtemps dans le milieu extérieur sur à peu près n’importe quelle surface. Une fois la spore ingérée, elle passe sans encombre l’estomac, résistant à l’acidité locale, et se transforme en bactérie active, se multipliant dans le côlon.
Il est le principal agent responsable de la diarrhée secondaire à l’administration d’antibiotiques (clindamycine et ampicillines dans les années 1970, essentiellement céphalosporines depuis), redoutable en raison de son potentiel de contagion très élevé. Bien qu’environ 5 % de la population soient porteurs asymptomatiques (c’est-à-dire ne se plaignant de rien) de la bactérie, ses manifestations sont étroitement reliées à un séjour à l’hôpital. L’usage judicieux d’antibiotiques et le respect strict des mesures de prévention et d’hygiène (dont principalement l’hygiène des mains) demeurent les principaux moyens de lutte contre le germe.
De plus, le patient peut être un porteur sain du germe (ne présentant pas de signe de la maladie) dans près de 10 à 30 % des cas hospitaliers7.
Les spores sont résistantes à la majeure partie des désinfectants utilisés et survivent des mois sur les surfaces.
La lutte contre la diffusion de Clostridium difficile prévoit différentes mesures préventives dont une hygiène des mains renforcée, un entretien des locaux scrupuleux ainsi qu’isolement septique des patients infectés. En prévention de transmission nosocomiale manuportée de Clostridium difficile, différentes conférences de consensus recommandent le lavage des mains à l’aide d’un savon doux puis l’utilisation de la solution hydro-alcoolique en friction après contact avec le patient. L’eau de Javel diluée au 1/5e (0,5 % de chlore actif) est recommandée pour l’entretien des locaux et de l’environnement du patient8.

Ce qu'ont fait dans les hôpitaux:
D'abord un repas santé : Hummm,pas sûre,.............c'est une assiette contenant une demie assiette de légume,un quart d'assiette patate et le dernier quart viande.Sauf que c'est 1/3,1/3,1/3 en centre hospitalier. Ça part mal la journée !

Pour ce qui est de la désinfection des chambres d'hôpital:
Pour les bactéries plus vérulentes que la C.difficile ont lave 3 fois,avec la combinaison ,nettoyant,javellisant,savon !
Mais ,dans la technique de travail des P.A.B.(préposé aux malades) , un chamgement de couche ou linge souillé,c'est pas trop bien. La couche va pas dans un sac de plastique toute suite;Non,elle va par terre ainsi que les serviettes ,linge et vêtements souillés(contenant la C.Difficile,.....).Alors quand tout est ramassé pour mettre dans les bacs déchet et linge souillé,ça fait longtemps que la ridelle du lit est contaminé,que les cabarets du diner traine sur le couvert des bacs a roulettes du linge et des déchets souillés.Cette contamination indirecte se fait surtout si la visiteuse du malade a pas mit a temps sa jaquette et gants et masque assez vite avant de rentrer dans chambre(l'infirmière l'a pas vue) et prit ou toucher aux ridelles ou au cabarets diner qui peut être mit dans le chariots a cabaret sans que personne vous disent qu'il ne faut entrer dans la zone de la chambre contaminée du malade sans mettre ou enlever votre armure anti bactérienne a C.Difficile (jaquette+gants+masque)!

Faut les mettre avant d'entré dans chambre et de les jeter dans les bacs avant de sortir de la chambre,pour éviter de faire circuler la bactérie,mais déja vos bottes en sont porteur! C'est qu'on ne nettoie jamais les bottes de façon aseptique ,dans un hôpital,...............bizare(sauf en afrique avec l'Ébola ? )!

Et vos effets personnels: même ton manteau,faut que tu mette ça, dans un sac noir avant d'entré dans chambre et le jeter avant de sortir de la chambre avant de partir,tout doit rester dans la zone de contamination ,............................et vive le plastique,non , ................le jetable  !

Les cabarets,eux ça fait longtemps qui sont rendu a cafétéria en bas, avec les bactéries, du couvert a bac du linge souillé(c'est pas une tablette) ? Trop tard ;-(
Bonne appétit !

Le gars qui passe la vadrouille ,lui a pas mit de javellisant ,et moppe la chambre régulièrement et étend la bactérie qui a été mit par terre avec la couche souillé de tantôt,le savon c'est plutôt pour le bol de toilette et le sac noir a déchet qu'il a changé avant de vous dire bonjour,............... ?

Des chaussettes jetables,personnes connait ça,sa prend toute pour que le patient en ait une paire !

Des bactéries,on n'en a naturellement dans le corps;Oui,mais notre système immunitaire nous protège,..................mais moi j'empêcherais mes enfants de manger de la neige a côté des centre hospitalier,................ lol !

Quoi,lorsqu'il nous ont dit qu'ils ont nettoyer et installé des conduits d'air stérile,dans les hôpitaux, des bactéries ,y en avaient,......................mais ...............celle des chambres aussi, et eux autres ils sont encore la ,..........par-ci, par-là ! En tous les cas ,moi je me change même de linge et le lave a l'eau chaude en arrivant chez moi,mais c'est mieux avant d'arriver,non !Et du Purell c'est bon partout ,mais de l'alcool aussi LOL !
C'est tu,................c difficile que ça ?



Source.:

samedi 18 octobre 2014

Explication du virus Ébola en deux mots

Deux mots:
laver et 1/2 journée ?

Quoi,si tu écoute les vrais spéçialistes d'Ébola,tu verras qui faut que les gens se lave ,qui n'aient aucune plaies ouverte et que ce virus meurt en une heure a 1/2 journée ,lorsque exposé a l'air libre ..........stie !

Demande a un chinois le H1N1 ?
Bien des poules pis des cochons, ça devraient pas couchés pas dans la cuisine,ni dans le salon ,................stie !

pis sauvez-vous des chauves,....................souris !

c ki l'cave ?





C'est le cadavre d'une personne morte de l'Ébola qui est le plus contaminé !

Alors ,moi j'ai pas peur de flatter les cheveux d'un sidatique ,parce que le virus du Sidas meurt a l'air libre aussi !

C'est comme dans les films.................................le gars fait un 69 ,mais pas avant de se laver les dents et de manger du sucré ,avant de faire la chose ,parce que dla pâte a dents sa chauffe en .....estie ;-)

La transmission des microbes par vos mains,c'est a vos risques et Purell ;-)




REF.: Calmetouaw,

lundi 30 décembre 2013

CHSLD Résidence Soleil: Encore des P.A.B. Haitiennes dans le trouble ?$?

Deux P.A.B.  arrêtées pour voies de fait dans un CHSLD

SAINT-LAMBERT - Deux préposées aux bénéficiaires qui étaient à l'emploi du Centre d'hébergement et de soins de longue durée (CHSLD) Saint-Lambert-sur-le-golf ont comparu mardi au palais de justice de Longueuil pour des accusations voie de fait et de trafic de stupéfiants.
Immacula Eugène, 51 ans et Marie-Margaret Pétimé, 46 ans, suspectées d'avoir maltraité une résidente de 87 ans, avaient été arrêtés plus tôt dans la journée par la section des crimes graves du Service de police de l'agglomération de Longueuil (SPAL).
En juillet 2013, elles auraient battu à plusieurs reprises la dame âgée. La plainte n'a toutefois été acheminée que le 21 novembre. La police avait ensuite saisi une vidéo captée par des caméras de surveillances installées à l'intérieur du CHSLD.
«Dans la vidéo, il y a deux infirmières qui battent une résidente depuis un bout, avait confié une source anonyme à l'équipe de l'émission Le Négociateur diffusée sur les ondes de LCN. La famille avait caché des caméras dans la chambre de leur mère(Mesdames Messieurs vous avez le droit !)
Eugène et Pétimé ont notamment été accusées de trafic de substances interdites, de complot (avec ou sans gagne de rue ? .....Les rouges ou les Bleus ?)et d'avoir administré une substance délétère. Des accusations de voie de fait pèsent également sur la première d'entre elles.
Les deux femmes ont repris le chemin de leur cellule après leur brève comparution devant la juge Anne-Marie Jacques. Elles seront de retour devant le tribunal jeudi pour leur enquête sur remise en liberté.
La semaine dernière, la direction du CHSLD affilié aux Résidences Soleil (CSSS de Saint-Lambert-sur-le-golf,pas vraiment pro-actif dans ce dossier ?)avait confirmé que deux employés avaient été congédiés dans cette affaire.
Ce n'est pas la première fois que les projecteurs se braquent sur le CHSLD Saint-Lambert-sur-le-golf. En 2011, l'Association québécoise de défense des droits des personnes retraitées et préretraitées réclamait une enquête du coroner pour faire la lumière sur deux décès survenus entre ses murs.
Plus récemment, TVA Nouvelles a appris qu'une résidente âgée de cet établissement qui avait subi une fracture n'avait jamais été transportée à l'hôpital et qu'elle était morte quelques jours plus tard.

Clique Haitienne,c'est jusqu'a 85% de la main d'oeuvre dans certain secteur en milieu de la santé,maltraitance,erreur de médicament,salarier sous-payé,trop de tâches,fatigue,trop d'heure ou trop de résidents par ratio P.A.B.,manque de qualification,trop d'expérience=la routine de l'irresponsabilité ,racisme,intimidation ? tout ça est possible !

Nouvelle victime de maltraitance au CHSLD

LONGUEUIL - Déjà accusées d'avoir maltraité une résidente de 87 ans, les deux ex-préposées aux bénéficiaires font face à de nouvelles accusations contre un autre résident du CHSLD de Saint-Lambert-sur-le-golf, qui est relier aux Résidence Soleillllllll.
Cette fois, Immacula Eugène et Marie-Margaret Pétimé sont accusées de trafic de stupéfiants,(la morphine des résidences Soleil était pas contrôlé ?) de vol et de menaces contre un homme (menace ou intimidation de gagne de rue Haitienne ?)dont l'âge n'a pas été précisé.
L'affaire remonte à juillet 2013, alors que les accusées de 51 et 46 ans auraient maltraité les deux résidents. Mais il aura fallu attendre le mois de novembre avant qu'une plainte ne soit déposée. La police de Longueuil avait fait enquête, ce qui avait permis l'arrestation des deux préposées aux bénéficiaires.
Eugène et Pétimé font face à plusieurs accusations, notamment de trafic de substances interdites,(par le réseau des gagnes de rue ? ou parce qu'elle est addic aux drogues ? ) de complot et d'avoir administré une substance nuisible à la femme de 87 ans. De plus,
Eugène Immacula,est accusée de voies de fait dans cette affaire.
Détenues depuis leur arrestation, elles devaient subir leur enquête sur cautionnement ce jeudi au palais de justice de Longueuil.
Pétimé a finalement été libérée sous caution(ses enfants sont tu des Aurore l'enfant martyre eux ?). Mais elle a dû verser une garantie de 12 000 $ et elle s'est engagée à ne pas travailler avec des personnes âgées.
Eugène Immacula,(ses enfants sont tu maltraités eux ?)n'a pour sa part pas procédé, puisque son avocat s'est retiré du dossier. Elle reviendra à la cour ce vendredi et devra entre-temps trouver un nouvel avocat.Plutôt que de subir son enquête sur remise en liberté, la femme de 51 ans a en effet été accusée Vendredi,de voies de fait sur quatre autres résidents de ce centre, en plus d'avoir volé des médicaments à une cinquième personne.
L'accusée aurait ainsi fait sept victimes, puisqu'elle était déjà accusée avec une autre ex-préposée d'avoir maltraité deux aînés en juillet dernier.


mardi 31 juillet 2012

Quand un quadriporteur se transforme en F1 ?

Les « Hells-heimer » de la route
Piste cyclable

Les « Hells-heimer » de la route

Des groupes d’utilisateurs de quadriporteurs subissent la hargne de certains cyclistes sur leur passage

Photo le journal de Montréal, Anabel Cossette Civitella
Lucien Bisson, Gérald Pagé et Rénald Dick, assis sur leur quadriporteur au parc de l'Île de la Visitation, à Montréal. Ils voyagent tous les jours sur de longues distances à bord de leur aide à mobilité réduite.
En solo ou en groupe, de plus en plus d’utilisateurs d’« aides à la mobilité motorisée » se servent de leur engin pour voyager sur de longues distances, au grand dam de certains usagers des pistes cyclables.
Au volant de leur quadriporteur, des hommes comme Rénald Dick, Gérald Pagé et Lucien Bisson se sentent à leur place aussi bien sur la piste cyclable que sur la chaussée. Au point où les hommes partent parfois de Montréal-Nord pour se rendre jusqu’à Terrebonne, les jours de grande sortie.
Fiers de leur surnom, les « Hells-heimer » se promènent où ils veulent et disent jouir de leur liberté comme jamais.
« On peut aller vraiment partout, c’est comme une voiture, mais ça coûte bien moins cher », s’enthousiasme Gérald Pagé, un ancien camionneur de 69 ans.
Frictions
La cohabitation n’est toutefois pas si simple. « On se fait souvent insulter », soutient Rénald Dick, qui croit que les vélos de course sont probablement un des pires dangers sur les pistes cyclables. Selon lui, si certains cyclistes sont reconnaissants lorsque les utilisateurs du quadriporteur cèdent le passage, d’autres font preuve de moins de civilité.
« Tant que les quadriporteurs ne vont pas plus vite que dix kilomètres par heure, nous pouvons cohabiter », spécifie Lucie Lanteigne, directrice générale de Vélo-Québec Association. D’après elle, si les vélos peuvent partager les pistes cyclables avec les aides à mobilité réduite, ce sont les véhicules de type scooters qui posent problème.
Puissants engins
Le phénomène « Hells-heimer » est bien connu de Mario Williams, propriétaire d’Adaptel, un magasin spécialisé en vente de fauteuils motorisés de tout genre.
Il y a 15 ans, seuls les gens incapables de se déplacer achetaient des quadriporteurs, une réalité qui change selon lui.
Mario Williams distingue l’achat d’un quadriporteur pour des raisons de santé et pour des raisons de plaisance : « De plus en plus de gens achètent le plus gros, le plus beau… ils forment une gang, c’est même rendu un mode de vie pour certains. »
Affilié à la RAMQ, en collaboration avec des centres orthopédiques et des ergothérapeutes, lorsqu’il vend un quadriporteur, Mario Williams s’assure que le client a passé les tests nécessaires à la bonne conduite du véhicule.
Par contre, rien n’empêche un client qui a perdu son permis de conduire de posséder un quadriporteur ou de s’acheter un modèle plus rapide que la norme.
« La RAMQ autorise des vitesses de pointe de neuf kilomètres par heure alors que des commerçants vendent des appareils d’importation chinoise atteignant 25 à 30 kilomètres par heure », précise Monsieur Williams.


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samedi 5 mai 2012

CHSLD: 800 places et améliorer le logement social, la santé, le transport adapté et les soins à domicile aux aînés

Services à domicile - 50 000 aînés de plus en bénéficieront d'ici cinq ans
Conférence de presse de la ministre responsable des aînés Marguerite Blais , jeudi le 3 mai 2012. 
© Jean-François Desgagnés / Agence QMI
Services à domicile:

50 000 aînés de plus en bénéficieront d'ici cinq ans

QUÉBEC – Le gouvernement Charest a dévoilé jeudi la première politique québécoise sur le vieillissement. Au coeur de cette politique qui s'étendra sur cinq ans : maintenir les aînés actifs dans leur communauté en améliorant les soins à domicile pour 50 000 d'entre eux et en soutenant les aidants naturels.
La politique Vieillir et vivre ensemble, qui totalisera des investissements additionnels de près de 2,7 milliards $, a mobilisé 18 ministères et organismes gouvernementaux autour d'une même ligne : améliorer le sort des aînés au Québec depuis la prévention jusqu'à l'hébergement en passant par le maintien à domicile.
Devant un parterre conquis, les ministres Marguerite Blais, Dominique Vien et Yves Bolduc ont parlé d'une politique incontournable et urgente préconisant une approche globale pour améliorer le logement social, la santé, le transport adapté et les soins à domicile aux aînés.
Vieillissement accéléré
«On est la deuxième société au monde à vieillir le plus rapidement et il y avait cette volonté commune, au gouvernement, de changer notre paradigme et de faire en sorte de mettre massivement des sommes d'argent pour le maintien à domicile et la prévention», a dit la ministre responsable des Aînés, Marguerite Blais.
Mais le ministre de la Santé et des Services sociaux, Yves Bolduc, reconnaît qu'il faudra un an avant de former le personnel nécessaire.
La politique prévoit aussi l'ouverture de 800 nouvelles places en CHSLD, ainsi que des crédits d'impôt aux aidants naturels.
Notant que 93 % des 2,7 milliards $ de dépenses prévues sur cinq ans ne seront dépensés qu'après la première année, l'Association des retraités du secteur public voit dans l'annonce du gouvernement une promesse électorale, ce dont se défend le ministre Bolduc.


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vendredi 30 mars 2012

Non-respect de la Politique de soutien à domicile et budget détourné par les CSSS

Personnes âgées - Le soutien à domicile est déficient
La protectrice Raymonde Saint-Germain 
© Stevens Leblanc / Agence QMI
Personnes âgées

Le soutien à domicile est déficient


QUÉBEC - Malgré l'adoption d'une politique gouvernementale de soutien à domicile en 2003, neuf ans plus tard, les services aux aînés en perte d'autonomie se sont dégradés. Le Protecteur du citoyen du Québec a publié vendredi un rapport dévastateur documentant le non-respect de la Politique de soutien à domicile du ministère de la Santé.
On fait état notamment de nombreux aînés placés sur des listes d'attente, faute de services, des heures de services hebdomadaires largement en deçà des besoins et de budget détourné par des centres de santé et de services sociaux.
«Les aspects les plus problématiques sont l'insuffisance des heures de services allouées en fonction des besoins et les délais à recevoir les services», écrit la protectrice, Raymonde Saint-Germain.
Elle signale que son enquête, menée à la suite d'une augmentation significative des plaintes, met en lumière l'incapacité de certaines instances locales et régionales d'appliquer la politique adoptée en 2003.
Elle reproche au ministère de la Santé de ne pas fournir les ressources requises au respect de la politique.
«Faute de moyens, les instances locales ont dû développer des pratiques qui privent les usagers des services nécessaires pour répondre à leurs besoins, reportant ainsi le fardeau sur les aidants naturels», indique Mme Saint-Germain.
La protectrice déplore aussi que les violations répétées de la politique de soutien à domicile contribuent à une utilisation inappropriée des places en milieu hospitalier ou en CHSLD.


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mercredi 21 mars 2012

On a hâte de pousser ta chaise roulante ;--)

Selon un sondage avec les aidants naturels,plusieurs s'offre déja pour offir leurs services de qualité !

La liste d'attente est longue:

Jean Charest, Line Beauchamp , Hitler,

Mouammar Kadhafi ,

, Ben Laden ,

George W. Bush ,

Raymond Bachand ,

Pierre Elliott Trudeau ,

 Dont plusieurs chaises ont été serrées ? .......................

etc .... faîtes vos offres !