Les 10 principes de base de la PNL: Placer la santé et le moral au top!

 

Les 10 principes de base de la PNL: Placer la santé et le moral au top!

 

 

La santé et le moral, c'est primordial. Grinder et Bandler ont regroupe quelques passages obligés qui nous mettent « ceintue et bretelles » afin de preparer le terrain ! Autrement dit, si déga vous suivez ces bons principes, vous allez vous alléger la vie !

 

Les 10 principes de base de la PNL

 

1 La carte n'est pas le territoire

Idée inspirée de Korzybski, cela signifie que chacun possède son propre modèle du monde, comme nous l'avons déjà dit, appelé « carte » du monde ! Il existe autant de cartes du monde que d'êtres humains. Chacun d'entre nous voit donc le « territoire », sa réalte, différemment de celui des autres. Si vous prenez des photos de Paris, que vous confectionnez des maquettes et toutes sortes de représentations de cette capitale, jamais vous ne parviendrez pourtant à affirmer: « Ceci, c'est Paris ! » Ce ne sera qu'une copie plus ou moins détaillée, mais certainement pas la ville elle-même ! Vote carte du monde, votre modèle du monde se comporte de même avec la réalité - une « carte » du territoire.

 

2 Tout comportement relève d'une intention positive

On ne fait rien par hasard, mais pour satisfaire un critère importait et cela,.avec une bonne intention, au moins pour soi-même. Vous avez peut-être entendu votre mère, ou votre père, dire:« Fais ce que je te dis, c'est pour ton bien ! » Aie, aie, aie... l'enfer est pavé de bonnes intentions ! Conservez vos bonnes intentions pour vous et posez vos objectifs comme vous l'entendez, mais sans gêner les autres, c'est préférable. 

 

Vous savez, chacun de nous a de bonnes intentions, mais les bonnes intentions des uns ne coincident pas Toujours avec celles des autres. Apprenez seulement à être un peu plus indulgent avec les actions de ceux qui vous contrarient: ils ont úne bonne intention.... au moins pour eux-mêmes. 

 

La reconnaitre enrichit notre modèle du monde et nous apprend à nous positionner par rapport aux différences. Par exemple, si votre collègue ferme sa porte, vous pouvez en prendre ombrage et penser qu'il vous snobe..., ou alors considérer qu'il cherche à mieux se concentrer. Les gens ne font rien « contre » vous, mais « pour » eux.

 

3 On ne peut pas ne pas communiquer

 

Une présence, même muette, c'est déjà de la communication. Le non-verbal communique bien des détails que le PNListe averti saura détecter. La tendance habituelle consiste à attendre qu'une personne « dise » ce qu'elle ressent ou ce qu'elle pense. Or, parfois, impossible de trouver les mots ! Un regard effrayé, une mimique de dégoût, un geste de refus, c'est aussi de la communication, pensez aux réactions des enfants qui ne maîtrisent pas très bien le langage.

Un papa, démuni devant la colère de sa fillette de 2 ans qui se roulait par terre, se demandait pourquoi elle ne lui disait pas ce qu'elle voulait. En fait, elle le lui disait, mais pas avec des mots! Alors, il s'est baissé, l'a prise dans ses bras, et elle s'est calmée. Même l'impassibilité, c'est de la communication. Le fait même d'être vivant c'est déjà de la communication. Impossible de rester totalement neutre, même pendant une séance de méditation... 

 

4 Nous ne sommes pas nos comportements

 

Si vous faites une bêtise, vous obtiendrez un mauvais résultat, ou Vous raterez votre objectif, mais, pour autant, vous ne serez pas devenu bête ! Au contraire, meme, parce que vous pourez recommencer et améliorer votre performance, tout en apprenant un nouveau comportement. En cas d'échec, votre tempérament, votre identité restent inchangés, mais vous pouvez modifier vos actes ainsi que l'on s'ameliore.

 

 N'acceptez jamais les jugements de qui que ce solt, avec des phrases qui commencent par « Tu es trop ceci» ou « Tu n'es pas assez cela.... » Un chef de service devrait dire: « Vous avez fait cinq fautes dans ce texte, Chloé ! » et non pas « Chloé, vous êtes nulle en orthographe ! » auquel cas Chloé répondrait : « En effet, j'ai fait des erreurs et je vous prie de m'en excuser, je les corrige tout de suite. » Elle remet ainsi au plus vite son chef sur l'axe de ses comportements : seul ce que vous avez fait est passible d'un jugement. Votre « être » est parfait et intouchable, mais vos actes sont perfectibles.

 

5 Corps et esprit agissent l'un sur l'autre

 

Nous sommes un ensemble holistique de systèmes ! Systemes nerveux, digestif, immunitaire, etc. Tout communique. Un compliment, et vous rougissez... Un bobo, et vous êtes inquiet. Notre ventre n'est-il pas notre deuxième cerveau? Apprenez à écouter votre corps. Il vous indique souvent le bon chemin. Un malaise vous démontre que vous ne savez pas répondre, donc soit vous apprenez, soit vous fuyez, soit vous posez des questions... Comme un éternuement vous signale la présence d'un allergène ! Inversement. des idées noires polluent votre corps. Lorsque vous ruminez des pensées négatives, vous n'avez plus de goût à rien. Vous perdez l'appétit, vous dormez mal, vous êtes de mauvaise humeur a deprimé... Alors prenez soin de vous. Une pensée sombre pollue votre système nerveux et peut vous rendre malade...

Une mauvaise digestion vous inquiète et vous gâche la journée.

. Une nuit agitée fatigue votre organisme. Pensez à respecter votre corps.

 

6 Il est possible de reproduire l'excellence !

 

Oui, cela s'appelle « modéliser ». Notre cerveau a des capacités illimitées, vous savez, alors autant s'en servir ! Bien entendu, vous aurez besoin de motivation et d'un peu d'énergie, mais tout est possible. Pensez aussi que cela peut prendre un certain temps.

Les miracles surgissent au bout d'un long temps d'apprentissage et de pratique joyeuse de nouvelles attitudes. Considérez également que les échecs sont tout aussi importants pour vous ils vous permettent de renouveler les tentatives et d'affiner votre action.

Évidemment, la première chose à faire, c'est d'y croire, bien que, parfois, ce ne soit pas si évident d'accepter l'excellence pour soi-même ! Que dit une pub célèbre? « Parce que vous le valez bien ! »

 

7 Nous sommes responsables des réponses que nous obtenons

 

En tant qu'émetteur d'un message, observez le feedback et corrigez vos paroles si c'est nécessaire. Ce que vous avez transmis peut être exprimé avec de très bonnes intentions, mais si l'autre n'est pas d'accord, n'insistez pas c'est vous qui devriez corriger ce que vous émettez. Comme un jardinier est responsable de ce qu'il sème ! Il est possible que vous ayez laissé passer, sans y prêter attention, les informations discrètes émises par votre interlocuteur qui vous prévenait, ainsi, qu'il n'est pas d'accord avec vous. Alors n'allez pas plus loin. Renouez tranquillement le fil de la relation en faisant machine arrière ! Inutile de vous imposer coûte que coûte, vous ne feriez que renforcer la résistance de l'autre. La modestie est payante.

 

8 Plus on a de choix, mieux c'est !

 

Dans un magasin, plus vous avez le choix, plus c'est reposant de faire ses courses ! Plus votre cerveau a d'options et de réponse possibles, plus vous êtes fluide et flexible. Un choix réduit risque de vous enfermer dans un cercle vicieux. J'ai entendu une personnalité politique dire: « There Is No Alternative », autrement dit, nous n'avons pas le choix ! C'est faux. Les choix sont, au contraire, multiples, il suffit de percevoir la réalité sous un autre angle. La PNL vous aide à passer d'un programme mental à un autre, en repérant plusieurs choix possibles. La fluidité mentale permet de trouver des solutions dans de nombreuses situations à condition de laisser son cerveau travailler ! Maintenez votre vigilance et acceptez de modifier vos a priori si cela est profitable à chacun. Votre réalité peut être enrichie à tout moment.

 

 9 Chacun possède toutes les ressources dont il a besoin

 

Il suffit de les activer et de savoir les utiliser ! La PNL sait rappeler à votre présent les ressources qui vont vous aider. Vous êtes comme une mine d'or... dont il faut extraire les pépites ! Il est courant de dire que notre partie non consciente possède en elle-même toutes les ressources dont nous avons besoin pour réussir. En imaginant cela possible, vous offrez à votre mental des perspectives d'ouverture et une infinité de possibles ! Rien n'est jamais effacé dans notre mémoire, et il suffit parfois de réactiver des schémas de réussite pour retrouver le bon chemin et les bons résultats. Gardez toujours en tête qu'à tout problème il y a au moins deux solutions.

Une situation qui se présente à vous est a votre mesure, donc  vous trouvez les solutions .

 

10 L'échec n'existe pas, il n'y a que du feedback

 

Le feedback donne des réponses aux actions que nous avons menées. Si tout va bien, si le feedback est positif, ne changez rien ! Sinon, faites autrement. Cette devise fait fi des émotions qui accompagnent souvent les échecs et qui vous laisse à plat, mais, passé ce premier mouvement d'abattement, reprenez vite espoir ! Le feedback indique éventuellement les erreurs sur le chemin à suivre, parce que le chemin existe. Ceux qui montent à cheval savent bien qu'il faut tout de suite remonter en selle après une chute. Autrement dit, restons positifs: un échec est une tentative réussie pour savoir que ça ne fonctionne pas ainsi ! La politique du TINA /There Is No Alternative) a totalement oublié les facultés exceptionnelles de notre cerveau à s'adapter et à tirer parti de nos échecs.

 

En conclusion, si quelque chose ne marche pas pour vous, changez votre façon de le faire. Ne vous obstinez pas sur une stratégie si elle ne donne pas de bons résultats. Faites autre chose.

Sortez du cadre, inventez de nouvelles voies, tentez des expériences inédites, soyez créatif ! C'est bon pour votre cerveau aussi.

Le PNListe ne se prend pas la tête à penser à la place des autres!

Il agit, il teste, il vérifie, il recommence, il y croit, il entraîne les autres, il a un objectif évolutif, il est prêt à modifier son comportement, il a le moral et une foule de ressources !

Vous maintenir dans un état d'esprit positif inonde votre cerveau de substances euphorisantes et vos neurones, tout joyeux, travaillent pour vous ! Les peurs, les doutes et les ressentiments, eux, freinent votre créativité et empêchent votre mental de se développer, alors que le plaisir vous maintient en bonne santé.

Pensez-y! Il ne faut pas plus d'énergie pour créer de la bonne humeur que pour créer des soucis !

C'est à vous de décider.

 

Tant quil s'agit de petits désagrements de la vie quotideme c'est tout à fait possible. Nous sommes équipés pour réagir, pour changer de cap, pour prendre des décisions.

Seulement, parfois, dans le domaine de la santé mentale, ce quelqu'un d'autre qui va devoir décider : le médecin... le psi chiatre,le psychothérapeute... Les difficultés que vous vivez vous empêchent d'y voir clair; vous ne savez plus trop dire ce qui ne va pas.

 

La PNL sait aborder les dysfonctionnements du mental, de l'affectio la plus légère à des pathologies plus lourdes.

Prenons une petite liste de malades : dépressif, bipolaire, alcoolique, addict, anorexique, boulimique, borderline... Lorsque vous avez ce genre d'affection, ce n'est pas toujours aisé d'avoir l'esprit aéré ni de trouver des solutions tout seul, hélas. Remarquez qu'une situation de conflit entre époux ou un burn-out carabiné une phobie, de l'insomnie ou les sautes d'humeur d'un ado... Tout cela peut vous mettre la tête à l'envers, même sans passer par la case HP (hôpital psychiatrique) !

 

Nous n'allons pas, ici, développer de thérapies spécialisées adaptées à chacun de ces cas. On ne pose pas un diagnostic comme on pose du papier peint ! Chaque cas est unique, et l'accompagnement thérapeutique PNL ne fait pas tout! Dans certaines situations, la prescription d'une pharmacopée imposante et le savoir-faire d'un expert dont c'est le métier sont indispensables.

 

REF.: Pratiques et bienfaits de la PNL(Programmation Neuro-linguistique),par Anne Lang-Bringer 

 

PNL: Le modèle SCORE , la recherche de l'objectif et la double dissociation

PNL:  Le modèle SCORE , la recherche de l'objectif et la double dissociation

Le modèle SCORE et la recherche de l'objectif:

 

 

C'est une technique spatiale, c'est-à-dire qu'elle se pratique debout en se déplaçant selon les questions. Je vous explique ce qu'a fait Penelle; vous pouvez tester chez vous.

--- S C O R E ---

Vous posez ces cartes sur le sol et vous allez vous déplacer dessus. Voilà qui donne envie

 

S= situation, donc vous allez décrire la situation qui vous pose problème.

C = les causes, donc vous allez chercher ce qui a provoqué ce problème.

O = l'objectif, donc vous allez définir ce que vous voulez obtenir

R= ressources, donc vous allez puiser dans vos ressources (ancrages, etc.). Et enfin.

E = les effets, donc, quels bénéfices vous allez tirer de résolution de ce problème.

En classant ainsi vos pensées, les solutions vous apparaissent. plus clairement, et vous évitez les auto jugements, les doutes et les angoisses.

 

 

- Henri est inquiet... son patron lui a fait des remarques sur son travail... Du coup, il n'est plus trop sûr de lui et ne sait plus comment s'y prendre pour rattraper ses erreurs.

 

Situation= Sur le S: il décrit ce qu'il ressent et raconte ce qui s'est passé.

Causes= Sur le C: il se dit qu'il aurait dû mieux se renseigner avant de se lancer et vérifier à deux fois !

Objectifs: Sur le O : il projette de faire plus attention, la prochaine fois, en expliquant comment il va s'y prendre.

Ressources:  Sur le R: il a besoin de retrouver son assurance, alors il fait un ancrage de ressources !

Effets: Sur le E: il imagine les futurs résultats et la satisfaction de son patron.

Cela démontre qu'il est parfaitement stérile de ruminer un problème ou un échec pendant des heures ! Se plaindre n'est pas du tout productif ! Bon, je vous accorde que cela soulage, un moment, mais mieux vaut se mettre en action afin de ne pas gaspiller de l'énergie à se repasser le film en boucle !

Tous les traitements ne relèvent pas de psychiatrie, heureusement ! Je me promène parmi les exemples en commençant par cas liés à la psychologie pour bien vous faire vire la richesse de la PNL, puisque Grinder et Bander ont aussi débuté avec ce domaine sI riche de la thérapie. Il est certain que la PNL a profondément modifié l'approche thérapeutique.

 

 Elle a apporté une qualité d'écoute que les patients ou les clients apprécient

Même si l'histoire de Caroline est résumée, ce qu'elle a vécu pendant ses entretiens a profondément modifié sa vie: Elle est allée puiser en elle-même les ressources qu'elle attendait des autres ! Le réimprinting permet ce miracle.

 

Le réimprinting et la double dissociation corrigent le passé douloureux

Tout ce qu'une personne garde en mémoire, accompagné des émotions qu'elle a vécues pendant un traumatisme, est agglutiné en programmes et en stratégies hermétiques et bien verrouillées. Il suffit de faire glisser les ressources très puissantes d'une situation positive (déjà vécue, donc mentale) vers une situation douloureuse pour en modifier l'impression et la conserver en tête, sans la revivre sans arrêt dès l'apparition d'une image ou d'un mot. Caroline pensait que sa mère aurait dû l'aimer…

 

Cela signifie qu'elle a une idée de ce qu'est cet amour ! Elle a donc créé, pour elle, un programme « amour », dont, malheureusement, la petite fille qu'elle était n'a pas pu profiter. Le programme de l'enfance ne comporte pas l'amour de sa mère. Puisque tout se passe dans sa tête, alors, la Caroline du présent va aller transporter cet amour et le donner à la maman du souvenir afin de refaire l'histoire émotionnelle et de réparer le manque ! Souvenez-vous que le cerveau ne fait pas de différence, en ce qui concerne les émotions et les ressentis, entre ce qui est réel, bien présent, et ce qui est imaginé ! Bien sûr, Caroline sait consciemment que sa mère n'a pas eu de gestes d'amour, mais elle n'en ressent plus la souffrance. Elle a donné à sa mère des ressources qui lui ont manqué et elle a pardonné.

Si vous avez des souvenus qui, encore aujourd'hui, vous empêchent de vous réaliser comme vous aimeriez le faire, n'hésitez plus, allez en parler à un PNListe agréé, et vous trouverez de réponses à vos questions.

Je vous raconterais bien une autre histoire, très belle, bien quelle ait commencé de façon tragique... Soyez rassuré, tout est bien. qui finit bien, comme le dit le capitaine Haddock! Je plaisante parce que le sujet, s'il est touchant, fait appel à des images fortes que je souhaite adoucir pour votre confort de lecteur. Cette histoire illustre parfaitement ce que je vous expliquais au sujet de souvenir douloureux et elle aborde une autre technique : la double dissociation. Nous savons ce qu'est une dissociation, mais ici, on a eu besoin de doubler la distance ! Inutile que je vous en parle davantage, vous allez comprendre très vite. 

 

Nathalie veut un enfant, mais elle va d'échec en échec. Elle consulte des spécialistes, des gynécologues, des professeurs... Elle tente, à plusieurs reprises, la procréation in vitro, mais aucune de ses tentatives n'aboutit. En désespoir de cause, sa gynécologue lui conseille de « consulter » (ça veut dire « aller voir un psychologue »). Elle arrive chez Pénelle(le PNL spécialiste), accablée et prête à tout essayer. Pénelle procède au questionnement habituel afin de bien cerner la demande.

Grâce à un ancrage, le duo retrouve une situation terrible qui est à l'origine de ce blocage du présent. Enfant, elle avait à peine 14 ans, Nathalie a perdu sa mère. Les hôpitaux de l'époque ne connaissaient sans doute pas encore l'empathie ni l'accompagnement des familles, aussi lui demandent-ils de venir voir la défunte... À la morgue, dans son tiroir... Je vous laisse imaginer le choc !

A cet instant, sans se le dire avec des mots, Nathalie a pris une décision irrévocable : elle ne fera jamais d'enfant, pour lui éviter cet horible douleur Vite, Pénelle change de sujet parce que rien que cette évocation replonge Nathalie dans son passé, et elle en frissonne. Pour compenser, Pénelle cherche si elle a connu des moments heureux, merveilleux dans sa vie? Oui. Elle évoque la rencontre avec son époux, la fête de leurs noces, la joie partagée..., et Pénelle(le spécialiste en PNL) lui prend la main à ce moment précis où elle vibre d'une forte émotion à ce souvenir. Il a créé un ancrage, un point de repère dans les stratégies de Nathalie, qui lui rappellera ces jours heureux. Sans lui lâcher la main, Pénelle demande à Nathalie d'Imaginer une bulle de protecton autour d'elle, intraversable, transparente (première dissociation).

 

Elle le fait et continue à ressentir la joie d'être bien mariée et heureuse. Ensuite, de cette place, elle devra imaginer qu'elle surplombe une scène de théâtre, séparée de sa bulle par un écran de plexiglas (seconde dissociation).

Pénelle la prévient que sur cette scène imaginaire va se dérouler une sorte de film, des images pas très agréables, mais dont elle est détachée, puisqu'il s'agit de l'histoire d'une petite fille, il y a longtemps. Elle regarde en serrant la main de Pénelle qui décrit alors brièvement la scène traumatisante en « calibrant » à chaque mot, à chaque image, que Nathalie se sente toujours en paix, qu'elle respire calmement et lui demande ce qu'elle aimerait dire à cette enfant, là-bas. Nathalie est sereine, elle parle doucement et décide de dire à la petite fille que sa maman est au Ciel, qu'elle la protège pour le reste de sa vie et qu'elle est sûre qu'elle fera une aussi bonne mère qu'elle l'a été.

Lorsque Nathalie, avec l'aide de Pénelle, revient dans le présent, elle pleure. « Je me libère », dit-elle. Un grand soupir achève de la remettre d'aplomb. Elle dit qu'elle ira mettre des fleurs sur la tombe de sa mère et lui dire merci.

Quelque temps après, elle annonce à Pénelle qu'elle est enceinte,

 

Aux dernières nouvelles, elle a sans aucune aide médicale accouché d'une petite fille, qui a maintenant 17 ans ! Depuis cette naissance, chaque année, pour les vacances, Nathalie a envoyé une carte à Pénelle, en remerciements fidèles.

Vous comprenez pourquoi la démarche d'aller voir un psychothérapeute n'est pas si aisée, encore de nos jours? Malgré les émissions télévisées, les ouvrages nombreux et les preuves avérées, nombreux sont les clients qui suivent leur petit bonhomme de chemin, accompagnés d'un malaise constant. C'est le cas de certains phobiques, par exemple. La « phobie » est un mot employé maintenant à toutes les sauces dans le langage courant. « J'ai une phobie.» ça veut tout dire.... et rien dire ! Pourtant, c'est une souffrance, et on ne naît pas avec ! 

 

 REF.: Pratiques et bienfaits de la PNL(Programmation Neuro-linguistique),par Anne Lang-Bringer

PNL: Les mécanismes de la communications

PNL: Les mécanismes de la communications

Détendez-vous, prenez quelques minutes et savourez le moment. 

 

Ce texte est anonyme mais si juste. Il évoque indirectement la modestie et l'humilité nécessaires à une bonne attitude relationnelle. Il détaille avec finesse un mécanisme spontané que nous ne maîtrisons pas, mais que nous vivons au quotidien.

 

 Il s'appelle: Communication:

 

 

  Le langage est un code.

«Comprendre un message, c'est le décoder. Or tout décodage est un nouvel encodage.

Si vous me dites quelque chose, je vérifie que j'ai bien compris votre message en vous le redisant avec mes propres mots, c'est-à-dire avec des mots différents de ceux que vous avez utilisés, car si je répète exactement vos paroles, vous ne saurez pas si je vous ai vraiment bien compris.

 

En même temps, si j'utilise mes propres mots, cela indique que j'ai changé votre sens, bien que très légèrement; et à supposer même que, vicieusement, je vous renvoie votre message mot pour mot, pour vous dire que je l'ai bien compris, cela ne garantirait nullement que j'ai enregistré le même sens que vous dans ma tête, car j'apporte à ces mots une expérience différente du langage, de la littérature et de la réalité non verbale, si bien que ces mots ont pour moi un sens différent de celui que vous leur donnez.

 

Et si vous pensez que je n'ai pas compris le sens de votre message, vous ne vous contentez pas de le répéter avec les mêmes mots, vous essayez de l'expliquer avec des mots différents, différents du moins de ceux que vous aviez utilisés à l'origine; mais alors votre message n'est plus exactement le même que celui que vous vouliez transmettre au début.

Il s'est écoulé du temps depuis que vous avez ouvert la bouche pour parler, les molécules de votre corps ont change, ce que vous vouliez dire a été remplacé par ce que vous avez effectivement dit, et fait maintenant partie intégrante de votre histoire personnelle que votre mémoire a enregistrée très imparfaitement.

 

La conversation est, en somme, une partie de tennis que l'on joue avec une balle en pâte à modeler qui prend une forme nouvelle chaque fois qu'elle franchit le filet. »

 

 

 

Tout est dit !

 Les belles phrases et tous les ouvrages de la création vous expliquent les modèles, les techniques, les concepts, mais lorsque vous faites face à une personne dans une situation donnée, les choses ne se passent pas toujours comme dans le manuel ! Chacun reste bien campé dans son modèle du monde, décidé à le défendre à coups d'arguments, et l'émotion présente estompe les nuances de la communication. 

 

Ce texte fait réfléchir, Il sollicite toute notre bienveillance, notre capacité à analyser et, également, toute notre patience.

Communiquer verbalement, ce n'est pas si simple ! Je ne saurais que trop vous encourager à ralentir le rythme de vos réactions, mais, avec un peu de patience, je suis certaine que vous allez exceller.

 

Nota:  Le langage est un code. (en informatique: on n'a le language machine,le language Assembleur qui parle directement au puce de silice de votre ordinateur,(électriquement parlant +5 volts et - 5 volts et en mathématique: il ne peut qu'additionner pour  vous faire accroire qu'il soustrait,multiple et diviseet en quantique: c'est que toutes les possibilités sont bonnes ,c'est l'observateur qui décide,,Perl,Cocoa,Python le plus populaire lol )c'est super rapide ,il ne passe pas par un détour comme le C++ ,qui est plus imagé pour permettre à l'usager de voir ce qui qu'il fait , et comprendre mieux pour peaufiner encore plus ce qu'il veut voir s'afficher à ses yeux, c'est pareil)

 

 

 REF.: Pratiques et bienfaits de la PNL(Programmation Neuro-linguistique),par Anne Lang-Bringer