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jeudi 10 février 2022

Équitabilité et Gestionnaire ne vont pas ensemble ?

 

 

Équitabilité et Gestionnaire ne vont pas ensemble ?

 

Pourquoi ?

S'il n'y a pas d'équité dans les négociations, les directives, personnes ne va arriver à un résultat!

Et surtout si, il y a division à l'intérieur du groupe, vous êtes foutu !

Dans le cas où un clan devient dominateur, la loi de la meute, comme chez les loups, formera des solitaires dangereux, pas seulement pour la meute, mais pour l'ensemble de l'écosystème. Et dans l'éventualité où le ratio gestionnaire/employé est trop élevé, ce sera le chaos.

C'est pareil avec tout le monde des mammifères.

 



REF.: Vu sur le web

mardi 18 mai 2021

Les Gestionnaires ????? [Encore du HARCÈLEMENT] «Combien de temps peut-on donner à un gestionnaire pour [changer ses pratiques]?»

 

 

 

A l'émission radio:Tout un matin

 
Les Gestionnaires ?????
[Encore du HARCÈLEMENT] «Combien de temps peut-on donner à un gestionnaire pour [changer ses pratiques]?»
 
 Gestionnaire ou Torcionnaire ???

Peut-on aider un gestionnaire qui harcèle ses employés?

Publié le 5 mai 2021,un Gestionnaire fru,ça ressemble a ça,..........désolé,mais pas de pitié pour ça !
Marie-Eve Proulx, en conférence de presse à l'usine d'Alstom à La Pocatière.
La députée Marie-Eve Proulx
 PHOTO : Radio-Canada

La députée Marie-Eve Proulx a démissionné du Conseil des ministres après avoir fait l'objet de plaintes pour harcèlement. François Legault affirme pour sa part lui avoir offert, dans les derniers temps, des « services de coach » pour l'aider à s'améliorer. « L'enjeu, c'est la durée. 

Combien de temps peut-on donner à un gestionnaire pour [changer ses pratiques]? »

 réagit la chroniqueuse Marie Grégoire. En compagnie de la porte-parole de la Jeune chambre de commerce de Montréal, Déborah Cherenfant, on se demande ce que représente cette expulsion sur la tolérance du harcèlement en milieu de travail.

 
 

La ministre déléguée au Développement économique régional et ministre responsable des régions de Chaudière-Appalaches, du Bas-Saint-Laurent, Marie-Eve Proulx, démissionne du Conseil des ministres. Le député de Matane-Matapédia, Pascal Bérubé, se dit soulagé de son départ comme ministre responsable du Bas-Saint-Laurent. Il admet que leurs relations étaient difficiles. Éric Gagnon le reçoit en entrevue.

Pascal Bérubé avait exprimé le souhait de la voir remplacée par la présidente du Conseil du Trésor, Sonia Lebel, originaire de Matane, mais ce ne sera vraisemblablement pas le cas.

« Pour faire avancer nos dossiers, on a besoin d'un allier au conseil des ministres. On n'avait pas cet allié avec Marie-Eve, c'est la vérité. Ceci étant dit, est-ce qu'on va avoir une personne avec qui la collaboration sera acquise? Avec qui on va travailler dans la bonne humeur? On a eu parfois des désaccords, mais c'est mon souhait. La seule chose qui m'intéresse à partir de maintenant c'est de connaître l'identité du ou de la ministre responsable du Bas-Saint-Laurent. C'est un titre important. »

—  Pascal Bérubé, député de Matane-Matapédia.

Pascal Bérubé dit, avec son collègue Harold LeBel, avoir fait part au cabinet du premier ministre des difficultés qu'ils avaient à travailler avec la ministre Proulx.

Tout comme le chef de sa formation politique, Paul Saint-Pierre-Plamondon, le député de Matane-Matapédia, veut savoir si la récente entente hors cour conclue entre Marie-Eve Proulx et un ancien employé a été payée par des fonds publics.

Pascal Bérubé demande au premier ministre François Legault de rapidement pourvoir le poste de ministre responsable de la région.

 

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jeudi 4 février 2021

Dysfonctionnements de l'Hôpital Notre-Dame: Un Autiste est décédé seul ,sans surveillance ?

 Dysfonctionnements de l'Hôpital Notre-Dame: Un Autiste est décédé seul ,sans surveillance  ?

Relaté dans le journal Le Devoir,par Marie-ëve Cousineau et Marie-Michèle Sioui , le 26 Janvier 2021.

















 

 

 

 

 

 

REF.:

Des organismes de défense de personnes ayant un handicap dénoncent les circonstances de la mort d’un homme atteint d’autisme et de la COVID-19 aux soins intensifs de l’Hôpital Notre-Dame, à Montréal. Une enquête du Devoir a révélé lundi que le patient de 52 ans, placé sous curatelle publique, a arraché le matériel respiratoire auquel il était rattaché, alors qu’il était sans surveillance.Au Devoir, douze employés et ex-employés de cet établissement de santé ont dit craindre pour la sécurité des usagers qui y séjournent.

Le décès d’un homme autiste aux soins intensifs COVID de l’Hôpital Notre-Dame dans la nuit du 5 janvier dernier aurait pu être évité, estiment quatre personnes bien au fait du dossier. Ces sources ont demandé l’anonymat, par crainte de représailles administratives ou de nature judiciaire de leur employeur, mais aussi parce qu’elles ne sont pas autorisées à parler pendant l’enquête interne qui est en cours. Toutes craignent cependant qu’aucune mesure ne soit prise par l’Hôpital, et c’est pour cette raison qu’elles se sont confiées au Devoir.

La directrice générale de la Société québécoise de la déficience intellectuelle, Anik Larose, est outrée. « C’est totalement inadmissible, dit-elle. C’est ce qu’on anticipait et malheureusement, c’est ce qui est arrivé. » Ces personnes doivent absolument être accompagnées, selon elle. « Elles peuvent se désorganiser à l’hôpital, un milieu hautement anxiogène en temps de COVID-19 », signale Anik Larose.

 Atteint de la COVID-19, l’adulte autiste de 52 ans placé sous curatelle publique est mort seul des suites d’une insuffisance respiratoire hypoxémique. Personne ne se serait trouvé à ses côtés cette nuit-là, malgré le fait que son état nécessitait la présence continue d’un intervenant spécialisé dans l’accompagnement de personnes ayant une déficience intellectuelle ou d’un préposé de garde. Selon les témoignages recueillis, le patient n’aurait pas vu l’infirmier aux soins intensifs pendant plus d’une heure quand il a été retrouvé mort.

« Ça n’a pas de maudit bon sens ! » Danielle Gaudet est présidente du Comité des usagers du Centre de réadaptation en déficience intellectuelle et en troubles envahissants du développement (CRDITED) de Montréal, qui fait partie du CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, tout comme l’Hôpital Notre-Dame. « Comment se fait-il que cette personne sous curatelle et qui a un trouble du spectre de l’autisme n’était pas accompagnée aux soins intensifs ? Et qu’elle a réussi à se débrancher ? », demande-t-elle.

Le Comité des usagers du CRDITED de Montréal se dit d’autant plus inquiet que les cas de COVID-19 se multiplient dans les ressources intermédiaires (RI) et les ressources de type familial (RTF), qui hébergent des personnes ayant une déficience intellectuelle ou un trouble du spectre de l’autisme sur le territoire du CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal. Une vingtaine d’éclosions sont en cours, un sommet depuis le début de la pandémie, selon les plus récentes données du CIUSSS.

Depuis le début de la deuxième vague, huit résidents de RI et RTF sont morts de la COVID-19, indique le CIUSSS. Environ 155 résidents de RI et RTF ont contracté la maladie pendant la même période. « Quand on pose des questions sur n’importe lequel sujet à la direction des DI-TSA-DS [déficience intellectuelle, trouble du spectre de l’autisme et déficience physique] du CIUSSS, ils ne nous répondent pas, s’insurge Danielle Gaudet. C’est l’omerta. »

Nathalie Goulet, intervenante familiale à Autisme Montréal, n’est pas étonnée qu’une telle situation soit survenue. « Ce qui existait avant la COVID-19 ne fait que s’accentuer », dit-elle. Elle cite en exemple le cas d’un jeune atteint d’un trouble du spectre de l’autisme dont la porte de chambre dans un hôpital montréalais était surveillée par un agent de sécurité, faute d’intervenant adéquat pour s’occuper de lui.

Enquête interne en cours

La Société québécoise de la déficience intellectuelle a interpellé le ministère de la Santé et des Services sociaux au sujet de l’accompagnement des gens ayant une déficience intellectuelle à l’hôpital, avant même d’être mis au fait de la mort de cet homme de 52 ans. « On nous a dit que si les centres hospitaliers font une demande à leur CIUSSS ou CISSS, ils peuvent avoir un soutien de la part de la direction de DI-TSA [pour s’occuper de ces patients] », rapporte Anik Larose.

Que s’est-il passé dans le cas de cet homme de 52 ans ? Un protocole avait-il été mis en place ? Questionné à ce sujet, le CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal a répondu qu’il ne pouvait commenter le dossier. Une enquête interne est en cours. « Les premières personnes qui seront mises au courant des détails de cette enquête, ce sont les membres de la famille, a dit le porte-parole Jean-Nicolas Aubé. Nous sommes déjà en contact avec eux. »

La directrice du programme DI-TSA-DP du CIUSSS Carla Vandoni rétorque quant à elle qu’elle répond « à toutes les questions » du Comité des usagers du CRDITED de Montréal. « Mais pas toujours le jour même », précise-t-elle.

Carla Vandoni souligne que les mesures pour contenir les éclosions dans les RI-RTF vont être « intensifiées ». Des équipes de prévention et de contrôle des infections offrent déjà un soutien aux ressources, notamment en ce qui a trait aux équipements de protection individuelle, indique-t-elle. « On va rajouter du personnel qui vont circuler dans les milieux pour s’assurer que tout est bien fait », précise Carla Vandoni.

 Tous les employés et ex-employés qui  se sont confiés au Devoiront demandé de garder l’anonymat par peur de représailles administratives ou de nature judiciaire de la part de l’Hôpital Notre-Dame.

REF.:

jeudi 17 septembre 2020

jeudi 19 janvier 2017

Des million $ en bonus pour des cadres et gestionnaires a Montréal

Un million $ en bonis pour les hauts fonctionnaires de Montréal



Les contribuables montréalais ont donné un très beau cadeau de Noël l’an dernier aux hauts fonctionnaires de la Ville, qui se sont partagés près de 1 M$ en bonis de rendement. Une somme qui fait rager les syndicats municipaux.
Au total, les 181 hauts dirigeants de la métropole se sont partagé pas moins de 926 184 $ en bonis en 2015, en plus d’une rémunération totale de 26,6 M$. C’est le plus important montant de bonis remis depuis au moins 2013, selon des données obtenues via une demande d’accès à l’information.
C’est un bond de 16 % par rapport aux 800 000 $ remis l’année précédente. Pourtant, il n’y a que 10 cadres qui se sont ajoutés à la masse salariale pendant la même période.
«C’est inacceptable et aberrant. La direction ne cesse de couper chez ses employés, et ensuite se félicite en se donnant de gros bonus. Quand tu es en mode économie, tu es en mode économie partout», s’insurge le président du syndicat des cols blancs de Montréal, Alain Fugère.
Autant lui que la branche québécoise du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP), qui chapeaute le syndicat des cols bleus, dénoncent le fait que le maire Denis Coderre a récemment annulé l’indexation de 1 % du fonds de pension des retraités municipaux, tout en permettant de tels bonis aux cadres.
«La Ville de Montréal souffre d’obésité morbide dans sa structure de direction, et il se perd un montant d’argent fou (...) parce que chaque arrondissement doit avoir sa propre direction. Les bonis sont la cerise en trop sur un très mauvais sundae», se révolte le porte-parole du SCFP-Québec, Marc Ranger.
Jusqu’à 20 000 $ de bonis
En plus de détenir le plus important salaire de la Ville (321 300 $), c’est le directeur général Alain Marcoux, qui a reçu le plus grand boni de rendement (19 221 $) en 2015.
Il est l’un des 10 cadres qui ont réussi à gonfler leur salaire de plus de 10 000 $ grâce aux montants forfaitaires.
«Son bonus représente presque la moitié de mon salaire comme agent de stationnement, avant que je sois libéré par le syndicat. C’est 20 000 $ tout simplement pour avoir fait son travail», martèle M. Fugère.
Plus de transparence
Pour sa part, l’experte en politique municipale Danielle Pilette ne s’étonne pas du montant de bonis payés aux cadres. Selon elle, ceux-ci sont récompensés quand ils sont capables de réduire la taille de leurs services respectifs.
Elle est toutefois d’avis que la structure de la Ville est toujours beaucoup trop grosse et que les règles qui entourent la remise de bonis devraient être plus claires.
«La rémunération des employés municipaux à Montréal est de loin parmi les meilleures au Québec. Les Montréalais veulent comprendre pourquoi on récompense des employés qui sont déjà très bien payés», explique la professeure à l’UQAM.
– Avec la collaboration de Sarah-Maude Lefebvre

Des primes justifiées, selon la Ville

La Ville de Montréal croit que les bonis remis aux cadres ont leur raison d’être, et jure avoir davantage coupé dans la rémunération de la direction que dans celle des employés syndiqués l’an dernier.
En décembre 2015, la Ville a resserré son processus d’octroi de bonis aux cadres et depuis, chaque montant (versé en boni) «sert à reconnaître la contribution supplémentaire au-delà de la description de tâches de l’employé», indique par courriel la porte-parole Linda Boutin.
En même temps, les cadres ont vu leur nombre d’heures travaillées passer de 35 à 37,5 par semaine sans augmentation de salaire, et ont dû augmenter les cotisations à leur régime de retraite et leurs assurances collectives. Au total, leur rémunération horaire a été grugée jusqu’à 14 %, calcule la Ville.
«À titre comparatif, l’effort demandé aux syndiqués représente entre 5 et 6 % de réduction», ajoute Mme Boutin.
Un «comité de calibrage», formé notamment du directeur général et de ses adjoints, revoit annuellement les bonis remis aux cadres.
L’opposition choquée
Pour sa part, la chef de Projet Montréal croit que le maire Coderre a menti aux Montréalais lorsqu’il a promis en 2014 de réduire la taille et la masse salariale de la fonction publique.
Elle dénonce également le fait que l’administration donne des primes, tandis que les arrondissements sont obligés de couper dans les services aux citoyens.
«Les arrondissements sont rendus à couper dans les heures d’ouverture des bibliothèques, des patinoires et des centres communautaires. Mais d’un autre côté, on remet de plus en plus de bonis à la haute direction. C’est inacceptable», s’est insurgée Valérie Plante.
Pour sa part, le cabinet du maire a indiqué que «notre préoccupation constante est de remettre de l’ordre dans les finances de la Ville par un contrôle rigoureux des dépenses».

Rémunération des cadres en 2015

Alain Marcoux 
Un million $ en bonis pour les hauts fonctionnaires de Montréal
Photo CHRISTOPHER NARDI
Directeur général
 
Salaire : 321 300 $
 
Bonus : 19 221 $
Sylvain Perras 
Directeur du Service des technologies de l'information
 
Salaire : 190 000 $
 
Bonus : 14 201 $
Rachel Laperriere 
Directrice d'arrondissement de Montréal-Nord
 
Salaire : 170 800 $
 
Bonus : 11 801 $
Alain Dufort 
Directeur général adjoint
 
Salaire : 208 402 $
 
Bonus : 11 428 $
Benoit Dagenais 
Directeur général adjoint
 
Salaire : 213 095 $
 
Bonus : 10 957 $
Jacques Marleau  
Directeur du Service des finances et trésorier adjoint
 
Salaire : 208 080 $
 
Bonus : 10 892 $

NOTA: 
 C'est la pointe de l'iceberg, car en milieu Santé c'est pire !!!
Pour garder des cadres en milieu disons hostile(relation de travail toxique) et quelques années avant leurs retraites ,ils ont tous des bonus,surtout si le centre hospitalier(Pavillon) va fermer ,dans le cadre du systême en retructuration du Ciusss !$!
 
 Source.:

dimanche 21 février 2016

Gestionnaires véreux ou intimidation administrative ?

Qui en souffre ou a peur ,..........les employés !
L'intimidation déguisé ça existe !

Oui,les CLSC ,tout comme le Ministre Barrette,pratique plus que jamais de l'intimidation administrative, a cause de l'austérité actuelle. Ce que l'on peut comparer a des postes tablettes de la fonction publique du Canada mettons, ou bien a des employés mis sur liste de rappel a des postes temporaires avec peu d'heure de travail,sinon il y a des infirmières qui sont obligées de faire du surtemps.Tout le monde saient, et la ,c'est l'opinion  publique qui le dit ; qu'il y a trop de gestionnaire dans les commissions scolaire,dans le secteur de la santé, au secteur municipal,gouvernementale,mais pas assez d'employé.
Seul,quelque P.M.E. et compagnies familiale ,ou la, règne un système de gestion efficace.

Le monde syndicale n'a jamais empêché ce phénomène ,car il y participe.Tout ce monde ont les mains sales.Il y a des pays que le gouvernement et les forces de l'ordre sont corrumpu même !

-Un symdicat qui mange dans les mains de l'employeur:
C'est connu,aucun syndicat n'est meilleur que l'autre! Donc FTQ, CSN etc ... aucun n'est meilleur.
Sauf le prix de vos cotisations; et la, la FTQ a le meilleur ,car en secteur de la Santé,ça coûte de 15 a 20$ de moins par paye (de 2 semaines) ,pour le même service. Lorsque ça sonne a leur bureau,il ne réponde qu'a des causes relier a la CSST et rien d'autres ! Par contre,s'il y a grève, l'arme du Ministre, est la loi spéciale pour forcer le retour au travail !

Dernièrement,on a déja vu qu'un employé chum avec un cadre (gestionnaire)en secteur Santé,faire engager son agence de P.A.B. sans diplôme a la fonction publique(Cente de réadaptation) a gros salaire,passant de 10$ a 22$/Hr.On devrait appeler ça un conflit d'intérêt,mais le pire c'est qu'un autre gestionnaire est parti avec l'argent de la caisse des employés sans qu'aucun journaliste ne dise mots ! Un juge a simplement fait réengager les 130 employés mis a pied(certains disent 300) de l'agence en question,pendant que l'organisme en question changea de nom,parce qu'il  y avait trop d'histoire d'horreur dans cette affaire(comme des attouchements sexuel,violence envers les usagers etc...) !

On a déja vu un intervenant demandant un info a un plâtrier(de l'équipe d'entretient des résidences)si ça fait longtemps qui travail la ? Il a répondu a la question et rajoute que sa fille travaille comme éducatrice. ??? Éduc.,wow ! ..........C'est tu une entreprise familliale icitte !...... Si on engageait les intervenants syndiqués,comme on engage l'équipe d'entretient,ça serait pas beau a voir !
Déja que les maisons appartiennent a une Fondation,.................ça c'est de l'économie !

Mais qu'entend-t'on par intimidation administrative ?
C'est l'effet des coupures de leurs postes de gestionnaire qui déboule sur les postes d'employé de l'entreprise.Moins de gestionnaire , moins d'employé.On cré des postes occasionnels,on nous dit que les usagers sont en déclin,mais on s'arrange pour éviter de payer des pensions en engageant des employés a temps partiel et en abolissant des postes a temps plein ! Ce que l'agence en soins santé fait,c'est ce que ne veut pas faire comme travail les employés régulier! Mais le partage des heures de travail par ancienneté et par compétence, est crétiquable et pas toujours équitable.Le syndicat fait souvant des enquêtes ,pour manque a gagner ,pour les employés!C'est souvent payer a la fin de l'année financière,.....bizarre ! Si personne chiale,personne n'est payé,personne ne travail !
On a déja vu des postes de gestionnaire abolis,mais que ceux-ci se font migrer dans des services nouvellement créé pour eux.Rien de tel existe pour de simple employé !

Maladie mentale en déclin ? Encore plus d’élèves autistes,leur nombre est passé de 429 à 832 en cinq ans dans les commissions scolaires de Québec.Le terme d’autisme – que l’on appelle maintenant «les troubles du spectre autistique» – des situations cliniques très variées, qui vont du syndrome d’Asperger à d’autres manifestations comme l’apparition de comportements simplement atypiques, sans oublier des formes très graves où l’enfant est totalement clos, se mutilant lourdement. D’où des affirmations qui reviennent souvent : «Il y avait un autiste pour 1 000 naissances en France en 2004, il y en a dix fois plus aujourd’hui.» Un chiffre qui ne veut rien dire, comme si on mélangeait dans une même donnée statistique des angoissés et des psychotiques.«On atteint aujourd’hui un taux de diagnostic génétique de l’ordre de 30% à 35%, essentiellement dans les formes d’autisme associées à une déficience intellectuelle, et considérées par les pédopsychiatres comme atypiques.» Et ce généticien d’ajouter, non sans raison : «L’autisme est un symptôme, ce n’est pas une maladie. Il n’y pas pas un gène de l’autisme mais des dizaines. Et il y a des centaines de mécanismes distincts qui concourent à l’autisme.»C’est à partir de l’âge de 2 a  6 mois (et non dans l'ADN du foetus)que peut commencer à différer le développement des enfants atteints de troubles du spectre autistique (TSA) par rapport à celui des autres enfants, conclut cette étude de la John Hopkins University et de la Harvard Medical School, la plus grande étude prospective, longitudinale jamais menée à ce jour auprès d’enfants avec diagnostic précoce de TSA. Ces résultats, publiés dans la revue Child Development appellent à la détection très précoce de l’autisme.
Tout est une question d'argent;Les trisomiques sont rendu en résidence privée avec des employés a 12$/hr.,car ils sont peu autonomes.
Alors le gouvernement place ces employés(donc ceci baisse sa masse salariale) plutôt avec les Autistes(TSA) qui peuvent eux travailler et payer de l'impôt et être autonome ,avec des employés-intervenant payé par l'état a 25$/hr. !

 
- Conflit d'intérêt: On a vu aussi des gestionnaires être en conflit d'intérêt, en gardant chez-eux ou en résidence des usagers ,venant de leur propre organisme,pour qui ils travaillent !
 Est-ce normal, bien que non syndiqué, ces gestionnaires ont des postes tablettes,ou bien travail dans des services inactif non productif,pour se rendre jusqu'a leur retraite.
Ou bien s'ils pourraient aller dans d'autres services ou dans le secteur privé.
 Non,car c'est l'Austérité du Ministre de la Santé,qui fait que ça ne peut être que ça!
Au fond,parce que le Gouvernement,le système de gestion actuel ne fait que créer des postes occasionnels,comme au privé.
Pourquoi ,parce que personne n'a assez d'argent pour payer des pensions a des travailleurs a temps plein.Par exemple: Dans le milieu de la déficience intellectuelle,on fait accroire qu'ont ferme des maisons(établissements) pour simplement switcher les usagers(c'est toujours le même nombre) de maison spécialisé en des maisons avec des déficients légers ,et dans lesquels il y aura des travailleurs (intervenants) a 12$/hr(au privé) au lieux de 22$/Hr pour ses employés de l'état.Ça,ça crée des employés sur la liste de rappel !

Même la RRQ(régie des rentes du Qc),n'a pas assez d'argent et ça vous le savez !
Sauf,les postes de haut niveau (dans la pyramide)administratifs ,la ou tout est permis.

En politique ,les pensions des gestionnaires sont garanties ,incluant les primes de départ,bonus et j,en passe...... des enveloppes !
 Parce qu'au fond, un gestionnaire c'est un politichien en puissance !


REF.: argentegotrip.com