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jeudi 21 mai 2015

L'Intimidation ou TDAH ?



Le Moule:
 Intimidation ou TDAH ? est un film coup de poing de JoFX Productions qui aborde le sujet de l'intimidation de façon inédite.  Les parents d'une fillette intimidée sillonnent le Québec afin de trouver des pistes de solution au problème de l'intimidation. Ceux-ci sont loin de se douter de ce qu'ils vont découvrir. En l'occurrence, que la hausse des diagnostics du TDAH est liée au problème de l'intimidation en milieu scolaire au Québec.Durée: 52 minuteshttp://www.jofxproductions.com/Lettre envoyée à l'école par la maman de la fillette en juin 2013:Depuis son entrée à l'école, ma fille est victime d'intimidation. Elle ne cadre pas dans le moule. À la récréation, les enfants ont même inventé un parfum «anti-Clémence» (nom fictif) pour la repousser. Ma fille est belle, intelligente et sensible, mais elle ne cadre pas dans le moule.L'autre jour, à la récréation, j'étais là. Derrière la clôture. Les enfants se mettaient en cercle pour jouer. Celle qui devait donner la main à ma fille a lancé un gros «Yark!» bien senti. Mon cœur est tombé par terre. Cette semaine, j'ai vu une petite fille arracher violemment les fleurs sur notre terrain. Elle les jetait au sol en maudissant ma fille. Quelques jours plus tôt, j'ai vu cette même fillette gambader sur le trottoir en chantant: «Clémence la laide, Clémence la laide...» J'ai contacté la mère de cette enfant afin de discuter de la situation, et à ma grande surprise; celle-ci s'est fâchée. Elle a invoqué un «manque de respect». Soit, de ce mot nous n'avons pas la même définition...J'estime que l'école devrait prendre des mesures plus drastiques afin de sensibiliser les enfants: L'intimidation n'a définitivement pas sa place dans la cour d'école. Ma fille est loin d'être la seule aux prises avec cette situation. Une fillette stigmatisée par les autres enfants depuis la maternelle bâtit son monde intérieur différemment, elle souffre et refoule sa colère du mieux qu'elle peut.Ma fille veut tellement arriver à se faire des amis, tellement qu'elle est prête à ne pas tenir rigueur à une amie, envolée mystérieusement avec sa console de jeux vidéo. «Elle n'a peut-être pas fait exprès, maman». Intimidation, vol, vandalisme, il faut agir maintenant, parce que nous savons que l'intimidation engendre un manque d'estime de soi, de l'isolement et peut causer le suicide.



Le Moule: Intimidation ou TDAH? est un film coup de poing de JoFX Productions qui aborde le sujet de l'intimidation de façon inédite.  Les parents d'une fillette intimidée sillonnent le Québec afin de trouver des pistes de solution au problème de l'intimidation. Ceux-ci sont loin de se douter de ce qu'ils vont découvrir. En l'occurrence, que la hausse des diagnostics du TDAH est liée au problème de l'intimidation en milieu scolaire au Québec.

 

mercredi 20 mai 2015

Scandale financier: Les banques risquent de payer plus de 40 milliards de dollars d'amendes

Etats-Unis : 5,8 milliards de dollars d'amendes pour 6 grandes banques mondiales


JP Morgan Chase, Citigroup, Barclays et RBS plaident coupable dans l'affaire de manipulation des taux de change.
 
 Des charges sont aussi retenues contre UBS et Bank of America.
 
Pour la première fois depuis des décennies, des banques américaines sont forcées de reconnaître leur culpabilité devant la justice pénale. Mercredi, JP Morgan et Citigroup ont admis que des traders qu’elles employaient s’étaient entendus pour manipuler le marché des devises à leur avantage... et au détriment de leurs clients. Les traders , qui auraient dû être concurrents, se surnommaient eux-mêmes « le cartel », la « mafia » et « les mousquetaires». Les banques admettent n’avoir pas empêché leurs pratiques, malgré les avertissements de lanceurs d’alerte et les plaintes de certains clients. JP Morgan et Citigroup ne sont pas les seules dans ce cas : mercredi, ce sont pas moins de six banques (JPMorgan, Citigroup, Bank of America, RBS, Barclays et UBS) qui ont passé un accord amiable avec le ministre de la Justice américain, la Réserve fédérale et des régulateurs new-yorkais. Elles vont payer plus de 5,8 milliards de dollars d’amendes au total, qui s’ajoutent aux 3,4 milliards déjà versées pour la même affaire l’an dernier aux autorités britanniques, suisses et américaines.

Lourdes répercussions

Les amendes ont beau être très importantes, elles ne sont pas le plus intéressant dans cette affaire. La grande nouveauté est que des banques américaines soient contraintes de plaider coupable. Certains établissements étrangers l’ont déjà fait avant elles -on se souvient notamment de BNP Paribas l’an dernier . Mais les juges américains n’y avaient encore jamais forcé les banques américaines, de peur certainement de fragiliser des champions nationaux et de détruire des emplois aux Etats-Unis. Le cas « Arthur Andersen » a longtemps refroidi leurs ardeurs : le cabinet de conseil avait dû supprimer 28.000 postes après avoir reconnu sa responsabilité dans l’affaire Enron.
Les aveux de culpabilité de mercredi constituent une grande victoire pour les pourfendeurs de Wall Street, qui pensent que les amendes ne suffisent pas à changer les comportements. Plaider coupable peut avoir de lourdes répercussions : cela oblige les banques à faire acte de contrition, ce qui constitue un aveu très embarrassant vis à vis de leurs gros clients. Certains d’entre eux peuvent être contraints, pour des raisons éthiques ou réglementaires, de cesser leur collaboration avec la banque. Un risque particulièrement fort en gestion d’actifs.
Plus grave encore, le plaider coupable peut provoquer la perte de licences professionnelles, menaçant des pans entiers d’activités. Il n’y a guère de risque en Amérique, où les banques sont de grands pourvoyeurs d’emplois. Mais dans de nombreux pays, les licences bancaires sont conditionnées à l’absence de condamnations pénales. Le « plaider coupable » pourrait donc ouvrir une période d’incertitude pour ces banques, qui devront s’entendre avec des dizaines de régulateurs pour continuer à opérer localement.

Le feuilleton n’est pas fini

Les autorités américaines sont loin d’en avoir fini avec cette affaire. A en croire un rapport publié par Citigroup, les banques risquent de payer plus de 40 milliards de dollars (32 milliards d’euros) pour solder ce scandale financier. Deutsche Bank, qui a miraculeusement échappé aux sanctions pour l’instant, est la plus menacée à long terme : elle pourrait acquitter 6,5 milliards de dollars d’amendes au total, devant Barclays (4,8 milliards), indique Citigroup. Si les banques échappent aux poursuites pénales grâce aux accords amiables, elles ne protègent pas leurs salariés d’une éventuelle condamnation en justice. Des traders du forex sont actuellement poursuivis aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Les peines de prison restent toutefois extrêmement rares...
Lire aussi

  Source.:

Les 12 hommes les plus riches de tous les temps.

Les 12 hommes les plus riches de tous les temps. Le premier risque de vous surprendre.

 

 

Vous êtes-vous déjà demandé quelles étaient les personnes les plus riches de tous les temps ? Le magazine en ligne Celebrity Net Worth a fait le calcul pour vous, en tenant compte de l’inflation au cours du temps. Aussi surprenant que cela puisse paraître, Bill Gates, l’homme le plus riche du monde en 2015, est la personne la plus “pauvre” sur cette liste. Quant à la personne la plus riche de tous les temps, elle est africaine.
1. Mansa Moussa : 400 milliards de dollars (378 milliards d’euros)
Mansa Moussa (ou Kankou Moussa) fut roi de l’Empire du Mali au XIVème siècle. Il a porté l’Empire du Mali à son apogée, du Fouta-Djalon à Agadez et sur les terres de l’ancien Empire du Ghana. Il a établi des relations diplomatiques suivies avec le Portugal, le Maroc, la Tunisie et l’Égypte. Son règne correspond à l’âge d’or de l’empire malien.

Sa fortune, il la construit en exploitant des mines d’or et de cuivre à travers le Sahara. Il fait aussi fortune dans le commerce du sel. En 1324, il se rend en pèlerinage à la Mecque, un voyage qui le rend célèbre en Afrique du Nord et au Proche-Orient. En effet, il part avec 60 000 hommes et 12 000 esclaves. Au sein de la caravane se trouvent aussi, selon certains récits, 80 dromadaires portant entre 50 et 300 livres d’or en poudre chacun (le Mali ignorait la monnaie). Dans chaque ville qu’il traverse, Moussa offre ses richesses. On raconte aussi qu’il construit une nouvelle mosquée chaque vendredi, quelle que soit la localité où il s’arrête ce jour-là.
On lui doit notamment la mosquée Djingareyber, toujours existante.


2. La famille Rothschild : 350 milliards de dollars (331 milliards d’euros)
Les Rothschild se sont fait connaître depuis le XVIIIe siècle dans les domaines de la banque et de la finance. La fortune de cette famille est colossale. D’après le blog financier Celebrity Networth, elle serait la deuxième plus grande fortune de tous les temps avec 350 milliards de dollars américains.








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3. John Rockefeller : 340 milliards de dollars (321 milliards d’euros)
Industriel et philanthrope américain, et évidemment fondateur de la légendaire famille Rockefeller. Sa famille a été à la tête d’un empire durant près de deux siècles en créant la Standard Oil qui deviendra Esso (des initiales SO), puis ExxonMobil. John Rockefeller prend sa retraite en 1896 en étant l’homme le plus riche des États-Unis et l’un des plus puissants au monde. Son fils reprend l’entreprise.


4. Andrew Carnegie : 310 milliards de dollars (293 milliards d’euros)
Industriel et philanthrope écossais naturalisé américain, il est l’un des principaux acteurs de l’essor de l’industrie de l’acier aux États-Unis à la fin du XIXe siècle. Le succès de sa société, Carnegie Steel, est essentiellement lié à sa capacité de produire en grande quantité et à bas prix des rails de chemin de fer, dont la demande est forte à cette époque. Il fonde notamment en 1865 la Keystone Bridge Company qui est à l’origine du pont Eads. Il participe également à la fabrication de matériel ferroviaire avec la Pittsburgh Locomotive and Car Works. En 1901, pour la somme de 480 millions de dollars, il vend ses propriétés industrielles à un groupe de financiers mené par J. P. Morgan, ce qui constitue à l’époque un record pour une cession commerciale. Il est surnommé  l’homme le plus riche du monde et devient l’incarnation parfaite du rêve américain.On se souvient surtout d’Andrew Carnegie en tant que bienfaiteur et philanthrope. Jusqu’à sa mort, en 1919, il aura laissé plus de 350 millions de dollars américains à diverses fondations, et les derniers 30 millions de sa fortune restant à sa mort sont légués à diverses œuvres de charité.


5. Nicolas II de Russie : 300 milliards de dollars (283 milliards d’euros)
Nicolas II est « tsar de toutes les Russies », de 1894 à 1917. Sous son règne et sous celui de son père, la Russie connaît un essor économique, social, politique et culturel sans précédent. La fortune personnelle de Nicolas II était colossale.
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source : wikimedia
Nicolas II gouverne de 1894 jusqu’à son abdication en 1917. Il ne réussit pas à mettre fin à l’agitation politique de son pays ni à mener les armées impériales à la victoire pendant la Première Guerre mondiale. Son règne se termine avec la révolution russe de 1917, pendant laquelle lui et sa famille sont emprisonnés d’abord dans le palais Alexandre à Tsarskoïe Selo, puis plus tard dans la maison du gouverneur à Tobolsk, et finalement dans la villa Ipatiev, à Ekaterinbourg.
Nicolas II, son épouse, son fils, ses quatre filles, le médecin de la famille, son domestique personnel, la femme de chambre et le cuisinier seront ensuite mis à mort par les bolcheviks dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918.



6. Fateh Jang `Othman `Alî Khân Asaf Jâh VII : 230 milliards de dollars (217 milliards d’euros)
Né le 6 avril 1886 à Hyderâbâd, un ancien État du centre de l’Inde, et mort le 24 février 1967 dans le même ville, il est le dernier souverain régnant de la dynastie des Nizâm de l’Hyderâbâd et de Berar (l’un des cinq sultanats de l’époque). Il a la réputation d’être l’homme le plus riche du monde à son époque. Malgré cela il menait une vie plutôt simple et frugale.


7. Guillaume le Conquérant : 229 milliards de dollars (216 milliards d’euros)
Appelé également Guillaume le Bâtard, Guillaume II de Normandie et enfin Guillaume Ier d’Angleterre, il est duc de Normandie de 1035 à sa mort et roi d’Angleterre de 1066 jusqu’à sa mort en 1087. Outre les taxes, les possessions du roi Guillaume le Conquérant sont augmentées des grandes propriétés qu’il possède dans toute l’Angleterre. En tant qu’héritier du roi Édouard, il contrôle l’ensemble des domaines royaux, et y ajoute une grande partie des terres de Harold et sa famille, ce qui fait de lui le plus grand propriétaire du royaume (et de loin) : à la fin de son règne, ses terres en Angleterre sont quatre fois plus importantes que celles de son demi-frère Odon, le propriétaire le plus important après lui, et sept fois plus que celles de Roger de Montgommery. Une étude récente fait de Guillaume le 7ème homme le plus riche ayant jamais vécu.


8. Mouammar Kadhafi : 200 milliards de dollars (189 milliards d’euros)
Kadhafi a dirigé la Libye pendant près de 42 ans. Mort en 2011, il était un des hommes les plus riches au monde. Sa fortune, provenant de l’extraction du pétrole et du gaz, était estimée à 144 milliards d’euros, soit 200 milliards de dollars américains à l’époque, qu’il aurait sortis de Libye durant les trente années précédant sa chute. D’après le blog financier Celebrity Networth, il serait le huitième homme le plus riche de tous les temps.
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source : pixabay
L’administration américaine a découvert que le régime libyen possédait près de 27 milliards d’euros sur des comptes et des investissements aux États-Unis ; ils ont depuis été gelés. En Europe, près de 22 milliards d’euros ont été saisis par les gouvernements français, italien, britannique et allemand. Kadhafi investissait dans des entreprises comme Total, Alsthom, Fiat, dans les secteurs des médias (Financial Time) ou du sport (7,5% de la Juventus). En France, il possédait, par exemple, le bâtiment parisien qui abrite la Fnac des Ternes dans le 17ème arrondissement de Paris.

Plusieurs enquêtes menées par des responsables américains, européens et libyens ont révélé que Kadhafi investissait massivement dans de nombreux pays du Moyen-Orient et de l’Asie du Sud-Est. La plupart de ces fonds étaient placés dans des institutions gouvernementales libyennes comme la Banque centrale de Libye, la Compagnie pétrolière libyenne, la Banque extérieure de Libye, ainsi que des compagnies d’investissements telle que la Libya African Investment Portfolio. En juin 2013, le Sunday Times rapporte que Kadhafi aurait caché un milliard de dollars américains en liquide, or et diamant dans quatre banques et deux sociétés de sécurité en Afrique du Sud.
Kadhafi possédait un Airbus A340, qu’il avait acheté au prince saoudien Al-Waleed bin Talal pour 120 millions de dollars américains en 2003.
 L’avion était décoré avec les couleurs de la compagnie basée à Tripoli, Afriqiyah Airways. Il est utilisé en 2009 pour rapatrier le terroriste Ali al-Megrahi de sa prison d’Écosse. L’avion est capturé en août 2011 lors la guerre civile libyenne. Le journaliste de la BBC John Simpson rapporte que l’avion est équipé de manière luxueuse, avec notamment un jacuzzi.
 À partir de février 2011, le pouvoir de Kadhafi, en place depuis plus de 41 ans, est menacé par une contestation populaire, que la répression transforme rapidement en insurrection armée, puis en guerre civile. Lors de la prise de Tripoli par les rebelles en août 2011, Mouammar Kadhafi fuit la capitale. Le 20 octobre, il est capturé, lynché et tué dans les environs de Syrte.



9. Henry Ford : 199 milliards de dollars (188 milliards d’euros)
Né le 30 juillet 1863 et mort le 7 avril 1947 à Dearborn aux États-Unis, Henry Ford est le fondateur du constructeur automobile Ford.
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source
Son nom est notamment attaché au fordisme, une méthode industrielle alliant un mode de production en série fondé sur le principe de ligne d’assemblage et un modèle économique ayant recours à des salaires élevés. La mise en place de cette méthode au début des années 1910 révolutionne l’industrie américaine en favorisant une consommation de masse et lui permet de produire à plus de 15 millions d’exemplaire la Ford T ; Henry Ford devient alors l’une des personnes les plus riches et les plus connues au monde.



10. Cornelius Vanderbilt : 185 milliards de dollars (175 milliards d’euros)
Né le 27 mai 1794 et mort le 4 janvier 1877 à New York, il a bâti sa fortune dans la construction maritime et les chemins de fer, ce qui lui valut le surnom de Commodore. A sa mort, sa fortune équivaut à 1,15% du PNB des États-Unis ! C’est à lui que New York doit l’immense gare de Grand Central. Côté anecdote, Cornelius serait l’un des acteurs de l’invention des chips !


11. Alain le Roux  : 179 milliards de dollars (169 milliards d’euros)
Né vers 1040 et mort le 4 août 1093, Alain le Roux était un noble breton qui participa à la conquête normande de l’Angleterre et en devint l’un des plus riches barons grâce à de nombreuses terres en Angleterre. Dans un livre intitulé The Richest of the Rich (en français “les plus riches des riches”), Philip Beresford et William D. Rubinstein désignent Alain le Roux comme la personne le plus riche d’Angleterre de tous les temps.


12. Bill Gates : 136 milliards de dollars (128 milliards d’euros)
Bill Gates a construit sa fortune grâce à l’entreprise Microsoft qu’il a créé à l’âge de 20 ans.
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 Source.:












Le Pétrole c'est la Bête 666

vous devrez passer le message suivant aux pétrolières !$!

Le pétrole vient de l'enfer,.............. au plus profond du sol de la Terre !

Quand l'essence est trop chère, on en met peu,..............pour environ 6.66$  ?
Mais le numéro de service a la clientèle de Shell a quand même 3 six dedans !



Source.:leYâwbe !


La NASA croit que nous vivons dans la Matrice ?

Un scientifique de la NASA dit que nous vivons dans une matrix, une prison numérique, conçue par des extraterrestres



Dans son article, le philosophe britannique Nick Bostrom a suggéré qu’une race de descendants très évolués pourrait être derrière notre emprisonnement numérique.
Les êtres futuristes – humains ou autre – pourraient utiliser la réalité virtuelle pour simuler un événement dans le passé ou recréer les conditions lointaines dans lesquelles leurs ancêtres vivaient.
Nous vivons dans une simulation de la réalité. Toutes nos relations, tous nos sentiments, notre mémoire, peuvent avoir été générés par les capacités d’un super ordinateur. En d’autres termes, nous sommes les enfants d’un code informatique ultra sophistiqué.
Cela parait ahurissant et ça pourrait être le super scénario d’un film de science fiction mais le Dr. Bostrom de la NASA pense le contraire.
D’après l’Express, Rich Terrile, le directeur du Centre pour l’évolution informatique et le design automatisé au Jet Propulsion Laboratory de la NASA, a parlé d’une simulation numérique.
Dans la mécanique quantique, les particules n’ont pas d’état défini à moins qu’elles ne soient observées. L’une des explications est que nous vivons à l’intérieur d’une simulation, et voyons ce que nous avons besoin de voir quand nous avons besoin de le voir.
Quand bien même nous vivons dans une simulation ou dans différents niveaux d’une simulation, quelque part dans tout ça quelque chose s’est échappé du tuyau primordial pour devenir ce que nous sommes et créer des simulations qui nous ont façonné.
« En ce moment-même les supers ordinateurs de la NASA vont environ à deux fois la vitesse de celle du cerveau humain, » a déclaré un scientifique de la NASA à Vice.
« Si vous faites un calcul très simple en utilisant la loi de Moore (qui stipule qu’en gros les ordinateurs deviennent deux fois plus puissants tous les deux ans), vous découvrirez alors que ces supers ordinateurs, en une seule décennie, auront la capacité de recréer la vie complète d’un être humain de 80 ans – toutes ses pensées, toutes ses émotions, tout ce qu’il a vécu durant sa vie – en à peine un mois. »
Si nous nous intéressons à l’idée du Dr. Bostrom, que notre univers est une simulation informatique, créée par un super esprit et généré par un code informatique, cela résout un grand nombre d’incohérences et de mystères à propos du cosmos. Nous avons le droit de nous demander qui se cache derrière cette simulation, où sont-ils et pourquoi ne les voyons-nous pas?
L’univers est incroyablement grand – des milliards de milliards d’étoiles et encore plus de planètes peuplent ce gigantesque espace, donc il doit y avoir de la vie ailleurs n’est-ce pas, mais où est-elle?
Selon le physicien Enrico Fermi (Le Paradoxe de Fermi):
La taille et l’âge de l’univers suggèrent que plusieurs civilisations extraterrestres hautement sophistiquées doivent forcément exister. Cependant, cette hypothèse semble rentrer en contradiction avec le manque de preuves et d’observations pour la soutenir.
Le soleil est une étoile lambda, et relativement jeune. Il y a des milliards d’étoiles dans notre galaxie qui ont des milliards d’années de plus que le soleil.
Il y a une très forte probabilité que ces étoiles hébergent ou ont hébergé des planètes similaires à la Terre. En assumant que la Terre est typique, certaines de ces planètes peuvent donc développer la vie telle que nous la connaissons.
Certaines civilisations extraterrestres peuvent avoir développé le voyage interstellaire, une technologie qui est en phase d’être découverte sur cette planète (hype).
A la vitesse à laquelle nous envisageons à l’heure actuelle les voyages interstellaires, la galaxie peut être complètement colonisée en l’espace de quelques millions d’années.
En suivant cette ligne de pensées, la Terre a forcément du être colonisée par le passé, ou bien a reçu la visite de quelqu’un. Mais Fermi ne pense pas que c’est une preuve satisfaisante, tout comme il n’y a pas de vie intelligente ailleurs dans la galaxie ou ailleurs dans l’univers observable.
Alors il reste la question… Sommes-nous seuls dans l’univers ou sommes nous le produit d’un super esprit?
Si nous suivons l’explication de Enrico Fermi, cela pourrait simplement être que la Terre et l’humanité sont vraiment le centre de l’univers mais d’après Nick Bostrom nous sommes le produit d’un code informatique ultra sophistiqué et nous vivons dans une matrix, une prison digitale qui a été créée par des extraterrestres.





Source: UFO Sightings Hotspot Relayé par : nouvelordremondial



lundi 18 mai 2015

Un hacker aurait pris le contrôle d’un avion en vol grâce à son système de divertissement


Banni par une compagnie américaine, un hacker américain, spécialisé dans la sécurité aérienne, aurait réussi à prendre le contrôle des réacteurs en passant par les boîtiers du système multimédia intégré dans son siège.



Y a-t-il un hacker dans l’avion ? Avant que Chris Roberts soit interdit de vol, la réponse était apparemment oui. Expert en sécurité, spécialisé depuis cinq ans dans la sécurité des avions, Chris Roberts a défrayé la chronique en avril dernier quand la compagnie américaine United Airlines a décidé d’annuler les réservations du hacker sur tous ses vols.

15 ou 20 avions hackés à son palmarès

A la décharge de la compagnie, embarqué sur un avion United, ce dernier venait juste de tweeter : « Je suis à bord d’un 737/800, voyons voir si la boîte IFE-ICE-Satcom ? Et si on jouait avec les messages EICAS ? ‘’Masque à oxygène On’’ Quelqu’un ? ». Ce qui aurait pu passer pour une rodomontade chez toute autre personne a amené le FBI à arrêter le hacker lors de sa correspondance et à saisir son matériel informatique. On n’avait jusqu’à présent pas plus de détails.
La demande de mandat, effectuée par le bureau fédéral américain, donne un aperçu plus précis de la situation. Tout d’abord, on sait désormais que le hacker et le FBI ont été en contact en début d’année, les 13 et 23 février et le 5 mars, notamment. Des rencontres pendant lesquelles le spécialiste en sécurité a démontré et expliqué aux agents fédéraux les failles qu’il avait découvertes entre 2011 et mi 2014 en hackant entre 15 et 20 avions, en plein vol, via leur système informatique IFE (pour In Flight Entertainment), qui permet normalement de regarder des films ou de jouer depuis son siège.

Pour pirater l’IFE, Chris Roberts doit accéder physiquement aux boîtiers SEB (pour Seat Electronic Box) qui pilotent les écrans insérés dans les dossiers des fauteuils. Ces boîtiers scellés se trouvent sous les sièges mais peuvent être ouverts assez facilement, semble-t-il.
Dès lors que le SEB est ouvert, le hacker connecte un câble Ethernet équipé d’un connecteur modifié pour prendre le contrôle, depuis son portable, d’autres systèmes embarqués.
Il aurait ainsi pu remplacer le code du Thrust Management Computer, qui gère schématiquement le vol et la puissance des réacteurs de l’avion. Il aurait ainsi eu accès à la commande CLB, pour climb, monter. La demande de mandat du FBI précise ainsi que Chris Roberts aurait indiqué avoir poussé davantage un des réacteurs d’un des avions dans lequel il se trouvait, aboutissant à un mouvement latéral de l’appareil.

Un hacker averti...

Après ces différentes rencontres, les agents du FBI ont rappelé au hacker qu’il encourait des poursuites en justice pour ce qu’il faisait. Chris Roberts s’est alors engagé à ne pas recommencer… Ce qu’il a apparemment fait, jusqu’à son tweet du 15 avril dernier. Alerté par ce message, le FBI a en effet vérifié l’intégrité des boîtiers situés à la place du hacker et ceux-ci avaient visiblement été ouverts. Même si de son côté Chris Roberts indique ne pas avoir piraté l’avion.
La prochaine étape sera vraisemblablement l’obtention par le FBI d’un mandat qui lui permettra d’accéder aux informations stockées sur les différents appareils et clés USB de Chris Roberts. Ce dernier précisait toutefois, dans un tweet dans lequel figurait une photo de son matériel saisi, que celui-ci était chiffré.

Il n’en reste pas moins que la question de la sécurité des vols commerciaux est reposée par cette affaire. L’arrivée des réseaux Wi-Fi dans les avions est également pointée du doigt comme une porte d’entrée supplémentaire pour les hackers. Lors de la Black Hat 2014, une des interventions les plus attendues portait sur le hack d’un avion, en utilisant notamment le réseau Wi-Fi à bord pour ensuite accéder au système de commandes. Les autorités et compagnies aériennes vont certainement devoir prendre des mesures afin de sécuriser davantage les systèmes vitaux qui commandent le bon fonctionnement des avions. Mieux vaut éviter un hack qui tourne mal quand on se trouve à près de 10 kilomètres d’altitude…

A lire aussi :
Le Wi-Fi à bord des avions, une porte ouverte pour les hackers ?
– 15/04/2015

Sources :
Wired