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samedi 24 mars 2018

Quand les multinationales deviennent plus puissantes que les États


Dans son livre Le totalitarisme pervers, le philosophe Alain Deneault s'interroge sur le pouvoir des multinationales, qui surpasse bien souvent celui des États. Il met en lumière l'ampleur de cet empire économique qui échappe à toute forme de contrôle.
« Les multinationales ne sont plus des entreprises, elles sont devenues des pouvoirs », soutient Alain Deneault. « Nous sommes confrontés à des multinationales qui se présentent comme des pouvoirs capables de financer les universités, de financer des programmes sociaux, de faire du lobbying, de négocier des accords sur le climat », précise-t-il.
Il va encore plus loin en affirmant que ces multinationales ont une sorte de « pouvoir sociologique sur le comportement des peuples », qu’elles influencent notre mode de vie.
Pour le philosophe, la source de ce pouvoir inégalé se trouve dans la nature même de ces entreprises qui n’ont pas de frontières : « Un État n’a de prérogative que sur son territoire. Une multinationale existe dans plusieurs États simultanément, de sorte qu’elle développe à travers ces États une sorte de pouvoir transversal qui lui permet de jouer les États les uns contre les autres et de régner sur eux. »
Comment des pouvoirs, qui agissent dans des secteurs aussi névralgiques que l’agroalimentaire, la pharmaceutique, l’énergie, les transports, les mines, peuvent-ils agir sans contre-pouvoir, sans contrôle public, sans contrôle civique?
Alain Deneault, philosophe et essayiste
Alain Deneault rappelle que la consommation, le fait d’acheter leurs produits et services ou non, est la seule forme de contrôle que la population peut avoir sur ces multinationales.
La petite histoire des multinationales
Le philosophe raconte que c’est dans le secteur énergétique qu’on a vu apparaître les premières multinationales, à l’époque des deux grandes guerres mondiales. « Les États européens ont compris que, pour gagner une guerre, il leur fallait s’approvisionner », explique-t-il.
Pour assurer leur approvisionnement en pétrole, les puissances européennes ont créé des sociétés dans un cartel au Proche-Orient. « C’est ainsi qu’est né l’Irak », mentionne Alain Deneault. Déjà, à cette époque, plusieurs personnes sentaient qu’il y avait un risque à créer des entités qui avaient un tel pouvoir à l’échelle mondiale sans être encadrées.
Le rôle des paradis fiscaux
Selon Alain Deneault, les paradis fiscaux facilitent grandement le jeu des multinationales.
« Vous et moi, nous ne pouvons pas demander à notre employeur de déposer notre chèque de paie au Belize, mais les entreprises, elles, peuvent inviter leurs clients à régler des factures à la Barbade », précise-t-il.

REF.:

samedi 18 février 2017

Faut arrêter d’insulter les crapules à cravate stie !

Faut arrêter d’insulter les crapules à cravate




Mise en garde
Quoiqu’ils fassent de croche, comme détourner des milliards de dollars dans les paradis fiscaux et voler aux Québécois d’autres milliards par le biais de la corruption et de la collusion organisées, il faut en aucun temps, et cela est un ordre, insulter ou même critiquer négativement nos gens d’affaires plus portés sur « l’entrepreneurshit » que sur l’entrepreneurship. Avez-vous ben compris? « Faut arrêter d’écœurer les entrepreneurs » (Les Affaires, 22 décembre 2012). Cé-ti assez clair pour vous? Faut-il que je vous fasse un dessin en plus de ça? Il y a aussi le lucide chroniqueur de La Presse Francis Vailles qui, en plus d’adore les « businessmen », qui le lui rendent bien à leur tour, a, le 9 novembre 2013 et, drôle de coïncidence, le 9 novembre 2015, ainsi clairement intitulé ces deux missiles : « Le Québec a-t-il peur des entrepreneurs ». Allez, dégagez! Faites de l’air! Déguisez-vous en courant d’air! Faut pas les écœurer pendant qu’ils magouillent, souvent avec la bénédiction tacite de leurs élus. Allez, faites quelque chose de plus utile et partez plutôt à la chasse aux assistés sociaux, aux chômeurs, aux écologistes et aux syndicats, tous des abrutis qui freinent la croissance de la richesse.
La légende des créateurs de richesse
Trêve de plaisanterie et revenons, je vous en prie, au sérieux. Aie, faut arrêter d’en beurrer épais. Je m’adresse ici principalement aux politiciens, aux journalistes, aux gens d’affaires et à leurs universitaires et professionnels qui leur servent de caution. À croire ces derniers, nous mourions tous de faim sans la présence salvatrice de ces intrépides entrepreneurs. Nous ne sommes rien pantoute sans eux.
La vérité est que ces pseudo-créateurs de richesse la créent pour eux tout en appauvrissant le reste de la société avec la complicité de leurs élus. Plein de firmes québécoises exportent des jobs à l’étranger afin de recourir à du « cheap labor »; sous-traitent, au salaire minimum, ici même au Québec, des emplois qu’elles ne peuvent délocaliser; détournent des milliards de dollars chaque année dans les paradis fiscaux; se voient octroyer par leur gouvernement gratos des biens publics très payants et sans risque comme de l’éolien, des autoroutes et des ponts, des garderies subventionnées, des petits barrages hydro-électriques, de juteux contrats en partenariats public-privé qui sont dans les faits de la privatisation; volent chaque année des millions à la population par le biais de la collusion et de la corruption; augmentent leurs prix sans raison et sans que nos courageux politiciens ne lèvent le petit doigt (médicaments, internet, frais bancaires, essence, nourriture, etc.); négocient en catimini des traités de libre-échange qui les arrangent; s’adonnent régulièrement à un grossier chantage (lock-out, fermeture, délocalisation, congédiements) s’ils n’obtiennent pas les faveurs des politiciens (déréglementation, défiscalisation, subventions, permis de polluer, etc.) et de leurs employés (désyndicalisation, diminution des avantages sociaux et des salaires, etc.) et autres insanités du genre.
En vérité, le gouvernement du Québec, de loin le champion canadien à cet effet, verse chaque année au moins deux fois plus de fonds publics aux B.S. corporatifs en subventions de toutes sortes, incluant les tarifs privilégiés d’électricité, qu’il perçoit d’impôts sur le revenu de ces créateurs de richesse autoproclamés par eux-mêmes et par leurs légionnaires. Ah j’oubliais, regardez juste du côté du multimédia par exemple où l’État paie 40 % du salaire des employés de firmes privées sans compter la panoplie des autres formes d’aide gouvernementale. La belle affaire! Même à ça, je tiens à vous rappeler qu’il faut malgré tout les admirer et les remercier pour tant d’inégalités économiques et tant de pauvreté. Bah, ils sont pauvres parce qu’ils le veulent bien. Et bravo encore au gouvernement Couillard qui  « veut resserrer l’accès à l’aide sociale » (Le Devoir, 11 novembre 2015). Mais pas baisser l’aide gouvernementale aux individus sur le B.S. corporatif comme Bombardier, SNC-Lavalin, les alumineries, les minières, les forestières et beaucoup, beaucoup d’autres.
Impôts payés versus aux détournés
Ah ben chose : « Entreprises québécoises. Des milliards conservés à l’étranger » (La Presse, 30 août 2014). Créateurs de richesse vous dites. « Valeant pharmaceutique. Les Québec, paradis fiscal. Des impôts de 36 % aux États-Unis et 3 % au Québec » (Le Journal de Montréal, 27 août 2014). Et aussi : « Près de 30 multinationales québécoises présentes au Luxembourg » (La Presse, 11 décembre 2014) et « Évasions fiscales en Suisse. Des Québécois (1859 individus) ont profité d’un système international » (La Presse, 7 février 2015). Ça, c’est sans compter les banques, les comptables, les avocats qui sont des experts en magouilles fiscales. Arrêtez donc de dire que l’évasion fiscale dans les paradis fiscaux c’est légal. C’est légal juste parce que des politiciens corrompus à l’os, qui sont bien souvent eux-mêmes des affairistes, ont voté des lois accommodantes dans le but de rendre officiellement légal ce qui dans les faits est illégal et qui devrait être considéré comme tel. Des créateurs de richesse qui détournent des milliards annuellement dans les paradis fiscaux. Tout de même bizarre! Ah, faut surtout pas les angoisser et les oppresser en s’en prenant gratuitement à leurs naturels paradis fiscaux : « Les libéraux (de Couillard) se battront contre l’angoisse fiscale » et : « L’oppression fiscale des entrepreneurs » (La Presse, les 26 septembre et 2 octobre 2012). Payer de l’impôt, ça angoisse et ça oppresse nos créateurs de richesse, qui, tourmentés et paniqués par l’impôt et les taxes, vont en créer beaucoup moins. Je vous le dis, mieux vaut faire payer l’impôt et les taxes par le monde ordinaire.
Toujours moins d’impôts
L’impôt sur le revenu, s’il se veut équitable, doit taxer le revenu et tous les revenus de qui que ce soit ou de quelque nature que ce soit. Au Québec, pour les dernières données fiscales recensées en 2009 portant sur les compagnies, 214 741 d’entre elles, soit 55 % des compagnies faisant affaire au Québec n’ont rien versé, pas une cenne noire, en impôts sur le revenu au Trésor québécois même si elles ont affiché des profits nets de 33,4 milliards $. Elles ne paient pas d’impôts sur de gros revenus même si elles utilisent abondamment nos services publics comme la santé, l’éducation, la justice, les ponts et les autoroutes, la police, etc., et qu’elles polluent beaucoup. Pas grave, le monde ordinaire va payer leurs services publics à leur place. Création de richesses, vous dites!
Tiens, tiens, selon la firme internationale de comptable KPMG : « Compétitivité fiscale. Le Québec se classe parmi les premiers » (Le Devoir, 18 juin 2014). Il y a aussi ces autres études émanant de KPMG : « Les villes québécoises sont hautement concurrentielles » (Le Devoir, 23 mars 2012) et aussi : « Fiscalité des entreprises. Le Canada, paradis fiscal des entreprises » (La Presse, 29 juillet 2008). Qu’à cela tienne, même si le Québec est une oasis fiscal pour les compagnies, celles-ci, voulant créer plus de richesses, particulières plutôt que collectives, persistent et signent dans leur comportement égoïste exécrable : « Les entreprises du Québec se disent surtaxées » (Le Devoir, 13 mars 2013) et aussi : « Les PME veulent moins d’impôt » (Le Journal de Montréal, 21 octobre 2014). Enfin, il y a : « Pour les manufacturiers, la relance de l’économie passe par le fiscalité » (Le Devoir, 23 octobre 2014).
Pas question pour ces sauveurs de verser un seul dollar de plus pour le maintien de nos programmes sociaux, qu’ils trouvent d’ailleurs trop généreux : « Des programmes sociaux trop généreux, selon le patronat » (Le Devoir, 17 février 2014). Pour ces philanthropes à cravate, la solution est simple : que l’on coupe encore plus dans les services publics au que l’on fasse payer la classe moyenne comme démontre, leurs véritables natures, ces articles de journaux :
— « Financement des universités. Les entreprises rejettent l’idée d’une taxe »
— « Pensions gouvernementales (RRQ). Les entreprises ne veulent pas renflouer les coffres ».
— « Les patrons montent aux barricades. Rejet pur et simple du rapport Bernier sur la protection des travailleurs atypiques.
— “Le Conseil du patronat recommande l’abolition des garderies publiques (CPE)”.
— “Assurance parentale. Le patronat veut des congés moins généreux”.
Tiens, une drôle larguée par nos supposés créateurs de richesse qui dans les faits, ne font que créer de la richesse, et beaucoup en plus de ça, qu’à eux seuls et à leur petite famille chérie adorée. Elle émane de la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) : “La FCEI souhaite une réduction du fardeau fiscal des entreprises et une plus grande facilité d’accès dans l’obtention des subventions” (Le Journal de Montréal, 11 novembre 2002). Pourquoi pas les brancher directement sur l’abreuvoir gouvernemental des fonds publics afin d’économiser sur les coûts de la paperasse qui seraient ainsi éliminés? On n’aurait qu’à se fier sur la bonne volonté, la retenue notoire et l’honnêteté proverbiale des entreprises afin de ne point abuser des fonds publics.
Dans ma deuxième partie de mes textes consacrés à nos dignes créateurs de richesse, je ferai part de l’éloge vraiment touchant à leur endroit provenant des médias, des politiciens et de leurs promoteurs de tout acabit qui leur livrent un gros bouquet de reconnaissance et d’amour en faisant totalement abstraction de la corruption et de la collusion à la pelle qu’ils pratiquent joyeusement. D’ailleurs, je vais m’attarder à ce point un petit brin, mais pas trop afin de ne pas leur porter ombrage. Surtout pas ça. Je m’en voudrais toute la vie.
Nos créateurs de richesse du ben bon monde que je vous dis et redis. Tiens, juste pour votre bien et pour celui de votre famille : “Des gens d’affaires veulent réveiller les Québécois” (Le Devoir, 15 septembre 2010). Les réveiller vraiment ou plutôt les endormir, les endoctriner, les conditionner, les programmer et les intoxiquer encore plus comme c’est leur habitude. Si les Québécois se réveillaient vraiment, et c’est ce que je souhaite de tout mon cœur, ils se rendraient compte de leur exploitation par les prétendus créateurs de richesse. Ainsi, ils seraient libérés du joug des profiteurs et pourraient ainsi s’atteler à atténuer les criminelles inégalités de richesses actuelles en élisant des politiciens au service du peuple et pas au profit des élites. Nous parler de créateurs de richesse le plus sérieusement du monde alors que les inégalités de richesse sont actuellement à un niveau inégal, faut tout de même être porté sur l’ironie et même les mépris.
 
 
 
Source.:  Léo-PaulLauzon

Corruption à Laval: La lenteur de la justice(l’arrêt Jordan) sourit à deux avocats(libérés d'accusations de corruption) ;-)



La lenteur de la justice sourit à deux accusés du scandale à Laval

 

Deux présumés complices de l’ex-maire Vaillancourt libérés des accusations de corruption

 NDLR:  Quoi...........c'est juste pour démontrer que notre systême jusdiciaire doit engager plus de monde($$$$) comme en Ontario ????? 

C'est a cause  des juges : Abella, Moldaver, Karakatsanis, Côté et Brown que l'arrêt jordan fut créé en Date du  2016-07-08 !

 

Deux avocats présumés complices de l’ex-maire Gilles Vaillancourt ont été libérés des accusations portées contre eux dans le scandale de corruption à Laval parce qu’on a trop tardé à les juger.
Jean Bertrand, 64 ans, qui fut l’agent officiel du Parti PRO des Lavallois, et Robert Talbot, 67 ans, ont bénéficié d’un arrêt des procédures, jeudi. Ils avaient été arrêtés par l’UPAC, en mai 2013, avec 35 politiciens, fonctionnaires, ingénieurs, entrepreneurs en construction ou collecteurs de fonds.
Me Jean Bertrand
Photo d'archives
Me Jean Bertrand
On reprochait à Me Bertrand d’avoir alimenté la caisse électorale de ristournes provenant des firmes qui auraient bénéficié de ce stratagème frauduleux dans l’octroi des contrats publics par la Ville, entre 1996 et 2010.
Quant à Me Talbot, un proche de la famille Vaillancourt, l’enquête voulait qu’il ait recelé ou blanchi 400 000 $ en profits de la collusion.
Me Robert Talbot
Photo d'archives
Me Robert Talbot
Ils invoquaient l’arrêt Jordan de la Cour suprême, qui prévoit qu’à l’exception de circonstances exceptionnelles, tout accusé devrait être jugé dans un délai de 30 mois.
Le juge James Brunton a conclu que les dossiers moins complexes de Mes Bertrand et Talbot «n’auraient pas dû être inclus avec les autres coaccusés» par la Couronne.
Dans leur cas, un procès aurait été «une question de semaines», tandis que les autres accusés subiront un procès d’une durée de quatre mois en raison de la «preuve monstrueuse» accumulée dans l’enquête, a estimé le magistrat.
Requêtes rejetées
Par ailleurs, le juge Brunton a rejeté des requêtes similaires qu’avaient présentées 11 de ces autres accusés dans cette affaire.
Le juge a conclu que leur dossier est «particulièrement complexe» et que les délais «ne sont pas déraisonnables» dans un système judiciaire «malheureusement» engorgé.
Il s’agit de Claude Asselin, Jocelyn Dufresne, Serge Duplessis, Louis Farley, Alain Filiatrault, Giuliano Giuliani, Guy Jobin, Carl Ladouceur, Daniel Lavallée, Leonardo Moscato et Yves Théberge,tous des crapules a cravate,..................heuuuuu des avaocats des juges ,peut être ............j'sais pas moué !


Un interdit de publication nous empêche de rappeler les fonctions occupées et le rôle allégué de ces accusés dans la combine qui a coûté des dizaines de millions de dollars en trop aux contribuables.
En décembre, l’ex-maire Gilles Vaillancourt a plaidé coupable, écopant de six ans d’incarcération, en plus de se voir dépouillé de 8,6 millions $ en produits de la criminalité.
Trois des 37 individus arrêtés sont décédés depuis le début des procédures judiciaires.
Dès l’automne, on tiendra deux procès pour les 31 autres accusés.
Le premier regroupera 15 élus, fonctionnaires et ingénieurs, tandis que le second rassemblera 17 entrepreneurs visés, dont Tony Accurso.
Source.:

mercredi 16 juillet 2014

Taxi Champlain n'est pas sur Facebook, Pourquoi ?


C'est le pire service à la clientèle?

 Tout comme la Cie Comcast l'a appris a ses dépenbd!
Facebook, les Blogues , Tweeter Youtube et soundcloud peut faire fermé votre cie en un clein d'oeil !

Un homme de San Francisco qui souhaitait tout simplement faire cesser son abonnement à une compagnie de câblodistribution, a littéralement dû s'obstiner pas moins de 20 minutes avec représentant, pour finalement obtenir gain de cause.
Après les 10 premières minutes de l'appel, Ryan Block, stupéfait, a décidé d'enregistrer la conversation. L'employé au bout du fil a tenté tous les détours pour éviter d'avoir à fermer le compte.
L'homme qui voulait simplement changer de fournisseur, a vu la trame sonore qu'il avait placée sur SoundCloud être écoutée pas moins de 2 millions de fois.
(capture d'écran, CNN)
Alertée par cet enregistrement qui portait atteinte à sa réputation, la compagnie Comcast, visiblement embarrassée, a indiqué que l'attitude du représentant était inacceptable, et que ce «n'est pas la façon de faire chez eux».
Mais même après avoir eu la confirmation que son compte serait fermé, Ryan Block s'est présenté dans un bureau de la compagnie pour s'assurer que son compte avait bel et bien été fermé, et ce fut le cas.


REF.:

dimanche 13 mai 2012

Le terrorisme économique ? Al Quaida fut le premier a l'utiliser !$!





Après Al Qaida et le scandale des 2 tours du world trade center visant l'économie Américaine,on l'a vu aussi dans la guerre du Golf ou Saddam met le feu a 1164 puits de pétrole,nous avons les jeunes du printemps Arabe,et la génération C de l'internet qui prend le flambeau d'occupons Wall Street qui déferla sur les pays du monde,qui eux s'en serve pour démontrer que le peuple a besoin d'un toit sur la tête et une job pour la survie de leurs famille.Et ça sa ce fera sans les Banques !

voici le poul du monde; ICI !
 « Contrairement à la "guerre économique", qui est menée par des États contre d'autres États, le "terrorisme économique" serait mené par des entités transnationales ou non-gouvernementales. Elle supposerait des actions variées, coordonnées et sophistiquées, ou des actes massifs de déstabilisation pour désorganiser la stabilité économique et financière d'un État, d'un groupe d'États ou d'une société (telle une société occidentale à l'économie de marché) pour des motifs idéologiques ou religieux. Ces actions, si menées, pourraient être violentes ou non. Elles pourraient avoir des effets immédiats ou infliger des effets psychologiques qui à leur tour peuvent avoir des conséquences économiques. »1

Le pire ennemi du Capitalisme ? un riche escroc ? ou un Banquier ! 

REF.: 

jeudi 26 janvier 2012

Police: il y a une clique qui s'échange des enveloppes et qui contrôle les événements

Judiciaire - «Ce n'est pas une erreur judiciaire, c'est un coup monté»
Benjamin Hudon-Barbeau 
© Agence QMI / Archives
Le Ministère de la sécurité publique devrait se pencher la-dessus !
MONTRÉAL – Bien qu'il soit maintenant à l'extérieur des murs de la prison, Benjamin Hudon-Barbeau, qui a été acquitté vendredi, demeure amer. « Ce n'est pas une erreur judiciaire, c'est un coup monté, a-t-il indiqué en entrevue avec Claude Poirier, au Vrai négociateur, à LCN, lundi. C'est un miracle. Il y a des gens qui ont cru en moi. »

Judiciaire

«Ce n'est pas une erreur judiciaire, c'est un coup monté»

La semaine dernière, la Cour d'appel du Québec a annulé la décision du juge Jean-Guy Boilard qui avait condamné Hudon-Barbeau à 12 ans de prison en novembre 2010 pour une double tentative de meurtre survenue au bar Upperclub, à Montréal. « Ç'a été un choc, a lancé M. Hudon-Barbeau. Je vais avoir du travail à faire. J'ai perdu une grande confiance. Mais c'est une seconde vie. »
Le témoin principal de la Couronne, Kim Lamoureux, est revenu sur son témoignage. Elle a déclaré sous serment qu'elle avait subi de la pression, qu'elle avait été en quelque sorte forcée d'identifier l'accusé comme étant celui qui avait fait feu sur les victimes, Jean-Patrick Fleury, 28 ans, et Vladimir Nicolas, 30 ans, derrière le bar de la rue Saint-Laurent, le 24 octobre 2006, alors qu'ils tentaient de fuir par l'escalier de secours du bar.
« Je veux remercier la jeune fille pour son courage, a dit M. Hudon-Barbeau. Mes sentiments sont un peu mixtes envers ça parce que j'ai failli avoir 25 ans [de prison] pour rien. Je comprends la pression qu'elle a subie, parce que je l'ai subie moi-même. On a voulu me rendre délateur dans un projet qui s'appelle SharQc. »
Le père de Benjamin Hudon-Barbeau, Michel Barbeau était aussi très heureux et soulagé que son fils soit acquitté.
« Quand ton fils te dit qu'il est innocent et qu'il a pris une charge de merde […], j'ai pris un enquêteur privé.
Pendant un an et demi, il a rencontré tous les témoins qui étaient là le soir de la tuerie. J'ai su que mon fils était innocent parce que tout le monde avait la même version. »
Selon M. Barbeau, qui a écrit le livre « Coupable d'être innocent », le ministère de la Sécurité publique devrait se pencher sur ce cas.
« Il le faut absolument. Je ne veux pas mettre tous les policiers dans le même chapeau, mais il y a une clique qui s'échange des enveloppes et qui contrôle les événements qui se passent à Montréal. »


REF.:

lundi 16 janvier 2012

Pollueurs payeurs ,....pas sûr ,l'enjeux est purement capitaliste

Ça nuirait a l'économie,tout comme dans le Plan Nord,les grosses Cie pollueurs on des permis ou crédit GES(basé sur la Bourse du Carbonne) pour polluer légalement.La justice et légalité connaît pas !
Les automobilistes auront a avaler ce bonbon empoisonné,au nom de l'économie baser sur l'environnement.C'est la transition entre l'économie du pétrole et celle de l'électrique; qui produit aussi des GES !
Le pétrole va nous rendre malade par les plastiques qui sont dans la chaine alimentaire de l'océan et non par les GES que nous respirons dans nos grandes villes!



 
 

Toujours les mêmes a payer! 


REF.: