Comme
toute personne qui gagne de l'argent, un youtubeur doit se déclarer à
l'Urssaf ou monter une structure qui lui permette de déclarer ses
revenus.
En
fait, quand un youtuber reçoit de l'argent de la part de youtube il va
toucher un salaire brut auquel il devra retirer environ 23% de charges
pour avoir son salaire net.
Ensuite,
comme tout résident fiscal français il devra payer des impôts qui
seront bien évidemment fonction de sa situation personnelle.
En
ce qui concerne la rémunération, il faut compter environ entre 1 et 2$
pour 1000 vues, sachant que le partenaire de youtube (qu'il est
indispensable d'avoir) va prendre environ 30% sur tes revenus.
Donc
en gros sur ta rémunération brute que tu reçois, il faut enlever 30%
pour le partenaire, 23 % pour tes charges et tes impôts sur le revenu
ensuite.
Pour info voici les salaires approximatifs des 5 meilleurs youtubers français.
1/ Le youtuber Squeezie avec 44 000 euros par mois
2/ Ensuite vient Cyprien avec 29 000 euros par mois
3/ Rémi Gaillard avec 15 000 euros par mois
4/ Normann avec 14 000 euros par mois
5/ et en dernier, Siphano avec 12 000 euros.
Ces chiffres sont bien sur sujets à modification perpétuelle mais ça donne un bonne idée.
J'espère avoir répondu en partie à ta question. REF.: Quora,
Des radars nouvelle génération vont très bientôt débarquer dans nos
villes. Ils seront plus petits, plus discrets, et capables de contrôler
bien plus que de simples excès de vitesse ou passages aux feux rouges.
L’innovation vient tout droit du ministère de l’Intérieur. Plus
précisément, des responsables du département du contrôle automatisé.
Dans le cadre du « plan radars 2015 », Le gouvernement a fait mettre au
point un nouveau type de radar, plus petit, qui peut se placer en
hauteur, et qui sera donc plus difficile à détecter. Ce radar, encore
plus perfectionné que les radars « tourelle » pourra contrôler plusieurs
types d’infractions. Après les radars anti-bruit, il semble que la technologie du contrôle routier automatique ait de beaux jours devant elle.
D’après les informations actuelles, ce radar sera bien sûr capable de
traquer les excès de vitesse et les infractions liées aux feux
tricolore, mais pas seulement. D’après certaines indiscrétions,
l’appareil sera en mesure de relever les dépassements de vitesse
dans les deux sens, notamment, mais aussi détecter l’utilisation du
téléphone au volant, et le non-port de la ceinture de sécurité.
Des fonctionnalités jamais vues qui, si elles se révèlent efficaces,
vont compliquer la tâche à ceux qui espèrent encore passer entre les
mailles du filet.
Une phase test sans verbalisation, suivie d’un lancement à plein potentiel
Pour la période de test, cependant, seuls les excès de vitesse et les
feux rouges seront contrôlés. Si les tests s’avèrent satisfaisants, les
autres fonctionnalités seront implémentées à la fin de la période de
test, évaluée à 6 mois. Le gouvernement avait appelé les villes à
candidater pour ce programme, et ce sont finalement Montpellier et
Montbéliard qui ont été retenues pour la phase de test. Phase qui n’a
pas été datée, mais qui devrait commencer « incessamment sous peu »,
d’après Philippe Duvernoy, adjoint à la sécurité et la tranquillité
publique de Montbéliard.
Il est important de noter que la phase test de 6 mois sera réalisée
« à blanc ». En effet, aucune contravention ne sera distribuée durant
cette période, qui est vouée à tester la fiabilité des appareils. Cette
opération entre dans le cadre du plan radars 2015, qui a pris du retard à cause de la crise sanitaire. Le plan a pour objectif de rajouter 500 radars sur les routes en France.
«Le moment est venu de laisser
complètement derrière nous notre passé colonial», a déclaré la
gouverneure générale de la Barbade, Sandra Mason, dans un discours
prononcé au nom de la première ministre du pays, Mia Mottley.
Le Canada, qui est également une ancienne colonie britannique faisant maintenant partie du Commonwealth, fera-t-il de même?
Probablement
pas, selon l’historienne et auteure torontoise Carolyn Harris. Mais il
est possible que la monarchie joue un rôle moins important dans la vie
canadienne à l’avenir.
Tout
d’abord, il y a les considérations pratiques. Un accord unanime parmi
les dix provinces est nécessaire pour modifier la charge de la reine, en
vertu de l’article 41 a) de la Loi constitutionnelle de 1982.
Donc, à moins que le sentiment anti-monarchique ne se généralise dans
tout le pays, a expliqué Harris, il est peu probable que chaque province
souhaite faire du Canada une république.
Le
gouvernement fédéral ne serait probablement pas non plus très
enthousiasmé à l’idée de faire du Canada une république, car cela
impliquerait beaucoup de grands changements de sa part, et peut-être des
concessions majeures aux populations autochtones - ce qu’Ottawa ne
voudra probablement pas faire.
«Les
traités avec les Premières nations du Canada sont conclus avec la
Couronne, de sorte qu’une transition vers une nouvelle forme de
gouvernement pourrait rouvrir ces ententes», a déclaré Harris.
De plus, la reine est une figure populaire au Canada: 81% des Canadiens approuvent la reine Élisabeth, selon un sondage Ipsos réalisé plus tôt cette année.
Elle a effectué sa première visite royale au Canada en 1951, avant de
devenir reine. Depuis, elle a visité le pays plus de 20 fois - plus
récemment, elle s’est rendue à Winnipeg, Toronto, Ottawa et Halifax avec
le prince Philip en 2010.
Comme
le souligne Harris, elle a été bien accueillie lors de la plupart de
ses tournées, malgré des manifestations lors d’une visite au Québec en
1964, alors que le mouvement souverainiste commençait à prendre de
l’ampleur.
Mais il y a
moins d’enthousiasme au Canada pour ses successeurs. Dans ce même
sondage Ipsos, un peu plus de la moitié des Canadiens - 53% - pensent
que le pays devrait mettre fin à ses liens officiels avec la monarchie
britannique à la fin du règne de la reine.
Selon
Harris, cependant, ce chiffre ne devrait pas inquiéter le prince
Charles ou qui que ce soit d’autre dans la famille royale.
«Les
données des sondages concernant la monarchie au Canada varient souvent
en fonction d’un certain nombre de conditions, notamment s’il y a eu une
récente tournée royale ou si les finances royales ont été un sujet
d’actualité important», a-t-elle déclaré.
Mais
il est probable que les tournées royales deviendront moins courantes
dans les années à venir, selon Harris. Comme Harry et Meghan ont choisi
de quitter leurs postes afin de vivre une vie plus privée et que le
prince Andrew a temporairement abandonné ses fonctions en raison de son
lien avec un délinquant sexuel condamné, il y a moins de membres de la
famille royale qui assument des fonctions publiques qu’il y a à peine un
an.
«Il y a moins de
membres actifs de la famille royale que par le passé et il y aura
probablement moins de tournées royales [dans les règnes suivants] que
sous le règne de la reine Élisabeth II», a déclaré Harris.
«Il
pourrait bien y avoir moins de visibilité pour la famille royale et une
plus grande visibilité pour le gouverneur général au Canada.»
La
Barbade et d’autres pays des Caraïbes fonctionnent également
différemment du Canada et ont une relation différente avec la famille
royale que nous, souligne Harris.
La
Barbade envisage de faire la transition depuis des années, et les
discussions se sont vraiment enflammées autour du 50e anniversaire de
l’indépendance du pays en 2016, a-t-elle mentionné.
Plusieurs
autres pays des Caraïbes qui sont d’anciennes colonies britanniques
sont devenus des républiques, notamment la Dominique, la Guyane et
Trinité-et-Tobago.
Et comme
dans ces autres pays, les membres de la famille royale sont toujours
très appréciés par de nombreuses personnes à la Barbade, malgré le
soutien généralisé pour l’idée de devenir un pays sans monarchie. Le
prince Charles et son épouse Camilla, duchesse de Cornouailles, se sont
rendus à la Barbade au printemps dernier.
À
l’avenir, Harris pense qu’il est probable que la monarchie joue un rôle
plus important en s’excusant des injustices de la domination coloniale
britannique. Plus tôt cet été, alors que les manifestations de Black
Lives Matter augmentaient en importance et en portée, le prince Harry et
Meghan Markle ont livré des messages de solidarité, Harry demandant
spécifiquement aux Britanniques de «reconnaître le passé» et de
s’attaquer à leur héritage du colonialisme.
Bien
que la reine et les autres membres de la famille royale en activité ne
soient probablement pas aussi directs, il est probable qu’ils
continueront à exprimer des regrets pour les injustices passées. La
visite de la reine en Irlande en 2011 a été un «moment historique» dans
les relations anglo-irlandaises, a déclaré Harris.
Avec le recul historique, nous pouvons tous voir des choses que nous souhaiterions s'être déroulées différemment.Élisabeth II, lors d'une visite officielle en Irlande, en 2011
Lors
d’un discours partiellement prononcé en irlandais, elle a déclaré:
«Nous ne pouvons jamais oublier ceux qui sont morts ou blessés, ainsi
que leurs familles. À tous ceux qui ont souffert à cause de notre passé
trouble, j’adresse mes sincères pensées et ma profonde sympathie. Avec
le recul historique, nous pouvons tous voir des choses que nous
souhaiterions s’être déroulées différemment.»
Et
en 1997, la reine a commémoré le massacre d’Amritsar de 1919 lors d’une
visite en Inde. Lors de l’attaque près de 80 ans plus tôt, les troupes
britanniques ont tué des centaines de manifestants nationalistes non
armés qui s’étaient rassemblés dans un parc de la ville. Lors de sa
visite en 1997, la reine a déposé une gerbe de fleurs sur le site
commémoratif et a observé un moment de silence.
«Il
est important que nous considérions la monarchie constitutionnelle
comme une institution en évolution plutôt qu’une institution immuable», a
déclaré Harris.
«Le rôle
de la reine Victoria en tant que souveraine de l’Empire britannique
était très différent du rôle actuel de la reine Élisabeth II à la tête
d’un Commonwealth de nations égales.»
REF.: Ce texte initialement publié sur le HuffPost Canada a été traduit de l’anglais.