Rechercher sur ce blogue

Aucun message portant le libellé echo. Afficher tous les messages
Aucun message portant le libellé echo. Afficher tous les messages

lundi 11 juillet 2022

Le Cancer,....La méthode ECHO: C,est l’usage qu’on fera des objets qui va engendrer des effets de résonance:

 

Le Cancer,....La méthode ECHO: C,est  l’usage qu’on fera des objets qui va engendrer des effets de résonance:

 

Créer un espace intérieur qui sera le lieu de tous les possibles, un lieu d’espoir dans lequel on maniera des « objets ». Ces « objets »
Dr. Jean-Charles Crombez

 

La méthode ECHO® a été conçue par le Dr. Jean-Charles Crombez,  à l’hôpital Notre-Dame du CHUM.

 

Elle est le résultat d’une trentaine d’années de recherches sur les processus naturels de guérison.

 

Constatant à travers sa pratique, que ni la médecine traditionnelle ni les psychothérapies, au-delà de leurs résultats validés, n’arrivaient à soulager certains de ses patients de leurs souffrances et de leurs douleurs, le Dr Crombez a mis au point cet apprentissage pour redonner aux gens une place centrale dans leur propre vie et leur faire découvrir des attitudes propices au changement.

 

Quand on ne se sent pas bien, de deux choses l’une : soit on dit j’ai une maladie, ou encore on dit je suis malade, quelle que soit la nature de ce mal : physique ou mental. Quand on dit j’ai une maladie, on prend alors une position de sujet. Le « je », le moi, existe à part entière comme une entité, et la maladie y est un élément. Par contre, quand on dit je suis malade, le « je » se confond avec la maladie et les deux ne forment plus qu’un seul et unique élément.

La méthode ECHO® se caractérise par le fait de redonner au « je » sa capacité d’être une entité à part entière. C’est ce qu’on appelle « le sujet ». Être sujet, c’est être au centre de son propre univers, être au centre des choses et des événements qui circulent autour de soi.

Les moyens utilisés pour parvenir à cet état de maîtrise commencent par l’action de devenir « témoin ». Cette position est la base de la méthode : elle permet de se décoller des problèmes pour pouvoir les changer.

C’est ce qui permettra un jeu, d’où l’importance de créer un espace intérieur qui sera le lieu de tous les possibles, un lieu d’espoir dans lequel on maniera des « objets ». Ces « objets » (perceptions externes ou impressions internes, sensations corporelles ou idées), seront un peu comme des jouets et l’espace intérieur un peu comme un carré de sable. Au cours de ce jeu, l’usage qu’on fera des objets va engendrer des effets de résonance, d’où, entre autres, le nom de la méthode.

Cette méthode est communiquée sous la forme d’un apprentissage. Et l’on pourrait aussi comparer cet apprentissage de l’Approche ECHO® à des cours de conduite : l’élève se met au volant de la voiture et le moniteur prend place à côté de lui. Il lui indique la fonction des différents boutons et leviers, mais c’est l’élève qui devient l’acteur principal de son apprentissage. Dans ECHO®, les boutons et leviers prennent la forme de postures, de consignes, de déplacements, de dessins, d’écritures. Ce sont des dispositifs facilitants, qui visent à l’autonomie de la personne afin de lui permettre d’accéder à ses atouts personnels et de les utiliser pleinement.

ECHO®, c’est transmettre une manière d’être sans imposer une façon de faire. C’est pourquoi c’est un travail fondamentalement personnel. On y propose un cadre rigoureux, mais on n’y exige aucune performance spécifique.

Cela n’empêche pas que l’apprentissage peut être difficile car il faut découvrir comment être, à la fois, participant en soi et intervenant sur soi. Si on s’attend malgré tout à une prise en charge de ses symptômes et de sa personne, ou à l’atteinte de ses objectifs par l’utilisation de recettes de toutes sortes, on ne trouvera pas ce qu’on cherche.

 




Le corps a une immense capacité naturelle de guérison. Pour n’en donner que quelques exemples, imaginons une coupure qui se cicatrise sans aucun besoin d’intervention ou imaginons encore un rhume, qui ne requiert que beaucoup d’eau et de sommeil. En fait, à longueur de journée, le corps est attaqué par différents éléments, et il se guérit lui-même à mesure de ces constantes intrusions. Néanmoins, il arrive parfois que ces attaques soient plus virulentes et les processus naturels de guérison débordés ne peuvent plus suffire à la demande. On parle alors de maladie (notons à nouveau que celle-ci peut être physique ou mentale).

Quand un tel problème survient, il nous en arrive en fait deux :

1- le problème lui-même (la maladie)


2- l’effet qu’il a sur nous

Prenons un exemple simple. Vous allez voir votre médecin pour votre bilan annuel de santé. Quand vous recevez vos résultats, vous apprenez que vous êtes atteint d’une grave maladie. C’est un choc qui porte atteinte à votre équilibre : vous « tombez » malade. Pourtant, une heure avant d’apprendre la nouvelle, vous ne ressentiez aucun malaise, vous n’étiez pas malade, même si la maladie était déjà en vous. Maintenant que ce mal est nommé, défini, il se peut que votre attitude change, que vous en soyez submergé, et vous devenez « malade ». 

Alors, dans ces circonstances, il se peut qu’un cercle vicieux s’installe : la diminution ou la faiblesse relative de vos processus de guérison a d’abord favorisé l’apparition de votre maladie et ensuite, la présence de votre maladie va accentuer la diminution de vos processus de guérison. Être malade intensifiera la maladie et la maladie rendra malade.

Généralement, quand ça arrive, on veut changer l’ordre des choses et ne plus être malade.

Le changement, quel qu’il soit, peut se faire de deux façons:

 

  • La première, l’action directe, s’illustre comme suit : on envoie une boule sur une quille, la quille tombe. Dans le cas de la maladie, on peut associer ce genre d’action à la médecine traditionnelle : on va voir le médecin afin qu’il s’attaque à la maladie au moyen de médicaments, d’opérations, de thérapies, etc. Parfois ça marche, mais parfois ça ne marche pas ou du moins, pas complètement.

  • La deuxième façon d’aborder le changement est la suivante. Imaginons qu’on pousse sur un âne pour le forcer à bouger alors qu’il ne veut pas. Si on persiste dans cette voie, on finira nécessairement par être déséquilibré et éventuellement par tomber, vu la force de notre impulsion. Il faudra donc utiliser une autre solution pour faire bouger la bête : on peut ruser et l’attirer pour qu’elle nous suive. C’est un peu ce que la méthode ECHO® propose : arrêter de « forcer » pour se sortir de la maladie et utiliser d’autres moyens plus appropriés et mieux adaptés aux objectifs.


Il est cependant impératif de bien comprendre ici que les interventions directes (la médecine) comme les autres (la méthode), peuvent et devraient toujours être conjointes. Il n’est jamais question de remplacer l’une par l’autre. Au contraire, ce sont des approches complémentaires qui, chacune à leur façon, proposent plus de bien-être. ECHO® n’est pas une alternative à la médecine, ni même une médecine alternative.

Dans ce deuxième ordre de changement que propose l’Approche ECHO®, il s’agit de trouver les meilleures conditions pour que les processus de guérison, uniques à chacun, puissent se développer et ensuite se maintenir.

 

Pour ce faire, on propose, en une quinzaine d’heures, d’apprendre à redevenir « sujet » et à devenir « témoin » de sa propre vie, afin de ne plus être submergé par la maladie, ce qui est la propre du mal-être. Être sujet, c’est être au centre de son propre univers, être le centre des choses et des événements qui circulent autour de nous. Être témoin, c’est prendre une position de sujet qui peut être en même temps distinct et inclus dans son voyage intérieur. Car c’est à l’intérieur de soi qu’on doit faire le travail et qu’on peut trouver les ressources nécessaires à la remise en marche des processus de guérison. Encore une fois, pour illustrer notre propos, imaginons un iceberg. Si on veut le voir disparaître et qu’on travaille à détruire la partie en surface (le problème, la maladie), la partie cachée (la préoccupation) remonte. Si on travaille sur la partie cachée, la partie en surface descend.

Le travail en écho suggère donc d’animer (ou de réanimer) certains éléments qui sont accessibles en nous afin que ceux-ci « résonnent » sur d’autres éléments, conscients ou inconscients du processus de guérison, et en fassent ainsi bouger l’ensemble. Un peu comme la roue d’un moulin qui actionne tous les autres mécanismes qui lui sont liés.

Pour réussir à provoquer le mouvement, il faut, primo, qu’en position de témoin, on se mette, secundo, dans un état de fluidité, dans une réalité fluide. Qu’est-ce que ça veut dire ?

 

Très simplement, pour comprendre, il faut savoir qu’il y a deux conceptions de la réalité.

 

  • On peut parler de la première conception comme de la réalité extérieure : un doigt, par exemple. Vu de l’extérieur, il peut être gros, petit, fin, etc. Tous s’entendent à peu près pour le décrire de la même façon.

 

  • Dans la deuxième conception, que l’on nommera la réalité intérieure, tout sera une question beaucoup plus personnelle, intime, subjective. Le doigt peut alors être chaud, froid, avec des picotements, on peut le sentir rigide ou souple, etc. Dans la réalité intérieure, on peut le décrire avec tous les mots ou les images qui nous correspondent.


C’est à partir de cette conception de la réalité intérieure, qu’on parlera de réalité fluide : ce sont les mouvements, les vibrations, et les transformations (par exemple et d’abord, le sang qui coule, la vibration du pouls, les impressions de transformation des formes du corps, etc.) qui nous habitent. Le passage dans cette réalité a pour effet que, dans cet état, ce sont davantage les circulations que les choses qui importent, et ce sont les ruptures de circulation qu’on perçoit. C’est la mise en scène de ces circulations et de ces ruptures qui va permettre les déblocages.

En position de témoin, en état de fluidité, on interpelle alors, tertio, des « objets », non pour faire sens, mais pour créer des interactions. Les objets sont tout ce qui advient à la conscience : les perceptions externes ou les impressions internes, les sensations corporelles ou les idées. Pour réaliser cela, différents jeux sont proposés : concrétisations, interrogations, intentions. Rien n’est obligé et tout se déroule comme une sorte d’improvisation, à la fois pour le moniteur et pour la personne ou le groupe en apprentissage.

Il est important ici de savoir que le rôle des moniteurs n’est pas de diriger comme dans d’autres disciplines. Les moniteurs d’Écho sont formés pour être des « animateurs ». Ce qu’on requiert d’eux, c’est qu’ils soient « présents ». Car, comme la recherche n’a pas permis, à ce jour, de comprendre tout à fait comment fonctionnent les processus naturels de guérison, le moniteur est au même niveau que la personne en apprentissage : il n’a ni pouvoir ni savoir sur eux. Il n’est donc présent que pour servir de facilitateur, de « catalyseur », pour aider à remettre en marche les processus. Il n’intervient que pour favoriser et tente simplement d’animer les personnes présentes avec la plus grande ouverture possible : il n’y a aucune contrainte, mis à part le respect de soi et des autres. Ainsi le moniteur est là pour permettre aux compétences des individus de se mettre en valeur.


 

 

 

 

Quels sont les résultats qu’on peut attendre d’ECHO ?
Près de 6 000 personnes ont terminé l’apprentissage de la méthode jusqu’à aujourd’hui. Quand elles en font l’évaluation, elles nous disent ceci :

  • j’ai plus de contrôle sur les événements de ma vie intérieure;

  • j’arrive à dédramatiser les situations difficiles;

  • j’ai repris ma place de personne à travers tout ce qui m’arrive et je suis plus « stable »;

  • je suis plus conscient de mes besoins;

  • je suis capable de maintenir davantage la maladie à distance;

  • je me sens plus libre et j’ai le sentiment d’avoir plus d’espace pour vivre;

  • j’arrive à gérer la douleur plus efficacement;

  • j’arrive à diminuer les symptômes physiques et/ou psychologiques;

  • mon sentiment de bien-être est plus grand, plus présent;

  • j’ai plus d’énergie;

  • j’ai découvert de nouveaux outils pour maîtriser mon expérience intérieure;

  • j’arrive à créer de nouveaux outils pour maîtriser mon expérience intérieure.

 

Nous voyons par ces exemples que certains des bienfaits de l’Approche ECHO peuvent être trouvés aussi parmi les résultats généraux de différentes techniques. Ce qui est fondamentalement intéressant, c’est que ceux-ci sont obtenus ici sans techniques directives, sans buts prédéfinis et sans nécessité de savoirs ou de compréhension. Cela en fait une méthode légère, simple et adaptable aux diverses circonstances de la vie.

 

Qu'est-ce que l'approche echo ?

L’approche ECHO est une approche non directive qui s’apprend sous forme d’apprentissages à court terme. Dans cette fiche, vous découvrirez ce qu’est cette approche, ses principes, son histoire, ses bienfaits, sa pratique et les formations à faire pour l’enseigner.

L’approche ECHO vise à éliminer les blocages qui nuisent aux processus vitaux naturels normalement responsables de maintenir la santé et le bien-être. Elle ne s’attaque pas directement aux symptômes de la maladie, qui sont considérés comme les manifestations extérieures d'un déséquilibre intérieur. Elle cherche plutôt à intervenir sur les mécanismes naturels qui, eux, pourraient indirectement, mais concrètement, contribuer à la guérison. La méthode ECHO permet d'opérer des changements dans la réalité intérieure de la personne pour entraîner des résultats dans sa réalité extérieure, qu’elle soit corporelle, comportementale ou mentale.

Le nom ECHO fait référence à nos processus intimes : pensées, conceptions, vibrations et résonances avec l'extérieur. Dans cette perspective, l'intention de l'approche est de vivifier cette dimension de la personne et de lui permettre d'entrer en écho » avec elle-même.

Les lettres du mot représentent les quatre dimensions de l'approche :

  • l'Espace intérieur, c'est-à-dire la pratique de l'art d'être présent à soi-même;
  • le Courant, ou le fait de remettre du mouvement là où tout semblait figé;
  • l'Harmonisation, ou l'habileté de jouer avec les obstacles;
  • l'Oeuvre, ou le pouvoir d'imaginer et de créer de nouveau.

Les grands principes

La méthode ECHO propose de créer des conditions propices à redonner à l'organisme, à l’aide de sa propre « intelligence intérieure », la capacité de faire son travail de guérison de façon efficace. La démarche d'autoguérison consiste à créer en soi un contexte favorisant l'épanouissement des mécanismes naturels de guérison - autrement dit, de provoquer l'effet placebo sans pilule ni traitement placebo.

À la base de la méthode se trouve la notion que l'organisme humain est « un ». Cela signifie que ses aspects physiologique, affectif et mental fonctionnent selon une même dynamique et que cette dynamique est intelligente. L'autoguérison telle que vue par ECHO consisterait à créer un « champ personnel, corporel et psychique » permettant aux divers processus de guérison de s'actualiser de façon optimale.

Devant une maladie, un traumatisme, une agression ou un problème psychologique, il arrive très souvent que la personne soit en détresse. Puisqu’elle est submergée par le stress et l'anxiété, ses processus vitaux naturels sont diminués ou bloqués. Un des principaux objectifs de la méthode ECHO est justement de remettre la personne au centre de son vécu. Les événements (douleur, peur, traitements, problèmes financiers découlant de la maladie, etc.) peuvent alors cesser d'accaparer l'espace central et redevenir de simples « objets » qu’on doit prendre en considération - parmi de nombreux autres.

Une fois qu'elle se retrouve au centre d'elle-même, la personne peut recommencer à respirer et à reconnaître la réalité subjective de sa maladie. Elle gagne de la perspective et de la maîtrise. Elle peut alors explorer le rapport qu'elle entretient avec ses symptômes et ses difficultés et, si elle le désire, aborder le mal-être qui les sous-tend. Cela dit, il ne s'agit pas d'une psychothérapie, qui peut toutefois être pratiquée en parallèle.

Les bienfaits de l'approche ECHO

Aucune étude clinique au sujet de l’approche ECHO n'a été publiée jusqu'à maintenant. En conséquence, nous ne pouvons conclure à l'efficacité de cette thérapie dans les différentes utilisations faites présentement.

Selon les témoignages recueillis par l'équipe de la méthode ECHO, les gens qui l'ont expérimentée disent qu’elle permet :

  • Favorise le développement personnel : la méthode ECHO permet de reprendre sa place en tant qu’individu et de s’affirmer davantage tout en identifiant plus facilement ses besoins.
  • Ressentir plus de liberté et de créativité personnelles.
  • Communiquer et interagir davantage avec leur corps;
  • D’améliorer le bien-être psychologique en diminuant les symptômes psychologiques, en mettant à distance les maladies et leurs problèmes, en se sentant plus calmes et plus en mesure de dédramatiser les situations extérieures et en ayant plus de maîtrise sur les évènements intérieurs.
  • D’améliorer sa condition physique : la méthode écho permet d’avoir plus d’énergie, de vivre plus de bien-être et de mieux gérer la douleur.

L'apaproche echo en pratique

Déroulé d'une séance

L'apprentissage d'ECHO se déroule dans un cadre précis, à l'intérieur duquel la personne doit toujours se sentir en « état de pouvoir », sans avoir à se soumettre à une technique. « Dès l'instant où elle n'est plus en maîtrise, dès l'instant où le but vient à primer, dès l'instant où elle veut à tout prix suivre les consignes pour parvenir à un résultat, la personne est déjà en danger de déséquilibre, ce qui représente une menace pour le processus de guérison4. » Les consignes sont considérées comme moins importantes que l'expérience qui en découle et leur formulation est étonnamment ouverte. Malgré l'utilisation de termes comme « psychisme » et « complexité », et même si la théorie qui la sous-tend est élaborée, la méthode ECHO est accessible à tous parce qu'elle se présente très simplement dans la pratique. Durant les rencontres, les personnes choisissent une position confortable, couchée ou assise, pour écouter les consignes des exercices. Ils consistent surtout à porter attention à ce qui se passe en soi (sensations, images, pensées, émotions) à partir des suggestions des animateurs. Un exercice, par exemple, propose de mettre en scène différentes parties du corps (cerveau, peau, etc.), à les interroger et à laisser surgir des réactions, sans jamais suggérer d'interprétation. Une période de temps est prévue pour les échanges. Au fil des rencontres, on approfondit peu à peu les expériences personnelles vécues par les participants, s’ils le désirent.

Devenir thérapeute

La formation à l’approche ECHO s’adresse aux professionnels de la santé (infirmières, massothérapeutes, psychothérapeutes, etc.) qui souhaitent intégrer cette composante à leur pratique régulière ou diriger un programme d'apprentissage. Elle comprend l’apprentissage de base, plusieurs rencontres individuelles avec un formateur, un entraînement structuré, des lectures dirigées ainsi que des stages de pratique clinique et de supervision.

La pratique de la méthode ECHO requiert une période d'apprentissage d’une quinzaine d’heures, dispensée à des groupes de 4 à 15 personnes. L'apprentissage par rencontres individuelles est possible dans le privé, selon un tarif horaire.

Histoire de l'approche Echo

On doit la méthode ECHO à Dr Jean-Charles Crombez – médecin, psychiatre, psychanalyste et psychosomaticien -, membre du Service de consultation-liaison du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM- Hôpital Notre-Dame), et à son équipe multidisciplinaire de recherche clinique. Si sa formulation remonte au début des années 1980, la méthode puise ses racines dans la jeunesse du chercheur. Sa fréquentation du mime et son attrait pour la poésie, ainsi que les ateliers sur la relation thérapeutique qu'il organisait pour les médecins et soignants de l'hôpital, ont contribué à la démarche du Dr Crombez. Il a écrit abondamment sur la méthode ECHO (voir Livres, etc.), et sa méthode continue d'évoluer grâce aux observations de l'équipe qui est chargée de l'enseigner.

Le fait que la méthode se soit élaborée dans le cadre d'un service d'un grand hôpital moderne indique qu'elle est conçue non pas en opposition aux méthodes classiques de traitement, mais pour cohabiter avec elles. Ses objectifs généraux sont de : favoriser la santé et le bien-être de la personne, permettre le soulagement de la souffrance, soutenir la pratique médicale…

REF.:  https://www.approche-echo.net/approche-echo


mercredi 16 décembre 2020

Alexa d'Amazon pourrait être un témoin clé dans une affaire de meurtre ;

 

 Alexa d'Amazon pourrait être un témoin clé dans une affaire de meurtre ;

 

Un juge a ordonné à Amazon de transmettre les données d'un orateur présent sur les lieux d'un meurtre. Qu'est-ce que cela signifie pour la confidentialité des données? 

Par Chavie Lieber @ ChavieLieberChavie.Lieber @ Vox.com 

12 novembre 2018, 17 h 00 HNE

 Partagez cette histoire

 Un Amazon Echo pourrait être un témoin clé dans un procès pour meurtre. Amazone

 Cette histoire fait partie d'un groupe d'histoires appelé Les biens(The Good)

 La semaine dernière, un juge du New Hampshire a ordonné à Amazon de remettre les enregistrements d'un haut-parleur intelligent Echo trouvé dans la maison où un double meurtre a eu lieu l'année dernière à Farmington. Les autorités estiment que les enregistrements peuvent fournir des informations qui pourraient mettre le meurtrier derrière les barreaux.

 Si Amazon transmet les données privées de ses utilisateurs aux forces de l'ordre, cela n'impliquera pas seulement la société de technologie dans une affaire de meurtre. Ce sera également le dernier incident à soulever de sérieuses questions sur la quantité de données que les entreprises de technologie de données collectent sur leurs clients avec et sans leur connaissance, comment ces données peuvent être utilisées et ce que cela signifie pour la confidentialité. 

Un Amazon Echo pourrait être un témoin clé dans un procès pour meurtre En janvier dernier, Timothy Verrill a été accusé de meurtre au premier degré par le procureur général du New Hampshire dans la mort de deux femmes, Christine Sullivan et Jenna Pellegrini. La police a retrouvé les corps des femmes dans la cour du petit ami de Sullivan, Dean Smoronk, que les médias locaux du New Hampshire ont rapporté que Verrill connaissait. Verrill a été repéré sur une vidéo de surveillance à domicile avec Sullivan et Pellegrini.

 Il a également été vu en vidéo quelques heures plus tard, achetant des produits de nettoyage dans un magasin et retournant à la maison. Après que Smoronk a appelé le 911 pour signaler la disparition de sa petite amie, la police a retrouvé les corps et saisi un haut-parleur Amazon Echo dans la cuisine, à côté de l'endroit où la police pense que Sullivan a été tué. Vendredi dernier, un juge a ordonné à Amazon de remettre les enregistrements sur l'Echo, ainsi que toutes les informations sur les téléphones portables qui étaient jumelés au haut-parleur à la date du meurtre. Selon l'Associated Press, les procureurs estiment que l'Echo pourrait avoir des informations utiles pour plaider contre Verrill, dont le procès commence en mai 2019, y compris des détails sur ce qui s'est passé pendant et après le meurtre, tels que «le retrait possible du corps de la cuisine. " Dans une déclaration à Vox, Amazon a déclaré qu'il ne «divulguerait pas d'informations sur les clients sans une demande légale valide et contraignante qui nous soit correctement servie» et que «Amazon s'oppose à des demandes excessives ou autrement inappropriées, bien entendu.

 Il n'a pas précisé si l'entreprise transmettra les données une fois qu'elle aura signifié une requête, ou si elle contesterait la décision. Bien qu'il soit tout à fait possible que le haut-parleur Echo n'ait rien enregistré concernant le cas, il peut également très bien contenir des informations pertinentes. L'orateur est initié par quatre mots de réveil - «Alexa», «Echo», «ordinateur» et «Amazon» - et enregistre après avoir entendu ces mots, même lorsqu'il n'est pas prononcé. Ces enregistrements sont ensuite stockés sur un serveur Amazon, accessible à l'entreprise, et aux propriétaires via l'application Alexa. Il existe de nombreuses preuves que les appareils enregistrent plus que ce que dit Amazon. Après qu'une femme de Portland a découvert que son haut-parleur Echo avait enregistré une conversation qu'elle avait eue avec son mari et l'avait envoyée à un contact aléatoire, Amazon a admis que sa technologie Alexa pouvait mal interpréter les bruits domestiques tels que les conversations, les bandes sonores de télévision et la musique comme réveil. appels et démarrez l'enregistrement. L'orateur commence également à enregistrer quelques secondes avant qu'une commande ne soit émise, ce qui signifie qu'il y a probablement plus d'informations privées dans les enregistrements que les clients ne le savent. Si les procureurs de l'affaire du meurtre de Farmington trouvent effectivement des preuves sur les enregistrements d'Echo, cela soulève une foule d'autres questions: les haut-parleurs intelligents seront-ils considérés comme des témoins oculaires? 

La police devrait-elle commencer à saisir tous les gadgets des scènes de crime? 

Et devraient-ils être autorisés à utiliser les données si les appareils appartiennent à des particuliers? 

La technologie commence à être liée aux affaires pénales L’ordre du juge du New Hampshire à Amazon de remettre les enregistrements d’Echo de Dean Smoronk n’est pas la première fois qu’une entreprise de technologie - ou même Amazon - est soumise à une enquête criminelle.

 L'année dernière, Amazon a été sommé de publier les enregistrements d'un appareil Echo présent dans une maison de l'Arkansas où un meurtre a eu lieu. Amazon a d'abord combattu la commande, affirmant qu'elle violait la liberté d'expression. Une fois que le défendeur a autorisé Amazon à transmettre ses données, le géant de la technologie a publié les enregistrements (les accusations ont finalement été abandonnées).

 L'été dernier, lors d'un incident de violence domestique à Albuquerque, les forces de l'ordre ont déclaré qu'un Echo avait appelé la police. Le haut-parleur intelligent aurait entendu un petit ami battre sa petite amie et crier: «Avez-vous appelé le shérif?» ce qui l'a incité à téléphoner au département du shérif. (Amazon et les forces de l'ordre locales ont un stockage en conflit.

 

REF.: