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mardi 24 septembre 2019

Un haut responsable de la GRC accusé d'abus de confiance

Un haut responsable de la GRC accusé d'abus de confiance




GRC, police
 
 
 
Radio-Canada
Un haut responsable du renseignement à la Gendarmerie royale du Canada (GRC), Cameron Ortis, a été arrêté et accusé en vertu d’infractions au Code criminel et à la Loi sur la protection de l’information. Il a comparu en cour vendredi après-midi.
Cameron Ortis est notamment accusé de communication non autorisée d'informations opérationnelles, d'abus de confiance et d'utilisation non autorisée d'un ordinateur.
S'il est reconnu coupable, il risque une peine maximale de 14 ans de prison.
Ce civil est un spécialiste de l'Asie du Sud-Est, des infrastructures stratégiques et des robots numériques (bots en anglais).
Les accusations découlent d'activités qui auraient eu lieu au cours de son mandat d'employé de la GRC, a précisé cette dernière. La GRC a ajouté qu’elle ne ferait pas d’autre commentaire afin de ne pas nuire à l’enquête.
La police fédérale n'a pas voulu préciser si Ortis était toujours employé dans ses services.
Le procureur John MacFarlane a déclaré que la Couronne ferait valoir, lors d'une prochaine audience sur le cautionnement, que l'accusé, qui portait une chemise bleue lors de sa comparution par vidéo, devrait rester en détention.
L'acte d'accusation énumère sept chefs au titre de diverses dispositions, pour des allégations s'étalant du 1er janvier 2015 jusqu'à son arrestation, jeudi.
Selon une source de CBC News, dans la mesure où le travail d’Ortis touchait aux opérations de sécurité nationale, les ministères fédéraux procèdent à des évaluations internes des dommages liés à son arrestation.
D'autres sources de la CBC ont également mentionné que plusieurs services de sécurité avaient été impliqués dans l'arrestation d'Ortis.

Une affaire « sérieuse »

Le chef libéral, Justin Trudeau, a temporairement de nouveau endossé ses habits de premier ministre et brièvement parlé de l'affaire, vendredi. J'ai été mis au courant de l'arrestation et que les autorités prennent cela extrêmement au sérieux, s'est-il limité à dire.
De son côté, le chef conservateur, Andrew Scheer, a dit sur Twitter être préoccupé par l'arrestation. [...] C'est un rappel de la menace posée par les acteurs étrangers. En tant que PM [premier ministre], j'agirai comme il se doit lorsqu'une menace est identifiée.
Il y a vraiment une menace envers la sécurité nationale, parce qu'on ne sait pas quelles informations ont été partagées, a souligné le leader néo-démocrate, Jagmeet Singh.
Quant au chef bloquiste, Yves-François Blanchet, il a préféré ne pas faire de commentaire.
Le ministre fédéral de la Sécurité publique, Ralph Goodale, a renvoyé toutes les questions sur l'affaire à la GRC.
Les Canadiens peuvent demeurer confiants envers leurs services de renseignement et de sécurité pour protéger notre sécurité et nos droits, a-t-il néanmoins affirmé.
Ortis a été le plus haut conseiller sur les questions de sécurité nationale de Bob Paulson, ancien chef de la GRC parti à la retraite en juin 2017.
En raison des dispositions invoquées dans l'acte, il est fort possible que Cameron Ortis ait eu accès à des informations classées top secret.
Sur le réseau social professionnel LinkedIn, une recherche effectuée au nom du suspect fait apparaître le compte d'un homme du même nom indiquant travailler depuis 2007 pour le gouvernement fédéral, à la suite de l'obtention d'un doctorat en sciences politiques à l'Université de Colombie-Britannique. Ce Cameron Ortis posséderait aussi un diplôme en administration de systèmes en ligne.
Ce compte LinkedIn signale en outre qu'il connaît le mandarin, la principale langue parlée en Chine, pays avec lequel Ottawa traverse une crise diplomatique inédite.
Les accusations en vertu de la Loi sur la protection de l'information sont généralement portées quand des puissances étrangères sont soupçonnées d'espionnage.
Selon Leah Wesh, qui enseigne la loi sur la sécurité nationale à la Norman Paterson School of International Affairs de l'Université Carleton, le fait que Cameron Ortis n'ait pas été accusé en vertu des sections 16 ou 17 de la loi, qui portent sur le partage d'informations avec un gouvernement étranger, est révélateur.
Pour moi, cela veut dire qu'il a partagé quelque chose avec quelqu'un au Canada, mais probablement pas avec un gouvernement étranger, a-t-elle indiqué. Toutefois, il se préparait peut-être à partager des informations avec un gouvernement étranger ou une organisation terroriste.
L'analyste de la Marine royale canadienne Jeffrey Delisle, qui a reconnu en 2012 avoir vendu des secrets sur le Canada et ses alliés à la Russie, a été le premier individu à être déclaré coupable en vertu de la Loi sur la protection de l'information.

mardi 18 septembre 2018

Selon une étude de la GRC, des centaines de cas de corruption policière

Selon une étude de la GRC, des centaines de cas de corruption policière


GRC, police, corruption
 
 

La GRC affirme avoir apporté des changements après la publication du rapport pour encourager le comportement éthique des agents


REF.: The Canadian Press · Publié le: 18 mai 2014 13:59 CT | Dernière mise à jour: 18 mai 2014La Presse canadienne a obtenu l'étude en vertu de la Loi sur l'accès à l'information. (CBC)
Une étude interne de la GRC a révélé 322 cas de corruption au sein de la police nationale sur une période de 11 ans - dont une douzaine d'exemples de crime organisé.
La diffusion abusive d'informations de police était le type le plus courant de comportement corrompu, suivi par la fraude, le détournement du statut de policier, le vol et l'ingérence dans le processus judiciaire.
La GRC a entrepris l'étude, appelée Projet Sanction, pour aider à identifier les tendances en vue d'élaborer une stratégie anti-corruption.
"Il était évident qu'un grand nombre des incidents identifiés dans cette étude résultaient d'une mauvaise orientation, d'un manque de supervision adéquate ou d'une combinaison de pressions sur la vie qui ont abouti à une décision désespérée", indique le rapport.
L'étude - couvrant des cas documentés du 1 er janvier 1995 au 31 décembre 2005 - a été achevée en 2007 mais n'a été publiée que récemment par la Presse canadienne en vertu de la Loi sur l'accès à l'information.
La GRC affirme avoir adopté depuis lors plusieurs des recommandations du rapport, ajoutant que rien ne prouve que la corruption constitue un problème important dans ses rangs.
Au total, 204 membres réguliers ont été impliqués dans les 322 incidents de corruption, l'étude qualifiant la "nature et la gravité" des épisodes de "relativement modérée".
De nombreux cas de partage abusif d'informations policières impliquaient l'utilisation abusive de données confidentielles dans les banques de données de la police, parfois à des membres de la famille, des amis ou des criminels connus.
Les cas de fraude comprenaient souvent des demandes de remboursement frauduleuses ou un abus des cartes de crédit du gouvernement. Les exemples d’interférence étaient la fixation de billets, le parjure, la falsification de preuves ou la protection d’activités illégales.
Douze incidents concernaient le crime organisé et 20 autres incluaient des opérations avec des criminels connus.
"La GRC peut et devrait faire davantage en matière de stratégie de réduction des risques", a conclu le rapport.
"En l'absence de solution, la corruption peut attaquer et toucher la grande majorité des employés honnêtes, dans la mesure où il y a plus de potentiel pour moins de coopération publique au niveau opérationnel."
En outre, les employés peuvent voir un manque d’action comme un signe que la direction ne prend pas le comportement de corruption au sérieux, ajoute le rapport. "Il est clair que le risque de ne pas apporter de changements proactifs pour lutter contre la corruption peut avoir de graves conséquences".
L’étude a formulé des recommandations sur le recrutement de nouveaux membres, la formation à l’éthique, l’évaluation des employés, les autorisations de sécurité et l’identification des agents à risque de corruption.
Depuis le rapport, la GRC a pris un certain nombre de mesures pour soutenir et encourager le comportement éthique de ses membres, a déclaré le cap. David Falls, porte-parole de la GRC.
Le processus de recrutement est «beaucoup plus exhaustif» qu’en 2007, a déclaré M. Falls, citant une liste de procédures d’examens, d’entrevues et de tests qui ont été extrêmement efficaces pour détecter une forte proportion de candidats qui ne reflètent pas les valeurs fondamentales de la GRC. "
La GRC souligne également des mesures, notamment:

    
un processus de promotion plus rigoureux.
    
évaluations régulières des employés et briefings de sécurité.
    
une formation plus éthique et une directive sur les conflits d'intérêts.
    
un nouveau code de conduite proposé.
    
un plan pour reconnaître officiellement le professionnalisme et l'intégrité.


REF.:

mardi 21 février 2017

Le SPVM fabrique de la preuve afin de faire taire ses employés !

Enquête publique au SPVM: Une Pétition pour une enquête sur le SPVM.

À la suite des révélations faites par «J.E.», le directeur du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) Philippe Pichet demande à la Sûreté du Québec (SQ) de revoir des enquêtes menées par les Affaires internes du SPVM.
M. Pichet s’est dit «très préoccupé» par les allégations formulées par des anciens employés du corps de police montréalais selon lesquelles le SPVM fabrique de la preuve afin de faire taire ses employés.


«Il y a certains faits troublants aussi quand on regarde l’émission, toutes sortes de rencontres, a-t-il déclaré. Je vous dirais que tout de suite après l’émission, j’ai parlé à M. Martin Prud’homme, directeur général de la SQ, et question de transparence, je lui ai demandé de revoir toutes les enquêtes. Au moins les trois, celles de monsieur Di Feo, celles de M. Cacchione et celles de M. Roger Larivière, parce que les autres sont devant les tribunaux présentement. Je lui ai demandé de revoir toutes les enquêtes et aussi d’y inclure les faits nouveaux qu’on pourrait rapporter.»
Par le fait même, le directeur du SPVM invite les intervenants qui ont participé au reportage de «J.E.» et qui souhaitent transmettre des informations à contacter la SQ «à partir de maintenant».

Pétition pour une enquête sur le SPVM

De leur côté, les policiers du SPVM réclament une enquête publique sur leur propre corps de police. Une pétition «réaffirmant que les policiers ont les mêmes droits fondamentaux» que les citoyens circule d’ailleurs dans bon nombre de postes de quartier.
Selon une source, «c’est l’émission «J.E.» dans laquelle plusieurs témoignages démontraient la façon de faire des Affaires internes du SPVM lors d’enquête sur les policiers qui a déclenché le mouvement».
Le document déjà signé par plusieurs policiers dans une dizaine de commissariats et dans trois centres d’enquête de la police de Montréal fait état d’une «inquiétude grandissante» au sein des 4600 policiers du SPVM.

Intervention demandée

«Nous demandons au ministre Martin Coiteux et au gouvernement du Québec d'intervenir en déclenchant une enquête publique visant le SPVM et ses dirigeants, particulièrement les affaires internes ainsi que les enquêtes spéciales...» peut-on y lire.
Les signataires de la pétition dénoncent:
- les multiples fouilles intrusives dans la vie privée des policiers
- l’utilisation du Code criminel pour enquêter sur le disciplinaire
- la manipulation des faits dans les affidavits
- les enquêtes internes instiguées par esprit de vengeance
- la chasse aux sorcières pour trouver les sources journalistiques
- l’ingérence malsaine de l'administration municipale

Accusations graves

Lors de l’émission «J.E.», notre Bureau d’enquête a recueilli, pour une première fois, le témoignage à visage découvert de trois ex-employés de la police de Montréal.
Ceux-ci affirment que le deuxième plus grand service de police municipal au pays fabrique de la preuve afin de faire taire ses employés. Le directeur de la police montréalaise a nié avec force ces allégations.
Les instigateurs du mouvement allèguent qu’«à la lumière des nombreuses sorties médiatiques récentes à ce sujet, il est légitime de douter de l'impartialité avec laquelle nos membres sont enquêtés et accusés par le personnel des enquêtes spéciales"
Ils enjoignent le ministre de la Sécurité publique à «réviser les dossiers d’accusations contre nos (les) policiers au cours des dernières années» et «à trouver les responsables de toute irrégularité et prendre toutes les mesures nécessaires pour rétablir la justice.»

Paul Arcand du 98,5FM a dit que des Policiers du Poste 22 s'organisaient et créaient des billets d'infractions et que les 2 pommes pourrites de ce stratège avait été dernièrement ,relocalisées ensemble au même endroit !

 Source.:

SPVM: Le détective Normand Borduas sait ce qui justifie le déclenchement du Projet Escouade

Les Enquêtes bizarres du SPVM ;-)


Une enquête qui dure sept mois et qui vise des policiers de Montréal : cinq policiers sont arrêtés. Du lot, deux policiers sont accusés, notamment de parjure et d'abus de confiance. C'est une bombe qui éclate en juillet 2016. C'est le Projet Escouade.
Les deux policiers sont des enquêteurs, Fayçal Djelidi et David Chartrand, qui traquent les gangs de rue dans la région Ouest de l'île. C'est dans le cadre de cette enquête que le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) obtient le droit - inusité, controversé - de m'espionner.
Le Projet Escouade naît donc à la fin de 2015 et est mené par les Enquêtes spéciales du SPVM, puisqu'il vise des policiers. Tout commence quand un informateur fait l'objet d'une vérification aléatoire par le Module de contrôle des informateurs (MCI).
Cet informateur donne au MCI des renseignements troublants : un policier du nom de «Fayçal» mettrait de la drogue dans les poches de suspects pour les forcer à collaborer avec lui.
Une information explosive.
Mais...
***
Avant d'aller plus loin, clarifions les termes.
«Informateurs» : la police de Montréal a des milliers d'informateurs. Ils sont fichés. Certains sont payés pour informer la police. Cela peut mener à des arrestations de personnes, à des saisies de drogue. Exemple : 1000 $ pour une info menant à la capture d'un fugitif recherché.
Plus les renseignements d'un informateur portent leurs fruits, plus ses indices mènent à des succès policiers - arrestations, saisies -, mieux il est payé.
L'inverse est vrai : un informateur qui fournit des renseignements peu utiles est peu payé. Ou pas payé du tout.
Le MCI, lui, gère les procédures selon lesquelles les policiers de Montréal interagissent avec leurs sources.
Le MCI peut faire des contrôles aléatoires de sources. Au hasard, donc, il communique avec la source A pour vérifier si le policier B lui a bel et bien remis une somme de X, à la date Y. Et pour vérifier si la source A a bel et bien refilé au policier B les informations W et Z contenues dans le rapport dudit policier.
Sans ces informateurs, sans ces dollars refilés aux informateurs, le travail de la police de Montréal serait beaucoup plus difficile.
***
L'information sur ce «Fayçal», sur Djelidi, était explosive, disais-je plus haut.
Pensez : un policier «planterait» de la drogue dans les poches de suspects pour les forcer à collaborer. Si c'est vrai, c'est un crime; un piratage de justice.
J'ai aussi dit ceci : «mais...»
Mais permettez que je cite le document soumis à la cour par le détective Normand Borduas au sujet de cette source présumée fiable qui n'est pas nommée :
«L'informateur n'a jamais été rémunéré [...] l'informateur a "des épisodes paranoïaques en lien avec sa sécurité, présentement il se sent suivi par des policiers"...»
Bref, ce qui lance une enquête de sept mois, ce sont les allégations d'une source paranoïaque dont les informations n'ont jamais été assez bonnes pour lui valoir un sou du SPVM.
Bizarre...
Je cite un ancien enquêteur du SPVM à propos de la «qualité» de la source qui lance le Projet Escouade, il a lu la description faite de la source : «C'est de la merde. Une bonne source est une source rémunérée [...] C'est pas assez pour partir une enquête.»
Bizarrerie no 2 : à la fin de 2015, une plainte a été portée à l'interne contre un policier du MCI pour une insulte lancée à propos de Djelidi. Peu après cet incident, boum, le MCI fait ce contrôle aléatoire d'un informateur... Qui incrimine ce «Fayçal».
Bizarrerie no 3 : pourquoi perdre du temps à contrôler une source qui n'a jamais donné de renseignements assez fiables pour lui valoir une récompense?
Bizarrerie no 4 : parmi les cinq policiers arrêtés se trouve un policier, Denis B. : celui-ci a écrit une lettre pour se plaindre de l'ingérence d'un membre haut placé du SPVM, quelqu'un de la garde rapprochée du chef Philippe Pichet, dans une enquête criminelle, fin 2015. Un hasard, sûrement : peu après cette plainte de Denis B., l'enquête Projet Escouade est lancée, dans laquelle il sera arrêté (mais la Couronne refusera de l'accuser).
On décrypte trois choses des cinq premiers mois du Projet Escouade en lisant les déclarations sous serment soumises par l'enquêteur Borduas à des juges :
1) Djelidi fréquente des salons de massage érotique (une infraction pénale, et non pas criminelle) ;
2) Djelidi a des contacts téléphoniques avec un journaliste de La Presse : moi ;
3) Il est aussi question de matériel informatique utilisé de façon non réglementaire par Djelidi.
Selon plusieurs policiers à qui j'ai parlé depuis l'été dernier, pour cinq mois d'une enquête impliquant de l'écoute électronique, de la filature, de l'interception de métadonnées et du monitorage par GPS : c'est mince, comme bilan du Projet Escouade, au printemps 2016.
Ce qui nous amène à la bizarrerie no 5 : l'histoire de la drogue supposément plantée par Djelidi ne revient jamais dans les déclarations sous serment signées par l'enquêteur Borduas, au fil de son enquête.
C'est pourtant ce qui justifie le déclenchement du Projet Escouade. Qu'a-t-on fait pour établir la véracité de cette information qui constitue la genèse du Projet Escouade?
Seul l'enquêteur Borduas le sait.
Et il n'a pas répondu à ma demande d'entrevue, hier.
***
Après cinq mois d'enquête aux maigres résultats, on finit par envoyer un agent double de la GRC dans les pattes du groupe d'enquêteurs, pour les appâter : l'agent double affirme qu'il sait où la police peut trouver une importante cargaison de drogue. C'est Denis B. qui est ciblé par la manoeuvre.
L'agent double de la GRC donne des détails sur la drogue aux policiers du groupe de Djelidi et Chartrand. Disons les détails A, B et C : où, quand, comment trouver la dope.
Les accusations de parjure et d'abus de confiance déposées contre Djelidi et Chartrand tiennent à ceci : ils sont soupçonnés d'avoir pesé fort sur le crayon en demandant leur mandat de perquisition... D'avoir ajouté, disons, un D aux A, B, et C de l'agent double de la GRC.
Est-ce vrai?
On verra si ça tient en cour.
Mais on est loin, très, très, très loin de l'information initiale qui voulait qu'un «Fayçal» plantait de la drogue dans les poches de suspects, tel que l'affirmait un informateur anonyme qui a des «épisodes paranoïaques», dont la qualité des infos ne lui a jamais valu un dollar du SPVM et qui a été contrôlé par le MCI, dont un des policiers est visé pour des insultes à l'endroit de Fayçal Djelidi.
Bizarre, encore.
***
Finalement, cinq policiers ont été arrêtés dans le Projet Escouade. Mais la Couronne n'a accepté de déposer des accusations que pour deux d'entre eux, Djelidi et Chartrand.
C'est à l'image du bilan de plusieurs dossiers majeurs lancés par les Enquêtes spéciales et les Enquêtes internes - toutes deux dirigées jusqu'à récemment par le commandant Costa Labos -, quand elles ont ciblé des policiers du SPVM, ces dernières années.
Ces policiers visés par des enquêtes d'envergure ont ceci en commun, qu'ils soient cadres ou syndiqués : ils n'ont jamais été reconnus coupables.
Je répète : jamais.
Ils s'appellent Philippe Paul, Mario Lambert, Joe Di Feo, Jimmy Cacchione, Tony Bianco, André Thibodeau, Annie Lavoie, Roger Larivière. Et trois policiers de la section des agents d'infiltration.
Autant d'enquêtes en forme de montagnes qui ont accouché de souris en forme de suspension ou de départ à la retraite ou d'acquittements en cour.
Ce soir à l'émission J.E., le journaliste Félix Séguin présente un reportage sur les Enquêtes spéciales du SPVM. Selon ce que j'en sais, le matériel colligé par Félix Séguin est explosif. Si j'étais le ministre de la Sécurité publique Martin Coiteux, je programmerais mon enregistreur numérique pour 19h30, à TVA.
La police de Montréal est le plus important corps de police au Québec, et ses enquêtes ont des ramifications provinciales. Ces dernières années, le SPVM a été secoué par des scandales terribles, je pense notamment aux taupes Ian Davidson et Benoit Roberge, deux policiers qui ont trahi la police au profit du crime organisé.
Mais les enquêtes remplies de bizarreries - et d'échecs - menées par les Enquêtes spéciales du SPVM constituent un autre de ces scandales qui minent le SPVM, un scandale dont on commence à deviner les contours.
Ces scandales regorgent de questions...
Les Enquêtes spéciales constituent-elles le bras armé de la direction du SPVM pour régler des problèmes politiques qui pourraient l'éclabousser?
Pendant le Projet Escouade, des policiers qui n'avaient rien à se reprocher ont vu leurs conversations interceptées quand ils parlaient avec les cibles de l'enquête. Les paroles de certains de ces policiers ont été utilisées dans un cadre disciplinaire parce qu'ils ont critiqué le SPVM dans des conversations (qu'ils croyaient) privées. Pourquoi?
Plusieurs des policiers arrêtés au fil des années par les Enquêtes spéciales étaient réputés avoir de très bonnes sources dans le crime organisé. Ils ont tous été embêtés par leur propre service de police. Je ne pose pas de question, ici. Je note.
Les policiers des Enquêtes spéciales enquêtent sur les policiers du SPVM : qui enquête sur les policiers des Enquêtes spéciales?
Tant de questions...(NDLR: quand on a trop de question on est porté a penser a un État Politisé,la GRC et la Mafia)

Source.:

Des Policiers déchus du SPVM parlent: Les cadres du SPVM corrumpus



D'anciens policiers accusent le SPVM de fabriquer de la preuve

D’ex-policiers montréalais affirment que le deuxième plus grand service de police municipal au pays fabrique de la preuve afin de faire taire ses employés. Au banc des accusés: la section des Affaires internes du SPVM.
Pour la première fois depuis leur fin de carrière abrupte, le 17 juin 2013, les hauts gradés Jimmy Cacchione et Giovanni Di Feo brisent le silence dans une entrevue qui sera diffusée à l’émission J.E. ce soir, à l’antenne de TVA.
Au début de l’année 2012, l’inspecteur Cacchione, affecté à l’aéroport de Montréal, et l’inspecteur-chef Di Feo, responsable des services à la communauté, allèguent avoir trouvé des cas de corruption au sein des forces de l’ordre.
«Nous étions pour préparer une lettre au ministère de la Sécurité publique ainsi qu’aux médias, afin de dévoiler des cas de corruption à l’intérieur du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM)», affirme Jimmy Cacchione dans une entrevue accordée à notre Bureau d’enquête.



D’ex-policiers accusent le SPVM de fabriquer de la preuve

D'ex-policiers montréalais affirment que le deuxième plus grand service de police municipal au pays fabrique de la preuve afin de faire taire ses employés. Au banc des accusés : la section des Affaires internes du SPVM.
Pour la première fois depuis leur fin de carrière abrupte, le 17 juin 2013, les hauts gradés Jimmy Cacchione et Giovanni Di Feo brisent le silence dans une entrevue qui sera diffusée dans l’émission «J.E.» ce soir à l’antenne de TVA.
Au début de l’année 2012, l’inspecteur Cacchione, affecté à l’aéroport de Montréal, et l’inspecteur-chef Di Feo, responsable des services à la communauté, allèguent avoir trouvé des cas de corruption au sein des forces de l’ordre.
«Nous étions pour préparer une lettre au ministère de la Sécurité publique ainsi qu’aux médias, afin de dévoiler des cas de corruption à l’intérieur du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM)», affirme Jimmy Cacchione dans une entrevue accordée à notre Bureau d’enquête.

Écoute électronique

Ce que les deux collègues ne savaient pas, c’est qu’alors qu’ils discutaient de l’inaction de leur employeur dans cette affaire, ils faisaient l’objet d’écoute électronique de la Gendarmerie Royale du Canada.
La direction du SPVM les soupçonnait d’entretenir des fréquentations douteuses, entre autres avec le controversé Luigi Coretti, de l’agence de sécurité BCIA. Coretti a été accusé de fraude dans cette affaire, puis les procédures contre lui ont été abandonnées.
À ce jour, les deux ex-policiers, qui cumulent 58 ans d’ancienneté dans la force constabulaire, n’ont toujours pas reçu la preuve qui leur a valu un congédiement (annulé par la suite par une entente confidentielle).
Le duo de policiers qui se décrit comme «des lanceurs d’alerte» croit toutefois après avoir consulté certains documents que la section des affaires internes du SPVM a fabriqué de la preuve afin de les faire taire.

Fabrication

«Aujourd’hui il y a de la fabrication d’allégations et à partir de ça on initie des enquêtes afin de museler les gens qui ont des choses à dire», raconte M. Cacchione.
À titre d’exemple, selon les documents consultés par notre Bureau d’enquête, le SPVM allègue que Giovanni Di Feo est le parrain du fils de Luigi Coretti. Or, lorsque joint au téléphone, ce dernier nous a affirmé ne pas avoir d’enfant.
«Les directeurs adjoints qui sont en place connaissent cette façon de faire», estime Di Feo.
Dans le cadre du reportage diffusé à 19h30 ce soir à TVA, trois autres cas similaires sont abordés.
Le directeur du SPVM, Philippe Pichet, nous a accordé une entrevue afin de justifier les pratiques controversées des Affaires internes du SPVM.
«Nos policiers ne fabriquent pas de preuve, pas à ma connaissance» a-t-il affirmé. «Si j’en avais la preuve, je référerais tout de suite le dossier à un autre corps de police pour qu’il y ait enquête là-dessus», a assuré le chef de police.(Allo GRC ?)
 

 

Source.:

 

vendredi 10 février 2012

L'Affaire Davidson: ce qu'ils on dit est vrai et sera jamais cautionné par le SPVM !

Supposons mettons: La police tend un piège a un policier ?

 Et il tombe dedans,.........et prend sa retraite ,...............mais...?

À vendre: une liste de 2000 informateurs ?


Un policier expérimenté au sein de l'unité des renseignements du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), qui a récemment pris sa retraite, fait l'objet d'une enquête depuis l'automne dernier pour avoir tenté de vendre des informations hautement confidentielles à la mafia sicilienne, a rapporté TVA Nouvelles hier.
Des informations hautement confidentielles, notamment des listes contenant le nom d'informateurs de police et d'agents-sources, sont gardées à la Place Versailles, au siège du SPVM.
Le policier aurait offert au crime organisé italien des renseignements qui figuraient sur ces listes hautement secrètes, plus spécifiquement à un membre important de la mafia sicilienne(qui aurait coulé l'information,........parce qui n'avait pas le choix ?..........ou parce qu'il ne voulait pas tomber dans ce prétendu piège,.........on ne vend pas,on donne et on s'en sert ,comme les Hells qui vol un portable qui contenait ,le/les noms de certaines taupes du SPVM ,dont Claude De Serres,il y a deux ans,qui était un agent-source ,un agent civil d'infiltration, un ACI,et qui fut liquider)
Radio-Canada a précisé, hier, qu'il aurait soumis quatre noms de sources à un contact du côté de la mafia pour montrer qu'il était sérieux et pour entamer des négociations. La société d'État a ajouté que «son stratagème aurait échoué».
Des sources ont affirmé à TVA Nouvelles que lorsque le policier, un sergent-détective, aurait eu accès à ces informations «sensibles», il était encore au service du SPVM. Toutefois, quand il aurait tenté de fournir les informations aux criminels, il avait déjà pris sa retraite.

Écoute électronique
Ces mêmes sources affirment que c'est une écoute électronique qui aurait permis de découvrir que la taupe présumée aurait offert des informations au crime organisé en échange de plusieurs centaines de milliers de dollars. C'est à la suite de cette écoute que l'enquête aurait été déclenchée.
Le policier était apparemment l'un des rares à avoir accès à la base de données. Le policier était même l'un des responsables de celle-ci parmi une petite équipe.
Cette liste pourrait contenir plus de 2000 noms d'individus qui fournissent de l'information aux policiers lors d'enquêtes, notamment sur le crime organisé.
Il y aurait deux façons de consulter ces documents, en version papier ou encore sur un support informatique.
«C'est toujours décevant de voir des choses comme celles-là qui se produisent. Mais, bien entendu, je peux vous assurer que nous prenons toutes ces informations et toutes ces allégations au sérieux», affirme Didier Deramond, du Service des enquêtes spécialisées du SPVM. «Ce n'est pas une question de faille de système informatique, loin de là. C'est une question personnelle, d'individu qui a porté certaines actions.»
Employé discret
Selon les informations obtenues par TVA Nouvelles, le policier est décrit comme un employé discret et de confiance. Il avait été embauché au SPVM en 1978 et il était affecté à la section des renseignements depuis 1992.
Pendant 20 ans, il a eu accès aux renseignements les plus confidentiels du service de police de la plus grande ville du Québec.
Les enquêteurs des crimes majeurs du SPVM n'ayant pas terminé leur enquête, il n'y a aucune accusation criminelle déposée contre lui.(donc il ne sera pas protégé et est exposé a un règlement de compte)
«Un effet épouvantable»
Richard Dupuis, ancien enquêteur au service des enquêtes criminelles du SPVM, a travaillé auprès de ce policier pendant trois ans. En entrevue à TVA Nouvelles, il se dit très surpris de ces allégations, croyant que cet individu était «au-dessus de tout soupçon».
«C'était une personne à son affaire, plutôt calme. Je suis très surpris de voir que la cupidité a pu l'amener à commettre un tel geste», dit M. Dupuis.
La divulgation de la liste comprenant le nom de tous les informateurs est un geste très grave, affirme M. Dupuis. «C'est la base du renseignement criminel. Lorsqu'on recrute un informateur, on lui garantit que son identité ne sera pas dévoilée. Là, on a tenté de vendre les informations, ça a un effet épouvantable.»
Il ajoute que le SPVM tentera de se dissocier des gestes de cet ex-policier. «On se souviendra, dans d'autres cas de policiers corrompus, qu'on a rapidement sorti ça de façon publique», ajoute M. Dupuis.
Le SPVM, la Fraternité des policiers de Montréal, la Fédération des policiers municipaux du Québec et le ministère de la Sécurité publique ont tous refusé d'accorder une entrevue au Journal à ce sujet. Le porte-parole du Parti québécois en matière de sécurité publique, Bertrand Saint-Arnaud, ne nous a pas rappelé, tandis que la porte-parole du deuxième groupe d'opposition, Sylvie Roy, n'était pas disponible pour commenter.


Le 18 janvier 2012, Ian Davidson( cet ex-policier,retraité,côtoyant la mafia),s'est suicidé(lui-même apparament ?),son corps a été retrouvé dans une chambre de l'hôtel Best Western Châteauneuf, en bordure de l'autoroute 15, à Laval.Le secret de toute cette histoire sera bien garder,ou comme dirait la mafia , coulé dans le ciment ,l'honneur est sauvé pour les deux camps ! Mais sa selon des informations obtenues par le journaliste Alain Gravel, sa conjointe et sa fille de 10 ans l'avaient accompagné au Best Western Châteauneuf de Laval pour tenter de le mettre en sécurité(elles en savent plus qu'on pensent). Elles ont toutes deux passé la nuit avec lui.Chose certaine, sa famille craignait suffisamment pour sa sécurité pour le mettre en toute hâte à l'abri dans une chambre d'hôtel.

 L'appât du gain reste le mobile soupçonné derrière cette tentative(on sait pas ? peut-être que noui? peut-être que non?) de monnayer une liste de plusieurs centaines d'informateurs. On croit que Davidson avait l'intention de vendre la liste au plus offrant, d'empocher le magot et de s'installer au Costa Rica, où il aurait des assises. Son frère Alexander J. Davidson y posséderait une luxueuse résidence.Selon des sources policières, plusieurs membres de la mafia montréalaise y auraient élu domicile.Pour le Costa Rica: On estime que 4,5 milliards $ sont perdus annuellement en évasion fiscale venant du crime et de la corruption. Concernant l'argent blanchi, on parle de 1,6 milliard $, l'équivalent de 20 % du produit intérieur brut (PIB) de l'économie du pays.

Mais en Octobre Davidson, n'a pu se rendre au Costa Rica avec un autre policier(Taupe du SPVM ? ou ami de Davidson ?),car on l'a intercepté a l'aéroport Trudeau!
Était-t'il payer pour la liste ou pour les noms divulgués ou laisser sur support informatique chez eux ,comme ceux trouvés dans sa jeep ou on a confisqué son ordinateur portable avec une liste de noms d'informateurs civils (la nuit de son suicide, a l'arme blanche)? Était-il a la recherche de contacts d'ex-informateurs ,déja rendu au Costa Rica,son Frère,......... ? Le Costa Rica était la récompense et l'asile
Selon Claude Poirier ,Davidson il aurait eut des entrés ou des contacts (de policiers mafieux) pour être en contact avec la mafia.Tout comme l'ex-président des USA , George W. Bush ,père, avait des contacts avec Ben Laden et sa famille.Tout le monde saient ça,car la CIA après avoir formé Ben Laden au terrorisme,il l'ont laissé a lui-même!Donc,quand sa sert plus a rien ,et plus aucune information sur l'ennemi vous reviens,on l'élimine.
Pour Davidson,si sa chambre d'Hotel fut réserver par une femme (et non lui) et qu'il a laisser une lettre a sa mort, a son Hotel,c'est qu'il se rendait la pour en finir,car plus personne ne voulaient dealer avec lui. Parce qu'abandonner par ceux avec qui il faisait affaire ? Ou que Davidson même s'il avait les entrés pour cotoyer le milieu de la mafia,ceux-ci (dont Tony Mucci par l'entremise de son avocat)n'ont pas accepter la liste d'informateurs(car c'est mieux une liste d'infiltrateurs),par peur du risque que ça représente.Tony Mucci ? (Celui qui avait tiré sur le journaliste Jean-Pierre Charbonneau)Et que Davidson ,ex-SPVM n'aurait jamais eut la chance de quitter le pays incognito.Il était un lien ,rien de moins.Le Costa Rica c'était du vent ,que laissait miroiter ces supposés amis.Et le commandant à la retraite, Richard Dupuis, lui a eu sous ses ordres Ian Davidson, Benoît Roberge et Philipe Paul, aurait dû se garder une petite gêne. Ce n'est pas parce que tu es nommé à la tête d'un groupe que tu es compétent.xLors de la diffusion de l'émission Policier criminel , ce commandant dit que Benoît Roberge lui a communiqué le renseignement qu'un tueur des Hells Angels revenait au Québec et que sa source d'information demandait d'attendre un peu avant de procéder à l'arrestation, afin de protéger sa propre vie,c'est bizarre.


Celui qui a aidé Ian Davidson à marchander la base de données contenant le nom de milliers d'informateurs confidentiels était encore plus proche qu'un ami.
C'était son fils, Christian.
C'est Christian, un travailleur de la construction dans la vingtaine, qui a approché le gang de Kurdes, par courriel. Il a également été enregistré discutant de cela avec son père par les policiers qui étaient à ses trousses, entre avril et octobre 2011.
C'est ce qui ressort d'informations recoupées par les différents journalistes de La Presse qui, cette semaine, ont travaillé sur cette affaire troublante et fascinante, celle d'un policier sans histoire qui, après 33 ans de carrière, décide de monnayer des données hypersensibles.
Rien n'indique, selon ce qu'on sait, que le fils ait eu accès au contenu de la base de données. Il aidait son père - qu'il présentait comme son «patron» - à marchander ces informations.
Et comme lui, Christian Davidson n'a jamais été accusé dans cette affaire.
Pourquoi?
Parce que monter le dossier d'accusation a représenté un véritable casse-tête pour les policiers et pour la Couronne après que Davidson eut été interpellé à l'aéroport de Montréal, en octobre.Plusieurs personnes s'étonnent aussi que ceux qui ont réussi à coincer M. Davidson ne l'aient pas mis aux arrêts immédiatement pour éviter toute nouvelle fuite de renseignements. Les règles de divulgation de la preuve sont telles que la Couronne aurait probablement dû remettre à la défense le matériel informatique récupéré, au prix d'efforts dignes d'un thriller, par les policiers affectés à l'enquête.Ian Davidson n'avait pas seulement tenté de remettre aux criminels la liste de noms d'informateurs, mais aussi une bonne partie du contenu des enquêtes en cours. Le discours officiel au SPVM n'en donnait pas toute l'envergure. Pour leurs révélations, les deux journalistes ont remporté le prix du meilleur scoop de l'année 2014 de l'Association canadienne des journalistes en juin dernier.

Certains diront que de stooler des collègues de travail corrumpu au SPVM ,ça revient par vous mettre dans l'embarras et de vous retrouver en policier corrompu  vous même,mais par des manigances inventées de toute pièce pour vous fermer la gueulle !
REF.:

mardi 7 février 2012

Affaire Davidson: Si on ouvre la Boîte de Pandore,d'autres policiers couleront

Taupe - Le PQ réclame un enquêteur indépendant sur Ian Davidson
Ian Davidson 
© Agence QMI / Archives
Taupe

Le PQ réclame un enquêteur indépendant sur Ian Davidson !


MONTRÉAL – Le député du PQ Bertrand St-Arnaud réclame une enquête indépendante sur le passé trouble de la « taupe » du Service de police de la ville de Montréal (SPVM) qui s'est enlevé la vie le mois dernier, Ian Davidson. À la lumière des informations mises au jour par TVA Nouvelles dont un reportage diffusé lundi a suivi la trace de M. Davidson jusqu'au Costa Rica, le Parti québécois a publié un communiqué sur l'importance de fouiller le passé de l'ex-détective de 58 ans pour rétablir la confiance du public.


« Cette affaire impliquant un ancien dirigeant du Service de police de la Ville de Montréal soulève des questions extrêmement troublantes et chaque jour nous apporte son lot de nouvelles révélations », a fait savoir par voie de communiqué le Parti québécois.
Le député de Chambly et porte-parole de l'opposition officielle en matière de sécurité publique a fait sa demande au ministre de la Sécurité publique, Robert Dutil, mardi.
« La confiance du public est ébranlée, a ajouté Bertrand St-Arnaud. Il importe de faire la lumière sur tout ce qui s'est passé dans ce dossier depuis ce jour d'avril 2011 où le SPVM a appris qu'un individu tentait de monnayer la liste hautement confidentielle de ses informateurs. »
Le péquiste cherche à avoir des réponses sur l'histoire du policier qui a travaillé 33 ans pour le SPVM et qui jusqu'à maintenant suscite plus de questionnements qu'elle apporte d'éclaircissements.
« Pourquoi Ian Davidson n'a-t-il pas été arrêté alors qu'on savait qu'il possédait des informations pouvant mettre la vie de centaines de personnes en danger? », a demandé le député. [...] Est-ce que d'autres policiers du SPVM ont aidé Ian Davidson? »
D'après M. St-Arnaud, il est « élémentaire de confier cette enquête à un enquêteur indépendant puisque des membres du SPVM sont directement impliqués ».
Le député péquiste affirme que le ministre Dutil doit mandater un enquêteur pour que le public puisse « avoir confiance ».





Le 8 Février 2012:

Une enquête de la SQ déclenchée 

Si le FBI a mal paru,dans l'Affaire du 911 ,par rapport a la CIA , aux États-Unies,..........maintenant c'est le SPVM qui a mal paru dans l'Affaire Davidson , par rapport au SCRS ? , au Québec ! 

Qui ,nous protégera de la corruption au Québec ?

Le ministre de la Sécurité publique, Robert Dutil(celui qui devrait penser qu'on est une république de banane), a demandé à la Sûreté du Québec d’enquêter sur la présumée taupe du SPVM, Ian Davidson.C’est ce qu’a confirmé la SQ, mercredi.
Le Parti québécois avait réclamé mardi la tenue d’une enquête indépendante pour fouiller le passé de l'ex-détective de 58 ans, qui s’est enlevé la vie le mois dernier, dans une chambre d'hôtel de Laval.
Ce policier expérimenté issu de l’unité des renseignements du SPVM, qui avait récemment pris sa retraite, faisait l’objet d’une enquête depuis l’automne dernier pour avoir tenté de vendre des informations hautement confidentielles au Calabrais Tony Mucci, un membre influent de la mafia montréalaise.

Le 11 Fev., 2012,
Le policier du journal, "Robert Poeti", dit lui: "Si les journalistes ont raison et protègent leurs sources,croyez-moi que les policiers feront de mëme et se protégeront . La rivalité colorée des policiers sera vite attisée par cet exercise vain et malsain.Peut-être est-ce la venue du nouveau chef au SPVM  ,Marc Parent ,qui avec son coup de balai rapide dès son entrée en poste ,en a frustré certains faisant délier leurs langues sur le dramatique dossier Davidson ??? Chose certaine,c'est une chose qui aurait dû se régler a l'interne par le chef lui-même . " "A mon avis,le déclenchement de cette enquête est une grave erreur et des efforts des enquêteurs devraient se concentrer  sur la vraie crise "
* D'autres personnes auraient -elles pu consulter sur support informatique des infos , des listes d'informateurs ou autres infos plus cruciales laisser dans l'hotel et dans le véhicule abandonné dans le stationnement a Laval ? 
C'est la que réside la vraie crise !


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* Hummmm:
La pyramide du crime, de la mafia resta en haut ,...............et brulera les délateurs ou collaborateurs ou ceux qui oseront gravire les marches de la pyramide pour la déstabiliser et se retrouveront dans les filets policiers et de la justice ,qui eux aussi controlé par l'Oeil au-dessus de la pyramide du crime !




* L'Oeil de la pyramide contôle l'argent: 
ça veut dire...........,juges,avocats,polices,politichiens,caïd,délateurs,cies,pays,et retourne en boucle avec la NSA,Bildergerg,illuminati,Oligarques,Banques offshore,Hackers, .......

Seigneurs de guerre etc .............Ad vitam æternam , sacramane !


*  En réalité la pyramide est inversée et c'est votre conscience qui fera la différence dans votre agissement ,pour faire tourner le Monde !
Allez Up ,...........pour les Autres, aller en Enfer,.........vous y êtes déja Messieurs !



La Mafia:
Les quatre grande mafias italiennes sont toutes alliées.
La Sacra Corona Unita est plus une mafia national mais elle a des contacte avec d'autre comme les mafias albanaise, serbes et russes. Tandis que la Cosa Nostra qui elle est diminué n'est plus très actif au jour d'aujourd'hui. Mais durant la guerre des mafias dans les année 20 de nombreuses familles s'exilèrent au États-Unis. C'est pour cela que 3 des grandes mafias (Cosa Nostra, Comorra, 'Ndrangheta). Même si aujourd'hui au États-Unis, la mafia n'est plus comme avant car elles sont maintenant considéré plus comme des gangque autre chose.
La Cosa Nostra a des liens avec les cartels colombien pour le trafic de drogue. Elle a été internationalisée par les membre de la mafia qui ont immigré vers la fin de 19ème et au début de 20ème siècle. Lucky Luciano est considéré comme l'élément fédérateur de Cosa nostra aux États-Unis. Dans les Balkans , elle a développé un énorme marché noir d'armes de guerre et d'explosifs, dont des missile sol-air. Ils sont aussi des intermédiaire en Amérique latine et en Turquie.
La Camorra est restée longtemps à l’écart des grands marchés internationaux criminel. Mais elle s'internationalise en Espagne, en France en Allemagne en Écosse et au Maroc. En France il y a eu beaucoup de trafic de cigarettes du côté du port de Marseille. Mais elle est aussi présente dans le 12e arrondissements de Paris pour les usines de textile, mais aussi a Nice, Bordeaux et Montpellier. En Espagne, de nombreux mafieux investissent dans le tourisme, achètent des hôtels, des restaurants et des boites de nuits.
La 'Ndrangheta est présente sur beaucoup de territoire dont l'Allemagne, la France, les Pays-Bas, Au Canada, en Australie etc. Par exemples en France, elle investie dans la cocaïne et dans l'immobilier. Dans tous les pays où est présente la 'Ndrangheta, il y a beaucoup sde trafic de cocaïne ou autres drogues. Mais elle gère aussi par exemple le trafic de diamants en Afrique du Sud. En Amérique du Nord les populations la défini comme : « Elle est invisible comme l’autre côté de la lune ».
REF.:

Ref.: JournaldeMontréal,le commentaire de Robert Poeti, "Le policier du journal",page 9. , journal de 11 Fév 2012.




REF.:journaldemtl,

journaldemontreal.com,