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mercredi 6 mai 2020

Les millénariaux vivent leur première crise financière



Les millénariaux vivent leur première crise financière

 

La crise de la COVID-19 nous affecte tous, de toutes sortes de manières et à divers degrés. Du point de vue de la santé, on nous rappelle chaque jour que ce sont les vieux qui sont les plus vulnérables. Sous l’angle financier, c’est moins évident, mais ce pourrait bien être les jeunes adultes qui sortent de cette crise les plus amochés.
Oui, les millénariaux, les 24-38 ans ! Ils risquent de payer longtemps. Pourquoi eux plus que les autres ?
D’une crise à l’autre
C’est toujours délicat de se lancer dans ces analyses générationnelles, on peut facilement tomber dans les généralisations. On s’en excuse à l’avance.
On conviendra quand même de ceci : débarquer sur le marché du travail au début d’une sévère récession, ce n’est pas ce qu’on appelle un alignement favorable des planètes. Les jobs sont plus rares. Les salaires sont moins élevés.
Aux États-Unis, des économistes de l’Université Yale ont estimé qu’un travailleur démarrait avec un salaire amoindri de 10 % quand sa carrière débutait en période de chômage élevé, rapportait récemment le média financier Bloomberg (Millennials are getting crushed by back-to-back economic crises). Les effets de ce mauvais départ persisteraient une dizaine d’années.
À cet égard, les Y sont particulièrement malchanceux. Les plus vieux d’entre eux, ceux qui ont aujourd’hui autour de 35 ans, ont intégré le marché de l’emploi alors qu’on entrait dans ce qu’on appelle la Grande Récession. De notre point de vue actuel, la crise financière de 2008-2009 ne nous apparaît pas si pire, mais il y a une raison pour laquelle on l’a baptisée ainsi : c’était gros et ça a fait mal.
La réalité a changé
C’est vrai que la situation économique s’est embellie par la suite, tellement que pour un rare épisode dans l’histoire, on s’est retrouvé récemment en situation de plein emploi. Le contexte a été favorable aux jeunes.
Ils ont été très convoités par les employeurs, ce qui a inspiré une abondante littérature (et une industrie du coaching) sur la façon de gérer cette main-d’œuvre étiquetée d’« exigeante » et de « capricieuse ».
Non, les jeunes ne sont pas tous programmeurs, concepteurs de jeux vidéo ou influenceurs. On oublie que les effectifs des bars, des restaurants et des entreprises touristiques sont encore largement composés de millénariaux, maintenant au chômage.
Génération financièrement fragile
Au moment où on pénètre dans l’inconnu, les Y sont ceux qui reposent sur les assises financières les plus fragiles.
La queue de cette génération intègre à son tour le marché du travail, dans une ambiance de mort, où plusieurs seront condamnés à vivoter pendant un temps.
La tête de la cohorte, les trentenaires, est constituée de jeunes parents. S’ils ont la chance d’être propriétaires d’une maison, c’est au prix souvent d’un endettement massif. Ça a beau être de la « bonne dette », c’est lourd à porter quand un des salaires du ménage est menacé.
De la façon dont les choses se profilent, ce n’est pas bientôt qu’ils pourront se vanter, comme leurs aînés de la génération X, d’avoir vu doubler leur investissement immobilier. Si la valeur des maisons ne baisse pas dans un proche avenir, elle va certainement stagner. Ce n’est pas là qu’ils vont s’enrichir.
Une génération de « prudents »
Ce ne sera pas non plus à la Bourse, il faut croire, car cette pandémie pourrait faire des Y des investisseurs très prudents, trop prudents. Déjà qu’ils n’étaient pas portés sur la chose, échaudés par la crise d’il y a dix ans. Cette nouvelle tuile pourrait bien implanter chez eux une aversion aiguë et permanente au risque.
Les millénariaux américains, selon une statistique tirée du New York Times (Young adults, Burdened With Debt, are now facing an economic crisis), détiendraient aujour-d’hui seulement le tiers des actifs boursiers qu’avaient les X au même âge. Raison : peur du risque.
Plus près de chez nous, une étude de la Commission des valeurs immobilières de l’Ontario indique la même chose. Les jeunes Ontariens épargnent, mais n’investissent pas beaucoup, et ce, malgré les technologies qui facilitent l’achat de titres boursiers et la construction de portefeuilles de placement. Ils ont raté l’une des périodes les plus profitables de l’histoire de la bourse [2010-2020]. Ils vont probablement manquer la prochaine occasion.
Ah oui, et la dette pharaonique que nos gouvernements creusent en ce moment, bien les jeunes vont devoir la payer longtemps.

REF.:

vendredi 25 janvier 2013

C'est le même gars ;-)

-Le gars qui te te répond que César parle aux chiens (aux animaux),sent le chien ?

-Que,......... si tu dis que tel manière d'intervenir pour élever un chien vient de l'éleveur réputé du nom de Doug Kellington(au lieux de César Millan)ça va mieux passer ;-)

-Que tu dis que tu as un super cell Android samsung passe mieux que si tu dis que tu as un iPhone(a cause du réputé iTunes Store ou Apps Store) ,pour éviter que le clown te dise que Apple c'est de la marde,ainsi que Mac OS-X ou que t'as pas mit d'antivirus dedans ! C ki l'cave :-)

-Faut pas que tu dise que tu as une auto KIA ,même si c'est un super voiture économique ,comparé a une Mazda 5 ,que le concessionnaire a rappeler pour les Brake ! Estrie ,j'souhaite qui a rentré dans l'mur !

-En fin de compte,le gars de cette génération Y (celle qui a un Y a la place de la craque de fesse),et qui devrait porter des bretelles comme mon grand-père;c'est le même gars !

-Le gars qui coupe pas le sac de lait ou qui change pas le rouleau de papier de toilette,y s'essui avec ses bobette a place et se gratte le derrière toute la journée a cause de t'ça !

-Le gars qui se donne la grippe en ne se lavant pas les mains ,qui embrasse tout ce qui bouge bien,et qui se les mets dans le nez juste après avoir gratté ses hémorroides piquantes a la sauce B.B.Q. ;-)

-Le gars qui chie fouaireux et qui pense que le papier de toilette va essuiyer complètement son anus slaque,et qui te parle qui vient d'attrapper des hémorroides piquantes ? Y pensait pas qu'une débarboullette existait,et n'a pas lu le livre de 1986 : Linge de corps et linge de maison, Ethnologie française, N°3, Tome 16, publié en juillet-septembre 1986.

-Le gars qui remplit le sac de poubelle pour que tu le vide ou le change pour un nouveau,
 vide ;-)

-le gars qui te dis qui a pas de besoin de iPhone3G a sa sortie et qui te dit qu'il reste avec son flip,et qui en a un (cell touch screen)5 ans après,c ki l'cave ;-)

-Le gars qui te dis,non je met des cd dans mon lecteur laser ,j'ai pas de besoin de mettre ça sur un disque dur de laptop,et qui a un disque externe(avec un cable USB-2 parce que le 3 est cher,de 10 pieds de ralentissement) 5 ans après ,et qui est déja en retard pour graver ça sur BD(Blu-Ray Disc) 5 ans plus tard encore ,parce qui va capotter quand son disque dur externe va planter bien avant le BD de 50Go(parce que ce sont les pièces mobiles qui plante sur un disque dur,un disque logique(Nor) SSD aussi plantera),y suivra toujours le troupeau ,comme Micromoue.Microsoft= après les fenêtres(windows),c'est la fenêtre (window),alors que les geeks disent que c'est windoz qui dort au gaz.

- Le gars qui suit la parade ,sans savoir qui en fait partie.C'est mieux de savoir quand qui faut changer de parade ,ou bien d'en organiser une ,sinon,d 'en assister une , a sa création !

-Le gars faux qui sonne faux ,qui achète tout ce qui est nouveau ou extrême ,qui capotte sur 360(console,lunette et gomme),et qui a vu toute les vues au box office du cinéma.C'est lui qui te dit et que tu crois qui triche pas sa femme.........,qui est fidèle,qui sera a l'heure,........qui te dit: fait moi confiance,ou bien je vais le faire demain,.....qui connaît tout,et parle comme le journal de mouriale,qui collectionne les amis virtuels sur fakebook autant que dans sa vie réel,.........qui dit être sur le party en se scappant l'estomac l'intestin les neuronnes et le foie sans avoir jamais eu la Foi avant sa mort !

-Le gars qui te dis on a juste une vie a vivre ,qui faut la vivre a 100 mille a l'heure,comme sa titte toto,et qui s'est réincarné (pour la 13ième fois)juste après sa mort ,dans son propre enfant ou celui qui sa fille.

-Le gars qui se parle et se répond,.....mais qui a presque compris qu'il est né dans un mode unique en dehors du monde miroir.Car son action altère son environnement humaine par sa réciprocité et meurt dans son illusion de sa fin spirallée,pour véhiculer la pensée vers l'esprit .


-Le gars qui pense qui n'avait pas choisit ses parents,parce que c'est son âme qui le canalisait dans son moule déja conçu par la vie réactionnelle.

-Le gars qui mélange le concept : action/réaction par action/érection !

-Le gars qui pense que sa bite est le centre du plaisir ,tout près du point G de sa femme,et que c'est son cerveau,qui est rendu la !

-Le gars qui cumule son argent,et annule ses sentiments !


 -Le gars qui se détruit les tympans a coup de mp3,sans se rendre compte que c'est son dernier sens a mourir ? il n'entendra pas dire que sa femme l'aime,sur son lit de mort  !

-Le gars né dans les année 90 ,qui met sa musique des années 70 dans l'tapis et qui pense qui est né en 1970 en écourrant tout le monde avec sa musique démodée.
OK...........moi chu né dans les années "Boomers" et en 1969 j'était la pour découvrir et vivre la création de la musique des année 69 et la position aussi !

-Le gars,............. pilote d'avion qui est mort (avec sa soleil)ou le Juge de cour qui fait un crash (devine la gaffe)et se tue ou tue une vie ; et après,sa famille proche dit, comment il était professionnelle et consciencieux dans sa profession,alors qui aimait prendre un coup solide ,sur la job ,moué j'ai déja peur !

-Le gars qui accepte le ca$h de n'importe qui et entre aisément dans une gamique frauduleuse d'enveloppe brune a la sauce Libéral ,en disant "je l'savait pas" ou "Jm'en rappelle plus ", devant le JUGE ?

-Le gars qui finit par faire confiance a une taupe délateur de la Squreté ,et qui n'écoute pas sa pensée instantanée.





-Le gars qui se donne la mort en pensant qu'il le méritait.

-Le gars qui applique ce qui a vu dans les films d'horreur ou les jeux video et que ,quand il est dans son auto et dit "vroummmm vroummm" , quand qui dépasse une autre voiture.
 


-Le gars qui pense qui va arrivée plus vite sur l'autoroute en usant ses brakes,son moteur,ses pneus et qui arrive en même temps a la lumière rouge que vous en face d'une station d'essence avec le prix du gaz qui viens d'augmenter de 10 cents le Litre.

-Le gars qui sait qui est schizo,mais qui consulte pas.


-on pourrait dire par rapport a ce gars ,etc,etc,etc....................et , et cetera n'est pas un groupe de musique.


REF.:Google de la,

dimanche 12 février 2012

Faut investir 17 millions $ pour contrôler l'intimidation chez les "Y

En Effet la génération Y , a des probl^mes de comportement! Des caméras dans les bus de la STM,au caméras dans le belle ville de Montrèal, et j'en passe!
Maintenant c'est :

Le gouvernement Charest a annoncé dimanche de nouvelles mesures contre l'intimidation dans les écoles.

Il débloquera 3 millions $ pour mettre sur pied une nouvelle campagne nationale de publicité diffusée notamment à la télévision et sur le web.
Quebecor et Télé-Québec ont déjà manifesté leur intention de participer à la cause et devraient diffuser trois messages d'une minute, sur le thème «l'intimidation, c'est fini. Moi, j'agis».
La ministre de l'Éducation Line Beauchamp a également confirmé la poursuite du plan d'action instauré en 2008 visant à instaurer un système de monitorage de la violence dans les écoles. Le programme qui a coûté 17 millions $ depuis son instauration continuera d'être financé à la hauteur de 6 millions $ par année.
Un appel à la mobilisation
Cette campagne est «un appel à tous les Québécois, afin de faire disparaître un phénomène qui existe depuis toujours, mais que nous ne pouvons plus tolérer», a déclaré dimanche Jean Charest.
Le premier ministre a tenu à rappeler que les efforts ne se feraient pas seulement dans les cours d'écoles, mais aussi auprès des parents des victimes d'intimidation. La sensibilisation concernera aussi les jeunes intimidateurs.
Line Beauchamp a invité les membres du personnel scolaire, les députés, les élus municipaux, les chefs syndicaux et d'organismes sociaux à signer la Déclaration québécoise d'engagement contre l'intimidation et la violence. Ce document appelle les signataires à intervenir directement lorsqu'ils sont témoins d'intimidation.
« Des études sur le sujet ont révélé que neuf fois sur 10 les actes d'intimidation se font devant un public et que les deux tiers du temps, il est possible d'arrêter ce phénomène s'il y a intervention immédiate », a affirmé la ministre.
Le ministre de la Sécurité publique Robert Dutil et le ministre de la Santé et des Services sociaux Yves Bolduc ont tous deux fait connaître leur volonté de faire front commun pour sensibiliser et informer la population québécoise.
Une nouvelle législation
La ministre Beauchamp a aussi annoncé son intention de déposer, dès la reprise des travaux parlementaires à l'Assemblé nationale, un projet de loi afin de modifier la Loi sur l'instruction publique et la Loi sur l'enseignement privé afin d'établir des balises et d'intégrer une notion d'obligation d'intervention en cas d'intimidation. Le contenu de la loi devrait être révélé la semaine prochaine.


Un pas vers la solution Les réactions ont rapidement déferlé à la suite de l'annonce de la nouvelle stratégie de lutte contre l'intimidation à l'école du gouvernement Charest.
C'est un pas vers la solution, ont reconnu la présidente de l'Association québécoise des directions d'écoles du Québec, Danielle Boucher et le président de l'Association montréalaise des directions d'établissement scolaire, Gaétan Neault.
«Nous sommes prêts à travailler avec ces outils proposés, et nous sommes persuadés que l'ajout de nouvelles ressources nous permettra de lutter contre l'intimidation et la violence à l'école», a affirmé Danielle Boucher.
«Ces mesures permettront de mieux faire prendre conscience aux jeunes que cette violence mine la réussite de tous les élèves et qu'elle affecte ces jeunes pour la vie», a ajouté M. Neault.
La Fédération québécoise des directions d'établissement d'enseignement (FQDE) a salué les bonnes intentions du gouvernement, mais a émis des réserves sur les répercussions attendues. «Sans ressource directe dans l'école, la stratégie ne sera qu'un nouveau vœu pieux du gouvernement», a lancé Chantal Longpré, présidente de la FQDE.


Un roman pour contrer l'intimidation
Dominique Hardy / Agence QMI Une auteure du Lac-Saint-Jean s'est inspirée de 120 témoignages de victimes d'intimidation pour écrire son nouveau roman, «Les coulisses de l'intimidation», visant à contrer ce fléau qui laisse des traces durant la vie adulte.
«J'ai vécu l'enfer», confie Chantale Potvin, elle-même victime de ce phénomène amplement dénoncé ces derniers mois. Lorsqu'elle était jeune, ses camarades de classe se moquaient de sa tache de vin au visage en plus de la comparer à sa sœur jumelle. Par chance, elle avait son grand frère pour veiller sur elle. Mais tout le monde n'a cependant pas cette chance.
«Le but du roman, c'est de dire aux gens comment ça laisse des traces toute une vie, l'intimidation», explique-t-elle. L'histoire tourne autour d'un personnage fictif, Michel, âgé dans la cinquantaine, qui tente de reconstruire sa vie après avoir été victime d'intimidation dans sa jeunesse.
«Depuis le début de l'écriture, il y a un an, je me suis rendu compte que tout le monde est concerné par ça, souligne Chantale Potvin, aussi enseignante au secondaire. On a beau ne pas en avoir vécu, on en a été témoin, on en a fait subir», selon elle.
Elle a été touchée par le témoignage d'un homme de 32 ans qui a plus tard mis fin à ses jours, incapable de chasser les marques de l'intimidation dans son enfance.
«J'espère qu'un réalisateur de film se penchera aussi sur la question», souhaite-t-elle. «Les coulisses de l'intimidation» est notamment disponible sur le site web de l'auteure www.chantalepotvin.com.


REF.:

jeudi 12 janvier 2012

La société ,la Télé,la radio,la publicité ,les jeux video entretiennent une image d' hostilité et.....

Jeux violents - Pensées hostiles et comportements agressifs
 
© Shutterstock
Jeux violents

Pensées hostiles et comportements agressifs,chez l'homme ;tandis que chez la femme ,c'est l'image d'une princesse a la recherche du prince charmant(régimes amaigrissant,prothèse mammaire...) !

  Les jeux vidéo violents suscitent des pensées hostiles chez ceux qui y jouent, ce qui les entraîne à avoir un comportement plus agressif avec les autres, selon une étude menée par des chercheurs de l'Université de Grenoble, dévoilée mercredi.Les générations Y et C sont enfermées dans ce cercle vicieux,par tout ce qui touche a notre système de consommation ,et qui est véhiculé par la TV,radio,publicité,jeux video,en fin de compte notre société a nous que nous créons pour attirer le consommateur dans ce monde de facilé et d'illusion,pour assouvir son Égo !

«Ce que nous avons montré, ce n'est pas le lien entre jeux vidéo violents et agression, qui a déjà été prouvé des dizaines de fois, mais c'est à quoi ce lien est dû», a expliqué à l'AFP Laurent Bègue, professeur de psychologie sociale à l'Université Pierre-Mendès-France, et coauteur de l'étude.
Selon ces recherches, révélées mercredi par Le Dauphiné Libéré, l'influence des jeux vidéo violents sur le comportement des joueurs s'explique par les «imputations d'hostilité aux autres».
En clair, «après avoir joué aux jeux vidéo, on s'attend à ce que, dans des situations de conflit, les autres aient un comportement agressif, ce qui prépare à être agressif soi-même», explique M. Bègue.
Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont demandé à 136 étudiants (hommes et femmes) de jouer à des jeux vidéo violents ou non violents pendant 20 minutes.
On leur demandait ensuite de lire une histoire simple, mettant en scène une situation de conflit potentiel, et d'imaginer comment allaient réagir les protagonistes de cette histoire. Les étudiants ayant joué à un jeu vidéo violent s'attendaient alors à ce que les protagonistes adoptent un comportement plus hostile et agressif que ceux ayant joué à un jeu non violent.
Les mêmes étudiants étaient ensuite amenés à jouer à un jeu simple les opposant à un autre candidat, qu'ils pouvaient punir en lui infligeant un choc sonore. L'étude a montré que, lorsqu'ils avaient joué à un jeu violent, les étudiants faisaient plus de mal à leur adversaire.
Cette étude doit prochainement être publiée par la revue scientifique américaine Journal of experimental social psychology.


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