Rechercher sur ce blogue

Aucun message portant le libellé armes. Afficher tous les messages
Aucun message portant le libellé armes. Afficher tous les messages

mardi 11 septembre 2018

Seigneur de guerre


Seigneur de guerre



guerre, armes, seigneur de guerre
 
 Il y a 550 millions d'armes a feu en circulation dans le monde.Ce qui fait une arme/12 habitants de la planète. La seul question est : Comment est-ce qu'ont arme les 11 autres ?

Dans le film y s'appel Youri (un juif de son vrai nom)Harlove,un Ukrainien,établi a Brampton Beach.
Il contacte les synagogues: sa première cargaison de mitrailette uzi,de fabrication brésilienne.
Les gros profits sont la vente d'armes entre pays.Dans les années 1980 ,la guerre froide était loin de se réchauffer.La plupart des transactions se passaient entre gouvernements.C'était en faites un club privé avec un président a vie. Il y avait un petit marché ,de trafic d,armes clandestin. 

Quand les USA quittent une zone de guerre,ils ne ramènent généralement pas leurs minutions.Sa coûte plus chère de tout ramasser que d'acheter du neuf.Vendre des armes c'est un peu comme vendre des aspirateurs ;ont fait plein d'appels,use ses semaines et ont prend les commandes . En gros ,il y a 3 types de transaction: La blanche qui est légale,la noire qui est illégale,et bien sûre la grise.Pour les agents d'Interpol ,il faut que vous jouer de finesse . Comme identifier la cargaison de déchets radioactifs,ou de cammoufler de pommes de terre pourrîtes.Sinon,vous vous gardez une liste d'agents de service de renseingnement que vous payez en pot de vin et qui fournissent de fausses informations a leurs collègues.

La deuxième règles,du marchand d'armes est de toujours s'assurer qu'on n'a un moyen infaillible pour se faire payer.Préférablement a l'avance ,idéalement sur rencontre extraterritoriale.
On dira bien ce qu'on voudra au sujet des seigneurs de guerre et des dictateurs ,mais ils ont tendance a être très ordonnés. Ils payent toujours leurs factures a temps .
Lorsqu'on est marchand d'armes ,la toute première règle est de ne jamais se faire tirer dessus avec sa propre marchandise.

Durant la guerre froide,l'armée rouge avait stationné près d' 1 million de troupe en Ukraine a cause de son importance stratégique. Quand le mur est tombé ,les chèques de paye ont cesser d'arriver.
Il n'y a rien de mieux pour un marchand d'arme qu'une combinaison de soldats mécontents et d'entrepôts bourré d'armes.On espérait que le major général Dimitri Vol Kof ouvrirait un tas de portes blindées sur un tas de base militaire.Tout d'abord,il était de la famille ,c'était un héros de l'armée rouge couvert de médailles qui picollait continuellement. Les 45 années de haine réciproque entre l'est et l'ouest avait engendré la plus grande course au armement de l'histoire.Les soviétiques possédaient un armement a faire rougir le diable ,en quantité énorme,mais plus d'ennemis.La fin de la guerre froide a marqué le début de l'âge d'or du trafic d'armes. Missiles guidés ou non guidés,mortier,mines,transport de troupes blindés,des divisions entière de chars ,escadrons d'hélicoptère de combat.

Les machines de guerre les plus sofistiquées,conçu pour une guerre contre l'amérique qui n'a jamais eu lieux. Ce n'est exactement pas ce que le camarade Lénine avait en tête ,lorsqu'il prônait la redistribution de la richesse.Mais d'autres ont donné un cours accéléré sur le capitalisme. Il y avait de la compétition ,a savoir d'autres vendeurs d'armes. Comme vendre des armes a la CIA ,surtout durant la guerre froide.Il n'y aurait plus de place pour le trafic d'armes.Pour la politique d'aujourd'hui ,on sert autant les gauchistes !
 

Viktor Bout, Viktor Anatolievitch Bout (en russe : Виктор Анатольевич Бут),« le marchand de la mort » ,est né le à Douchanbé, Tadjikistan1 actuel, est l’un des trafiquants d'armes les plus influents et importants au monde. Il est spécialisé dans la vente d'armes dans des pays sous embargo de l'ONU. Certains médias l'ont surnommé le « marchand de mort2 » et « Lord of War3 ». Selon certains analystes4, les guerres en Sierra Leone, Liberia, République démocratique du Congo, Angola et Soudan n’auraient pas pu s’étendre et se poursuivre si Viktor Bout n’avait pas fourni d'armes aux belligérants.
Condamné aux États-Unis le 5 avril 2012 après avoir été arrêté en Thaïlande, il purge actuellement une peine de 25 de réclusion criminelle au centre pénitentiaire fédéral de Marion, en Illinois. Le 5 avril 2012 un juge fédéral de New York le condamne à 25 ans de prison et à une amende de 15 millions de dollars.


REF.:

samedi 1 décembre 2012

Militaires Vs WikiLeaks: Tout faire pour détruire la vérité

WikiLeaks - Les gardiens racontent comment Manning a craqué
Le soldat de 24 ans encourt la prison à perpétuité pour avoir transmis à WikiLeaks des documents militaires 
Photo AFP / Archives

WikiLeaks

Les gardiens racontent comment Manning a craqué


FORT MEADE - Deux anciens gardiens de la prison militaire où était incarcéré le soldat Bradley Manning dans des conditions ultrasévères ont raconté samedi comment le détenu s'était écroulé en pleurs, au lendemain d'une manifestation de soutien devant l'établissement.
Joshua Tankersly et Jonathan Cline, interrogés par téléphone depuis la base militaire de Fort-Meade où Bradley Manning comparaîssait au 5e jour d'une audience préliminaire, étaient chargés d'escorter le détenu le 18 janvier 2011 jusqu'à la salle de sport de la base de Quantico en Virginie.
Le soldat Manning de 24 ans encourt la prison à perpétuité pour avoir transmis à WikiLeaks, entre novembre 2009 et mai 2010, des documents militaires américains sur les guerres en Irak et en Afghanistan, et 260 000 dépêches du département d'Etat, déclenchant une tempête dans la diplomatie mondiale.
La veille de ce 18 juillet 2011, des dizaines de manifestants avaient bloqué pendant plusieurs heures un des accès de la base, qui abritait la prison, pour protester contre les conditions de détention de Manning que le rapporteur de l'ONU sur la torture a jugé "inhumaines et dégradantes".
«On a demandé au détenu d'écarter les jambes pendant qu'on lui mettait les menottes aux mains, puis de se tourner pour qu'on l'attache aux jambes puis de s'agenouiller pendant qu'on lui mettait une ceinture» à la taille, a raconté au tribunal M. Cline.
«Quand on lui a mis ses menottes, il n'a pas répondu de manière correcte», a raconté M. Tankersly, «on est supposé répondre en utilisant les rangs militaires». Il a précisé qu'un autre gardien devait tenir le détenu à la taille, pour «l'empêcher de tomber» car il était «complètement attaché aux mains et aux jambes».
Tankersly lui a dit: «arrête de bouger». Et dans la salle de sport, «pendant qu'on lui enlevait ses attaches, il a recommencé à bouger», a raconté M. Cline, «il est tombé sur les fesses, on a essayé de le rattraper mais il est allé se cacher derrière une machine à exercices et il a commencé à pleurer».
William Fuller, autre gardien qui supervisait les deux premiers, a lui aussi témoigné de ce qu'il a vulorsqu'il est arrivé plus tard sur les lieux.
«Il tremblait, il avait l'air apeuré, il avait du mal à respirer, comme s'il paniquait», a -t-il expliqué. «Il n'arrêtait pas de s'excuser mais ne disait pas pourquoi il était désolé, je pense qu'il en voulait au personnel», a-t-il ajouté.
Aucun des deux gardiens ne s'est rappelé si Manning avait été «traité» différemment ce jour-là, au lendemain de la manifestation.
M. Clide a admis que le personnel de la prison «était énervé car les (protestataires) étaient proches de la base", devant "la porte principale que le personnel empruntait pour rentrer chez lui».
Après cet incident, la commission de discipline de la prison a refusé d'assouplir le régime de surveillance maximale réservé aux détenus suicidaires auquel était soumis Bradley Manning, contre les recommandations des psychiatres.
William Fuller, qui siégeait dans cette commission, avait recommandé le maintien du même statut, sans avoir vu les psychiatres, considérant le détenu comme «suicidaire» parce qu'il «ne communiquait pas avec» lui. «Ce n'était pas une punition, c'était pour le protéger», a-t-il dit. «Vous vouliez qu'il soit vivant pour son procès en Cour martiale?», lui a demandé l'avocat.
Les deux gardiens ont reconnu que Manning avait toujours été «respectueux» et «obéissant», à l'exception de l'incident du 18 juillet, et n'avaient jamais tenté de s'enfuir, ni d'agresser quelqu'un, ni de se faire du mal.
M. Tankersly a admis que Manning n'avait droit qu'à «20 minutes de lumière du jour», et que s'il les utilisait, ces minutes étaient déduites de son heure d'exercice en salle par jour, sa seule possibilité de sortir de sa cellule.
Au cours de cette audience, la défense s'est attachée à montrer que les conditions d'emprisonnement de Manning pendant neuf mois à Quantico constituent une «punition illégale préventive», proscrite par le code militaire, pour réclamer l'abandon de toutes les charges.
Le procès du soldat Manning doit commencer le 4 février.



REF.:

jeudi 19 juillet 2012

6 robots déjà en fonction dans l'armée américaine


Les troupes de l'armée américaine peuvent désormais compter sur de nouvelles recrues: les robots.


Ne manquez pas notre dossier spécial:
Robotique: une révolution à la porte de notre société
Misant beaucoup sur l'apport de ces coéquipiers robotisés sur les champs de bataille, DARPA, la Defense Advanced Research Projects Agency, reçoit une subvention annuelle du gouvernement américain de plus de 3 milliards de dollars pour aider à développer de nouvelles technologies destinées à un usage militaire.
En ce moment, plus de 3500 robots sont de la partie en Afghanistan. Voici un survol des robots qui se sont déjà enrôlés dans les forces de l'armée américaine.
Texte lié:
Les guerres de robots, l'avenir des conflits armés?


REF.:

vendredi 6 avril 2012

«Le Seigneur de Guerre» condamné à 25 ans de prison


États-Unis - Un trafiquant d'armes condamné à 25 ans de prison
L'énoncé de la peine contre Viktor Bout avait été reporté deux fois à la demande de la défense, qui avait réclamé un délai pour préparer sa demande de clémence. 
© Reuters

NEW YORK - Le Russe Viktor Bout, reconnu coupable en novembre 2011 de trafic d'armes en faveur de la guérilla en Colombie, a été condamné jeudi par une juge new-yorkaise à 25 ans de prison. L'ancien pilote de l'Armée rouge, qui a inspiré le personnage joué par Nicolas Cage dans le film «Lord of War» («Le Seigneur de Guerre») sorti en 2005, est considéré par les États-Unis comme l'un des plus grands marchands d'armes clandestins du monde.
La juge Shira Scheindlin a condamné Viktor Bout à la peine minimale de 25 ans de prison pour l'un des chefs pour lesquels il avait été inculpé, et à 15 ans de prison pour chacun des trois autres chefs, mais a décidé de confondre ces peines.
«Vingt-cinq ans, c'est assez», a-t-elle déclaré en prononçant le verdict après que Viktor Bout eut pris la parole devant la cour, répétant qu'il était innocent.
L'énoncé de la peine contre Viktor Bout avait été reporté deux fois à la demande de la défense, qui avait réclamé un délai pour préparer sa demande de clémence. Agé de 45 ans, Viktor Bout avait été reconnu coupable par un jury fédéral de tous les chefs d'accusation qui pesaient contre lui.
Il avait notamment été jugé coupable d'avoir essayé de vendre en 2008 un arsenal de fusils et de missiles à des agents secrets américains se faisant passer pour des guérilleros des Forces armées révolutionnaires de Colombie.
Il avait été arrêté en Thaïlande en 2008, après avoir accepté, selon l'accusation, de vendre ces armes, que ces pseudo-guérilleros disaient vouloir utiliser pour abattre des hélicoptères américains aidant l'armée colombienne dans son combat contre les Farc.
Selon ses avocats, Viktor Bout n'a jamais eu l'intention de commercialiser ces armes et souhaitait en fait vendre deux avions cargo à ses interlocuteurs.




REF.:

dimanche 19 février 2012

Un Traité international sur le commerce des armes classiques (TCA) ?

Traité sur le commerce des armes - L'ONU définit la marche à suivre
 
©Yuri Cortez/Archives AFP
Traité sur le commerce des armes

L'ONU définit la marche à suivre

NEW YORK - Les pays membres de l'ONU se sont mis d'accord vendredi sur la marche à suivre pour négocier en juillet prochain un traité réglementant le commerce des armes conventionnelles dans le monde, ont indiqué des participants à la réunion.
Cette dernière réunion du Comité préparatoire, au niveau des diplomates et des experts, se déroulait à New York depuis lundi.
Un Traité international sur le commerce des armes classiques (TCA) doit être négocié du 2 au 27 juillet à l'ONU.
Les pays participants ont adopté vendredi le règlement intérieur de cette conférence de négociation, en particulier le principe du consensus pour prendre des décisions.
«La négociation pourra aller de l'avant en juillet, c'est définitivement un progrès», a estimé Brian Wood, de l'ONG Amnesty International. Mais il reste beaucoup de problèmes de fond à trancher, comme les systèmes d'armes qui seront pris en compte ou les modalités de surveillance et de révision du traité.
Les organisations comme Amnistie Internationale souhaitent que ce traité soit le plus contraignant possible et qu'il fixe une série de critères objectifs qui puissent empêcher le transfert d'armes conventionnelles vers des pays où elles pourraient être utilisées contre les populations civiles.
Les gros exportateurs d'armes comme la Russie, la Chine ou les États-Unis sont réticents, Washington souhaite par exemple exclure les munitions du cadre du traité et la Chine les armes de faible calibre.
Les pays de l'Union européenne approuvent le principe d'un texte contraignant mais certains rechignent à donner leur accord formel tant que leurs concurrents ne jouent pas le jeu.
Selon Amnistie Internationale, l'Iran, le Pakistan ou l'Égypte s'efforcent aussi de limiter l'efficacité d'un futur traité en affaiblissant les critères ou en prévoyant des échappatoires.
Les exportations d'équipements militaires de la Russie ont atteint 13,2 milliards de dollars en 2011, un montant record, selon le gouvernement russe.
Amnistie dénonce régulièrement les ventes d'armes de Moscou à Damas ou les transferts, malgré un embargo, d'armes russes et chinoises vers le Soudan qui les utilise ensuite au Darfour.



REF.: