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mercredi 25 mars 2020

La faillite guette plusieurs pays

La faillite guette plusieurs pays

Il est facile de prévoir que le nombre d’entreprises en faillite augmentera au cours des prochains mois en raison de la crise du nouveau coronavirus. La faillite guette aussi plusieurs pays dans le monde, à commencer par ceux dont les revenus dépendent du pétrole et du tourisme.
Les pays dont l’économie était déjà fragile pourraient ne pas se relever de ce coup dur. L’Italie, qui a perdu jusqu’à maintenant près de 5500 citoyens en raison de l’épidémie, sera aussi frappée durement par la diminution à prévoir du nombre de touristes. Le pays est l’un des plus visités du monde, et le tourisme représente 6 % du produit intérieur brut italien.
Les économies de l’Italie et de la Grèce étaient déjà mal en point avant l’épidémie. Le coup porté à leur industrie touristique, qui mettra du temps à se rétablir, pourrait les mener à la faillite.
Les touristes finiront bien par revenir en Europe, dont les attraits sont là pour de bon. Même si ça prend du temps, la tour Eiffel et le Colisée finiront par faire affluer de nouveau les visiteurs.
Ce ne sera peut-être pas le cas de tous les pays qui ont développé leur industrie touristique au cours des dernières années et qui ont profité d’un boom sans précédent jusqu’à ce que le coronavirus frappe. Ceux pour qui le tourisme est vital souffriront. Aux Bahamas, par exemple, 50 % de l’économie en dépend. C’est la même chose pour Cuba et la République dominicaine, dont les économies sont au bord du gouffre en permanence.
La chute des prix du pétrole soulagera peut-être la population de certains de ces pays, qui doivent acheter du pétrole importé avec une devise faible. Mais pas tous. Le Mexique, par exemple, est un important producteur de pétrole qui compte beaucoup sur l’argent des touristes. Son économie risque d’être frappée des deux côtés à la fois. Le gouvernement mexicain avait intégré un prix de 49 $US dans son budget de cette année, alors que la baril de brut a fini la semaine dernière à la moitié de cette valeur.
Du pétrole et rien d’autre
En plus des monarchies pétrolières du Golfe, dont les revenus viennent uniquement du pétrole et qui comptent peu de population, des pays plus peuplés comptent sur leurs revenus pétroliers pour pouvoir nourrir la population et lui assurer les services de base.
Le pétrole est synonyme de survie pour des pays comme l’Angola, l’Irak et le Nigeria. Plusieurs sont déjà dans la ligne de mire des agences de crédit. Si les prix du brut se maintiennent à leur niveau actuel, ces pays pourraient voir fondre leurs revenus de 50 à 80 % cette année, selon l’estimation de l’Agence internationale de l’énergie.
Le pétrole est la principale source de revenus en devises étrangères qui permet aux pays producteurs d’acheter des biens essentiels et d’investir dans leurs infrastructures. Dans certains cas, c’est 70 % des revenus du pays qui proviennent des exportations de pétrole.
Même la richissime Arabie saoudite, qui a lancé la guerre de prix actuelle en inondant le marché au moment où la demande s’effondre en raison de la pandémie, pourrait faire faillite.
Le royaume produit le pétrole le moins cher sur la planète, mais il dépense plus que ce qu’il engrange en revenus pétroliers. Comme il a besoin d’un prix de 80 $US pour maintenir son train de vie – notamment ses dépenses militaires – et pour ne pas creuser son déficit, le pays devra puiser dans ses réserves de devises étrangères pour respecter ses obligations financières.
L’Arabie saoudite affirme pouvoir soutenir la guerre pendant des années, grâce à ses réserves de devises qui atteignent 500 milliards US. La Russie, qui lui tient tête dans ce conflit, a des réserves équivalentes de devises, mais une économie plus diversifiée, qui lui permet elle aussi de tenir pendant des années.
Les deux puissances pétrolières pourraient se tenir tête longtemps, ce qui maintiendra le prix du brut très bas. Et la demande mondiale sera longue à revenir, compte tenu de la récession d’une ampleur encore jamais vue qui s’annonce.
Au final, plusieurs spécialistes estiment que les Saoudiens pourraient perdre la guerre qu’ils ont eux-mêmes lancée et se retrouver en défaut de paiement. L’Arabie saoudite en faillite ? Plusieurs autres pays moins nantis sombreront avant, probablement.

REF.:

samedi 5 août 2017

Faillite personnelle 101



Vous vous demandez si le retour des cours d’économie au secondaire, comme le souhaite le ministre Sébastien Proulx, est une bonne idée? Lisez l’histoire qui suit, que m’a racontée un conseiller financier cette semaine:
«Deux clients viennent me voir parce qu’ils ont de grosses dettes de cartes de crédit. Ils ont 28 ans chacun. Leur projet est de s’acheter une maison cet été. Je leur propose un plan d’action pour éliminer leurs dettes et ensuite commencer un plan d’épargne qui durera environ cinq ans, le temps d’accumuler leur mise de fonds de 20 % pour la maison. Mais quatre mois plus tard, j’apprends qu’ils ont déjà acheté leur maison!»
«La banque a approuvé un prêt hypothécaire avec 5 % de mise de fonds, et cette mise de fonds est financée par un prêt personnel à 9 % de taux d’intérêt. La banque leur a ensuite remis une avance de fonds pour les aider à rembourser leurs prêts personnels. Leur prêt hypothécaire est au taux de 4 % et ils ont plusieurs milliers de dollars en prêts personnels à 9 % d’intérêt.»
«Quand je leur ai demandé comment ils comptaient payer les taxes de bienvenue, scolaires et municipales, ils m’ont dit qu’ils mettraient tout ça sur leur prêt personnel et qu’ils allaient seulement payer les intérêts de ce prêt. Ces gens-là seront en faillite d’ici cinq ans, maximum...»
Des histoires comme ça, il y en a plus que vous pensez au Québec.
«Bulle automobile»
Et ce n’est pas seulement dû à la bulle immobilière. Il y a aussi une «bulle automobile» en ce moment. De 2007 à 2015, la valeur des prêts automobiles a presque doublé au pays, et totalise aujourd’hui plus de 120 milliards de dollars. Près de 40 % de ces prêts ont une période d’amortissement de 84 mois ou plus, selon l’Automobile Consumer Coalition. Les vieux bazous ont pratiquement disparu de nos routes, et tout le monde se promène en auto neuve... à crédit!
Des milliers
Ce n’est pas pour rien que, l’an dernier, plus de 46 000 consommateurs et entreprises ont déclaré faillite ou encore soumis une entente de paiement à leurs créanciers au Québec. Un record, écrivait récemment mon collègue Pierre Couture.
Et après ça, certains se demandent encore si c’est une bonne idée de remettre des cours d’éducation financière au secondaire? J’encourage fortement le ministre dans cette démarche. Qu’on enseigne les bases de l’économie et d’un budget, ça presse!

REF.:

mercredi 9 novembre 2016

Élection: Trump,.... "The show must go 0ff " !




Présidentielle américaine 2016: Quels défis pour ce prochain mandat?

ETATS-UNIS Relations avec la Russie ou la Chine, dette fédérale ou régulation de la vente d’armes pourraient s’imposer comme les enjeux majeurs du prochain mandat américain…


Fini le gros show,maintenant on fait face a la réalité des pauvres gens !
Trump et les républicains contrôle  le Sénat et la Chambre des représentants,ce que ne pouvait faire Obama,mais si Trump veut donner plus au peuple il faudra qu'il arrive a contrôler les Banques et de s'attaquer a la dette du pays! Comme son idole Ronald Reagan ,il devra nous donner un bon show ,
comme un bon gestionnaire et un justicier ! Il est temps que la corruption quitte la Maison Blanche,on ne veut plus de retour d'ascenseur ,de Paradis fiscaux, de pétrole ,de guerre,de faillite; en somme les Banque$ cause tout ces problêmes de fuite de capitaux eux-même ,par leurs intérêts aux profits !Le monde hispaniques est en train de montrer par leurs votes a Trump qu'ils devra donner aux pauvres ! Si on creuse encore le faussé
entre la pauvreté et la richesse , les USA devront imploser économiquement et socialement ! 
La question est de savoir si Trump est la pour s'enrichir ou enrichir le peuple ? Le paradis c'est pas pour mettre de l'argent,mais pour mettre toute votre Foi ! Si j'était un Américain ,je ne resterait pas dans un édifice Trump,car les Terroristes l'ont déja dans la mire .Trump a tout ce qu'il faut pour réaliser l'implosion de l'impérialisme américain et préparer l'âge d'or ésotérique , le fera-t'il !
        
  
 

  • Une diplomatie sous tension

Révolutions arabes, guerre en Syrie, annexion de la Crimée… Depuis la première investiture de Barack Obama en janvier 2009, les relations diplomatiques de la première puissance économique mondiale ont profondément évolué. « Les tensions au Moyen-Orient et les relations avec la Russie seront déterminantes dans les années à venir, analyse Jean Eric Branaa maître de conférences à l’université Paris-Assas, et auteur de Qui veut la peau du parti républicain (Ed.de Passy), Donald Trump estime qu’il faut travailler avec les Russes alors que Clinton veut replacer les USA au centre du jeu diplomatique. Sur la guerre en Syrie, la candidate démocrate a affirmé à plusieurs reprises qu’elle souhaitait agir dans le cadre d’une vaste coalition et produire davantage 'd’intelligence', c’est-à-dire mettre l’accent sur le renseignement ».

 Même constat pour Vincent Boucher, chercheur en résidence à l’Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand de l’Université du Québec à Montréal : « La lutte contre le terrorisme arrive en seconde position des préoccupations des Américains. Depuis le 11 septembre 2001, cette question s’est imposée comme enjeu incontournable de la politique intérieure et extérieure des US. Clinton plaide pour un sursaut en matière d’utilisation du renseignement, une position semblable à celle d’Obama. Trump lui est dans un autre registre (…) et se positionne comme soutien de Vladimir Poutine qu’il a qualifié de 'grand leader'. Sur la question de la lutte contre Daesh, Clinton est encline à la poursuite des frappes aériennes mais reste réticente à collaborer avec la Russie et ne cache pas sa méfiance quant aux revendications territoriales de Poutine ».

Les relations avec la Chine, accusée de manipulation monétaire par Trump, et soucieuse de conserver son ascendant militaire dans la région, pourraient également marquer ce mandat.
  • Régulation des armes et immigration

Pour Jean-Eric Branaa, la question de la régulation des armes pourrait s’imposer rapidement dans le débat politique, une fois l’investiture passée : « Aucun des deux candidats ne va limiter le 2nd amendement sur le port d’arme. On a tendance à penser que Clinton veut s’en débarrasser or c’est faux. Elle veut limiter la circulation des armes d’assaut, notamment les AK47, et restreindre le droit d’achat dans les foires aux armes.

 Autre thématique récurrente de la campagne, l’immigration, défi majeur de la politique intérieur américaine. « Ce peut être la grande réforme de Clinton là où Barack Obama a échoué avec le Dream Act puisque le Sénat n’a jamais voulu voter en faveur de ces mesures et a été contraint d’agir par décret », détaille Jean-Eric Branaa.



  • Un gouvernement fédéral endetté

Dernier point susceptible de peser lors de la prochaine mandature : l’équilibre budgétaire du gouvernement fédéral. Si le marasme de 2008 semble déjà loin - le mois dernier, l’économie américaine a créé 161.000 nouveaux emplois et le taux de chômage a reculé à 4,9 % - l’augmentation de la dette publique se poursuit. « On continue d’augmenter le plafond de la dette et ce plafond est constamment dépassé or cela peut nuire aux Etats-Unis à long terme. C’est un spectre qui plane au-dessus de chaque nouveau Président », précise Vincent Boucher.
En février dernier, la dette nationale des Etats-Unis a dépassé le cap symbolique de 19 mille milliards de dollars, ou 19 « trillions » de dollars. Pour l’heure, les Etats-Unis empruntent à des conditions extrêmement favorables auprès des marchés financiers mais un défaut partiel pourrait avoir des conséquences imprévisibles sur le coût de son financement. A l’été 2011, un précédent blocage sur le plafond de la dette avait conduit l’agence de notation Standard and Poor’s à priver les Etats-Unis de leur « triple A », gage de solvabilité maximale auprès des investisseurs.




mardi 11 octobre 2016

Revenu Québec: La lutte tous azimuts à l’évasion fiscale avait pu mener à des abus dans les dernières années

Fini les quotas chez Revenu Québec ?;)

 

 

Les objectifs chiffrés de récupération fiscale chez Revenu Québec, assimilés à des «quotas» de cotisation par des avocats et au moins un juge, sont chose du passé, selon le ministre des Finances du Québec, Carlos Leitao.
Dans une entrevue accordée à notre Bureau d’enquête en marge du Congrès annuel de l’Association de planification fiscale et financière (APFF), M. Leitao a annoncé un changement de culture important au sein du fisc.Ça reste a voir !

« Fini »
«Il n’y en a plus d’objectif quantitatif [de récupération fiscale]. C’est fini»???, a-t-il déclaré, sans vouloir utiliser précisément le mot quota pour décrire cette réalité.
Il a dit que le dernier budget déposé par son gouvernement en mars ne contenait d’ailleurs aucun objectif chiffré de récupération fiscale pour Revenu Québec, contrairement aux années passées.
Carlos Leitao a aussi reconnu que la lutte tous azimuts à l’évasion fiscale avait pu mener à des abus dans les dernières années.
«Le rapport du Protecteur du citoyen déposé en septembre 2015 [décrivant des abus chez Revenu Québec] n’était pas très gentil. Ça a mené à une réflexion sur ce qu’on pouvait faire pour répondre à ça», a-t-il expliqué.
Charte
Le ministre a annoncé lors du congrès l’introduction d’une Charte des contribuables et des mandataires chez Revenu Québec.
Cette charte vise à mieux protéger le contribuable en énonçant sept droits qu’il a, dont ceux d’être «informés» et d’être «traités avec impartialité».
Selon le ministre, il s’agit d’une première étape dans une démarche visant à humaniser le fisc québécois.
Un Bureau de la protection des droits de la clientèle a aussi été créé(un heure plus tard dans les maritimes ?). Il emploiera 20 personne$.
 
 
Source.:

Un investisseur immobilier dit avoir tout perdu pour laver sa réputation





Cinq ans d’enfer à cause du fisc québécois

 

 

Un propriétaire d’immeubles à logements dans la région de Gatineau dit que sa vie a été détruite par des cotisations abusives de Revenu Québec qu’il vient de réussir à faire ramener à presque zéro.
«Revenu Québec m’a enlevé une partie de ma vie», dit Jean-Yves Lessard, 52 ans.
Bien que le fisc ait annoncé cette semaine des mesures pour éviter les abus, M. Lessard reste sceptique quant à la réelle volonté de Revenu Québec de respecter les contribuables.
Selon lui, seule la foi en Dieu lui a permis de passer à travers un combat judiciaire de plus de cinq ans contre le fisc.
«Quand j’ai reçu le jugement, j’ai commencé à pleurer. Je pouvais pas m’arrêter de pleurer», dit-il.
«J’ai été obligé d’emprunter à 24 % de taux d’intérêt à des prêteurs privés à Saint-Sauveur pour être capable de me battre jusqu’à la fin», dit-il.
Seulement en frais pour engager un expert en fiscalité pour son procès, il dit avoir englouti environ 100 000 $. «Il ne me reste rien, aucun immeuble, mais au moins ma réputation est lavée.»
« Le Tribunal conclut que Monsieur Lessard était de bonne foi et a adopté une position réfléchie et prudente » – Extrait du jugement
De bonne foi
Selon un jugement tombé à la fin septembre, des cotisations de plus de 220 000 $ que lui a envoyées l’Agence du revenu du Québec ont été ramenées à quelques milliers de dollars.
Les cotisations concernaient des transactions effectuées entre 2005 et 2011 sur des immeubles à logements (une trentaine d’appartements au total) qu’il possédait en Outaouais. Jean-Yves Lessard est aussi entrepreneur en construction.
Il dit avoir toujours voulu payer tous ses impôts scrupuleusement. Ses déclarations de revenus ont toutes été remplies par des comptables professionnels.
Il dit aussi que, comme propriétaire, il a toujours voulu le mieux pour ses clients. «Mes locataires, j’en prenais soin comme des membres de ma famille», dit-il.
Négligence flagrante
Revenu Québec alléguait pourtant que M. Lessard avait fait preuve d’incurie et de négligence flagrante dans ses déclarations de revenus.
Le fisc disait que le profit réalisé sur des immeubles à logements qu’il a vendus constituait du revenu d’entreprise et non un gain en capital. En clair, cela veut dire que vous êtes imposé sur la totalité du profit. Le fisc a ajouté des pénalités salées de 50 % et des intérêts pour épicer la facture.
«En Cour, la vérificatrice a été obligée d’avouer qu’elle n’a jamais lu les documents que je lui ai envoyés où je répondais à ses questions.»
Selon lui, quand le fisc a commencé à sentir la soupe chaude, il l’a contacté pour lui proposer une entente hors cour très généreuse. «Ils enlevaient l’essentiel des cotisations, mais la condition était que je ne parle pas aux médias. Je leur ai dit qu’ils ne pouvaient pas acheter mon silence», dit-il.
Le fisc analyse le «jugement afin de déterminer s’il doit faire l’objet d’un appel», nous a écrit la porte-parole de Revenu Québec, Geneviève Laurier.

Beaucoup font faillite avant de gagner

Selon l’avocat de Jean-Yves Lessard, Pierre McMartin, de nombreux contribuables font faillite même s’ils ont un bon dossier contre le fisc.
«Il y en a beaucoup qui ne peuvent pas se rendre jusqu’au bout. Ils n’ont plus d’argent pour se battre en cour», dit-il.
Selon lui, Revenu Québec a poussé le bouchon assez loin dans le cas de M. Lessard. «Le fisc disait qu’il avait fait une fausse représentation par omission volontaire. C’est presque de la fraude», dit-il.
Cela permet au fisc de cotiser plus de trois ans après le dépôt d’une déclaration de revenus.
Selon lui, la différence est flagrante entre Revenu Québec et Revenu Canada.
«Revenu Canada, tu peux leur parler et te justifier s’ils veulent te cotiser. Revenu Québec, une fois qu’ils sont sur ton cas, c’est presque impossible de te faire entendre à moins d’aller très loin en Cour.»

 



Source.:

La victoire contre la « machine  Revenu Québec »






Un éventuel recours collectif pour Revenu Québec ?

Imaginons la situation suivante : un courtier immobilier gagne un revenu d’entreprise (net des dépenses) de 60 000 $ pour la période du 1er janvier 2011 au 31 octobre 2011. Le 1er novembre 2011, le courtier immobilier déclare faillite. Pour les mois de novembre et décembre 2011, il n’a gagné aucun revenu. Saviez-vous que, selon la position actuelle de Revenu Québec, un courtier immobilier dans une telle situation recevra malgré tout un avis de cotisation en avril 2012 (lorsqu’il produira sa déclaration de revenus pour la période postfaillite, c’est-à-dire pour les mois de novembre et décembre 2011) avec un solde à payer de près de 6000 $ à Revenu Québec, et ce, même s’il n’a aucun revenu pour cette période? Alors que le particulier croyait avoir réglé toutes ses dettes au moment de la faillite, il s’agit d’une bien mauvaise surprise qui survient quelques mois plus tard… Comme il y a approximativement entre 25 000 et 35 000 faillites personnelles par année au Québec, des histoires d’horreur comme celle-là se produisent plus souvent que vous ne pouvez l’imaginer.
Voilà une « saga » que nous suivons assidûment depuis plus de 10 ans avec nos valeureux participants du cours Déclarations fiscales. Il semble que nous ayons eu grandement raison de suivre cette saga, car Revenu Québec aura une vraie cause à défendre en procédure générale devant la Cour du Québec en 2012. Et le dénouement pourrait avoir des conséquences financières majeures pour Revenu Québec. Rappelons brièvement à quoi tout cela rime…
Lorsqu’un particulier fait faillite, cela crée deux années d’imposition dans la même année civile. On doit donc produire deux déclarations fiscales distinctes à chaque gouvernement pour le failli, à savoir la « préfaillite » et la « postfaillite ». Selon Revenu Québec, la cotisation au RRQ doit être calculée dans la déclaration postfaillite et sera basée sur le revenu de toute l’année civile. Il en est de même pour la cotisation au Fonds des services de santé (FSS), à l’assurance médicaments et au RQAP. De plus, vous devez ajouter à cela la contribution santé depuis 2010.
Belle facture en perspective, comme le démontre notre exemple précédent. Parmi les causes entendues à la Cour du Québec (Division des petites créances), les contribuables ont eu gain de cause dans neuf décisions en invoquant que seul le revenu pour la période postfaillite devait alors intervenir. En moyenne, les tribunaux ont tranché deux fois sur trois en faveur du contribuable dans ce type de cause.
Dans une de ces décisions gagnantes, le juge a mis en doute (avec justesse) la constitutionnalité de la position de Revenu Québec, qui va à l’encontre du principe de la préséance de la législation fédérale (voir plus loin comment Revenu Québec tente de contourner le problème). Évidemment, ces neuf décisions ne peuvent faire jurisprudence, car elles ont été rendues par la Division des petites créances de la Cour du Québec.
Mais la bombe pour neutraliser Revenu Québec est venue d’une décision rendue le 30 octobre 2009 dans l’affaire Caisse populaire Desjardins de Montmagny, où la Cour suprême du Canada a rappelé un principe bien établi quant à la préséance de la législation fédérale sur la législation québécoise dans un tel cas en précisant ceci au paragraphe 17 de ladite décision :
« On se rappellera, toutefois, qu’un principe de droit constitutionnel bien établi et concernant la mise en œuvre de la compétence législative du Parlement du Canada sur la faillite et l’insolvabilité ne permet pas aux législatures provinciales de créer des priorités incompatibles avec l’ordre de collocation établi par la LFI. Cette loi prévaut en cas de conflit et rend la législation provinciale inapplicable, sans égard à l’intention de la législature (D.I.M.S. Construction inc. (Syndic de) c. Québec (Procureur général), [2005] CSC 52, [2005] 2 R.C.S. 564, par. 12, la juge Deschamps). »
Ce passage d’une décision du plus haut tribunal canadien devait alors à notre avis clore le bec de façon définitive aux prétentions de Revenu Québec. Mais c’était bien mal connaître l’attitude crasse et déplorable de Revenu Québec qui, malgré tout, essaie désormais une vieille tactique pour tenter de maintenir les cotisations sur la base du revenu de toute l’année civile.
En effet, Revenu Québec invoque encore et toujours le concept selon lequel les cotisations « courues » (au RRQ, FSS, RQAP, RAMQ, etc.) pour la période préfaillite ne constituent pas des créances prouvables en date de la faillite, et ce, au sens de la Loi sur la faillite et l’insolvabilité (LFI). Ainsi, Revenu Québec tente de se soustraire au principe évoqué par la Cour suprême du Canada en clamant simplement qu’étant donné qu’il ne s’agit pas de créances prouvables, la décision susmentionnée de la Cour suprême est sans effet dans le présent litige.
Voici d’ailleurs ce que Revenu Québec précise entre autres dans une lettre type envoyée à un contribuable et dont nous avons obtenu copie :
« Lesdites cotisations sociales ne sont pas prévues à la Loi sur les impôts, mais résultent de l’application de la Loi sur la Régie de l’assurance maladie du Québec (FSS), de la Loi sur l’assurance parentale (RQAP) et de la Loi sur le régime de rentes du Québec (RRQ).
En l’espèce, la question fondamentale est de savoir si les cotisations litigieuses constituaient, à la date de la faillite, des réclamations prouvables aux termes des articles 121 et suivants de la Loi sur la faillite et l’insolvabilité (L.R.C., 1985, c. B-3).
À cet égard, la position du Ministère est, dans le présent dossier, à l’effet que les cotisations sociales contestées sont des créances qui ne constituaient pas des réclamations prouvables au sens de l’article 121 de la Loi sur la faillite et l’insolvabilité en date du XX septembre 20XX, soit à la date de la faillite de votre client, puisqu’elles n’existaient pas à cette date.
Les créances que constituent ces cotisations sociales au FSS, RQAP et RRQ prennent naissance le dernier jour de l’année civile, soit le 31 décembre. Outre le fait que la créance ne se cristallise que le 31 décembre de l’année civile, en ce que le montant exact de chacune des cotisations ne peut être établi avant la fin de l’année, et que sa date d’exigibilité soit à une date ultérieure, à savoir le 30 avril de l’année civile suivante, l’assujettissement à la créance ne naît que le 31 décembre de l’année civile. »
Évidemment, tout cela est encore du Revenu Québec « tout craché », qui continue à s’attaquer à des contribuables sans trop de défense. Cela frôle la fraude intellectuelle (et nous sommes très polis) de la part des fonctionnaires de Revenu Québec dans cette saga…

-De nombreuses décisions de tribunaux, particulièrement la décision Simard-Beaudry rendue par la Cour fédérale en 1971, rappellent qu’une dette fiscale existe dès que le revenu est gagné et qu’un avis de cotisation n’a pas à être émis pour que la dette commence à exister. Nous pourrions aussi vous citer des extraits de quelques autres décisions de la Cour supérieure et de la Cour d’appel du Québec qui n’appuient pas du tout la théorie de Revenu Québec mais plutôt la nôtre… Ainsi, à notre avis, dans le cas où le revenu est gagné avant la faillite, la dette fiscale existerait au moment de la faillite et elle serait ainsi une créance prouvable au sens du paragraphe 121(1) de la Loi sur la faillite et l’insolvabilité.
De plus, dans toutes les décisions favorables rendues par la Cour du Québec (Division des petites créances), les juges ont tous reconnu clairement que les cotisations à payer au RRQ, au RQAP, au FSS et à la RAMQ étaient des créances prouvables au sens du paragraphe 121(1) de la Loi sur la faillite et l’insolvabilité avec de nombreux commentaires à l’appui. Dans une des décisions, un juge a même précisé que cela incluait les créances et engagements tant que le particulier n’avait pas obtenu sa libération de la faillite. Évidemment, tous ces juges sont probablement eux aussi des imbéciles (!!…) à en croire les avocats de Revenu Québec !!!
Voici, en passant, ce que précise le paragraphe 121(1) de la LFI :
«  Réclamations prouvables 121. (1) Toutes créances et tous engagements, présents ou futurs, auxquels le failli est assujetti à la date à laquelle il devient failli, ou auxquels il peut devenir assujetti avant sa libération, en raison d’une obligation contractée antérieurement à cette date, sont réputés des réclamations prouvables dans des procédures entamées en vertu de la présente loi. »
Alors, chers fonctionnaires de Revenu Québec, votre piètre spectacle doit maintenant cesser. Vous vous êtes assez moqués des contribuables et votre attitude est déplorable. Une véritable honte, point à la ligne!
La suite maintenant…
Lors de la présentation d’un des cours de Déclarations fiscales en février 2011, un de nos participants nous avait d’ailleurs indiqué qu’un nouveau « cas type » serait éventuellement entendu par la Cour du Québec (en procédure régulière et non pas à la Division des petites créances). En effet, alors que la cause de son client devait être entendue par la Division des petites créances, Revenu Québec a demandé par requête que la cause soit entendue par la Division régulière de la Cour du Québec et cela fut accordé par la Cour le 17 décembre 2010. Cela permettra alors de créer de la jurisprudence qui pourra par la suite être utilisée en pratique, car, rappelons-le, les décisions de la Division des petites créances ne font pas jurisprudence. Or, si Revenu Québec perd sa cause (ce que nous souhaitons et ce à quoi nous croyons ardemment), cela signifie que Revenu Québec aura perçu des sommes soit de façon inconstitutionnelle, soit de façon illégale, et ce, depuis de nombreuses années. Il va de soi qu’advenant une victoire sur Revenu Québec (y compris en appel, car Revenu Québec en appellera sûrement de la décision s’il perd la cause), nous visons ni plus ni moins qu’un très gros recours collectif contre Revenu Québec.
Le CQFF a plongé (avec grand plaisir) dans le dossier de façon à mettre fin à la « tyrannie » de Revenu Québec dans ce dossier. Nous avons donc contacté le contribuable dont la « cause type » sera entendue (possiblement vers la fin de 2012), pour lui indiquer que nous allions l’aider dans ce dossier. Le CQFF a même ouvert son carnet de chèques pour démarrer la procédure avec Me Alain Ménard, du cabinet d’avocats Cain Lamarre Casgrain Wells. Le Conseil des Syndics de faillite a également décidé d’appuyer financièrement cette cause et nous remercions cet organisme, et ce, au nom de tous les contribuables lésés.
En attendant, si vous avez un cas en pratique, contestez!… Vous devrez absolument déposer un avis d’opposition dans une première étape (cela est un « must ») et Revenu Québec rira encore des contribuables en vous indiquant que sa décision est maintenue. Par la suite, faites un appel devant la Cour des petites créances (la cause ne sera jamais entendue dans l’attente de la cause type). Ce sera une guerre à finir avec Revenu Québec, c’est promis!!! La victoire contre la « machine  Revenu Québec », nous la désirons profondément! Il s’agit donc d’une longue histoire à suivre… dont le dénouement ne sera connu que dans quelques années.



Source.:

vendredi 5 octobre 2012

Dette d'études : Comment casser une opposition de libération de faillite ?

Ah,beaucoup de travailleur a faible revenu travaillant pas dans leur domaine de leur formation,ou étant prestataire de chomage ou D"Aide de dernier recours, en deuxième faillite. Wow ! ,................ 2 ans de petits versements a votre Syndic de faillite !

Vous protège t'il assez ? ou trop, au profit d'une opposition d'un créancier frustré ?

Le système des réclamations de faillite des syndic est désuet,car ceux-ci en évaluant vos actifs passifs, ne revise pas vos mensualités a vos créanciers(comme le MEQ: Min. de l'éducation)et ceux-ci ne savent pas que vos revenus ont augmentés ,même si votre Syndic a l'info et que vous devez l'en mettre au courant !

Re-Wow ! Le MEQ s'oppose a toute libération de faillite ,mais vous aurez a contacter un bureau d'avocat pour vous défendre ,qui sera suggérré par votre syndic ,vous disant c'est eux les spéçialistes qui vous représenteront.A 125$/hr,vous aurez 3 rencontres,la première un 125$ facile pour votre avocat ,il remet la cause 1 mois plus tard ? WoWoW ! vous perdez votre journée de travail au complet et votre transport a payer ! Sans compter que le MEQ a la facheuse mani de prendre vos TVQ ex-Solidarité sans votre avis ,alors qu'ils n'en ont pas le droit ,si c'est post-faillite !!!$$$!!!

Oui,le MEQ vous remboursera ,c'est la Loi !

Mais rendu a votre Libération de faillite : La 3ième rencontre au palais de justice au 16 ième(le 11ième c'est leur quartier)si vos chiffres sont bon et que vos copies de factures corresponde a vos dépenses,que votre nom n'est plus solvable que vos comptes sont a votre ex encore et que c'est vous qui êtes dans sont logement et qu'elle est sur le BS en attendant de vous emenez en cours pour un divorce,ou que votre employeurs para-publique vous met en liste de rappel et vous allex être transférez en dehors dla ville avec pas le choix d'acheter une auto et de changer de lunette qui sont casser et que votre dentier d'en bas est finit,que vous devez rembourser des ex-créanciers hors faillite comme votre Mère,que votre proprio vous emmène a régie du logement si vous payer pas plus,................faut probablement accepter un offre de paiement de dette de ,par exemple $12,000 (SUR UNE ENTENTE HORS COUR)d'une dette de 50,000$ qui a été soufflé a 200% d'intérêt ,sur un prêt étudiant d'il y a 10 ans ,et que vous mettez vos impôt fed prov avec votre faillite ,le juge lui va être simpathisant a votre cause.C'est sûre que les frais d'avocats devront être oublier et classés dans la filière 13 ! Le juge sait que nous sommes en crise économique ,et qu'il a pas le choix d'accepter l'entente hors cour !

La seul manière que votre syndic de faillite(et la,ce n'est pas un dépôt volontaire) ne vous protègera plus, c'est lorsque vous payer plus ,malgré votre contrat fini (2 ans pour une deuxième faillite)avec le syndic et que le MEQ vous poursuit (opposition a votre libération de faillite)avec une saisie de salaire(facilement 50% du salaire).C'est la, qu'il vous faudra une entente hors cour , le MEQ vous écoutera ! Et vous verrez tout se calculera pour le montant initiale de l'emprunt que vous aviez fait ,avant les intérêts, et qui représentera des montants mensuels jusqu'a votre âge de pension(travailleur) de environ 65 ans ,c ki le cave !

Sinon le MEQ sans foute,et votre avocat veut reportera votre cause a plus tard (pro forma)pour empocher un autre 125 $,tant que l'étudiant n'a pas payé toute la facture,alors représentez vous, seul : c'est a dire avec une entente hors cour ,avec le MEQ ! Sinon,vous serez en centre d'acceuil et vous vous rappellerez plus pourquoi ,vous n,avez pas assez d'argent pour payer vos cigarettes au CHSLD et que le personnel soignant essaye de vous expliquer que vous avez perdu la mémoire et que le MEQ lui a de la mémoire  !  ;-)

J'ai vu bien des ex-étudiants accepter de payer leur dette étudiante a 9,000$ sur un prêt de 13,000$ ?
Aussi bien continuer ses études LOL ! Car a n'importe quel prix le montant a verser sera sans intérêt pendant un temps illimité ,pensez-s'y , a l'approche de la soixantaine sans les revenus de TPS ou Solidarité ,vous aller vous en foutter au centre d'acceuil !Et quand vous voyez les yeux et le sourire compatisant d'un juge ,envers le préentente et de la décison de l'avocat du MEQ,vous vous rendez compte que le MEQ a saigné l'ex-étudiant en lui imposant de payer la presque totalité de ses prêts étudiants!L'étudiant aurait-dû contesté l'entente devant le juge et de refusé ce que les avocats du MEQ lui proposait!

La première constatation porte sur les causes des difficultés financières qui ont emmené ces personnes à consulter un syndic:
Insuffisance de revenus : 35 %
Chômage : 18 %
Surendettement : 12 %
Alors pensez-s'y les amis !
Alors le bullshit du MEQ actuellement est un maigre 15% de réduction,.....c qui le cave  ? Vous ou les Mecs du MEQ !




Avec les années le Ministère du revenu Qc ,essayera de vous priver des montants de remboursement, de votre rapport d'impôt, que vous avez droit grace a votre syndic de faillite!
Vous avez juste a le redemander a Rev. Qc pour qu'il vous le redonne en dépot direct et que la,vous déciderez si vous le donner a votre syndic en parti !
Appeler donc a ces 2 numéros au département du recouvrement,pour faire votre demande :
1-888-361-3795
ou le 514-415-5161 a Joe BloLamone




REF.: Syndicpointcomme,

lundi 28 mai 2012

Anonymous: Vos Prêts et Bourses en recouvrement ?


Ça arrivera un jour ou l'autre,car une dette de 30,000.00$ c'est facile avec les intérêts qui va avec !
Et un travailleur en temps partiel avec l'obligation d'accepter un salaire a 70% de son salaire,s'il devient chomeur et retourne sur le marché de l'emploi;c'est pas plus drôle avec le nouveau plan Fédéral de l'assurance emploi qui devrait être appeler L'assurance Chomage avec tous les travailleurs saisonniers que l'on connaît ,des McJob,........................ y en a encore !
Alors mieux vaut faire une faillite!
Faut attendre 10 ans et probablement mettre vos impôts de ces année ,non payés aussi dans votre faillite.
Pour une première faillite c'est 9 mois de paiement,et si vos revenus sont trop bas ,chez un bon Syndic de faillite(faut magasiner)il vous en coutera 100$/mois pour avoir la paie.

Alors mettez cette dâte (10 ans,a partir de la fin des études)dans votre cellulaire et ça va sonner ,car a ct'heure les agenda de portable sont bien fait pour ça !

Vous perdrez vos TPS au Syndic et TVQ(ou Solidarité) pour le ministère de l'Éducation,mais après 7 ans de la date de fin d'étude le Ministère de l'Éducation (comme créancier)n'y aura pas le droit,n'y même vos remboursements impôt Provincial post-faillite.Faut vraiment vérifier ,car le Ministère de l'Éducation est vraiment malhonnête la dessus et vous l'enlèvera quand même,...............alors voyez s'y ! Y disent que c'est l'informatique ;-)

Au ministère de l'Éducation c'est Mme Julie Plourde au numéro de téléophone suivant ,qui s'occupe de ça ;-)

1-866-615-5100 extention 6339 !$!

vous pouvez aussi commander de la pizzza a Mame  Jojohanne Laliberté au service de recouvrement,
au 1-866-615-5100, au poste 6282 (gratiche câliche),ou par coucouiriellle a
johanne.laliberte@mels.gouv.qc.ca !

REF.:,G00gle, La CLASSE,Carré ROUGE,

vendredi 9 décembre 2011

Detroit Destroy

C’était la capitale de l’automobile. Les géants de l’auto GM, Ford et Chrysler semblaient projeter sur Détroit la promesse d’un avenir radieux aux plus beaux jours du rève américain. Aujourd’hui, Détroit n’est plus que l’ombre d’elle-même. Sa population a fui vers d’autres villes. Des quartiers entiers sont dévastés et abandonnés. La ville a décidé de détruire pour reconstruire et les élus municipaux cherchent des solutions. Parmi celles-ci, transformer ces nouveaux espaces disponibles en terres agricoles

REF.: