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jeudi 12 mars 2020

Les entreprises pourraient devenir des enquêteurs,avec la technologie de reconnaissance façiale



Les entreprises pourraient devenir des enquêteurs,avec la technologie de reconnaissance façiale ,indirectement par la vente du système de Bell





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Bell veut vous faire suivre en continu

Alors que les autorités enquêtent sur des systèmes de reconnaissance faciale, La Presse a appris que Bell voulait vendre cette technologie aux entreprises. Si le géant des télécommunications va de l’avant, ses clients d’affaires pourraient utiliser son outil haute performance pour identifier et surveiller des milliers de visages à la minute – dans des hôtels, épiceries, boutiques, banques, stades ou lieux de travail.
Marie-Claude Malboeuf Marie-Claude Malboeuf
La Presse

Un outil pour « surveiller les individus »

Malgré la controverse croissante entourant cette technologie, Bell veut vendre aux entreprises un système de reconnaissance faciale capable de vérifier « instantanément » l’identité des gens, de détecter leurs comportements et de les « suivre en continu ».
La Presse a appris que le géant des télécommunications avait suggéré à ses clients d’affaires de l’utiliser pour surveiller et cibler les personnes qui entrent dans leurs hôtels, épiceries, boutiques, banques, stades ou lieux de travail.
Sa technologie « haute performance » capte les visages à l’aide de caméras et les compare à « une large banque de données archivées », peut-on lire sur une page du site web de Bell. Cette page en anglais semble non indexée et ne nous a pas été accessible à partir d’un moteur de recherche.
Bell a refusé de nous accorder une entrevue, mais a répondu par courriel qu’elle « ne propose pas de services de reconnaissance faciale en ce moment ». Sa page web a été construite à des fins promotionnelles, pour « déterminer le niveau d’intérêt potentiel de ce service et s’il pourrait être un produit viable », a écrit la porte-parole Caroline Audet.
Bell est présente en télécommunications, en télévision, en radio et en affichage, et a encaissé 3,25 milliards de profits sur des revenus de 24 milliards en 2018. Si les nombreuses entreprises qu’elle dessert achetaient massivement son système de reconnaissance faciale, des milliers de Canadiens pourraient bientôt être surveillés et reconnus dans toutes sortes de lieux – sans forcément s’en rendre compte ni en avoir réellement le choix.
« Même avec un éclairage de bas niveau et avec des données vidéo de faible qualité, l’analyse vidéo de Bell est capable de compter et de suivre en continu les personnes et les objets », précise son site. Le système d’intelligence artificielle envoie des « alertes instantanées » aux responsables de la sécurité et permet de « prendre des décisions plus rapides et intelligentes ».

Repérer les clients riches

La semaine dernière, les commissaires à la protection de la vie privée du Canada ont fait état de leurs « préoccupations croissantes quant à l’utilisation de la reconnaissance faciale » et déclenché une enquête nationale sur l’une de ces technologies, Clearview AI, utilisée par des centaines de corps policiers, dont certains canadiens.
D’après une note en petits caractères, masquée par le signe « + » au pied de sa page web, Bell cherche de son côté à revendre l’outil d’une immense société japonaise, NEC, qui a entre autres mis au point un système appelé NeoFace, dès 2002. Il sera employé aux Jeux olympiques de Tokyo l’été prochain, et permet d’analyser des milliers de visages par minute pour faire de la surveillance ou du marketing, selon le site web de NEC.
Sur son propre site, Bell suggère par exemple aux banques d’utiliser la reconnaissance faciale pour détecter aussi la présence de « déposants fortunés » et de « clients VIP » afin de leur offrir des avantages. La même chose est possible dans les hôtels et les boutiques.
À l’autre extrême, toujours selon son site, l’outil promu par Bell « détecte les comportements suspects », « surveille les individus », repère les gens inscrits sur une liste noire et envoie des « alertes instantanées » aux responsables de la sécurité. Les indésirables peuvent ainsi se voir bloquer l’accès à un commerce ou à un guichet automatique « pour éviter les vols et les pertes ».
Autres possibilités : « garde[r] en mémoire le nombre, le mouvement et le comportement des personnes sur plusieurs sites », automatiser l’accès aux stades (sans billets), mieux répartir le personnel selon l’achalandage et les files d’attente, etc.
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Sur son site, NEC vante le fait que la reconnaissance faciale puisse se faire « sans interagir avec l’individu en train d’être identifié ».
Ce sont deux Torontois férus de technologie, Sydney Eatz et Richard Trus, qui ont déniché la page web de Bell et l’ont transmise à La Presse. Ils se surnomment « la police de l’internet », parce qu’ils ont dénoncé plusieurs dérives à des médias torontois depuis deux ans. Sydney Eatz a aussi déposé un mémoire sur Google devant un comité de la Chambre des communes.
« Facebook a dû payer 550 millions de dollars US pour régler hors cours un recours collectif, après avoir utilisé la reconnaissance faciale aux dépens de la vie privée, a-t-elle dit à La Presse en entrevue. Ça démontre que faire de la reconnaissance faciale sans obtenir le consentement des gens a un coût. »

Pire que la police

Le projet de Bell inquiète les défenseurs et les experts de la vie privée joints par La Presse.
« Jusqu’à récemment, l’identification biométrique était limitée à la police dans le cadre d’enquêtes criminelles, mais maintenant, c’est en train d’être généralisé un peu partout », dit Dominique Peschard, porte-parole de la Ligue des droits et libertés.
En plus de jumeler les visages, le système promu par Bell suggère des décisions aux employés des entreprises qui en feraient usage. « Mais ces algorithmes sont secrets et on ne sait pas comment ils fonctionnent, souligne M. Peschard. La personne ne sait donc pas selon quel critère elle a été jugée, pourquoi telle décision a été prise. »
Les commissaires à la vie privée du Canada commencent enfin à se rendre compte des dangers de ces technologies et à lancer des consultations, dit-il.
En attendant, c’est le “free for all”, les entreprises profitent du vide. Ça prend un moratoire jusqu’à ce qu’on ait adapté nos lois pour se protéger contre les abus potentiels.
Dominique Peschard, porte-parole de la Ligue de protection des droits et libertés
Pour Dominic Martin, spécialiste de l’éthique de l’intelligence artificielle et de la gestion de l’éthique en entreprise, « il faut fixer les conditions d’utilisation et instaurer des moyens de contrôle, parce que la reconnaissance faciale a le potentiel de mener à des écarts éthiques importants ». Il faut résoudre plusieurs questions de toute urgence, précise le professeur de l’Université du Québec à Montréal. Jusqu’où va-t-on aller dans l’enregistrement des moindres faits et gestes d’un individu ? Avec quoi va-t-on recouper ces images ? Et à qui on va vendre le tout ?
Autre écueil : lors de tests, des outils de reconnaissance faciale ont fait plus d’erreurs lorsqu’ils analysaient les images de personnes à la peau foncée. Ce qui augmente le risque de les confondre avec un suspect fiché – comme un voleur à l’étalage –, avec la discrimination et les ennuis que cela suppose (1).
L’outil proposé par Bell s’est classé parmi les plus performants lors de tests organisés par l’industrie. Mais à Londres, où la police l’utilise depuis 2016 pour filmer les rues et repérer les gens inscrits sur une liste noire, seulement 19 % des 42 personnes signalées par l’algorithme correspondaient vraiment à leur « sosie » fiché, selon une étude de l’Université d’Essex, commandée par le gouvernement britannique et publiée en 2019.

Plus libres que la police

« Si on ne fixe pas de limites, les entreprises pourraient devenir des enquêteurs automatiques, se faire justice à elles-mêmes ou faire d’immenses parties de pêche. Elles auront les coudées plus franches que la police, prévient Pierre Trudel, professeur de droit de l’information et du cyberespace à l’Université de Montréal. Au Canada, la police ne peut filmer vos allées et venues sans avoir demandé une autorisation judiciaire ni filmer tout le monde au cas où elle trouverait quelque chose. »
Le potentiel d’intrusion est considérable. Le législateur doit courir pour faire du rattrapage, car il y a un défaut affligeant d’encadrement.
Pierre Trudel, professeur de droit de l’information et du cyberespace à l’Université de Montréal
La Commission d’accès à l’information du Québec (CAI) dit prendre le déploiement de la reconnaissance faciale « très au sérieux ». « On suit la situation de très près et ça fait des années qu’on suggère d’actualiser la loi pour que la biométrie soit plus balisée », a dit en entrevue la porte-parole de l’organisme, Isabelle Gosselin.
Quiconque achèterait la technologie proposée par Bell devrait obligatoirement s’inscrire au Registre des déclarations des banques de mesures biométriques de la CAI, précise-t-elle, car la Loi sur les technologies de l’information l’exige.
Les fournisseurs doivent pour leur part respecter les lois sur la protection des renseignements personnels – en obtenant par exemple le consentement des cibles et en agissant « par nécessité ». « Et on ose tenir pour acquis qu’ils le font », avance Mme Gosselin.
(1) Les personnes d’origine afro-américaine ou asiatique ont entre 10 et 100 fois plus de risques d’être reconnues erronément par les algorithmes de reconnaissance faciale que les Caucasiens, selon un rapport d’évaluation du National Institute of Standards and Technology, basé sur des tests réalisés sur 189 logiciels. Le taux d’erreur est encore plus élevé lorsqu’il s’agit d’Afro-Américaines.

De l’inconnu et des craintes

Comment se déploie de manière très concrète la reconnaissance faciale dans les entreprises canadiennes ? Le point en six questions.

Les entreprises doivent-elles obtenir notre consentement pour nous identifier avec des caméras ?

Oui, répond Isabelle Gosselin, porte-parole de la Commission québécoise d’accès à l’information.
Mais la possibilité de refuser son consentement est souvent « ténue ou pratiquement inexistante », nuance Dominic Martin, spécialiste de l’éthique de l’intelligence artificielle et de la gestion de l’éthique en entreprise.
« Quand il y a des caméras dans l’environnement, on ne peut pas les éteindre. Il faudrait carrément cesser de fréquenter certains lieux ou quitter son emploi pour ne pas faire l’objet d’une surveillance accrue », souligne le professeur qui enseigne à l’Université du Québec à Montréal.

Combien d'entreprises utilisent la reconnaissance faciale au pays ?

Dans les autres provinces, on l’ignore. Environ 16 % des magasins Canadian Tire qui y sont établis s’en servent déjà pour lutter contre le vol à l’étalage, selon un reportage publié en février 2019 par CTV News. Et une chaîne d’alimentation présente en Ontario et en Colombie-Britannique a déclaré en novembre qu’elle ferait payer ses clients avec leur visage pour accélérer leur passage à la caisse.
Au Québec, la loi oblige à déclarer toute banque de données biométriques à la Commission d’accès à l’information, et neuf entreprises ont indiqué faire de la reconnaissance faciale, révèle l’organisme. La plus connue, Master Card, dit employer cette technologie pour identifier la clientèle. Les autres entreprises l’utilisent pour gérer les accès aux bureaux, les présences ou le traitement de la paie.

Qu'arrive-t-il des données biométriques obtenues ?

Mystère, puisque ni Québec ni Ottawa n’ont encore adopté de loi sur le sujet, malgré les pressions croissantes, indique Pierre Trudel, professeur de droit à l’Université de Montréal.
« Proposera-t-on ces images à quelqu’un souhaitant nous traquer pour d’autres raisons ? Les raisons possibles sont infinies, et c’est ça qui devient un gros enjeu », dit le chercheur, qui s’intéresse entre autres à la loi sur les télécommunications et aux objets connectés.
« On ne veut pas qu’un système comme celui-là finisse par servir à des fins d’assurances. On ne veut pas entendre : “Non, on ne vous assurera pas, parce que d’après nos données, on vous voit aller dans les bars tous les soirs et rentrer tard…” »

Comment se défendre en cas d'abus ?

Pour l’instant, il faudrait invoquer le Code civil du Québec et la Charte québécoise des droits et libertés, qui interdisent de violer la vie privée sans motif sérieux, explique le professeur Trudel. Mais les tribunaux n’ont pas encore établi comment ils s’appliquent aux systèmes de reconnaissance faciale.
« S’ils servent à assurer la sécurité dans un évènement public, on pourrait peut-être argumenter que le motif est raisonnable. Mais si c’est pour savoir si vous êtes un bon client à l’hôtel, on est plutôt dans le marketing… »
Il est souvent possible de filmer pour éviter les vols, à condition que la surveillance soit annoncée. Mais les caméras n’étaient traditionnellement pas branchées à un système de reconnaissance faciale – capable d’entraîner l’exclusion d’un délinquant de toute une chaîne de magasins, sans pardon possible.
« La question qui se pose, c’est : est-ce un mécanisme disproportionné compte tenu de la finalité ? demande M. Trudel. Il va falloir que l’État intervienne. Le marché joue à l’encontre des droits fondamentaux. »

Que sait-on au sujet de l'outil japonais que Bell a vanté à ses clients ?

Il n’a pas fait la manchette, mais le système NeoFace, conçu par l’entreprise japonaise NEC, est partout. Le réseau Star Alliance, auquel appartient Air Canada, vient de signer un contrat pour le faire installer et la police de Calgary a indiqué qu’elle l’utilisait déjà, tout comme des navires de croisière de Disney ou des hôtels en Asie.
Aux États-Unis, des gouvernements, des universités et des entreprises l’emploient. Et il permettra d’assurer la sécurité aux Jeux olympiques de Tokyo.

Est-ce rassurant quant à son déploiement possible au pays ?

Pas forcément. « Bell doit bien saisir que si elle vend cette solution-là à des clients, ils vont pouvoir l’utiliser de toutes sortes de façons après », prévient le professeur d’éthique des affaires Dominic Martin.
Le géant des télécommunications s’associe à des tiers pour offrir des services spécialisés, parce que son « objectif premier est la connectivité réseau », selon un courriel que sa porte-parole Caroline Audet a envoyé à La Presse.
Le professeur Martin s’interroge néanmoins : « À la place de Bell, je me demanderais jusqu’à quel point ça cadre dans mon modèle d’affaires, sachant que de gros joueurs comme Google et Facebook ont officiellement mis la pédale de frein à cause des possibles débordements éthiques de cette technologie-là. »



REF.:

vendredi 30 août 2019

Recours collectif revenu Quebec vol les Quebecois avec complice revenu Canada

Recours collectif revenu Quebec vol les Quebecois avec complice revenu Canada

Victime de revenu Québec 23 juin 2019
 

impôt, vol, Ouèrnement, wouèrnement, gouvernement, recours
 
 
 
Des milliers  de Québécois volés avant jugement ,impossible d’avoir une défense juste & équitable.
petition24.net (vous enverons un courriel voir a acepte votre signature .)
avons-nous le droit & le devoir de refuser de payer de fausses factures recu par l'impot ?
Actions illégales perpétrées sans répit contre mon entreprise, moi et ma famille : j'ai été accusé à tort ( 2007 ) de fausses facturations, appropriation de fonds par revenu Québec et Canada. Ma femme,  à l'époque où ces fausses accusations se sont produites,  était administratrice de l'entreprise ( c’est elle qui a passé les examens financiers gouvernementaux à l'ouverture de l'entreprise ) car moi Dysphasique & Dysorthographique .( Donc impossible pour moi d’être administrateur ) Après accusations des percepteurs d'impôt, due à une vérification abusive à commission ( le percepteur d'impôt devait aller chercher 1000 dollars / l'heure où plus pour obtenir un bonus en % des sommes de ses vérifications. S’il ne va pas chercher 1000 dollars/ l'heure il y a de grandes chances de perdre son emploi. Suite à un appel du vérificateur en 2007 . Première phrase qu'il me dit est : «  C’est quoi que je saisis ». Je réponds : «  J'ai toujours payé mes dus partout » .  Il me répond : «  Tu dois plus  d’un million ». Je lui demande de me laisser un peu de temps pour comprendre ce qui se passe. Arrivé chez moi, je fouille dans les classeurs et bureaux où ma femme administre mon entreprise. Je trouve un tiroir de bureau avec plein de lettres pas ouvertes. Donc, je me renseigne pour avoir un rendez-vous avec un avocat fiscaliste pour contester ces avis de cotisation. Il me dit de faire une expertise psychiatrique de ma femme car ce n'était pas normal de laisser plein de lettres non décachetées. Donc première expertise : dépression majeure chronique. Revenu Québec la refuse . Donc l'avocat fiscaliste me réfère un autre psychiatre ( dépression majeure chronique & autre ). Revenu Québec et Canada acceptent ce diagnostic. L'avocat fiscaliste me demande 500 mille dollars  pour cette cause ( impossible car je les ai   en valeurs  mais pas en liquide ).  Revenu Québec et Canada avaient saisi le compte de banque entreprise. Quand ils ont saisi ( compte entreprise ) j'ai dû engager 3 autres avocats et faire une demande de prêt à ma banque car je devais payer les employés, fournisseurs de matériaux et  les 4 avocats . Premier avocat, car la commission de la construction du Québec me poursuit en justice.  Deuxième avocat, plusieurs ont vu une opportunité de ne pas me payer car plusieurs entreprises au Québec savent que quand le fisc attaque, les chances de faire faillite avant jugement sont très grandes.  Ils ont levé des hypothèques légales sur tous mes biens privés  & entreprises, comptes à recevoir de l'entreprise , comptes de banque entreprise ( aucune banque ne veut plus me prêter car trop risqué  ) .  Une lettre a été envoyée à tous ceux pour qui je travaillais : que toutes sommes dues devaient leur être remises  sous peine de poursuites. Plus personne ne m'engageait pour ne pas risquer d'être poursuivie. Les comptes à recevoir de l'entreprise, hypothèque légale sur mon camion, les allocations familiales saisies ( plus ou moins $45,000 ),en plus ils me rajoutent une poursuite concernant les allocations familiales. J'ai 6 enfants donc 4 adolescents habitant chez moi. A plusieurs moments je n'avais que 50 dollars par semaine pour faire vivre ma famille, payer l’ épicerie, les factures d’électricité, l'école, l’habillement , etc. , etc. . Dues à toutes ces saisies, les assurances ne voulaient  plus m'assurer. Mme El Kabira Guesmi (mai 2009) tous les sous-traitants ont vraiment rendu les services donc pas de fausses factures, je ne me suis pas approprié de fonds. Tout ce que j'ai fait était légal. Mais je devais payer malgré toutes les taxes de mes sous- traitants qui ont tous été poursuivis par revenu Québec et Canada. Qui ont tous payé leurs dus et je devais leur signer une décharge que je ne les poursuivrais  pas en justice.( ce que j'ai refusé même mon avocate de l'époque les trouvait illégaux ). Ce qui affecte grandement ma vie familiale, amis et toute personne en contact avec moi.  Épuisé financièrement, mentalement et  émotionnellement, j'étais rendu avec un mauvais caractère. Dans cette période d'abus, j’ai subi plusieurs opérations pour membres fracturés dus au manque de concentration causé par ces actions illégales. A plusieurs reprises,  j'ai demandé l'aide du gouvernement pour m'aider financièrement durant ces mois de convalescence et  ils ont toujours refusé  . En mars 2013, une entente entre eux et moi : les avis de cotisation sont réduits à $33,000 qui est déductible pour mes propriétés privées au lieu de plus de $1,800,000 . Revenu Québec a  signé sous menace de mon avocat fiscaliste qui leur  dit que si on va devant le juge avec un dossier pareil, le jugement va être dévastateur contre vous. Une heure  ouvrable avant d'aller en cours de justice, Revenu Québec et Canada signent, mais il y a une clause à ce document :  si une des parties ne respecte pas l'entente signée , tout les procédures recommenceront au tout début 4  mois plus tard, je doute qu'ils ne vont pas respecter l'entente donc je me rends à l'évidence que je devrai abandonner ma famille, mon entreprise, mes biens, mes amis, etc. etc.. Souhaitant sortir  ma famille de cet enfer , j'ai signé les procédures de divorce. J'ai donné à mes enfants et à ma femme tous les biens de la maison , du garage et articles de collection. Je devais les préparer à leur nouvelle vie vu que  je ne pouvais plus être leur soutien parental. Le 5 septembre 2013, je suis parti vivre à Calgary .Dans les 2 premières années, j'ai dû payer $17,000  à Revenu Canada,  une grande dépression s’est emparée de moi. La difficulté à obtenir justice, honnêteté, impartialité, malgré que l'article 122 , 132 , 137 les rendent passible d'emprisonnement. Aucune honnêteté ou impartialité ne m’a été accordée. De plus tous les organismes gouvernementaux ont  refusé  toutes mes demandes.  Ils m’ont volé $1,000,000  sans les déduire sur la nouvelle avis de cotisation de 2014 . C’est  illégal et un vol  . Il y a plus ou moins 10 ans, j'ai ouvert 2 sites sur Facebook : victime de revenu Québec et abus de pouvoir de revenu Québec, pour expliquer mon histoire d'horreur avec le fisc et pour voir s’ il y en avait d'autres dans le même cas. Un de mes premiers  contacts a été Jean Yves Archambault qui a gagné contre le fisc. Le jugement est dévastateur, malhonnête, falsification de documents des vérificateurs, abus de toutes sortes, preuves de vérificateurs à commission illégale et bien d'autres. Ils ont été en appel du jugement  à 2 autres reprises mais Jean-Yves Archambault a gagné quand même. Une vraie discrimination envers les québécois. Voici une petite partie de l'enfer que Revenu Québec et Canada nous ont fait  vivre à ma famille et à moi.

Alain Lebeuf victime de revenu Quebec (facebook)    Contacter l'auteur de la pétition

jeudi 5 mars 2015

Prendre l'avion: inquiétant pour un Pirate ?

Les inquiétantes failles de sécurité du contrôle aérien américain

Les systèmes informatiques de la Federal Aviation Administration forment un véritable gruyère, constate un rapport gouvernemental. Des hackers terroristes pourraient s’y introduire pour perturber les vols d’avion.


Voilà une nouvelle qui ne va pas rassurer les « aérodromophobes », c'est-à-dire les personnes qui ont peur de l’avion. Un rapport gouvernemental américain montre que les systèmes informatiques de la Federal Aviation Administration, l’agence de contrôle aérien, sont de vraies passoires : les correctifs ne sont appliqués qu’au bout de quelques années ou pas du tout, les échanges de données sensibles ne sont pas toujours chiffrés, parfois des mots de passe et des « données d’authentification » circulent en clair, etc.
Conclusion : des hackers terroristes pourraient « s’introduire dans les systèmes » et « perturber le fonctionnement opérationnel ». Ce qui représente donc un risque potentiel grave pour les 2.850 vols que supervise la FAA tous les jours. Pour remédier à cette situation, le rapport fait 17 recommandations, par exemple une formation annuelle des collaborateurs dans le domaine de la sécurité ou la mise en place d’un système d’analyse de trafic national pour détecter les attaques.
Le contrôle aérien aux Etats-Unis
Le contrôle aérien aux Etats-Unis
Le constat du gouvernement n’est pas très étonnant. Cela fait quelques années maintenant que les chercheurs en sécurité tirent la sonnette d’alarme. En novembre dernier, un expert britannique estimait qu’il était possible de faire tomber un avion au moyen d’une bombe logique. En août dernier, un chercheur en sécurité avait dévoilé de nombreuses failles dans les terminaux de communication par satellite, utilisés entre autres dans le contrôle aérien. En avril 2013, un chercheur avait même créé une application Android qui permettait de prendre les contrôles d’un avion.
Source :

mercredi 16 avril 2014

Pétrole: Attention faite le plein d'essence toute suite le prix montera a 1,50$/Litre demain ?

Wow ,pas de surprise il est a $1,49.9/L, c'est qui le cave ? Estrie la cenne noire existe plus ,ça veut dire que c'est légalement a 1,50$ ,c'est un centième de cenne lo-lol,................gagne de casse de bain ;-)



REF.: vaenenfer,

samedi 1 mars 2014

Cybersécurité : les données liées à 360 millions de comptes sur le marché noir



Sécurité : Le spécialiste en cybersécurité Hold Security affirme avoir découvert sur divers marchés noirs en ligne un stock de 360 millions d’identifiants obtenues suite à plusieurs cyberattaques qui n’auraient pas encore été rendues publiques.

360 millions d’identifiants contenant des adresses emails, accompagnées de mots de passe qui dans la plupart des cas ne sont pas chiffrés, sont actuellement en vente au marché noir sur Internet. C’est ce qu’a découvert au cours des trois dernières semaines Hold Security, une entreprise spécialisée dans la cybersécurité.
Ces données seraient le fruit de plusieurs attaques qui n’ont pas encore été rendues publiques et dont les victimes n’ont peut-être pas encore connaissance précise-t-on. Parmi ces données figurent des adresses électroniques issues des principaux webmail, à savoir AOL, Google, Microsoft et Yahoo ainsi que la « quasi-totalité des sociétés du Fortune 500 et des organismes à but non lucratif », précise Reuters.
Comptes en banques, réseaux d'entreprises visés ? 
Entre les mains des pirates, ces données sont considérées comme beaucoup plus dangereuses que les coordonnées de cartes bancaires, surtout lorsque les usagers se servent des mêmes identifiants et mots de passe, ce qui est souvent le cas. Selon Hold Security, cela pourrait notamment permettre d’accéder à des comptes en banque, des réseaux d’entreprise ou des données médicales.
Il est important de souligner que ces révélations sont utilisées par Hold Security pour promouvoir son nouveau service de surveillance du web invisible ou deep web.


vendredi 22 mars 2013

L'impôt sur le revenu, vous arrêtez de payer ça  !



Le mouvement Citoyens souverains, qui considère l'impôt comme illégal, est dans la mire de l'Agence du revenu du Canada et des autorités policières.Quoi ,.........tout pour diaboliser M. Harpeur ? ,........ Le groupe conteste les gouvernements et leurs lois, dont la Loi sur l'impôt. Certains d'entre eux conduisent même sans permis avec des plaques d'immatriculation non conformes.
Jacques-Antoine Normandin est l'une des figures les plus importantes des Citoyens souverains au Québec. Comme la plupart des personnes qui adhèrent à ce mouvement, il est convaincu que les gouvernements n'ont pas le droit de percevoir de l'impôt.
Jacques-Antoine Normandin est l'une des figures les plus importantes des Citoyens souverains au Québec.Jacques-Antoine Normandin est l'une des figures les plus importantes des Citoyens souverains au Québec.
« Il ne faut pas se culpabiliser parce qu'on ne paie pas d'impôt. L'impôt sur le revenu, vous arrêtez de payer ça », lance-t-il en entrevue à Radio-Canada.
L'Agence du revenu du Canada suit à la trace les activités de M. Normandin ainsi que celles d'une cinquantaine d'autres groupes de Citoyens souverains au pays, selon un document provenant des services de sécurité de l'agence, dont Radio-Canada a obtenu copie.
La directrice des enquêtes criminelles à l'Agence, Johanne Charbonneau, a accepté de parler à Radio-Canada, à condition de ne pas être vue à l'écran pour des questions de sécurité.
« Les renseignements qu'on a, c'est que, oui, il faut être à l'affût de ça et garder certaines précautions. Il y a certains d'entre eux [des membres de Citoyens souverains] qui promeuvent une certaine violence envers les gens avec autorité. » — Johanne Charbonneau, directrice des enquêtes criminelles, Agence du revenu du Canada
Les Citoyens souverains rencontrés par l'équipe de Radio-Canada se disent pacifiques. Ils sont toutefois prêts à tenir tête à un système qu'ils jugent illégal.
Du côté de l'Agence du revenu, le message est clair. « Ne pas payer ses impôts, c'est un crime », souligne Mame Charbonneau;)
Selon l'Agence, le mouvement Citoyens souverains est en pleine expansion et compterait 4000 adeptes au Canada.
Le mouvement s'étend en Estrie
Plusieurs figures de proue des Citoyens souverains se retrouvent en Estrie dont Jacques-Antoine Normandin, de Cowansville. Ce dernier utilise plusieurs identités (Jacques Normandin, Jacques-Joseph-Pierre-Antoine Normandin, Jacques-Antoine Lagassé-Normandin). « Mon nom d'Être humain, c'est mon nom de baptême, c'est ce qu'on retrouve dans l'Acte de baptême. Mon nom, c'est Jacques-Joseph-Pierre-Antoine. Normandin, c'est la lignée, c'est un nom juridique. Notre numéro d'assurance sociale est attaché à notre nom de famille et non pas à l'Être humain, à notre nom de baptême », explique-t-il.
Réjean Dubois et de son fils Jean-François, qui vivent à La Patrie, sont convaincus que la Constitution ne s'applique pas au Québec et que les lois sont invalides. « On ne peut pas continuer à payer une cenne d'impôt. C'est fini! Enrichir le système, enrichir le Barreau du Québec qui se fait des lois pour se donner de l'ouvrage, c'est assez! », dénoncent-ils.
Les actions des Citoyens souverains ont aussi joué un rôle dans la saga entourant la vente du Club de golf de l'Estrie. L'ancien directeur général de l'endroit, Luc Bergeron, a été congédié en 2007, mais la propriétaire du club de golf refusait de payer les sommes qui restaient à son contrat, ce qui représentait une somme de 66 000 $. Selon ce qu'a appris Radio-Canada, les Citoyens souverains, et plus particulièrement Jacques-Antoine Normandin, ont joué un rôle dans ce dossier.
Luc Bergeron s'est retrouvé envahi de documents volumineux provenant des Citoyens souverains. « On a commencé à recevoir des documents. Le premier contenait 14 pages et on n'en comprenait pas 10 %, ni mon avocat. Mon avocat commençait à être sur le nerf chaque fois qu'il voyait le postier arriver avec des documents. Il savait que c'était encore un paquet de cochonnerie qu'il était obligé de lire. »
Selon l'avocat constitutionnaliste et ancien ministre de la Justice, Benoît Pelletier, les arguments des Dubois ne tiennent pas la route. Les Tribunaux ont également tous rejeté les arguments des Citoyens souverains.

Le mouvement Citoyens souverains, qui considère l’impôt comme illégal, est dans la mire de l’Agence du revenu du Canada,.....ça veut tu dire qu'on est près a se séparer du Canada et rapatrier notre assurance chomage et mettre dehors le Sénat et la Reine ? trudeau s'est déja retourné debord dans sa tombe ! Le mouvement de frénisie a la sauce  Oklahoma City est inscrusté dans notre code génétique,il est trop tard,vous devez sortir de la Matrice!


La journaliste Brigitte Bureau et la réalisatrice Sylvie Robillard présentent un reportage complet sur le mouvement Citoyens souverains et sa doctrine, jeudi soir, à 21 h, à l'émission « Enquête » de Radio-Canada.

Les pauvres et les faillis de secondes faillites ne peuvent payer leurs impôts ?


Les pauvres et les faillis de secondes faillites ne peuvent payer leurs impôts ?




Les "citoyens souverains" sont des "gens dangereux" selon la GRC,..........mais qui a créé ce mal, économique ? 
Le système ,......ou les membres du système ?
L'argent est tellement une bonne invention ,alors que.......... c'est le service rendu qui compte !


Jacques-Antoine Normandin est l'une des figures les plus importantes des Citoyens souverains au Québec.


Voir l'émission d'affaires publiques "Enquête" du 21 mars, où il est question des "citoyens souverains" qui contestent le fondement des lois dont la loi de l'impôt.  Jacques-Antoine Normandin(ou Jacques Joseph Pierre Antoine ? ),disait que "le système s'en va vers la pauvreté" et qui défend ses idées et convictions depuis plusieurs années au Québec, est présenté comme le gourou d'une doctrine dangereuse...  Que l'on soit d'accord ou non avec les  idées et le zèle de Jacques-Antoine, il nous faut admettre qu'il a le courage de ses convictions.     Nos vues sont très différentes sur certains sujets, mais je garde un profond respect pour cet homme qui a tout sacrifié pour la justice et pour sa foi.  Salut à toi Jacques-Antoine!

L'émission sera en ligne dans les prochaines heures:
http://www.radio-canada.ca/emissions/enquete/2012-2013/Reportage.asp?idDoc=279881



Alertée par le juge en chef de la Cour supérieure, la Sûreté du Québec a lancé une série d'enquêtes sur une mouvance radicale antigouvernement, importée des États-Unis et du Canada anglais, dont les adeptes ont causé des soucis à plusieurs juges et policiers québécois en prenant notamment pour cibles leurs finances, a appris La Presse.
Les «Freemen on the Land» ou «Sovereign Citizens» (Citoyens souverains) sont déjà bien connus des autorités de plusieurs communautés anglophones nord-américaines. Ils rejettent vigoureusement l'État, le système économique, les services publics, les lois, qu'ils assimilent à une vaste conspiration dont ils peuvent prétendument s'extirper grâce à leurs soi-disant connaissances juridiques et constitutionnelles.
Ils se rebellent au point de cesser de payer leurs factures, de rouler en voiture sans plaque d'immatriculation et de résister à la police. Une des tactiques des Freemen est l'envoi de correspondance pseudojuridique et l'inscription d'hypothèques mobilières sur les possessions de représentants de l'ordre qu'ils accusent d'avoir outrepassé leur autorité en s'attaquant à une «personne souveraine» comme eux.
Ce phénomène est peu connu au Québec et peut paraître étrange à première vue. Mais lorsque le juge en chef de la Cour supérieure François Rolland l'a vu montrer le bout de son nez ici, il est intervenu immédiatement.
«Tout s'est produit l'année dernière, raconte-t-il, dans un entretien avec La Presse. J'ai été alerté plus particulièrement au printemps 2012. Huit ou neuf juges de notre cour avaient reçu leurs avis, dont moi, ainsi qu'un ou deux juges de la Cour du Québec.»
«J'ai pris ça au sérieux dès le début, car je parle aux collègues des autres provinces, et on m'a dit que c'est devenu une plaie dans l'Ouest. Aux États-Unis, c'est très important. J'ai demandé à la Sûreté du Québec de faire enquête», dit-il.
Hypothèque mobilière
Selon nos sources, les enquêteurs ont recensé plusieurs cas où des policiers et juges ont eu maille à partir avec des Freemen et d'autres idéologues apparentés, en personne ou par l'envoi de correspondance. Dans 10 cas précis, des adeptes avaient tenté d'inscrire une hypothèque mobilière sur les biens de juges québécois grâce au Registre des droits personnels et réels mobiliers (RDPRM).
Le RDPRM est un registre gouvernemental informatisé qui permet de savoir si certains biens (véhicules, actions, équipements) ont été donnés en garantie ou s'ils sont grevés d'une dette. On peut y rendre publics des droits relatifs à certains biens meubles ou à des personnes. L'avis qui y est publié n'a pas force de loi, mais il est visible par tout le monde, ce qui peut causer des ennuis à une personne qui souhaite emprunter de l'argent ou vendre son bien.
Des mesures existent pour filtrer les avis frivoles. Selon nos sources, la police a identifié seulement un cas où la manoeuvre a fonctionné jusqu'au bout contre un juge. Mais le porte-parole du RDPRM, Me Charles Dorion, affirme de son côté que les Freemen ont fait plus d'une victime.
«Nous les avions vus venir, nous savions que c'était un problème dans l'Ouest canadien. Nous avions des mesures mises en place, mais qui ont pu être contournées à quelques reprises», confirme-t-il.
«Ça pose des problèmes, les gens ont dû prendre un avocat, avec tout ce que ça représente, pour faire radier ça», déplore le juge Rolland.
Parade en place
La direction du RDPRM assure toutefois avoir trouvé une parade, qui est gardée confidentielle, et qui aurait permis aux fonctionnaires de bloquer toutes les tentatives des Freemen depuis septembre.
À la Sûreté du Québec, plusieurs enquêtes sont en cours sur ces tentatives. L'inscription d'une hypothèque mobilière est un recours parfaitement légal, mais les policiers tentent de vérifier s'il y a eu harcèlement ou intimidation du système judiciaire. Officiellement, les porte-parole du corps policier ont peu à dire à ce sujet.
«C'est sûr que la SQ est au courant de ce phénomène et demeure très vigilante. S'il y a des gens qui veulent commettre des actes criminels, que ce soit individuellement, en groupe, ou sous la bannière d'une organisation, la SQ va intervenir», assure le sergent Bruno Beaulieu.
La Gendarmerie royale du Canada (GRC), qui couvre quant à elle des territoires comme l'Ouest canadien, où cette philosophie compte beaucoup plus d'adeptes, se montre plus clairement préoccupée.
«La GRC est au courant de l'idéologie Freeman on the Land et des interactions que certains services de police ont eu avec des individus adeptes de ce courant. Au cours des dernières années, la GRC a reçu des correspondances directement des adeptes de ce mouvement», explique le caporal David Falls.
«[Ils] sont une source de préoccupation, car certains approuvent la violence pour promouvoir leur vision, et cela peut inclure la violence envers les policiers», dit-il.
Rien n'indique que les Freemen puissent représenter une menace pour le public en général, insiste le caporal, mais la GRC et l'Association des chefs de police canadiens travaillent à développer du matériel de sensibilisation pour les agents sur le terrain qui auront à intervenir auprès d'eux, d'un océan à l'autre.
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En chiffres
30 000
Selon un rapport du Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) citant des sources publiques, ce serait le nombre d'adeptes de la philosophie des Freemen au Canada.Et probablement 4,000 au Québec ,sans compter que jusqu'a 2 Millions(ou le 1/4 des Québécois) du Québéc n'ont pas payer leurs impôts des dernières années ! Autrement dit serions-nous encore en crise économique Mondiale mes amis ?$?
10
Nombre de juges québécois répertoriés par la police qui ont eu maille à partir avec des adeptes locaux de cette mouvance.
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«Une menace», jugent les services secrets canadiens
Le FBI les considère comme un mouvement terroriste intérieur. Le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS), comme «une menace». Mais la plupart des Freemen, eux, se présentent comme des gens pacifiques qui détiennent la clé pour revenir à l'ancienne utopie perdue de l'Amérique.
Bien qu'ils ne constituent pas un groupe organisé, les promoteurs de cette philosophie prétendent généralement qu'autrefois, chaque individu était «souverain», libre des taxes, lois et règlements, jugés oppressifs.
Un sombre complot aurait remplacé cet état de grâce par une tyrannie illégale. La population aurait été manipulée à son insu: en obtenant un permis de conduire, une carte d'assurance sociale, un permis de chasse, les gens signeraient en fait des «contrats» par lesquels ils acceptent de se soumettre à l'autorité alors qu'ils n'y seraient pas obligés. En rejetant tous ces «contrats», il serait ainsi possible de reprendre sa liberté et de déjouer le système.
L'Anti-Defamation League (Ligue antidiffamation), un organisme américain qui étudie les mouvements extrémistes, les considère comme des «anarchistes de droite», ou «libertariens», qui se distinguent par une particularité: ils croient vraiment que leur astuce fonctionne. Plusieurs Freemen disent être immunisés contre la police et ne pas avoir à payer d'impôt parce qu'ils jouissent de l'immunité judiciaire depuis qu'ils ont résilié tous les «contrats» avec le gouvernement.
Le FBI affirme sur son site web que les membres peuvent devenir violents lorsqu'on les contredit. Depuis l'an 2000, six policiers auraient été tués par des Freemen ou «Citoyens souverains» aux États-Unis.
Terry Nichols... (PHOTO ARCHIVES AP) - image 2.0
Terry Nichols
PHOTO ARCHIVES AP
L'un des adeptes les plus connus du mouvement est Terry Nichols, un complice de l'attentat terroriste d'Oklahoma City, qui a fait 168 morts en 1995.
Les actes violents demeurent des exceptions et la grande majorité des Freemen préfèrent les documents écrits, les discours et la résistance pacifique aux autorités jugées abusives. Mais dans un rapport daté de mars dernier obtenu par La Presse, le SCRS parle tout de même d'une menace.
«Au cours des deux dernières années, les agences d'application de la loi ont noté une augmentation des incidents reliés à l'idéologie anti-gouvernement Freeman on the Land. [Ses adeptes] croient qu'ils ne devraient pas avoir à payer des taxes, à obéir à des lois et qu'ils ont le droit de se défendre, ce qui inclut le recours à la force mortelle si confrontés à un agent de l'État», précise le service de renseignement, selon lequel il pourrait y avoir jusqu'à 30 000 adeptes au Canada.
En septembre, un juge albertain a publié un jugement de 180 pages dans la cause d'un Freeman qui faisait traîner ses procédures de divorce par ses discours et sa rhétorique. Pour le juge, les promoteurs de ces théories n'ont aucune base juridique ou même logique. Ce sont des «escrocs» heureux de réussir à vendre leurs DVD, livres et séminaires à des gens crédules, dit-il.

Citoyens souverains à tout prix









Video ici !
http://www.radio-canada.ca/emissions/enquete/2012-2013/Reportage.asp?idDoc=279881


REF.:

mercredi 23 janvier 2013

Vol d'essence a l'Ïle Perrot,la Police au aguet ?

La 6 ième Avenue a l' île Perrot est surveillé par la Police locale,mais le mal persiste !
La 6 ième avenue est au prise avec des ados a la peau foncées qui s'acharne sur les citadins de cette avenue.

Fléau mondial,mais qui s'intensifia avec l'abolition des postes de pompiste de la génération Y qui voulaient pas se la geler l'hiver ,et aimaient mieux servir a la caisse avec des caméras, qui filmeraient les voleurs.Cela,insitant le phénomène de vol d'essence actuel.

Les stations-service ne sont pas les seules touchées par les vols de carburants. Les transporteurs routiers sont particulièrement exposés au siphonnage. Avec des appareils adaptés, les voleurs pompent les réservoirs des poids lourds pouvant contenir jusqu'à 1000 litres. La Fédération Nationale du Transport Routier (FNTR) estime le volume de carburant dérobé aux routiers à 20 millions de litres chaque année. Les concessionnaires automobiles sont aussi des cibles de choix.


 





 A quoi bon les photographier, si les amener a la cour ne ralenti pas le phénomène.

 
 Barrer donc vos portes a essence,avec une bonne serrure de tiroir bureau et une canette de Lubrifiant Jig-A-Loo Graphite Extreme,pour la lubrifier en hiver(Résiste à des températures comprises entre -73° à +538°C) !



Richelieu - Serrure came 19X16MM KD chrome - BP140700140 - Home Depot Canada
 Equerre de chaise zinguée _30x_30mm
Avec une équerre métallique,qui retiendra la barrure de porte.
Ça va dissuader bien des voleurs!


REF.: 
 

dimanche 16 décembre 2012

A la SQ faut surtout pas utilisé des fonds d’enquête de façon «inappropriée»

Utilisation de fonds - L'ex-patron de la SQ visé par une enquête
L’ex-directeur général de la Sûreté du Québec, Richard Deschesnes. 
Photo Archives / Agence QMI


MONTRÉAL – L’ex-directeur général de la Sûreté du Québec ainsi que deux de ses anciens bras droits font l’objet d’une enquête criminelle à la suite d’allégations selon lesquelles ils auraient utilisé des fonds d’enquête de façon «inappropriée» et «non-conforme aux politiques de gestion».
L’ex-patron Richard Deschesnes, ainsi que l’ancien directeur-général adjoint aux enquêtes criminelles Jean Audette, tous deux toujours officiellement toujours actifs, ont été relevés de leurs fonctions.


Utilisation de fonds

L'ex-patron de la SQ visé par une enquête


Quant à Steven Chabot, lui aussi un ancien patron des enquêtes criminelles, il est actuellement à la retraite.
Selon les allégations, des dépenses provenant du fond spécial d’opérations auraient été faites de façon inappropriée. Il s’agit d’un fond secret destiné aux enquêtes secrètes et importantes.
Selon ce qui transpirait mardi de cette affaire, rien n’indiquait que ces fonds auraient été utilisés à des fins personnelles.
Mis au fait de ces allégations, le nouveau directeur de la SQ, Mario Laprise, a avisé le ministre de la Sécurité publique, comme le veut l’article 286 de la loi de police.
«Le ministre a mis en place un groupe d’enquêteurs civils et indépendant qui inclut des policiers retraités ayant de l’expérience en enquêtes criminelles», a indiqué le lieutenant Michel Brunet, de la SQ.
Selon nos informations, l’équipe est formée de membres retraités de la Sûreté du Québec et de la police de Montréal.
Collaboration
Ils seront appuyés par un procureur qui travaillera sous la gouverne de la Direction des poursuites criminelles et pénales.
La nouvelle a eu l’effet d’une bombe, mardi, dans le Grand quartier général de la rue Parthenais. Il s’agit d’un second coup d’éclat à la Sûreté du Québec, depuis le renvoi de M. Deschesnes, le 10 octobre.
Les trois personnes visées par l’enquête ont toujours eu une réputation irréprochable et étaient estimées de leurs collègues.
«La Sûreté du Québec va collaborer pleinement à cette enquête», a dit M. Brunet.



REF.:

mercredi 12 décembre 2012

Les Banques(vous même) se font dérober 30 000 comptes bancaires


Eurograbber : un botnet mène au vol de 36 millions d'euros en Europe

Sécurité : Un botnet créé en Europe grâce au trojan Zeus a permis à des cybercriminels de réaliser des transferts bancaires frauduleux à hauteur de 36 millions d'euros.

Plus de 36 millions d'euros ont été volés sur 30 000 comptes bancaires appartenant à des entreprises ou des individus en Europe, dévoile le spécialiste de la sécurité Check Point. L'information, rapportée par The Next Web, fait état d'un botnet ayant servi à mener une attaque sophistiquée.
Dans son livre blanc, Check Point explique  que l'attaque a été baptisée Eurograbber après sa découverte par Versafe et elle-même. Des criminels auraient mis en place un réseau de machines zombies grâce à un malware (le trojan Zeus) qui aurait infecté des PC et des appareils mobiles sous Android et BlackBerry.
Italie et Allemagne très touchées
On ne connait pas l'ampleur du parc de machines infectées. La méthode s'est fait en deux temps : infection du PC, puis infection du téléphone. Cela a ensuite permis aux pirates d'intercepter les SMS de la procédure d'identification sur les comptes bancaires en ligne.
Le livre blanc ne rapporte pas beaucoup plus d'informations. On sait tout de même que les banques touchées sont majoritairement (50%) en Italie, mais que l'Allemagne, les Pays-Bas et l'Espagne ont également été touchés.
Quant aux utilisateurs, ils sont à 39% originaires d'Italie, à 38% d'Espagne et à 20% d'Allemagne. Italie et Allemagne ont été de loin les pays où le plus d'argent a été volé.
(Crédit: Check Point/Versafe)


vendredi 4 mai 2012

Scanneur de cul antivol ?


Japon - L'authentification biométrique en plein essor
 
© Shutterstock

Une banque japonaise va équiper ses distributeurs de machines capables de reconnaître la paume de la main de ses clients, adoptant ainsi la tendance à l'authentification biométrique, de plus en plus prégnante au Japon.

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Quand la main remplace la carte bancaire
Se servir de la paume de la main en guise de carte de crédit
Une dizaine d'automates de la banque Ogaki Kyoritsu (préfecture de Gifu) seront équipés de ces lecteurs biométriques au mois de septembre, un système qui sera par la suite généralisé. Cette banque est la première du Japon à installer ce système, mis au point par Fujitsu. Au niveau international, seule l'institution financière turque Ziraat Bank s'en est dotée jusqu'ici.
Au Japon, cependant, les systèmes d'identification sous forme de scans biométriques sont de plus en plus répandus.
La biométrie à l'aéroport
Pour l'instant, les autorités japonaises identifient les voyageurs grâce à la photo imprimée sur leur passeport. Mais au mois de mars, un panel d'experts a recommandé au Ministère japonais de la justice de tester des scanners capables d'identifier le visage, les yeux et la paume d'une personne, de façon à simplifier et à rendre plus rapides les formalités aéroportuaires d'immigration.
Un système capable d'identifier l'empreinte digitale des voyageurs a été installé dans quatre aéroports japonais, mais il nécessite l'enregistrement préalable de ces empreintes dans une base de données.
Le gouvernement étudie actuellement le coût de nouveaux systèmes biométriques et pourrait les déployer d'ici à 2014 s'ils s'avèrent efficaces.
L'International Air Transport Association (IATA) se penche également sur le dossier de la reconnaissance biométrique. Au mois de novembre, l'institution a présenté le «portique de sécurité du futur» à l'occasion du 67e World Air Transport Summit de Singapour.
Au point de contrôle, les passagers seront dirigés vers l'un des trois corridors de détection: celui des «voyageurs fréquents», le couloir «normal» ou bien celui de «sécurité renforcée».
L'attribution d'un corridor se fera en fonction des données biométriques recueilles par scanner, des documents de réservation et des billets.
Les voyageurs réguliers, enregistrés auprès des autorités gouvernementales, auront plus rapidement accès à la salle d'embarquement. Par la file dite «normale», passera la majorité des voyageurs. Enfin, pour certains passagers, les contrôles seront renforcés: ceux qui fournissent le moins d'informations, quelques personnes sélectionnées au hasard ou bien ceux qui seront jugés susceptibles de représenter une menace.
L'empreinte de l'assise du conducteur comme anti-vol
Les scientifiques japonais travaillent également à la mise au point d'un appareil de reconnaissance biométrique anti-vol capable d'identifier la forme et les points de pression du «derrière» du conducteur.
L'Advanced Institute of Industrial Technology a débuté ses recherches en 2010 et pense pouvoir généraliser ces sièges conducteurs spéciaux dès 2014.
Le siège dispose de 360 capteurs capables de détecter la pression de l'assise sur une échelle de zéro à 256. L'information est communiquée à un ordinateur pour créer une véritable «carte» de l'assise du conducteur.
Ces capteurs offrent une précision de 98 %, selon les chercheurs. Selon ces derniers, le système est plus précis que ceux qui s'appuient sur les empreintes digitales et les yeux, qui dépendent de la luminosité et de la netteté du capteur.


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