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mercredi 25 mars 2020

La faillite guette plusieurs pays

La faillite guette plusieurs pays

Il est facile de prévoir que le nombre d’entreprises en faillite augmentera au cours des prochains mois en raison de la crise du nouveau coronavirus. La faillite guette aussi plusieurs pays dans le monde, à commencer par ceux dont les revenus dépendent du pétrole et du tourisme.
Les pays dont l’économie était déjà fragile pourraient ne pas se relever de ce coup dur. L’Italie, qui a perdu jusqu’à maintenant près de 5500 citoyens en raison de l’épidémie, sera aussi frappée durement par la diminution à prévoir du nombre de touristes. Le pays est l’un des plus visités du monde, et le tourisme représente 6 % du produit intérieur brut italien.
Les économies de l’Italie et de la Grèce étaient déjà mal en point avant l’épidémie. Le coup porté à leur industrie touristique, qui mettra du temps à se rétablir, pourrait les mener à la faillite.
Les touristes finiront bien par revenir en Europe, dont les attraits sont là pour de bon. Même si ça prend du temps, la tour Eiffel et le Colisée finiront par faire affluer de nouveau les visiteurs.
Ce ne sera peut-être pas le cas de tous les pays qui ont développé leur industrie touristique au cours des dernières années et qui ont profité d’un boom sans précédent jusqu’à ce que le coronavirus frappe. Ceux pour qui le tourisme est vital souffriront. Aux Bahamas, par exemple, 50 % de l’économie en dépend. C’est la même chose pour Cuba et la République dominicaine, dont les économies sont au bord du gouffre en permanence.
La chute des prix du pétrole soulagera peut-être la population de certains de ces pays, qui doivent acheter du pétrole importé avec une devise faible. Mais pas tous. Le Mexique, par exemple, est un important producteur de pétrole qui compte beaucoup sur l’argent des touristes. Son économie risque d’être frappée des deux côtés à la fois. Le gouvernement mexicain avait intégré un prix de 49 $US dans son budget de cette année, alors que la baril de brut a fini la semaine dernière à la moitié de cette valeur.
Du pétrole et rien d’autre
En plus des monarchies pétrolières du Golfe, dont les revenus viennent uniquement du pétrole et qui comptent peu de population, des pays plus peuplés comptent sur leurs revenus pétroliers pour pouvoir nourrir la population et lui assurer les services de base.
Le pétrole est synonyme de survie pour des pays comme l’Angola, l’Irak et le Nigeria. Plusieurs sont déjà dans la ligne de mire des agences de crédit. Si les prix du brut se maintiennent à leur niveau actuel, ces pays pourraient voir fondre leurs revenus de 50 à 80 % cette année, selon l’estimation de l’Agence internationale de l’énergie.
Le pétrole est la principale source de revenus en devises étrangères qui permet aux pays producteurs d’acheter des biens essentiels et d’investir dans leurs infrastructures. Dans certains cas, c’est 70 % des revenus du pays qui proviennent des exportations de pétrole.
Même la richissime Arabie saoudite, qui a lancé la guerre de prix actuelle en inondant le marché au moment où la demande s’effondre en raison de la pandémie, pourrait faire faillite.
Le royaume produit le pétrole le moins cher sur la planète, mais il dépense plus que ce qu’il engrange en revenus pétroliers. Comme il a besoin d’un prix de 80 $US pour maintenir son train de vie – notamment ses dépenses militaires – et pour ne pas creuser son déficit, le pays devra puiser dans ses réserves de devises étrangères pour respecter ses obligations financières.
L’Arabie saoudite affirme pouvoir soutenir la guerre pendant des années, grâce à ses réserves de devises qui atteignent 500 milliards US. La Russie, qui lui tient tête dans ce conflit, a des réserves équivalentes de devises, mais une économie plus diversifiée, qui lui permet elle aussi de tenir pendant des années.
Les deux puissances pétrolières pourraient se tenir tête longtemps, ce qui maintiendra le prix du brut très bas. Et la demande mondiale sera longue à revenir, compte tenu de la récession d’une ampleur encore jamais vue qui s’annonce.
Au final, plusieurs spécialistes estiment que les Saoudiens pourraient perdre la guerre qu’ils ont eux-mêmes lancée et se retrouver en défaut de paiement. L’Arabie saoudite en faillite ? Plusieurs autres pays moins nantis sombreront avant, probablement.

REF.:

mercredi 9 novembre 2016

Élection: Trump,.... "The show must go 0ff " !




Présidentielle américaine 2016: Quels défis pour ce prochain mandat?

ETATS-UNIS Relations avec la Russie ou la Chine, dette fédérale ou régulation de la vente d’armes pourraient s’imposer comme les enjeux majeurs du prochain mandat américain…


Fini le gros show,maintenant on fait face a la réalité des pauvres gens !
Trump et les républicains contrôle  le Sénat et la Chambre des représentants,ce que ne pouvait faire Obama,mais si Trump veut donner plus au peuple il faudra qu'il arrive a contrôler les Banques et de s'attaquer a la dette du pays! Comme son idole Ronald Reagan ,il devra nous donner un bon show ,
comme un bon gestionnaire et un justicier ! Il est temps que la corruption quitte la Maison Blanche,on ne veut plus de retour d'ascenseur ,de Paradis fiscaux, de pétrole ,de guerre,de faillite; en somme les Banque$ cause tout ces problêmes de fuite de capitaux eux-même ,par leurs intérêts aux profits !Le monde hispaniques est en train de montrer par leurs votes a Trump qu'ils devra donner aux pauvres ! Si on creuse encore le faussé
entre la pauvreté et la richesse , les USA devront imploser économiquement et socialement ! 
La question est de savoir si Trump est la pour s'enrichir ou enrichir le peuple ? Le paradis c'est pas pour mettre de l'argent,mais pour mettre toute votre Foi ! Si j'était un Américain ,je ne resterait pas dans un édifice Trump,car les Terroristes l'ont déja dans la mire .Trump a tout ce qu'il faut pour réaliser l'implosion de l'impérialisme américain et préparer l'âge d'or ésotérique , le fera-t'il !
        
  
 

  • Une diplomatie sous tension

Révolutions arabes, guerre en Syrie, annexion de la Crimée… Depuis la première investiture de Barack Obama en janvier 2009, les relations diplomatiques de la première puissance économique mondiale ont profondément évolué. « Les tensions au Moyen-Orient et les relations avec la Russie seront déterminantes dans les années à venir, analyse Jean Eric Branaa maître de conférences à l’université Paris-Assas, et auteur de Qui veut la peau du parti républicain (Ed.de Passy), Donald Trump estime qu’il faut travailler avec les Russes alors que Clinton veut replacer les USA au centre du jeu diplomatique. Sur la guerre en Syrie, la candidate démocrate a affirmé à plusieurs reprises qu’elle souhaitait agir dans le cadre d’une vaste coalition et produire davantage 'd’intelligence', c’est-à-dire mettre l’accent sur le renseignement ».

 Même constat pour Vincent Boucher, chercheur en résidence à l’Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand de l’Université du Québec à Montréal : « La lutte contre le terrorisme arrive en seconde position des préoccupations des Américains. Depuis le 11 septembre 2001, cette question s’est imposée comme enjeu incontournable de la politique intérieure et extérieure des US. Clinton plaide pour un sursaut en matière d’utilisation du renseignement, une position semblable à celle d’Obama. Trump lui est dans un autre registre (…) et se positionne comme soutien de Vladimir Poutine qu’il a qualifié de 'grand leader'. Sur la question de la lutte contre Daesh, Clinton est encline à la poursuite des frappes aériennes mais reste réticente à collaborer avec la Russie et ne cache pas sa méfiance quant aux revendications territoriales de Poutine ».

Les relations avec la Chine, accusée de manipulation monétaire par Trump, et soucieuse de conserver son ascendant militaire dans la région, pourraient également marquer ce mandat.
  • Régulation des armes et immigration

Pour Jean-Eric Branaa, la question de la régulation des armes pourrait s’imposer rapidement dans le débat politique, une fois l’investiture passée : « Aucun des deux candidats ne va limiter le 2nd amendement sur le port d’arme. On a tendance à penser que Clinton veut s’en débarrasser or c’est faux. Elle veut limiter la circulation des armes d’assaut, notamment les AK47, et restreindre le droit d’achat dans les foires aux armes.

 Autre thématique récurrente de la campagne, l’immigration, défi majeur de la politique intérieur américaine. « Ce peut être la grande réforme de Clinton là où Barack Obama a échoué avec le Dream Act puisque le Sénat n’a jamais voulu voter en faveur de ces mesures et a été contraint d’agir par décret », détaille Jean-Eric Branaa.



  • Un gouvernement fédéral endetté

Dernier point susceptible de peser lors de la prochaine mandature : l’équilibre budgétaire du gouvernement fédéral. Si le marasme de 2008 semble déjà loin - le mois dernier, l’économie américaine a créé 161.000 nouveaux emplois et le taux de chômage a reculé à 4,9 % - l’augmentation de la dette publique se poursuit. « On continue d’augmenter le plafond de la dette et ce plafond est constamment dépassé or cela peut nuire aux Etats-Unis à long terme. C’est un spectre qui plane au-dessus de chaque nouveau Président », précise Vincent Boucher.
En février dernier, la dette nationale des Etats-Unis a dépassé le cap symbolique de 19 mille milliards de dollars, ou 19 « trillions » de dollars. Pour l’heure, les Etats-Unis empruntent à des conditions extrêmement favorables auprès des marchés financiers mais un défaut partiel pourrait avoir des conséquences imprévisibles sur le coût de son financement. A l’été 2011, un précédent blocage sur le plafond de la dette avait conduit l’agence de notation Standard and Poor’s à priver les Etats-Unis de leur « triple A », gage de solvabilité maximale auprès des investisseurs.




samedi 14 novembre 2015

Les banques et Desjardins ne veulent pas témoigner à la commission sur les paradis fiscaux

Le racolage journalistique et le banquier



La flagornerie, ça va faire
Me semble que la première qualité de tout journaliste devrait être son indépendance d’esprit puis son sens critique, son éthique, son professionnalisme et sa quête incessante de la vérité dans sa description des événements, dans ses entrevues, dans son évaluation des politiques gouvernementales, etc. Pour quiconque est de bonne foi et a les talents, le métier de journaliste est motivant au plus haut point et a une portée grandiose dans les enjeux de société. Mais aujourd’hui, la profession de journaliste n’est hélas plus ce qu’elle était. Voilà pourquoi malheureusement certains empruntent la profession journalistique principalement par esprit opportuniste afin de s’en servir comme tremplin vers une autre carrière plus lucrative et plus «glamour» comme joindre éventuellement un parti politique ou se dénicher une job en communication ou en relations publiques dans le privé. Ce ne sont pas les cas probants qui manquent, mes amis. Par exemple, la firme de relations publiques National emploie d’ex-politiciens comme l’ex-député du Bloc québécois Yvan Loubier qui, comme François Blais du PLQ, s’affichait à titre de progressiste, de social-démocrate et de gauche.
Émilie Laperrière de La Presse: un exemple parmi d’autres
Mettons une chose au clair. Ce n’est pas parce que je critique souvent La Presse et ses représentants que je ne les aime pas. Mais, il y a toujours ben une limite à faire fi de ses responsabilités journalistiques et de verser dans la flatterie qui s’apparente à ce que j’appelle de l’infopub, surtout lorsqu’il est question de gens très très importants provenant de grosses, riches et puissantes compagnies. Je sais bien que ces entreprises sont de gros publicitaires à ne pas perdre, mais il y a quand même un boutte à toute! À titre d’exemple, l’entrevue du 12 septembre 2015 que la journaliste Émilie Laperrière de La Presse a réalisé avec le dirigeant de la Banque de Montréal, L. Jacques Ménard est remplie de questions que je jugeais doucereuses, que n’importe qui aimerait se faire poser. Le préambule était aussi absolument édifiant: «Vous êtes exceptionnellement engagé au sein de la communauté, particulièrement auprès des jeunes, de même qu’en culture et en éducation. Considérez-vous que cette implication fait partie de votre rôle de président?» Juste le titre de son article faisait peu de doutes sur le type de texte que la journaliste allait pondre: «savoir faire émerger les bonnes idées». Mais rien sur l’évasion fiscale, sur les hausses de frais bancaires, etc.
Évasion fiscale et arnaque du cartel banquier canadien
C’est toujours le même désolant pattern. Plusieurs grandes entreprises détournent chaque année des milliards de dollars dans les paradis fiscaux afin d’éviter de payer leurs impôts dus au Québec et au Canada, arnaquent les consommateurs et tiennent régulièrement en otage les gens en raison de leur puissance économique et politique issue de leur situation de quasi-monopole au pays (confirmées pour nos banquiers par la revue anglaise The Economist) comme augmenter en chœur, et au même taux, les tarifs bancaires des consommateurs captifs: «Des frais bancaire en hausse» (TVA nouvelles, 25 avril 2015); transfèrent des emplois canadiens en sous-traitance dans les pays en voie de développement afin de payer ces travailleurs à un salaire de misère, ne paient pas leurs employés d’ici pour les heures supplémentaires accomplies et versent honteusement des millions en salaires à leurs dirigeants sachant qu’au pays, pour diriger une banque, absolument pas besoin d’être une 100 watts. Ça, c’est le comportement réel de nos banques canadiennes et de plusieurs entreprises que certains comiques appellent nos fleurons. Pour être qualifié de «fleuron» et de «joyaux» faut que ça soit obligatoirement une entreprise privée, et en aucun cas une société d’État ou des biens et services collectifs. Des fleurons aussi qui font dans la corruption et le criminel comme SNC-Lavalin ou qui siphonnent des milliards en fonds publics que leurs élus leur octroient malgré une performance et une gestion pitoyable comme Bombardier.
Jouer la carte du bienfaiteur afin de camoufler
Alors, après avoir détourné des milliards de dollars dans les paradis fiscaux, augmenter récemment, sans motif sérieux, les frais bancaires et autres tarifs, après avoir sous-traité des employés à l’étranger et après avoir versé des millions en salaires aux patrons, rien de mieux pour leurrer et berner la population que de s’acheter des articles de journaux, des reportages à la radio et à la télévision et se payer des firmes de relations publiques et des élus afin de faire passer ces affairistes pour des gens débonnaires, plein de compassion, qui ont à cœur la réussite des jeunes, qui veulent supposément combattre les inégalités économiques, etc. La majorité du  temps, ils versent des sous qui ne sont pas à eux, mais à la compagnie qu’ils ne détiennent pas.
Attention, ce sont ces bienfaiteurs d’entreprises et individuels qui vont choisir, avec dans les faits notre argent, les bonnes causes et les bons groupes à financer (déductibles d’impôts) que ce soit en culture, en sport, au niveau communautaire, en éducation, auprès des jeunes, etc. Ils donnent aussi beaucoup d’argent à des universitaires et leurs chaires qui sont du bon côté. Pour recevoir leur appui, faut évidemment que les représentants de ces bonnes causes soient reconnaissants envers leur philanthrope, qu’ils ne critiquent pas négativement leurs donateurs et surtout qu’ils ne remettent aucunement en question le système capitaliste aux sources de la classe dominante. Faut absolument montrer patte blanche. Ah, j’oubliais, faut aussi que ce soit une «cause» qui leur permet de se faire voir souvent et partout, pour que le reste ne suscite pas d’intérêt.
Comme nos gouvernements se désistent du financement des organismes communautaires, ces derniers pour survivre doivent obligatoirement faire appel au privé, mais subventionnés par des fonds publics, auquel ils deviennent alors tributaires et tenus d’adopter les mêmes idéaux.
Absence à la commission parlementaire sur les paradis fiscaux
C’est drôle, mais L. Jacques Ménard, sa Banque de Montréal, le Mouvement Desjardins, les autres banques canadiennes et les gros bureaux d’avocats et de comptables, dont KPMG, le chaperon gouvernemental à la Commission scolaire de Montréal, ont refusé de comparaître et de venir se faire entendre à la récente commission parlementaire provinciale sur les paradis fiscaux dont ils sont pourtant les maîtres d’œuvre. Carrément un affront à la population, à nos institutions politiques et au gouvernement: «Les banques et Desjardins ne veulent pas témoigner à la commission sur les paradis fiscaux» (Le Journal de Montréal, 1er octobre 2015). Allô démocratie. Martin Coiteux, Jacques Daoust et Carlos Leitao, en bons ex-banquiers qu’ils sont ne leur font aucun reproche en guise de solidarité. Eh oui, L. Jacques Ménard, que l’étincelant chroniqueur à La Presse, le seul et unique Jean-Philippe Décarie, a qualifié le 1er septembre 2012 de: «Philanthrope et engagé convaincu» brillait lui aussi par son absence à ladite commission parlementaire. Aurait-il, comme ces complices, des choses à cacher? L. Jacques Ménard préfère ergoter et cabotiner sur d’autres sujets accrocheurs avec son fan-club de journalistes qui l’accueillent toujours avec tous les honneurs. Je suppose que c’est pour le bien des jeunes et du bien commun que les banques et autres compagnies et individus s’adonnent à l’évasion fiscale dans les paradis fiscaux? Et puis, pourquoi ne pas avoir convoqué à cette commission, les ministres libéraux actuels Carlos Leitao et Jacques libéraux et l’ex-ministre Clément Gignac tous d’anciens banquiers qui s’y connaissent parfaitement en évasion fiscale dans les paradis fiscaux? Leitao et Daoust parlent toujours avec suffisance de plein de sujets qu’ils ne connaissent pas, mais jamais de thèmes sur lesquels on ne peut douter de leur expertise! Vraiment suspect.


Source.:
CA_LeoPaul_Lauzon

mercredi 22 avril 2015

L'itinérance nous on connait ça : Au MEQ et a Revenu Québec


 Suivez-nous,.............Non c'est pas a vous de nous suivre ?.................Changez votre façon,car la nouvelle génération vous suivra pas !

Personne ne choisit de devenir itinérant.
Mais nous ont vous ignore,et on vous aide a le devenir!
Si vous nous appelez, écouter notre message répondeur: "Bonjour,votre argent est important pour nous !"
Car le Ministère de la Santé a visiblement manquer sa campagne publicitaire concernant le phénomène de l'itinérance au Quebec.
Personne n'est à l'abri de l'itinérance. Les personnes qui vivent dans cette situation ne sont pas nées itinérantes, elles le sont devenues. Consultez les pages suivantes pour en connaître davantage sur ce phénomène.

Et si personne n'aide les futurs étudiants et travailleurs du Québec , oui il y aura plus d"itinérance !


Si le Ournement donne des Prêts et bourses aux étudiants,et que pendant ce temps,les cie ne remboursement pas leurs prêts ? Pourquoi les cie du Plan Nord ,détruise nos ressources et notre environnement ,en partant sans rembourser leurs dettes ?
Pourquoi les Gouvernements cautionne les Paradis Fiscaux des Banques ?
On voit très bien c'est qui , qui mène !
Ou que les riches (le 1%)ne payent pas leurs impôts ?

En effet, Près de 450 contribuables gagnant plus de 250 000 $ par année ne payent aucun impôt, dénonce Québec solidaire, qui invite le gouvernement à mettre fin à cette «injustice fiscale».
La formation de gauche a interpellé vendredi le ministre des Finances, Carlos Leitao, sur la question des avantages fiscaux qui, selon elle, profitent principalement au 1 % des Québécois les plus fortunés.
S’appuyant sur le rapport «Statistiques fiscales des particuliers» publié par Revenu Québec, QS soutient que sur les 40 000 contribuables qui ont déclaré des revenus supérieurs à 250 000 $ en 2011, plus de 450 n’ont payé aucun impôt.


À la lumière de son rapport annuel 2014, qu’elle vient de publier, la Caisse de dépôt et placement du Québec continue d’investir dans des sociétés et des fonds d’investissement qui sont enregistrés dans des paradis fiscaux, comme les îles Cayman, les Bermudes, le Luxembourg, etc.
On parle de placements dont l’ordre de grandeur dépasse quelques milliards de dollars.
Éviter les impôts
Si la Caisse reste «active» dans les paradis fiscaux, sachez que c’est effectivement dans le but d’esquiver l’impôt, et ce, pour le bien-être de notre portefeuille! Voilà en gros comment je perçois les explications que la Caisse m’a transmises au sujet de ses placements dans les paradis fiscaux.
Ne criez pas au scandale! Pas tout de suite, à tout le moins. Le porte-parole de la Caisse, Maxime Chagnon, m’a expliqué que la Caisse, en tant que gestionnaire du bas de laine des Québécois, ne paie aucun impôt sur ses revenus de placement. Et ce traitement de faveur fiscal vaut non seulement pour le Canada, mais également aux États-Unis et en Australie, en vertu d’ententes fiscales entre les trois pays. Par ricochet, il en est de même pour les caisses de retraite américaines et australiennes.




Conclusion:
Donc ,un étudiant devrait faire payer ses impôts ,ses prêts et bourses par une cie ou sa propre cie,dont il ne serait pas responsable ! Pauvre Anik Dorval;-(


REF.:


dimanche 8 mars 2015

Comment crée-t-on l’argent ?




Comment crée-t-on l’argent ?
Comment crée-t-on l’argent ?
Si le peuple comprenait notre système bancaire et monétaire, il y aurait une révolution avant demain. »-Henry Ford

La planche à billets ?

Pour la plupart des personnes, l’image ci-dessus représente la création d’argent. Les gens se disent que l’Etat, ou toute autre organisation, imprime des billets pour créer toute la monnaie nécessaire.
Il n’en est rien !
En fait, seulement 5% de la masse monétaire (tout l’argent sur terre) se trouvent être des pièces ou des billets. Les 95% restants sont des écritures informatiques, dit « argent scripturale ». Ces écritures, pour simplifier, disent par exemple : Mme X est à +10 000 € sur son compte, le FC Barcelone est à – 500 millions d’euros.
Vous avez déjà du entendre que si tout le monde retirait l’argent de son compte, le système s’effondrerait, en voici l’une des raisons : l’ensemble de l’argent n’existe pas matériellement !!!
Il est aussi facile de comprendre que, lorsque vous payez par carte bancaire au supermarché, votre compte sera débité de 150 € par exemple et que le compte du supermarché va passer de 300 000 € à 300 150 €. Pourtant, aucun échange de billet ou de pièce n’a été effectué, seules les écritures informatiques ont changées. De même que vous ne recevez jamais votre salaire en billets et pièces (ce qui est plus pratique) et que de plus en plus de transactions s’informatisent (traites, virements bancaires…).
« FAIT N°1 : 95% de l’argent sur Terre est informatique. Les 5% restant sont les pièces et billets que nous connaissons tous. »

La création monétaire par le crédit

Voici la partie sûrement la plus difficile à comprendre. Il est impératif de bien en cerner les subtilités. Prenez votre temps pour lire ce qui suit. Si le phénomène reste encore flou après explication, nous vous encourageons à relire ce passage une fois de plus :
La plupart des personnes pense que les banques ne prêtent que l’argent qu’elles possèdent.
Il n’en est rien !
En fait, la loi permet aux banques de prêter plus que ce qu’elles ont dans leurs comptes. Les « réserves obligatoires » représentent la partie d’argent que la banque se doit de garder pour accorder un prêt plus important.
N.B. : vous n’y croyez peut-être pas, mais cela est un fait ! Dans l’Union Européenne par exemple, les banques doivent seulement garder 8 € pour pouvoir en prêter 100 ! (Taux de réserve de 8%, c’est la loi !)
« FAIT N°2 : les banques peuvent prêter plus d’argent qu’elles n’en possèdent. Elles créent donc de l’argent en accordant un crédit ! »
Si vous pensez encore le contraire, rappelez-vous que 95% de l’argent sur la Terre est scriptural. Cette informatisation des échanges permet donc aux banquiers de réaliser le petit tour de passe-passe suivant :
Imaginez que Mr. Robert emprunte à une banque, 200 000 €, afin d’acheter sa maison. Que se passe-t-il ? La banque va uniquement changer les écritures du compte de Mr. Robert.
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Par ce jeu d’écritures, 200 000 € s’affichent sur le relevé de compte de Mr. Robert ! Bien sûr, la banque vérifie si elle pourra être remboursée. Mais remarquez qu’aucun billet n’a été imprimé, seules les écritures informatiques ont changé !
Son banquier doit bien sûr garder 4 000 € (taux de réserve de 2%). Mais le fait est que la banque vient de créer 196000 € ! Cet argent arrivera sur le compte d’une autre banque lorsque Mr. Robert payera le constructeur de sa maison. La banque du constructeur pourra alors créer 192 080 € Et ainsi de suite… Les 192 080 € arriveront dans une autre banque qui pourra créer 188 238 €…etc… C’est donc l’ensemble des banques qui crée l’argent. Une banque seule ne pourrait se le permettre. Avec 10 % de taux de réserve et un dépôt initial de 1 000 € les banques peuvent créer 5 513 € en seulement 9 prêts. Les accords de Bâle régissent la valeur de ce taux.
Par la suite, et suivant une échéance bien réglée, Mr. Robert doit rembourser ses dettes. Il pourra le faire, car il touche un salaire. De la même façon, ces dettes sont effacées sans échange de pièces et de billets.
En fait l’argent disparaît au fur et à mesure que le prêt est remboursé. La banque crée une somme et l’emprunteur la rembourse avec l’argent qu’il aura gagné. Il échange du temps de travail contre de l’argent, et tout cela de façon informatique. La banque prête par rapport à la richesse potentielle de l’emprunteur.
Le système de création monétaire par le crédit est un système que nous pensons idéal ! Sans lui, aucune entreprise ne pourrait subsister et aucune nouvelle construction ne serait lancée par manque d’argent ! Cette création de monnaie reste le système le plus perfectionné à ce jour afin de motiver l’Homme pour investir dans le futur. En fait, la monnaie ne devrait servir qu’à fluidifier les échanges. Malheureusement, notre système est légèrement différent.    
Les banquiers demandent des taux d’intérêt…

La création monétaire par le crédit avec taux d’intérêt

 « FAIT N°3 : Les banquiers vous prêtent de l’argent qu’il n’ont pas et vous demandent un loyer dessus!  (Taux d’intérêt) »
Mr. Robert : « Je veux une maison… »
- Son banquier : « Pas de problème, voilà, je viens de créditer votre compte de 200 000 €, je ne les ai pas, mais la loi me le permet, je vais donc créer 200 000 €. Attendez, j’entre juste ça dans l’ordinateur… 200 000 € pour vous… Vous nous devez maintenant 343 739 € (taux de 4% / an) que vous rembourserez pendant 30 années. »
Trouvez-vous cela juste ? Si mon voisin me prête un billet de 100 €, il est normal que je paye un loyer et que je lui rende 104 €. Car il ne peut plus se servir de son billet. Je lui paye donc 4 € pour le service qu’il me rend. Mais les banques quant à elles, n’ont pas l’argent. Cela revient à se faire payer pour une chose qu’elles ne possèdent pas, qu’elles peuvent créer à partir de rien !
Nous l’avons vu, lorsqu’une banque accorde un prêt, elle rend disponible de l’argent qui ne l’était pas. Pour bien comprendre ce mécanisme, il faut imaginer que l’économie mondiale est une baignoire. La monnaie est donc l’eau qui la remplit.
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Lorsque la banque accorde le crédit à son client, elle crée cette somme d’argent à partir de rien. La baignoire se remplit donc du montant du prêt, 100 €.
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Voilà donc que la totalité de l’argent sur Terre vient d’augmenter de 100 € ! En contrepartie, lorsque l’emprunteur paye ses dettes, l’argent va disparaître. Mais comme la banque lui demande des intérêts, 104€ vont être demandés. La baignoire se vide donc plus vite (-104 €) qu’elle ne se remplit (+100 €) !
« FAIT N°4 : Lorsqu’un banquier crée (à partir de rien !!) 100€, il en demande 104 €. L’argent des intérêts n’a donc jamais été créé ! Les banquiers demandent plus d’argent qu’ils n’en créent ! »
 C’est pourquoi l’ensemble des banquiers mondiaux doivent constamment accorder de nouveaux prêts afin de remplir la baignoire ! Cette technique a cependant 2 limites :
 1)  Le marché est très moutonnier : par exemple, lorsque la confiance règne, les crédits vont et viennent comme jamais, tous les acteurs du marché suivent la même direction. De l’argent est créé en continu. Mais lorsqu’elle est altérée, la confiance va aussi très vite dans le sens inverse. Et si elles ont peur de ne pas se faire rembourser, les banques vont arrêter d’accorder des prêts afin d’être sûr d’être les premières à être remboursées. La baignoire se vide alors au fur à mesure que les prêts se remboursent. Lors de la crise de 2007, les banques se sont arrêtés de prêter, nous avons tous vu le résultat : le chômage commence à augmenter, plus d’argent, plus d’investissement.
2) Lorsque des personnes stockent de grandes quantités d’argent sans la réinvestir dans l’économie, une partie de l’eau de la baignoire reste indisponible !
Et lorsque que ces deux limites sont atteintes celui qui ne trouve plus d’argent peut-être :
- La personne qui vit seule et qui ne peut plus rembourser son emprunt auto, elle reçoit alors la visite d’un huissier.
– Le patron d’entreprise qui ne trouve pas assez d’argent et doit soit délocaliser soit fermer son entreprise. Dans les 2 cas, cela entraîne une augmentation du nombre de chômeurs.
– L’État qui, lorsqu’il ne peut pas rembourser ses dettes, doit réemprunter (donc augmenter encore ses frais d’intérêt à payer) afin de pouvoir payer sa dette !
Par essence, la création monétaire ex nihilo (à partir de rien) que pratiquent les banques est semblable, je n’hésite pas à le dire pour que les gens comprennent bien ce qui est en jeu ici, à la fabrication de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement réprimée par la loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents » - Maurice Allais, Prix Nobel de Sciences Economiques
Rémi Mathieu (extrait du livre Comprendre la monnaie)
 

jeudi 8 janvier 2015

En attendant la première monnaie mondiale ?

monnaie-mondiale
the-economist-phoenix 

 imf-phoenix-rising
L’espoir du Phénix peut déployer ses ailesDans les vastes déserts du cielEt, toujours, peut défier le destinRevivre, et renaître de ses cendres.(Miguel de Cervantès, Don Quichotte)monnaie-mondialeSi vous voulez bien on va laisser de côté les sempiternelles et bien pratiques suspicions et accusations de complot, conspiration, et autres façons de discréditer, souvent les tordus qui peuvent les inventer, mais aussi parfois ceux qui voient clair mieux que les autres et avant eux. Des complots de l’oligarchie il n’y a que ça depuis des lustres. Celle qui nous gouverne, qui nous tient à la gorge et nous rançonne, est super organisée et nous concocte des crises ainsi que de la dette souveraine qui nous rend esclaves, même si nous en sommes les honteux et pitoyables complices par notre consumérisme délirant. Elle consiste à nous priver de battre monnaie, lever une armée, édicter nos lois et diriger notre système d’éducation. Quatre choses que l’Europe, en exemple, nous enlève selon Marie France Garaud qui a tout-à-fait raison de le prétendre. La façon de recouvrer tout ça serait de sortir de l’Euro et de l’Europe. Mais ceci est une autre histoire qui mériterait un autre article sur la souveraineté perdue et l’impuissance crasse à agir sur notre destin national.Ne digressons pas, revenons à l’oligarchie ou si vous aimez mieux aux TPTB (the power that be), les globalistes ou à la cabale magnifiquement flanquée des banquiers internationaux tant l’argent est le dénominateur commun et l’arme totale. Avec un arsenal impressionnant à leur disposition. De la Réserve Fédérale, des autres banques centrales dont la Banque Centrale Européenne, de la Banque des Règlements Internationaux mère de toutes les banques mondiales et outil de prédilection de la cabale, du FMI, de l’Organisation du Commerce International, de l’Otan, etc. Même l’ONU, qui a du mal depuis près de 70 ans à excuser Israël pour leur action envers la Palestine. La Palestine qui a d’importantes réserves de pétrole prouvées dans ses eaux territoriales. Gageons que ça excite des convoitises et je vous laisse deviner de qui. J’en passe et des meilleures, comme le Council of Foreign Relations, la Trilatérale et le Bilderberg. Et avec leurs vassaux, l’Allemagne, le Japon, l’Europe, l’Angleterre et l’Australie pour ne citer qu’eux. Rejoints par la Pologne et les Pays Baltes. Les outils financiers de la cabale sont les QE, les quadrillions de dollars des dérivés et les taux d’intérêt au ras des pâquerettes ainsi que la manipulation des cours de l’or et de la bourse. Mais le règne du dollar et aussi des États-Unis est essoufflé, fini, usé, consumé, pulvérisé. D’où la nécessité pour la cabale de le sacrifier pour les SDR (DTS) et donner un rôle nouveau et central au FMI.Le bon DSK était trop socialiste, concerné un peu plus par les moins riches que la cabale et correspondait mal au rôle nouveau du FMI que les globalistes ourdissaient. Exit DSK via peut-être ses instincts mal maîtrisés semble t’il, mais surtout grâce à ce qui peut faire penser à un piège pratique et fort à propos pour se débarrasser d’un directeur gênant. Il ne le dira pas que sa qualité de directeur peu docile du FMI lui a coûté tous ces ennuis judiciaires, et son partenaire dans la banque commune de ces deux associés vient de sauter d’une fenêtre élevée. Malheureusement les vingt étages l’ont tué. D’autres banquiers sont morts dans cette période de transition vers un nouvel ordre mondial accru, et la fréquence des accidents mortels exclut la coïncidence.the-economist-phoenixIl ne fait pas bon non plus suggérer de remplacer le dollar par d’autres monnaies et le patron de total, Christophe de Margerie, qui l’a crié sur les toits, a rencontré un chasse-neige sur la trajectoire de son avion au décollage alors qu’aucune neige obstruait la piste en automne. Çà n’a pas été relevé par les supporters des équipes de foot ou les clients de la malbouffe, c’est l’essentiel, on a eu chaud. Çà aurait fait mauvais genre pour la bien-pensance et les dictateurs intéressés de la pensée qui empêchent le débat. Ce grand patron a rejoint Saddam et Kaddafi qui eux aussi ont contourné l’obligation de commercer le pétrole en pétrodollars. Non, je ne compare pas ces gens entre eux, mais ils sont sans doute morts pour les mêmes raisons. Non, je ne suis pas non plus adepte des théories de la conspiration, même si je dénonce des faits qui y ressemblent fort. Je joins quand même une audio fort instructive de Kennedy avant sa mort. Je salue sa mémoire, lui qui avait tout compris dans le début des années 60. Il en est mort car vous ne croyez tout de même pas que Lee Harvey Oswald l’a trucidé, non ?Le cas des Etats-Unis est ambigu car si eux aussi sont globalistes, surtout les néo-conservateurs de Washington, la cabale ce n’est pas eux en premier, même s’ils en font partie pour certaines choses. Il y aurait une encyclopédie qui serait nécessaire pour expliquer à certains esprits confus en quoi ils sont différents, souvent alliés mais aussi souvent ennemis jurés. Prenons l’exemple de l’Ukraine. L’Amérique veut les sanctions et la guerre, pas la cabale. Voir les prises de position de Kissinger et celles, opposées sur le sujet, de George Soros. Voyez les mots très durs d’Hillary Clinton et de Dick Cheney, tous deux cabalistes, sur Obama l’Américain et sa façon débile de gérer l’international. Presque tous, parmi les plus éclairés pourtant des blogueurs Internet, ne savent ni faire la distinction, ni connaissent la dichotomie de ces deux clans de super puissance. Cette méconnaissance les amène à affaiblir leurs analyses et tout confondre.C’est ce que l’avenir proche va nous démontrer dès 2015 avec la chute du dollar US et les Droits de Tirage Spéciaux du FMI, ainsi que la déconfiture intégrale des États-Unis qui les mène au désastre social et à la ruine du pays. Autant pour les vendus aux thèses américaines, notamment les Européens fourvoyés dans la défense et la protection des intérêts d’un empire américain en décomposition. Il y aura très vite des lendemains qui déchantent pour les Polonais et Ukrainiens de Kiev, pour qui les États-Unis sont les maîtres. À cet effet, ce que fera l’Allemagne envers l’Europe sera déterminant. Et la France qui suivra. Le fameux ‘couple Franco-Allemand’, une fumisterie défendue par des politiciens fourvoyés et des journalistes comme Jean Quatremer. Tant qu’on aura des pseudo journalistes comme Laurent Joffrin ou David Pujadas, on se fera farcir la tête de désinformation manipulée. Un premier acte de liberté serait de virer ces gens là. Les États-Unis et l’Europe seront bientôt défunts, les États-Unis par les soins de la cabale et l’Europe par les peuples.Une autre arme redoutable pour la cabale est la presse grand public, âme damnée de celle-ci sur laquelle est exerce un contrôle total, et aussi, on l’oublie trop souvent, une bonne part des sites et blogs Internet. Ne soyons pas naïfs, la cabale a miné l’Internet et planté sa manipulation là comme ailleurs. Un conseil : en lisant un article, avez vous affaire à un menteur (lier), un raconteur d’histoires (story teller) ou à un chercheur de vérité (truth seeker). Vous verrez, cette classification va vous aider à éviter les pièges de la manipulation qu’on connaît depuis Goebbels. Faites aussi le distinguo entre USA et cabale.Mais revenons au phénix, aux SDR, et à l’émergence d’une monnaie mondiale. Le FMI avait publié un long essai il y a une dizaine d’années sur l’intérêt de créer la monnaie mondiale pour les réserves de change par les DTS (SDR). Déjà, le 9 Juin 1988, le journal ‘The Economist’ avait déjà publié un long article ‘Soyez prêts pour une monnaie mondiale’. En couverture un phénix qui piétinait un tas de billets de différents pays en train de brûler, symbole de la monnaie fiduciaire et qui annonçait cet événement, qui semblait farfelu à cette époque, pour 2018. Notez que le phénix porte une couronne qui symbolise sa qualité de roi et une pièce sur la poitrine avec justement la date de 2018. Tiens tiens ! Quand je vous dis que les événements à venir projettent leur ombre en avant… Çà prouve que l’œuvre de la cabale est de longue haleine, planifiée, inexorable. Numérotez vos abatis. Si vous croyez que la révolution Française vous a acheté la démocratie ou que vos syndicats et vos grèves et même vos votes vous protègent du rouleau compresseur. Comme disait Hollande avant son élection pour vous enfumer « mon ennemi c’est la finance ». Ouaf ouaf ! Faut oser !imf-phoenix-risingLes cabalistes sont des psychopathes qui rêvent du nouvel ordre mondial. Une monnaie unique, un gouvernement unique. La disparition de la souveraineté des pays, un pouvoir économique réservé aux plus riches, les taches de production mal payées à des travailleurs des pays pauvres mêlés par émigration ou compétition aux travailleurs qui un temps s’étaient organisés par le Front Populaire et les avancées sociales. Chaque année qui passe érode nos libertés.Il est temps de parler des SDR et je vous suggère de lire, comme introduction sur le sujet, mon article « vous avez dit DTS ou SDR et FMI » pour lequel j’ajoute ici certains éclaircissements.Le nouvel ordre mondial des cabalistes, dont le renouveau des SDR est une composante majeure, signifie de sacrifier États-Unis et dollar US. Les deux ont bien servi en leur temps mais il est révolu. Le rôle du dollar a été de centraliser toutes les banques centrales sous la coupe de la Banque des Règlements Internationaux (BIS) et d’exporter son inflation (celle des USA) vers tous les pays sous forme de la dette souveraine. Ces dettes seront consolidées grâce aux SDR. Les 3000 milliards de dollars US de cash et de treasuries US (bons du trésor à 5, 10 ou 30 ans) que la Chine détient seront compensées par leur part dans les SDR de la Chine. La Chine a acheté pour un peu plus de 700 millions de dollars l’immeuble de JP Morgan et il est vraisemblable qu’elle achètera JP Morgan et la Fed. Je sais ça semble incroyable. Toutes les monnaies seront en parité étroite (peg) avec les SDR, et les ressources (commodities) le seront aussi. D’où le fait que presque toutes les banques se sont déjà retirées du marché des commodités, de la Deutsche Bank à JP Morgan. Presque seule, Goldman Sacks a gardé ce segment.Vous me direz qu’une monnaie fiduciaire qui fait un effet de levier en l’imprimant à bon compte, le dollar, va être remplacée par les SDR, qui est la même chose et sera imprimée à outrance par le FMI. Çà marchera 10 ou 15 ans, en attendant la première monnaie mondiale, peut-être basée sur l’or.Les BRICS(Brésil, Russie, Inde et Chine (remplacé le 14 avril 2011 par le BRICS depuis l'adhésion de l'Afrique du Sud - ajout du S de South Africa - à ce groupe)) sont demandeur d’une réforme en Juillet 2015 du FMI, ce qui leur donnera un plus grand poids international dans la gouvernance du monde. La cabale aussi mais pas les USA qui verront leur puissance au FMI diluée. Ils traînent les pieds depuis 2010 et le Congrès n’a toujours pas ratifié l’accord.Même sans, les réformes se feront avec un plan B de la cabale, que j’ai expliqué en annexe de mon article précédent.La référence à l’apparition du Phénix n’est ni une illusion ni une fausse info. Le grand œuvre des âges modernes est né d’une divergence fondamentale entre ignorance et savoir.J’espère que vous me cataloguerez dans les truth seekers et pas les story tellers. Mais ça c’est l’avenir proche qui vous donnera la réponse. Je ne résiste pas, pour finir ma diatribe, à citer ici Channing, dont je crois avoir adopté depuis bien longtemps les principes :
 “To live content with small means; to seek elegance rather than luxury, and refinement rather than fashion; to be worthy, not respectable, and wealthy, not rich; to listen to stars and birds, babes and sages, with open heart; to study hard; to think quietly, act frankly, talk gently, await occasions, hurry never; in a word, to let the spiritual, unbidden and unconscious, grow up through the common — this is my symphony”. WILLIAM HENRY CHANNING

Source.: 

mercredi 3 décembre 2014

Léo-Paul Lauzon: L'emmerdeur s'intéresse toujours aux banquiers canadiens

Léo-Paul

Ce matin, le coloré professeur de sciences comptables Léo-Paul Lauzon va probablement découper cet article, souligner des passages avant de le classer dans une chemise thématique, probablement celle consacrée aux banques et aux paradis fiscaux.


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«J'haïs ces gens-là»
Jour après jour, dans sa résidence des Laurentides, c'est le rituel matinal du titulaire de la Chaire socioéconomique de l'UQAM: il consacre deux heures à la lecture des journaux du jour, à les annoter et à les classer méticuleusement.
«Les ordinateurs, je n'aime pas beaucoup ça», avoue-t-il.

Une phrase qui étonne quand même, depuis 2010, dans la bouche d'un professeur universitaire. Ce qui surprend aussi, c'est d'apprendre que ce prof de comptabilité rebelle a maintenant 67 ans.

Quoique, à bien y penser, il y a longtemps que le prof Lauzon est présent dans le paysage médiatique, lui qui demeure l'un des seuls à offrir un contre-discours et à montrer la face cachée du capitalisme.

Les banques dans sa valise

Comme il le fait une fois l'an, le prof Lauzon s'est envolé pour un séjour vacances-travail de trois semaines dans une maison qu'il loue à Cuba (il ne découpera donc pas cet article ce matin!).

Dans ses valises, il a apporté quelques-unes de ses chemises thématiques remplies de découpures de journaux et de magazines, ainsi que des rapports annuels.

Il s'intéressera cette fois-ci à l'évasion fiscale des banques et de certaines grandes entreprises (avec la complicité des banques) dans les paradis fiscaux.

Quelques questions qui font mal

«À Cuba, je travaille quatre heures par jour sans téléphone, sans personne pour me déranger. C'est incroyable la quantité de travail qu'on peut abattre dans ce temps-là», dit-il.

Les détracteurs du prof Lauzon trouvent qu'il utilise trop souvent des raccourcis douteux.

Mais d'aucuns s'entendent pour dire qu'ils soulèvent souvent de très bonnes questions, dont plusieurs qui font mal. Dans le club de la haute finance, on l'a baptisé «l'emmerdeur» depuis longtemps.

«Si quiconque dérange l'ordre établi est un emmerdeur, alors oui, j'en suis un!», avait-il d'ailleurs lui-même reconnu, un jour, en entrevue à La Presse.

Bouffons de service...

Vingt-cinq ans après son premier rapport socioéconomique décapant sur Vidéotron, alors propriété de la famille Chagnon (qui avait été largement financée par la Caisse de dépôt pour doter le Québec de son premier réseau de câblodistribution), le prof Lauzon trouve que les Québécois se laissent encore trop souvent endormir par l'élite.

Il n'a rien contre le monde des affaires proprement dit. Ceux qu'il vise, ce sont ces «bouffons de service» et «ces affairistes et opportunistes» qui, selon lui, disent «faites ce que je dis, pas ce que je fais».

«Je ne me prends pas comme un gars intelligent, dit-il. Mais quand je vois toutes les énormités et les inepties que disent ces gens-là, je me dis que je peux pas faire pire qu'eux!»

Son dédain inclut aussi des économistes bien connus, qu'il considère en total conflit d'intérêts lorsqu'ils acceptent de lucratifs mandats de consultation, à gauche comme à droite, en plus de leurs fonctions bien rémunérées de professeurs d'université.

Et ça inclut aussi les journalistes qui, selon lui, couvrent le monde économique avec un esprit contemplatif, en surfant trop souvent sur leurs dossiers et en posant rarement les vraies bonnes questions.


Source.:

lundi 27 octobre 2014

La Chine et 20 autres pays asiatiques lancent une banque rivale à la Banque Mondiale



La Chine et 20 autres pays asiatiques lancent une banque rivale à la Banque Mondiale
La Chine et vingt autres pays ont signé, le 24 octobre, un protocole d’accord visant à créer une banque régionale spécialisée dans le des infrastructures, et conçue comme une alternative à la .
L’Inde, Singapour, le Kazakhstan, le Pakistan, le Vietnam et le Qatar figurent parmi les  21 pays signataires de l’accord. Le Japon n’a pas signé cet accord en raison de la rivalité avérée entre Pékin et Tokyo sur les plans , économique et politique.
A noter également que l’Australie, l’Indonésie et la Corée du Sud n’étaient pas représentées à cette cérémonie.
La  «Banque asiatique d’ dans les infrastructures» (AIIB) sera dotée d’un capital initial de 50 milliards de dollars, et son siège sera situé à Pékin, selon les médias officiels chinois.
Les financements devraient notamment servir à développer des infrastructures dans toute la région, dont une ligne de chemin de fer colossale reliant Pékin à Bagdad, selon des sources citées par le Financial Times. «En chinois, nous avons un vieux proverbe qui dit: si vous voulez devenir riche, construisez d’abord des routes ; je crois que cela décrit de façon concrète l’importance des infrastructures pour le développement économique», a déclaré à cette occasion le président chinois Xi Jinping.
L’attachement de Pékin à mettre en place un concurrent à la Banque mondiale reflète sa frustration devant la domination des pays occidentaux sur la gouvernance des différents bailleurs de fonds multilatéraux.
Les puissances émergentes des (, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) avaient créé en juillet leur propre banque et un fonds de réserves, affichant ouvertement leur désir d’élaborer une architecture financière distincte d’organisations jugées aux mains des pays occidentaux.
Agence Ecofin


samedi 31 mai 2014

Le Groupe Bildebereg avec ses 140 élites veulent sauver l'Europe de la faillite et leur propre investissement


Le Groupe de Bilderberg (contrôle 90% des valeurs $ de la planète)qui rassemble les personnalités influentes de la politique, du milieu d'affaires, de la presse, des universités et des organisations internationales, s'est retrouvé à Copenhague pour sa 62ème réunion, du 29 mai au 1er juin.
Environ 140 personnes venant de 22 pays discuteront de l'Ukraine, de l'avenir de l'Europe, de la nouvelle structure du Moyen-Orient, de la perspective politique et économique de la Chine et de la durabilité de l'amélioration économique, d'après la déclaration faite sur le site officiel du Groupe.
Le Vice-président du Parti républicain du peuple turc (CHP), Umut Oran, l'homme d'affaires Mustafa Koc, le journaliste Cengiz Candar, la sociologue Nilüfer Göle et un membre du Conseil d'administration de l'Association Suna et İnan Kirac turque, Ümit Taftali, sont parmi les participants à cette grande manifestation.Sont annoncés parmi les participants les suisses Daniel Vasella et André Kudelski.La reine d'Espagne Sofia,la princesse des Pays-Bas Beatrix, Du côté français François Baroin, Christine Lagarde(du fonds monétaire international), Fleur Pellerin ou encore le secrétaire général adjoint de l'Elysée Emmanuel Macron. Il en est de même du secrétaire général de l'OTAN(Anders Fogh Rasmussen), le président de Google Eric Schmidt et du commandant en chef des forces de cette alliance. Ou encore, de la commissaire européenne Viviane Reding et d'un membre du directoire de la Banque Centrale Européenne. Comme d'habitude, les représentants des milieux d'affaires des deux côtés de l'Atlantique constituent la composante dominante. Il est à prévoir que la situation en Europe et les projets de mise en place d'une grande zone économique transatlantique occuperont une place importante dans les débats. 
Des groupes de protestataires contre la réunion de Bilderberg, s'organisent à travers les médias sociaux. La police danoise prend des mesures préventives devant l'hôtel où se tiendra la réunion, en l'entourant de barrières en béton et en fer. 
Réuni pour la première fois en 1954 à Oosterbeek, village dans l'Est des Pays-Bas, le Groupe de Bilderberg a pour but de promouvoir le dialogue et la coopération entre l'Europe occidentale et l'Amérique du Nord. Le nombre de participants varient chaque année de 120 à 150, dont deux tiers viennent de l'Europe et le reste, de l'Amérique du Nord.
Les participants échangent de manière informelle des idées sur des sujets de relations internationales et d'économie. Les réunions sont perçues comme un forum non-officiel où les participants commentent les problèmes rencontrés dans le monde, mais ne proposent pas de solutions et ne font pas de déclaration politique. 
Des manifestations sont régulièrement organisées dans les pays où se tiennent les réunions du Groupe Bilderberg, l'accusant d'être une "organisation confidentielle".

Nouvel Ordre Mondial 0245
++
d’AXA Henri de Castries a lieu à l’hôtel JW Marriot à Copenhague du
29 mai au 1er juin.
Il est à prévoir que la situation en Europe et les projets de mise en
place d’une grande zone économique transatlantique occuperont
une place importante dans les débats.
Veuillez noter que 120-150 dirigeants politiques assistent à cette conférence et qu’ils discutent des grands enjeux du monde. C’est de la politique à son plus haut niveau en cachette… La question que nous devons nous poser est tout bonnement : qui va à ces réunions?
Canada:

- Clark Edmund: PDG TD Bank Group
- Brian Ferguson: PDG Cenovus Energy
- Jason Kenney: Ministre de l’emploi et du développement social
- Heather Munroe-Blum: Professeur de médecine et ancienne présidente de l’université McGill
- Stephen Poloz: Gouverneur de la Banque du Canada
- Heather Reisman: PDG Indigo Books & Music

FRA | Henri de Castries | Chairman and CEO, AXA Group
DEU | Ackermann, Josef | Former CEO, Deutsche Bank AG
GBR | Agius, Marcus | Non-Executive Chairman, PA Consulting Group
USA | Altman, Roger C. | Executive Chairman, Evercore
FIN | Apunen, Matti | Director, Finnish Business and Policy Forum EVA
PRT | Balsemão, Francisco Pinto | Chairman, Impresa SGPS
FRA | Baverez, Nicolas | Partner, Gibson, Dunn & Crutcher LLP
ITA | Bernabè, Franco | Chairman, FB Group SRL
NOR | Brandtzæg, Svein Richard | President and CEO, Norsk Hydro ASA
ESP | Cebrián, Juan Luis | Executive Chairman, Grupo PRISA
CAN | Clark, W. Edmund | Group President and CEO, TD Bank Group
BEL | Davignon, Etienne | Minister of State
DEU | Enders, Thomas | CEO, Airbus Group
DNK | Federspiel, Ulrik | Executive Vice President, Haldor Topsøe A/S
NLD | Halberstadt, Victor |Professor of Public Economics, Leiden University
USA | Jacobs, Kenneth M. | Chairman and CEO, Lazard
USA | Johnson, James A. | Chairman, Johnson Capital Partners
GBR | Kerr, John | Deputy Chairman, Scottish Power
USA | Kleinfeld, Klaus | Chairman and CEO, Alcoa
TUR | Koç, Mustafa V. | Chairman, Koç Holding A.S.
USA | Kravis, Marie-Josée | Senior Fellow and Vice Chair, Hudson Institute
CHE | Kudelski, André | Chairman and CEO, Kudelski Group
USA | Mathews, Jessica T. |President, Carnegie Endowment for International Peace
ITA |Monti, Mario | Senator-for-life; President, Bocconi University
USA | Mundie, Craig J. | Senior Advisor to the CEO, Microsoft Corporation
USA | Perle, Richard N. | Resident Fellow, American Enterprise Institute
CAN | Reisman, Heather M. | Chair and CEO, Indigo Books & Music Inc.
AUT | Scholten, Rudolf | CEO, Oesterreichische Kontrollbank AG
IRL | Sutherland, Peter D. | Chairman, Goldman Sachs International
USA | Thiel, Peter A. | President, Thiel Capital
INT | Trichet, Jean-Claude| Honorary Governor, Banque de France; Former President, European Central Bank
GRC | Tsoukalis, Loukas | President, ELIAMEP
SWE | Wallenberg, JacobChairman, | Investor AB
USA | Warsh, Kevin M. Distinguished Visiting Fellow, | The Hoover Institution, Stanford University
En outre, le mystérieux groupe Bilderberg est une branche des Illuminati doté d’un nom amateur. David Rockefeller lui-même un homme dans les rangs supérieurs des Illuminati est le membre conseiller de l’ensemble du groupe.

Bien que le groupe affirme ne pas discuter des ordres du jour en politique, leur site internet et ce qu’il y a dessus racontent une autre histoire. Leur prochaine réunion aura lieu en mai / Juin de cette année et vous serez choqué par leurs discussions …..
- Est-ce que la reprise économique est durable?
- Qui va payer pour la démographie?
- La vie privée existe-t-elle?
- Qu’y a t-il de spécial dans les relations de partage de renseignements?
- Gros changements dans la technologie et les métiers
- Le futur de la démocratie et le piège de la classe moyenne
- Perspectives politiques et économiques de la Chine
- La nouvelle architecture du Moyen-Orient
- Ukraine
- La suite pour l’Europe?
- Événements du moment

  • Comment gérer l’après désastre des élections européennes et sauver la grille de contrôle oligarchique
  • La centralisation plus avant des économies vers les banques
  • Le paiement d’une taxe carbone directement à l’ONU, taxe qui sera payée essentiellement par les individuels, des passes-droit étant donnés aux grosses entreprises
  • L’affaire ukrainienne et la relation entre la Russie et l’OTAN (le danois patron de l’OTAN Rasmussen sera présent… voir la liste complète des invités)
  • Comment gérer Poutine qui est vu comme un renégat du Nouvel Ordre Mondial après avoir osé défier le statu quo oligarchique
  • D’intenses dicscussions auront lieu pour que l’occident fasciste parvienne à mieux contrer les velléités de Poutine et de l’association des BRICS à continuer sur le développement d’un monde géopolitique multi-polaire ce dont ne veulent pas les oligarques colonialistes occidentaux
  • Comment éviter la chute du dollar comme monnaie de réserve mondiale et la dilution du pouvoir de l’axe USA-UE-OTAN au contact de la poussée des BRICS sous l’influence russe


Le Groupe Bilderberg

en conclave 2014 !

L’Europe

sous tutelle

des États Unis ?

Main basse

sur le monde ?




jeudi 18 juillet 2013

Comprendre jusqu'au brin d'ADN ,transmissible par mutation orale a l'Homme au Sapin ?

Circuler,circuler,il n'y a rien a voir,mais tout a cellulariser(comprendre jusqu'au brin d'ADN ,transmissible par mutation orale a l'Homme au Sapin) !

Trouble de la personnalité,collègues toxiques = économie basé sur les services


Pour parler c'est toujours mieux d'être en dehors dla Matrice économique$!



Jean Chrétien ,les cheveux long ?

Allo,testing, testing ,............c'est Mr. Harpeur !


Circuler,circuler,il n'y a rien a voir,mais tout a cellulariser(comprendre jusqu'au brin d'ADN ,transmissible par mutation orale a l'Homme au Sapin) !





Travailler ou cotoyer un psychopathe ?................Hitler,Nixon,Bush,PET Trudeau,Duplessis,Jean Drapeau, etc............

Les psychopathes, les machiavels et les personnalités narcissiques peuplent le monde du travail, selon le psychologue britannique Oliver James. Depuis 30 ans, les individus possédant ces trois traits à la fois seraient même de plus en plus nombreux. Prêts à tout pour arriver à leurs fins, ils ont plus de facilité à grimper dans la hiérarchie et à devenir patrons. Inquiétant…
En présence de comportements calculateurs ou sans scrupules au travail, Oliver James conseille de combattre le feu par le feu. Dans son livre Office Politics, How to Thrive in a World of Lying, Backstabbing and Dirty Tricks (Vermilion) publié en Grande-Bretagne en février dernier, il explique comment s’inspirer des collègues toxiques pour réussir et, surtout, pour ne pas se faire bouffer tout rond.
JOBBM   Comment reconnaître un collègue psychopathe, machiavel ou narcissique? 
Oliver James Les personnes à tendance psychopathique sont froides et incapables d’éprouver de l’empathie. Souvent, elles n’ont pas de relations stables.
Les machiavels, eux, sont des manipulateurs. Ils sont plus difficiles à reconnaître, parce qu’ils ont du charme et savent ce qu’on veut entendre. Ils savent aussi ce qu’on ne veut pas entendre et sauront l’utiliser pour nous déstabiliser au besoin.
Les personnes narcissiques sont les plus faciles à repérer. Tout ce qui les intéresse, c’est elles-mêmes. Elles cherchent constamment à impressionner.
Souvent, ces traits se superposent et alors on a affaire à un «triadique». Mais tout n’est pas nécessairement noir ou blanc : certaines personnes sont très psychopathes, d’autres moins, d’autres pas du tout.
 Pourquoi le nombre de personnes possédant ces traits est-il en croissance? 
OJ Au cours des dernières décennies, dans les pays développés, nous sommes passés d’une économie basée sur le secteur manufacturier à une économie de services. Dans une usine, si un travailleur produit 1 000 poupées par jour, il est facile de calculer son rendement, de le payer ou de lui donner une promotion en conséquence.
Mais dans le monde des services, il n’y a pas d’outil de mesure objectif de notre travail. Il devient donc facile de s’attribuer le crédit pour les réussites des autres, tout comme il est facile d’imputer nos fautes à nos collègues. Tout ce qui compte, c’est la façon dont notre contribution est perçue. Cela constitue un terreau fertile pour ces personnalités, car elles sont les pros du jeu politique au boulot.
En règle générale, il faut cesser de penser que se prêter au jeu politique au bureau est une mauvaise chose. 
 Vous qualifiez le phénomène d’«épeurant», mais l’est-il vraiment? On ne trouve pas un seul triadique dans notre équipe. 
OJ Il n’y en a pas nécessairement dans chaque milieu de travail. Mais si vous étudiez attentivement les personnes au sommet de l’entreprise pour laquelle vous œuvrez, vous verrez probablement qu’elles possèdent davantage ces traits que vous. Seulement 1 % de la population a des traits psychopathiques, mais chez les cadres supérieurs, ce taux grimpe à 4 %. Si vous n’en trouvez toujours pas, c’est peut-être que le Québec est comme le Danemark, par exemple, où être perçu comme vilain ne vous mènera nulle part. Dans un tel contexte, les «triadiques» doivent se contrôler davantage et bien cacher leur jeu. À New York, par contre, c’est vu comme un atout.
 Ces personnes sont-elles malades? 
OJ En termes cliniques, on pourrait affirmer qu’elles ont un trouble de la personnalité. 


  Mais ceux qui réussissent vraiment au travail sont les psychopathes, les machiavels, les personnes narcissiques et les «triadiques» dits fonctionnels. Déceler leur pathologie, cerner pourquoi ils sont malheureux et comprendre qu’ils ont souffert dans leur enfance ne nous avance toutefois à rien quand ils sont nos collègues et patrons.
Travailler avec un psychopathe

 Comment agir avec eux? 
OJ Mieux vaut s’éloigner autant que possible des psychopathes et des machiavels. On peut par contre facilement travailler avec un collègue ou un patron narcissique. On peut même les flatter pour les avoir de notre côté…
En règle générale, il faut cesser de penser que se prêter au jeu politique au bureau est une mauvaise chose. Au lieu de se complaire dans le rôle de la victime, on gagne à apprendre de ces personnes qui font de notre vie un enfer. Elles ont des compétences que nous ne possédons pas. La preuve, un psychopathe moins talentueux que vous pourra avoir plus de succès grâce à ses habiletés politiques.
 Vous voulez dire qu’il faut se mettre à écraser ou manipuler les autres nous aussi? Beau programme! 
OJ Ce qui est certain, c’est que pour réussir sur le plan professionnel, il faut être charmant, intrépide, impitoyable, concentré, avoir une grande force mentale et la capacité d’agir sans hésiter. Les collègues «triadiques» ont ces caractéristiques, à différents degrés. C’est tout un art et il faut le maîtriser à notre façon.
Il faut surtout réaliser qu’au travail, tout est politique. Une communication sur cinq contient un mensonge et chacun campe déjà un personnage. On nie cela parce qu’on pense être une bonne personne, par rapport aux mauvaises personnes, qui mentent. Mais l’admettre permet de voir venir les coups des collègues toxiques(travailleurs toxiques) et d’y répondre, mais aussi d’atteindre nos buts.
Par exemple, si vous souhaitez obtenir un dossier très intéressant, vous devrez persuader votre patron que vous êtes la bonne personne pour vous en occuper. Vous devrez probablement le convaincre de vous choisir plutôt que votre voisin de bureau, qui est pourtant votre ami! C’est comme ça que ça marche. Il faut en être conscient.
C’est aussi une question de santé : les personnes qui excellent en politique au bureau risquent moins de souffrir d’un épuisement professionnel. Quand une entreprise en mauvaise posture procède à des suppressions de postes, les meilleurs politiciens s’en tirent mieux et sont moins stressés.
 Vous affirmez que les coups bas (menaces, sabotage, diffamation, tromperie) peuvent être éthiques. Comment est-ce possible? 
OJ Si vous apprenez une chose gênante sur la vie personnelle d’un collègue qui vous mène la vie dure, vous pouvez le faire chanter plutôt que d’aller le dénoncer au patron, afin que cesse son comportement. Vous pouvez employer la même stratégie si quelqu’un répand des rumeurs à votre sujet ou si quelque chose d’illégal se trame dans votre entreprise.
 N’est-ce pas enfantin comme raisonnement? 
OJ Parfois, pour se protéger, on n’a pas le choix. Il faut être plus brillant que l’autre, si on en est capable. Mais il faut faire attention, car ces sales coups peuvent nous rebondir dessus…
Dans quels métiers y a-t-il le plus de psychopathes?Dans quels métiers en trouve-t-on le moins?
1. Président-directeur général1. Préposé aux soins
2. Avocat (Nouonnnn ?)2. Infirmière
3. Travailleur de la télévision/radio3. Thérapeute
4. Vendeur (égale menteur ?)4. Artisan
5. Chirurgien5. Esthéticienne
6. Journaliste6. Travailleur communautaire
7. Policier(ah,.....oui ?)7. Enseignant
8. Membre du clergé8. Artiste
9. Chef cuisinier9. Médecin
10. Fonctionnaire10. Comptable
REF.: par Mélissa Guillemette, Source : Dutton, Kevin. The Wisdom of Psychopaths, Doubleday Canada,  2012
En faite,le préposé aux malades,l'infirmière etc de la liste des moins psychopathes,ne seraient que le 11 ième,12ième de la liste des psychopathes(de gauche),car ceux-ci travaille en petits clans(la clique des bronzés)en tout point semblable a la mafia italienne ,Omerta obligé !