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dimanche 21 octobre 2018

Guerre: Censure de l'information


Guerre: Censure de l'information



guerre, censure, journaliste
 
 
Faut que la nouvelle soit approuvée par les censeurs et s'appliquedans tout les pays aux journalistes ,avant d'être publiée dans les grands quotidiens.

La première guerre montrée a la TV ,a été la guerre du vietnam. Ou l'on n'a montré les horreurs de la guerre.La guerre en direct ça été la guerre du Golf avec CNN en 1990-1991.
Les Malouinnes en 1982 ,ou l'on contrôle les déplacements des journalistes ,par les marines britanniques.
Grenade 1983, on contrôle l'accès des journalistes ,par Ronald Reagan.
Panama 1989,on met en place un pool ,qui n'a pas bien fonctionné.(Pool: on regroupe les images et les mets a la censure avant des distribuer pour tout le monde).
Guerre du golf 1990,la guerre diffusée par CNN,en directe,mais avec un contrôle de l'image et on a utilisé un nouveau language comme bombe intelligente,frappe chirurgicale.
Guerre en Iraq 2003,on a incrusté des journalistes a l'armée pour contrôler l'information . On appelle cela de l'embedding.

Information ou propagande ?

Les américains ont montrés aux journalistes ce qu'ils ont bien voulus montrer,durant la guerre de Panama. C'Était la première fois qu'on utilisait les termes attaque chirurgicale et domage collatéraux. Donc,on n'a pas parler des massacres qui se sont passés la-bas . Ils ont brûlé un village entier . Les américains ont jetés toute suite après l'invasion tout les corps dans une fosse commune pour ne pas qu'ont dénombre les morts innocents. Et l'inhumation par la suite dénombra au-dessus de 2,000 morts pour la plupart des civiles innocents.

Il y a maintenant les journalistes embedding ,qui sont incorporés aux forces militaires américaines pour nous montrer les images qu'ils veulent bien nous laisser voir.

CNN-TV est apparu en 1991 avec la guerre du golf,mais aujourd'hui il y a "Al Jazira" provenant du monde arabe. Sur Al Jazira ,non seulement ont n'avait le discours intégral de Bush,mais aussi de Saddam Hussein dans son intégralité.


REF.:

mardi 28 juin 2016

Les libéraux ont supprimé les résultats de recherche Google menant à Harper



Publication: Mis à jour:


 STEPHEN HARPER JUSTIN TRUDEAU



Le gouvernement libéral de Justin Trudeau a fait supprimer dans les résultats de recherche sur Google toute trace du passage de Stephen Harper au 24, promenade Sussex.

La pratique, qualifiée par les libéraux de mise à jour technique de routine, a choqué la députée conservatrice Candice Bergen. "Le site Internet du premier ministre ne lui appartient pas et il ne peut en disposer comme bon lui semble: il appartient aux Canadiens", a-t-elle lancé jeudi aux Communes.
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Le Bureau du Conseil privé - le "ministère du premier ministre" - a commencé à demander à Google de supprimer des résultats de recherche liés à M. Harper dès l'assermentation du gouvernement Trudeau, le 4 novembre. Il a poursuivi ses requêtes jusqu'en janvier dernier, révèlent des documents demandés par la députée Bergen et déposés aux Communes.
Le Conseil privé explique que les fonctionnaires demandent ces suppressions pour que les recherches sur Internet mènent aux plus récents résultats. Par ailleurs, tous ces documents n'ont pas été détruits ou effacés: ils demeurent accessibles auprès de Bibliothèque et Archives Canada, a assuré aux Communes le président du Conseil du Trésor, Scott Brison.
Personne ne souhaite voir M. Harper sombrer dans l'oubli, a assuré M. Brison, provoquant des éclats de rire au sein des banquettes libérales. Mais "les Canadiens s'attendent à obtenir l'information la plus à jour et la plus exacte possible lorsqu'ils font une recherche sur Internet".
Dans un communiqué, Google indique qu'elle souhaite seulement que les recherches par l'entremise de son moteur mènent aux versions les plus récentes des sites Internet.
Journal vidéo de M. Harper
Les demandes de suppression des résultats de recherche sur Google couvrent notamment les billets publiés quotidiennement par le premier ministre Harper et son journal vidéo, mais aussi les communiqués de presse diffusés dans les deux langues officielles.
Le 9 novembre, le Bureau du Conseil privé a demandé à Google de supprimer de ses index toutes les pages publiées dans le domaine du premier ministre du Canada (pm.gc.ca) avant l'arrivée du nouveau gouvernement, mais l'entreprise n'offre pas ce service. En janvier, d'autres demandes ont été faites pour supprimer année après année le passage de Stephen Harper. Le gouvernement indique aujourd'hui que ces pages n'affichent plus de résultats de recherche concernant l'ex-premier ministre conservateur.
Au total, le Bureau du Conseil privé a demandé 51 fois à Google de supprimer les résultats de recherche liés à M. Harper. Le Bureau du Conseil privé précise encore que ce matériel a été sauvegardé et peut être consulté dans les archives.
"Cette application est disponible depuis avril et un hyperlien a été ajouté au site Internet du Bureau du Conseil privé", a indiqué Raymond Rivet, directeur aux affaires ministérielles et médiatiques du Bureau.
Quelques autres agences ou ministères ont aussi demandé à Google de supprimer certains résultats de recherche. Par exemple, la Gendarmerie royale du Canada a demandé que l'on supprime certains communiqués de presse parce que des accusations avaient été abandonnées ou qu'une ordonnance de non-publication avait été prononcée par le tribunal.

Source.:

jeudi 12 juillet 2012

La justice donne raison à WikiLeaks contre Visa et MasterCard

Islande - La justice donne raison à WikiLeaks contre Visa et MasterCard
 
Photo AFP

REYKJAVIK - Le site internet WikiLeaks a revendiqué jeudi une victoire devant la justice islandaise contre le partenaire en Islande des deux géants des cartes bancaires Visa et MasterCard, qui bloquent les donations à ce site depuis 2010.
WikiLeaks a indiqué dans un communiqué qu'un tribunal de Reykjavik lui avait donné raison face à Valitor (anciennement Visa Iceland), société qui gère les paiements avec les cartes Visa et MasterCard sur l'île.
«Le tribunal s'est prononcé pour la réouverture du portail des donations d'ici deux semaines, faute de quoi Valitor devra s'acquitter d'une amende de 800 000 couronnes islandaises (6 200 $) par jour», a précisé WikiLeaks.
«C'est une victoire considérable face à la tentative de Washington de réduire WikiLeaks au silence. On ne nous fera pas taire. La censure économique, c'est aussi de la censure», a affirmé le fondateur du site de publication de documents confidentiels, Julian Assange.
Après s'être rendu mondialement célèbre en publiant des documents classés sur les guerres d'Irak et d'Afghanistan et des milliers de télégrammes secrets de la diplomatie américaine, WikiLeaks a dû faire face à la tentative de Visa et MasterCard de bloquer les dons d'internautes.
WikiLeaks estime à «plus de 20 millions $» le manque à gagner.
Des plaintes contre le blockage des dons à WikiLeaks ont été déposées dans d'autres pays, et la Commission européenne enquête sur cette affaire.


REF.:

On va censurer la Toile en Russie ?

Internet - Le Parlement russe adopte une loi controversée
 
Photo : Courtoisie

MOSCOU - La Douma (chambre basse du Parlement russe) a adopté mercredi des amendements controversés à une loi sur l'Internet, sur fond de protestations, nombre d'observateurs redoutant qu'ils ne visent à censurer la Toile en Russie.
Les amendements à la loi sur «la protection des enfants» contre les dangers pour «leur santé et leur développement» que comportent certaines informations ont été approuvés par 441 voix en deuxième lecture et par 434 voix en troisième et dernière lecture. Aucun député n'a voté contre.
La loi amendée doit maintenant être adoptée par la chambre haute du Parlement, le Conseil de la Fédération, et être ensuite ratifiée par le président russe Vladimir Poutine.
Les amendements, qui ont déjà été votés par la Douma le 6 juillet en première lecture, visent à la mise en place d'un registre fédéral qui réglementerait l'activité des sites internet contenant des informations interdites par la loi, obligeant leurs propriétaires ou les fournisseurs d'accès à les fermer.
La loi vise notamment les sites diffusant de la pornographie à caractère pédophile, faisant la promotion de la consommation de drogues ou donnant des conseils pour se suicider. Mais il n'y est pas précisé à quel organisme fédéral reviendraient les décisions dans ce domaine.
Cette initiative a suscité de nombreuses protestations de la part des sites internet russes et des opposants qui craignent la censure.
«C'est une loi répressive (...). Apparemment, il s'agit du début de la fin de l'Internet» en Russie, a déclaré l'opposant et écrivain russe Edouard Limonov, cité par l'agence de presse Interfax.
Wikipedia en russe a interrompu mardi pour 24 heures son fonctionnement afin de protester contre ces amendements. «Imaginez un monde sans connaissances libres», était-il écrit sur la page d'accès à Ru.Wikipedia.org, toute blanche.
Le principal moteur de recherche russe Yandex , a suivi le mouvement, et son slogan «Tout sera trouvé» figurait mercredi sur sa page d'accueil avec le mot «tout» barré d'une croix rouge.
«On ne peut pas prendre de telles décisions à la hâte, comme cela se passe maintenant», a souligné la rédactrice en chef de Yandex, Elena Kolmanovskaïa, dans un communiqué.
Le site de blogs Livejournal, très populaire en Russie, sonne aussi l'alarme, affirmant que «ces amendements peuvent aboutir à l'instauration de la censure sur l'Internet russe».
Pour sa part, le Premier ministre russe Dmitri Medvedev a pris la défense de cette loi, au cours d'une rencontre avec de hauts responsables du parti au pouvoir Russie unie.
«L'Internet doit être libre», mais ses activités doivent toutefois être fondées sur «un certain nombre de règles», a déclaré M. Medvedev, cité par les agences de presse russes, estimant qu'il fallait respecter non seulement «le droit à l'information», mais aussi «le droit à la protection contre un contenu dangereux».
En Russie, l'Internet, notamment les sites comme Facebook et Twitter, joue un rôle de premier plan dans la diffusion des idées de l'opposition ou dans la coordination des actions de protestation.


REF.:

mardi 19 juin 2012

Le politique et le web ?

La liberté d'expression est remise en cause,dans Google !


Google - Messages politiques: visés par les demandes de suppression
 
Photo AFP / Karen Bleier
Google

Messages politiques: visés par les demandes de suppression

SAN FRANCISCO - Les messages politiques constituent l'essentiel des contenus que des gouvernements demandent à Google de supprimer de ses pages, a révélé dimanche soir le groupe internet.
«Comme chaque fois, on nous a demandé de retirer des messages politiques», a indiqué une analyste de Google, Dorothy Chou, à l'occasion du cinquième rapport semestriel de Google sur la transparence.
«C'est inquiétant non seulement parce que la liberté d'expression est remise en cause, mais parce que certaines de ces demandes émanent de pays qu'on ne soupçonnerait pas - des démocraties occidentales qu'on n'a pas l'habitude d'associer à la censure», a ajouté Mme Chou.
Le nombre de demandes a doublé au deuxième semestre 2011 selon cette liste, où l'Ukraine, la Jordanie et la Bolivie sont mentionnées pour la première fois.
Au total entre juillet et décembre, Google a accédé à environ 65 % des plus de 467 demandes judiciaires de suppressions de contenus, notamment sur les pages de son moteur de recherche ou de son site YouTube, et à 46 % des 561 demandes non appuyées par une autorité judiciaire.
«Nous avons remarqué que des organismes gouvernementaux de divers pays nous demandaient quelquefois de retirer des messages politiques mis en ligne par nos utilisateurs», a noté Mme Chou.
Par exemple les autorités espagnoles ont demandé à Google de retirer 270 résultats de recherche renvoyant sur des blogues ou articles qui mentionnaient certaines personnalités publiques, comme des maires ou des procureurs.
En Pologne, une institution publique a demandé à Google de supprimer un lien vers un site qui la critiquait.
Selon Mme Chou, Google ne s'est pas plié à ces demandes des autorités espagnoles et polonaises.
Mais au Brésil, une cour électorale a conduit Google à supprimer quatre profils d'utilisateurs de son réseau social Orkut en raison de leur contenus politiques.
Dans ce pays, la législation sur la diffamation permet d'obtenir le retrait d'informations même si elles sont vérifiées, selon Google. Il est en outre interdit de montrer des parodies de candidats en période électorale, ce qui conduit à supprimer des extraits de spectacles comiques, par exemple.
Au Canada, Google s'est refusé à supprimer de YouTube une vidéo où un citoyen canadien urinait sur son passeport avant de le faire disparaître dans les toilettes, comme le demandaient des responsables canadiens.
En France, les autorités ont mis en cause 58 liens, messages ou vidéos. Google a accédé à leur demande pour 67 % des demandes appuyées d'une demande de la justice, 47 % des autres.
En Inde, les demandes ont bondi de 49 % entre le premier et le deuxième semestre.
Au Pakistan, le ministère de l'information a demandé le retrait de six vidéo se moquant des militaires et des responsables politiques, mais Google n'a pas obéi.
En revanche le groupe internet a fermé cinq comptes YouTube à la demande de l'association britannique des officiers de police, qui estimaient qu'on y trouvait l'apologie du terrorisme.
En Thaïlande le ministère de l'information, des communications et des technologies a demandé le retrait de 149 vidéos considérées insultantes pour la monarchie. Google a restreint le visionnage de 70 % de ces vidéos en Thaïlande.
Les demandes officielles de la Turquie concernaient essentiellement des vidéos sur Mustafa Kemal Atatürk, et Google a rendu certains clips mis en cause inaccessibles dans le pays.
«Nous nous rendons compte que les chiffres que nous communiquons ne fournissent qu'un petit éclairage sur ce qui se passe dans le web en général», a déclaré Mme Chou, «mais nous espérons qu'en cultivant la transparence sur ces données, nous pouvons contribuer au débat public sur la façon dont le comportement des gouvernements façonne internet».

REF.: