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vendredi 26 février 2016

Centraide: Les bénévoles passe au Ca$h ?

Les bénévoles de cette organisme sont souvent des gens payants leurs nombreuses contraventions.Plusieurs sorte de prison et d'autres en minorité sont des gens ayant besoin d'argent pour payer leurs traitements médicaux,non payés par le gouvernement .

Plusieurs des grandes entreprises du Québec sont partenaires de Centraide dans la réalisation de leur mission dont des institutions bancaires, la Caisse de dépôt et placement du Québec, Desjardins, les sociétés d'état, la fonction publique québécoise et canadienne, les établissements publics et un grand nombre de PME, d'entreprises de production, de commerces et de professionnels.
Et c'est la que ça blesse! Car Centraide est une organisation philanthropique au Canada, reconnue comme une fondation publique, visant à rassembler des ressources humaines et financières en vue de lutter contre la pauvreté, à briser l'exclusion sociale, à diminuer les inégalités et à prévenir des problèmes sociaux.Sauf que les bénévoles engagés en très faible minorité,car souvent malade(lettre médicale d'un médecin traitant,justifiant un travail léger),travail comme mettons ,a faire du déchiquetage de papier de contravention de la ville.
Wow,avec 90 millions qu'ont leur donne ils font travailler leurs bénévoles comme si c'était du travail a la chaîne,ou la vitesse des employés est surveillé(comme au Centre d'action bénévole L'Actuel de l'ouest de Mtl).......Coup dont ,c'est tu des employés syndiqués que tu veut,ou si de temps en temps,les gestionnaires bénévoles,volent aussi l'argent de Centraide ??? On le saura un jour,lorsque le journalisme d'enquête enquêtera ???............................Dégueulasse !
Quant tu voit des Hummers dans le stationnement des cadres,c'est que c'est louche ???............Moisson Mtl ,etc,.....et les autres !
Jeunesse au Soleil, lui a des voitures électriques qui lui sont prêtées,au moins c'est mieux ça !!!


REF.:ostryeKysonkave.com

jeudi 8 octobre 2015

Si on saurait la valeur de la valeur ?


L'enfant ici, né dans l'extrême pauvreté n'aura droit qu'a un maigre 456,25 $/année, s'il survie et travail durant 365 jours/année !

 Le problême se situe au-dessus des Banques ? Si tu décide de remettre plus que tu as emprunté,il y a un problême,et si tu met une valeur que tu quantifie a ce qui est réellement sans valeur, c'est que tu l'as virtuellement créer pour contrôler ton entourrage, dans un monde ou le vide est réellement plein a l'infini ! La valeur se situe dans le vide ! Dans cette image ,le vautour ne sait même pas qu'il se mange lui-même !

Si pour certains, un vautour mange un vautour c'est pas grave; alors un vautour qui mange un Humain, ça c'est plus grave ! La vie ,c'est l'amour que vous portez aux autres et ça n'a pas de prix !


Source.: taconsciencedotcomme

samedi 8 août 2015

Pauvreté et gaspillage des riches: Viande invendues, Metro et Loblaw ont compris

Fini le gaspillage : la viande invendue est donnée à Moisson Montréal

 

Le programme de Moisson Montréal pour récupérer la viande invendue de Metro et Loblaw est un bel exemple d’une initiative qui permet de réduire le gaspillage de nourriture et qui profite à la fois aux gens démunis et aux épiciers.

Implanté depuis octobre 2013, le Programme de récupération alimentaire en supermarchés a permis à la banque alimentaire d’économiser 2,7 millions de dollars et de récupérer plus de 180 000 kilogrammes de viande. Auparavant, cette viande était soit transformée en farine animale, soit jetée à la poubelle.

« Cette viande permet à 40 à 60 organisations de ne plus être obligées d’acheter pour nourrir des gens dans le besoin dans la région de Montréal », souligne Dany Michaud, directeur général de Moisson Montréal.

La viande invendue est bien entendu toujours bonne à la consommation. Il s’agit en fait de la viande que les épiciers retirent des tablettes après trois jours.

Moisson Montréal récupère la viande avec des camions réfrigérés, qu’elle affrète à ses frais.

La viande est ensuite congelée et livrée à des organismes tels que l’Accueil Bonneau. Elle est toujours cuisinée sur place ; personne ne peut en rapporter à sa résidence pour l’apprêter par la suite.

Salubrité assurée

Aujourd’hui, Metro et Loblaw collaborent avec Moisson Montréal dans ce projet de récupération de viande invendue. Mais il a toutefois fallu leur apporter de bons arguments pour les convaincre, au premier chef en ce qui a trait au respect de la chaîne de froid pour maintenir la salubrité de la viande, confie Dany Michaud. « Il y avait beaucoup de questions, notamment à propos de l’hygiène et sur le fait qu’il ne devait pas y avoir de revente de viande. »

Le pire cauchemar des épiciers ? Que des gens tombent malades après avoir consommé de la viande qu’ils auraient donnée à Moisson Montréal. Pour les rassurer, la banque alimentaire a fait faire des tests en laboratoire pour s’assurer que la viande congelée à la troisième journée soit toujours comestible, une fois dégelée et cuite sur-le-champ.

De plus, Moisson Montréal a créé un système de traçabilité de toutes les pièces de viande récupérées dans les épiceries, sans parler de données que la banque alimentaire partage régulièrement avec Metro et Loblaw. Toutes ces mesures ont finalement convaincu les deux chaînes d’alimentation de s’engager dans ce projet innovateur.

Réduction de coûts

« Nous avons 23 magasins où la viande est récupérée par Moisson Montréal, et nous en compterons 65 dans les prochains mois, à Montréal et sur la Rive-Sud », affirme Marie-Claude Bacon, directrice principale, services des affaires corporatives chez Metro.

Pour sa part, Loblaw a 45 magasins qui participent au projet de Moisson Montréal (Loblaws, Maxi, Provigo) à Montréal et sur la Rive-Sud. « Ce projet avec Moisson Montréal est gagnant-gagnant », affirme Johanne Héroux, directrice, affaires corporatives et communications pour Loblaw.

Ainsi, non seulement le programme permet-il de nourrir des gens démunis à moindre coût, mais il donne aussi à Loblaw la possibilité de réduire ses coûts de transport exigés par les firmes d’équarrissage et de renforcer l’image de marque de l’entreprise en matière de responsabilité sociale.

« Le rendement demeure un indicateur clé, voire le nerf de la guerre pour une entreprise comme la nôtre, où les marges sont minces, souligne Johanne Héroux. Un tel programme n’aurait pas pu voir le jour s’il s’était soldé par des coûts opérationnels supérieurs à ceux associés à la cueillette de la viande par les firmes d’équarrissage. »

À vrai dire, les épiciers diminuent leurs coûts d’exploitation en donnant la viande invendue, mais en même temps ils se privent de revenus, car la viande invendue en magasin est souvent achetée par des fabricants de farine animale. Le bilan du programme est donc neutre pour Loblaw.

Même chose chez Metro, explique Marie-Claude Bacon. « Nous n’y faisons pas de gains, du point de vue tant de la productivité [les employés ont des manipulations à faire dans les deux cas] que des dollars [les dépenses allouées aux sites d’élimination le sont maintenant au programme de récupération]. »

Les deux chaînes d’épicerie font toutefois remarquer que le gain est avant tout social.

Dans d’autres régions ?

Le projet de récupération de viande de Moisson Montréal est à ce point populaire qu’il pourrait être étendu dans d’autres régions du Québec, selon Dany Michaud.

D’octobre 2013 à juin 2015, la viande a représenté 36 % du poids de toutes les denrées récupérées par Moisson Montréal. En valeur, cela correspond à environ 68 % de la valeur des denrées amassées, laquelle s’élève à plus 4 M$.

Moisson Montréal est aussi en discussion avec Sobeys et IGA, et la banque alimentaire souhaiterait convaincre un jour Costco et Walmart de participer à ce projet.

 En 2013, la FAO, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, publiait une étude révélant que la planète gaspille 1,3 milliard de tonnes de nourriture par année.

« Chaque année, la nourriture produite sans être consommée engloutit un volume d’eau équivalant au débit annuel du fleuve Volga en Russie et est responsable du rejet dans l’atmosphère de 3,3 gigatonnes de gaz à effet de serre », écrit la FAO.

Enfin, il y a aussi des conséquences économiques directes pour les producteurs, qui paient des coûts de production sur cette nourriture invendue. Dans le monde, la FAO estime ces pertes à 750 milliards de dollars américains par année, soit deux fois le PIB du Québec (363 G$).


Depuis le début du Programme de récupération alimentaire en supermarchés en octobre 2013…

> Total des denrées récupérées : près de 500 000 kilogrammes
> Valeur totale des denrées : plus de 4 M$


> Total de la viande récupérée : plus de 180 000 kg
> Valeur totale de la viande : 2,7 M$


> Boulangerie : près de 130 000 kg
> Valeur totale : près de 575 000 $


> Fruits et légumes : près de 50 000 kg
> Valeur totale : près de 145 000 $


> Produits congelés : près de 60 000 kg
> Valeur totale : plus de 260 000 $


> Produits variés : plus de 75 000 kg
> Valeur totale : près de 335 000 $

Source : Moisson Montréal, juin 2015

 y était temps clisssssssss$,gagne de clowns!

Source.:

mercredi 20 mai 2015

Les 12 hommes les plus riches de tous les temps.

Les 12 hommes les plus riches de tous les temps. Le premier risque de vous surprendre.

 

 

Vous êtes-vous déjà demandé quelles étaient les personnes les plus riches de tous les temps ? Le magazine en ligne Celebrity Net Worth a fait le calcul pour vous, en tenant compte de l’inflation au cours du temps. Aussi surprenant que cela puisse paraître, Bill Gates, l’homme le plus riche du monde en 2015, est la personne la plus “pauvre” sur cette liste. Quant à la personne la plus riche de tous les temps, elle est africaine.
1. Mansa Moussa : 400 milliards de dollars (378 milliards d’euros)
Mansa Moussa (ou Kankou Moussa) fut roi de l’Empire du Mali au XIVème siècle. Il a porté l’Empire du Mali à son apogée, du Fouta-Djalon à Agadez et sur les terres de l’ancien Empire du Ghana. Il a établi des relations diplomatiques suivies avec le Portugal, le Maroc, la Tunisie et l’Égypte. Son règne correspond à l’âge d’or de l’empire malien.

Sa fortune, il la construit en exploitant des mines d’or et de cuivre à travers le Sahara. Il fait aussi fortune dans le commerce du sel. En 1324, il se rend en pèlerinage à la Mecque, un voyage qui le rend célèbre en Afrique du Nord et au Proche-Orient. En effet, il part avec 60 000 hommes et 12 000 esclaves. Au sein de la caravane se trouvent aussi, selon certains récits, 80 dromadaires portant entre 50 et 300 livres d’or en poudre chacun (le Mali ignorait la monnaie). Dans chaque ville qu’il traverse, Moussa offre ses richesses. On raconte aussi qu’il construit une nouvelle mosquée chaque vendredi, quelle que soit la localité où il s’arrête ce jour-là.
On lui doit notamment la mosquée Djingareyber, toujours existante.


2. La famille Rothschild : 350 milliards de dollars (331 milliards d’euros)
Les Rothschild se sont fait connaître depuis le XVIIIe siècle dans les domaines de la banque et de la finance. La fortune de cette famille est colossale. D’après le blog financier Celebrity Networth, elle serait la deuxième plus grande fortune de tous les temps avec 350 milliards de dollars américains.








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3. John Rockefeller : 340 milliards de dollars (321 milliards d’euros)
Industriel et philanthrope américain, et évidemment fondateur de la légendaire famille Rockefeller. Sa famille a été à la tête d’un empire durant près de deux siècles en créant la Standard Oil qui deviendra Esso (des initiales SO), puis ExxonMobil. John Rockefeller prend sa retraite en 1896 en étant l’homme le plus riche des États-Unis et l’un des plus puissants au monde. Son fils reprend l’entreprise.


4. Andrew Carnegie : 310 milliards de dollars (293 milliards d’euros)
Industriel et philanthrope écossais naturalisé américain, il est l’un des principaux acteurs de l’essor de l’industrie de l’acier aux États-Unis à la fin du XIXe siècle. Le succès de sa société, Carnegie Steel, est essentiellement lié à sa capacité de produire en grande quantité et à bas prix des rails de chemin de fer, dont la demande est forte à cette époque. Il fonde notamment en 1865 la Keystone Bridge Company qui est à l’origine du pont Eads. Il participe également à la fabrication de matériel ferroviaire avec la Pittsburgh Locomotive and Car Works. En 1901, pour la somme de 480 millions de dollars, il vend ses propriétés industrielles à un groupe de financiers mené par J. P. Morgan, ce qui constitue à l’époque un record pour une cession commerciale. Il est surnommé  l’homme le plus riche du monde et devient l’incarnation parfaite du rêve américain.On se souvient surtout d’Andrew Carnegie en tant que bienfaiteur et philanthrope. Jusqu’à sa mort, en 1919, il aura laissé plus de 350 millions de dollars américains à diverses fondations, et les derniers 30 millions de sa fortune restant à sa mort sont légués à diverses œuvres de charité.


5. Nicolas II de Russie : 300 milliards de dollars (283 milliards d’euros)
Nicolas II est « tsar de toutes les Russies », de 1894 à 1917. Sous son règne et sous celui de son père, la Russie connaît un essor économique, social, politique et culturel sans précédent. La fortune personnelle de Nicolas II était colossale.
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source : wikimedia
Nicolas II gouverne de 1894 jusqu’à son abdication en 1917. Il ne réussit pas à mettre fin à l’agitation politique de son pays ni à mener les armées impériales à la victoire pendant la Première Guerre mondiale. Son règne se termine avec la révolution russe de 1917, pendant laquelle lui et sa famille sont emprisonnés d’abord dans le palais Alexandre à Tsarskoïe Selo, puis plus tard dans la maison du gouverneur à Tobolsk, et finalement dans la villa Ipatiev, à Ekaterinbourg.
Nicolas II, son épouse, son fils, ses quatre filles, le médecin de la famille, son domestique personnel, la femme de chambre et le cuisinier seront ensuite mis à mort par les bolcheviks dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918.



6. Fateh Jang `Othman `Alî Khân Asaf Jâh VII : 230 milliards de dollars (217 milliards d’euros)
Né le 6 avril 1886 à Hyderâbâd, un ancien État du centre de l’Inde, et mort le 24 février 1967 dans le même ville, il est le dernier souverain régnant de la dynastie des Nizâm de l’Hyderâbâd et de Berar (l’un des cinq sultanats de l’époque). Il a la réputation d’être l’homme le plus riche du monde à son époque. Malgré cela il menait une vie plutôt simple et frugale.


7. Guillaume le Conquérant : 229 milliards de dollars (216 milliards d’euros)
Appelé également Guillaume le Bâtard, Guillaume II de Normandie et enfin Guillaume Ier d’Angleterre, il est duc de Normandie de 1035 à sa mort et roi d’Angleterre de 1066 jusqu’à sa mort en 1087. Outre les taxes, les possessions du roi Guillaume le Conquérant sont augmentées des grandes propriétés qu’il possède dans toute l’Angleterre. En tant qu’héritier du roi Édouard, il contrôle l’ensemble des domaines royaux, et y ajoute une grande partie des terres de Harold et sa famille, ce qui fait de lui le plus grand propriétaire du royaume (et de loin) : à la fin de son règne, ses terres en Angleterre sont quatre fois plus importantes que celles de son demi-frère Odon, le propriétaire le plus important après lui, et sept fois plus que celles de Roger de Montgommery. Une étude récente fait de Guillaume le 7ème homme le plus riche ayant jamais vécu.


8. Mouammar Kadhafi : 200 milliards de dollars (189 milliards d’euros)
Kadhafi a dirigé la Libye pendant près de 42 ans. Mort en 2011, il était un des hommes les plus riches au monde. Sa fortune, provenant de l’extraction du pétrole et du gaz, était estimée à 144 milliards d’euros, soit 200 milliards de dollars américains à l’époque, qu’il aurait sortis de Libye durant les trente années précédant sa chute. D’après le blog financier Celebrity Networth, il serait le huitième homme le plus riche de tous les temps.
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source : pixabay
L’administration américaine a découvert que le régime libyen possédait près de 27 milliards d’euros sur des comptes et des investissements aux États-Unis ; ils ont depuis été gelés. En Europe, près de 22 milliards d’euros ont été saisis par les gouvernements français, italien, britannique et allemand. Kadhafi investissait dans des entreprises comme Total, Alsthom, Fiat, dans les secteurs des médias (Financial Time) ou du sport (7,5% de la Juventus). En France, il possédait, par exemple, le bâtiment parisien qui abrite la Fnac des Ternes dans le 17ème arrondissement de Paris.

Plusieurs enquêtes menées par des responsables américains, européens et libyens ont révélé que Kadhafi investissait massivement dans de nombreux pays du Moyen-Orient et de l’Asie du Sud-Est. La plupart de ces fonds étaient placés dans des institutions gouvernementales libyennes comme la Banque centrale de Libye, la Compagnie pétrolière libyenne, la Banque extérieure de Libye, ainsi que des compagnies d’investissements telle que la Libya African Investment Portfolio. En juin 2013, le Sunday Times rapporte que Kadhafi aurait caché un milliard de dollars américains en liquide, or et diamant dans quatre banques et deux sociétés de sécurité en Afrique du Sud.
Kadhafi possédait un Airbus A340, qu’il avait acheté au prince saoudien Al-Waleed bin Talal pour 120 millions de dollars américains en 2003.
 L’avion était décoré avec les couleurs de la compagnie basée à Tripoli, Afriqiyah Airways. Il est utilisé en 2009 pour rapatrier le terroriste Ali al-Megrahi de sa prison d’Écosse. L’avion est capturé en août 2011 lors la guerre civile libyenne. Le journaliste de la BBC John Simpson rapporte que l’avion est équipé de manière luxueuse, avec notamment un jacuzzi.
 À partir de février 2011, le pouvoir de Kadhafi, en place depuis plus de 41 ans, est menacé par une contestation populaire, que la répression transforme rapidement en insurrection armée, puis en guerre civile. Lors de la prise de Tripoli par les rebelles en août 2011, Mouammar Kadhafi fuit la capitale. Le 20 octobre, il est capturé, lynché et tué dans les environs de Syrte.



9. Henry Ford : 199 milliards de dollars (188 milliards d’euros)
Né le 30 juillet 1863 et mort le 7 avril 1947 à Dearborn aux États-Unis, Henry Ford est le fondateur du constructeur automobile Ford.
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source
Son nom est notamment attaché au fordisme, une méthode industrielle alliant un mode de production en série fondé sur le principe de ligne d’assemblage et un modèle économique ayant recours à des salaires élevés. La mise en place de cette méthode au début des années 1910 révolutionne l’industrie américaine en favorisant une consommation de masse et lui permet de produire à plus de 15 millions d’exemplaire la Ford T ; Henry Ford devient alors l’une des personnes les plus riches et les plus connues au monde.



10. Cornelius Vanderbilt : 185 milliards de dollars (175 milliards d’euros)
Né le 27 mai 1794 et mort le 4 janvier 1877 à New York, il a bâti sa fortune dans la construction maritime et les chemins de fer, ce qui lui valut le surnom de Commodore. A sa mort, sa fortune équivaut à 1,15% du PNB des États-Unis ! C’est à lui que New York doit l’immense gare de Grand Central. Côté anecdote, Cornelius serait l’un des acteurs de l’invention des chips !


11. Alain le Roux  : 179 milliards de dollars (169 milliards d’euros)
Né vers 1040 et mort le 4 août 1093, Alain le Roux était un noble breton qui participa à la conquête normande de l’Angleterre et en devint l’un des plus riches barons grâce à de nombreuses terres en Angleterre. Dans un livre intitulé The Richest of the Rich (en français “les plus riches des riches”), Philip Beresford et William D. Rubinstein désignent Alain le Roux comme la personne le plus riche d’Angleterre de tous les temps.


12. Bill Gates : 136 milliards de dollars (128 milliards d’euros)
Bill Gates a construit sa fortune grâce à l’entreprise Microsoft qu’il a créé à l’âge de 20 ans.
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 Source.:












vendredi 25 juillet 2014

Pourquoi y a-t-il 2,2 milliards de pauvres dans le monde ?

La pauvreté risque d'augmenter au gré des crises financières et catastrophes naturelles, a averti l'ONU jeudi.

Crises financières, catastrophes naturelles et politiques publiques inefficaces risquent de faire croître la pauvreté dans le monde alors que plus de 2,2 milliards d'hommes et de femmes, soit près d'un tiers de l'humanité, sont déjà concernés ou sont en passe de l'être.Les 85 personnes les plus riches de la planète possèdent autant que les 3,5 milliards les plus pauvres.

C'est ce dont s'alarme le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) dans son rapport 2014 rendu public jeudi 24 juillet, citant notamment le prix des denrées alimentaires et les conflits violents comme autres sources aggravantes de la pauvreté.
Parmi les chiffres chocs contenus dans ce rapport :
  • 1,2 milliard de personnes vivent avec l'équivalent de 1,25 dollar ou moins par jour. 
  • 1,5 milliard de personnes réparties dans 91 pays en voie de développement vivent « en siuation de pauvreté marquée par des carences cumulées en matière de santé, d'éducation et de niveau de vie », 
  • 800 millions de personnes sont à la lisière de la pauvreté.
CERCLE VICIEUX
Le PNUD insiste sur le cercle vicieux que constitue la pauvreté, synonyme de chômage, lui-même souvent accompagné d'un accroissement de la criminalité, de la violence, de la consommation de drogue et de suicides.
Et même si globalement la pauvreté recule dans le monde, le PNUD met en garde contre les inégalités croissantes ainsi que des « vulnérabilités structurelles » qui persistent.
« Eliminer l'extrême pauvreté n'est pas seulement arriver à zéro, encore faut-il rester à ce niveau. Il faut spécifiquement protéger celles et ceux qui sont menacés par des catastrophes naturelles, des changements climatiques ou des chocs financiers.
Mettre au cœur de notre agenda de développement la réduction de ces vulnérabilités constitue le seul moyen de s'assurer que le progrès est résilient et durable. Assurer une protection sociale de base aux pauvres du monde entier coûterait moins de 2 % du PIB mondial. »
« Une protection sociale de base est abordable tant que les pays à faible revenu redistribuent des fonds et accroissent leurs ressources internes, et ce avec l'appui de la communauté des donateurs internationaux ».
« La plupart des problèmes sont le résultat de réformes inadéquates et d'institutions peu performantes », conclut Khalid Malik, principal auteur de l'étude, qui note également qu'actuellement, les 85 personnes les plus riches de la planète possèdent autant que les 3,5 milliards les plus pauvres.


REF.:

dimanche 6 octobre 2013

La Bourse et les Chiens ?




Le conseil de Gordon Gekko,du film "Wall Street",  "si tu veux un ami, achète un chien" !
En affaire,vous n'aurez jamais d'amis,mais justes le contraire !$!

Carl Icahn when the director was working on his 1987 film “Wall Street.” Gordon Gekko’s advice — “If you want a friend, get a dog” — was actually Carl Icahn’s line.


- C'était en fait la ligne de Carl Icahn.
Carl Icahn en est devenu le deuxième plus gros actionnaire après le fondateur et P-DG Michael Dell, a relevé le Wall Street Journal.
Ce conflit pour le contrôle de Dell entre Michael Dell et Carl Icahn dure depuis des mois. Il devrait être finalement tranché le 12 septembre lors de l’AG extraordinaire des actionnaires, sauf report.

Rappelons que dans l'historique fourni des interventions de Carl Icahn (77 ans) dans des entreprises, figure notamment son passage chez Yahoo. Ce redoutable raider a été une des sources d'inspiration du réalisateur Oliver Stone pour le personnage cynique du spéculateur Gordon Gekko, joué par Michael Douglas, dans le film "Wall Street" en 1987 (la phrase de Gekko, "si tu veux un ami, achète un chien", est une devise réelle de Carl Icahn).En mai 2013, Apple disposait de 145 milliards de dollars en cash, dont 107 milliards offshorePour sa seule année fiscale 2012, Apple a ainsi généré plus de 41 milliards de dollars de bénéfices (plus de 50 milliards de cash flow opérationnel). Malgré des bénéfices sous tension en 2013, la firme reste très largement rentable. Et ces bénéfices aiguisent naturellement l'appétit d'investisseur comme Carl Icahn, qui dans trois semaines devrait une nouvelle fois rencontrer Tim Cook.
Néanmoins, satisfaire cette demande ne consisterait pas à un retrait au guichet. Car cet argent est essentiellement conservé à l'étranger. Le rapatrier ferait automatiquement grimper la feuille d’impôts d'Apple.
Fiscalité : Google ne change rien ?

Ainsi, comme le rapporte le Financial Times, pour 2012, Google n’a payé que 11,2 millions de livres (13,4 millions d’euros) d’impôts sur les sociétés au Royaume-Uni. Certes, c’est plus que l’année précédente (7,3 millions de livres), mais cela demeure néanmoins très peu comparé aux 3 milliards de livres de chiffre d’affaires réalisés sur la même période par Google dans le pays.Si Google paie moins d'impôts, c'est donc la faute des gouvernements européens...mais pauvreté oublige !

jeudi 12 septembre 2013

Réduire la pauvreté et la dépendance alimentaire au maximum


La Tablée des Chefs de Jean-François ArchambaultJean-Francois Archambault


On lui a dit d'oublier son projet, mais il a persisté. Aujourd'hui, le fondateur de La Tablée des Chefs redistribue 100 000 portions de nourriture par an aux plus démunis.
11 novembre 2009. Pendant que le Canadien de Montréal lutte contre les Flames de Calgary pour éviter le blanchiment, desemployés des services alimentaires du Centre Bell s'activent à une tout autre tâche. En compagnie des bénévoles de la mission Bon Accueil, ils récupèrent les repas préparés pour les loges et qui n'ont pas été consommés pour les redistribuer à des gens dans le besoin.
N'eût été la ténacité de Jean-François Archambault, ces surplus frais et de bonne qualité auraient été jetés. Au lieu de cela, ils ont permis de nourrir quelque 700 personnes.
Ce jeune homme de 32 ans au visage juvénile dirige La Tabléedes Chefs, un organisme sans but lucratif qu'il a lui-même fondé en 2002. À l'aide de cinq autres employés permanents et d'une armée de chefs bénévoles, il redistribue plus de 100 000 portions de nourriture par an. Comment ? En servant d'agent de liaison entre des organisateurs d'événements majeurs et les 17 banques alimentaires du Québec.
En plus du Centre Bell, Jean-François Archambault compte des partenaires prestigieux comme le Mouvement Desjardins, l'Hôtel Windsor, le Fairmount, le Manoir Richelieu, le Hilton Bonaventure de Montréal, la Coop HEC Montréal et Tourisme Laval. Et dans tous les salons ou les foires alimentaires du Québec, vous trouverez les contenants de récupération au logo de La Tablée des Chefs.
Jean-François Archambault est allergique au gaspillage. Tout a commencé lors de ses études en gestion hôtelière à l'Institut de tourisme et d'hôtellerie du Québec (ITHQ). " Dans notre cours de cuisine, nous pouvions recommencer trois fois le même plat pour nous entraîner. Comme nous ne mangions jamais tout, nous jetions les restes. Déjà à l'époque, je me disais : pourquoi ne pas les récupérer ? On me répondait que c'était impossible pour des questions de sécurité alimentaire ", dit-il.
Mais impossible ne fait pas partie de son vocabulaire. Et cette idée de récupérer des denrées périssables ne le quitte pas. À sa sortie de l'ITHQ, à 22 ans, il décroche un poste de vendeur à l'Hôtel Fairmount. Parallèlement, avec l'aide de son père, un avocat de l'Association des hôteliers du Québec, il réunit autour de la même table les intervenants de l'industrie afin de les mobiliser pour son idée de redistribution alimentaire.
" À l'époque, les hôteliers avaient très peur de se retrouver dans les journaux à cause d'un empoisonnement alimentaire ", dit le jeune chef. Jean-Francois Archambault réplique à cette crainte en implantant une logistique à toute épreuve. Les repas doivent être consommés au plus tard dans les 48 heures qui suivent leur préparation. Les hôtels participants redistribuent généralement la nourriture àdes organismes situés à proximité. Certains, comme le Sheraton, congèlent les aliments avant de les redistribuer. Si les repas doivent faire un trajet de plus de trente minutes avant de parvenir àdestination, ils sont placés dans des glacières.
Les chefs ont des consignes claires : pas de vinaigrette mélangée à l'avance avec de la mayonnaise, pas de poissons crus ou cuits, pas de viande froide restée plusieurs heures à la température de la pièce, etc. Les organismes communautaires qui récupèrent la nourriture sont eux aussi mis au pas. En plus de manipuler les aliments avec un soin méticuleux, ils doivent être assidus à la cueillette. " Nous tolérons qu'ils ne se présentent pas pour récupérer les aliments une fois, mais si cela arrive une deuxième fois, il sont exclus du programme ", tranche le président de La Tablée des Chefs.
Ce projet aurait pu échouer pour plusieurs raisons. Cependant, ce ne sont pas celles auxquelles Jean-Francois Archambault avait songé qui lui ont donné le plus de fil à retordre. Au-delà des défis logistiques, c'est bien plus la question de l'image et de l'ego qu'il a fallu contourner. " Au début, leschefs refusaient de collaborer, car ils craignaient la réaction de leur directeur général. Ils ne voulaient pas se faire accuser de gaspiller et de mal gérer leurs stocks de nourriture. Car qui dit surplus, dit aussi coûts supplémentaires pour l'entreprise... " explique l'entrepreneur. Jean-François Archambault a vite compris qu'en voulant faire le bien, c'est tout le modèle d'affaires de la gestion hôtelière qu'il venait bousculer.
Pour surmonter cet obstacle, l'entrepreneur travaille actuellement avec la firme Samsom Bélair à donner une valeur à ces surplus alimentaires. Ainsi, La Tablée des Chefs pourra fournir aux hôtels participants des reçus de dons de charité qu'ils pourront déduire de leurs impôts. " Le problème vient du fait que la nourriture transite rapidement, explique le chef. Elle ne peut pas être pesée et évaluée au poids, comme c'est le cas pour des denrées non périssables. Nous devons alors lui donner une valeur à la portion. "
Une fois ce problème résolu, il pourra sans doute recruter davantage d'hôtels. Car la bonne volonté seule ne suffit pas toujours. Et cela, Jean-François Archambault le comprend depuis ses débuts. " N'oubliez pas que j'ai commencé ma carrière comme vendeur ! " Et que juste avant de prendre la direction de la Tablée, en 2006, il était directeur, ventes et marketing, pour les hôtels Marriott Courtyard et Residence Inn.
Ce jeune homme aurait pu faire fortune dans le secteur privé. Pendant qu'il planche sur son projet deTablée, certains proches ne manquent pas de le lui rappeler. Comme ce chef réputé, un ami de la famille, qui lui dit de ne pas suivre cette voie, lui " qui a un si bel avenir devant lui ". Mais ses convictions le poussent à garder le cap. Jean-François Archambault consacre ce talent si vanté par les autres à gérer La Ta-blée des Chefs comme une entreprise. En 2007, la Jeune Chambre de commerce de Montréal le nomme d'ailleurs " Jeune leader d'affaires du Québec socialement responsable de l'année ". " Mon but est de ne plus avoir besoin de dons pour fonctionner ", dit-il, fier d'ajouter qu' en 2010, il atteindra la rentabilité pour la première fois.
Aujourd'hui, il compte sur l'aide de cinq employés permanents, de 12 chefs pigistes et d'une quarantaine de chefs bénévoles. Il a quitté le sous-sol de ses débuts pour s'installer à Longueuil dans un nouveau développement commercial et reçoit Commerce dans la cuisine. Devant un clafoutis aux petits fruits, il explique les influences qui l'ont façonné. Fils d'un juge à la Cour supérieure, il n'a jamais manqué de rien. " Mes parents étaient du genre à s'engager dans tout ce qui touche à la vie communautaire. J'avais neuf ans quand mon père a organisé la première guignolée dans le quartier. J'ai appris très tôt que quand on vient d'une famille favorisée, on a le devoir de redonner à la société. "
La Tablée des Chefs s'inspire de City Harvest, un organisme de New York qui redistribue des surplus alimentaires depuis 25 ans. Cette année, City Harvest aura récupéré quelque 25 millions de livres de nourriture pour nourrir 260 000 New-Yorkais dans le besoin. Et bien que dans dix ans, Jean-FrançoisArchambault espère avoir plus d'espace et un entrepôt réfrigéré, son rêve n'est pas de croître. Au contraire. Il aimerait presque voir La Tablée disparaître...
" Au fond, ce qu'on souhaite, c'est réduire la pauvreté et la dépendance alimentaire au maximum. J'aimerais atteindre un point de saturation à partir duquel c'est nous qui commencerons à gaspiller ! " C'est pourquoi l'organisme offre aussi des ateliers de cuisine aux jeunes des milieux défavorisés, de même qu'un camp de vacances où chaque été 400 jeunes de sixième année préparent eux-mêmes leurs repas tous les jours.
Même si le fondateur de La Tablée des Chefs ne vise pas la croissance, celle-ci semble inévitable. Et il en est conscient. S'il le faut, il étendra son modèle de redistribution dans tout le Canada. " Je n'ai pas de limites, car je ne crains pas le refus. Pour parvenir à mes fins, je pourrais téléphoner à Barack Obama demain matin, parce que d'après moi, tout le monde doit faire sa part pour réduire la pauvreté. "
Près de 300 000 personnes au Québec dépendent de l'aide alimentaire. En 2010, la Tablée des Chefspassera donc en deuxième vitesse. On a mis sur pied un système de courtage en ligne. Il s'agit d'un site Internet où les établissements participants peuvent inscrire leurs événements. Les organismes membres peuvent consulter le site et accepter les cueillettes en ligne. " Cela nous permettra de nous concentrer à faire du développement et à trouver d'autres sources de financement. " Jean-FrançoisArchambault n'a pas fini de cuisiner les chefs québécois pour les inciter à passer à la Tablée.


vendredi 7 juin 2013

Impôt Québec: Une très faible portion des 246 millions $ sera récupéré par Revenu Qc


Impôts - L'État souffre d'un manque à gagner de 266 M$
Le Vérificateur général du Québec, Michel Samson. 
Photo Archives / Agence QMI

QUÉBEC - Les contribuables qui ne produisent pas de déclarations de revenus au fisc doivent 266 millions $ à l'État québécois, estime Revenu Québec.
En février 2013, Revenu Québec avait repéré 122 039 sociétés et 101 615 particuliers qui n'avaient pas produit de déclaration de revenus ou de taxes pour l'année 2010, selon le Vérificateur général du Québec, Michel Samson, qui a déposé son rapport annuel mardi matin à l'Assemblée nationale.
Constats du vérificateur général - reportage
Impôts: L'État souffre d'un manque à gagner de 266 M$


M. Samson a toutefois relativisé ces informations, en signalant que les sommes dues à l'État, notamment par les entreprises étaient probablement surestimées par Revenu Québec.
Dans les avis de cotisation que l'agence envoie aux entreprises prises en défaut, Revenu Québec demande 8000 $ par entreprise «sans que cette somme soit justifiée», a-t-il indiqué. Et en date du 28 février, 31 605 sociétés qui ont reçu un avis de cotisation ont déclaré devoir 14 millions $ à Revenu Québec, contrairement aux 408 millions $ estimés par l'agence.
Par ailleurs, 21 314 autres sociétés n'avaient toujours pas produit de déclaration, deux ans après la «date statutaire de production».

Plusieurs lacunes

«Il est raisonnable de croire qu'une très faible portion des 246 millions $ liés à ces avis de cotisation sera récupérée», a conclu le Vérificateur général.
«Le traitement des dossiers de non-production effectué par Revenu Québec comporte plusieurs lacunes et il n'y a pas d'harmonisation entre les (trois) directions générales ni d'intégration des processus», a constaté Michel Samson. Bien que l'État connaisse les montants impayés pour les contribuables délinquants identifiés, la somme due est réputée nulle pour ceux qui s'ajoutent à la liste des mauvais payeurs.
«Il n'y a pas d'historique et le processus fait en sorte que la somme due est nulle, par conséquent le dossier ne fait l'objet d'aucun suivi», écrit le Vérificateur. Mais des correctifs sont en cours, a-t-il ajouté, puisqu'une analyse de 2884 dossiers présumés à «somme zéro» a permis de repérer 702 cas ayant une cotisation moyenne de 948 $ par dossier.

De plus, Revenu Québec estime pouvoir récupérer 14,5 millions $ par année auprès des particuliers, dont 6,6 millions liés à la non-production de revenus, grâce à un nouveau système de repérage informatique dont le coût est estimé à 5,5 millions $.


mardi 7 mai 2013

Le gouvernement fédéral a radié de ses livres près de 16 milliards $ en impôts impayés ?

De 2006 à mars 2012, le gouvernement fédéral a radié de ses livres près de 16 milliards $ en impôts et taxes impayés. Vous avez bien lu. Le fédéral a renoncé au recouvrement de cette montagne de dettes fiscales.

Une telle somme équivaut au montant total des prestations de chomageque le fédéral a versé l'an dernier aux chomeurs.
est-ce l'insouciance  des services de recouvrement de revenu canada qui se fait déjouer par les cie et particuliers qui ne peuvent payer leurs dettes fiscales?
On parle quand même de 242 millions $ de budget et 4000 employés des bureaux des services fiscaux et du centre national d'appels de la gestion des créances.
Les dettes irrécupérables identifié en 2006 déja,par le vérificateur  général du canada..
comment expliquer la radiation de cette dettes ? ...........perte de donnés ,piratage du centre de revenu canada a laval,manque de pertsonnel,etc............
les chiffres monte ? radiation de 1,9 milliard $ en 2006 a 2,9 milliards $ en 2012 !
revenu canada dit:
c'est dû a l'augmentation des taux de faillites personnelles et commerciales depuis le crash 2008,hausse des nouvelles cotisations de la planification fiscale abusive,augmentation des débiteurs,hausse des recettes fiscales,augmentation des frais d'intérêt sur la dette fiscale (on a passé de 6 a 10 ans) ,donc rev canada devra se concenter sur les gros soldes d'impôts et taxes impayés au lieux de perdre son temps a courir après les particuliers qui doivent des petits soldes d'impôts.Et pour ça,.............le Fédéral a mit moins d'agents de recouvrement pour faire la job,alors ça devra aider en plus en la faveur des petits salariés ?


REF.:

lundi 4 mars 2013

C’est le travail au noir qui m’a sauvé ?












«Je n’échapperai personne»...


3 mars 2013 16h12 | Pierre Côté Président et fondateur, IRB | Actualités en société
C’est ce qu’a affirmé la ministre Maltais pour rassurer son monde quant aux nouvelles mesures d’incitation à l’emploi pour certaines catégories de bénéficiaires de l’Aide sociale.

Ce n’est pas parce que j’ai été le «Naufragé des villes» que je suis devenu un spécialiste de l’Aide sociale, mais j’y suis sensibilisé et j’ai été confronté à une réalité pas toujours commode.

Sur le principe des mesures annoncées, je suis d’accord. Qui ne le serait pas? Peu importe son statut et le parti politique que l’on appuie, tout le monde souhaite qu’il y ait moins de chômeurs, moins d’assistés sociaux et plus de travailleurs actifs. Cela va de soi.

Sur l’application de ces mesures, j’ai cependant d’énormes réserves. La réalité est beaucoup plus complexe. D’abord, je m’en excuse, mais les employés du ministère qui auront à appliquer ces mesures ne démontrent pas toujours l’empathie, le jugement et le discernement nécessaires pour le faire correctement. Je ne veux surtout par généraliser, mais c’est un fait. Ils sont humains et l’humain n’est pas une machine parfaite.

Ensuite, la notion « d’employabilité » en est une très élastique. Plusieurs qui portent cette étiquette, dans le fond, ne sont pas vraiment employables. Ou du moins, pas pour tous les emplois qui leur seront proposés. Souvent, pour aucun d’entre eux. Pour ceux et celles qui aiment détester les assistés sociaux et « basher » sur leur dos, il faut comprendre et constater l’état de détresse physique et psychologique de plusieurs d’entre eux. L’estime d’eux-mêmes est nulle, la confiance absente. Ils sont isolés de notre monde et vivent un peu en marge, souvent dans des sous-sociétés dans lesquelles ils ont appris à survivre. Je ne m’attarderai pas sur les nombreuses raisons qui les ont amenés là, mais ils y sont et il s’avère, pour un grand nombre d’entre eux, extrêmement difficile, voire souvent impossible de s’en sortir. Une société évoluée et humaine peut peut-être les détester, mais elle a le devoir et la responsabilité de ne pas les laisser crever.

Avant d’accepter un emploi, aussi simple soit-il, ils ont souvent besoin d’aide afin de se rebâtir une confiance minimale qui leur permettra d’abord de croire en eux. Je sais, de telles initiatives existent actuellement, mais elles sont encore limitées.

Et je ne m’attarde pas ici aux nombreux employeurs qui seront très frileux à engager des assistés sociaux. Et je ne les blâme pas. Surtout, justement, les plus âgés. Durant les deux mois de mon expérience de «Naufragé», à 53 ans, je n’ai pu réussir à me dénicher un emploi. C’est le travail au noir qui m’a sauvé.

Je pourrais poursuivre, mais je m’arrêterai ici. Vos mesures, madame Maltais, sont vertueuses, mais la vie ne l’est pas. Dans leurs applications et malgré les possibles bonnes intentions, elles engendreront des drames. Qu’arrivera-t-il aux personnes qui échoueront, malgré leur bonne volonté? Et qu’entend-on par «bonne volonté»? Perdront-ils 129$ par mois alors qu’ils en ont à peine 700$ pour vivre? Je n’ose l’imaginer. Si c’est le cas, ne vous surprenez pas de constater un accroissement du travail au noir, de la délinquance et de l’illégalité.

En affirmant que «vous n’échapperez personne», vous commandez un acte de foi, mais la foi, de nos jours, est plus que vacillante, surtout envers les politiciens et davantage lorsqu’on aborde les sujets des clientèles plus vulnérables. Votre affirmation, vous le savez, relève davantage de la pensée magique.

Mais c’est bien connu. Il n’est jamais payant, politiquement, de défendre les plus démunis. Nettement plus rentable de faire le contraire. Pour s’en convaincre une autre fois, sachez que seulement 34% de la population serait d’accord pour que les prestations de l’Aide sociale soient indexées annuellement en fonction du coût de la vie.

REF.: Pierre Côté
Président et fondateur, IRB
Participant à la série documentaire «Naufragés des villes»
Le 3 mars 2013


mercredi 23 janvier 2013

Vol d'essence a l'Ïle Perrot,la Police au aguet ?

La 6 ième Avenue a l' île Perrot est surveillé par la Police locale,mais le mal persiste !
La 6 ième avenue est au prise avec des ados a la peau foncées qui s'acharne sur les citadins de cette avenue.

Fléau mondial,mais qui s'intensifia avec l'abolition des postes de pompiste de la génération Y qui voulaient pas se la geler l'hiver ,et aimaient mieux servir a la caisse avec des caméras, qui filmeraient les voleurs.Cela,insitant le phénomène de vol d'essence actuel.

Les stations-service ne sont pas les seules touchées par les vols de carburants. Les transporteurs routiers sont particulièrement exposés au siphonnage. Avec des appareils adaptés, les voleurs pompent les réservoirs des poids lourds pouvant contenir jusqu'à 1000 litres. La Fédération Nationale du Transport Routier (FNTR) estime le volume de carburant dérobé aux routiers à 20 millions de litres chaque année. Les concessionnaires automobiles sont aussi des cibles de choix.


 





 A quoi bon les photographier, si les amener a la cour ne ralenti pas le phénomène.

 
 Barrer donc vos portes a essence,avec une bonne serrure de tiroir bureau et une canette de Lubrifiant Jig-A-Loo Graphite Extreme,pour la lubrifier en hiver(Résiste à des températures comprises entre -73° à +538°C) !



Richelieu - Serrure came 19X16MM KD chrome - BP140700140 - Home Depot Canada
 Equerre de chaise zinguée _30x_30mm
Avec une équerre métallique,qui retiendra la barrure de porte.
Ça va dissuader bien des voleurs!


REF.: