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samedi 17 août 2019

La Chine est en train de préparer sa propre monnaie virtuelle


La Chine est en train de préparer sa propre monnaie virtuelle


Un dirigeant de la People’s Bank of China (PBC) a annoncé que la monnaie virtuelle de la banque centrale chinoise, la CBDC, serait bientôt présentée au grand public. Une annonce plutôt étonnante lorsque l’on sait que Pékin n’a jamais apprécié le bitcoin et autres monnaies telles que l’Ethereum.

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Une monnaie virtuelle qui n’utilise pas complètement le blockchain

Selon l’un des représentants de la PBC, le CBDC est encore à l’état de prototype. Sa conception prend naturellement du temps, car le parti ne souhaite pas, pour diverses raisons, utiliser une architecture entièrement basée sur la blockchain, la technologie de stockage et de transmission d’informations derrière l’explosion des monnaies virtuelles.
Le gouvernement explique qu’une architecture entièrement basée sur la blockchain n’aurait pas une capacité de traitement assez grande pour prendre en charge les dizaines de millions d’opérations financières auxquelles elle serait soumise dès son lancement.
Lorsque l’on sait que le Bitcoin consomme autant d’électricité que la Suisse, on se doute qu’avec plusieurs centaines d’utilisateurs simultanés, l’infrastructure bancaire de cette monnaie virtuelle chinoise se doit d’être rapide et résiliente.

Le CBDC est en préparation depuis cinq ans

Un dirigeant de la PBC déclare : « afin d’améliorer l’accessibilité [de la monnaie] et de la faire accepter du grand public, une structure opérationnelle à deux niveaux sera adoptée ». La People’s Bank of China supervisera les opérations, tandis que des banques commerciales chinoises se chargeront de faire accepter la monnaie.
Personne ne sait encore quand cette monnaie virtuelle sera déployée. Mais Pékin aimerait probablement l’utiliser (ou plutôt la faire utiliser) le plus vite possible. Le CBDC permettra au parti communiste de mieux contrôler les échanges financiers et de limiter la spéculation.

dimanche 6 octobre 2013

La Bourse et les Chiens ?




Le conseil de Gordon Gekko,du film "Wall Street",  "si tu veux un ami, achète un chien" !
En affaire,vous n'aurez jamais d'amis,mais justes le contraire !$!

Carl Icahn when the director was working on his 1987 film “Wall Street.” Gordon Gekko’s advice — “If you want a friend, get a dog” — was actually Carl Icahn’s line.


- C'était en fait la ligne de Carl Icahn.
Carl Icahn en est devenu le deuxième plus gros actionnaire après le fondateur et P-DG Michael Dell, a relevé le Wall Street Journal.
Ce conflit pour le contrôle de Dell entre Michael Dell et Carl Icahn dure depuis des mois. Il devrait être finalement tranché le 12 septembre lors de l’AG extraordinaire des actionnaires, sauf report.

Rappelons que dans l'historique fourni des interventions de Carl Icahn (77 ans) dans des entreprises, figure notamment son passage chez Yahoo. Ce redoutable raider a été une des sources d'inspiration du réalisateur Oliver Stone pour le personnage cynique du spéculateur Gordon Gekko, joué par Michael Douglas, dans le film "Wall Street" en 1987 (la phrase de Gekko, "si tu veux un ami, achète un chien", est une devise réelle de Carl Icahn).En mai 2013, Apple disposait de 145 milliards de dollars en cash, dont 107 milliards offshorePour sa seule année fiscale 2012, Apple a ainsi généré plus de 41 milliards de dollars de bénéfices (plus de 50 milliards de cash flow opérationnel). Malgré des bénéfices sous tension en 2013, la firme reste très largement rentable. Et ces bénéfices aiguisent naturellement l'appétit d'investisseur comme Carl Icahn, qui dans trois semaines devrait une nouvelle fois rencontrer Tim Cook.
Néanmoins, satisfaire cette demande ne consisterait pas à un retrait au guichet. Car cet argent est essentiellement conservé à l'étranger. Le rapatrier ferait automatiquement grimper la feuille d’impôts d'Apple.
Fiscalité : Google ne change rien ?

Ainsi, comme le rapporte le Financial Times, pour 2012, Google n’a payé que 11,2 millions de livres (13,4 millions d’euros) d’impôts sur les sociétés au Royaume-Uni. Certes, c’est plus que l’année précédente (7,3 millions de livres), mais cela demeure néanmoins très peu comparé aux 3 milliards de livres de chiffre d’affaires réalisés sur la même période par Google dans le pays.Si Google paie moins d'impôts, c'est donc la faute des gouvernements européens...mais pauvreté oublige !

mercredi 15 août 2012

Marchés boursiers: les règles du jeu ont changé

«La gestion traditionnelle, je n'y crois plus vraiment»,... (PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE)
PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
«La gestion traditionnelle, je n'y crois plus vraiment», dit André Marsan, président de la firme Sigma Alpha Capital.
Des marchés boursiers toujours plus volatils. Des taux d'intérêt si bas qu'ils justifient de moins en moins l'achat d'obligations. Rien pour faciliter la gestion du portefeuille.
C'est sans compter la crainte pour les particuliers de voir un jour les gouvernements ou leurs employeurs être incapables de leur verser les rentes de retraite promises.
Pas surprenant alors que les bons stratèges boursiers soient de plus en plus recherchés. Et heureusement, le Québec en possède plusieurs. La Presse Affaires a discuté avec certains d'entre eux, et une constante se dégage. La gestion de portefeuille doit faire appel aux outils les plus modernes et ne doit pas hésiter à se métamorphoser.
«La gestion traditionnelle, je n'y crois plus vraiment», avoue d'entrée de jeu André Marsan, président de Sigma Alpha Capital. «C'est devenu une affaire planétaire, et les moyens d'hier ne suffisent plus», dit-il.
Période de transition
Pour bien juger de la pertinence d'un placement aujourd'hui, il faut être conscient que la dynamique du monde de l'investissement est en pleine période de transition et que les notions qui l'ont guidé au cours des générations précédentes doivent être réévaluées, explique Stéfane Marion, économiste en chef et stratège à la Financière Banque Nationale.
Comme les taux d'intérêt sont plus bas que jamais et que les grands indices boursiers s'échangent à un multiple cours/bénéfices d'à peine 13 fois, les notions traditionnelles nous amèneraient à conclure que les actions constituent actuellement l'aubaine d'une génération. Mais attention, car des changements structurels importants modifient substantiellement la toile de fond.
On s'est habitué à vivre avec des multiples cours/bénéfices de 15 fois et plus, mais la croissance économique était alors de 4% et plus, explique le stratège de la Financière.
Depuis la crise financière, bien des règles ont changé. Les politiciens ont introduit beaucoup de volatilité dans les marchés. Et cela pourrait se poursuivre. «Nous sommes entrés dans une période de transition», dit M. Marion.
L'endettement des gouvernements
Pour combattre la crise financière et la récession qui a suivi, les gouvernements se sont endettés comme jamais auparavant. La croissance économique ne sera plus la même. Elle sera sûrement plus faible. Et les actions en Bourse pourraient fort bien commander un multiple cours/bénéfices nettement inférieur dans l'avenir.
De plus, le vieillissement de la population modifie la répartition globale des actifs. Les investisseurs sont à la recherche de rendement constant. Le concept de titres à dividendes est devenu une réalité. Les actions comme on les connaît pourraient être de moins en moins demandées.
De plus, comme les taux d'intérêt sont si bas, on est incité à prendre plus de risque, constate M. Marion. «Mais cela ne doit pas devenir la base de la gestion du portefeuille», dit-il.
Il faut se tourner vers d'autres classes d'actifs moins traditionnels, comme secteur agricole et l'immobilier. «L'industrie des services financiers n'aura d'autres choix que d'offrir aux particuliers toutes ces classes d'actifs», affirme-t-il.


REF.:

lundi 28 mai 2012

Anonymous: Vos Prêts et Bourses en recouvrement ?


Ça arrivera un jour ou l'autre,car une dette de 30,000.00$ c'est facile avec les intérêts qui va avec !
Et un travailleur en temps partiel avec l'obligation d'accepter un salaire a 70% de son salaire,s'il devient chomeur et retourne sur le marché de l'emploi;c'est pas plus drôle avec le nouveau plan Fédéral de l'assurance emploi qui devrait être appeler L'assurance Chomage avec tous les travailleurs saisonniers que l'on connaît ,des McJob,........................ y en a encore !
Alors mieux vaut faire une faillite!
Faut attendre 10 ans et probablement mettre vos impôts de ces année ,non payés aussi dans votre faillite.
Pour une première faillite c'est 9 mois de paiement,et si vos revenus sont trop bas ,chez un bon Syndic de faillite(faut magasiner)il vous en coutera 100$/mois pour avoir la paie.

Alors mettez cette dâte (10 ans,a partir de la fin des études)dans votre cellulaire et ça va sonner ,car a ct'heure les agenda de portable sont bien fait pour ça !

Vous perdrez vos TPS au Syndic et TVQ(ou Solidarité) pour le ministère de l'Éducation,mais après 7 ans de la date de fin d'étude le Ministère de l'Éducation (comme créancier)n'y aura pas le droit,n'y même vos remboursements impôt Provincial post-faillite.Faut vraiment vérifier ,car le Ministère de l'Éducation est vraiment malhonnête la dessus et vous l'enlèvera quand même,...............alors voyez s'y ! Y disent que c'est l'informatique ;-)

Au ministère de l'Éducation c'est Mme Julie Plourde au numéro de téléophone suivant ,qui s'occupe de ça ;-)

1-866-615-5100 extention 6339 !$!

vous pouvez aussi commander de la pizzza a Mame  Jojohanne Laliberté au service de recouvrement,
au 1-866-615-5100, au poste 6282 (gratiche câliche),ou par coucouiriellle a
johanne.laliberte@mels.gouv.qc.ca !

REF.:,G00gle, La CLASSE,Carré ROUGE,

dimanche 13 mai 2012

Le terrorisme économique ? Al Quaida fut le premier a l'utiliser !$!





Après Al Qaida et le scandale des 2 tours du world trade center visant l'économie Américaine,on l'a vu aussi dans la guerre du Golf ou Saddam met le feu a 1164 puits de pétrole,nous avons les jeunes du printemps Arabe,et la génération C de l'internet qui prend le flambeau d'occupons Wall Street qui déferla sur les pays du monde,qui eux s'en serve pour démontrer que le peuple a besoin d'un toit sur la tête et une job pour la survie de leurs famille.Et ça sa ce fera sans les Banques !

voici le poul du monde; ICI !
 « Contrairement à la "guerre économique", qui est menée par des États contre d'autres États, le "terrorisme économique" serait mené par des entités transnationales ou non-gouvernementales. Elle supposerait des actions variées, coordonnées et sophistiquées, ou des actes massifs de déstabilisation pour désorganiser la stabilité économique et financière d'un État, d'un groupe d'États ou d'une société (telle une société occidentale à l'économie de marché) pour des motifs idéologiques ou religieux. Ces actions, si menées, pourraient être violentes ou non. Elles pourraient avoir des effets immédiats ou infliger des effets psychologiques qui à leur tour peuvent avoir des conséquences économiques. »1

Le pire ennemi du Capitalisme ? un riche escroc ? ou un Banquier ! 

REF.: 

Le Canada,premier pays a abandonner la carte de crédit ?

Êtes-vous en burnout du crédit?

 par: - 10 mai 2012 Commençons-nous à « slaquer » sur la carte de crédit? Votre voisin a-t-il abandonné l’idée de s’acheter un château avec garage double, pour se rabattre sur un joli cottage, plus abordable?
Avons-nous enfin écouté les avertissements de Mark Carney, gouverneur de la Banque du Canada, qui nous répète depuis des mois dans les médias qu’il faut cesser de s’endetter comme si demain n’existait pas?
Si c’est le cas, applaudissons notre retour sur terre.
Benjamin Tal, lui, pense que oui. L’économiste de la CIBC a publié un rapport dans lequel il explique qu’une « fatigue du crédit » commence à s’abattre sur le Canada.
Le crédit à la consommation a augmenté de seulement 2,3 % depuis un an. Il a même diminué en mars par rapport au mois précédent. C’est le rythme le plus faible depuis les années 1990. Tout ça, rappelons-le, avec des taux d’intérêt qui demeurent historiquement bas.
Le marché hypothécaire aussi ralentit. Le solde des prêts hypothécaires a augmenté de 6,3 % annuellement. Oui, ça demeure élevé. Mais c’est un rythme plus faible que la moyenne des deux dernières années (7,3 %). Et par rapport au mois dernier, l’augmentation est de 0,5 %. La plus faible depuis 2001, souligne Tal, qui n’hésite pas à donner une part du crédit à Mark Carney et à la Banque du Canada pour avoir martelé leur message de prudence.
Il était temps
Un passage de l’étude m’a fait sursauter. Imaginez : pour la première fois depuis 2002, le crédit à la consommation au Canada augmente plus lentement qu’aux États-Unis.
Attendez… la première fois depuis 2002? Nous, Canadiens, avons été encore plus accrocs au crédit que nos voisins Américains depuis tout ce temps?
Oui. Contrairement à la perception populaire, nous dit l’économiste, le crédit à la consommation au Canada a augmenté deux fois plus vite qu’aux États-Unis durant la dernière décennie. Suite à la crise, alors que ce recours au crédit ralentissait aux États-Unis et sombrait même en territoire négatif, il continuait d’augmenter au Canada. Et même à accélérer! Aujourd’hui, les rôles s’inversent. La consommation à crédit augmente chez nos voisins du sud, et ralentit au Canada.
L’immobilier inquiète
Benjamin Tal est catégorique sur le marché immobilier. « Il n’y a pas de débat sur le fait que le marché immobilier surchauffe en ce moment. La seule question est : de quelle nature sera l’ajustement? Nous sommes à un tournant dans le marché immobilier [...] La CIBC continue à prévoir un ralentissement graduel du marché, avec une chute potentielle des prix de 10 % d’ici un ou deux ans. » Les gens réalisent de plus en plus, illustre Tal, que le marché immobilier est « en neuvième manche ».
Mettez tout ça ensemble, et ça commence à être difficile de ne pas s’attendre à un ralentissement économique dans les années qui viennent. Du moins si on voit toujours le consommateur comme moteur de la croissance. Avec le crédit à la consommation qui ralentit, le marché immobilier qui se stabilise et qui pourrait perdre de la valeur, les consommateurs canadiens perdent les deux piliers principaux qui ont soutenu leur économie pendant la crise, écrit Tal.
Je demeure convaincu que les implications de ce « serrage de ceinture » collectif, bien que nécessaire, sont plus grandes que l’on pense. Et que nos politiciens, qui misent grandement sur la croissance économique pour équilibrer leurs budgets, n’en sont pas tout à fait conscients.

REF.:

lundi 2 avril 2012

Des pensions cinq étoiles pour nos députés(es)


 

Il y a un grand oublié dans le budget fédéral : la réforme des pensions cinq étoiles des députés.
Pendant que les conservateurs demandent au peuple de travailler deux ans de plus avant de toucher leur retraite, ils protègent leur propre régime de pachas. Rappelons que pour chaque dollar qu’un député fédéral contribue à son fonds de retraite, les contribuables canadiens en fournissent… 23!
Un député gagne un salaire d’environ 157 000 $ par année, mais les contribuables canadiens versent presque le double, annuellement, dans son fonds de pension.
Que la bourse chute, qu’on replonge en crise économique ou qu’un gouvernement Khadir-Ferrandez prenne le pouvoir, peu importe. Nos humbles serviteurs ont décidé que leur régime de retraite allait générer, chaque année, un rendement de 10,4 %. Garanti par vous, contribuables.
Pour les députés fédéraux, le rêve Liberté 55 vit toujours : ils peuvent toucher leur pension à 55 ans, après seulement 6 ans de travail.
Du bout des lèvres
Suite à la publication de ces chiffres par la Fédération canadienne des contribuables il y a quelques semaines, les conservateurs avaient promis de revoir cette aberration. Mais tout ce qu’on trouve dans le budget de jeudi dernier à ce sujet, c’est ce passage :
« [...] les cotisations des fonctionnaires en viendront au fil du temps à être égales à celles de l’employeur (50/50). Des changements comparables seront aussi apportés aux taux de cotisation aux régimes de retraite des Forces canadiennes, de la Gendarmerie royale du Canada et des parlementaires. »
Rien sur un éventuel report de l’âge de la retraite des députés, ou sur le nombre d’années de travail minimal pour accéder au régime.
Et surtout : on promet d’apporter ces ajustements pour les parlementaires… après la prochaine élection, en 2015!
D’ici là, bon steak haché à tous nos électeurs.
Donner l’exemple
L’équipe de Stephen Harper avait une belle occasion de donner l’exemple. De montrer que ce n’est pas seulement aux fonctionnaires et aux futurs retraités de se serrer la ceinture. Un engagement plus ferme aurait suffi. Oui, les pensions des députés sont une goutte d’eau dans l’océan des dépenses d’Ottawa. Mais la symbolique serait énorme, pour un peuple chaque jour plus cynique — et avec raison.
On préfère attendre avant de fournir les détails, semble-t-il. On verra dans trois ans. Et si à ce moment un autre parti prend le pouvoir, il aura l’odieux de renier ou non cette « promesse ».
Une belle occasion ratée.


REF.: